L’enseignement national chamboulé par une réforme majeure annoncée dès la rentrée prochaine

Face à une crise de recrutement qui fragilise le système éducatif, le gouvernement a dévoilé une réforme d’envergure de la formation des enseignants. Annoncée pour une mise en place progressive dès la rentrée 2025, cette transformation vise à rendre le métier plus attractif en simplifiant le parcours d’accès et en offrant une rémunération plus précoce. L’objectif est clair : susciter de nouvelles vocations en levant les obstacles financiers et temporels qui décourageaient de nombreux candidats.

Une nouvelle voie pour attirer les futurs enseignants

La frustration face à un parcours jugé trop long et précaire est un sentiment partagé par beaucoup. Cette réforme a pour ambition de changer la donne. Pour de nombreux étudiants, c’est une lueur d’espoir qui pourrait bien redéfinir leur avenir professionnel.

Le témoignage d’un étudiant plein d’espoir

« Pendant longtemps, le parcours me semblait interminable et financièrement incertain, » confie Lucas Dubois, 20 ans. Cet étudiant en licence à Lyon, qui a toujours voulu enseigner, voyait les cinq années d’études post-bac comme un obstacle majeur avant de pouvoir enfin entrer dans le métier et percevoir un salaire.

Lucas était sur le point de changer de voie, découragé par la durée des études. L’annonce de la réforme a été un véritable déclencheur. Il se prépare désormais activement pour le nouveau concours à bac+3, prévu pour le printemps 2026, y voyant une voie bien plus directe et sécurisée.

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Cet article traite également des changements dans le monde du travail et de l'emploi, en lien avec la réforme de la formation des enseignants

Les contours de la réforme de la formation enseignante

Le principe est de simplifier et de valoriser le parcours. Les lauréats du concours, désormais accessible après la licence, intégreront un master professionnalisant de deux ans tout en étant rémunérés. Cette approche vise à allier théorie et pratique bien plus tôt dans le cursus.

Quels changements concrets dès la rentrée ?

Les impacts de cette nouvelle organisation sont multiples et visent à rendre la profession plus accessible. Le changement le plus notable est l’instauration d’une rémunération pendant les années de master.

  • Concours avancé : Le principal concours de recrutement est déplacé de la fin du master à la fin de la licence (bac+3).
  • Formation rémunérée : Les étudiants deviennent élèves-fonctionnaires en master 1 avec un salaire net de 1400€, puis fonctionnaires-stagiaires en master 2 avec 1800€.
  • Professionnalisation : Le master intègre une part importante de stages en classe, avec un tiers du temps en M1 et la moitié en M2.
Caractéristique Ancien système Nouveau système (dès 2026)
Niveau du concours Bac+5 (fin de master 2) Bac+3 (fin de licence)
Rémunération en master Non (ou via des contrats spécifiques) Oui (1400€ en M1, 1800€ en M2)

Pour mieux préparer les futurs professeurs des écoles, une nouvelle licence spécifique verra le jour dès la rentrée 2026. Afin d’assurer une transition fluide, les concours actuels et nouveaux coexisteront pendant deux ans, en 2026 et 2027.

Un impact attendu sur la crise des vocations

Cette refonte s’inscrit dans un contexte plus large visant à contrer le manque d’attractivité de plusieurs métiers de la fonction publique. En sécurisant le parcours, l’État espère redonner du prestige à une profession essentielle pour la cohésion sociale.

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Vers une nouvelle perception du métier ?

Au-delà de l’aspect purement technique, cette réforme pourrait modifier en profondeur la perception du métier d’enseignant auprès des jeunes. En le rendant plus accessible et en offrant une sécurité financière rapide, elle a le potentiel de renouveler durablement le corps professoral.

En résumé, cette transformation radicale a pour but de répondre à une urgence de recrutement en valorisant la formation. C’est une main tendue aux futures générations d’enseignants, avec la promesse d’un parcours plus clair et mieux soutenu. Reste à voir si cette initiative suffira à inverser la tendance sur le long terme.

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324 réflexions sur “L’enseignement national chamboulé par une réforme majeure annoncée dès la rentrée prochaine”

  1. Plus d’argent plus tôt, c’est bien, mais est-ce que ça suffira à changer l’image d’un métier si peu valorisé ? J’ai peur que ce soit juste un pansement sur une jambe de bois.

  2. J’espère que cette réforme ne va pas baisser le niveau d’exigence. Simplifier, c’est bien, mais pas au détriment de la qualité de l’enseignement. On verra bien.

  3. J’ai l’impression qu’on attaque le problème à l’envers. L’attractivité, c’est pas juste l’argent, c’est aussi le respect qu’on a pour les profs.

  4. Je me demande si cette réforme prend en compte la réalité du terrain. Former des profs, c’est pas juste une question de parcours ou de salaire, c’est aussi les accompagner face aux défis en classe.

  5. En tant que parent, je suis surtout inquiet pour la stabilité. Encore une réforme, ça veut dire encore des changements pour mes enfants. On ne pourrait pas juste laisser les profs tranquilles trava…

  6. Enfin une tentative pour s’attaquer au problème ! J’espère juste que « simplification » ne rime pas avec « diminution des compétences ». On a besoin de profs passionnés et compétents, pas juste de remplaçants.

  7. J’ai l’impression que les profs sont devenus des variables d’ajustement. On change tout, tout le temps, sans vraiment écouter ceux qui sont sur le terrain. Ça me fatigue.

  8. Je me souviens de mes profs qui donnaient tout, même épuisés. J’espère que cette réforme les aidera à tenir le coup, eux qui se battent déjà.

  9. Et si on arrêtait de parler des profs comme d’un problème à résoudre ? Ils ont besoin de soutien, pas de « réformes ».

    J’aimerais que l’on se soucie plus de l’ambiance dans les établissements.

  10. Simplifier le parcours, c’est peut-être une bonne idée, mais j’espère que ça ne ressemblera pas à un « job dating » géant.

    Peut-être qu’il faudrait aussi se pencher sur la lourdeur administrative qui pèse sur les enseignants.

  11. J’ai peur qu’en voulant aller vite, on oublie l’essentiel : donner aux jeunes l’envie d’apprendre.

    Si on se concentrait sur ce qui se passe réellement en classe, au lieu de théoriser sans fin ?

    Le problème, c’est le manque de confiance.

