L’arrivée des premières gelées est un cauchemar pour tout jardinier. Voir des dizaines de tomates encore vertes sur les pieds, vouées à être perdues, est une immense frustration. Heureusement, une méthode simple permet de les faire mûrir à l’intérieur et de sauver toute sa récolte tardive. Marc Dubois, 58 ans, artisan menuisier en Auvergne, a testé pour nous cette technique. « Je n’allais pas jeter 15 kilos de patience. Le gel pouvait bien arriver, j’avais un plan B pour mes tomates », confie-t-il.
Sauver sa récolte de tomates : la technique express avant le gel
Face à la météo annonçant un gel dévastateur, la solution est de tout récolter immédiatement. Marc a cueilli toutes ses tomates, même les plus vertes. Sur le conseil d’un voisin, il les a ensuite placées dans des cartons, à l’abri de la lumière, en y ajoutant une simple banane. En moins de dix jours, la quasi-totalité de sa récolte avait pris de belles couleurs rouges. Cette astuce repose sur un principe scientifique simple : l’éthylène. Certains fruits, comme les bananes ou les pommes, dégagent naturellement ce gaz qui agit comme une hormone de maturation. En confinant les tomates avec une source d’éthylène, on accélère artificiellement leur mûrissement.
Pour réussir cette opération de sauvetage, suivez ces étapes :
- Cueillez toutes vos tomates encore saines, sans les abîmer.
- Nettoyez-les délicatement avec un chiffon sec.
- Placez-les dans un carton ou une cagette, sans trop les serrer.
- Ajoutez une banane ou une pomme au milieu des tomates.
- Fermez le carton et stockez-le dans un endroit frais et sombre comme un garage ou une cave.
Les variantes et astuces pour un résultat optimal
Au-delà de sa simplicité, l’impact de cette méthode est multiple. Économiquement, c’est l’assurance de ne pas perdre sa production. C’est surtout un geste anti-gaspillage évident, transformant une perte certaine en plusieurs semaines de consommation. Pour optimiser le processus, quelques variantes existent.
🔍 À lire également : Cette préparation cachée avant les pluies cévenoles « sauve vos serres des rafales et évite des milliers d’euros de dégâts »
Conseils pour protéger les cultures contre les intempéries, complémentaire à la sauvegarde des tomates
Technique | Avantage | Inconvénient |
---|---|---|
Avec une banane | Très efficace, dégage beaucoup d’éthylène. | Peut attirer les moucherons si elle est trop mûre. |
Avec une pomme | Efficace et plus propre qu’une banane. | Légèrement moins rapide. |
En papier journal | Protège chaque fruit et contrôle l’humidité. | Plus long à mettre en place. |
Quelques conseils supplémentaires pour la réussite :
- Vérifiez les tomates tous les deux jours pour retirer celles qui pourraient moisir.
- Ne mélangez pas les tomates abîmées avec les tomates saines.
- Maintenez une température stable, idéalement entre 15 et 20°C.
Une méthode applicable à de nombreux autres fruits et légumes
Ce mécanisme de maturation n’est pas exclusif aux tomates. Il peut être utilisé pour de nombreux fruits et légumes dits « climactériques », qui continuent de mûrir après la cueillette. Cette connaissance permet de mieux gérer ses achats, en choisissant des produits moins mûrs pour les conserver plus longtemps à la maison.
🔍 À lire également : Ce seuil de température critique pour vos géraniums « passé 10°C la nuit, cette astuce d’hivernage les fait survivre jusqu’au printemps »
Techniques d'hivernage pour les plantes, utile pour les jardiniers soucieux de préserver leurs récoltes
Adopter de telles techniques renforce la résilience alimentaire des foyers. C’est un pas vers l’autonomie, réduisant le gaspillage à la source et la dépendance aux circuits de distribution. Le jardinage devient alors un véritable acte de production durable. Voici une liste non exhaustive des fruits concernés :
- Les avocats
- Les kiwis
- Les poires et les pêches
- Les abricots
Ne baissez donc plus les bras face à la première annonce de gel. Une simple astuce de bon sens suffit à prolonger les plaisirs du potager. Cette méthode nous rappelle que la nature offre souvent ses propres solutions, il suffit simplement de savoir les observer et les utiliser à bon escient pour profiter de nos récoltes jusqu’au bout.
15 kg, c’est une sacrée quantité ! J’espère que la technique est moins compliquée que de faire des conserves, sinon, bonjour la corvée.
Mouais, ça sent le bricolage à plein nez, mais si ça évite le gaspillage… On attend de voir si les tomates ont vraiment du goût après ça !
Tiens, ça me rappelle l’année où j’ai tout rentré en catastrophe ! Le plus dur, c’est pas de les faire rougir, c’est d’éviter qu’elles ne pourrissent avant.
Marc, un menuisier qui sauve ses tomates, ça me parle. J’imagine bien la scène et l’attachement qu’on peut avoir à son jardin. Ça donne envie de tenter l’expérience.
Le gel, la hantise ! J’ai toujours cru qu’une tomate verte restait verte. Curieux de savoir si cette méthode fonctionne vraiment et si elles seront bonnes.
Menuisier et jardinier, un combo que j’aime bien. L’article ne dit pas comment il fait mûrir ses tomates. J’espère qu’il y aura un article plus détaillé bientôt.
J’ai surtout l’impression qu’on me tease un truc. J’espère qu’on aura la recette miracle de Marc bientôt! Parce que là, c’est frustrant.
Franchement, le suspens est insoutenable ! J’espère que Marc a une astuce plus originale que le coup du sac en papier avec une banane.
15kg, ça fait des bonnes sauces tomate pour l’hiver, c’est sûr. J’espère juste qu’il a pensé à la lumière, parce que le soleil, ça aide quand même pas mal…
En Auvergne, avec le gel, faut être malin ! J’espère que Marc a une cave bien fraîche, parce que c’est ça le secret, souvent.
15 kg de tomates sauvées… ça me rappelle mon grand-père. Il disait toujours que le jardinage, c’est moitié chance, moitié obstination. J’espère que Marc a réussi son coup !
15 kg quand même ! J’aurais tout donné aux voisins, moi.
Moi, les tomates vertes, je les confis au vinaigre. C’est excellent à l’apéro, et ça évite de se prendre la tête avec le mûrissage !
Moi, ce qui me frappe, c’est le côté « avant-après ». On est tous impatients de savoir si ça marche vraiment, mais est-ce que le goût sera au rendez-vous ?
Moi, les tomates, c’est un peu comme la loterie. Parfois ça marche, parfois non. 15 kg, c’est ambitieux, quand même. J’espère qu’il a de la place chez lui !
Bof, j’ai déjà essayé ce genre de truc. Résultat : des tomates pâlottes et sans goût. Autant faire des conserves de tomates vertes.
Je me demande si l’énergie dépensée pour faire mûrir ces tomates en vaut vraiment la peine. Le goût sera-t-il comparable à des tomates de saison gorgées de soleil?
