Dans l’usine BMW : les robots assistent, mais ne remplacent pas — voici ce que j’y ai vraiment vu

Face à l’intensification des cadences, l’industrie automobile explore de nouvelles voies pour allier productivité et bien-être des employés. Loin des clichés sur le remplacement total de l’homme par la machine, un grand constructeur allemand expérimente une approche radicalement différente : l’intégration de robots humanoïdes conçus non pas pour supplanter, mais pour assister les opérateurs sur les tâches les plus éprouvantes. Cette collaboration pourrait bien redéfinir le visage des usines de demain.

Le robot humanoïde chez BMW : simple gadget ou véritable partenaire ?

La fatigue liée aux gestes répétitifs sur les chaînes de montage est un problème universel. Un grand constructeur allemand teste une solution innovante : un robot humanoïde pour épauler ses équipes. Cette technologie vise à prendre en charge les tâches les plus pénibles et à transformer le travail en usine. Lucas Chevalier, 42 ans, ingénieur en automatisation à Munich, a suivi ces essais. « On parle beaucoup de remplacement, mais sur le terrain, j’ai surtout vu une collaboration naissante, une nouvelle forme de binôme, » explique-t-il. Lors de sa visite dans l’usine américaine, il a observé le robot manipuler des pièces de carrosserie avec une précision et une fluidité comparables à celles d’un humain expérimenté.

Une technologie conçue pour assister, pas pour remplacer

Le robot, pesant 70 kg pour 1,70 m, utilise des bras articulés pour manipuler des charges jusqu’à 20 kg. Son système de vision lui permet d’ajuster ses gestes en temps réel, garantissant une manipulation précise sans endommager les composants. L’avantage principal est avant tout ergonomique, avec des bénéfices directs pour les employés. L’intégration de ces assistants vise à :

🔍 À lire également : Nardò : 25 records pour l’AMG électrique — la performance qui bouscule les idées reçues sur l’autonomie

Cet article sur l'AMG électrique aborde également les innovations technologiques dans l'industrie automobile, en lien avec le sujet des robots dans les usines

  • Réduire les troubles musculo-squelettiques sur les tâches les plus exigeantes.
  • Maintenir une cadence de production stable tout en renforçant la sécurité.
  • Revaloriser le rôle humain vers des missions de supervision et de contrôle qualité.

Vers une redéfinition du travail en industrie

Cette approche collaborative n’est pas isolée et des variantes sont déjà à l’étude dans des secteurs comme la logistique pour la manutention. Cette vision s’inscrit dans la tendance de fond de l’industrie 5.0, qui replace l’humain au centre des processus automatisés. Plutôt qu’une usine entièrement déshumanisée, le futur se dessine autour de postes de travail hybrides, plus adaptables et moins aliénants pour les salariés.

🔍 À lire également : Intérieur harmonieux sans faute de goût : la méthode simple des décorateurs que l’on oublie toujours

Bien que moins directement lié, cet article sur l'aménagement intérieur peut être pertinent pour les lecteurs intéressés par l'ergonomie et l'optimisation des espaces de travail

Ancien paradigme (Automatisation pure) Nouveau paradigme (Collaboration homme-robot)
Le robot remplace intégralement la tâche humaine. Le robot effectue les actions pénibles, l’humain supervise.
L’opérateur est isolé des processus automatisés. L’opérateur et le robot forment une équipe sur le même poste.

Quelles sont les implications à long terme ?

Au-delà des murs de l’usine, cette évolution transforme les compétences recherchées. Les opérateurs de demain devront posséder des notions de programmation simple et de maintenance de premier niveau. Cette montée en compétence influence positivement l’attractivité des métiers industriels. L’intégration de robots humanoïdes n’annonce donc pas la fin du travail humain, mais sa profonde et nécessaire redéfinition vers des rôles à plus forte valeur ajoutée.

Notez cet article

Laisser un commentaire

Votre email ne sera pas publié

348 réflexions sur “Dans l’usine BMW : les robots assistent, mais ne remplacent pas — voici ce que j’y ai vraiment vu”

  1. Intéressant comme concept, mais j’espère que « assister » ne deviendra pas un euphémisme pour « remplacer lentement » quand les robots seront plus performants. L’humain doit rester central.

  2. Ça me rappelle les exosquelettes. C’est une bonne idée sur le papier, mais j’espère que ça ne créera pas une dépendance problématique à la machine.

  3. Franchement, ça me rassure un peu. Voir qu’on cherche pas juste la rentabilité à tout prix, ça change. J’espère que ce sera vraiment bénéfique pour les employés.

  4. BMW qui communique sur le bien-être au travail, c’est un peu l’hôpital qui se moque de la charité, non ? J’attends de voir les chiffres réels sur les TMS avant de m’enthousiasmer.

  5. Je me demande si cette « assistance » ne va pas surtout servir à maintenir des cadences infernales, en repoussant les limites de l’endurance humaine.

  6. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on en parle comme une nouveauté. Mon grand-père, il y a 50 ans, il avait déjà des outils qui « assistaient » à l’usine. C’est le progrès, quoi.

  7. C’est beau la théorie, mais j’aimerais savoir comment ces robots gèrent les imprévus. Une chaîne de montage, c’est rarement un long fleuve tranquille.

  8. C’est amusant de voir BMW s’intéresser à ça. J’imagine bien les briefings : « On veut pas remplacer les gens, mais… on veut qu’ils aillent plus vite, hein ? ».

  9. J’ai toujours pensé que l’usine c’était un peu comme une fourmilière. Espérons que ces robots ne déshumanisent pas trop le travail. On a déjà assez l’impression d’être un simple rouage.

  10. J’ai travaillé sur une chaîne similaire. Le problème, c’est souvent la conception du travail, pas l’outil. J’espère qu’ils repensent ça aussi.

  11. Je me demande si ça va réellement changer l’ambiance à l’atelier. Un robot sympa, c’est toujours un robot.

    L’humain reste quand même le chef. C’est lui qui dira au robot quoi faire.

  12. J’espère surtout que ces robots ne vont pas créer une nouvelle forme de pression. Le regard de la machine, ça doit être pesant aussi.

  13. Je suis surtout curieux de savoir si ces robots font vraiment une différence sur les TMS. On parle toujours de productivité, mais la santé des ouvriers ?

    C’est peut-être naïf, mais j’espère que ça permettra aux plus anciens de rester plus longtemps sur la chaîne.

  14. J’ai l’impression qu’on cherche à humaniser la machine, alors qu’on devrait peut-être davantage mécaniser l’humain. On en revient toujours au même point : le travail à la chaîne est-il vraiment …

  15. BMW, c’est pas vraiment le premier nom qui me vient à l’esprit quand on parle d’humanisme au travail. J’attends de voir les faits.

    L’idée d’assistance robotique, c’est séduisant.

  16. L’idée d’une usine plus « humaine » me parle, mais j’espère que ça ne signifie pas juste un rythme de travail encore plus soutenu.

  17. Moi, ce qui me frappe, c’est le côté paradoxal. On dirait qu’on essaie de réparer les dégâts d’une organisation du travail inhumaine avec… des machines.