  12. Cette réforme me fait penser à un pansement sur une jambe de bois.

    On parle d’attractivité, mais qu’en est-il du respect ?

    Le salaire est une chose, la reconnaissance en est une autre.

  13. Plus de salaire, c’est bien sûr toujours bienvenu. Mais avoir des classes surchargées et des élèves démotivés, ça ne motive personne à rester longtemps.

  14. J’ai toujours pensé que le problème venait du manque de moyens, plus que du parcours des profs. Est-ce qu’on a vraiment les outils pour bien faire notre travail ?

  15. J’espère que cette réforme ne va pas niveler par le bas pour attirer plus de monde. La qualité de l’enseignement doit rester la priorité.

  16. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les matières moins « rentables ». On va encore plus pousser les jeunes vers les filières techniques ?

  17. Simplifier le parcours, c’est bien, mais j’espère qu’on ne va pas sacrifier la formation pédagogique sur l’autel de la rapidité. Un bon prof, c’est pas juste un expert en sa matière.

  18. En tant qu’ancien élève, j’espère surtout qu’ils penseront à la formation continue des enseignants. C’est ça qui fait qu’un prof reste pertinent et passionné, je crois.

  19. Est-ce qu’on va enfin écouter les élèves et leurs besoins réels ? C’est bien beau de parler des profs, mais on oublie souvent les premiers concernés.

  20. Plus de rémunération précoce, c’est un bon début, mais j’espère que ça s’accompagnera d’un vrai soutien psychologique. Le burn-out est un fléau chez les enseignants.

  21. J’ai l’impression qu’on met toujours le focus sur l’urgence, jamais sur la vision à long terme. On panse les plaies, mais on ne soigne pas la maladie.

  22. Ça me fait penser à ma prof de maths de 4ème. Elle adorait sa matière, mais elle était tellement débordée qu’on sentait la fatigue. J’espère qu’ils penseront à ça, à alléger la charge de travail.

  23. J’ai toujours pensé qu’on devrait valoriser davantage le mentorat entre profs expérimentés et nouveaux arrivants. Ça aiderait peut-être plus que des réformes abstraites.

  24. J’ai peur que cette réforme ne soit qu’un emplâtre sur une jambe de bois. On s’attaque aux symptômes, pas aux causes profondes du désamour pour ce métier.

  25. J’espère qu’ils repenseront aussi l’évaluation des enseignants. On se concentre trop sur les notes des élèves, pas assez sur l’impact réel du prof.

  26. Simplifier l’accès, c’est bien. Mais j’espère que ça ne se fera pas au détriment de la qualité de la formation.

    On parle de rémunération, mais qu’en est-il des conditions de travail ? C’est ça, le vrai problème, non ?

    J’aimerais savoir si les syndicats ont été consultés.

  27. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la dévalorisation du savoir. Est-ce qu’on ne risque pas d’attirer des gens moins passionnés par la transmission ?

  28. Moi, j’aimerais savoir comment cette réforme va impacter les élèves en difficulté. Est-ce qu’on a pensé à eux ?

    On parle d’attractivité, mais le respect dans les classes, il est où ?

    J’ai l’impression qu’on oublie souvent que les profs sont aussi des parents, des conjoints, des individus avec une vie.

  29. Cette réforme, c’est peut-être une bonne idée, mais j’ai surtout peur que ça crée encore plus d’inégalités entre les établissements.

  30. J’espère qu’ils vont vraiment écouter les profs sur le terrain, pas seulement les experts dans les bureaux.

    Cette réforme, elle arrive un peu tard, non ? Tellement de collègues ont déjà craqué.

  31. Réduire le temps d’études, c’est risqué. On ne devient pas un bon prof en claquant des doigts. L’expérience du terrain est cruciale.

  32. C’est bien beau tout ça, mais si on ne redonne pas aux profs la liberté pédagogique, ça ne changera rien. On les noie sous les directives.

  33. Franchement, « simplifier l’accès », ça sent un peu le nivellement par le bas, non? J’ai peur qu’on attire des gens qui voient juste un job, pas une vocation.

  34. Moi, je me demande si cette réforme va vraiment changer la perception du métier auprès des jeunes. C’est plus qu’un simple job, c’est un engagement.

  35. J’ai l’impression qu’on panique et qu’on bricole. Le problème est plus profond qu’une simple équation financière.

    On parle de simplification, mais est-ce qu’on a vraiment écouté ceux qui galèrent au quotidien ?

    La passion, ça ne s’invente pas, mais ça s’entretient.

  36. J’ai surtout l’impression qu’on s’attaque aux symptômes et pas à la cause. C’est le regard de la société sur l’éducation qu’il faut changer.

    Et si on commençait par valoriser les réussites, au lieu de pointer sans cesse les échecs?

    Le problème, c’est peut-être que l’école ne fait plus rêver.

  37. J’ai l’impression qu’on oublie l’essentiel : la passion d’enseigner se nourrit aussi de la fierté du travail bien fait.

    Est-ce que cette réforme prend en compte le poids administratif qui écrase les profs ?

    J’espère surtout qu’on ne va pas créer une formation au rabais pour combler les trous.

  38. Je me demande si cette « simplification » ne va pas dévaloriser encore plus le métier aux yeux des étudiants. Est-ce qu’on ne risque pas de créer un cercle vicieux ?

  39. J’ai l’impression d’entendre toujours les mêmes promesses avant chaque rentrée.

    Ça ne dit rien sur l’accompagnement des nouveaux profs. Le premier poste, c’est un choc.

  40. J’espère surtout que cette réforme ne va pas accentuer la pression sur les enseignants déjà en poste. On risque de nous demander d’en faire encore plus, avec moins de moyens.

  41. J’espère que cette réforme ne va pas uniformiser l’enseignement. On a besoin de profs avec des personnalités et des approches différentes.

  42. Moi, je me demande si on ne devrait pas plus se concentrer sur la formation continue des enseignants déjà en poste. Un prof qui se sent soutenu et valorisé, c’est déjà beaucoup.

  43. Si ça attire plus de monde, tant mieux. Mais j’espère qu’on ne va pas se retrouver avec des profs qui ne sont là que pour le salaire.

    L’école, c’est plus qu’un métier, c’est une vocation.

  44. J’ai peur que cette réforme déplace juste le problème. Attirer plus de monde, oui, mais les retenir après ? C’est ça le vrai défi.

