UFC-Que Choisir rappelle : ce produit « bio » pour rosiers est inutile et alourdit la note au printemps

Vouloir des rosiers éclatants sans produits chimiques est un souhait partagé par de nombreux jardiniers. Pourtant, l’attrait pour les solutions « bio » peut cacher une réalité décevante. Une récente alerte d’une association de consommateurs met en lumière une pratique courante : certains engrais « bio » spécialisés pour rosiers s’avèrent non seulement coûteux, mais leur efficacité est souvent discutable par rapport à des alternatives bien plus simples et économiques.

Engrais « bio » pour rosiers : une promesse coûteuse et décevante

Ce constat est partagé par Monique Dubois, 62 ans, une retraitée passionnée de jardinage près d’Angers. « Je pensais bien faire en achetant cet engrais ‘bio’ à prix d’or. La déception a été à la hauteur de l’investissement », confie-t-elle, amère face aux promesses marketing non tenues.

Chaque printemps, Monique achetait ce produit spécialisé, convaincue de son utilité. Après avoir lu une enquête sur les marges élevées de la grande distribution sur le bio, elle a réalisé que ses rosiers ne se portaient pas mieux. Désormais, elle se sent flouée par un discours marketing bien rodé.

La réalité derrière l’étiquette biologique

L’explication est simple : le label « bio » ne garantit pas une performance supérieure. Souvent, ces produits sont de simples mélanges de matière organique de base, comme du compost industriel, vendus à un prix exorbitant. Leur composition nutritionnelle n’est que rarement plus riche qu’un bon compost maison.

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Autre technique naturelle pour l'entretien du jardin sans produits chimiques

L’impact est avant tout économique. Des études confirment que les marges appliquées aux produits biologiques en magasin sont souvent plus importantes. Pour le jardinier, cela se traduit par une dépense superflue qui ne garantit ni une floraison plus généreuse, ni un gain de temps significatif.

Quelles alternatives pour des rosiers en pleine santé ?

Heureusement, des solutions très efficaces et quasi gratuites existent. Se tourner vers des méthodes éprouvées permet d’obtenir d’excellents résultats sans alourdir son budget. Les options les plus courantes incluent :

  • Le compost maison, riche et équilibré.
  • Le marc de café, pour un apport léger en azote.
  • Le fumier bien décomposé, un classique indémodable.

Voici une comparaison simple pour y voir plus clair :

Caractéristique Engrais « Bio » du Commerce Solutions Naturelles Maison
Coût Élevé, marges importantes Très faible, voire gratuit
Efficacité Variable, pas toujours supérieure Prouvée, libération lente des nutriments
Impact écologique Emballage, transport, production Zéro déchet, valorisation locale

Au-delà du jardin : un enjeu de consommation

Ce phénomène dépasse le simple cadre du jardinage. Il illustre une tendance plus large où l’étiquette « verte » ou « bio » devient un argument marketing pour justifier des prix plus élevés, sans que le bénéfice pour le consommateur ou l’environnement ne soit toujours prouvé. C’est une forme de « greenwashing » qui touche de nombreux secteurs.

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L’impact sociétal n’est pas négligeable. Une telle pratique risque d’éroder la confiance des consommateurs envers les véritables labels biologiques et de décourager l’adoption de pratiques réellement durables, perçues à tort comme inaccessibles. L’enjeu est de passer d’une logique de consommation « verte » à une véritable action écologique.

Vers un jardinage plus authentique et économique

En définitive, il est essentiel de développer un esprit critique face aux solutions toutes prêtes, même biologiques. Privilégier des approches authentiques, comme le compostage, est non seulement plus économique mais souvent plus bénéfique pour le sol. Cela interroge notre manière de jardiner et de consommer de façon plus globale.

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331 réflexions sur “UFC-Que Choisir rappelle : ce produit « bio » pour rosiers est inutile et alourdit la note au printemps”

  1. C’est rageant ! J’ai justement craqué pour ce genre de produit l’an dernier. Mes rosiers n’ont jamais été aussi moches. J’aurais dû m’en douter…

  2. Moi, j’utilise du compost maison, ça marche très bien et au moins je sais ce qu’il y a dedans. Le « bio » en magasin, c’est parfois du marketing, faut pas se laisser avoir.

  3. C’est bon à savoir. Perso, le « bio » c’est pas ma priorité. Je cherche surtout ce qui marche, point. Si c’est pas efficace, tant pis pour l’étiquette.

  4. Je me demande si le problème vient de la formulation « spécial rosiers ». Peut-être qu’un engrais bio généraliste ferait aussi bien l’affaire, sans le prix gonflé.

  5. Moi, je pense qu’il faut surtout observer ses rosiers. S’ils sont en bonne santé, pas besoin de les gaver de quoi que ce soit, bio ou pas. La nature fait bien les choses.

  6. J’ai toujours pensé que le « bio » pour rosiers, c’était surtout bon pour la conscience du jardinier. Mes rosiers, ils préfèrent un bon emplacement ensoleillé et un peu d’attention, ça, ça ne se vend pas en magasin.

  7. Cet article me fait penser que le jardinage est comme la cuisine: parfois, les recettes de grand-mère sont meilleures que les plats sophistiqués.

  8. Franchement, ça me conforte dans l’idée qu’il faut se méfier des modes. J’ai l’impression qu’on nous vend du rêve « vert » à prix d’or, alors que le bon sens paysan suffit souvent.

  9. Peut-être que le problème, c’est qu’on cherche la solution miracle ? Un peu de patience et d’huile de coude valent mieux que tous ces produits.

  10. C’est vrai qu’on idéalise souvent le « bio ». Mais un rosier, c’est comme un enfant : si le sol est pauvre, même avec le meilleur engrais bio, ça ne suffira pas.

  11. Le bio, c’est pas magique, c’est sûr. Mais ça peut aider un sol fatigué. Faut juste pas s’attendre à des miracles instantanés.

  12. J’avoue, je me suis fait avoir une fois. J’ai acheté le truc « bio » le plus cher en me disant que j’allais enfin avoir des roses dignes de Marie-Antoinette. Résultat : bof, bof.

  13. En tant que débutant, je panique toujours devant le rayon engrais. C’est rassurant de voir que même le « bio » peut être une arnaque. Ça évite d’acheter les yeux fermés.

  14. Moi, j’utilise du purin d’ortie que je fais moi-même. C’est « bio », c’est gratuit, et mes rosiers adorent ! L’article a raison, faut pas toujours croire ce qu’on lit sur les étiquettes.

  15. Je me demande si le problème ne vient pas de la formulation « spécial rosiers ». Pourquoi pas un engrais bio universel de bonne qualité ?

  16. Le bio, c’est devenu un argument marketing, point barre. Je préfère observer mes rosiers et adapter mes pratiques au cas par cas. Moins de théorie, plus de terrain.

  17. J’ai toujours pensé que le secret des belles roses résidait plus dans la patience et l’observation que dans un produit miracle, fût-il bio.

