La récolte de septembre qui vous fait économiser 200€ d’épices selon les maraîchers pro

Fatigué de dépenser des fortunes en petites fioles d’épices et d’herbes séchées au supermarché ? Chaque pot ajoute quelques euros à la note, et à la fin de l’année, la facture est bien plus salée qu’on ne l’imagine. Une solution simple et économique se trouve pourtant dans votre jardin : la récolte de septembre permet de constituer un stock annuel et d’économiser jusqu’à 200 euros.

Comment votre potager de septembre peut-il remplacer vos épices ?

Pour Julien Bernard, un chef de projet de 42 ans vivant près de Lyon, le déclic a été radical. « Je regardais mon chariot de courses et le prix des herbes séchées m’a choqué. C’est à ce moment que j’ai décidé de mieux utiliser mon potager. » Auparavant, il achetait ses aromates sans y penser. Sur les conseils d’un maraîcher local, il a commencé à récolter les graines et à sécher les feuilles de ses propres plants en fin de saison.

Le résultat fut une révélation. Non seulement les saveurs étaient incomparablement plus intenses, mais les économies réalisées étaient substantielles. Désormais, son mois de septembre est dédié à la préparation de son « garde-manger d’épices » pour les douze prochains mois, transformant une simple parcelle de terre en une véritable source d’économies et de goût.

Le secret des maraîchers : la récolte des graines et herbes

Le principe est simple : de nombreuses plantes aromatiques montent en graines à la fin de l’été. Septembre, avec ses journées encore ensoleillées et son air plus sec, est le moment idéal pour les cueillir avant qu’elles ne tombent. En séchant naturellement, les herbes et les graines conservent un maximum de leurs huiles essentielles, ce qui garantit un parfum puissant que les produits industriels peinent à égaler.

  • Le fenouil : ses graines anisées sont parfaites pour les poissons ou les pains maison.
  • Le persil et le cerfeuil : une fois séchées, leurs feuilles se conservent parfaitement pour aromatiser les soupes et les sauces.
  • La ciboulette : ciselée et séchée, elle reste un classique pour les vinaigrettes et les fromages frais.
  • Les piments : récoltés bien rouges, ils peuvent être séchés pour produire une poudre relevée.

Les bénéfices concrets d’une récolte bien menée

Au-delà du plaisir de consommer sa propre production, l’impact financier est direct. Remplacer les achats réguliers d’herbes de Provence, de graines de fenouil ou de persil déshydraté allège considérablement le budget courses. De plus, vous avez un contrôle total sur la qualité, sans additifs ni conservateurs, pour une alimentation plus saine.

Produit Coût annuel en magasin (estimation) Coût de production au jardin
Herbes séchées (persil, ciboulette, etc.) 80 € Moins de 5 € (coût des graines initiales)
Épices (graines de fenouil, piment) 60 € Moins de 5 €
Infusions (verveine, menthe) 60 € Moins de 5 €

Astuces pour optimiser votre production d’épices maison

Pour réussir votre récolte, quelques gestes simples suffisent. Il est possible de créer des huiles et des vinaigres aromatisés en y laissant macérer des herbes fraîches. Vous pouvez également préparer des sels aux herbes en mixant du gros sel avec vos feuilles séchées. L’important est d’expérimenter pour découvrir de nouvelles saveurs.

  1. Récoltez par temps sec : choisissez une matinée ensoleillée pour que les plantes ne soient pas humides.
  2. Suspendez les bouquets : pour les herbes feuillues, formez des petits bouquets et suspendez-les la tête en bas dans un lieu sec, aéré et sombre.
  3. Utilisez des sacs en papier : pour les graines, placez les têtes de fleurs dans un sac en papier pour récupérer facilement les graines qui tombent.

Au-delà des économies : un impact plus large

Adopter cette pratique s’inscrit dans une démarche plus globale d’autosuffisance et de consommation raisonnée. En produisant vos propres condiments, vous réduisez votre dépendance aux chaînes d’approvisionnement longues et votre empreinte écologique. C’est un pas vers une meilleure compréhension du cycle des plantes et de la valeur de ce que nous mangeons.

Cette initiative influence positivement les habitudes de consommation, passant d’un achat passif à une production active. Elle favorise également le partage de savoir-faire et de semences au sein de la communauté locale, renforçant les liens et la résilience collective face aux enjeux alimentaires de demain.

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326 réflexions sur “La récolte de septembre qui vous fait économiser 200€ d’épices selon les maraîchers pro”

  1. J’ai toujours rêvé d’avoir un jardin d’herbes aromatiques. L’article me donne envie de me lancer, même à petite échelle sur mon rebord de fenêtre.

  2. Mouais, 200€ d’économies, ça dépend vraiment de ce qu’on cuisine. J’utilise surtout du poivre et du sel, donc l’impact serait minime pour moi.

  3. L’idée est sympa, mais transformer mes herbes fraîches en épices sèches, c’est un boulot ! J’ai essayé une fois, le résultat était sans saveur. Je préfère acheter en petite quantité quand j’en ai besoin.

  4. Je suis d’accord sur le principe ! Cultiver ses herbes, c’est super pour le goût. Mais 200€, c’est peut-être un peu optimiste. Personnellement, je trouve surtout que c’est un vrai plaisir de cuisiner avec ses propres herbes.

  5. Franchement, j’adore l’idée de l’autonomie, mais je n’ai absolument pas la main verte. Mes tentatives se soldent toujours par des plantes mourantes, alors je préfère laisser faire les pros.

  6. 200€, c’est une belle somme! Mais franchement, le temps passé à jardiner, c’est du temps que je ne passe pas à lire ou à me balader. Le calcul est vite fait.

  7. Moi, je trouve que c’est surtout une question de satisfaction personnelle. L’économie est un bonus, mais le vrai truc, c’est de savoir d’où viennent mes aromates.

  8. C’est tentant, mais pour être honnête, je suis plutôt du genre à oublier mes herbes fraîches au fond du frigo… les faire sécher, c’est une autre paire de manches.

  9. C’est vrai qu’on en met partout des épices ! Moi, j’achète en gros dans les épiceries exotiques, c’est déjà bien moins cher qu’en supermarché.

  10. L’article est sympa, mais j’ai peur de me retrouver avec des kilos de thym et rien d’autre. Varier les plaisirs, c’est aussi important !

  11. C’est marrant, moi je vois surtout le côté plaisir de cuisiner des plats avec des herbes qu’on a vu grandir. L’aspect financier, c’est secondaire.

  12. Je ne sais pas si j’économiserais 200€, mais l’idée de parfumer ma cuisine avec mes propres créations, ça me motive plus que l’aspect financier.