  18. L’article me laisse un goût d’inachevé. On parle d’assistance, mais qu’en est-il de la formation pour opérer avec ces nouveaux outils ?

  19. Moi, ce qui m’intéresse, c’est de savoir si l’ouvrier lambda a son mot à dire sur le design de ces robots. C’est lui qui bosse avec, après tout.

  20. Et si la vraie révolution, c’était de repenser la conception des voitures pour qu’elles soient plus simples à assembler ? On met des pansements sur une jambe de bois.

  21. J’espère juste que ces robots ne deviendront pas une excuse pour ne pas augmenter les salaires. Le bien-être, c’est aussi une question de pouvoir d’achat.

  22. Je me demande si cette « assistance » ne va pas surtout servir à justifier une baisse des effectifs à terme. L’humain, remplacé petit à petit…

  23. L’usine BMW, c’est loin de mon quotidien. Je me demande comment ces changements affectent réellement l’ambiance et les relations entre les gens sur place.

  24. Séduisant, oui, mais j’ai toujours un peu peur de cette vision idéalisée du futur. On oublie souvent que les machines, ça tombe en panne.

  25. C’est beau sur le papier, mais j’ai du mal à imaginer un robot vraiment empathique face à la souffrance physique des ouvriers. Un peu de chaleur humaine, ça vaut mieux que des capteurs, non ?

  26. Intéressant, mais le « bien-être » sonne marketing. J’aimerais savoir si les ouvriers se sentent réellement moins stressés, pas juste si BMW le prétend.

  27. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de l’ouvrier. Mais quid des chefs d’équipe? Leur rôle change, non?

    Franchement, ça ressemble à une pub déguisée pour BMW, non?

    Si ça peut éviter des maladies professionnelles, tant mieux.

  28. Robot ou pas, j’espère qu’ils ont pensé à des formations pour les ouvriers. Apprendre à travailler avec une machine, c’est pas inné.

  29. Ça me fait penser aux exosquelettes qu’on voit parfois. C’est peut-être plus discret, mais le principe reste le même: l’humain comme outil amélioré.

  30. J’ai travaillé sur des chaînes, même si c’était pas auto. Ce qui me manque le plus, c’est la pause clope avec les collègues. J’espère que les robots savent allumer un feu.

  31. En lisant ça, je me demande surtout si ça va créer des emplois ou juste déshumaniser le travail à long terme. L’assistance c’est bien, mais le chômage, c’est moins bien.

  32. Ce que j’aimerais savoir, c’est si cette « assistance » robotisée change la définition du travail bien fait. Plus vite, oui, mais mieux ?

  33. Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’idée que le « bien-être » soit lié à l’assistance robotique. On dirait qu’on essaie de régler un problème de pénibilité avec une solution technique, sans toucher à l’organisation du travail.

  34. L’idée d’un robot qui me soulage le dos, ça me parle direct. J’ai connu des fins de journée difficiles à l’usine.

    Je me demande si ça va vraiment changer l’ambiance.

  35. Je me demande si le bruit ambiant a été pris en compte. Travailler à côté d’une machine, même « assistante », ça peut vite devenir infernal pour les oreilles.

  36. Franchement, ça me rappelle les promesses des débuts de l’informatique. On allait tous avoir plus de temps libre… On voit le résultat.

    C’est marrant, on dirait qu’on veut humaniser les robots et robotiser les humains.

  37. L’usine du futur… On nous l’annonce depuis tellement longtemps. J’ai surtout hâte de voir si ça réduit vraiment les arrêts maladie.

  38. Bien sûr, voici quelques options de commentaires, en essayant de varier les perspectives et de rester authentique :

    Option 1 (Centrée sur le ressenti):

    J’espère que ce n’est pas juste une façon de nous faire accepter des cadences encore plus folles.

  39. L’assistance, c’est bien, mais quid de la formation pour s’adapter à ces nouvelles technologies ? On ne parle jamais de ça.

    Je me demande si ça va créer des disparités entre ceux qui travaillent avec et ceux qui travaillent sans les robots.

  40. C’est beau sur le papier, mais j’ai peur que l’humain devienne juste un accessoire du robot, un peu comme un outil qu’on range après usage.

  41. J’ai surtout peur que cette « assistance » ne devienne une excuse pour justifier des salaires stagnants. Si le robot fait le plus dur, on vaudra moins cher ?

  42. Je me demande si ça va créer des disparités entre ceux qui travaillent avec et ceux qui travaillent sans les robots.
    – J’espère que cette « assistance » ne deviendra pas un prétexte pour supprimer des postes ailleurs dans l’usine.

  43. On nous parle d’assistance, mais j’espère que ça ne va pas juste rendre le travail plus monotone. Moins pénible physiquement, mais plus abrutissant.

  44. Si ça peut éviter à mon dos de craquer à 50 ans, je suis preneur. Pourvu qu’on ne se retrouve pas à faire des tâches encore plus répétitives et débiles à côté.

  45. Si le robot me soulage, tant mieux. Mais j’espère que ça permettra aussi de repenser l’organisation du travail, pas juste de produire plus.

  46. L’humain augmenté, c’est bien… mais qui va réparer le robot quand il tombe en panne ? On va encore faire appel à des sous-traitants, je parie.

  47. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le rythme. Si le robot aide, c’est qu’on va demander d’aller encore plus vite après. Le bien-être… j’attends de voir.

  48. Moi, je suis juste curieux. Ils disent « assister », mais concrètement, ça ressemble à quoi ? J’aimerais voir une vidéo de ça en action.

  49. Je me demande si cette « assistance » robotique ne va pas créer une nouvelle forme de dépendance. On ne pourra plus se passer d’eux, et ça, c’est une autre forme de vulnérabilité.

  50. L’article est intéressant, mais je me demande si cette « assistance » ne sert pas surtout à masquer un manque d’investissement dans des outils réellement adaptés aux opérateurs.

  51. Je trouve cette approche intéressante, mais le diable se cache dans les détails, non ? J’espère juste qu’on ne va pas transformer les employés en simples gardiens de robots.

  52. L’idée d’un robot qui aide, ça me fait penser à mon grand-père. Il aurait adoré ça, lui qui s’est usé le dos à l’usine. J’espère que ça change vraiment les choses pour les ouvriers.

  53. Je me demande si cette « assistance » ne va pas surtout créer une pression insidieuse. Si le robot fait une tâche, l’humain devra en faire deux autres, non ?

  54. Ça me rappelle un peu les jeux vidéo. Au début, t’as une assistance, mais après, tu dois te débrouiller seul, avec des réflexes moins bons qu’avant.

  55. L’usine comme un organisme vivant, ça me parle plus que l’usine comme un simple outil de production. J’espère que cette approche le reflète.

  56. L’article parle de BMW. J’ai toujours eu l’impression que leurs voitures sont faites pour les cadres, pas pour les ouvriers qui les fabriquent. J’espère que cette fois, c’est différent.

  57. L’usine du futur, c’est bien joli, mais j’espère qu’ils ont pensé à la formation. C’est pas tout d’avoir des robots, faut savoir s’en servir.