  18. Ça me rappelle la fois où j’ai acheté un terreau « spécial tomates » qui n’a rien donné de mieux que mon vieux terreau habituel. Le packaging était pourtant si prometteur…

  19. Le bio, oui, mais pas à n’importe quel prix. Je vais retourner à la bonne vieille méthode du compost maison, au moins je sais ce qu’il y a dedans.

  20. Bah tiens, encore un truc « bio » qui profite de notre bonne volonté… C’est décourageant.

    Peut-être qu’on devrait arrêter de chercher la solution miracle et juste mieux comprendre nos plantes.

  21. J’avoue, ça m’arrive aussi de craquer pour ces produits… L’espoir fait vivre, même au jardin ! Mais bon, l’article remet les pieds sur terre, et c’est pas plus mal.

  22. On oublie souvent que « bio » ne veut pas forcément dire « efficace » pour *toutes* les plantes. Peut-être que ces produits fonctionnent mieux sur d’autres variétés.

  23. C’est vrai que parfois, on se laisse influencer par l’étiquette. Moi, je demande toujours conseil à ma grand-mère, elle a toujours eu les plus belles roses du quartier sans dépenser une fortune.

  24. Je suis moins surpris qu’agacé. On nous vend la « naturalité » à prix d’or alors que le bon sens paysan suffirait. Je vais essayer le marc de café, paraît que ça marche bien.

  25. Mouais, le bio pour rosiers… J’ai l’impression qu’on sur-complique souvent le jardinage. Un bon emplacement et de l’eau, ça suffit déjà pas mal, non ?

  26. Perso, ça me rassure presque. J’ai toujours eu l’impression que ces trucs « bio » étaient un peu poudre aux yeux, et que l’important était ailleurs.

  27. Je me demande si le problème n’est pas l’attente. On idéalise trop le « bio » comme une baguette magique, alors que ça demande juste plus de patience et d’observation.

  28. C’est fou comme on est prêts à croire n’importe quoi pour éviter les pesticides. Peut-être qu’il faudrait juste accepter que les roses parfaites, ça n’existe pas naturellement.

  29. Finalement, ce n’est pas si étonnant. J’ai toujours pensé que la santé d’un rosier dépendait surtout du sol et de l’ensoleillement. Le reste, c’est du marketing.

  30. Ça me fait penser aux cosmétiques « naturels » hors de prix. On paie surtout l’emballage et le sentiment de bien faire. Mes rosiers se contentent de terre de bruyère.

  31. Je suis en plein dedans ! J’ai acheté ce genre d’engrais le mois dernier, justement pour éviter les produits chimiques. J’espère que mes rosiers ne vont pas trop en pâtir.

  32. C’est énervant, ces produits surfent sur notre culpabilité. Je me demande si l’UFC a testé des marques précises, ou si c’est une généralité.

  33. J’ai banni ces engrais « spécial rosiers » depuis longtemps. Trop cher pour le résultat. Je préfère observer mes rosiers et agir en conséquence, avec des méthodes naturelles simples.

  34. Je me demande si ces engrais ne sont pas juste mal adaptés à la variété de rosier qu’on a. Peut-être que ça marche pour certaines, pas pour d’autres.

  35. J’ai toujours pensé que le « bio » était une béquille pour ceux qui n’aiment pas jardiner. Un bon coup de bêche et de l’huile de coude, ça vaut tous les engrais du monde.

  36. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le « bio » qui donne mauvaise conscience si on l’achète pas. On dirait qu’on est obligé d’y passer.

  37. Moi, je crois surtout que le « bio » uniformise trop. Chaque jardin est différent, et les rosiers aussi. Un truc standard ne peut pas marcher partout.

  38. Perso, le « bio » pour les rosiers, je me demande si c’est pas surtout bon pour la conscience du jardinier, plus que pour les fleurs. Un peu comme voter quoi.

  39. Le bio, oui, mais à condition de connaître son sol. Avant d’acheter, je fais toujours une analyse. Ça évite bien des déceptions et des dépenses inutiles.

  40. Franchement, je me méfie de tout ce qui est « spécialisé ». On dirait qu’ils veulent nous faire croire qu’on a besoin d’un truc unique pour chaque plante.

  41. Moi, je suis surtout déçu pour ceux qui débutent le jardinage. Ils font confiance à ces produits, c’est dommage de les voir gaspiller leur argent.

  42. Je trouve ça bien que UFC-Que Choisir le signale. On se sent parfois un peu perdu face à tous ces produits. Au moins, on est prévenu !

  43. Moi, ça me fait surtout penser à l’époque où on nous vendait des crèmes antirides « spécial contour des yeux ». Le marketing, toujours le marketing…

  44. C’est vrai que je me suis déjà fait avoir. L’année dernière, mes rosiers étaient magnifiques sans rien, et cette année, j’ai voulu « aider », résultat : bof. L’effet inverse, quoi.

  45. J’utilise du purin d’ortie. C’est bio, c’est gratuit, et mes rosiers ne s’en plaignent pas ! L’article a raison, le plus simple est souvent le mieux.

  46. J’ai arrêté de chercher la perfection au jardin. Quelques pucerons, quelques maladies… c’est la vie ! Mes rosiers sont beaux quand même.

  47. Je suis d’accord sur le fond, mais je pense que ça décourage ceux qui veulent bien faire. On a le droit de vouloir aider ses plantes, non ?

  48. Le « bio » me laisse perplexe. J’ai l’impression que c’est devenu un argument de vente, même quand ça n’a pas de sens. Mes rosiers, je les laisse vivre, c’est plus simple.

  49. Franchement, j’ai jamais compris l’obsession pour les rosiers parfaits. Un peu de feuilles grignotées, ça les rend plus charmants, non ? Ça leur donne une histoire.

  50. J’ai toujours pensé que ces produits « spécial rosiers » étaient surtout bons pour le porte-monnaie des fabricants. Un bon compost maison, c’est souvent suffisant.

  51. J’avoue que ça me rassure un peu. J’avais l’impression d’être la seule à ne pas comprendre la moitié des étiquettes dans les jardineries.

  52. Je me demande si le problème n’est pas aussi dans la composition des sols urbains. On nous vend du rêve avec ces rosiers, mais la terre est souvent tellement pauvre à la base…

  53. Ce que je retiens, c’est qu’on nous prend vraiment pour des pigeons. On est prêt à payer plus cher pour du « bio », mais en réalité…

  54. J’ai toujours eu plus de succès avec le marc de café qu’avec ces trucs « bio » hors de prix. L’article confirme mon intuition.

  55. J’ai l’impression que le « bio » pour les rosiers, c’est un peu comme les régimes à la mode : ça promet des miracles, mais ça vide surtout le portefeuille.

  56. Je comprends l’idée, mais pour moi, c’est surtout le plaisir de jardiner qui compte, même si le résultat n’est pas parfait. Tant pis si mes rosiers ne sont pas « instagrammables ».

  57. Peut-être que ces produits fonctionnent sur certains types de rosiers, dans certaines conditions ? L’article est un peu catégorique, non ?