  13. Intéressant comme perspective. Personnellement, je n’ai pas de jardin, mais je pourrais peut-être essayer de cultiver quelques herbes aromatiques sur mon balcon.

  14. Moi, c’est l’inverse. J’adore jardiner, mais je n’utilise jamais mes herbes. Elles finissent toujours par se perdre dans des recettes trop compliquées.

  15. Franchement, 200€ d’économies, je n’y crois pas une seconde. Mais le bonheur de cueillir sa propre menthe pour un thé, ça, c’est inestimable.

  16. 200€, ça me semble ambitieux, mais l’idée de contrôler ce que je mange et d’éviter les pesticides, ça, ça me parle beaucoup plus.

  17. 200€, c’est peut-être vrai pour ceux qui font leur propre curry tous les jours. Moi, j’achète surtout des mélanges tout faits, ça simplifie tellement la vie.

  18. Je suis incapable de faire sécher correctement mes herbes, elles finissent toujours par moisir. Autant continuer à acheter mes épices, au moins je suis sûr du résultat.

  19. 200€, ça dépend vraiment de ce qu’on cuisine ! Perso, j’utilise surtout du sel, du poivre et du piment d’Espelette. La récolte de septembre ne va pas m’aider beaucoup…

  20. L’idée est séduisante, mais mon jardin ressemble plus à une jungle qu’à un potager… Je crois que je vais rester fidèle à mon épicier.

  21. Les épices, c’est comme les souvenirs de voyage, un petit goût qui te transporte. 200€, c’est le prix d’un billet de train ! Je préfère voyager.

  22. 200€? C’est pas tant le prix qui m’interpelle, mais l’espace. Mon balcon est déjà squatté par les tomates! Faut choisir ses priorités.

  23. 200€, c’est tentant, mais je me connais : je sèmerais tout en même temps, puis j’oublierais d’arroser. Les épices du supermarché ont encore de beaux jours devant elles avec moi !

  24. 200€, c’est peut-être vrai si on a la main verte… Moi, j’ai plutôt la main noire, tout ce que je touche fane. Autant ne pas gâcher de graines!

  25. 200€ d’économies, c’est séduisant sur le papier, mais quel temps faut-il y consacrer ? Entre le jardinage, le séchage et le stockage, je préfère peut-être payer un peu plus et profiter de mes …

  26. Mouais, 200€, c’est joli comme argument marketing, mais l’article oublie le plus important : le goût ! Les herbes fraîches du jardin, c’est incomparable avec les trucs séchés du commerce.

  27. Moi, je me demande surtout comment on fait tenir tout ça, une fois séché ? J’imagine des bocaux partout, ça doit vite prendre de la place dans les placards.

  28. Je trouve l’idée séduisante, mais je me demande si ça vaut le coup pour les épices qu’on utilise rarement. Mieux vaut se concentrer sur le basilic et la menthe, non ?

  29. 200€, ça me semble beaucoup. Mais l’idée de savoir exactement d’où viennent mes épices, ça me plaît. Plus de transparence dans l’assiette !

  30. J’ai toujours trouvé un certain snobisme à cultiver ses herbes. Comme si c’était la preuve ultime d’une vie réussie ! Moi, j’assume mon côté pratique et mes épices du supermarché.

  31. Franchement, le jardinage, c’est pas pour moi. Je préfère flâner au marché et papoter avec les producteurs. C’est ça, mon petit plaisir.

  32. Je me demande si le jeu en vaut vraiment la chandelle. Mon temps libre est précieux, et puis, j’adore tester de nouvelles épices exotiques que je ne pourrais jamais cultiver moi-même.

  33. 200€, c’est peut-être vrai si on cuisine énormément. Moi, le plaisir de sentir le parfum du romarin quand je passe dans le jardin, ça n’a pas de prix.

  34. 200€, je n’y crois pas une seconde. Mais le vrai gain, c’est peut-être de retrouver le goût des vraies saveurs. Les herbes séchées du commerce sont souvent fades.

  35. Je suis un peu sceptique sur le montant, mais l’odeur du basilic frais coupé, c’est incomparable. Ça me rappelle les étés chez ma grand-mère.

  36. C’est marrant, moi c’est l’inverse. J’ai commencé à cultiver et finalement, j’en achète plus. La récolte est tellement abondante que je teste plein de recettes !

  37. 200€, ça dépend de ta consommation, évidemment. Mais le vrai truc, c’est la satisfaction de cuisiner avec ce qu’on a fait pousser soi-même. Un petit bonheur simple.

  38. Moi, j’ai surtout peur des bestioles qui pourraient se loger dans mes herbes séchées ! L’idée est sympa, mais le côté « nature », ça me fait un peu flipper.

  39. Moi, l’idée de faire sécher mes herbes, ça me rappelle les vacances d’été ! Un peu de soleil dans l’assiette en plein hiver, c’est toujours bon à prendre.

  40. Je suis plutôt du genre à oublier mes plantes sur le balcon. L’idée est bonne, mais j’ai peur de gaspiller plus en graines et en terreau que ce que je n’économiserais en épices.

  41. Économiser 200€ ? Bof. Mais l’article me donne envie de ressortir mes vieux livres de cuisine et de tester des recettes oubliées. C’est ça, le vrai intérêt.

  42. 200€, c’est peut-être exagéré… Mais franchement, l’idée d’avoir du thym maison pour mes tisanes d’hiver, ça me tente bien plus que l’aspect financier.

  43. 200€, c’est le prix d’un bon resto, c’est vrai. Mais le vrai luxe, c’est savoir exactement ce qu’il y a dans mon assiette, et ça, ça n’a pas de prix. Même si c’est juste du persil.

  44. 200€, c’est peut-être vrai si on cuisine tous les jours des plats élaborés. Moi, un peu de poivre et de sel, ça me suffit souvent… L’investissement me semble disproportionné par rapport à mes besoins réels.

  45. 200€ d’économies ? C’est tentant, mais mon balcon ressemble plus à un cimetière de plantes qu’à un jardin d’Eden… Je crois que je vais rester fidèle à mon épicier.

  46. 200€ d’économies, c’est pas négligeable, surtout avec l’inflation ! Mais j’ai jamais eu la main verte, alors je risque plus de tuer les plantes que de faire des réserves.

  47. 200€, c’est pas faux. Mais la vraie richesse, c’est d’avoir toujours sous la main la saveur exacte dont j’ai envie, sans courir au magasin.

  48. 200€, c’est une belle carotte pour nous faire jardiner ! Mais entre le temps, l’arrosage et les limaces… l’épice maison risque de coûter plus cher que chez Ducros !