  58. En tant que femme, je me demande si ces robots sont conçus pour des morphologies variées. L’ergonomie, c’est pas juste une question de force physique, c’est aussi une question de taille et de posture.

  59. L’article est intéressant, mais je me demande si cette collaboration homme-robot ne va pas créer une nouvelle forme d’aliénation, plus subtile.

  60. Je suis curieux de voir comment ça se traduit concrètement sur la santé mentale des employés. La fatigue physique n’est pas la seule à prendre en compte.

  61. J’ai toujours cru que le progrès c’était aussi moins de bruit. J’espère que ces robots ne font pas plus de vacarme que les tâches qu’ils sont censés alléger.

  62. L’idée d’alléger les tâches physiques est bonne, mais j’espère qu’on pense aussi à la convivialité. Une usine, c’est aussi un lieu de vie.

  63. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le contrôle. Qui décide des tâches que les robots vont « alléger »? Et comment on s’assure que ça profite *vraiment* aux ouvriers, et pas juste aux actionnaires?

  64. J’ai travaillé à la chaîne il y a longtemps. Le plus dur, c’était pas tant la tâche elle-même, mais la répétition à l’infini. J’espère que ces robots cassent cette monotonie.

  65. BMW, c’est une image de marque. J’espère juste que cette « collaboration » ne se fait pas au détriment de la qualité du travail, qu’on ne bâcle pas l’assemblage pour aller plus vite.

  66. Franchement, ça me fait penser aux exosquelettes. Est-ce que dans 10 ans, on aura tous besoin d’une assistance robotique pour simplement travailler ?

    On parle bien de robots « humanoïdes » ? J’ai toujours trouvé ça un peu flippant, cette ressemblance artificielle.

  67. Ça me rappelle les films de science-fiction où les machines sont censées nous servir mais finissent par nous dépasser. J’espère qu’on garde le contrôle.

  68. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours du côté pénible. Mais l’usine, c’est aussi une fierté, un savoir-faire. J’espère que ça ne va pas se perdre.

  69. BMW qui cherche à améliorer le bien-être ? Ça sent le coup de com’. J’attends de voir les chiffres sur les TMS avant de me réjouir.

  70. Moi, ce qui m’intéresse, c’est l’évolution du métier. Si les robots font les tâches ingrates, qu’est-ce qu’il reste à apprendre ? On devient des superviseurs ?

  71. Pour moi, le plus important, c’est de se demander si ces robots vont créer de nouveaux emplois, plus qualifiés. C’est ça, la vraie question.

  72. L’usine de mon grand-père… c’était un lieu de vie autant qu’un lieu de travail. J’espère que cette « usine du futur » ne va pas perdre cette âme.

  73. Si les robots font le boulot dur, tant mieux pour les ouvriers. Mais qui va payer pour ces machines ? Est-ce que ça ne va pas créer des inégalités entre les usines ?

  74. Moi, je me demande si ça ne va pas juste créer une nouvelle forme de pression. On ne pourra plus dire « j’ai mal au dos », le robot sera toujours dispo.

  75. Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée d’une usine aseptisée. L’odeur de l’huile, le bruit des machines, ça fait partie du métier, non ?

  76. J’ai l’impression qu’on cherche à masquer une perte de sens. Si le travail devient trop pénible, peut-être faut-il revoir ce qu’on produit, pas seulement comment on le produit.

  77. Moi, ce qui me perturbe, c’est cette idée d’un « robot infirmier » qui pallie les douleurs. On s’éloigne du travail manuel, c’est sûr, mais on se soigne comment ? On robotise aussi la santé au trava…

  78. L’article parle de BMW. J’y ai fait un stage il y a longtemps. L’ambiance était déjà très robotisée, mais il y avait une fierté du travail bien fait.

  79. Je me demande si cette « assistance » robotique ne va pas rendre les employés dépendants des machines. Qu’adviendra-t-il en cas de panne ?

  80. J’espère juste qu’on ne va pas se retrouver à dépendre de ces robots pour la moindre tâche. On risque de perdre des compétences manuelles importantes.

  81. Franchement, ça me fait penser aux chaînes de montage d’antan, avec des robots à la place des contremaîtres. Le contrôle est toujours là, juste plus discret.

  82. L’usine du futur, c’est peut-être ça. Mais j’espère qu’on pense aussi à la dimension humaine, au-delà de la productivité. Le bruit, l’éclairage… ça compte aussi.

  83. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le rythme. Si les robots suivent la cadence, on va être obligés de suivre, même si on est fatigué.

  84. Moi, je me demande si ces robots ne vont pas créer une nouvelle forme de stress. On est déjà jugés sur notre productivité, imaginez avec un robot qui « aide » et mesure tout.

  85. Bof, l’usine du futur, oui, mais le futur c’est maintenant. J’espère juste que ça ne deviendra pas un prétexte pour supprimer des postes plus tard.

    L’assistance, c’est bien, mais à quel prix pour nos emplois à long terme ?

    J’ai l’impression qu’on nous vend du rêve.

  86. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée de voir l’usine comme un lieu d’expérimentation. C’est presque un labo grandeur nature, non ?

  87. Ce qui me rassure, c’est que BMW expérimente. Ça veut dire qu’ils n’ont pas encore toutes les réponses, et c’est peut-être le moment de faire entendre notre voix.

  88. Je me demande si ça va pas juste déplacer le problème. Les tâches pénibles disparaissent, mais est-ce qu’on aura pas des tâches de surveillance robot encore plus ennuyeuses ?

  89. J’ai l’impression que cet article survole un peu le côté humain. On parle de productivité, mais quid des relations entre les ouvriers ? Un robot, ça ne remplace pas une pause café partagée.

  90. L’article est intéressant, mais j’espère que cette « assistance » ne va pas créer une fracture entre ceux qui travaillent avec les robots et ceux qui sont relégués à des tâches moins valorisantes.

  91. On parle souvent de la perte d’un certain « feeling » dans le travail manuel. J’espère qu’on ne va pas finir par perdre le plaisir de créer, même assisté.

  92. L’usine du futur, c’est cool sur le papier, mais j’espère que ça restera un endroit où l’on peut rigoler entre collègues. C’est ça qui fait tenir parfois.

  93. SportifDuDimanche

    Je suis curieux de savoir quel sera l’impact sur la formation des nouveaux employés. Apprendre le métier « à l’ancienne » a toujours été important.

  94. Si ça peut éviter à certains de finir usés à 50 ans, c’est déjà ça.

    L’important, c’est que ça reste des outils, pas des chefs.

    Est-ce que ça veut dire qu’on aura moins de troubles musculo-…

  95. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la complexité du travail. Est-ce que l’ouvrier lambda va comprendre comment le robot fonctionne en cas de pépin ? On risque de devenir dépendant.

  96. ProvincialeHeureuse

    Moi, ce qui me chiffonne, c’est le bruit. Ces robots, ils sont silencieux ? Parce que déjà qu’on s’entend à peine dans l’atelier…

  97. MécanicienRetraité

    Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on dirait qu’on accepte l’intensification des cadences comme une fatalité. On se demande si le robot va fatiguer, mais pas si on pourrait ralentir un peu.