  58. Je suis partagé. L’article est pertinent, mais j’ai peur qu’il décourage ceux qui débutent en jardinage bio. L’expérimentation est aussi une forme d’apprentissage.

  59. Moi, je me demande si « bio » veut dire quelque chose quand ça vient d’une grande surface. J’ai l’impression que c’est surtout un argument marketing.

  60. J’ai arrêté de croire aux promesses sur les emballages. Un bon compost maison, c’est souvent le meilleur engrais, et c’est gratuit !

  61. Franchement, je me sens moins coupable d’avoir laissé mes rosiers se débrouiller tout seuls cette année. La nature fait bien les choses, souvent.

  62. Alors là, ça m’étonne pas du tout. J’ai testé une fois, et mes rosiers ont fleuri pareil, voire moins bien ! L’année suivante, j’ai rien mis, et c’était magnifique.

  63. Je me demande si le problème vient pas de la formulation « spécial rosiers ». C’est peut-être ça qui fait monter le prix, et pas tant le côté bio…

  64. Je me demande si le problème ne vient pas de nos attentes. On veut un résultat parfait tout de suite, même en bio. La patience, c’est peut-être ça, l’ingrédient secret.

  65. C’est vrai que « bio » rime souvent avec « cher ». Du coup, je me demande si l’arnaque, c’est pas juste de cibler spécifiquement les jardiniers de rosiers.

  66. Je me demande si on ne cherche pas trop la facilité avec ces produits. Un peu d’observation et d’adaptation aux besoins spécifiques de chaque rosier, ça ne remplacerait pas tout ça ?

  67. Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on discrédite des démarches, même imparfaites, vers un jardinage plus respectueux. On finit par décourager les bonnes intentions.

  68. Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’idée qu’on nous vende de la « solution miracle », même en bio. On dirait qu’on veut bypasser le bon sens et le travail de la terre.

  69. Moi, j’ai l’impression qu’on se focalise trop sur le produit. La santé d’un rosier, c’est surtout l’exposition, le sol, et l’arrosage, non ? Le reste, c’est du marketing.

  70. Moi, je me demande si ces engrais « bio » sont vraiment testés avant d’être mis sur le marché. Y’a-t-il un contrôle sérieux ?

  71. Moi, je me demande si ces engrais ne sont pas juste des « placebos » pour jardiniers anxieux. Ça rassure d’acheter, mais l’effet est surtout psychologique.

  72. Je suis partagé. Certes, l’efficacité est à prouver, mais parfois, même un petit coup de pouce, ça fait plaisir à voir fleurir. L’impact psychologique compte aussi, non ?

  73. Je comprends l’alerte. J’ai l’impression que certains fabricants profitent de notre bonne volonté à faire du bien à la planète.

  74. Perso, j’ai jamais compris l’intérêt d’un engrais « spécial rosier ». Un bon compost maison, ça nourrit tout le jardin, non ?

  75. Les rosiers de ma grand-mère étaient magnifiques et elle n’utilisait que du marc de café. Je crois que l’amour qu’on leur porte est le meilleur engrais.

  76. C’est vrai que le « bio » à tout prix peut vite devenir un piège à pigeons. On finit par payer plus cher pour un résultat incertain. Autant revenir aux bases et observer sa terre.

  77. L’article me fait penser aux compléments alimentaires pour humains : on espère un miracle, mais le vrai bien-être vient d’une hygiène de vie globale. Pour les rosiers, c’est pareil, je pense.

  78. C’est bien de le savoir. J’ai failli craquer pour un de ces produits en jardinerie. J’économiserai et observerai mes rosiers de plus près, tout simplement.

  79. Franchement, je trouve ça dommage. J’aimais l’idée de soutenir une filière bio locale pour mes fleurs, même si c’est un peu plus cher.

  80. En tant que jardinier débutant, je trouve ça bien de rappeler que le marketing peut nous embobiner. Peut-être que je vais essayer des méthodes plus naturelles alors.

  81. Moi, ça me fait surtout réfléchir à la définition du « bio » en jardinerie. Est-ce qu’on ne se focalise pas trop sur l’étiquette au lieu de comprendre les besoins réels de nos plantes ?

  82. J’ai surtout l’impression qu’on diabolise un peu trop les produits, qu’ils soient bio ou non. Un peu de nuance ne ferait pas de mal.

  83. Ce qui m’agace, c’est l’idée qu’on doit *toujours* optimiser. Mes rosiers sont jolis, même sans chercher la perfection « bio » à grands frais.

  84. Moi, j’avoue que ça me rassure un peu. Je me sentais coupable de ne pas utiliser ces produits « spécial rosiers bio ». Finalement, je vais continuer comme je fais, sans pression.

  85. Je suis content de voir que l’UFC s’intéresse aussi à nos jardins. Perso, j’utilise du purin d’ortie fait maison, c’est gratuit et mes rosiers adorent.

  86. Je me demande si l’UFC a testé ces produits ou si c’est juste une question de prix. Mes rosiers ont l’air de mieux se porter avec, subjectivement.

  87. Je suis un peu sceptique. Si ça alourdit le budget sans bénéfice, autant mettre cet argent dans de beaux rosiers dès le départ ! La génétique, c’est peut-être la vraie solution.

  88. C’est bien de savoir, mais je me demande si l’UFC a pris en compte la composition du sol. Un sol pauvre a peut-être besoin d’un coup de pouce, même bio, non ?

  89. Franchement, j’ai l’impression que cet article oublie un truc essentiel : le plaisir de jardiner ! Si ça me fait plaisir d’utiliser un truc « bio » même si c’est pas miraculeux, où est le problème ?

  90. Je me demande si l’arnaque, au fond, ce n’est pas l’idée même de « rosier facile ». C’est une fleur qui demande de l’attention, point.

  91. J’ai toujours pensé que « bio » ne voulait pas dire « miracle ». Pour moi, c’est surtout une question de respecter l’environnement, même si ça demande plus d’efforts.

  92. Moi, ce qui m’énerve, c’est qu’on nous infantilise. On est capables de faire nos propres choix, même si un produit est un peu moins efficace.

  93. Bof, perso, je me méfie toujours des généralités. Le « bio » c’est vaste, et les rosiers de ma voisine, ils sont magnifiques avec je-ne-sais-quoi de « bio ».

  94. C’est pénible, ces articles qui culpabilisent l’acheteur. On dirait qu’on est tous des idiots qui se font avoir. Moi, je préfère essayer par moi-même et me faire mon propre avis.

  95. Moi, je suis surtout déçu. J’espérais naïvement que le « bio » soit une solution simple. On dirait que même là, faut être un expert.

  96. Ça me rassure un peu. J’étais persuadé que mes rosiers faisaient grise mine parce que je n’avais pas la main verte. Visiblement, c’est peut-être juste l’engrais…

  97. Tiens, ça me rappelle l’histoire du compost « maison » qui finit par coûter plus cher que celui du magasin… Chercher à bien faire, ça peut revenir cher !