  49. 200€, c’est peut-être vrai pour les familles nombreuses. Moi, célibataire, j’aurais du mal à consommer autant d’épices, même en étant motivé !

  50. 200€, ça me fait rêver ! Mais l’article ne parle pas du plus important : le goût incomparable des herbes fraîches du jardin. C’est ça, le vrai luxe.

  51. 200€ ? C’est oublier le principal : la satisfaction de cuisiner avec ce qu’on a fait pousser soi-même. Un plat mijoté avec mes herbes, c’est incomparable.

  52. 200€, c’est une somme, certes. Mais l’article oublie le plaisir d’offrir des petits pots d’herbes à Noël. Un cadeau fait maison, ça n’a pas de prix !

  53. 200€, c’est bien joli, mais ça suppose d’avoir la main verte. Moi, la seule chose qui pousse bien dans mon jardin, c’est le lierre !

  54. 200€ d’économies, c’est pas négligeable. Mais pour moi, c’est surtout l’assurance d’avoir des épices bio et sans traitements bizarres.

  55. 200€ ? Mouais, c’est une moyenne. Ça dépend surtout de ce qu’on cuisine et de ce qu’on utilise comme épices. Moi, je suis plutôt poivre et piment d’Espelette, donc…

  56. 200€, c’est peut-être vrai pour certains, mais pour moi ce serait surtout une excuse pour passer plus de temps dehors à jardiner, et ça, c’est déjà une victoire.

  57. 200€, c’est peut-être vrai, mais j’ai surtout peur d’avoir un goût d’herbes séchées qui rappelle trop le pot-pourri de ma grand-mère dans mes plats.

  58. 200€ ? C’est peut-être valable pour ceux qui ont un jardin, mais en appartement, on fait comment ? Le basilic sur le rebord de la fenêtre, ça compte ?

  59. 200€ d’économies, c’est tentant, mais je n’ai jamais réussi à bien sécher mes herbes. Elles finissent toujours par moisir, malgré tous mes efforts. Une vraie déception.

  60. 200€, je ne suis pas sûr, mais l’idée de contrôler la provenance et la qualité de mes épices, ça me parle beaucoup plus que l’aspect financier.

  61. 200€, ça me paraît un peu exagéré, mais l’idée de faire ses propres mélanges d’herbes pour la cuisine, ça, ça me motive vraiment ! Terminé les herbes de Provence industrielles !

  62. 200€, je n’y crois pas trop, mais l’idée de personnaliser mes mélanges d’épices selon mes goûts, ça, ça me parle. Je pourrais enfin doser le thym comme je l’aime !

  63. 200€, c’est du marketing, clairement. Mais l’idée de devenir un peu plus autonome en cuisine, ça me plaît. Je vais commencer petit, avec quelques aromates faciles.

  64. 200€, je suis dubitatif. Mais l’odeur du thym frais séchant au soleil, ça, ça me rappelle mon enfance. Rien que pour ça, ça vaut le coup.

  65. 200€, je trouve ça rigolo. Mon grand-père disait toujours : « Le meilleur engrais, c’est les pas du jardinier ». Le vrai gain, c’est le temps passé dehors.

  66. 200€, je demande à voir ! Mais franchement, l’idée de moins dépendre des grandes surfaces, ça résonne fort avec mes convictions. Un petit pas vers plus d’autonomie, ça vaut peut-être le coup d’essayer.

  67. 200€, c’est peut-être vrai pour ceux qui cuisinent tous les jours. Moi, ça serait surtout une bonne excuse pour enfin m’occuper de ce carré d’herbes que j’ai laissé à l’abandon.

  68. 200€, c’est peut-être vrai. Mais le temps passé à jardiner, c’est du temps en moins pour mes séries ! Le calcul est vite fait, pour moi.

  69. 200€, c’est peut-être une bonne affaire, mais la place dans le congélateur, elle est pas gratuite. Faut voir si le jeu en vaut la chandelle.

  70. 200€, c’est tentant, mais la vérité, c’est que mes herbes finissent souvent par mourir avant que j’aie le temps de les utiliser. Peut-être que je devrais commencer par apprendre à les entretenir…

  71. 200€, c’est une belle somme, mais ça dépend de l’échelle. Moi, ce serait surtout l’occasion d’offrir des petits pots d’herbes à mes voisins. Un geste sympa, plus qu’une économie.

  72. 200€, c’est peut-être vrai. Mais est-ce qu’on parle du goût ? Les herbes du jardin, fraîchement coupées, c’est incomparable. Le reste, c’est du foin.

  73. 200€, mouais… J’ai essayé une fois. Résultat : des sachets d’herbes séchées sans goût qui ont fini à la poubelle. Je préfère acheter moins, mais de la qualité.

  74. 200€ ? Possible, mais il faut avoir la main verte. Moi, j’ai surtout peur d’attirer les limaces dans mon jardin. C’est ça, le vrai coût caché !

  75. 200€ d’économies ? Ce serait surtout l’occasion de tester des recettes plus audacieuses ! Plus besoin de se retenir sur la quantité de cumin ou de coriandre.

  76. 200€, ça me paraît une bonne motivation pour enfin me lancer dans le séchage des herbes, une activité que j’ai toujours remise à plus tard.

  77. 200€, si on a déjà le jardin et les outils, c’est du bonus. Mais créer le potager juste pour ça, ça me paraît un peu tiré par les cheveux.

  78. 200€, c’est peut-être surfait, mais rien que l’odeur du thym séchant dans la maison, ça vaut de l’or. Un petit bonheur simple qui change la vie.

  79. 200€, ça dépend surtout de ce que j’utilise. Perso, je suis plus paprika fumé et piment d’Espelette que persil plat. L’économie, c’est pas garanti !

  80. 200€, c’est tentant. Mais entre le temps passé et le risque de rater le séchage, je me demande si le jeu en vaut vraiment la chandelle. Le confort du magasin a un prix, c’est sûr.

  81. 200€, c’est peut-être vrai pour les familles qui cuisinent énormément indien. Moi, avec mes deux pincées d’herbes de Provence sur le poulet du dimanche, j’en suis loin !

  82. 200€, c’est peut-être une moyenne. Moi, ça me rappellerait surtout le goût de l’été tout l’hiver. Un peu de soleil dans l’assiette, quoi.

  83. 200€ ? Ça me paraît beaucoup, mais c’est vrai que ça donnerait une excuse pour enfin m’occuper de ce carré d’herbes qui dépérit sur mon balcon.

  84. 200€, je n’y crois pas une seconde. Mais j’avoue, l’idée de ne plus dépendre des marques et de leurs emballages plastiques me séduit.