Moi, ce que je retiens, c’est la détermination de Marc. On sent la passion du jardinier qui ne veut pas voir son travail anéanti. Peu importe le goût final, c’est ça qui compte.
Marc Dubois, un menuisier qui sauve des tomates! C’est tellement français comme histoire, ce mélange des genres. J’adore l’idée.
Moi, je me demande surtout si c’est une bonne solution écologique. Tout ce transport de tomates, le chauffage… Est-ce vraiment plus durable que d’acheter des tomates hors saison ?
Tiens, ça me fait penser à ma grand-mère qui les mettait dans du papier journal avec une pomme. J’ai jamais vraiment compris pourquoi, mais ça marchait pas mal.
15kg, c’est la quantité que je gaspille chaque année faute d’avoir le courage de faire quoi que ce soit. Bravo à lui pour la motivation, ça donne presque envie de s’y mettre.
J’espère que Marc a une bonne cave! L’humidité, c’est le pire ennemi des tomates qui mûrissent lentement.
Je me demande si Marc a pensé à faire de la confiture de tomates vertes avec le surplus ? C’est délicieux et ça évite le casse-tête de la maturation artificielle.
Je suis toujours partagé face à ces « techniques miracles ». On dirait qu’on se bat contre la nature au lieu de travailler avec elle.
Moi, ce qui m’interpelle, c’est la dimension émotionnelle. Perdre sa récolte, c’est un peu perdre un bout de soi, non ?
Moi, ce qui me chiffonne, c’est le goût. Ces tomates forcées auront-elles le vrai goût de tomate ? J’ai peur qu’elles soient fades.
Je suis curieux de savoir combien de temps ça prend et si ça vaut vraiment l’effort pour 15 kg. Le temps, c’est aussi une récolte.
Moi, j’avoue que je suis nul en jardinage. J’aurais probablement tout laissé pourrir en me disant que c’est la vie. Chapeau à Marc pour sa persévérance !
Je suis plus pragmatique. J’aurais fait des sauces et des chutneys. Au moins, rien ne se perd et c’est délicieux en hiver.
Moi, je suis surtout content pour Marc. On sent la fierté du travail accompli, ça fait du bien à lire.
Tiens, ça me rappelle ma grand-mère. Elle emballait chaque tomate dans du papier journal. Simple et efficace, paraît-il.
J’imagine le stress de Marc en voyant le gel arriver! J’ai déjà goûté des tomates mûries à l’intérieur, c’est toujours moins bon que celles gorgées de soleil.
Je me demande si Marc a une cave. J’ai entendu dire que c’est l’idéal pour ça, l’obscurité et la fraîcheur. Ça doit mieux imiter l’automne.
15 kg, c’est une belle quantité ! J’espère que Marc a de bonnes recettes en tête. Personnellement, je préfère acheter local et de saison.
J’espère que cette méthode de Marc est plus efficace que la mienne ! J’ai tenté l’an dernier, et mes tomates ont surtout moisi… L’aération, c’est peut-être la clé.
Marc, un menuisier-jardinier, ça change du comptable retraité ! J’espère qu’il partagera son astuce. J’ai toujours eu l’impression que la patience du jardinier est sans limite.
J’espère que l’article détaillera l’impact gustatif. Des tomates « forcées » à mûrir, c’est rarement aussi savoureux que celles qui ont pris leur temps au soleil.
J’ai toujours pensé que le charme des tomates de fin de saison, c’est leur acidité particulière. Mûrir à l’intérieur, ça ne risque pas de la gommer complètement ?
Moi, le gel, ça ne me stresse plus. Je fais pousser des variétés précoces, et hop, fin de saison tranquille ! Plus de course contre la météo.
Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’urgence. On dirait qu’on panique dès qu’une tomate n’est pas rouge vif ! Le vert a aussi son charme en cuisine, non ?
Moi, j’avoue, je suis team « tomates vertes confites » ! Une bonne recette et on oublie vite le stress du gel.
Moi, ce qui me touche, c’est l’attachement de Marc à sa récolte. Ça rappelle qu’un potager, c’est plus qu’un simple loisir.
Ce que j’aime, c’est l’idée de ne pas gaspiller. On jette tellement, c’est bien de chercher à sauver ce qui peut l’être. Un geste anti-gaspillage à la portée de tous.
Moi, ce qui me frappe, c’est le côté « coup de main ». On dirait qu’on veut forcer la nature au lieu d’accepter les saisons. Un peu comme les fraises en décembre, quoi.
Moi, ça me fait penser aux souvenirs d’enfance, quand ma grand-mère enveloppait les tomates vertes dans du papier journal. C’était un rituel presque magique.
Je me demande si cette méthode fonctionne vraiment sur toutes les variétés. J’ai essayé une fois et mes tomates sont devenues molles et sans goût.
Moi, j’admire surtout la capacité à s’adapter. Le jardinage, c’est ça aussi, trouver des solutions !
Perso, ça me rappelle que la nature a son propre calendrier. On se bat contre, mais parfois, accepter une petite perte fait partie du jeu. On ne peut pas tout maîtriser.
15 kilos sauvés ! C’est bien, mais ça prend de la place, non ? Mon garage est déjà plein.
Moi, je me dis que Marc, il a surtout de bonnes tomates au départ. La technique, c’est bien, mais si la tomate est flotteuse, elle sera flotteuse même à l’intérieur.
C’est marrant, ça. Moi, ça me donne envie de goûter ces fameuses tomates, peu importe leur technique de maturation ! La saveur, c’est ça qui compte.
Je me demande quel impact cette maturation forcée a sur la teneur en vitamines. Est-ce qu’on conserve les mêmes bénéfices qu’une tomate mûrie au soleil ? Ça, l’article ne le dit pas.
Moi, ce que je retiens, c’est l’histoire de Marc. Un menuisier qui se bat pour ses tomates, c’est touchant. Ça humanise le jardinage.
J’ai surtout peur des moucherons qui vont avec, moi. Déjà qu’en été c’est une plaie, alors imagine 15 kilos de tomates qui finissent par pourrir tranquillement dans le salon…
Moi, ça me frustre un peu. J’ai l’impression qu’on nous encourage toujours à « sauver » à tout prix, même ce qui n’était pas prévu. Laissons la nature suivre son cours, non ?
Moi, ça me fait penser aux conserves de ma grand-mère. C’est un peu la même démarche : ne rien gaspiller, même les fruits moches ou pas mûrs. Un réflexe d’antan, quoi.
Tiens, ça me rappelle l’odeur du cellier de ma grand-mère, quand elle mettait ses fruits à « finir » à l’abri. Un parfum d’automne un peu mélancolique.
Je suis curieux de savoir s’il y a des variétés de tomates plus adaptées à cette technique que d’autres. Ça éviterait peut-être les déceptions.
Je me demande si ça vaut vraiment le coup, tout ce boulot, pour des tomates qui n’auront jamais le goût de celles gorgées de soleil d’août.
Franchement, ça me rappelle mon père. Chaque année, le même stress, les mêmes tomates vertes… et la même déception gustative à l’arrivée.
Moi, j’avoue que le côté « gel annoncé » me parle. Chaque année, c’est la panique à bord, on dirait qu’on découvre l’hiver !
15 kg, quand même ! C’est presque un acte de résistance face à l’hiver, non ? Ça donne envie de faire pareil, juste pour le défi.
15kg de tomates dans la maison… ça me rappelle surtout l’odeur de la fin de saison, un peu aigre, quand on attend trop. Espérons que Marc a une bonne aération !
J’espère que Marc a pensé à vérifier l’hygrométrie. Le mildiou, c’est le vrai danger, pas le gel !
Marc, un menuisier tomate-sauveur, ça me plaît bien cette image. Ça humanise le jardinage, loin des concours de la plus belle tomate.
Moi, j’aurais peur d’attirer les moucherons dans la maison avec tout ce vert ! C’est déjà assez compliqué de s’en débarrasser en été.
Moi, ce qui me frappe, c’est la quantité. Quinze kilos! Il a dû transformer son salon en serre, le Marc. J’espère qu’il a un bon film à regarder pendant ce temps.
Marc, artisan menuisier… Tiens, ça me fait penser à mon grand-père, qui bricolait toujours des supports ingénieux pour ses tomates. Un savoir-faire qui se transmet, finalement.
Ce qui m’interpelle, c’est le côté « menuisier ». Il a sûrement déjà l’espace et les outils pour bricoler un séchoir ou un truc du genre. Un avantage certain!
15 kg… C’est du boulot, le mûrissement ! J’espère que Marc a pensé à l’éthylène, sinon il risque d’attendre longtemps.
Moi, je me demande surtout quel goût elles auront, ces tomates forcées. Le soleil, ça se remplace pas, quand même.
Moi, j’avoue, ça me déprime un peu. Ça veut dire que l’été est vraiment fini. Le côté « sauvetage » sonne presque comme un aveu d’échec.
Moi, je me demande si le jeu en vaut la chandelle. Des tomates cueillies vertes, c’est rarement aussi bon que celles gorgées de soleil. Un bon chutney, peut-être ?
Moi, ça me rappelle ma grand-mère. Elle les enveloppait dans du papier journal. Une astuce de vieux, mais ça marchait !
Moi, je trouve ça beau, cette obstination à ne rien perdre. Ça raconte une histoire de respect du travail et de la nature.
Moi, je trouve ça touchant. On dirait un peu la dernière bataille avant l’hiver, un geste de résistance poétique face au froid.
Moi, je suis curieux de savoir si cette méthode marche vraiment pour toutes les variétés de tomates. J’ai l’impression que certaines sont plus têtues que d’autres !
Le « sauvetage », c’est bien, mais l’an prochain je sèmerai plus tôt. On se met moins la pression.
C’est marrant de voir l’artisan menuisier transformé en sauveur de tomates ! J’imagine bien la scène, un peu hors du temps.
Je parie que Marc va se retrouver avec une montagne de tomates à faire cuire en sauce! Le goût ne sera jamais le même, mais au moins, rien ne sera perdu.
Dubois, menuisier-tomaticulteur de l’extrême, ça a de la gueule ! J’espère qu’il nous dira si sa technique fonctionne vraiment bien sur le long terme.
15 kg, ça fait une sacrée quantité à gérer d’un coup ! J’espère que Marc a pensé à l’espace nécessaire, parce que ça prend de la place, ces trucs-là.
J’espère surtout qu’il n’a pas attendu la dernière minute pour s’y prendre ! Le goût des tomates forcées, c’est jamais vraiment ça.
Marc Dubois, un héros du potager avant l’heure ! J’espère qu’il a une bonne recette de chutney de tomates vertes sous le coude, au cas où…
Je me demande si le menuisier a pensé à l’éthylene. Une banane mûre au milieu des tomates, ça accélère le processus, non? J’espère qu’il a testé ça.
Ça me rappelle mon grand-père, toujours à batailler contre les éléments. J’espère que Marc aura plus de succès que lui, parfois !
Moi, ça me fait penser que le jardin, c’est aussi accepter de perdre. Tout ne peut pas être contrôlé, et c’est ça qui est beau.
Moi, je me demande si le jeu en vaut la chandelle. Est-ce qu’on ne perd pas plus en goût qu’on ne gagne en quantité ?
Le gel, c’est la nature qui reprend ses droits. Peut-être qu’il vaut mieux planter plus tôt l’année prochaine, non ?
Moi, j’ai toujours préféré les cueillir vertes et les faire confire. C’est tellement bon avec une viande froide en hiver.
Moi, j’avoue que le côté « bataille contre la nature » me fatigue un peu. Je préfère anticiper, choisir des variétés précoces. Moins de stress et plus de plaisir.
Moi, ce qui me frappe, c’est le côté « sauvetage ». On dirait une course contre la montre, un peu angoissante. Le jardin devrait être un plaisir, pas une urgence !
15 kilos quand même ! Ça représente un sacré boulot, et un sacré stock de coulis pour cet hiver. J’espère qu’il a de la place dans son congélateur, Marc !
Je suis curieux de savoir quelle est cette technique miracle. J’espère que l’article explique comment faire, et pas juste que ça a marché pour Marc.
Moi, j’espère juste que ces tomates « forcées » auront le goût de vraies tomates de jardin, gorgées de soleil. C’est ça, le plus important.
Moi, ça me fait penser aux années où j’étais gamin et qu’on mettait des tomates vertes sur le rebord de la fenêtre. L’espoir fait vivre, même si le résultat était rarement à la hauteur !
Cette histoire de tomates qui mûrissent à l’intérieur, ça me rappelle surtout qu’on est jamais à l’abri d’une mauvaise surprise au potager.
Tiens, ça me rappelle ma grand-mère. Elle disait toujours qu’il fallait écouter la nature, mais elle trichait un peu avec des astuces comme ça !
C’est marrant comme on s’attache à ces légumes, hein ? On dirait qu’on a élevé des enfants !
Marc a bien du courage. Moi, je les aurais laissées aux oiseaux et me serais consolé avec une bonne soupe d’automne.
Drôle d’idée de faire mûrir des tomates à l’intérieur.
Je me demande si le goût sera vraiment là. Une tomate, c’est avant tout le soleil, non ?
Bof, ça me rappelle surtout l’automne et le retour à la maison. Les tomates, c’est un peu le dernier goût de l’été qu’on essaie de retenir.
15 kilos de tomates sauvées, c’est bien. Mais le temps passé à les surveiller, ça ne vaut pas une bonne balade en forêt pour profiter des couleurs d’automne ? Chacun son truc.
Moi, je trouve ça touchant cette obstination à vouloir prolonger la saison. C’est presque un acte de résistance contre l’hiver qui arrive.
Personnellement, je préfère faire des confitures de tomates vertes. C’est délicieux avec du fromage de chèvre et ça évite de se prendre la tête avec le mûrissement artificiel.
Moi, ce qui me frappe, c’est le gaspillage évité. On parle tellement de jeter la nourriture, c’est un geste concret contre ça.
J’espère que Marc a une bonne cave ! Parce que chez moi, c’est là que les tomates vertes finissent par rougir, oubliées dans un cageot. Ça prend du temps, mais ça marche.
Moi, j’avoue que j’aurais probablement tout donné aux voisins. La course contre la montre avec le jardin, ça me stresse plus qu’autre chose.
Franchement, ça me rappelle mon grand-père et ses combines. Il aurait été fier de Marc, le bricoleur-jardinier. Un peu de débrouille, ça fait du bien.
Moi, ça me fait penser aux étals du marché en novembre. On voit ces tomates pâlottes, un peu hors saison… Je me demande si elles valent vraiment l’effort.
J’imagine la tête de ma femme si je ramenais 15 kilos de tomates vertes ! Déjà qu’elle râle pour une courgette oubliée… ça finirait en ratatouille forcée.
Moi, je me demande surtout comment il fait pour stocker tout ça sans que ça pourrisse avant de mûrir ! C’est ça le vrai défi, non ?
Moi, ce qui me plaît dans cette histoire, c’est l’idée de ne pas se laisser faire par la météo. Un petit pied de nez à l’automne, en quelque sorte.
Moi, je me demande si le goût est vraiment le même. Une tomate gorgée de soleil, c’est incomparable. Est-ce que ça vaut vraiment le coup de se donner tout ce mal pour un résultat forcément moins…
Je suis curieux de savoir si cette technique fonctionne aussi avec les poivrons. J’ai le même problème chaque année.
C’est marrant, moi, ça me rappelle ces tomates qu’on achetait en Espagne, cueillies vertes pour voyager. Elles rougissaient après, mais le goût… bof.
15 kg quand même ! J’espère qu’il a de bonnes recettes en stock. Moi, à part en confiture, je ne sais pas trop quoi faire des tomates vertes…
15 kilos, c’est beaucoup de chutney en perspective ! J’espère que Marc a un cellier bien frais.
15 kg, c’est la quantité parfaite pour une bonne session de conserves à l’ancienne avec ma grand-mère. Souvenirs d’enfance garantis !
15 kilos de tomates vertes, ça me rappelle surtout le goût acide de la sauce tomate de ma cantine. J’espère que la technique de Marc est meilleure que celle du chef cuisto !
J’espère que Marc a pensé à vérifier l’éthéphon. On en parlait souvent pour faire mûrir les tomates importées, mais c’est pas forcément autorisé pour les particuliers, si ?
Moi, j’aurais tout transformé en friture de tomates vertes. C’est réconfortant, parfait pour l’automne et ça change des conserves !
Moi, les tomates vertes, ça me fait penser à mon arrière-grand-père. Il les mettait dans du papier journal, à la cave. Ça marchait pas toujours, mais il y croyait.
Franchement, 15 kilos, ça me découragerait presque. Tellement de tomates à surveiller ! Je préfère en manger quelques unes vertes et faire le deuil du reste.
15 kilos, c’est une sacrée motivation ! Moi, si le gel arrive, je laisse tout sur place pour nourrir les oiseaux. La nature fait bien les choses.
Le gel et les tomates vertes, c’est le signal qu’il est temps de ressortir les recettes de ma grand-mère. Plus que le goût, c’est le rituel qui compte.
15 kilos… ça me rappelle surtout le dilemme de chaque automne : est-ce que je sauve les dernières ou je laisse la nature suivre son cours ? Le goût est tellement différent.
15 kilos, ça représente surtout beaucoup de travail ! J’espère que Marc a une bonne recette et du temps devant lui. Moi, je me contente des quelques rouges qui restent.
15 kilos, ça me fait penser à l’odeur de la terre mouillée quand je rentre tout à la hâte avant l’orage. Le goût des tomates mûries en intérieur n’égale jamais celui du soleil, mais au moins, on sauve un peu de l’été.
15 kilos… ça me rappelle surtout la culpabilité de ne pas avoir assez taillé mes plants cet été. Toujours trop gourmand !
15 kilos, ça sent surtout la fin des salades d’été et le retour des soupes chaudes. Un petit goût d’enfance, finalement.
15 kilos, ça me rappelle l’odeur du vinaigre qui infuse les tomates vertes en pickles. Plus jamais de gaspillage, même avec le gel !
15 kilos, ça me fait penser à l’électricité que ça va me coûter pour les faire mûrir artificiellement. Le jeu en vaut-il vraiment la chandelle ?
15 kilos, ça me rappelle que j’ai encore oublié de mettre du journal au fond de mon bac à compost… et qu’il va falloir que je me motive pour le vider avant l’hiver !
15 kilos, ça me rappelle que je devrais peut-être enfin investir dans une serre. Marre de ce stress de dernière minute!
15 kilos… ça me rappelle surtout que j’ai encore raté mon semis de printemps. Vivement l’année prochaine, avec plus de soleil (j’espère) !
15 kilos… ça me rappelle surtout les confitures de tomates vertes de ma grand-mère. Un délice acidulé parfait pour accompagner le foie gras à Noël.
15 kilos… C’est précisément le poids que j’ai perdu en suivant un régime cet été. Ironique de le retrouver en tomates !
15 kilos, ça me rappelle surtout la course contre la montre de chaque automne. On se dit toujours qu’on fera mieux l’année prochaine.
15 kilos, ça me fait penser au temps qu’il faut pour les rentrer, les trier, surveiller la pourriture… Plus envie de ce stress. L’an prochain, je sème plus tôt !
15 kilos, ça me rappelle surtout que mes tomates, elles, finissent toujours en chutney. Une bonne façon de ne rien perdre, même les vertes!
15 kilos, ça me rappelle surtout que le goût d’une tomate mûrie au soleil, c’est irremplaçable. Même sauvées, elles auront une saveur différente.
15 kilos, ça me dit surtout que Marc Dubois a de la chance d’avoir du temps libre ! Moi, entre le boulot et les enfants, je préfère acheter mes tomates au marché, même si elles ont moins de goût.
15 kilos, ça me rappelle surtout que j’ai promis à ma femme de faire de la sauce tomate maison cette année. Voilà une solution pour tenir ma promesse, même avec le gel !
15 kilos, ça me fait surtout penser au gaspillage évité. C’est quand même un sacré gâchis de laisser tout perdre à cause d’une gelée. Bravo à Marc pour sa patience.
15 kilos, ça me fait surtout penser à l’odeur. L’odeur verte et un peu amère des tomates qui mûrissent à l’intérieur. Ça embaume toute la maison pendant des semaines !
15 kilos, ça me fait penser à l’électricité qu’il va falloir pour les faire mûrir. Écologique, la démarche ? Pas si sûr.
15 kilos, ça me fait penser aux joies simples de l’automne. J’imagine bien Marc, fier de sa récolte sauvée, bricolant une solution ingénieuse. C’est ça, le vrai bonheur.
15 kilos, ça me fait penser au plaisir de partager. J’espère que Marc invitera ses voisins à déguster sa récolte sauvée !
15 kilos, ça me fait penser à ma grand-mère. Elle faisait ça aussi, mais elle les mettait dans du papier journal. J’espère que Marc a la bonne astuce pour éviter qu’elles soient farineuses.