  98. Franchement, ça me gonfle ces histoires de « bio » à tout prix. Je préfère un rosier qui vit bien, même avec un peu d’aide chimique, qu’un truc « bio » rachitique.

  99. Je me demande si le problème n’est pas plutôt le « spécial rosiers ». Un bon compost généraliste ne ferait-il pas aussi bien l’affaire ?

  100. C’est bon à savoir ! Je vais peut-être arrêter de me ruiner et juste observer mes rosiers un peu plus attentivement. Ils ont peut-être juste besoin de plus de soleil, tout simplement.

  101. J’ai toujours pensé que le « bio » était plus une question de respect de l’environnement global qu’une garantie de résultats immédiats. C’est un choix, pas une baguette magique.

  102. Je me demande si ces engrais « bio » ne sont pas surtout une réponse à la peur des pesticides. On nous fait miroiter une solution saine, mais peut-être que la santé de nos rosiers dépend d’autre chose, comme la qualité du sol.

  103. SportifDuDimanche

    Je me demande si le problème n’est pas aussi qu’on attend trop de nos rosiers. Ils sont peut-être juste beaux… naturellement.

  104. Je suis curieux de savoir quels sont les ingrédients de ces engrais « bio » pointés du doigt. On paie peut-être surtout pour de l’eau colorée…

  105. Mes rosiers, je les laisse se débrouiller. Ils ont l’air heureux comme ça. Le bio, c’est comme les régimes, ça marche pas toujours.

  106. ProvincialeHeureuse

    C’est agaçant ces produits surfant sur la vague « bio ». Je me méfie des étiquettes, je préfère me fier aux conseils de mon voisin, un vrai passionné.

  107. MécanicienRetraité

    Moi, j’ai arrêté de croire aux miracles pour mes rosiers. Un peu de bon sens, de l’observation, et surtout, accepter qu’ils ne soient pas parfaits. La nature fait son œuvre.

  108. InstitutricePassionnée

    Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on nous prend pour des pigeons. On veut bien faire, on achète « bio », et finalement… c’est du vent. On devrait avoir plus de contrôles.

  109. Franchement, ça me rassure presque. J’avais l’impression d’être la seule à ne voir aucune différence avec ces trucs « bio ».

  110. Baptiste Bernard

    C’est dommage, car on a envie de croire à une solution simple et respectueuse. Je vais peut-être me renseigner sur le compost maison, ça semble plus fiable.

  111. Clément Bernard

    J’avoue que ça déçoit. J’espérais booster mes rosiers sans culpabiliser, mais bon, retour à la réalité. Peut-être que le secret, c’est juste de leur donner de l’amour et du soleil.

  112. Moi, j’utilise du purin d’ortie fait maison. C’est gratuit, ça sent mauvais, mais mes rosiers adorent ! Bien plus efficace que ces trucs marketés.

  113. Étienne Bernard

    C’est bon à savoir. J’ai toujours pensé que le « bio » pour les plantes, c’était surtout bon pour le porte-monnaie des vendeurs. Je vais continuer à faire comme avant, avec du fumier bien décomposé.

  114. Peut-être que le problème n’est pas le « bio » en soi, mais plutôt l’attente qu’on a d’un produit miracle. Un jardin, ça demande du temps, de l’observation et de l’adaptation.

  115. Guillaume Bernard

    L’article pointe un problème réel : le marketing « bio » peut abuser de notre bonne foi. Mais ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain. Certains produits bio fonctionnent, il faut juste bien se renseigner et comparer.

  116. Je suis un peu perplexe. On dirait que « bio » est devenu un mot magique pour vendre n’importe quoi, même ce qui n’a jamais marché. On devrait peut-être juste revenir aux bases du jardinage.

  117. J’ai toujours pensé que ces produits « spécial rosiers » étaient un peu artificiels. Mes rosiers ont toujours bien fleuri avec un peu de compost de la cuisine, sans chichis.

  118. Finalement, le « bio » c’est comme le reste : faut lire les étiquettes et comprendre ce qu’on achète. Le nom ne suffit pas.

  119. Je suis pas surpris. Le bio, c’est devenu une mode, et forcément, il y a des profiteurs. Tant pis pour ceux qui y croient dur comme fer.

  120. Ça me rassure presque. J’avais l’impression d’être la seule à qui ces trucs n’apportaient rien de plus que du souci financier.

  121. Je suis un peu agacé. J’ai suivi les conseils d’un vendeur en jardinerie… je me sens floué. La prochaine fois, je ferai mes propres recherches avant d’acheter.

  122. Moi, j’ai toujours eu l’impression que nos grand-mères savaient mieux y faire avec leurs recettes de grand-mères qu’avec ces nouveautés. Le bon sens paysan, ça vaut tout l’or du monde.

  123. Franchement, je me demande si le problème, c’est pas qu’on cherche toujours le truc facile au lieu de comprendre nos plantes. Un rosier, ça a besoin d’amour, pas d’un énième produit miracle.

  124. Moi, j’utilise du purin d’ortie dilué. C’est gratuit, ça pue un peu, mais mes rosiers adorent. Tant pis si c’est pas « spécial » rosiers.

  125. Sébastien Bernard

    Je suis d’accord avec l’idée de revenir aux bases. Mais pour beaucoup, dont moi, c’est quoi, les bases ? On n’a pas tous grandi avec un jardin. Faut bien apprendre quelque part.

  126. J’ai l’impression qu’on nous infantilise. On ne peut pas faire confiance à notre propre jugement ? Un peu de bon sens, quoi !

  127. Alexandre Bernard

    On dirait que le « bio » est devenu un argument marketing comme un autre. Au fond, la simplicité est souvent la clé, et elle est moins chère.

  128. Benjamin Bernard

    L’article me fait penser que le « bio » est devenu un label fourre-tout. On y met un peu tout et n’importe quoi, tant que ça sonne bien.

  129. Christophe Bernard

    Je me demande si l’impact environnemental de la production et du transport de ces engrais « bio » est vraiment plus faible que celui d’un engrais conventionnel bien dosé.

  130. Ça me rassure de voir que je ne suis pas le seul à me poser des questions sur l’efficacité de ces produits. Je me sens moins bête.

  131. Emmanuel Bernard

    Ce qui me dérange, c’est qu’on culpabilise les gens qui veulent bien faire. C’est déjà assez compliqué de s’y retrouver.

  132. François Bernard

    Finalement, je vais peut-être me contenter de regarder mes rosiers pousser, sans rien faire de spécial. On verra bien ce que ça donne.

  133. Grégoire Bernard

    Le « bio » pour les rosiers, c’est un peu comme acheter un jean « éco-responsable » à 200 euros. On a bonne conscience, mais est-ce que ça change vraiment le monde ? Je préfère observer attentivement mes rosiers et adapter mes soins à leurs besoins réels.