  45. Est-ce que cette réforme règlera vraiment le problème de la violence scolaire ? C’est la base, non ? Sans ça, même avec un bon salaire, qui voudra rester ?

  46. Moi, je me demande si cette réforme va vraiment aider les enfants issus de milieux défavorisés. L’égalité des chances, c’est plus que des profs motivés.

  47. J’ai toujours pensé que la passion ne suffisait pas. Un bon prof, c’est aussi quelqu’un qui peut vivre décemment.

    Cette réforme pourrait donner un coup de jeune à une profession vieillissante.

  48. J’espère que cette réforme tiendra compte des spécificités des matières. Un prof de maths n’a pas les mêmes besoins qu’un prof de lettres.

    Ça me rappelle quand j’ai débuté.

  49. J’ai toujours pensé que l’image du prof idéal, c’est aussi un peu de nous qu’on y projette. Est-ce qu’on va enfin pouvoir se dire qu’être un bon prof, c’est aussi s’autoriser à ne pas être un hé…

  50. J’ai surtout l’impression qu’on panique. On agite des solutions sans vraiment comprendre pourquoi la flamme s’éteint chez tant de profs.

  51. Une réforme de plus… J’espère juste qu’elle ne compliquera pas la vie des profs déjà en poste.

    Le « chamboulement », ça fait toujours peur. J’espère qu’on ne va pas sacrifier la qualité sur l’autel de la quantité.

  52. Et si le problème, c’était pas tant le recrutement que la façon dont la société considère l’école et les enseignants ? On leur demande l’impossible, quoi.

  53. J’espère qu’on pensera aussi à ceux qui veulent se reconvertir. Le métier attire peut-être déjà des gens avec d’autres expériences.

  54. Simplifier l’accès, oui, mais attention à ne pas dévaloriser le diplôme. On risque de créer deux classes de profs.

    Une rémunération plus précoce ? Bonne idée, mais à quel prix en termes de formation initiale ?

    J’espère qu’on ne va pas sacrifier la profondeur des connaissances au profit de la rapidité.

  55. Moi, je me demande si cette réforme va vraiment redonner du sens au métier. On parle d’attractivité, mais quid de la passion ?

    C’est bien beau de faciliter l’entrée, mais si après on se retrouve seul face à la classe sans accompagnement, ça ne règlera rien.

  56. J’ai l’impression qu’on essaie de réparer un robinet qui fuit avec du scotch. Le problème est plus profond qu’une simple question de salaire au début.

  57. Ils parlent de simplification, mais est-ce que ça veut dire moins d’exigence envers les élèves ? C’est ça qui m’inquiète pour l’avenir de nos enfants.

  58. Franchement, j’ai surtout peur de l’effet sur les élèves en difficulté. Est-ce qu’on va vraiment pouvoir les accompagner correctement avec des profs moins expérimentés ?

  59. Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on parle toujours des profs. Mais les parents, on en fait quoi ? On est aussi responsables de l’éducation de nos enfants.

  60. Et si le problème venait du manque de considération ? On valorise tellement d’autres métiers…

    J’ai l’impression que l’État se rend compte trop tard du problème.

  61. Je me souviens de mes profs qui nous encourageaient à penser par nous-mêmes. J’espère que cette réforme laissera encore de la place à ça.

  62. On dirait qu’on veut mettre un pansement sur une jambe de bois. Espérons que ça ne se transforme pas en une usine à profs désabusés.

  63. Moi, j’aimerais surtout savoir si on va donner aux futurs profs les outils pour gérer des classes avec des niveaux tellement hétérogènes. C’est ça, la vraie difficulté aujourd’hui.

  64. Simplifier l’accès, c’est bien. Mais la formation continue, cruciale pour s’adapter aux évolutions de la société, elle est prévue comment ?

  65. J’ai toujours pensé que l’enseignement était une vocation, pas juste un boulot. J’espère que cette réforme ne va pas diluer cet esprit.

  66. J’ai l’impression qu’on cherche surtout à remplir les trous, sans vraiment repenser le rôle de l’enseignant dans la société actuelle. On attend tellement d’eux, c’est impossible de tout faire bien.

  67. Rémunérer plus tôt, c’est bien, mais quid de l’accompagnement psychologique face à la pression du métier ?

    J’ai peur qu’on attire des gens pour le salaire, pas pour la passion de transmettre.

  68. C’est bien beau d’attirer plus de monde, mais est-ce qu’on s’assure que ces nouveaux enseignants auront envie de rester dans le métier sur le long terme ?

  69. J’ai l’impression que l’État se rend compte trop tard du problème. On dévalorise l’enseignement depuis des années, normal qu’il y ait une crise.

  70. J’ai surtout peur que cette réforme uniformise les profils. On a besoin de personnalités diverses pour inspirer les élèves.

    L’idée de simplifier l’accès me fait un peu peur.

  71. Si on ne revoit pas le contenu des programmes, tout ça ne servira à rien. On va juste former des gens à transmettre un enseignement obsolète.

  72. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la simplification du parcours. On risque de baisser le niveau d’exigence.

    Je me demande si on ne devrait pas valoriser davantage les enseignants expérimentés plutôt que de chercher à tout prix de nouveaux profils.

  73. Moi, je vois surtout un aveu d’échec. On bricole au lieu de s’attaquer aux vraies racines du problème : le manque de moyens et de considération.

  74. Personnellement, je me demande si cette réforme prend en compte la réalité du terrain. Les classes surchargées, le manque de matériel… Ça décourage plus que le salaire initial.

  75. Encore une réforme… J’ai l’impression qu’on cherche à éteindre un incendie avec un verre d’eau.

    J’espère surtout qu’on ne va pas sacrifier la qualité sur l’autel de la quantité.

  76. Franchement, simplifier l’accès, ça me fait peur. On risque de perdre des profs passionnés qui étaient prêts à en baver pour enseigner.

  77. J’ai l’impression qu’on oublie souvent que l’envie d’enseigner, ça se nourrit aussi de voir ses élèves progresser et s’épanouir. La réforme y contribue ?

  78. J’ai toujours pensé que le respect du métier, ça passe par une vraie revalorisation de son image dans la société. Une réforme peut-elle vraiment changer ça ?

  79. Je me souviens de mes profs qui m’ont marqué. C’était pas le salaire qui les motivait, mais leur passion. J’espère que la réforme ne l’éteindra pas.