  85. 200€ ? Bof. Moi, c’est surtout le plaisir de voir mes herbes pousser qui compte. L’odeur, les couleurs, c’est un mini-jardin zen sur mon balcon. L’économie, c’est du bonus.

  86. 200€, je dis pourquoi pas ! Mais pour moi, le vrai intérêt, c’est de savoir exactement ce qu’il y a dans mes épices. Fini les mélanges douteux du commerce.

  87. 200€, c’est une belle promesse, mais pour moi, c’est surtout une façon de renouer avec des savoir-faire oubliés. Un retour aux sources, en quelque sorte.

  88. 200€, c’est peut-être vrai. Mais bon, je n’ai pas de jardin. Faudrait déjà que je pense à acheter des pots… et des graines. Un investissement, en fait !

  89. 200€, ça me semble un peu exagéré, mais l’idée est là. C’est surtout l’assurance d’avoir des produits frais, sans pesticides et avec plus de goût. Un vrai luxe, finalement.

  90. SportifDuDimanche

    200€, c’est peut-être atteignable pour les très gros consommateurs d’épices exotiques. Moi, avec du thym et du romarin, je suis loin du compte !

  91. 200€ d’économies ? Mouais… Je pense que l’argument est un peu vendeur, mais l’idée de faire ses propres mélanges, d’avoir une signature gustative unique, ça, ça me parle beaucoup plus.

  92. Je suis sceptique sur le montant, mais l’idée de contrôler la qualité de mes épices et de limiter les intermédiaires est séduisante. Plus sain et plus éthique, ça vaut le coup d’essayer.

  93. ProvincialeHeureuse

    200€ ? Disons que ça paiera peut-être mes plants de l’année prochaine ! Mais le vrai gain, c’est la satisfaction de cuisiner avec ce que j’ai fait pousser.

  94. MécanicienRetraité

    200€, c’est peut-être vrai si on considère aussi le prix du basilic frais à 4€ la barquette… Mais il faut avoir la main verte ! Moi, j’ai plutôt tendance à faire mourir mes plants.

  95. InstitutricePassionnée

    L’article me fait penser à ma grand-mère. Elle avait toujours son petit coin d’herbes aromatiques et ses plats étaient… inimitables. L’argent, elle s’en fichait un peu, c’était surtout le goût qui comptait.

  96. 200€, je n’y crois pas une seconde. Mais le plaisir de sentir le parfum du thym citronné séchant sur mon balcon, ça n’a pas de prix.

  97. Baptiste Bernard

    Moi, j’y vois surtout un antidote à la standardisation du goût. Retrouver la saveur d’un basilic gorgé de soleil, c’est ça le vrai luxe.

  98. Clément Bernard

    200€, c’est sans doute possible si on remplace tous les mélanges d’épices industriels. Mais perso, je préfère la praticité d’un pot déjà prêt, même si c’est plus cher.

  99. 200€, ça me paraît exagéré, mais le vrai problème, c’est le temps. Entre le boulot et les enfants, je ne vois pas comment je pourrais m’y consacrer.

  100. Étienne Bernard

    200€, ça me semble une belle carotte marketing. Mais l’idée de cuisiner avec ses propres herbes, c’est un vrai geste de réappropriation. On se reconnecte au vivant, non?

  101. Septembre, c’est déjà la rentrée ! L’idée est sympa, mais je préfère flâner et profiter des derniers rayons de soleil que me transformer en petit chimiste des saveurs.

  102. Guillaume Bernard

    200€ ? Impossible pour moi, je n’utilise que du poivre et du sel ! Mais c’est vrai que les herbes fraîches du jardin ont un goût incomparable.

  103. 200€ ? Ça dépend tellement de ce qu’on cuisine ! Moi, j’aime les plats du monde, avec des épices rares qu’on ne cultive pas ici.

  104. 200€, ça semble beaucoup pour moi qui utilise surtout des herbes de Provence séchées. Mais l’idée d’avoir un jardin qui sent bon, c’est tentant. Peut-être commencer petit, avec quelques pots su…

  105. 200€ ? C’est peut-être vrai pour les accros aux épices. Moi, je me contente de quelques brins de romarin sur mon balcon, juste pour parfumer mes grillades. Un petit plaisir simple.

  106. 200€ ? Mouais… J’achète en gros dans les épiceries ethniques, c’est déjà bien moins cher que les supermarchés. Le jardin, c’est plus pour le plaisir que pour l’économie.

  107. 200€, c’est une belle somme ! Mais pour moi, le vrai gain, c’est le goût. Rien à voir avec ces épices fades du commerce. La saveur d’une herbe fraîchement coupée, ça n’a pas de prix.

  108. 200€ ? Bof, l’investissement initial en plants et en terreau, sans parler du temps passé, risque de plomber l’opération. À voir si le jeu en vaut vraiment la chandelle.

  109. 200€, c’est peut-être vrai si on a le temps de faire sécher tout ça correctement. Moi, la moitié finirait en moisi, c’est sûr. Dommage !

  110. 200€, c’est pas négligeable ! Mais mon balcon est minuscule, alors je me concentre sur ce que j’utilise le plus. Basilic et ciboulette, ça suffit à mon bonheur culinaire.

  111. 200€, c’est tentant, mais le temps! Entre le boulot et les enfants, je n’ai déjà plus une minute. Je préfère optimiser mes week-ends et acheter mes épices, même si c’est plus cher.

  112. Sébastien Bernard

    200€, ça me fait rêver ! Mais pour être honnête, j’ai surtout peur des limaces qui dévorent tout avant même que je puisse récolter quoi que ce soit.

  113. 200€ ? Je n’y crois pas vraiment, mais l’idée d’avoir mes propres herbes, c’est surtout pour le côté « fait maison » et le plaisir de cuisiner avec.

  114. Alexandre Bernard

    200€, ça dépend vraiment de ce qu’on cuisine ! Perso, je préfère investir dans des épices rares et voyager gustativement. Le jardin, c’est sympa, mais limité.

  115. Benjamin Bernard

    200€, c’est une promesse alléchante, mais je me demande si ça prend en compte le plaisir de flâner dans les marchés à la recherche de nouvelles saveurs. C’est aussi ça, la cuisine.

  116. Christophe Bernard

    200€, c’est peut-être vrai, mais j’ai l’impression qu’on minimise le savoir-faire. Sécher correctement les herbes, c’est un art !

  117. 200€ d’économies ? Mouais… Pour moi, c’est surtout un anti-stress. Aller couper quelques brins de romarin après une journée difficile, ça n’a pas de prix.

  118. Emmanuel Bernard

    200€ d’économies, c’est pas le plus important. C’est surtout un geste écolo, non ? Moins d’emballages, moins de transport.