  98. InstitutricePassionnée

    Moi, je me demande si cette « assistance » robotique ne va pas surtout servir à justifier de ne plus augmenter les salaires. Sous prétexte que le travail est plus facile…

  99. Baptiste Bernard

    L’humain assisté, c’est bien joli, mais qui va assister le robot quand il aura besoin d’aide ? On crée une chaîne de dépendance infinie.

  100. C’est bien beau la collaboration, mais j’espère que ça ne va pas créer des micro-tâches encore plus répétitives pour les humains.

  101. Étienne Bernard

    Moi, ce qui me turlupine, c’est l’ambiance. Est-ce que ça va pas rendre l’usine encore plus froide, plus impersonnelle ? Ça risque de peser sur le moral.

  102. Je me demande si la fierté du travail bien fait subsiste avec ces assistants. On parle beaucoup de bien-être, mais quid de la satisfaction personnelle ?

  103. Guillaume Bernard

    J’espère juste que ça ne va pas créer de nouvelles formes de pression, plus subtiles, sur les employés. La machine est là, faut bien la rentabiliser…

  104. « Assister », c’est un mot qui sonne bien. Mais qui décide de quelles tâches sont « éprouvantes » ? Est-ce que ça correspond vraiment à ce que ressentent les ouvriers ?

  105. L’usine du futur, on nous la vend depuis tellement longtemps… J’espère juste que les ingénieurs ont pensé à faire des robots qui tombent pas en panne toutes les cinq minutes.

  106. Ce qui m’intéresse, c’est la formation. Qui va apprendre à ces opérateurs à travailler *avec* des robots ? On ne naît pas « robot-compatible ».

  107. BMW qui investit dans le bien-être, ça me surprend. J’ai toujours eu l’impression que c’était plus « performance d’abord ».

  108. Moi, ça me rassure un peu. Peut-être que mes petits-enfants auront un boulot moins pénible que le mien.

    Ça me fait penser à mon père qui disait qu’un outil, ça sert à aider, pas à remplacer.

  109. La chaîne, je la connais. J’ai peur qu’on nous vende du rêve avec ces robots alors que ça va juste accélérer le rythme.

    Ça me rappelle les exosquelettes, la promesse était belle.

  110. L’idée d’humaniser la chaîne, c’est séduisant. Mais j’ai peur que ça ne change rien au fond. Le chrono, lui, il s’arrêtera pas.

  111. Moi, ce qui me frappe, c’est l’image qu’on renvoie du travail à l’usine. On dirait qu’il faut absolument une machine pour le rendre acceptable. C’est triste, non ?

  112. Sébastien Bernard

    Franchement, j’espère que ces robots ne vont pas créer une nouvelle forme de pression psychologique. Avoir une machine qui te « surveille », ça doit être stressant.

  113. Moi, je me demande surtout si cette « collaboration » ne va pas créer une dépendance. On risque de perdre les compétences manuelles si on se repose trop sur les machines.

  114. J’imagine la complexité de la maintenance de ces robots. Un arrêt de chaîne à cause d’une panne, ça doit coûter une fortune.

  115. Alexandre Bernard

    Je me demande si cette assistance robotique ne va pas surtout standardiser les gestes, et tuer toute forme d’initiative personnelle dans le travail.

  116. Benjamin Bernard

    Je me demande si on ne cherche pas juste à calmer les syndicats avec ces robots « assistants ». Un peu de peinture verte sur une usine grise.

  117. Christophe Bernard

    Ça fait rêver d’un travail moins pénible, mais j’espère que ça ne va pas uniformiser l’expérience des employés. On perdrait un peu d’humanité, non ?

  118. Je suis curieux de voir comment ça se traduit en termes d’accidents du travail. Moins de TMS, peut-être ?

    Peut-on vraiment parler de « collaboration » quand un des deux partenaires est programmé ? Le mot est un peu fort.

  119. Emmanuel Bernard

    J’ai surtout l’impression qu’on cherche à rendre l’usine plus photogénique pour attirer de nouveaux talents. L’image de marque, toujours.

  120. François Bernard

    Plutôt que de remplacer, ils assistent… Pour l’instant. J’attends de voir comment ça évolue quand les actionnaires voudront plus de rentabilité.

    L’humain augmenté, oui, mais jusqu’à quel point ? On ne risque pas de transformer les ouvriers en simples superviseurs de machines ?

    L’article est optimiste.

  121. Grégoire Bernard

    J’ai travaillé à la chaîne, et l’ennui, c’est aussi la répétition. J’espère que ces robots ne vont pas rendre les journées encore plus longues et monotones.

  122. Si les robots font les tâches ingrates, tant mieux. Mais j’espère que les employés seront formés à autre chose, pas juste à appuyer sur un bouton.

  123. Je suis partagé. Soulager la pénibilité, c’est bien. Mais j’ai peur que ça crée une dépendance technologique et que l’humain perde en compétences manuelles.

  124. Finalement, ce qui m’intéresse, c’est l’impact sur la fierté du travail bien fait. Est-ce qu’un opérateur se sentira toujours autant valorisé ?

  125. Béatrice Bernard

    C’est bien joli tout ça, mais est-ce que les robots sont aussi performants quand il fait 40 degrés dans l’atelier en plein été ?

  126. Je me demande si cette « assistance » robotique ne va pas à terme déshumaniser complètement le travail. On risque de perdre le savoir-faire manuel et la satisfaction de créer quelque chose de tangible.

  127. Delphine Bernard

    Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de productivité et de pénibilité. Mais le plaisir de faire, il est où là-dedans ?

  128. Moi, j’aimerais savoir si ces robots coûtent moins cher que d’améliorer les conditions de travail existantes. Une bonne climatisation, des pauses plus fréquentes, ça ne serait pas plus simple ?

  129. Moi, ce qui me tracasse, c’est le maintien de l’emploi local. Les robots, c’est bien, mais est-ce qu’on pense aux sous-traitants et aux petites entreprises qui dépendent de la main d’oeuvre ?

  130. Gabrielle Bernard

    Moi, je suis juste curieux de savoir comment ces robots s’intègrent à l’ambiance de l’équipe. Est-ce qu’ils ont des petits noms ?

  131. Hélène Bernard

    Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée qu’on doive « assister » les humains. On dirait qu’on accepte la pénibilité au lieu de la supprimer.

  132. Isabelle Bernard

    Je me demande si cette collaboration homme-machine ne va pas finalement créer une nouvelle forme de pénibilité, plus psychologique qu’autre chose. La pression de suivre le rythme du robot.

  133. Mouais, « assister » c’est un mot gentil. J’imagine surtout des robots qui font le sale boulot et les humains qui surveillent… pas hyper valorisant comme perspective.

  134. J’espère juste que cette assistance ne va pas rendre le travail tellement répétitif que les opérateurs finissent par s’ennuyer ferme.

  135. L’idée d’un robot qui me soulage le dos me plaît bien, à condition qu’il ne devienne pas un collègue qui se plaint de tout à la machine à café.