  80. J’espère que cette réforme prendra en compte les spécificités des différentes matières. On n’attire pas un prof de maths comme on attire un prof d’histoire-géo.

  81. Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on parle d’attirer, mais est-ce qu’on se demande vraiment pourquoi les jeunes ne veulent plus enseigner ? C’est pas juste une question de salaire.

  82. J’ai l’impression qu’on met un pansement sur une jambe de bois. Le problème est plus profond que ça.

    Et si on commençait par demander aux profs ce dont ils ont besoin, au lieu de décider à leur place ?

    J’espère juste que cette réforme ne va pas encore plus démotiver ceux qui tiennent encore la baraque.

  83. Moi, j’espère qu’ils penseront à la formation continue. Un prof, ça doit pouvoir évoluer et se renouveler tout au long de sa carrière.

  84. J’ai peur qu’en simplifiant l’accès, on baisse le niveau. Ce n’est pas en « bradant » le métier qu’on le rendra plus prestigieux.

  85. Simplifier l’accès, oui, mais attention à ne pas créer une « voie bis » dévalorisée par rapport aux parcours actuels. L’égalité des chances ne doit pas rimer avec nivellement par le bas.

  86. On parle de simplification, mais j’ai l’impression que ça va surtout créer de l’instabilité. Changer les règles du jeu constamment, c’est usant.

  87. Cette réforme me fait penser à un cache-misère. On maquille le problème, mais les classes surchargées, le manque de moyens et le respect envers les enseignants, on en parle quand?

  88. J’ai hâte de voir si cette réforme va réellement changer la perception du métier par les étudiants. Peut-être qu’un stage d’immersion obligatoire en début de cursus serait plus efficace.

  89. Et si on essayait de valoriser le métier en montrant l’impact positif qu’un bon prof peut avoir sur une vie ? On oublie souvent le côté humain.

  90. Cette « simplification » me fait penser à ces meubles en kit qu’on monte à la va-vite. Solide sur le papier, mais fragile à l’usage.

  91. J’espère qu’on ne va pas sacrifier la qualité de la pédagogie sur l’autel de l’urgence. Former un bon prof, ça prend du temps.

  92. J’ai l’impression qu’on court après le temps. Attirer, c’est bien, mais retenir, c’est mieux. On fait quoi pour ceux qui sont déjà là et se sentent oubliés ?

  93. Rémunérer plus tôt, c’est bien pour les jeunes. Mais le vrai problème, c’est la reconnaissance au quotidien, pas juste le salaire.

  94. J’ai peur qu’en allant trop vite, on dévalue l’expérience et l’expertise des anciens. On risque de créer un fossé entre les générations d’enseignants.

  95. Si on attire plus de monde, super ! Mais j’espère que cette nouvelle formation tiendra compte des difficultés actuelles en classe.

    On parle de simplification, mais est-ce que ça va vraiment alléger la charge de travail des profs ? Ça, ça changerait la donne !

    J’espère qu’ils vont penser à la formation continue.

  96. Simplifier, ça veut dire moins d’administratif ? Parce que c’est ça qui me décourage le plus, les montagnes de paperasse.

    Cette réforme, c’est bien beau, mais qui va encadrer ces nouveaux profs ? Les tuteurs existent, mais ils sont débordés.

  97. ProvincialeHeureuse

    En tant que parent, je me demande si cette réforme prendra en compte les spécificités de chaque matière. On ne forme pas un prof de maths comme un prof de français.

  98. MécanicienRetraité

    Moi, je me demande si cette réforme va vraiment s’attaquer à la racine du problème : le manque de respect pour la profession. C’est ça qui décourage, plus que le salaire.

  99. InstitutricePassionnée

    J’ai l’impression qu’on met un pansement sur une jambe de bois. Le problème est plus profond que ça.

    Et si au lieu de tout chambouler, on valorisait ce qui fonctionne déjà ?

    On parle toujours de…

  100. Franchement, j’ai l’impression qu’on cherche surtout à remplir les trous rapidement, sans se soucier de la qualité de l’enseignement à long terme.

  101. J’espère que cette réforme ne va pas uniformiser l’enseignement. On a besoin de profs passionnés, avec des approches différentes.

  102. Personnellement, j’ai toujours pensé qu’enseigner était un sacerdoce. Rendre ça « attractif » me fait un peu peur : est-ce qu’on ne risque pas d’attirer les mauvaises motivations ?

  103. J’ai toujours rêvé d’enseigner, mais la précarité des premières années m’a freinée. Si cette réforme change vraiment ça, peut-être que je retenterai ma chance.

  104. J’ai peur qu’en voulant simplifier l’accès, on ne dévalorise l’expertise et la patience nécessaires pour former les générations futures.

  105. Guillaume Bernard

    Je suis un ancien élève, et franchement, ce qui m’a marqué, c’est le burnout des profs. J’espère que la réforme s’attaque aussi à ça.

  106. Je suis curieux de voir comment ils comptent réellement « simplifier » le parcours. Souvent, simplification rime avec moins de formation et plus de pression sur le terrain.

  107. J’espère qu’ils vont enfin écouter les profs sur le terrain, eux qui savent ce qui marche vraiment.

    On dirait qu’on panique et qu’on fait du rafistolage.

  108. Si on rémunère mieux, tant mieux, mais il faudrait surtout redonner aux profs l’autorité qu’ils ont perdue. C’est ça, le vrai problème.

  109. Et la pédagogie dans tout ça ? On parle d’attractivité, de salaire, mais former des profs passionnés et compétents, c’est autre chose.

  110. Cette réforme me fait penser aux pansements sur une jambe de bois. Est-ce qu’on s’attaque vraiment à la racine du problème, ou est-ce juste de la poudre aux yeux ?

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est la qualité de l’enseignement à long terme.

  111. Personnellement, je me demande si cette réforme va vraiment changer le regard que la société porte sur les enseignants. C’est peut-être ça, la clé.

  112. Moi, je me souviens surtout des profs qui nous encourageaient à penser par nous-mêmes. J’espère que cette réforme ne va pas standardiser l’enseignement au point d’étouffer cet esprit-là.

  113. Moi, je me demande si on ne risque pas de créer une génération de profs « vite formés, vite embauchés » mais sans véritable vocation. La passion, ça ne se décrète pas avec un salaire.