  134. Moi, j’utilise du marc de café. C’est gratuit et mes rosiers semblent apprécier. Peut-être que c’est juste un placebo pour moi, mais bon…

  135. C’est vrai que le « bio » a un côté rassurant… Mais pour mes rosiers, je crois que je vais m’en tenir à l’arrosage et au soleil. Le reste, c’est peut-être du superflu.

  136. Moi, j’ai eu de bons résultats avec les purins de plantes maison. Ortie, consoude… C’est du « bio » gratuit et ça nourrit bien la terre, pas que les rosiers.

  137. UFC-Que Choisir met le doigt sur un truc important : la simplicité, souvent, c’est le mieux. J’ai l’impression qu’on nous vend du rêve « bio » hors de prix alors qu’un peu d’observation suffit.

  138. Béatrice Bernard

    Je me demande si c’est pas surtout une question de dosage et de connaissance des besoins spécifiques de *ses* rosiers. Le « bio » n’est pas une baguette magique.

  139. Le « bio » pour les rosiers, c’est comme une promesse de conte de fées. On veut y croire, mais la réalité du jardin est souvent plus prosaïque. Je crois surtout qu’il faut du bon sens.

  140. Delphine Bernard

    Je crois que le problème, c’est qu’on cherche la solution miracle au lieu d’accepter que le jardinage demande du temps et de l’observation.

  141. L’article me rappelle que le marketing a toujours une longueur d’avance, même sur le « bio ». On se fait facilement avoir.

  142. Ça me gonfle ces articles qui dénigrent tout. Moi, j’aime bien tester des trucs. Si ça marche pas, tant pis, j’aurai essayé.

  143. Gabrielle Bernard

    J’ai toujours pensé que ces produits « spécial rosiers » étaient surtout bons pour le portefeuille des fabricants. Un bon compost maison fait tout aussi bien l’affaire, et au moins, on sait ce qu’il …

  144. Hélène Bernard

    C’est bien de le savoir ! J’avoue, j’avais failli craquer pour un de ces produits avec une belle étiquette. Heureusement que je suis radin, ça m’a évité une dépense inutile !

  145. Isabelle Bernard

    Franchement, ça me désole un peu. On essaie de bien faire, de respecter l’environnement, et on se fait avoir quand même. C’est usant.

  146. J’avoue que je suis partagé. Le « bio » c’est bien, mais souvent trop cher. Je vais continuer avec mon marc de café, on verra bien !

  147. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le gaspillage. Si ces produits sont inefficaces, c’est une catastrophe écologique, au-delà du prix. On pollue pour rien.

  148. Moi, je trouve ça un peu facile de taper sur le « bio » comme ça. On dirait qu’on nous décourage de chercher des alternatives. C’est dommage.

  149. Finalement, c’est peut-être une bonne chose. Ça nous force à mieux comprendre les besoins réels de nos rosiers, plutôt que de chercher une solution toute faite.

  150. Nathalie Bernard

    Moi, ce que je retiens surtout, c’est qu’il faut se méfier des promesses trop belles. Le « bio » est devenu un argument marketing comme un autre. On devrait peut-être revenir aux conseils de nos grands-mères.

  151. Le « bio » pour les roses, c’est la même rengaine qu’avec l’alimentation. On paie plus cher pour un résultat pas toujours garanti. Je vais rester fidèle à mes méthodes de jardinier du dimanche, moins chères et éprouvées.

  152. UFC-Que Choisir a raison. J’ai vu des résultats bluffants avec des traitements naturels basiques. Pas besoin de se ruiner avec des produits marketing.

  153. Peut-être que le problème n’est pas tant le « bio » que le « spécial rosiers » ? On nous vend tellement de solutions hyper-ciblées, on en oublie le bon sens.

  154. Ça ne m’étonne qu’à moitié. J’ai l’impression que le « bio » est souvent une niche à exploiter pour gonfler les prix, plus qu’une réelle conviction. La confiance s’érode…

  155. Je me demande si le problème ne vient pas aussi de nos sols appauvris. Peut-être qu’aucun engrais, bio ou pas, ne peut faire de miracles si la terre est déjà fatiguée.

  156. Je me demande si l’effet placebo ne joue pas un rôle aussi. On a tellement envie que ça marche, qu’on finit par voir une amélioration…

  157. Brigitte Bernard

    Franchement, j’ai toujours pensé que le « bio » au jardin, c’était surtout bon pour rassurer le jardinier. Mes rosiers, ils aiment surtout le soleil et un peu d’attention.

  158. Catherine Bernard

    Je suis surpris. J’ai toujours cru que le « bio » était une question d’ingrédients, pas d’efficacité. J’utiliserai du compost maison l’année prochaine, on verra bien.

  159. C’est rageant de voir que même en voulant bien faire pour l’environnement, on se fait avoir. Je vais me renseigner sur les besoins spécifiques de mes rosiers avant d’acheter quoi que ce soit.

  160. Moi, j’utilise du purin d’ortie fait maison. C’est gratuit, ça sent mauvais, mais mes rosiers adorent ! L’odeur se dissipe vite, et les résultats sont là.

  161. Florence Bernard

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on dénigre le « bio » en bloc. C’est dommage, parce que des produits efficaces existent, même si c’est pas toujours ceux pour « rosiers ».

  162. Je crois qu’on oublie souvent que « bio » ne veut pas dire « miraculeux ». Ça demande toujours de comprendre sa plante et son environnement.

  163. Huguette Bernard

    Les rosiers de ma grand-mère étaient magnifiques, et elle n’achetait rien. Simple bon sens et observation, c’est ça le vrai secret, non ?

  164. Moi, j’en reviens aux bases : fumier de cheval bien décomposé. Ça nourrit la terre en profondeur, pas juste la plante. Le reste, c’est souvent du marketing.

  165. Jacqueline Bernard

    J’ai toujours pensé que le secret, c’était surtout la variété de rosier adaptée à son terrain. Inutile de forcer avec des engrais si la base n’est pas bonne.

  166. Le bio pour rosiers, c’est peut-être un luxe que je ne peux pas me permettre, financièrement et en temps. Je vais opter pour moins de rosiers et plus de plantes robustes.

  167. Les rosiers, c’est comme les gosses : chacun a son caractère. Peut-être que ces engrais « bio » marchent sur certains, pas sur d’autres. Une histoire de loterie, quoi.

  168. Franchement, tant qu’on n’aura pas des tests comparatifs indépendants et transparents, le « bio » restera un pari risqué. On achète un label, pas forcément un résultat.

  169. C’est vrai qu’on se sent parfois obligés d’acheter des trucs spécifiques. Peut-être qu’un bon compost maison ferait aussi bien l’affaire, sans l’étiquette « bio » à prix d’or.

  170. Guillaume Dubois

    Le « bio » pour rosiers, c’est souvent une question de conscience tranquille plus que de réelle efficacité, je trouve. On veut se sentir moins coupable, mais est-ce que ça change vraiment quelque cho…

  171. Je me demande si le problème n’est pas aussi dans l’attente qu’on a vis-à-vis du « bio ». On dirait qu’on attend un miracle instantané, alors que c’est peut-être une approche plus douce et sur le long terme.