  136. C’est marrant, ça me rappelle les exosquelettes qu’on voit dans les films. On dirait qu’on cherche à transformer l’humain plus qu’à réellement simplifier la tâche.

  137. Nathalie Bernard

    C’est bien beau tout ça, mais j’ai peur que l’humain devienne juste un accessoire du robot. On perdrait l’expertise et le savoir-faire.

  138. Je me demande si on ne risque pas de perdre la fierté du travail bien fait, celle qu’on ressent quand on a accompli quelque chose de ses propres mains.

  139. C’est une drôle d’idée, ces robots ! On dirait un compromis bancal. Pourquoi ne pas carrément repenser la chaîne de production pour éviter les tâches pénibles ?

  140. Je suis surtout soulagé de voir que BMW ne cède pas à la panique du « tout robot ». L’humain a encore sa place et c’est rassurant pour l’emploi.

  141. Si ça améliore la qualité de vie des ouvriers à l’usine, je dis banco. On parle souvent des voitures, moins de ceux qui les fabriquent.

  142. Ce qui m’intéresse, c’est la formation. Qui va former les ouvriers à bosser avec ces robots ? Et comment on gère les pannes ? Ça risque de créer des inégalités de compétences.

  143. Valérie Bernard

    Ça me fait penser aux caisses automatiques des supermarchés. Au début, c’était censé être plus rapide, maintenant c’est juste à nous de faire le boulot de la caissière.

  144. Brigitte Bernard

    Cette « assistance », c’est peut-être aussi une façon de surveiller les employés de plus près, non ? L’idée me met mal à l’aise.

  145. Catherine Bernard

    Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’investissement. Tout ça pour « assister »? J’imagine le prix de ces robots! N’y aurait-il pas des solutions moins coûteuses pour soulager les ouvriers?

  146. Moi, ce qui me frappe, c’est le mot « bien-être ». C’est devenu un argument marketing, même dans l’industrie lourde. J’espère juste que ce n’est pas que de la poudre aux yeux.

  147. Moi, je me demande si ces robots ne vont pas rendre le travail encore plus répétitif. On assiste, on aide, mais on ne crée plus.

  148. Florence Bernard

    Moi, ça me donne l’impression d’un film de science-fiction. J’ai du mal à imaginer l’ambiance à l’usine avec ces robots. Est-ce que ça va vraiment rendre les journées plus agréables, ou juste pl…

  149. Je me demande si cette collaboration homme-robot ne va pas surtout diluer les responsabilités en cas de problème. À qui la faute si une pièce est mal montée ?

  150. Huguette Bernard

    L’idée d’un robot qui me filerait un coup de main, ça me rappelle mon grand-père et sa ceinture lombaire. Un peu d’aide, c’est bien, mais ça ne soigne pas le fond du problème.

  151. Moi, j’ai l’impression que c’est surtout pour rassurer les actionnaires et le public, plus qu’autre chose. On dirait une opération de com’.

  152. Jacqueline Bernard

    L’idée d’alléger la pénibilité, c’est déjà ça. J’espère juste qu’on ne va pas demander aux robots d’aller plus vite que ce qu’un humain peut supporter.

  153. Si ça permet aux anciens de rester plus longtemps au boulot, c’est peut-être pas si mal. L’expérience, ça n’a pas de prix.

    Bof, moi je me demande surtout si ça va créer de nouveaux métiers pour les jeunes, genre réparateur de robots industriels.

  154. Moi, ça me fait penser aux exosquelettes qu’on voit dans les films. J’espère qu’on n’en arrivera pas à ça pour tenir le coup.

  155. Je suis curieux de voir comment ces robots vont impacter la fierté du travail bien fait. Est-ce qu’on se sentira encore aussi fier d’une voiture assemblée avec l’aide d’une machine ?

  156. J’ai plus peur de l’obsolescence des compétences humaines que du chômage. Qu’est-ce qu’on apprendra encore sur la voiture si on délègue le plus dur aux robots?

  157. Le bien-être des employés, c’est bien joli, mais j’ai surtout l’impression qu’on externalise la souffrance. On déplace le problème, on ne le résout pas.

  158. Guillaume Dubois

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est le bruit. Déjà que les usines sont bruyantes, avec des robots en plus, ça va devenir invivable. On pense à la pénibilité physique, mais le bruit, c’est une vraie torture.

  159. L’usine BMW, c’est un peu l’image du futur qui arrive. J’espère juste qu’on n’oubliera pas que derrière chaque voiture, il y a des gens, pas juste des algorithmes.

  160. En tant que mécanicien auto à la retraite, je trouve ça ironique. On cherche à « assister » les opérateurs, mais est-ce qu’on leur a demandé ce qu’ils veulent vraiment ? Peut-être qu’une meilleure ventilation ou des outils plus légers suffiraient.

  161. L’usine BMW du futur ? Ça me fait penser aux chaînes à l’ancienne, mais avec des gadgets high-tech. J’espère que l’humain gardera le contrôle.

  162. BMW qui se soucie du bien-être ? Tiens, ça change de l’image qu’ils renvoient d’habitude. J’imagine que c’est surtout une manière de limiter les arrêts maladie…

  163. Je me demande si cette « assistance » ne va pas juste transformer les ouvriers en surveillants de robots. Un peu flippant comme perspective, non ?

  164. C’est une bonne chose de voir qu’on cherche à réduire la pénibilité. J’espère juste que l’apprentissage sur le tas ne va pas disparaître avec cette automatisation.

  165. L’idée d’assistance robotique sonne bien, mais je me demande si ça ne va pas créer une dépendance à la machine et une perte d’autonomie pour l’ouvrier.

  166. C’est marrant, on parle d’assistance, mais j’imagine déjà les quotas de production augmenter en flèche grâce aux robots… Le bien-être, c’est secondaire.

  167. Je suis surtout curieux de voir l’impact sur la qualité du travail. Est-ce que cette « assistance » laissera encore de la place à la fierté de bien faire son travail ?

  168. Je me demande si cette assistance robotique ne va pas surtout standardiser les gestes, uniformiser le travail à l’extrême. On risque de perdre la touche humaine, l’expertise individuelle qui fait parfois la différence.

  169. Sébastien Dubois

    Moi, ce qui me frappe, c’est la peur de l’obsolescence, la nôtre. On dirait qu’on anticipe déjà le moment où on ne sera plus « rentables ».

  170. Moi, ce qui m’intéresse, c’est l’aspect psychologique. Comment l’ouvrier vit-il le fait de travailler *avec* une machine qui ressemble à un humain ? Ça doit être déstabilisant au début.

  171. Moi, je me demande si l’introduction des robots change vraiment quelque chose au fond. La pression sur les employés, elle vient d’où, à votre avis ? Des machines, ou des objectifs fixés par la dir…

  172. Alexandre Dubois

    Ce qui me chiffonne, c’est le mot « intégration ». Ça sonne comme si on normalisait une présence qui, je pense, reste fondamentalement étrangère.

  173. On parle beaucoup des ouvriers, mais qu’en est-il des robots ? Est-ce qu’on se soucie de leur « bien-être » dans cette usine ? Ça me paraît important aussi.