  114. Sébastien Bernard

    J’ai l’impression qu’on se focalise trop sur l’urgence. On risque d’oublier l’importance du temps long, celui de la maturation d’un bon enseignant.

  115. Je me demande si on prend en compte le plaisir d’enseigner. C’est quand même un métier où l’on se donne aux autres. Si on oublie ça, on se trompe de cible.

  116. L’attractivité, c’est bien, mais j’espère que cette réforme ne créera pas deux classes d’enseignants : les « anciens » formés selon l’ancien modèle et les « nouveaux » avec une formation accélérée.

  117. Alexandre Bernard

    Je suis curieux de voir comment ils vont concrètement « simplifier » le parcours. Alléger les exigences, c’est pas forcément bon signe.

  118. J’espère juste qu’on ne va pas sacrifier l’accompagnement des élèves en difficulté au profit d’une formation plus rapide pour les profs. C’est souvent eux qui ont le plus besoin d’attention.

  119. Christophe Bernard

    J’ai peur que cette réforme ne dévalorise encore plus le métier. Une formation plus courte, ça veut dire moins de temps pour se préparer, pour comprendre les enjeux. C’est un cercle vicieux.

  120. En tant que parent, je me demande si cette réforme va permettre aux enseignants d’avoir plus de temps pour accompagner individuellement chaque enfant. C’est ça, pour moi, la vraie réussite.

  121. Si l’argent arrive plus tôt, tant mieux pour les jeunes qui hésitent à se lancer ! Ça peut vraiment aider à franchir le pas.

    J’espère qu’on pensera aussi à ceux qui veulent se reconvertir et devenir profs plus tard.

  122. François Bernard

    Réforme ou rustine ? J’ai l’impression qu’on panique et qu’on bricole.

    On parle d’argent, de parcours, mais quid de la reconnaissance du métier ? C’est ça, le vrai problème.

  123. Grégoire Bernard

    J’ai surtout l’impression qu’on veut éteindre l’incendie avec un verre d’eau. Le problème, c’est pas juste le salaire initial, c’est le manque de soutien une fois en poste.

  124. Je me souviens de mes profs passionnés, ceux qui nous ont donné envie d’apprendre. J’espère qu’on ne perdra pas cette flamme avec cette réforme.

  125. On dirait qu’on transforme l’enseignement en un job comme un autre, avec des primes à l’embauche. Est-ce vraiment ça qui va créer de bons profs ?

    La passion, ça se paie pas avec un salaire plus « précoce ».

  126. J’espère juste que cette réforme ne va pas créer une génération de profs blasés en cinq ans. L’enthousiasme, ça ne se décrète pas.

  127. Béatrice Bernard

    Le « plus attractif » me fait tiquer. On dirait qu’on vend un produit, pas qu’on forme des gens.

    J’ai l’impression qu’on veut des « profs-sandwichs », vite faits, bien faits.

  128. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la qualité de l’enseignement à terme. Est-ce qu’on ne risque pas de sacrifier la profondeur des connaissances sur l’autel de l’attractivité ?

  129. Et si la solution était ailleurs ? J’ai l’impression qu’on cherche à attirer des gens qui n’auraient jamais pensé à l’enseignement.

  130. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le vivier. Moins de sélection à l’entrée, ça veut dire qui devant mes enfants ? On risque de le payer cher, je crois.

  131. J’ai connu des profs formidables, mais usés par le système. J’espère qu’on pense aussi à ceux qui sont déjà là.

    L’attractivité, c’est bien, mais on oublie souvent la fidélisation.

  132. Gabrielle Bernard

    Le problème, c’est pas tant d’attirer, mais de faire aimer l’enseignement. Mon prof de maths était mal payé, mais il adorait ça, et ça changeait tout.

  133. Moi, ce qui me frappe, c’est l’urgence. On dirait qu’on panique et qu’on bricole. Ça sent la rustine plus que la vraie solution pérenne.

  134. Cette réforme, c’est peut-être aussi une chance de redéfinir ce qu’on attend d’un prof aujourd’hui, non ? Le monde a changé.

    J’ai l’impression qu’on se focalise beaucoup sur le « comment » et pas assez sur le « pourquoi » de l’enseignement.

  135. En tant que parent, je me demande si on ne risque pas de créer des profs qui ressemblent plus à des animateurs qu’à de vrais transmetteurs de savoir.

  136. Rémunérer plus tôt, c’est bien, mais quid de l’accompagnement des jeunes profs face à la réalité du terrain ?

    J’espère que cette réforme ne va pas juste créer une armée de jeunes profs précaires et désillusionnés.

  137. Cette réforme me laisse un goût amer. J’ai l’impression qu’on applique une logique d’entreprise à un domaine qui devrait être guidé par la passion.

  138. Moi, je me demande si les profs auront plus de liberté pédagogique avec cette réforme. C’est ça aussi qui compte, non ?

    On parle de simplification, mais est-ce que ça veut dire moins de formation sur le terrain ? Ça me semble essentiel pourtant.

  139. Je me souviens de ma propre orientation post-bac… l’enseignement ne m’a jamais semblé une option viable, et pas seulement pour l’argent.

    Et si le problème était plus profond ? L’image du métier, le stress, la considération.

  140. J’espère que cette réforme inclura une vraie sensibilisation aux troubles d’apprentissage. Trop d’enfants sont laissés pour compte.

  141. J’espère juste qu’on n’oubliera pas que l’enseignement est avant tout une relation humaine.

    On dirait qu’on veut remplir des cases, plus qu’inspirer.

  142. Plus d’argent, moins d’années d’études… est-ce qu’on ne risque pas d’attirer des gens qui cherchent un plan de carrière facile, plutôt qu’une vocation ?

  143. J’ai toujours pensé que l’enseignement, c’était aussi transmettre une certaine vision du monde. J’espère que cette réforme ne va pas standardiser ça.

  144. Moi, ce qui m’inquiète, c’est si on va assez valoriser l’expérience des anciens. On ne peut pas tout réinventer à chaque fois.

  145. Catherine Bernard

    L’idée d’une rémunération plus rapide est intéressante, mais j’espère qu’on ne va pas sacrifier la qualité de l’accompagnement des nouveaux enseignants.

  146. Cette réforme, c’est un peu comme repeindre une maison qui a des fondations pourries. Est-ce que ça va vraiment régler le problème ?