  119. François Bernard

    200€, c’est peut-être vrai pour certains, mais moi, j’oublie toujours d’arroser! Mes herbes finissent toujours par faner avant la récolte…

  120. Grégoire Bernard

    200€ d’économies, c’est un argument de vente facile. Moi, je me demande surtout si mes herbes auront plus de goût que celles du magasin. C’est ça le vrai enjeu!

  121. 200€, c’est tentant, mais je n’ai pas de jardin. Et sur mon balcon, mes tentatives ont toujours été des échecs. L’article ne parle pas de ceux qui n’ont pas la main verte !

  122. L’article est sympa, mais je trouve que ça fait culpabiliser. On a déjà tellement de choses à faire… Encore un truc « écolo » en plus à gérer !

  123. 200€, ça me paraît beaucoup. Je me demande si c’est pas un peu exagéré comme chiffre pour attirer le chaland. Moi, j’y crois moyen.

  124. Béatrice Bernard

    200€, c’est bien joli, mais il faut déjà avoir envie de cuisiner avec ses propres herbes. Moi, j’avoue que je suis plutôt adepte du « vite fait, bien fait » avec des plats préparés.

  125. C’est vrai que j’adore l’idée, mais j’ai peur que mes herbes finissent par prendre la poussière au fond d’un placard… Comme tous mes beaux projets !

  126. Delphine Bernard

    Moi, ce qui me plaît, c’est l’idée d’avoir mes propres saveurs. Un plat mijoté avec du thym du jardin, ça change tout!

  127. C’est une belle idée, mais personnellement, l’odeur des herbes séchées du jardin me rappelle surtout les placards de ma grand-mère ! Peut-être que je préfère la commodité du supermarché, question de goût.

  128. Moi, j’adore l’idée, mais c’est un peu saisonnier, non ? En plein hiver, quand j’ai envie d’une soupe au thym, il faut faire comment ?

  129. Gabrielle Bernard

    Je me demande si c’est vraiment plus écologique. L’eau pour l’arrosage, les outils… au final, est-ce qu’on y gagne vraiment pour la planète ?

  130. L’idée est séduisante, mais entre le temps de jardinage et de séchage, je me demande si le gain de temps au supermarché est vraiment significatif.

  131. 200€ d’épices ? Ça me semble optimiste. J’ai plutôt l’impression qu’on me propose un hobby chronophage qu’une réelle économie.

  132. 200€, c’est peut-être vrai si on cuisine beaucoup indien ou oriental. Moi, avec du persil et de la ciboulette, je suis loin du compte !

  133. Nathalie Bernard

    J’ai jamais réussi à faire sécher mes herbes correctement, ça finit toujours par moisir. Autant acheter un petit plant de basilic de temps en temps.

  134. J’ai toujours rêvé d’un jardin d’aromates luxuriant, mais la réalité, c’est que mes chats adorent y faire leurs besoins. Adieu l’idée d’économiser 200€, bonjour le rayon épices !

  135. Moi, j’ai surtout peur des limaces qui adorent mes plantations. Elles se feraient un festin d’épices avant même que j’ai le temps de récolter quoi que ce soit !

  136. Je suis d’accord sur le principe, mais la place ! Mon balcon est déjà envahi de tomates, impossible d’y caser un jardin d’épices en plus.

  137. Moi, je suis nulle en jardinage, alors je préfère aller me balader en forêt et ramasser des herbes sauvages comestibles. C’est gratuit et on fait du sport !

  138. Je me demande si ça vaut le coup en terme de goût. Les épices fraîches, c’est incomparable. Séchées maison, est-ce qu’on retrouve vraiment cet arôme ?

  139. J’adore l’idée de l’autonomie, c’est vrai. Mais entre acheter les graines, le terreau, et l’entretien, je suis pas sûr qu’on gagne tant que ça au final.

  140. Brigitte Bernard

    200€, ça dépend vraiment de ce qu’on cuisine. Je suis plus « cuisine de grand-mère », alors ça me ferait surtout économiser sur le thym et le laurier.

  141. Catherine Bernard

    200€ d’économies, ça me paraît ambitieux. Par contre, le plaisir de cuisiner avec ses propres herbes, ça, ça n’a pas de prix. Un petit bouquet de basilic frais du jardin, c’est tellement meille…

  142. C’est une belle idée, mais ça me rappelle surtout les confitures de ma grand-mère : beaucoup de travail pour un résultat parfois aléatoire.

  143. 200€, c’est peut-être vrai pour un chef étoilé ! Moi, ce serait surtout une bonne excuse pour enfin faire pousser cette menthe que j’adore dans mes mojitos.

  144. 200€, ça me semble un peu survendu. Mais l’idée d’avoir mes propres herbes me motive surtout pour le côté zéro déchet, moins de plastique dans mes placards !

  145. 200€, c’est du marketing. Mais rien que l’odeur du thym citronné séchant sur le rebord de la fenêtre, ça vaut la peine.

  146. Jacqueline Bernard

    200€ ? Pas mon budget épices annuel, clairement. Mais le vrai luxe, c’est de pouvoir improviser une recette avec ce qu’on a sous la main, sans courir au magasin.

  147. 200€, c’est peut-être un peu exagéré, mais moi ce qui me plaît, c’est l’idée de reconnecter avec le rythme des saisons, même dans ma cuisine.

  148. 200€ ? Mouais, à moins de ne manger que des plats parfumés, j’en doute. Mais le vrai gain, c’est la saveur incomparable des herbes fraîches, impossible à retrouver dans les pots industriels.

  149. 200€, je trouve ça secondaire. Pour moi, c’est surtout une question de qualité : les épices du commerce sont souvent fades, celles du jardin, c’est une explosion de saveurs.

  150. 200€, ça dépend vraiment de ce qu’on cuisine ! Moi, c’est surtout le plaisir de voir mes enfants participer à la récolte et découvrir les goûts.

  151. 200€ d’économies, c’est peut-être vrai pour certains, mais moi, j’ai surtout peur des bêtes qui pourraient s’inviter dans mes herbes séchées…

  152. Guillaume Dubois

    200€, ça me paraît beaucoup, mais rien que l’idée de savoir exactement ce que je mets dans mes plats, ça me tente. Adieu les additifs cachés !

  153. 200€ d’économies ? Peut-être, mais le temps passé à cultiver, sécher et conserver, il faut le compter aussi. Pour moi, c’est un loisir, pas une source d’économies.

  154. 200€, c’est tentant, mais j’ai un chat qui adore grignoter tout ce qui traîne… je crains le désastre plus que les économies.