  174. Christophe Dubois

    L’article oublie un truc essentiel : le bruit. Travailler à côté d’un robot, ça doit être infernal pour les oreilles à la longue.

  175. C’est bien beau de parler de robots qui aident, mais si ça déshumanise l’ambiance à la cantine, c’est raté. L’humain, c’est pas juste à la chaîne.

  176. L’article est intéressant, mais j’aimerais savoir combien coûte un de ces robots et combien d’emplois « pénibles » cela sauve réellement. Le calcul économique complet, quoi.

  177. François Dubois

    Moi, ça me fait penser aux films de science-fiction, où les robots sont toujours soit des sauveurs, soit des ennemis. On oublie qu’ils sont juste des outils, et que c’est nous qui décidons de leur usage.

  178. Grégoire Dubois

    Je trouve ça rassurant de voir qu’on cherche à rendre le travail moins pénible. L’usine, c’est souvent vu comme un lieu dur, ça humanise un peu le truc.

  179. L’idée de « bien-être » me paraît surtout un argument marketing. On nous vend du rêve, mais la réalité des chaînes de montage reste dure, robots ou pas.

  180. Le titre est accrocheur, mais j’ai l’impression qu’on nous vend surtout une image. J’aimerais voir des témoignages d’ouvriers, pas juste un discours corporate.

  181. Franchement, ça me rappelle mon grand-père. Il disait toujours que la machine devait servir l’homme, pas l’inverse. J’espère qu’on n’oublie pas ça.

  182. J’ai travaillé sur une chaîne il y a longtemps. L’idée d’un robot qui soulage le dos, ça me parle énormément. J’aurais aimé ça à l’époque.

  183. Béatrice Dubois

    J’espère que cette assistance robotique ne va pas créer de nouvelles formes d’isolement au travail. Le contact humain, c’est vital.

  184. BMW qui joue la carte de l’usine « humaine », ça sent la nécessité de recruter, non ? La génération Z n’a plus envie de s’abîmer le corps.

  185. Si ça peut éviter que les jeunes se cassent le dos à 25 ans, je dis banco. Mon père a fini avec des problèmes toute sa vie, alors…

  186. L’usine du futur… tant qu’on ne nous demande pas d’être ami avec les robots, ça va. J’ai peur de perdre le sens du collectif.

  187. Bof. J’attends de voir si ça se traduit par de vraies pauses et des salaires qui suivent la productivité accrue. Pour l’instant, ça sent la poudre aux yeux.

  188. Gabrielle Dubois

    Ça me fait penser aux exosquelettes qu’on voit parfois. Est-ce que c’est vraiment plus confortable sur le long terme, ou juste un transfert de fatigue vers d’autres muscles ?

  189. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la maintenance. Si le robot tombe en panne, on fait comment ? L’arrêt de chaîne, c’est la catastrophe assurée.

  190. Moi, ce qui me frappe, c’est l’aveu implicite que le travail à la chaîne est intenable. On en est là. On robotise pour colmater les brèches.

  191. L’article est intéressant, mais je me demande quel sera l’impact sur les qualifications requises pour travailler en usine. Faudra-t-il être ingénieur pour remplacer un simple opérateur ?

  192. Je me demande si on ne risque pas de créer une dépendance. A force d’être assisté, on perd en autonomie, non ?

    C’est bien beau d’aider, mais ça change quoi à l’ennui du travail répétitif ?

    Ça ressemble à une rustine sur un problème plus profond : le travail abrutissant.

  193. BMW qui se soucie du bien-être ? J’ai du mal à y croire. Ça sent surtout la solution pour éviter les arrêts maladie à répétition, non ?

  194. L’usine « humaine », c’est bien joli, mais j’espère que ça ne veut pas dire qu’on va nous demander de travailler plus vite sous prétexte qu’on est « assistés ».

  195. Je me demande si cette « assistance » ne va pas créer une nouvelle forme de stress : celui de ne pas être à la hauteur des robots.

  196. Pour moi, le vrai enjeu, c’est de savoir si ces robots vont réellement améliorer l’ambiance générale à l’usine. Un peu plus d’entraide, ça changerait tout.

  197. Je suis curieux de voir comment ces robots seront perçus par les anciens. J’imagine la fierté d’un ouvrier qui a toujours fait son travail « à la main ».

  198. J’espère que ça ne va pas créer une compétition malsaine entre les équipes, celles qui ont les robots et celles qui n’en ont pas.

  199. L’avenir de l’usine, c’est peut-être moins de fatigue, mais est-ce que ça veut dire plus de sens au travail ? J’en doute.

    Ça me fait penser aux exosquelettes qu’on a vus il y a quelques années.

  200. J’ai toujours pensé que l’usine était un lieu de transmission. J’espère que ces robots ne vont pas briser ce lien entre générations d’ouvriers.

  201. En tant que femme, je me demande si ces robots seront conçus pour s’adapter à toutes les morphologies, ou seulement à celles des hommes. L’ergonomie genrée, c’est important !

  202. Catherine Dubois

    Si les robots font les tâches pénibles, est-ce que ça veut dire qu’on va nous confier des tâches encore plus répétitives et abrutissantes ?

  203. L’article me laisse un goût d’inachevé. On parle d’assistance, mais est-ce que ça veut dire qu’on accepte que certaines tâches restent intrinsèquement pénibles ? On pourrait pas juste les suppri…

  204. L’usine, c’est aussi un bruit, une odeur. J’espère que ces robots ne vont pas aseptiser le lieu, lui enlever son âme.

    C’est bien beau l’assistance, mais quid de l’apprentissage ? On se forme comment, si les robots font tout ?

    J’ai peur que ça devienne une excuse pour ne pas améliorer les conditions de travail « à la source ».

  205. Si ça peut permettre à des gars de finir leur carrière moins cassés, c’est déjà ça. Faut voir si ça se généralise, hein.

  206. BMW, c’est une marque, un prestige. Je me demande si cette robotisation « douce » ne sert pas surtout à ça : redorer l’image sociale.

  207. Moi, ce qui me frappe, c’est le silence sur la maintenance de ces robots. Qui va s’en occuper ? Ça crée de nouveaux emplois, ça ?

  208. Jacqueline Dubois

    L’usine, c’est du vécu. Mon père y a passé sa vie. J’espère juste que ces robots ne vont pas créer une nouvelle forme d’exclusion, pour ceux qui ont moins d’aptitudes « techniques ».

  209. Ces robots, c’est peut-être une façon de masquer le manque d’attractivité de ces métiers auprès des jeunes. Qui rêve encore de travailler à l’usine ?

  210. Je me demande si l’intégration de ces robots ne va pas finalement créer une compétition malsaine entre les ouvriers et les machines, même si l’intention est bonne au départ.

  211. Je suis partagé. Si ça réduit les accidents du travail, tant mieux. Mais j’ai du mal à croire à un désintéressement total du profit.

  212. Moi, ce qui me chiffonne, c’est cette idée de « bien-être ». On dirait qu’on essaie de nous faire croire que l’usine, c’est presque un spa maintenant.