    J’ai l’impression qu’on panique et qu’on cherche une solution miracle, alors que c’est un problème complexe qui demande une réflexion de fond.

  147. Moi, je me demande si cette réforme va vraiment simplifier la paperasse administrative qui étouffe les profs. C’est ça qui décourage beaucoup de jeunes, je crois.

  148. Pour moi, le problème de fond, c’est le manque de reconnaissance. On demande aux enseignants d’être des super-héros sans leur donner les moyens de l’être.

  149. Moi, je me demande si on va réellement former des enseignants capables de gérer la diversité des élèves qu’on a aujourd’hui. C’est pas juste une question de diplôme.

  150. J’espère que cette réforme se penchera aussi sur le climat scolaire. Les classes sont parfois invivables, ça dissuade aussi les vocations.

  151. J’ai l’impression qu’on oublie souvent que les enseignants sont aussi des parents… et qu’ils aimeraient avoir le temps d’élever leurs propres enfants correctement. Moins de pression, plus de vie.

  152. Jacqueline Bernard

    Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours du « métier » d’enseignant, jamais de la « vocation ». On dirait que la passion, ça ne compte plus.

  153. Je me demande si on prend assez en compte le poids des injonctions contradictoires auxquelles les profs sont soumis. On leur demande d’être sévères et compréhensifs, innovants et respectueux des t…

  154. Je crois qu’on élude trop souvent l’impact des parents sur la motivation des enfants à devenir profs. L’image qu’on renvoie du métier à la maison, ça compte énormément.

  155. Une rémunération plus précoce, c’est bien, mais est-ce que ça compensera le sentiment de ne pas être suffisamment formé pour affronter la réalité du terrain ? J’ai peur d’un effet pansement.

  156. Si ça attire plus de monde, tant mieux. Mais j’espère que les anciens seront écoutés pendant la transition. Leur expérience, ça vaut de l’or.

  157. Et si, au lieu de tout chambouler, on redonnait juste aux profs la liberté de faire leur boulot ? J’ai l’impression qu’on les noie sous des directives inutiles.

  158. Et si le problème venait aussi du manque de considération pour le travail invisible des profs ? Toute cette préparation, ces corrections… On ne voit que la partie émergée de l’iceberg.

  159. J’espère qu’on ne va pas sacrifier la qualité de la formation sur l’autel de la quantité. C’est tout de même nos enfants qui sont en jeu.

    Si la réforme ne s’attaque pas à la violence en classe, je doute que ça change grand-chose.

  160. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le déséquilibre géographique. Attirer plus de monde c’est bien, mais si c’est pour qu’ils restent tous dans les grandes villes, ça ne résout rien.

  161. Le problème, c’est pas l’accès, c’est le respect qu’on a perdu pour les profs. On les blâme pour tout, forcément ça décourage.

  162. On dirait qu’on veut mettre un pansement sur une jambe de bois. L’attractivité, c’est bien, mais ça ne règlera pas les problèmes de fond.

  163. J’ai toujours rêvé d’enseigner, mais l’idée de faire des études pendant des années sans être vraiment dans une classe m’a toujours freinée. Si ça change, je pourrais peut-être me lancer.

  164. J’ai peur que cette simplification n’attire pas forcément les bonnes personnes. On a besoin de passionnés, pas juste de candidats soulagés de ne pas galérer.

  165. En tant que parent, j’ai surtout peur que cette réforme précipitée se fasse au détriment de la stabilité pour nos enfants. On change trop souvent de cap.

  166. Si on réduit le temps de formation, est-ce que les nouveaux profs seront vraiment prêts à gérer des classes difficiles dès le début ? C’est ça qui me tracasse.

  167. J’espère juste qu’on ne va pas sacrifier la qualité de la formation sur l’autel de la rapidité. On ne devient pas un bon prof en claquant des doigts.

  168. Si ça peut inciter des jeunes de milieux modestes à tenter leur chance, c’est déjà ça de gagné. L’ascenseur social est bloqué, faut le relancer.

  169. Christophe Dubois

    Personnellement, je me demande si une revalorisation salariale ne serait pas plus efficace que de toucher à la formation. Le salaire reste quand même un facteur déterminant.

  170. Réduire la formation, c’est peut-être une solution de court terme, mais quid de la qualité sur le long terme ? On risque de le regretter amèrement.

  171. Franchement, j’ai l’impression qu’on panique et qu’on bricole. Est-ce qu’on a vraiment réfléchi aux conséquences sur le long terme, au-delà du nombre d’inscrits ?

  172. On parle toujours de « crise de recrutement », mais est-ce qu’on a vraiment regardé pourquoi les profs quittent le métier après quelques années ? C’est peut-être là qu’il faut creuser.

  173. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la perte de prestige du métier. On ne parle que de problèmes, jamais de la beauté de transmettre.

    J’aimerais savoir si cette réforme tient compte des spécificités des différentes disciplines.

  174. Moi, j’ai surtout peur que cette réforme accentue la fracture entre les établissements favorisés et ceux qui le sont moins. On va encore creuser l’écart.

  175. On veut attirer plus de monde, mais est-ce que le problème, c’est vraiment le nombre, ou le manque de soutien une fois qu’on est en poste ? J’ai des amis profs, ils sont épuisés par la paperasse et le manque de considération.

  176. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de « former » les profs, mais jamais de les laisser expérimenter et innover une fois en classe. C’est là que ça se joue, non ?

  177. J’espère qu’ils vont aussi repenser l’accompagnement des nouveaux profs. J’ai vu des collègues craquer dès les premières semaines, c’est terrible.

  178. La simplification du parcours, c’est bien, mais j’espère qu’on ne va pas brader la sélection. On a besoin de profs compétents, pas juste de profs.

  179. Je me demande si cette réforme va vraiment changer le regard que la société porte sur les enseignants. C’est peut-être ça, le vrai problème.

    L’idée de simplifier le parcours, ça me fait penser à ces raccourcis qu’on prend quand on est pressé.

  180. Et si on arrêtait de toujours voir les enseignants comme des solutions à tous les problèmes de la société ?

    J’ai peur qu’on attire des gens qui voient ça comme un job « facile » et bien payé, pas par vocation.

  181. J’ai l’impression qu’on essaie de colmater les brèches sans s’attaquer au cœur du problème : le manque de moyens et la surcharge de travail.

  182. J’espère qu’on ne va pas baisser les exigences pour remplir les classes.

    On dirait qu’on cherche à réparer un moteur en changeant une bougie.

    Je me demande si les élèves seront consultés sur cette réforme.

  183. Franchement, j’ai l’impression qu’on court après le temps. On réagit dans l’urgence, sans vision à long terme.

    Est-ce qu’on a vraiment mesuré l’impact psychologique de la situation actuelle sur les enseignants? La solution, c’est peut-être d’abord de réparer les cœurs brisés.

  184. J’ai l’impression que cette réforme ressemble à un pansement sur une jambe de bois. On attire avec l’appât du gain, mais ça ne règle pas le fond : l’amour du métier.

  185. J’ai envie d’y croire, mais j’ai peur que ça crée une génération de profs « formatés » plutôt que passionnés.

    Et si on commençait par demander aux profs ce qui les aiderait vraiment ?

    Pour moi, le problème, c’est la dévalorisation constante du métier.

  186. J’espère qu’on pensera aussi à ceux qui sont déjà dans le métier et qui se démotivent. Une prime, c’est bien, mais la reconnaissance, c’est mieux.

  187. Je me demande si cette réforme va vraiment permettre aux jeunes profs d’être bien accompagnés sur le terrain. C’est souvent là que tout se joue.

  188. Plus de profs…oui, mais pour enseigner quoi, avec quelle liberté pédagogique ? C’est ça qui m’inquiète.

    J’ai peur qu’on nivelle par le bas pour avoir du monde.

  189. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de « susciter des vocations ». Une vocation, ça se décrète pas, ça se nourrit.

  190. C’est bien beau de vouloir simplifier l’accès, mais on ne devient pas un bon enseignant du jour au lendemain. L’expérience compte énormément.

  191. L’attractivité, c’est pas juste une question de salaire initial. C’est l’impression de pouvoir faire une différence durable dans la vie des jeunes.

  192. Je suis un peu las. Encore une réforme. Est-ce que cette fois, on s’occupera aussi de la violence à l’école ? C’est un facteur majeur de découragement.

  193. Ce qui me préoccupe, c’est le suivi. On forme, on recrute, et après ? Comment accompagne-t-on ces jeunes profs face aux réalités du terrain ?

  194. Si cette réforme pouvait redonner un peu de fierté aux enseignants, ce serait déjà une grande victoire.

    J’ai surtout peur qu’on attire des gens qui voient ça comme un job « facile » avec des vacances.

  195. Jacqueline Dubois

    Une réforme de plus, oui, mais si elle permet à un seul gamin de croire en son avenir grâce à un prof motivé, ça vaut le coup d’essayer.

  196. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la qualité de la formation. Simplifier, c’est bien, mais est-ce qu’on sacrifie l’expertise pour la quantité ? J’ai peur qu’on se retrouve avec des profs moins bien préparés.

  197. J’espère que cette réforme ne va pas créer une nouvelle hiérarchie, avec des profs « rapides » moins considérés que les anciens.

  198. J’ai surtout peur que la « rémunération plus précoce » ne soit qu’un pansement sur une jambe de bois. On parle d’argent, oui, mais quid du sens qu’on donne à notre métier ?

  199. Cette réforme, c’est comme repeindre une maison qui a des fondations pourries. Le problème est plus profond que l’attractivité du métier.

  200. Je me demande si on a vraiment écouté les profs avant de pondre ça. J’aurais aimé qu’on leur demande ce qui les aiderait VRAIMENT.

  201. J’ai toujours pensé que devenir prof, c’était un appel. J’espère que cette réforme ne va pas transformer ça en simple opportunité de carrière.

  202. J’espère qu’on pensera aussi à ceux qui sont déjà dans le métier et qui se dévouent malgré tout. Un peu de reconnaissance, ça ne coûte rien.

  203. Je me demande si cette réforme ne va pas surtout attirer des jeunes qui n’ont pas trouvé leur voie ailleurs, faute de mieux. Est-ce vraiment une solution durable ?

  204. J’ai surtout peur qu’on attire des gens qui voient ça comme un job « facile » avec des vacances. C’est une vocation, pas un plan B. Mes profs étaient passionnés, c’est ça qui m’a marqué.

  205. Moi, je me souviens de mes stages pour devenir prof. C’était le feu ! Si on peut les rémunérer, ça donnera plus de motivation dès le début.

  206. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de l’entrée dans le métier. Mais comment on garde les profs motivés après 10, 15 ans ? C’est ça, la vraie question.

  207. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le niveau des élèves. Si on baisse les exigences pour attirer plus de monde, est-ce qu’on ne va pas créer un cercle vicieux ? Des profs moins bien formés pour des élèves déjà en difficulté, ça fait peur.

  208. J’ai l’impression qu’on veut régler un problème complexe avec une solution simpliste. Est-ce qu’un salaire plus tôt effacera vraiment le manque de considération pour le métier ?

  209. Ce qui me gêne, c’est l’impression de bricolage constant. On rafistole au lieu de repenser le système en profondeur.

    Et si on écoutait vraiment les profs sur le terrain, au lieu de pondre des réformes depuis des bureaux ?

    J’ai l’impression qu’on cherche surtout à calmer le jeu à court terme, sans vision long terme.

  210. Sébastien Durand

    C’est peut-être l’occasion de dépoussiérer l’image du prof « vieillot » qu’on a parfois. Un coup de jeune, ça peut faire du bien.

  211. Christophe Durand

    On parle de simplification, mais j’ai peur que ça crée surtout une génération de profs moins bien préparés au réel défi de la classe.

  212. Moi, j’espère juste qu’on ne va pas encore fragiliser l’accompagnement des élèves en difficulté. C’est déjà tellement compliqué.

  213. Moi, ce qui m’inquiète le plus, c’est la perte de liberté pédagogique que ces réformes induisent souvent. On standardise à outrance.

  214. Je me demande si cette réforme va vraiment s’attaquer au problème de fond : le manque de reconnaissance sociale du métier. On peut simplifier l’accès, mais si on ne respecte pas les profs, ça ne suffira pas.

  215. Une rémunération plus précoce, c’est bien, mais quid de la valorisation de l’expérience ? On risque de démotiver ceux qui ont choisi l’enseignement plus tard.