  155. 200€, ça sonne comme un argument marketing. Moi, j’ai surtout peur de me retrouver avec des kilos de thym que personne ne mange.

  156. 200€, un peu cliché comme accroche. Mais c’est vrai que j’ai toujours rêvé d’avoir un jardin d’herbes aromatiques. Peut-être que c’est l’occasion de me lancer enfin.

  157. 200€ d’économies ? Je préfère me concentrer sur le côté zéro déchet. Moins d’emballages, c’est déjà une belle victoire.

  158. 200€, c’est peut-être exagéré, mais l’odeur du basilic frais du jardin, ça n’a pas d’équivalent. Un vrai plaisir simple.

  159. 200€ ? Bof, l’argument est faible. Par contre, l’idée de parfumer ma propre huile d’olive avec mes herbes, ça, ça me parle beaucoup plus !

  160. 200€, ça dépend surtout de ce qu’on cuisine ! Moi, avec mes pâtes au beurre, je suis pas sûr d’amortir l’investissement en graines de basilic.

  161. 200€, c’est peut-être vrai pour ceux qui cuisinent exotique tous les jours. Moi, le persil et la ciboulette, ça suffit amplement. Le reste, c’est du luxe.

  162. Sébastien Dubois

    200€, c’est une belle promesse. Mais sincèrement, mon balcon, il est plus souvent envahi par les limaces que par le thym.

  163. 200€, c’est peut-être vrai pour certains… Moi, c’est surtout l’idée d’avoir des herbes fraîches à portée de main qui m’attire. Plus de saveur, moins de gaspillage.

  164. 200€, je ne calcule pas vraiment. Mais le plaisir de cueillir sa propre sauge pour une infusion, ça, ça n’a pas de prix pour moi.

  165. Alexandre Dubois

    200€, ça me laisse froid. Le vrai gain, c’est de savoir exactement ce qu’il y a dans mon assiette, sans pesticides cachés.

  166. 200€, c’est une belle carotte pour attirer l’attention. Mais soyons honnêtes, qui a le temps de vraiment s’en occuper ? Entre le boulot et les enfants, je crois que je préfère encore aller au marché.

  167. Christophe Dubois

    200€, mouais. Je suis nul en jardinage, tout ce que je plante finit par mourir. Autant acheter directement des épices bio, au moins je suis sûr du résultat.

  168. 200€, je doute que ça couvre mes dépenses en matériel de jardinage ! Mais bon, l’idée de faire pousser ma propre menthe pour mes mojitos… ça me motive déjà plus !

  169. Grégoire Dubois

    200€, c’est tentant… Mais je préfère soutenir les petits producteurs locaux. Leurs épices ont plus de goût, et je sais d’où elles viennent.

  170. 200€, ça dépend tellement de ce qu’on cuisine ! Moi, je suis plus poivre de Sichuan et cardamome que persil et ciboulette. L’investissement initial serait conséquent !

  171. 200€ ? L’argument financier est faible. Mais l’idée de maîtriser mon approvisionnement en saveurs, ça me parle plus. Moins dépendant de la grande distribution, c’est déjà ça.

  172. 200€, c’est peut-être vrai, mais le vrai luxe, c’est le goût frais toute l’année. Les herbes séchées du commerce, c’est souvent fade.

  173. 200€, c’est peut-être possible pour certains, mais moi, avec mon balcon, je vais plutôt miser sur quelques aromates essentiels. Basilic, persil, ciboulette.

  174. Béatrice Dubois

    200€, c’est pas le sujet. Moi, ce qui me freine, c’est l’idée de sécher tout ça. J’ai toujours l’impression que ça prend la poussière et qu’on finit par ne plus s’en servir.

  175. 200€, c’est une belle promesse. Mais le temps passé au jardin, ça a un prix aussi. Est-ce que le jeu en vaut vraiment la chandelle ?

  176. 200€ ou pas, je n’ai pas de jardin. Mais je me demande si on peut vraiment comparer le goût des épices fraîches à celles qu’on sèche soi-même ?

  177. 200€, je n’y crois pas une seconde. Mais l’idée de parfumer mon huile d’olive avec mes propres herbes, ça, ça me fait rêver.

  178. 200€, c’est peut-être vrai. Mais le plaisir de cuisiner avec des herbes du jardin, c’est inestimable. Pour moi, ça n’a pas de prix.

  179. Gabrielle Dubois

    200€, je me demande surtout quelle surface de jardin il faut pour ça ! Parce que mon carré de menthe, c’est sympa pour le thé, mais pas de quoi faire fortune.

  180. 200€ ? Bof, l’argent n’est pas ma motivation. Mais l’odeur du thym séchant dans la maison, ça, c’est un bonheur simple qui n’a pas de prix.

  181. 200€, c’est tentant, mais pour moi, le vrai gain, c’est de savoir exactement ce que je mange. Fini les mélanges douteux et les origines incertaines.

  182. 200€, ça me rappelle ma grand-mère. Elle avait toujours son potager, mais surtout, elle savait les utiliser, ces épices. Le savoir-faire, c’est ça le vrai trésor.

  183. 200€ d’économies, c’est toujours bon à prendre, mais mon problème, c’est surtout le gaspillage. Je finis toujours par jeter la moitié de mes épices, qu’elles viennent du jardin ou du magasin.

  184. 200€, ça dépend tellement de ce qu’on cuisine ! Moi, je suis plus « curry massala » que « persil plat ». Et ça, ça ne pousse pas dans mon jardin…

  185. 200€, c’est peut-être surfait, mais franchement, ouvrir un placard qui sent bon la Provence en plein hiver, ça vaut tous les euros du monde.

  186. 200€ d’économies, c’est cool, mais le temps passé au jardin, ça compte aussi. Si c’est pour se transformer en esclave de la ciboulette…

  187. 200€, c’est pas ça qui va me rendre riche, mais avouons que c’est un argument qui donne envie de se salir les mains. Je vais peut-être essayer, au moins pour le basilic.

  188. 200€, c’est peut-être vrai si on mange que des herbes de Provence. Moi, ça me motiverait surtout à enfin apprendre à cuisiner avec ce que j’ai sous la main, plutôt que d’acheter tout prêt.

  189. 200€, c’est un calcul intéressant. Mais pour moi, le vrai luxe, c’est d’avoir du goût en hiver qui rappelle l’été. C’est ça qui me motive, plus que l’argent.

  190. 200€, je suis sceptique. Mon balcon est minuscule, à peine de quoi faire pousser quelques brins de menthe. L’investissement en terreau et en pots risque de dépasser les économies…

  191. 200€ ? Plus que l’argent, c’est l’idée d’offrir à mes enfants des plats avec des saveurs cultivées par nous. Un peu de nature dans l’assiette, c’est ça qui me parle.