  213. C’est marrant, on dirait qu’on découvre que le travail physique peut être dur. Bien sûr, c’est une bonne chose d’aider, mais on dirait qu’on part de loin.

  214. C’est peut-être naïf, mais j’imagine bien ces robots comme des compagnons de galère, des collègues un peu spéciaux. Ça me touche.

  215. Guillaume Durand

    L’article me laisse un goût d’inachevé. On parle de robots qui aident, mais on ne parle pas des compétences que les ouvriers doivent acquérir pour travailler *avec* ces robots.

  216. Moi, ce qui me vient à l’esprit, c’est l’odeur. L’odeur particulière d’une usine, un mélange de métal chaud et d’huile. Est-ce que les robots vont changer ça ? J’espère pas, bizarrement.

  217. L’article est court, mais ça me rappelle quand même les chaînes de montage qu’on voit dans les vieux films. On parle d’assistance, mais j’ai l’impression que la pression reste sur l’humain, non ? Le robot est là pour suivre le rythme, pas pour le ralentir.

  218. L’idée d’assistance est séduisante, mais je me demande si ça ne complexifie pas juste le travail au final. Plus de technologie, c’est pas toujours synonyme de mieux.

  219. Je suis curieux de voir l’impact sur l’ambiance générale. Une usine, c’est aussi des relations humaines, des pauses café. J’espère que ça ne va pas aseptiser l’atmosphère.

  220. L’article me fait penser aux exosquelettes qu’on voit dans le bâtiment. Peut-être que c’est juste une version plus sophistiquée pour l’automobile.

    Si l’usine devient un terrain de jeu pour ingénieurs, tant mieux pour eux.

  221. J’espère que ces robots ne vont pas finir par créer une nouvelle forme d’aliénation, plus subtile.

    On parle d’assistance, mais qui décide des tâches « éprouvantes » ? Ça reste une définition très subjective.

  222. Et l’après ? Si les robots font le boulot pénible, qu’est-ce qu’on propose aux employés ? Une formation continue ? Un autre poste ?

  223. Je me demande si cette « assistance » ne va pas rendre les employés hyper-dépendants des machines. Si un robot tombe en panne, on fait comment ?

  224. Les robots qui aident, ça me fait penser aux films de science-fiction. On est loin des voitures volantes, mais c’est un petit pas dans cette direction.

  225. L’usine BMW, c’est un peu le futur qui arrive sans prévenir. J’imagine les vieux ouvriers regarder ça d’un drôle d’air.

    Ça me fait penser aux jeux vidéo où tu dois collaborer avec des personnages non-joueurs.

  226. Sébastien Durand

    Ça me rappelle mon grand-père, qui disait que les machines allaient voler son travail. Finalement, il a juste appris à les réparer. Peut-être que c’est ça, l’avenir.

  227. BMW parle de bien-être, mais j’ai surtout l’impression qu’ils veulent éviter les arrêts maladie.

    L’humain devient une sorte de chef d’orchestre, c’est peut-être ça le progrès ?

    Ça me rappelle les cours d’ergonomie où on nous disait de pas se casser le dos.

  228. J’ai l’impression qu’on nous vend une vision édulcorée. L’humain « assisté », c’est peut-être juste l’humain surveillé.

  229. Alexandre Durand

    En tant que client BMW, ça m’inquiète un peu. Est-ce que cette « assistance » se traduira par une augmentation des prix, au final ?

  230. Moi, ce qui me frappe, c’est le silence sur la pénibilité mentale. Le rythme effréné, la pression… un robot peut-il vraiment aider là-dessus ?

    C’est bien beau l’assistance physique, mais l’ambiance à l’usine, ça compte aussi.

  231. Christophe Durand

    Moi, j’imagine surtout le ballet complexe, la chorégraphie millimétrée entre l’humain et la machine. Ça doit être fascinant à observer.

  232. Je suis partagé. Soulager la pénibilité physique, c’est bien. Mais j’ai surtout l’impression qu’on optimise le travailleur comme on optimise une machine.

  233. François Durand

    Ça sent la com’ à plein nez. On nous montre le beau côté, mais quid des postes supprimés en amont pour « simplifier » le processus ?

  234. Grégoire Durand

    Si les robots font le boulot pénible, on va peut-être enfin voir des employés plus âgés rester plus longtemps dans l’entreprise. Une expérience, c’est tout.

  235. Je me demande si cette « assistance » ne va pas enlever le plaisir du travail bien fait, la fierté de la réalisation manuelle.

  236. Je me demande si cette collaboration va réellement améliorer les conditions de travail ou juste rendre l’humain plus dépendant de la machine.

  237. Les robots qui aident, c’est une chose. Mais est-ce qu’ils partagent les croissants le lundi matin ? C’est ça, la vraie question.

  238. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de « l’humain » et de « la machine » comme si c’était deux camps. Pourtant, on les crée ces machines. On devrait peut-être revoir notre définition du travail, tout simplement.

  239. Gabrielle Durand

    J’espère juste que ces robots ne vont pas créer de nouvelles formes de pénibilité, plus psychologiques, liées à la surveillance et à la performance.

  240. J’ai l’impression qu’on nous vend du rêve. L’assistance, oui, mais qui contrôle vraiment ? C’est pas le robot, quand même.

  241. Je me demande si ça va changer quelque chose à la chaîne de commandement. Est-ce que mon chef va écouter davantage un robot qu’un ouvrier expérimenté ?

  242. En tant qu’ancien intérimaire, je me demande si ça va pas surtout créer deux vitesses : ceux qui bossent encore « à l’ancienne » et ceux qui sont « assistés ». Ça risque de créer des tensions.

  243. C’est bien joli tout ça, mais j’espère qu’ils ont pensé à la formation. Apprendre à bosser avec un robot, ça doit pas être évident.

  244. Je suis curieux de voir l’impact sur l’ambiance générale. Un robot qui bosse à côté de toi, est-ce que ça crée plus de distance ou de camaraderie ?

  245. Je me demande si cette « assistance » ne va pas surtout rendre les cadences encore plus infernales. On va demander toujours plus, non ?

  246. C’est une bonne nouvelle si ça aide vraiment les ouvriers. Mais j’espère que cette « assistance » ne servira pas de prétexte à réduire les effectifs après coup.

  247. J’ai toujours pensé que les robots allaient finir par nous remplacer complètement. Peut-être que cette approche hybride est une solution moins dystopique.

  248. Je me demande si ce n’est pas une façon de déshumaniser encore plus le travail à la chaîne, même avec les meilleures intentions du monde.

  249. Ça me rappelle mon grand-père qui disait : « Ils nous ont promis le progrès, on a eu la chaîne. » J’espère qu’on ne répète pas les mêmes erreurs.

  250. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le coût de ces robots. Est-ce qu’on ne va pas privilégier les usines où ils sont rentables, au détriment des autres sites ?

  251. Je ne suis pas du tout convaincu par ce discours sur le « bien-être ». On nous sert ça à chaque innovation, mais au final, c’est toujours le profit qui gagne.