  216. Une réforme de plus… J’ai l’impression qu’on panique et qu’on bricole au lieu de réfléchir en profondeur. J’attends de voir les détails concrets avant de me faire un avis.

  217. Simplifier l’accès, c’est bien joli, mais j’espère qu’on ne va pas sacrifier la qualité de la formation sur l’autel de la rapidité. L’enseignement, c’est un art qui s’apprend.

  218. Enfin une initiative pour essayer de rendre le métier plus accessible ! Peut-être que mes enfants auront plus de chance d’avoir des profs motivés.

  219. J’ai surtout peur que ça attire des gens qui voient juste un job « facile » et stable, pas des passionnés. On a besoin d’âmes pour élever nos enfants.

  220. J’ai l’impression qu’on met le pansement avant de soigner la jambe cassée. On attire avec l’argent, mais le problème est bien plus profond.

  221. J’ai toujours pensé que le problème venait du manque de soutien psychologique pour les enseignants. On les envoie au front sans armure.

  222. J’espère qu’ils vont écouter les enseignants actuels avant de tout changer. Ils sont les mieux placés pour savoir ce qui fonctionne… et ce qui ne fonctionne pas.

  223. J’ai l’impression qu’on cherche à éteindre un incendie avec un verre d’eau. L’attractivité du métier, c’est pas juste une question de salaire au début.

  224. Franchement, j’ai surtout peur pour les matières « moins populaires » comme les langues anciennes. Qui va encore vouloir les enseigner ?

  225. Je me demande si cette réforme va vraiment changer la perception du métier. Pour moi, c’est surtout une vocation, un engagement. L’argent, c’est important, mais ça ne suffit pas.

  226. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la charge de travail. Même avec un meilleur salaire, si on est toujours débordé, ça ne changera rien.

  227. J’ai peur que cette réforme ne crée qu’une course à l’échalote salariale, sans améliorer la qualité de l’enseignement ni le bien-être des élèves. La passion ne s’achète pas.

  228. J’ai hâte de voir comment cette réforme va impacter les écoles rurales. L’attractivité salariale, c’est bien, mais il faut aussi penser aux conditions de vie.

  229. Je pense qu’on oublie souvent l’importance du respect. Un prof respecté par ses élèves et leurs parents, c’est déjà beaucoup.

  230. Espérons que ça permettra d’avoir moins de contractuels non formés devant les classes. C’est ça qui m’inquiète le plus pour l’avenir de mes enfants.

  231. J’espère que cette réforme ne se contentera pas de mettre un pansement sur une jambe de bois. Il faut revaloriser le rôle de l’enseignant dans la société.

  232. C’est bien joli de parler de simplification, mais j’espère que le contenu des formations ne sera pas allégé au détriment de la pédagogie.

  233. Réforme ou pas, je me demande comment on va redonner envie aux jeunes de s’investir dans un métier si prenant. C’est un sacerdoce, plus qu’un job.

  234. J’ai toujours pensé que l’amour du savoir se transmettait bien plus qu’il ne s’enseignait. J’espère que cette réforme ne va pas l’oublier.

  235. Plus d’argent plus tôt, c’est peut-être une solution… Mais avoir un bon prof, c’est surtout avoir quelqu’un qui t’ouvre les yeux sur le monde. J’espère qu’on y pensera aussi.

  236. J’ai peur qu’en voulant aller vite, on oublie de former des enseignants qui comprennent vraiment les difficultés des élèves d’aujourd’hui.

  237. J’ai l’impression qu’on se focalise trop sur l’urgence. Et si on repensait le rôle de l’école dans son ensemble, plutôt que de juste colmater les brèches ?

  238. Simplifier l’accès, oui, mais j’espère que ça ne se fera pas au détriment de la qualité. On ne forme pas des profs à la chaîne.

  239. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le contenu des cours. Est-ce qu’on va enfin se concentrer sur des compétences vraiment utiles pour la vie ?

  240. Cette réforme, c’est comme mettre un pansement sur une jambe de bois. Le problème est plus profond que ça. L’école n’est plus valorisée, ni par la société, ni par les élèves eux-mêmes.

  241. Jacqueline Durand

    Cette réforme me fait penser à ma propre scolarité. J’aurais aimé avoir des profs plus épanouis, ça aurait fait toute la différence.

  242. J’espère que cette réforme prendra en compte la diversité des profils d’élèves. On a trop tendance à uniformiser l’enseignement.

  243. Je me demande si cette réforme va vraiment changer la perception du métier. On parle toujours des profs comme des fonctionnaires, rarement comme des acteurs essentiels de notre avenir.

  244. En tant que parent, ce qui m’intéresse, c’est : est-ce que cette réforme va attirer des profs passionnés ? C’est ça qui compte pour nos enfants.

  245. J’ai peur que cette réforme ne soit qu’un effet d’annonce. Attirer plus de monde, c’est bien, mais encore faut-il les garder motivés sur le long terme. Le découragement guette vite.

  246. J’espère que cette réforme ne va pas créer une génération de profs qui ne connaissent que la théorie. L’expérience du terrain est irremplaçable.

  247. Si on attire plus de monde avec des promesses, il faudra vraiment les accompagner. Le burnout, c’est un vrai danger dans ce métier.

  248. Si ça marche, tant mieux, mais j’ai du mal à croire qu’une simple réforme administrative va effacer des années de dévalorisation.

  249. J’y crois moyen. J’ai peur qu’en voulant aller vite, on sacrifie la qualité de la formation.

    Le problème, c’est pas tant le recrutement, mais le manque de moyens après.

  250. Moi, ce qui m’inquiète, c’est si cette réforme va accentuer les inégalités entre les établissements. Les « bons » élèves iront-ils toujours dans les mêmes lycées ?

  251. Moi, ce qui me frappe, c’est que la réforme se concentre sur l’entrée dans le métier. Mais quid de ceux qui sont déjà là et qui se sentent oubliés ?

  252. Franchement, j’espère juste que cette réforme ne va pas créer un « enseignement au rabais » pour nos gosses. On parle de l’avenir, là !

  253. Je me demande si on a vraiment écouté les profs avant de pondre ça. J’ai l’impression qu’on légifère toujours depuis un bureau.

  254. Moi, j’ai hâte de voir si cette réforme attirera des profils différents, moins « formatés ». On a besoin de plus de diversité dans les équipes.

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