  172. Je me demande si on ne diabolise pas trop vite. Un petit coup de pouce « bio », ça peut aider un rosier fatigué à redémarrer, non?

  173. Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on nous culpabilise si on ne met rien. Un rosier, ça a besoin d’un petit quelque chose, non ?

  174. Moi, j’ai arrêté de me prendre la tête avec les rosiers. Trop d’efforts pour un résultat aléatoire. Je privilégie les plantes qui poussent sans chichis, c’est plus reposant.

  175. Je me demande si le problème n’est pas qu’on applique mal ces produits. La concentration, le moment… Il y a peut-être un savoir-faire qui se perd.

  176. Moi, les rosiers, je les laisse vivre leur vie. S’ils veulent fleurir, ils fleurissent. Sinon, tant pis. La nature fait bien les choses, non?

  177. Je suis assez d’accord. J’ai essayé ces produits « bio » pour rosiers et honnêtement, je n’ai vu aucune différence notable par rapport à avant. Le porte-monnaie, lui, l’a bien sentie!

  178. Je suis surpris ! J’utilise de la poudre d’os et du purin d’ortie, ça marche bien et c’est économique. Peut-être que l’article vise des produits plus sophistiqués ?

  179. J’ai l’impression qu’on nous prend vraiment pour des pigeons avec ces produits « bio ». Le marketing est tellement fort qu’on finit par douter de son propre bon sens.

  180. Franchement, ça me rassure presque. J’avais l’impression d’être la seule à trouver ces engrais « bio » pour rosiers hors de prix et peu concluants. Je vais retourner à mon compost maison, au moins je sais ce qu’il y a dedans.

  181. Sébastien Dubois

    C’est bon à savoir, mais je me demande si la qualité du sol n’est pas la clé. Un bon sol, bien drainé, c’est peut-être plus important que tous ces engrais, non ?

  182. L’article est peut-être vrai, mais les rosiers de ma grand-mère étaient magnifiques, et elle jurait que par cet engrais « bio » précis. Peut-être que ça dépend des variétés de rosiers ?

  183. C’est marrant, moi j’ai l’impression que ces engrais marchent mieux la deuxième année. Peut-être que ça enrichit le sol sur le long terme, même si c’est pas flagrant au début.

  184. Alexandre Dubois

    Je me demande si l’appellation « bio » n’est pas devenue un argument marketing fourre-tout. On s’attend à un miracle, alors qu’il faudrait peut-être juste un peu de bon sens.

  185. Christophe Dubois

    Tiens, c’est intéressant. J’ai toujours pensé que l’arrosage régulier était plus crucial que n’importe quel engrais, bio ou pas.

  186. Je ne suis pas étonné, le bio est souvent plus une promesse qu’une réalité tangible dans le jardin.

    On dirait que la simplicité a encore du bon !

    J’ai toujours eu plus de succès avec des méthodes naturelles transmises de génération en génération.

  187. Moi, j’avoue, je suis un peu paresseux. Si l’engrais promet une floraison facile, je suis preneur. Dommage si c’est du vent !

  188. François Dubois

    Moi, j’y crois moyen à ces études généralistes. Chaque jardin est unique, non ? Ce qui ne marche pas chez l’un peut très bien réussir chez l’autre.

  189. C’est bien de le savoir. Je me suis toujours méfié des produits miracle, même « bio ». Le prix est souvent un signal d’alarme.

  190. Je suis plus ennuyé qu’autre chose. Encore une fois, on nous fait culpabiliser d’essayer de bien faire pour l’environnement. On cherche des alternatives, et on se fait avoir.

  191. Béatrice Dubois

    Moi, ce qui m’interpelle, c’est le mot « inutile ». Ça veut dire quoi ? Que ça ne fait absolument rien, ou juste que le rapport qualité-prix est mauvais ? La nuance est importante pour mon portefeuil…

  192. Personnellement, je préfère utiliser du marc de café. C’est gratuit et mes rosiers semblent apprécier. Un bon paillage au pied fait aussi des merveilles.

  193. En tant que grand débutant en jardinage, ce genre d’article me décourage un peu. J’avais l’impression que le « bio » était une valeur sûre pour ne pas faire d’erreur.

  194. Je me demande si le problème n’est pas aussi dans la formulation « spécial rosiers ». Le marketing a vraiment réponse à tout ! Un bon compost de base, c’est déjà un excellent point de départ.

  195. J’ai arrêté d’acheter ces trucs après avoir vu une invasion de pucerons malgré un engrais « spécial rosiers » hors de prix. Autant utiliser le bon sens et des méthodes éprouvées.

  196. Gabrielle Dubois

    Moi, ce qui me chiffonne, c’est qu’on se focalise sur l’engrais. Un rosier, c’est comme nous : si le terrain est pourri et qu’il a soif, l’engrais ne fera pas de miracle, bio ou pas.

  197. C’est l’éternel débat. On nous vend du rêve « bio », mais le plus dur, c’est de démêler le vrai du faux. Je retourne à mes méthodes de grand-mère, ça me semble plus sûr.

  198. L’arnaque « bio », ça me fatigue. On dirait qu’il faut être ingénieur agronome pour planter une rose sans se faire plumer. J’ai juste envie d’un jardin joli, moi.

  199. Franchement, ça me fait penser aux régimes miracles. On cherche la solution facile, alors qu’il faudrait juste observer la nature faire son boulot.

  200. C’est bien de le savoir ! J’ai failli craquer pour ce genre de produit. Je vais rester sur mon purin d’ortie, au moins je sais ce qu’il y a dedans.

  201. Ça me rassure presque. J’ai toujours trouvé ces produits hyper spécifiques un peu suspects, surtout quand on voit la composition…

  202. Je me demande si ces engrais ne sont pas juste « bio » pour l’étiquette, mais gavés d’azote. Mes rosiers font des feuilles immenses, mais peu de fleurs… un peu comme dopés.

  203. J’ai toujours pensé que « bio » ne voulait pas dire « miracle ». C’est plus un état d’esprit qu’une garantie de résultats spectaculaires.

  204. Moi, j’avoue que je continue à les utiliser, mais surtout pour la conscience tranquille. Un peu comme acheter des oeufs de poules élevées en plein air, quoi.

  205. Je jardine depuis peu et j’avoue que j’étais un peu perdue face à tous ces produits. Merci UFC-Que Choisir de remettre les pieds sur terre. Je vais me renseigner sur les besoins spécifiques de mes rosiers plutôt que d’acheter aveuglément.

  206. Je me demande si le problème n’est pas juste la formulation « spécial rosiers ». Un bon engrais bio généraliste ne ferait-il pas aussi bien l’affaire?

  207. Finalement, c’est comme tout, le marketing a encore frappé. On se laisse embobiner par l’idée du rosier parfait sans réfléchir.

  208. J’ai arrêté de me prendre la tête avec les rosiers. Ils fleurissent quand ils veulent bien, et tant pis si c’est pas comme sur la photo du catalogue.