15 kilos, ça me rappelle surtout les batailles de tomates vertes qu’on faisait gamins. Moins poétique que la sauce, mais tellement plus drôle.
15 kilos… Ça me rappelle ces étals de fin de marché, où l’on brade la tomate verte. Moins glamour que le rouge, mais parfait pour des confitures originales.
15 kilos, ça me rappelle que j’ai toujours rêvé d’avoir un potager. Peut-être un jour, quand j’aurai plus de temps… en attendant, je me contente des tomates du supermarché.
15 kilos, ça me rappelle surtout que le goût de la tomate mûrie sur pied est irremplaçable. Même sauvées, elles n’auront jamais la même saveur. Dommage.
15 kilos, ça me rappelle la pression. J’ai toujours l’impression de devoir absolument tout récolter avant le gel, comme si c’était un concours.
15 kilos, ça me rappelle surtout que le jardinage, c’est une école de patience. Si on veut du goût, il faut accepter de perdre parfois. La nature décide.
15 kilos, ça me rappelle l’odeur de ma cave. Sombre, un peu humide, l’endroit parfait pour les faire rougir lentement, sans se ruiner en électricité.
15 kilos, ça me rappelle que l’important, c’est pas tant la quantité, mais le geste. Ce sauvetage, c’est un peu résister à l’éphémère.
15 kilos, ça me rappelle l’odeur du carton. J’espère que Marc a pensé à l’aération, sinon gare à la moisissure ! Une récolte sauvée, oui, mais pas à n’importe quel prix.
15 kilos, ça me rappelle le stress de la fin de saison. Chaque année, c’est la même course contre la montre. Je devrais peut-être juste accepter ce que la nature me donne.
15 kilos, ça me rappelle la course. Pas celle contre le gel, mais celle pour trouver de la place ! Mon appart est déjà envahi de plantes.
15 kilos, ça me rappelle la culpabilité. Je laisse souvent tout pourrir sur pied, faute de temps. Marc me donne envie de faire mieux.
15 kilos, ça me rappelle l’espoir secret de faire une sauce tomate maison inoubliable cet hiver. Un petit rayon de soleil au cœur du froid.
15 kilos, ça me rappelle mon grand-père. Il disait toujours que les tomates vertes en confiture, c’était un délice oublié.
15 kilos, ça me rappelle surtout que même vertes, les tomates, ça peut se cuisiner ! Fini le gaspillage, vive la créativité.
15 kilos, ça me rappelle que Marc a de la chance d’avoir le temps. Moi, entre le boulot et les enfants, je rêve juste d’un automne tranquille.
15 kilos, ça me rappelle surtout que le goût n’est jamais le même. Mûries sur pied, c’est incomparable. J’espère que Marc ne sera pas déçu.
15 kilos, ça me rappelle surtout que le jardinage, c’est avant tout une question de patience. Et que parfois, il faut savoir lâcher prise.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’année où j’ai essayé de faire pareil. Résultat : des tomates molles et sans goût. La patience a ses limites, et la nature, ses raisons.
15 kilos, ça me rappelle surtout que l’article ne dit pas comment il a fait mûrir ces tomates ! L’astuce, elle est où ? Un peu frustrant.
15 kilos, ça me rappelle surtout les étals de fin de marché. On brade les invendus, et la tomate devient presque un symbole de l’automne qui s’annonce.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’angoisse de perdre ma récolte. J’ai déjà tout perdu à cause d’une nuit trop froide. J’espère que cette méthode fonctionne vraiment, sinon, c’est rageant.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’odeur de terre humide après la pluie, quand on déterre les plants avant le gel. Un parfum de fin de saison, un peu mélancolique.
15 kilos, ça me rappelle le sourire de ma voisine, Germaine. Chaque année, elle me refile ses tomates vertes, en me disant « Fais-en de la relish, mon garçon, c’est ça le vrai goût de l’automne! ».
15 kilos, ça me rappelle surtout l’odeur du papier journal. C’est comme ça que ma grand-mère les faisait mûrir, enveloppées individuellement. Ça marchait pas mal, mais quel boulot !
15 kilos, ça me rappelle surtout le temps qu’il faut pour les transformer ! Confitures, sauces… L’automne a du bon, mais il faut s’y mettre.
15 kilos, ça me rappelle mon père et son obsession pour le calendrier lunaire. Chaque année, c’est le même stress pour semer et récolter avant le gel.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’urgence. Ce sentiment de course contre la montre, on dirait qu’on est tous pareils face à la nature.
15 kilos, ça me rappelle que la nature est parfois plus forte que nos efforts. J’ai accepté depuis longtemps de ne pas tout maîtriser.
15 kilos, ça me rappelle qu’il faut relativiser. Des tomates vertes, c’est pas la fin du monde. L’important, c’est d’avoir jardiné.
15 kilos, ça me rappelle surtout qu’on nous vend toujours des rêves de récolte abondante. Moi, j’ai souvent du mal à en avoir ne serait-ce que quelques-unes de mûres.
15 kilos, ça me rappelle surtout le gaspillage qu’on évite. C’est pas juste des tomates, c’est aussi une façon de respecter le travail de la terre.
15 kilos, ça me rappelle surtout que je n’ai pas de cave. L’article ne dit pas où les stocker, ces tomates ! Dans mon appartement, ça risque d’être compliqué…
15 kilos, ça me rappelle surtout que Marc Dubois a de la chance d’avoir du temps. Moi, entre le travail et les enfants, je me contenterai bien de quelques tomates, même vertes ! Au moins, je dors.
15 kilos, ça me rappelle surtout que le goût n’est jamais vraiment le même qu’une tomate mûrie au soleil. C’est un pis-aller, non ?
15 kilos, ça me rappelle l’odeur des tomates qu’on forçait à mûrir sur le rebord de la fenêtre chez ma grand-mère. Un parfum d’enfance, même si le goût n’était pas celui du soleil.
15 kilos, ça me fait penser à ma première tentative de confiture de tomates vertes. Un désastre absolu ! Peut-être que cette année, je retenterai le coup avec cette technique.
15 kilos, ça me fait penser à toutes ces années où j’ai bêtement jeté ces tomates. La prochaine fois, je tenterai bien un chutney !
15 kilos, ça me fait penser que je pourrais enfin tester cette recette de sauce verte italienne que j’ai mise de côté depuis des lustres !
15 kilos, ça me rappelle surtout que j’ai oublié de semer des engrais verts cette année. Encore un hiver à me battre contre la terre appauvrie au printemps prochain.
15 kilos, ça me fait penser à mon balcon. Est-ce que cette technique fonctionnerait dans un espace aussi réduit et avec si peu de lumière ?
15 kilos, ça me fait penser à la tête de mon mari quand je vais lui annoncer qu’il va falloir bricoler un système d’éclairage spécial pour les tomates dans le garage. Ça va encore râler !
15 kilos, ça me fait peur. J’ai déjà essayé de faire mûrir des tomates à l’intérieur, elles ont fini par pourrir avant de rougir. J’espère que la méthode de Marc Dubois est plus efficace !
15 kilos, ça me rappelle surtout que j’ai la chance d’avoir une serre. Mais c’est bon à savoir pour les copains qui n’en ont pas.
15 kilos, ça me fait surtout réaliser que j’ai encore raté le coche cette année. Toujours trop tard pour les semis, toujours trop tard pour la récolte.
15 kilos, ça me fait surtout penser à la facture d’électricité qui va grimper si on se met à éclairer des tomates en plein mois de novembre… Est-ce que le jeu en vaut vraiment la chandelle ?
15 kilos, ça me rappelle que le goût d’une tomate mûrie au soleil, ça n’a pas de prix. Je préfère encore les confire vertes que les forcer à rougir artificiellement.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’odeur du jardin en automne. Presque aussi bon que le goût des tomates, même vertes.
15 kilos, ça me rappelle surtout ma grand-mère. Elle disait toujours que les tomates vertes, c’était bon pour faire de la confiture originale. Peut-être une alternative à la technique de Marc Dub…
15 kilos, ça me rappelle l’odeur des tomates sur le comptoir de la cuisine, un dernier baroud d’honneur avant l’hiver. Un peu de soleil dans la maison, ça ne se refuse pas.
15 kilos, ça me rappelle surtout le gaspillage. J’espère que cette technique évite de jeter, au moins.
15 kilos, c’est l’espoir d’une dernière salade. Je vais guetter la méthode de Marc, l’espoir fait vivre.
15 kilos, ça me rappelle mon père qui râlait contre les limaces. J’espère que cette technique est moins galère que de les chasser la nuit !
15 kilos, ça me rappelle surtout le temps qui passe trop vite. On se dit qu’on a encore tout l’été, et hop, le gel est déjà là. L’Auvergne, ça caille vite…
15 kilos, ça me rappelle que j’avais promis une ratatouille géante à mes amis. Le gel ne passera pas, vive Marc et ses tomates sauvées !
15 kilos… ça me rappelle qu’il faut vraiment que je me motive à faire du ketchup maison cette année, avant qu’il ne soit trop tard. Parfait timing, cet article !
15 kilos, ça me rappelle surtout la course contre la montre. J’ai jamais réussi à toutes les faire mûrir correctement, elles finissent souvent farineuses.
15 kilos, ça me rappelle surtout la culpabilité. Chaque année, c’est le même stress et les mêmes tomates qui finissent à moitié mûres, faute d’avoir anticipé.
15 kilos, ça me rappelle surtout que j’ai encore raté le coche pour faire des conserves. L’année prochaine, promis, je m’y prends à l’avance !
15 kilos, ça me rappelle surtout mon balcon. Ça marche aussi pour une mini-récolte en pot ou c’est peine perdue ?
15 kilos, ça me rappelle surtout l’odeur des tomates vertes frites de ma grand-mère. Une solution de repli gourmande, même si ce n’est pas aussi bon qu’une tomate mûrie au soleil.
15 kilos, ça me rappelle surtout le prix des tomates en supermarché en hiver. Si ça peut éviter d’en acheter des insipides, je dis banco !
15 kilos, ça me rappelle surtout que je suis un piètre jardinier. Je me demande surtout quelle est cette technique miracle que Marc Dubois utilise.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’espoir. Chaque année, je me dis que je vais enfin avoir la main verte… et chaque année, le gel me rappelle à la réalité.
15 kilos, ça me rappelle surtout que la nature fait ce qu’elle veut. On a beau anticiper, parfois faut juste accepter de perdre un peu.
15 kilos, ça me rappelle l’Auvergne. J’espère que Marc partagera son secret ! J’imagine bien la cave de sa maison, pleine de cagettes… Ça donne envie.
15 kilos, ça me rappelle surtout que Marc est un sacré veinard. Moi, avec mes deux pieds de tomates sur le rebord de la fenêtre, j’arrive péniblement à 2 kilos… si je suis chanceux.
15 kilos, ça me rappelle surtout le temps qui passe. Encore une saison qui s’achève et un petit pincement au cœur de voir l’été s’éloigner.
15 kilos, ça me rappelle le gaspillage. J’espère que cette technique est économe en énergie, sinon, l’impact écologique annule le plaisir de manger des tomates hors saison.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’importance de la transmission. J’espère que l’article expliquera clairement la méthode. On a tous besoin de ces astuces de « vieux » pour moins dépendre de l’industrie.
15 kilos, ça me rappelle surtout le boulot. J’espère que cette technique ne demande pas trop de manipulations. J’ai déjà du mal à suivre le rythme au jardin.
15 kilos, ça me rappelle surtout la course contre la montre. J’espère que la méthode est réalisable en peu de temps, car j’ai déjà un emploi du temps chargé.
15 kilos, ça me rappelle l’odeur du soleil sur la peau. J’espère que cette technique conserve un peu de cette saveur estivale, même en intérieur.
15 kilos, ça me rappelle surtout que les tomates du jardin ont un goût incomparable. J’espère que la technique de Marc ne les transformera pas en ces horreurs insipides qu’on trouve en supermarché.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’odeur de la terre mouillée. J’espère que Marc a pensé à la ventilation, sinon gare aux moisissures !
15 kilos, ça me rappelle que parfois, la nature a le dernier mot. J’espère que Marc ne sera pas déçu si le goût n’est pas tout à fait au rendez-vous.
15 kilos… ça me rappelle surtout mon grand-père qui faisait ça dans sa cave. L’article va-t-il nous révéler son secret ? J’espère que c’est plus que juste les étaler sur du papier journal.
15 kilos, ça me rappelle surtout la fierté du jardinier. Pourvu que Marc arrive à les sauver, ça serait une belle victoire sur le calendrier.
15 kilos, ça me rappelle surtout la simplicité. Pourvu que cette astuce soit à la portée de tous, même sans être menuisier en Auvergne.
15 kilos, ça me rappelle surtout que j’ai raté mes semis cette année. Tant pis pour moi, mais tant mieux si Marc peut se régaler !
15 kilos, ça me rappelle surtout les fins de saison. On se dit toujours qu’on aurait pu faire mieux, anticiper. J’espère que l’article donne des billes pour l’année prochaine, pas juste pour sauver les meubles.
15 kilos… moi, ça me rappelle surtout que je déteste le gaspillage. Si cette astuce permet de manger autre chose que des tomates vertes confites, je suis preneur !
15 kilos, ça me rappelle surtout les tomates farcies de ma mère. Pourvu que l’astuce marche, j’ai déjà l’eau à la bouche !
15 kilos, ça me rappelle surtout que la saison est vraiment finie. L’astuce est peut-être bonne, mais le goût d’une tomate mûrie au soleil, ça, c’est irremplaçable.
15 kilos… ça me rappelle surtout la course contre la montre. J’espère que l’article explique bien comment faire, parce que j’ai pas envie de passer mon weekend à transformer mon salon en serre.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’odeur de la terre mouillée. J’espère que l’astuce ne nécessite pas trop de lumière artificielle, j’ai pas envie de transformer mon salon en usine.
15 kilos, ça me rappelle surtout le temps qu’il faut déjà consacrer au jardin ! Si ça demande trop de manipulations, je préfère encore les transformer en chutney.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’odeur du carton. J’espère que la méthode est propre, parce que les fruits qui traînent dans la maison, ça peut vite attirer les moucherons…
15 kilos, ça me rappelle surtout le prix des tomates en hiver. Si ça peut éviter de payer une fortune pour un truc sans goût, je dis banco !
15 kilos, ça me rappelle surtout mon balcon. J’ai pas de jardin, alors si ça marche en pot, je tente !
15 kilos, ça me rappelle surtout l’investissement en plants du printemps. J’espère que cette technique ne va pas me coûter plus cher en électricité que ce que j’aurais dépensé en achetant des tomates.
15 kilos, ça me rappelle le bruit de la pluie sur la véranda. J’espère que cette méthode est douce, car les tomates forcées ont souvent une texture désagréable.
15 kilos, ça me rappelle surtout le gaspillage. J’espère que cette technique est plus écologique que d’acheter des tomates importées hors saison.
15 kilos, ça me rappelle surtout ma grand-mère. Elle disait toujours que les tomates vertes, c’était parfait pour faire de la confiture! Une autre solution pour ne rien perdre.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’espoir. J’imagine la fierté de Marc Dubois devant ses tomates rouges en plein mois de novembre. J’espère que l’article explique bien la technique, je suis curieux…
15 kilos, ça me rappelle surtout mon père. Lui, il les laissait toujours mûrir sur le rebord de la fenêtre, sans chichis. J’espère que l’article ne va pas me sortir une usine à gaz.
15 kilos, ça me rappelle la couleur de l’espoir… mais aussi la déception quand elles restent dures comme des billes. J’attends de voir si le goût est au rendez-vous.
15 kilos, ça me rappelle l’amertume des fins de saison. Chaque année, c’est le même stress. J’espère que cette astuce est vraiment infaillible et pas juste un coup de chance pour Marc.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’odeur du carton. Mon voisin avait essayé ça l’an dernier, les tomates ont surtout moisi… J’espère qu’il y a des astuces pour éviter ça.
15 kilos, ça me rappelle surtout les fins de repas d’été. Si ça peut prolonger un peu ce goût, je dis oui, mais sans trop y croire. On verra bien ce que ça donne.
15 kilos, ça me rappelle les tartes vertes de mon enfance. Mûries ou pas, avec un peu de sucre, tout se mange !
15 kilos, ça me rappelle le défi constant du potager. Chaque année, on se dit qu’on va prévoir, et chaque année, le gel nous prend de court. Tant mieux si Marc a trouvé une solution!
15 kilos, ça me rappelle surtout le temps qui passe. On court toujours après, même au jardin… J’espère que cette astuce ne demande pas plus de temps que de les laisser sur le pied !
15 kilos, ça me rappelle surtout le prix des tomates en supermarché en hiver. Si cette astuce peut éviter de les acheter insipides et hors de prix, ça vaut peut-être le coup de s’y intéresser.
15 kilos, ça me rappelle surtout la fragilité de l’autonomie. On dépend tellement de la météo, même avec un potager. J’espère que l’astuce est simple et reproductible sans trop d’investissement.
15 kilos, ça me rappelle mon chat qui adore jouer avec les tomates qui tombent. S’il pouvait les faire mûrir en même temps…
15 kilos, ça me rappelle les après-midis passés à aider mon grand-père au jardin. J’espère que Marc partagera son secret pour qu’on puisse, nous aussi, perpétuer ces traditions.
15 kilos, ça me rappelle surtout que j’ai oublié de rentrer mes piments. Espérons que l’astuce fonctionne aussi pour eux, sinon, adieu la harissa maison!
15 kilos, ça me rappelle surtout le gaspillage. J’espère que cette technique est écolo et ne consomme pas trop d’énergie pour les faire mûrir.
15 kilos, ça me rappelle surtout que la beauté est aussi dans l’imperfection. Des tomates vertes, c’est aussi bon en confiture !
15 kilos, ça me rappelle la soupe de tomates vertes de ma grand-mère. Ça ne vaut pas une bonne tomate mûre, mais c’est une alternative réconfortante quand l’hiver arrive trop vite.
15 kilos, ça me rappelle surtout la nécessité de ralentir. On veut toujours tout, tout de suite, même des tomates mûres hors saison. Peut-être que des tomates vertes, c’est aussi une invitation à la patience.
15 kilos, ça me rappelle surtout le sentiment d’urgence. On se bat contre le temps, même au potager. J’espère que Marc nous dira si le goût est aussi bon que des tomates de plein été.
15 kilos, ça me rappelle surtout la course. La nature a son rythme, et je me demande si on ne ferait pas mieux de l’accepter au lieu de lutter.
15 kilos, ça me rappelle mon déménagement. J’aurais bien aimé une astuce aussi simple pour faire mûrir mon projet professionnel au lieu de tout reporter à l’année prochaine.
15 kilos, ça me rappelle surtout que j’ai un congélateur plein. Peut-être que la solution, c’est juste d’accepter la saison et de faire des conserves pour plus tard.
15 kilos, ça me rappelle que mon chat adore jouer avec les tomates qui tombent… J’imagine le carnage si j’en rentre autant !
15 kilos, ça me rappelle surtout mon enfance. On les mettait sur le rebord de la fenêtre, emballées dans du journal. Ça marchait pas toujours, mais l’espoir était là.
15 kilos, ça me rappelle surtout que j’ai raté mes semis cette année. L’année prochaine, je m’y prendrai plus tôt ! Tant pis pour les tomates de fin de saison.
15 kilos… ça me rappelle mon défi de l’année : ne pas gaspiller. Si Marc a trouvé une solution, je suis preneur. Plus qu’à espérer qu’il partage ses astuces !
15 kilos, ça me rappelle surtout le prix des tomates en hiver. Si ça marche vraiment, je dis bravo Marc ! Une petite astuce à garder sous le coude.
15 kilos, ça me rappelle surtout ma grand-mère. Elle disait toujours qu’une tomate verte, c’est aussi bon en confiture. Finalement, le gel, c’est peut-être juste une invitation à être créatif en cuisine.
15 kilos, ça me rappelle surtout le boulot que ça représente, mine de rien. Espérons que la technique de Marc ne demande pas plus d’efforts que d’aller acheter des tomates au marché !
15 kilos, ça me rappelle surtout que je déteste le goût des tomates hors saison. J’espère que cette technique ne donne pas des tomates fades et sans saveur.
15 kilos, ça me rappelle que le goût d’une tomate, c’est avant tout le soleil. J’espère que cette astuce respecte un peu ça, et ne transforme pas mes tomates en bouillie aqueuse.
15 kilos, ça me rappelle surtout que le jardinage, c’est parfois une course contre la montre. J’espère que Marc a gagné la sienne!