  192. 200€, c’est l’arbre qui cache la forêt. L’article oublie le plaisir de cueillir ses propres herbes, l’odeur du thym froissé entre les doigts. Ça, ça n’a pas de prix.

  193. Catherine Dubois

    200€, ça me fait penser aux cadeaux « faits maison » qu’on reçoit… l’intention est là, mais le résultat est rarement à la hauteur des épices de pro.

  194. 200€, ça me fait rêver… surtout quand je vois le prix du safran ! Si je pouvais en cultiver, même une petite quantité, ce serait déjà une victoire.

  195. 200€, c’est tentant… Mais la vérité, c’est que mes épices, je les achète surtout pour voyager avec mes papilles. Mon jardin ne me fera jamais découvrir les saveurs d’un curry indien.

  196. 200€, je préfère les dépenser en bons produits locaux que de passer mon temps à jardiner. Le temps, c’est aussi de l’argent!

  197. 200€, ça dépend surtout de ce qu’on cuisine ! Chez moi, c’est plutôt « cuisine du monde ». Difficile de remplacer le ras el hanout par du thym du jardin…

  198. 200€, c’est peut-être vrai pour certains, mais pour moi, c’est surtout un projet sympa. Le plaisir de faire pousser, même si c’est juste du basilic sur le rebord de la fenêtre, ça n’a pas de prix.

  199. 200€ d’économies ? C’est oublier le temps passé à désherber, arroser et sécher… Un loisir qui se paie aussi, même si c’est en huile de coude.

  200. Jacqueline Dubois

    200€, c’est peut-être vrai pour ceux qui ont la main verte. Moi, j’arrive déjà pas à garder un cactus en vie… Autant dire que mes économies en épices sont compromises !

  201. 200€ d’économies, c’est bien beau, mais ça suppose d’avoir un jardin. Et quand on vit en appartement, on fait comment ? Le balcon, c’est vite saturé !

  202. 200€, c’est peut-être le prix d’un bon plant de romarin bien touffu. Autant acheter directement, ça pousse tout seul et c’est beau toute l’année!

  203. 200€ d’épices ? C’est peut-être vrai, mais je me demande surtout si le goût sera le même. Les épices du commerce sont souvent plus puissantes.

  204. 200€, c’est une belle somme, mais est-ce que ça prend en compte le prix des graines et du terreau au départ ? L’investissement initial, on en parle moins…

  205. 200€, c’est peut-être une économie, mais pour moi, c’est surtout une question de saveur. Rien ne vaut le goût d’une herbe fraîchement coupée !

  206. 200€, c’est tentant, mais je me connais. Je sècherais mal les herbes, elles finiraient par moisir au fond d’un placard. Mieux vaut acheter en petites quantités, au moins je suis sûr de les utiliser.

  207. Guillaume Durand

    200€, c’est une belle promesse, mais mes placards sont déjà pleins de pots à moitié vides. Je finis par jeter, c’est ça le vrai gâchis.

  208. 200€, c’est une belle promesse marketing. Honnêtement, le plaisir de cueillir ma propre menthe pour le thé vaut bien plus que ça.

  209. 200€, c’est sympa sur le papier, mais je préfère la diversité des mélanges tout faits. Impossible d’égaler ça avec mon petit jardin.

  210. 200€, ça me rappelle surtout le temps passé chez ma grand-mère à effeuiller le thym. Plus qu’une économie, c’est un souvenir d’enfance.

  211. 200€, ça me motive à enfin utiliser ce déshydrateur qui prend la poussière au grenier. L’occasion de rentabiliser l’investissement !

  212. 200€ d’économies, c’est séduisant… mais mon balcon n’est pas vraiment un jardin d’Eden. Je me contenterai de quelques pieds de basilic.

  213. 200€, c’est peut-être vrai pour certains, mais pour moi, c’est surtout l’assurance d’avoir des épices sans pesticides dans mes plats. Ça n’a pas de prix.

  214. 200€, c’est pas négligeable, mais il faut surtout avoir le temps de s’en occuper. Entre le travail et les enfants, c’est pas gagné.

  215. 200€, je trouve ça une bonne chose si ça peut motiver les gens à cuisiner plus souvent avec des produits frais et moins transformés. C’est un bénéfice qui dépasse largement l’aspect financier.

  216. Moi, c’est surtout le goût incomparable des herbes fraîches qui me motive, pas forcément l’argent. Rien à voir avec les pots du commerce.

  217. 200€, ça dépend surtout de ce qu’on cuisine ! Moi, je suis plutôt cuisine du monde, alors le paprika fumé, le curcuma… je ne vois pas comment les faire pousser dans mon jardin.

  218. Alexandre Durand

    Moi, ce qui me freine, c’est le temps que ça prend de sécher correctement les herbes pour qu’elles gardent leur saveur. Souvent, ça finit par moisir…

  219. Moi, j’avoue que je suis incapable de me souvenir de ce que j’ai déjà dans mes placards à épices. Alors, produire moi-même… ça finirait en double emploi garanti !

  220. Christophe Durand

    Moi, l’idée de contrôler l’origine de mes épices, ça me parle plus que l’aspect financier. Savoir ce qu’il y a vraiment dans mon assiette, c’est ça le vrai luxe.

  221. 200€, je préfère les dépenser chez le primeur du coin, ça fait vivre le commerce local et je suis sûr d’avoir des produits de qualité sans me fatiguer.

  222. 200€ d’économies, c’est tentant, mais mon balcon, c’est déjà la jungle ! J’ai peur que mes tentatives se soldent par une invasion de pucerons plutôt que par une récolte miraculeuse.

  223. François Durand

    200€, c’est une belle promesse, mais perso, le jardinage, c’est pas mon truc. Je préfère largement acheter mes épices et passer plus de temps à cuisiner de bons plats.

  224. Grégoire Durand

    C’est vrai que le prix des épices a explosé ! Je vais peut-être tenter le coup avec quelques herbes aromatiques faciles à cultiver en pot, genre basilic et persil.

  225. Je suis un peu sceptique sur les 200€, mais l’idée de pouvoir doser mes propres mélanges d’herbes, ça, c’est vraiment intéressant pour personnaliser ma cuisine.

  226. C’est amusant, cet article. Ma grand-mère faisait ça depuis toujours, bien avant que ce soit « tendance » ou pour économiser ! Le goût est tellement meilleur.

  227. 200€, c’est peut-être vrai pour quelqu’un qui cuisine beaucoup indien ! Moi, je suis plus « beurre-sel », alors l’intérêt est limité… mais le parfum du thym frais, ça, ça n’a pas de prix.