  209. Catherine Dubois

    C’est vrai que parfois, on cherche la complication. Ma grand-mère disait toujours qu’un bon coup de cendre de bois au pied suffisait amplement.

  210. Mes rosiers se contentent de compost maison et d’un peu de patience. La simplicité a souvent du bon, et c’est moins stressant.

  211. Je suis soulagé de lire ça. J’avais l’impression d’être le seul à ne voir aucune différence notable après l’utilisation de ces machins.

  212. Moi, je pense que c’est une question de dosage. Peut-être qu’on en met trop, ou pas assez, et du coup, on voit pas les effets. Difficile de savoir.

  213. Je me demande si ces produits « bio » ne créent pas une dépendance chez les rosiers, les rendant incapables de se débrouiller seuls à long terme.

  214. Jacqueline Dubois

    Je me demande si l’étude prend en compte les différents types de sols et de rosiers. L’efficacité d’un produit peut varier énormément selon le contexte.

  215. Moi, j’ai l’impression que le « bio » est devenu une excuse pour vendre plus cher des produits qui ne sont pas forcément meilleurs. Un peu comme le « sans gluten » pour ceux qui ne sont pas intolérants.

  216. Je me demande si le problème n’est pas qu’on attend trop de ces produits. Un rosier, c’est vivant, ça a ses propres rythmes. Forcer la nature avec des engrais, même bio, c’est peut-être pas la solution.

  217. Je suis assez d’accord. J’ai testé, et franchement, je n’ai pas vu de miracle. Mes rosiers étaient aussi beaux, ou aussi moches, qu’avant.

  218. C’est bien triste, mais ça ne m’étonne qu’à moitié. J’ai toujours privilégié l’observation attentive de mes rosiers plutôt que de me fier aveuglément aux étiquettes.

  219. Je crois que le vrai problème, c’est qu’on nous vend du « bio » standardisé. Chaque rosier est unique, son besoin aussi. Faut arrêter de croire aux recettes miracles.

  220. C’est rassurant de voir qu’UFC-Que Choisir s’intéresse aussi à nos jardins. On a tellement l’impression d’être seuls face à ces promesses « vertes ».

  221. Guillaume Durand

    Je suis surtout déçue pour ceux qui débutent le jardinage. On leur vend une image simple et écologique, et au final… c’est juste démotivant.

  222. C’est pénible, on dirait qu’on ne peut plus faire confiance à rien. J’ai l’impression qu’on nous prend pour des pigeons constamment.

  223. Ça m’énerve moins qu’autrefois ce genre de révélations. Finalement, ça me force à me creuser la tête et à faire mes propres expériences. Le jardinage, c’est aussi ça, non ?

  224. Moi, je trouve que ça remet en question notre rapport à la nature. On dirait qu’on ne peut plus jardiner sans chercher à « optimiser » à tout prix.

  225. Le bio, c’est devenu une religion, et comme toute religion, ça attire les marchands du temple. On ferait mieux de revenir aux bons vieux trucs de grand-mère.

  226. Moi, ce qui me frappe, c’est le mot « inutile ». On gaspille tellement, c’est ça qui me choque le plus. On pourrait faire autre chose de cet argent.

  227. Moi, je trouve ça bête de s’acharner sur les rosiers. Ils sont déjà beaux comme ça, non ? Pourquoi toujours vouloir les « améliorer » ?

  228. Finalement, c’est peut-être une bonne chose. Ça nous pousse à moins consommer et à redécouvrir le plaisir simple d’un rosier, même imparfait. La perfection n’est pas toujours souhaitable.

  229. Ah, encore une histoire de « bio » qui ne tient pas ses promesses. Je me demande si le problème n’est pas qu’on attend trop de ces produits, au lieu de simplement bien connaître ses rosiers.

  230. Franchement, ça me fait surtout réaliser qu’on est bombardés de marketing, même au jardin. On nous infantilise avec ces produits « spécial rosiers ».

  231. Cet article, ça me rappelle surtout que le « bio » est pas une baguette magique. Faut quand même se renseigner avant d’acheter, même si c’est estampillé vert.

  232. Sébastien Durand

    Je me demande si le problème n’est pas plutôt dans la formulation. « Bio » ne veut pas forcément dire « miracle ». C’est un peu comme croire qu’un médicament naturel est toujours efficace.

  233. Je me demande si la solution n’est pas d’accepter que les rosiers ne soient pas toujours parfaits. Un peu de tavelure, ça fait partie de la vie.

  234. Alexandre Durand

    J’ai l’impression qu’on nous prend vraiment pour des pigeons. Bio ou pas, ça sent l’arnaque à plein nez. J’espère que l’UFC va continuer à faire le ménage.

  235. Ce que je retiens, c’est qu’on devrait peut-être plus observer nos rosiers et moins chercher à les « doper » avec des trucs qu’on ne comprend pas.

  236. Christophe Durand

    Moi, j’ai toujours utilisé du marc de café au pied de mes rosiers, et ils se portent très bien. C’est gratuit et ça marche!

  237. Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on culpabilise les jardiniers amateurs. On essaie juste de faire au mieux, et on se retrouve pointés du doigt pour avoir cru à un label.

  238. Moi, ça me rassure presque. J’ai jamais rien compris à ces engrais. Je me contente de ce que la nature me donne, et mes rosiers survivent.

  239. François Durand

    Moi, j’ai toujours eu l’impression que ces produits « spécialisés » étaient surtout bons pour le portefeuille des fabricants. Je vais m’en tenir à mon compost maison, ça a l’air amplement suffisant.

  240. Grégoire Durand

    C’est pénible de se sentir obligé d’acheter des produits spécifiques pour chaque plante. On dirait que le jardinage devient une affaire de spécialistes, alors que ça devrait rester simple.

  241. Franchement, je suis surtout soulagé. J’avais peur de mal faire en n’achetant rien de spécifique. On dirait que mes rosiers s’en sortent aussi bien sans !

  242. C’est bon à savoir. J’avais justement prévu d’en acheter cette année. Je vais peut-être me contenter d’un bon vieux fumier composté alors. Merci UFC!

  243. Finalement, c’est peut-être la preuve que le « bio » n’est pas toujours synonyme d’efficacité supérieure. Ça remet les choses en perspective.

  244. Béatrice Durand

    Bof, ça m’étonne à moitié. Le marketing « bio » surfe tellement sur la vague… Faut vraiment creuser pour savoir ce qui est utile ou pas.

  245. Mouais… J’ai toujours pensé que le secret, c’est surtout la qualité de la terre au départ. Un bon sol bien préparé, c’est déjà la moitié du boulot. Le reste, c’est du bonus marketing.

  246. C’est vrai qu’on se sent parfois un peu perdu face à tous ces produits. Moi, j’aimerais surtout savoir quels sont les critères objectifs pour juger de l’efficacité d’un engrais « bio ».

  247. J’avoue que ça me fait râler. On essaie de bien faire pour la planète et on se fait avoir. Du coup, on hésite à acheter du « bio », même quand c’est justifié.

  248. Gabrielle Durand

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact environnemental de la production de tous ces engrais, même « bio ». On remplace un problème par un autre ?

  249. Je jardine depuis des années. Ce qui compte vraiment, c’est d’observer ses rosiers. Ils te disent ce dont ils ont besoin, pas les étiquettes.

  250. Je me demande si le problème ne vient pas de notre impatience. On veut des résultats immédiats, alors qu’un rosier, ça demande du temps… et de l’amour.

  251. Les rosiers de ma grand-mère étaient magnifiques et elle n’utilisait que du marc de café. Peut-être que le vrai secret, c’est l’amour qu’on leur porte, pas le prix de l’engrais.

  252. C’est rageant de voir que même en voulant faire attention, on peut se faire berner. Je vais retourner au compost maison, au moins je sais ce qu’il y a dedans.

  253. Franchement, je ne suis pas surpris. Le « bio » est devenu un argument de vente avant d’être une garantie d’efficacité. Espérons que ça pousse les gens à se renseigner davantage avant d’acheter.

  254. C’est toujours bon à savoir. J’ai failli craquer, mais je vais m’abstenir et voir comment mes rosiers se débrouillent sans. Moins de dépenses, plus de tranquillité.

  255. J’ai toujours pensé que le secret des belles roses, c’était le soleil et la bonne terre. Le reste, c’est du marketing, non ?

  256. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on cherche toujours la solution miracle dans un flacon. Un rosier, c’est vivant, ça a besoin d’attention, pas juste d’un produit.

  257. Finalement, ce n’est peut-être pas « bio » qu’il faut chercher, mais plutôt « local ». Soutenir les petits producteurs du coin, ça aurait plus de sens.

  258. C’est vrai que ça donne envie d’acheter ces produits « spécial rosiers », mais au fond, un bon amendement organique de base, ça fait peut-être aussi bien l’affaire, non ? Je vais tester cette année.

  259. Je suis content qu’UFC-Que Choisir le souligne. Trop souvent, on nous fait croire que « bio » est synonyme de « miracle », alors que c’est surtout synonyme de « plus cher ».

  260. J’avoue que le « bio » me rassure, même si je comprends que ça peut être du vent. L’idée d’éviter les produits chimiques me parle, surtout avec des enfants qui jouent dans le jardin.

  261. Je me demande si le problème ne vient pas de l’appellation « bio » elle-même, trop vague. On mélange tellement de choses sous ce terme…

  262. Plutôt que de me focaliser sur le « bio », je vais peut-être demander conseil directement à mon voisin qui a une roseraie magnifique. L’expérience vaut mieux que le marketing.

  263. Catherine Durand

    Franchement, je me suis fait avoir l’an dernier avec ce genre de produit. Mes rosiers n’ont jamais été aussi moches. J’aurais mieux fait d’écouter ma grand-mère et son purin d’ortie…

  264. Ça me rappelle que le « bio » n’est pas une garantie de succès. Mieux vaut observer ses rosiers et comprendre leurs besoins spécifiques.

  265. L’article me fait penser à tous ces conseils qu’on trouve sur internet, parfois contradictoires. Difficile de savoir qui croire !

  266. C’est bien de le rappeler, mais on se sent un peu seul face aux rayonnages. Un guide d’achat comparatif serait plus utile qu’une simple alerte.

  267. Cet article tombe à pic ! J’ai failli craquer pour ce genre de produit, justement pour éviter de me prendre la tête. Heureusement que j’ai attendu.

  268. Bof, je pense que le problème n’est pas tant le « bio » que le « spécial rosiers ». Un bon compost maison fait souvent aussi bien l’affaire pour tout le jardin.

  269. Jacqueline Durand

    J’ai l’impression qu’on nous prend vraiment pour des pigeons parfois. Le « bio » est devenu un argument marketing avant d’être une réelle promesse.

  270. Finalement, le plus « bio » c’est peut-être de laisser la nature faire son travail, non ? Moins on en fait, mieux ça se porte parfois.

  271. J’avoue, je suis un peu paresseux. L’idée d’un truc tout prêt, même « bio », qui me dispense de faire du compost, ça me tentait bien. Tant pis, va falloir s’y mettre.

  272. Franchement, ça me rassure un peu. J’ai toujours trouvé que ces produits « spécialisés » sentaient le marketing à plein nez.

  273. Moi, je me demande surtout si ces produits ne sont pas juste une version diluée d’engrais basiques vendus trois fois plus cher.

  274. Je me demande si l’appellation « bio » est vraiment contrôlée pour ces produits. On devrait avoir plus de transparence sur la composition.

  275. Je me demande si l’obsession du « bio » parfait ne nous empêche pas de juste profiter de nos roses. Un peu d’engrais chimique de temps en temps, ça ne va pas tuer la planète, si ?

  276. J’ai arrêté de chercher la solution miracle. Mes rosiers, ils aiment le soleil et un peu d’attention, c’est tout. Le reste, c’est du flan.

  277. C’est vrai que j’ai toujours trouvé les emballages de ces engrais très « greenwashing ». Ça joue sur notre bonne conscience.

  278. Je suis surpris que l’UFC-Que Choisir s’intéresse aux rosiers ! Mais bon, si ça peut éviter à certains de se faire avoir… Moi, j’ai toujours pensé que le bon sens paysan valait mieux que tous ces trucs.

  279. C’est marrant, moi j’ai toujours eu plus de succès avec des recettes de grand-mère qu’avec ces machins « bio » pour rosiers. Le purin d’ortie, ça marche du tonnerre!

  280. Je suis un peu partagé. J’essaie de faire attention à l’environnement, mais parfois le « bio » me semble inaccessible en termes de prix. L’article soulève une question importante.

  281. J’avoue que ça me frustre de voir des alternatives soi-disant écologiques qui finalement coûtent un bras pour aucun résultat. On se sent pris pour des pigeons.

  282. Je trouve ça bien que l’UFC alerte sur ça. Perso, je me suis toujours méfié des promesses trop belles sur les emballages. Mieux vaut observer ses rosiers attentivement, je pense.

  283. Perso, j’utilise du marc de café au pied de mes rosiers. C’est gratuit et ça semble leur plaire, au moins autant que ces trucs hors de prix.

  284. Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on nous culpabilise sans cesse. On essaie de faire bien, et on se fait avoir. L’article a le mérite de le pointer du doigt.

  285. Sébastien Leroy

    Je me demande si le problème n’est pas plutôt qu’on attend des miracles de ces produits. Un rosier, ça demande quand même un peu d’entretien de base, non ?

  286. C’est agaçant, ces produits qui surfent sur la vague du « bio » sans réelle valeur ajoutée. On se sent un peu naïf d’y avoir cru, finalement.

  287. Je suis content qu’on en parle. J’ai toujours trouvé les emballages de ces produits hyper anxiogènes, comme si mes rosiers allaient mourir sans ça.

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