15 kilos, ça me rappelle surtout la place que ça va prendre dans ma cuisine ! Va falloir que je fasse du tri avant de me lancer.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’odeur des tomates qui finissent par mûrir dans le garage. Un mélange de terre et de promesses… J’espère que Marc a trouvé le truc pour éviter la moisissure !
15 kilos, ça me rappelle surtout l’appel du potager! J’espère que Marc a pensé à expliquer comment faire ça sans lumière artificielle.
15 kilos, ça me rappelle surtout mon chat. Il adore se cacher sous les plants de tomates. J’espère que Marc n’a pas ramené de passagers clandestins !
15 kilos, ça me rappelle surtout les espoirs déçus. J’ai déjà essayé, et le résultat était bof. On verra bien si l’astuce de Marc est meilleure.
15 kilos, ça me rappelle surtout la culpabilité. Celle de ne pas avoir semé plus tôt. Espérons que l’astuce de Marc me pardonne cette année !
15 kilos, ça me rappelle surtout le gaspillage évité. Bravo Marc, et merci pour l’astuce anti-déprime du jardinier !
15 kilos, ça me rappelle surtout les soirées d’automne. L’idée de prolonger un peu l’été, même artificiellement, me plaît bien. Je vais tester ça!
15 kilos, ça me rappelle surtout le temps qui passe. L’idée de défier l’automne avec une astuce de menuisier, c’est charmant et un peu désespéré. J’aime bien.
15 kilos, ça me rappelle surtout ma grand-mère. Elle disait toujours que les tomates vertes, c’était bon en confiture ! Marc aurait pu tenter ça, non ?
15 kilos, ça me rappelle surtout que j’ai pas de cave. J’espère que cette technique marche dans un appartement surchauffé, sinon c’est mort.
15 kilos, ça me rappelle surtout mon angoisse de voir mes tomates devenir toutes molles et insipides. J’espère que l’astuce de Marc évite ce désastre.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’odeur de la terre. J’espère que la maison ne va pas sentir le potager pendant des semaines !
15 kilos, ça me rappelle surtout le prix des tomates en hiver. Si ça marche, c’est toujours ça de gagné sur le budget courses !
15 kilos, ça me rappelle surtout le bazar dans la cuisine. Va falloir faire de la place et surtout, que ça ne finisse pas par attirer les moucherons !
15 kilos, ça me rappelle surtout le défi. Réussir à transformer des tomates vertes en rouges, c’est un peu comme transformer le plomb en or, non ? J’imagine le plaisir de la réussite.
15 kilos, ça me rappelle surtout que les tomates du jardin, même vertes, ont un goût incomparable. Espérons qu’elles garderont un peu de ce soleil dans la maison.
15 kilos… Ça me rappelle surtout le goût de la tomate de saison. J’espère que cette technique ne va pas trop altérer la saveur, sinon autant les acheter au supermarché en hiver.
15 kilos, ça me rappelle surtout le gaspillage évité. Bravo Marc, pour l’ingéniosité et la lutte anti-gaspi ! J’espère que l’article expliquera bien la technique.
15 kilos, ça me rappelle surtout que j’ai déjà essayé. La patience est la clé. Si on les entasse trop, gare à la moisissure !
15 kilos, ça me rappelle surtout mon balcon. Trop petit pour tout ça, mais peut-être que quelques-unes survivront. On verra bien !
15 kilos, ça me rappelle surtout mon grand-père. Il faisait ça tous les ans. Jamais vraiment rouges, mais au moins, on avait des tomates en salade jusqu’en décembre. Un goût… particulier.
15 kilos, ça me rappelle surtout la galère des conserves l’année dernière. Si cette méthode évite de se lancer là-dedans, je signe tout de suite.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’odeur de la terre après la pluie. J’espère que cette technique imitera un peu le cycle naturel, sinon, autant faire des confitures de tomates vertes !
15 kilos, ça me rappelle surtout le stress de surveiller la météo à cette période ! Si cette astuce fonctionne vraiment, adieu l’angoisse du gel.
15 kilos, ça me rappelle surtout le bazar que ça va mettre dans ma cuisine. Va falloir trouver de la place ! J’espère que ça ne prendra pas trop de temps avant de mûrir.
15 kilos, ça me rappelle surtout que je n’ai pas de cave. Où vais-je bien pouvoir les entreposer pour qu’elles mûrissent tranquillement ?
15 kilos, ça me rappelle surtout le prix des tomates en plein hiver. Si ça marche, c’est une sacrée économie ! Reste à voir si le jeu en vaut la chandelle niveau temps passé.
15 kilos, ça me rappelle surtout la déception de ne pas avoir réussi à les manger en plein été. J’espère que le goût sera au rendez-vous, même forcées.
15 kilos, ça me rappelle surtout les après-midis à éplucher des tomates pour la sauce. Si ça marche, fini les tomates insipides du supermarché en hiver!
15 kilos, ça me rappelle surtout que les tomates de fin de saison sont souvent gorgées d’eau. J’espère que cette astuce ne va pas empirer la chose.
15 kilos, ça me rappelle surtout le gaspillage évité. J’espère que cette méthode est plus écolo que d’acheter des tomates hors saison qui viennent de l’autre bout du monde.
15 kilos, ça me rappelle surtout l’urgence climatique. J’espère que l’article abordera l’aspect énergétique de cette technique. A-t-on vraiment intérêt à consommer de l’électricité pour faire…
15 kilos, ça me rappelle surtout ma grand-mère et ses remèdes de bon sens. J’espère que cette technique est aussi simple et efficace que les siens, sans matériel compliqué.
15 kilos, ça me rappelle surtout mon balcon. Pas sûr que ça marche aussi bien en appartement qu’en Auvergne, mais je suis prêt à tenter le coup !
15 kilos, ça me rappelle surtout la fierté du jardinier amateur. J’espère que Marc Dubois partagera son secret pour obtenir une telle récolte, au-delà de la simple technique de mûrissage.
15 kilos, ça me rappelle surtout mon chat qui adore jouer avec les tomates vertes. J’espère que Marc a pensé à les mettre hors de portée !
15 kilos, ça me rappelle surtout le goût acide des tomates vertes frites de ma mère. Peut-être une bonne alternative si la technique ne fonctionne pas parfaitement !
15 kilos… ça me rappelle surtout que j’ai déjà essayé de faire ça. Résultat ? Des tomates molles et sans goût. J’espère que Marc a plus de succès que moi !
15 kilos, ça me rappelle surtout le goût du soleil qu’elles n’auront jamais. Mûrissage forcé, goût forcément altéré. On verra bien…
15 kilos, ça me rappelle surtout l’odeur du jardin après la pluie. J’imagine Marc Dubois, le cœur serré, face à ce dilemme. J’espère qu’il réussira, pour le plaisir du goût et le réconfort de l’effort.
15 kilos, ça me rappelle surtout le prix des tomates en supermarché en hiver. Si Marc réussit, il a tout compris ! Vivement la suite de l’article.
15 kilos, ça me rappelle surtout le gaspillage évité. Bravo à Marc, jeter de la nourriture, c’est toujours un crève-cœur.