  228. 200€, ça dépend vraiment de ce qu’on cuisine ! Mais même quelques herbes fraîches du jardin, ça change un plat. Un simple pesto maison, c’est incomparable.

  229. Béatrice Durand

    200€, ça me paraît gonflé. Mais le plaisir de sentir la menthe fraîche qu’on a cultivée soi-même, ça n’a pas de prix. Ça me rappelle les vacances chez ma grand-mère.

  230. 200€, je n’y crois pas trop, mais le vrai truc, c’est de savoir exactement ce qu’il y a dans nos assiettes, sans pesticides ni additifs bizarres.

  231. Moi, ce qui m’embête, c’est le temps. Entre le boulot et les enfants, est-ce que j’aurai vraiment le temps de m’en occuper correctement ?

  232. Je me demande si c’est vraiment « la récolte de septembre » qui est magique, ou le fait d’avoir un jardin tout court. J’ai l’impression que ça marche aussi au printemps, non ?

  233. Moi, j’ai surtout peur de me lancer et de tout rater. Planter, ok, mais après, comment on fait sécher tout ça correctement sans que ça moisisse ?

  234. L’idée est séduisante, mais j’ai un minuscule balcon. Je doute pouvoir rivaliser avec Ducros ! Peut-être quelques brins de ciboulette…

  235. Mon jardin est surtout un refuge pour les chats du quartier. Ils doivent aimer l’odeur du romarin, au moins ! Économie ou pas, ça me suffit.

  236. Je préfère acheter mes épices dans des boutiques spécialisées. Au moins, je suis sûr de la provenance et de la qualité. Le goût est incomparable.

  237. 200€ ? J’ai des doutes, mais l’idée de parfumer ma cuisine avec mes propres herbes, ça me tente bien plus que l’aspect financier.

  238. 200 euros, c’est une belle somme, certes. Mais pour moi, c’est surtout l’idée d’avoir un petit coin de Provence sur mon balcon qui me plaît.

  239. 200€ d’économies ? Peut-être. Mais le vrai luxe, c’est d’ouvrir un bocal en plein hiver et de sentir l’été revenu. Ça n’a pas de prix.

  240. Franchement, le calcul est un peu simpliste. On oublie le prix des graines, du terreau, et surtout… du temps passé à jardiner !

  241. Si ça peut éviter de jeter des herbes fraîches à moitié utilisées qui finissent par pourrir au frigo, c’est déjà ça de gagné !

  242. Moi, j’avoue, les épices, c’est surtout pour impressionner les copains avec des plats exotiques. Si je peux frimer en disant que c’est « ma » coriandre, ça vaut bien plus que 200 balles!

  243. Moi, ce qui me freine, c’est l’espace. J’habite en ville, et même si j’adore cuisiner, je n’ai pas la main verte pour un potager digne de ce nom.

  244. Je suis plutôt du genre à soutenir le petit producteur local. Acheter mes épices directement à la ferme, c’est plus un acte militant qu’une question d’économie.

  245. Je suis curieux de savoir quelles épices sont les plus rentables à cultiver. Perso, j’imagine que le persil et la ciboulette, oui, mais le safran, j’ai des doutes !

  246. 200€, je n’y crois pas trop, mais j’imagine le bonheur de faire un pesto avec son propre basilic! Un vrai goût d’été.

  247. Je suis nul en jardinage, mais l’idée de parfumer ma cuisine avec mes propres herbes, ça me tente bien ! Plus besoin de courir au magasin pour un brin de thym.

  248. 200€, ça dépend vraiment de ce qu’on cuisine ! Je pense que le vrai gain, c’est la saveur incomparable des herbes fraîches.

  249. 200€, c’est peut-être vrai pour les familles nombreuses. Moi, célibataire, je préfère acheter juste ce qu’il faut pour éviter le gaspillage.

  250. 200€, c’est une belle somme, mais le temps passé à jardiner, ça a aussi un coût. Est-ce que c’est vraiment rentable si on compte tout ?

  251. Jacqueline Durand

    200€ d’économies, c’est tentant, mais je n’ai pas vraiment la main verte. Je risque surtout de dépenser plus en terreau et en plants ratés !

  252. Mouais, 200€, c’est peut-être vrai si on se nourrit qu’aux herbes de Provence! Moi, je suis plutôt épices du monde, donc je doute que ça marche…

  253. 200€, c’est pas ça qui va me faire déménager à la campagne ! Mais l’odeur du romarin frais, ça, ça n’a pas de prix.

  254. 200€ d’économies ? C’est peut-être vrai, mais moi, c’est surtout le plaisir de cuisiner avec des herbes fraîches qui me motive. Le goût est tellement meilleur!

  255. 200€, ça me semble optimiste ! Mais l’idée de cultiver mon propre basilic pour mon pesto, ça, c’est une motivation suffisante.

  256. J’adore l’idée ! Les épices du commerce sont souvent fades, cultiver les miennes me permettrait d’oser des saveurs plus intenses.

  257. 200€, c’est peut-être le prix des épices, mais ça ne remplace pas le voyage de les découvrir ailleurs. Je préfère soutenir les petits producteurs.

  258. 200€, c’est un argument marketing, soyons honnêtes. Mais l’idée d’avoir un jardin qui sent bon, ça, ça me parle beaucoup plus.

  259. Moi, ce qui me gêne, c’est le côté « il faut rentabiliser ». Le jardin, c’est avant tout un plaisir, un contact avec la nature. Si en plus ça fait économiser, tant mieux, mais ce n’est pas ma motivation première.

  260. Je me demande si l’investissement initial en temps et en matériel est vraiment pris en compte dans ces 200€ d’économies. Parce qu’un jardin, même petit, ça demande du boulot !

  261. 200€, ça doit être pour ceux qui ont un jardin de curé! Moi, avec mon balcon, je me contenterai de quelques aromates. Mais au moins, ils seront bio et à portée de main.

  262. Moi, j’ai surtout peur de me retrouver avec des kilos de sauge et de thym que personne ne mangera. Le gaspillage, même « fait maison », ça reste du gaspillage.

  263. Je me demande si c’est vraiment si simple. Sécher correctement les herbes, c’est un art ! J’ai déjà essayé, et le résultat était plus proche du foin que des épices parfumées.

  264. 200€ d’économies ? Mouais. Mais rien que l’odeur du thym citronné que je frotte entre mes doigts en passant, ça n’a pas de prix. C’est ça, le vrai gain.

  265. 200€, je n’y crois pas une seconde. Mais l’idée d’avoir mes propres herbes pour les tisanes d’hiver, ça, ça me motive beaucoup plus !

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