  252. Je suis plus sensible au côté répétitif du travail à la chaîne qu’à sa pénibilité. Si un robot peut faire en sorte qu’on réfléchisse plus et qu’on répète moins, ça peut être une avancée.

  253. Catherine Durand

    L’odeur de l’huile et le bruit des machines me manqueraient presque… si mes épaules n’en gardaient pas le souvenir cuisant. Peut-être que cette assistance est une façon de rendre le travail en usine moins destructeur pour le corps.

  254. L’idée d’un robot collègue, ça me fait penser aux intérimaires. On est content qu’ils soient là pour aider, mais on sait bien que c’est temporaire.

  255. Ce qui m’intéresse, c’est l’aspect psychologique. Comment on vit le fait d’avoir un robot à côté de soi ? Est-ce que ça crée de la compétition, de la jalousie ?

  256. J’ai travaillé sur une ligne d’assemblage. Le plus dur, c’était le rythme. Si les robots peuvent le maintenir sans épuiser les humains, tant mieux. Mais je reste prudent.

  257. Franchement, ça me fait penser à ces pubs où on te vend un futur radieux alors que la réalité est souvent bien différente une fois sur le terrain.

  258. Si ça libère du temps pour former les employés à des tâches plus qualifiées, je dis banco. On en parle assez peu, mais c’est ça l’avenir, non ?

  259. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la standardisation des gestes. À force de travailler avec des robots, on risque de devenir nous-mêmes des machines.

  260. L’article parle d’assistance, mais qui va assister les robots quand ils tomberont en panne? J’imagine le coût de maintenance de ces machines…

  261. L’idée d’une usine moins pénible me séduit, mais j’espère que ça ne signifiera pas moins d’interactions humaines.

    Une usine plus humaine ? J’y crois qu’à moitié.

  262. Moi, ce qui me frappe, c’est l’image que ça renvoie. BMW essaie de se donner un côté « humain », mais est-ce que ça change vraiment les conditions de travail à la base ? J’ai l’impression qu’il y a surtout un enjeu de communication.

  263. Je me demande si, au final, ça ne va pas surtout créer une nouvelle hiérarchie. L’ouvrier « augmenté » par la machine, et celui qui reste cantonné aux tâches annexes.

  264. Au fond, ce qui m’intéresse, c’est de savoir si ça va créer des emplois ou en détruire à long terme. L’assistance, c’est bien, mais ça veut dire moins de besoin de main d’oeuvre, non?

  265. Ce que je trouve dommage, c’est qu’on parle toujours de l’ouvrier. Et le designer, l’ingénieur ? Leur travail est-il aussi revalorisé grâce à cette collaboration ?

  266. Je suis curieux de voir comment ça va impacter l’ambiance à la cantine. On sous-estime l’importance des pauses et des conversations informelles pour le moral.

  267. J’ai toujours cru que l’odeur de l’huile et le bruit des machines faisaient partie de l’identité d’une usine. Est-ce qu’on ne risque pas de perdre une part de cette âme ?

  268. BMW qui se soucie du bien-être ? C’est un peu l’hôpital qui se moque de la charité, non ? J’attends de voir les résultats concrets avant de m’emballer.

  269. Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’apprentissage. Qui va former les ouvriers à bosser avec ces robots ? Et qui va réparer le robot quand il tombe en panne ?

  270. Ce qui me rassure, c’est qu’on parle enfin d’une collaboration, et non d’une substitution. J’espère que ça se traduira par un travail moins pénible.

  271. L’usine, c’est aussi un lieu de transmission des savoir-faire. J’espère que cette collaboration homme-robot ne va pas effacer ce lien essentiel entre les générations d’ouvriers.

  272. Moi, j’espère surtout que ça va pas juste servir à augmenter les dividendes des actionnaires. Le « bien-être », ça sonne souvent creux.

  273. Moi, ce qui me fait tiquer, c’est la notion de « tâches éprouvantes ». Est-ce que ça veut dire qu’on va juste déplacer le problème, en créant d’autres tâches, peut-être moins physiques, mais tou…

  274. Moi, ce qui m’intéresse, c’est l’aspect psychologique. Comment l’ouvrier perçoit-il cette « aide » ? Est-ce qu’il se sent dévalorisé, ou au contraire, soulagé ?

  275. C’est bien beau tout ça, mais j’espère qu’ils ont pensé à la maintenance des robots. Un robot à l’arrêt, c’est toute la chaîne qui est bloquée.

  276. L’usine du futur, c’est déjà le présent. J’imagine que l’ambiance doit être sacrément différente maintenant. Presque futuriste.

  277. L’article est intéressant, mais j’ai surtout peur que cette « collaboration » ne soit qu’une façade. On verra si ça dure dans le temps.

  278. Moi, ce qui m’interpelle, c’est la notion de « grand constructeur allemand ». C’est toujours les mêmes qui font parler d’eux. Et les autres ?

  279. Si ça permet de moins se casser le dos, c’est déjà ça. J’ai connu des collègues usés à 50 ans. Espérons que ça change la donne.

  280. Franchement, ça me rappelle ces pubs où on nous vend la modernité à coups de promesses. J’attends de voir si les conditions de travail s’améliorent vraiment.

  281. Je me demande si, à terme, on ne va pas assister à une perte de savoir-faire manuel. L’usine, c’est aussi la transmission de compétences.

  282. Le bien-être, c’est bien, mais je me demande si on ne perd pas en authenticité du produit. Une voiture faite à la chaîne, c’est autre chose qu’une voiture « assistée ».

  283. L’idée d’une usine moins pénible, ça me parle. Mon père a travaillé 30 ans à la chaîne, il est cassé. Si les robots peuvent vraiment aider, pourquoi pas.

  284. Ces robots, c’est un peu comme avoir un collègue super fort qui t’aide à porter les charges lourdes. Moins de compétition, plus d’entraide, j’aime bien l’idée.

  285. Ça me fait penser aux exosquelettes qu’on voit parfois, mais à plus grande échelle. J’espère que l’humain garde le contrôle, et pas l’inverse.

  286. Des robots pour assister ? Ça me fait penser aux jeux vidéo, quand un PNJ te donne un coup de main. J’espère juste qu’on ne va pas devenir les PNJ de nos propres vies.

  287. L’humain assisté, c’est déjà le cas avec l’informatique au bureau. Est-ce que ça rend le travail plus gratifiant ? Pas forcément.

  288. L’usine du futur, c’est peut-être ça. Mais j’espère qu’on pense aussi à former les employés à ces nouvelles technologies, sinon on crée juste une nouvelle forme d’exclusion.

  289. BMW mise sur la collaboration homme-machine? Tant mieux si ça réduit les accidents. J’ai vu trop de collègues se blesser bêtement.

    C’est bien joli tout ça, mais est-ce que ça veut dire qu’on va nous demander d’être plus productifs pour le même salaire ?

    L’assistance, c’est bien, mais j’espère que ça n’empêchera pas les pauses café entre collègues.

  290. J’ai toujours trouvé une certaine fierté dans le travail bien fait, même le plus dur. J’espère que cette assistance robotique ne va pas dénaturer ça.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut