Finies les soirées d’automne tranquilles sur la terrasse. Cette désagréable sensation de piqûre, même en octobre, n’est plus une simple impression. Santé publique France le confirme : le moustique tigre, bien connu pour gâcher nos étés, s’adapte désormais au froid. Cette résistance prolonge sa période de nuisance et les risques sanitaires associés jusqu’aux portes de l’hiver, notamment dans plusieurs régions clés où la vigilance doit être renforcée.
Une menace qui s’étend bien au-delà de l’été
L’idée que les moustiques disparaissent avec les premières fraîcheurs est révolue. Le moustique tigre a développé une capacité d’adaptation surprenante qui inquiète les autorités sanitaires. L’explication est avant tout biologique : ses œufs possèdent une faculté de diapause, leur permettant de résister à des températures basses. Avec des automnes de plus en plus doux, son cycle de développement n’est plus aussi freiné, étendant sa présence active bien après la période estivale. Ce n’est plus seulement un problème d’inconfort, mais un véritable enjeu de santé publique, car cet insecte est un vecteur potentiel de maladies comme la dengue, le chikungunya ou le zika. Une saison active prolongée signifie une fenêtre d’exposition plus longue pour la population.
Les régions concernées et les nouvelles habitudes à adopter
Élise Dubois, 42 ans, paysagiste à Lyon, témoigne de ce changement : « Je pensais être tranquille avec l’arrivée de l’automne, mais les piqûres continuent pendant que je travaille au jardin. C’est devenu une préoccupation quasi annuelle. » Comme elle, des millions de Français doivent désormais intégrer de nouveaux réflexes. La lutte contre sa prolifération doit se poursuivre jusqu’aux premières grosses gelées. Il est donc crucial de continuer à :
- Éliminer toutes les eaux stagnantes : coupelles sous les pots de fleurs, gouttières, arrosoirs, jouets d’enfants.
- Vérifier les points d’eau qui peuvent sembler anodins en automne.
- Porter des vêtements longs et clairs lors des activités extérieures, même par temps frais.
Un indicateur des changements climatiques
Cette adaptation du moustique tigre est une conséquence directe et visible du réchauffement climatique. Les automnes plus cléments ne lui permettent pas seulement de survivre plus longtemps, mais aussi de coloniser de nouveaux territoires plus au nord. Ce phénomène force les agences de santé à revoir leurs calendriers de prévention, qui ne peuvent plus se limiter à la seule période estivale. L’impact est également économique pour les secteurs du tourisme et toutes les professions en extérieur, qui doivent désormais composer avec cette nouvelle réalité.
Région à forte vigilance | Période d’activité étendue | Principal risque |
---|---|---|
Auvergne-Rhône-Alpes | Jusqu’à fin novembre | Forte densité et transmission locale possible |
Occitanie | Jusqu’à début décembre | Conditions climatiques très favorables |
Provence-Alpes-Côte d’Azur | Jusqu’à début décembre | Historiquement la plus touchée |
Vers une surveillance quasi permanente
La gestion de ce risque sanitaire doit donc s’adapter en profondeur. Les campagnes de sensibilisation, autrefois saisonnières, tendent à devenir continues dans les départements les plus touchés. Cela implique une transformation des habitudes citoyennes et une meilleure coordination des acteurs locaux pour limiter la prolifération de cet insecte invasif. La saisonnalité du moustique tigre semble bel et bien révolue, nous rappelant l’urgence de répondre aux changements environnementaux qui modifient durablement notre quotidien.
Grrr… Encore ! Je me demande si les produits anti-moustiques vont augmenter de prix avec cette nouvelle. L’automne était mon seul répit…
C’est agaçant, mais pas vraiment surprenant. On sentait bien que ces bestioles restaient actives plus tard cette année, même avec les premières fraîcheurs. Va falloir s’y faire…
Quelle galère ! Moi qui pensais pouvoir enfin ranger les bombes anti-moustiques… On n’est jamais tranquille ! J’espère que les municipalités vont prendre le problème à bras le corps.
Franchement, ça m’inquiète plus pour les animaux domestiques. J’ai peur que mon chat se fasse piquer et attrape une maladie. Il va falloir redoubler de vigilance.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’impact sur les personnes âgées. Rester enfermés plus longtemps, ce n’est pas bon pour le moral.
Le changement climatique, on en parle, on en parle… mais le voir concrètement comme ça, avec des moustiques qui restent plus longtemps, ça fait un drôle d’effet.
Je me demande si cette adaptation au froid ne va pas finir par modifier la répartition géographique du moustique tigre. Bientôt, on en aura partout en France ?
C’est dingue, quand même ! J’ai l’impression que ces moustiques sont de plus en plus résistants. Bientôt, ils vont porter des doudounes !
Je me demande si le problème ne vient pas aussi de nos jardins. On laisse trop d’eau stagnante, même involontairement. C’est un peu de notre faute, non ?
J’ai surtout peur des conséquences pour les dons du sang. Si la période d’activité du moustique s’allonge, est-ce que ça va impacter les collectes ?
Moi, ce qui me dérange le plus, c’est qu’on parle toujours du moustique tigre, mais les autres moustiques, ils sont où ? On dirait qu’ils ont disparu de la circulation.
C’est surtout usant de devoir encore y penser en automne. On a l’impression que l’été n’en finit plus, mais pas pour les bonnes raisons.
Moi, ce qui m’agace, c’est ce ton alarmiste. On dirait qu’on découvre l’eau chaude. Les moustiques, il y en a toujours eu, non? Faut-il en faire un drame à chaque automne?
Est-ce qu’on sait si les produits antimoustiques classiques sont toujours efficaces en cette période ? J’ai l’impression qu’ils s’en fichent royalement maintenant.
Franchement, ça me rappelle juste qu’il faut vraiment que je vide mes pots de fleurs avant que le gel arrive.
C’est pénible, mais au fond, ça veut juste dire qu’il faut anticiper un peu plus et pas ranger les moustiquaires trop vite.
C’est vrai que c’est pénible. J’ai l’impression que la nature n’a plus de saison ! On ne sait plus quand se protéger.
C’est embêtant pour les animaux. J’espère que les vétérinaires vont se pencher sur la question des protections adaptées pour nos chiens et chats.
Perso, je trouve ça flippant pour les personnes âgées. Elles sont souvent plus fragiles face aux maladies transmises et moins vigilantes.
Je me demande si les municipalités vont adapter leurs campagnes de démoustication ou si on est livrés à nous-mêmes. C’est bien de prévenir, mais l’action, elle est où ?
Je me demande si le changement climatique n’est pas le principal coupable. On s’étonne, mais c’était prévisible, non ?
Plus qu’une nuisance, c’est le symbole d’un dérèglement qui me déprime. On dirait un mauvais film de science-fiction.
Bof, ça ne me surprend pas tant que ça. J’habite dans le sud, et on les voit presque toute l’année maintenant.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout l’impact sur les cultures. Si les moustiques restent plus longtemps, est-ce que ça va affecter les récoltes ? J’y connais rien mais ça me turlupine.
Moi, je me demande si on ne va pas finir par s’habituer, à force. Triste constat, mais on dirait qu’on n’a plus le choix.
Je crains que la focalisation sur le moustique tigre ne nous fasse oublier les autres espèces, potentiellement tout aussi problématiques.
Franchement, ça me gave. On nous parle toujours des conséquences, jamais des solutions concrètes et efficaces. On est passifs ou quoi ?
Je suis surtout dégoûté pour les enfants. Les pauvres, déjà qu’ils se font piquer tout l’été, maintenant ça continue à la rentrée scolaire. C’est vraiment injuste.
Je vais devoir ressortir les manches longues plus tôt que prévu, c’est sûr.
J’ai l’impression qu’on découvre l’eau chaude. Ça fait des années que je me fais piquer en automne, surtout les jours de redoux.
J’espère juste que ma crème antimoustique périmée de l’été dernier fera encore l’affaire… Je n’ai pas envie d’en racheter.
Et dire qu’on essayait encore de profiter des derniers rayons de soleil… Ça sent la fin de l’insouciance.
On va finir par ne plus pouvoir ouvrir les fenêtres du tout. Drôle d’époque.
C’est pas tant les piqûres qui me dérangent, c’est le bruit ! J’ai toujours l’impression qu’il va me rentrer dans l’oreille. Affreux.
Je me demande si cette adaptation au froid ne va pas aussi changer leur comportement de reproduction… Plus de larves qui survivent à l’hiver ?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les animaux domestiques. Nos chats et chiens se font déjà piquer, est-ce que les maladies qu’ils transmettent sont un risque pour eux aussi ?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout l’impact sur le tourisme local. Qui va vouloir passer ses vacances dans des régions infestées ?
Franchement, j’ai surtout peur qu’on s’habitue à vivre avec ça. Que ça devienne « normal » de se faire piquer jusqu’en novembre. C’est ça le plus triste.
Je me demande si les pouvoirs publics prennent vraiment la mesure du problème… Des campagnes d’information plus ciblées seraient bienvenues.
C’est embêtant, mais au fond, ça ne me surprend pas tant que ça. On a bien vu des hirondelles rester plus longtemps que d’habitude. Le climat change, forcément, ça impacte tout le monde.
J’ai l’impression qu’on découvre l’eau chaude. Le réchauffement climatique, ça a des conséquences concrètes, et les moustiques, c’est juste un symptôme parmi d’autres.
J’ai toujours pensé que les moustiques tigres étaient une lubie parisienne. Apparemment, non. Va falloir sérieusement penser à investir dans des moustiquaires.
Moi, je suis surtout agacé par le manque de solutions concrètes. On nous alerte, on nous alerte, mais après ? Que fait-on ?
Plus que la piqûre, c’est la tranquillité d’esprit que ça vole. On ne peut plus profiter de son jardin sans cette angoisse. C’est vraiment pénible.
Je me demande si les produits anti-moustiques classiques sont toujours efficaces face à cette nouvelle génération de moustiques tigres résistants. Il faudrait peut-être adapter nos défenses.
C’est toujours la même rengaine chaque année. On nous parle du moustique tigre, on panique et… l’hiver arrive. On en reparlera l’été prochain.
Je me souviens quand on disait qu’il fallait vider les coupelles d’eau. On le fait, et ils sont toujours là. On a l’impression de se battre contre des moulins à vent.
C’est une vraie galère, mais je me demande si on ne dramatise pas un peu. J’ai toujours été piqué, été comme automne. Peut-être qu’avant, on ne les remarquait juste pas autant.
Franchement, je crois qu’on devrait se concentrer sur la recherche de solutions durables plutôt que de simplement subir chaque année. On est capable de mettre des hommes sur la lune, non ?
Moi, j’ai surtout peur pour mes animaux. J’ai un chat qui adore traîner dehors et je me demande quels sont les risques pour lui.
Je me demande si l’augmentation de leur présence n’est pas aussi liée à l’urbanisation croissante. Plus de béton, moins d’espaces naturels, ça doit bien les favoriser, non ?
C’est vrai que ça devient difficile de profiter des derniers rayons de soleil. J’ai l’impression que cette année, ils sont particulièrement voraces.
C’est sûr que c’est pas une super nouvelle. Perso, je suis surtout inquiet pour les personnes âgées qui sont plus vulnérables aux maladies qu’ils peuvent transmettre. Faut vraiment les protéger.
C’est pénible cette nouvelle. On va finir par devoir vivre cloîtrés chez nous toute l’année pour éviter ces bestioles.
Bof, ça ne me surprend pas tellement. On a bien vu les saisons se décaler ces dernières années, alors pourquoi pas les moustiques ?
Ils gâchent vraiment tout. Impossible de faire un barbecue tranquille sans se faire dévorer. Je vais peut-être investir dans une moustiquaire géante pour le jardin.
Je commence à me demander si on ne devrait pas carrément repenser nos jardins. Moins de plantes qui retiennent l’humidité, peut-être ? Un truc plus minéral, plus sec…
Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on nous parle de « régions clés » sans préciser lesquelles. On est censés paniquer ou pas, là ?
J’avoue, ça me rappelle mon enfance dans le Sud. On savait qu’après la rentrée, c’était encore la saison des moustiques. Rien de neuf sous le soleil, si j’ose dire.
Franchement, ça me rappelle les étés de plus en plus longs. On dirait que la nature s’emballe et les moustiques en profitent.
Moi, je me demande si les produits anti-moustiques classiques sont encore efficaces contre ces moustiques « nouvelle génération ». Faut-il en changer ?
Je me demande si ce n’est pas aussi une question d’urbanisation. Plus de zones urbaines, c’est peut-être aussi plus d’endroits où ils peuvent proliférer, non ?
On dirait que le moustique tigre est en train de devenir notre nouveau colocataire permanent. Super !
Je trouve ça surtout triste. On a de moins en moins de répit avec ces insectes. Un été qui n’en finit pas, ce n’est pas forcément une bonne nouvelle.
Je crains surtout pour les personnes fragiles, les enfants et les personnes âgées. Ces piqûres à répétition, ce n’est pas anodin pour tout le monde.
Ça me fait surtout penser qu’il faut être plus rigoureux sur les eaux stagnantes autour de chez soi. Le problème, il commence là, je pense.
Bof, personnellement, ça ne me surprend pas tant que ça. Avec le climat qui change, on pouvait s’y attendre.
Je suis surtout fatigué de cette litanie annuelle. On dirait un mauvais feuilleton qui revient chaque année avec les mêmes rebondissements. 😴
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les animaux domestiques. On parle des humains, mais nos chiens et chats aussi se font piquer, et il y a des maladies qu’ils peuvent attraper.
Je suis surtout agacé qu’on découvre ça maintenant. On savait bien qu’ils étaient là, non ? Pourquoi ne pas avoir anticipé cette adaptation ?
C’est surtout l’aspect psychologique qui me pèse. Savoir qu’on est « attaqué » si longtemps, ça use. On se sent moins chez soi, moins tranquille.
Je me demande si les produits antimoustiques classiques sont toujours efficaces si tard dans la saison. Il faudrait peut-être adapter nos protections.
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de « nuisance ». C’est un peu léger, non ? Derrière, il y a quand même un vrai risque de maladie.
Franchement, je trouve qu’on dramatise beaucoup. J’ai toujours connu des moustiques jusqu’à tard dans l’année, ça ne change pas radicalement ma vie.
Je me demande si cette adaptation au froid ne va pas aussi changer leur comportement de piqûre. Peut-être qu’on va être piqués en journée même en automne, alors qu’avant c’était surtout le soir…
Plus de soirées barbecue tranquilles, c’est clair. Mais au-delà de l’inconfort, j’espère que les autorités sanitaires prennent la mesure du risque pour les personnes fragiles.
J’ai l’impression que le problème, c’est surtout l’inaction collective. Chacun se plaint, mais qui vide réellement ses coupelles d’eau ?
Je me demande si l’augmentation du nombre de signalements n’est pas simplement due à une meilleure information du public.
Je suis surtout curieux de savoir comment cette adaptation au froid va influencer leur expansion géographique à long terme. Vont-ils finir par coloniser des régions plus nordiques ?
Ça me rappelle mon enfance à la campagne où les moustiques étaient une plaie jusqu’aux premières gelées. On dirait que ce « retour aux sources » est moins poétique qu’il n’y paraît.
C’est surtout le côté « fin des soirées tranquilles » qui m’agace. On dirait qu’on ne peut plus rien faire sans que ce soit un problème.
Bof, tant qu’ils ne piquent pas à travers les pulls, ça va. On s’adapte, comme eux.
C’est pénible, mais au fond, ça me motive à enfin ranger le mobilier de jardin.
Je suis surtout inquiet pour mes animaux. J’espère que les traitements préventifs pour chiens et chats seront efficaces plus longtemps.
Franchement, ça ne m’étonne qu’à moitié. Le dérèglement climatique, on en voit les effets partout, c’était couru d’avance qu’ils s’adaptent.
J’ai surtout peur pour les personnes qui ne se rendent pas compte du danger et qui pensent que ce n’est qu’une simple piqûre. Il faut vraiment insister sur les maladies qu’ils peuvent transmettre.
Je suis plus fataliste qu’inquiet. Finalement, on s’habituera, comme on s’habitue à tout, non ? On trouvera bien des solutions… ou pas.
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de « nuisances » et de « risques sanitaires ». Mais le simple fait de se faire piquer, c’est déjà hyper désagréable.
J’ai l’impression qu’on découvre l’eau tiède. Des moustiques en automne, ça a toujours existé, non ? On dramatise peut-être un peu.
C’est vrai que ça prolonge la saison des répulsifs et des bougies à la citronnelle… On va finir par vivre calfeutrés.
Je me demande si cette adaptation au froid ne va pas rendre l’éradication encore plus compliquée. On est déjà dépassés en été, alors l’hiver…
Je me demande si les pouvoirs publics vont prendre des mesures plus fortes, au-delà des recommandations habituelles. La prévention individuelle ne suffira pas.
C’est fou comme on est passés de « l’été est fini, on est tranquilles » à « zéro répit ». On ne peut même plus profiter des belles couleurs d’automne dehors.
Je me demande si cette « adaptation » n’est pas juste qu’on les remarque plus, car on est moins dehors et donc plus vulnérables à l’intérieur.
Bof, perso, je me dis que c’est peut-être une bonne excuse pour rallumer le barbecue plus longtemps dans l’année. Qui sait, ça deviendra une tradition d’automne ?
Perso, je me demande si nos comportements, comme laisser des soucoupes pleines d’eau, ne les aident pas plus que le climat. On est peut-être les premiers responsables.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur la faune locale. Les oiseaux et les insectes qui se nourrissent de moustiques, comment ils vont faire ? Tout est lié.
Je suis surtout déçu. L’automne, c’était mon moment de répit, sans avoir à me tartiner de produits. Adieu la tranquillité.
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours des désagréments. Mais y a-t-il des études sur l’impact de cette adaptation sur leur propre cycle de vie ? Est-ce que ça les fragilise d’une autre…
Plus de balades en forêt sans se faire piquer, c’est ça ? Triste nouvelle pour mes sorties champignons.
J’ai l’impression qu’on découvre l’eau tiède. On voyait bien qu’ils étaient encore là en octobre, non ? C’est plus un constat qu’une surprise pour moi.
Je suis atterré. J’avais naïvement imaginé qu’ils disparaîtraient avec les premières gelées. Va falloir s’habituer à vivre avec eux toute l’année, c’est déprimant.
C’est pas tant la piqûre qui me dérange, c’est l’idée que ces bestioles soient encore actives alors que la nature se prépare à hiberner. Ça donne un côté déréglé à la saison, un peu angoissant.
C’est rageant de voir que même le changement de saison ne nous en débarrasse plus. On est cernés, quoi.
Ça m’étonne que Santé Publique France le confirme seulement maintenant. J’avais remarqué une recrudescence des piqûres en allant chercher les courges au jardin.
Mince, j’espérais que les moustiques tigres seraient partis pendant que je profitais des couleurs d’automne. Je vais devoir ressortir les bougies à la citronnelle, alors.
Franchement, tant qu’ils ne transmettent rien de grave, je préfère une piqûre à un coup de froid. On s’adapte, comme eux.
On va finir par ne plus savoir quelle saison il est. Le réchauffement climatique, on le sent passer, jusque dans nos jardins.
Mouais… J’espère juste que le froid finira par les calmer, même si c’est plus tard. Marre de me tartiner de répulsif en permanence.
Je me demande si les mesures de démoustication mises en place sont réellement efficaces, ou si on se contente de constater leur présence prolongée sans agir en profondeur.
J’ai l’impression qu’on se focalise beaucoup sur la nuisance, mais peu sur l’impact écologique de cette prolifération tardive. N’y a-t-il pas un risque pour la faune locale ?
Et dire qu’on pensait être tranquille après la canicule… On dirait que le problème se déplace plus qu’il ne disparaît.
J’ai toujours pensé qu’il fallait mieux accepter la nature telle qu’elle est. On ne peut pas gagner contre elle, même avec des répulsifs.
C’est surtout pénible pour les animaux domestiques. Je crains pour le confort de mon chien lors de nos promenades du soir.
Bof, encore une excuse pour nous vendre des produits hors de prix. Je suis sûr que c’est une année comme les autres, mais on en fait tout un plat.
Ça m’inquiète surtout pour les personnes âgées et fragiles. Ces piqûres répétées, même sans maladie grave, peuvent vraiment les affaiblir.
Ça me rappelle les étés de mon enfance en Camargue, où les moustiques étaient déjà coriaces. C’est peut-être juste un retour à la normale après quelques années plus clémentes ?
Je me demande si cette adaptation au froid ne va pas à terme modifier la distribution géographique du moustique tigre. On risque de le retrouver bientôt dans des régions où on pensait être épargnés.
Je suis surtout agacée. On nous parle toujours des conséquences, jamais des solutions durables. On attend quoi pour vraiment s’y attaquer ?
J’habite en ville, et je me demande si le bitume et le béton n’aggravent pas la situation en retenant la chaleur, ce qui permet aux moustiques de survivre plus longtemps.
Franchement, c’est usant. Chaque année le même cirque. On dirait qu’on découvre le problème à chaque fois.
Je trouve ça dingue qu’on s’étonne encore. Le climat change, tout s’adapte, y compris les moustiques. Faut s’y faire, non ?
J’ai surtout l’impression que le problème est devenu une fatalité. On en parle, on s’en plaint, mais finalement on subit.
Plus de soirées barbecue après septembre, c’est déprimant. Ça veut dire rester enfermé plus tôt.
Je suis plus préoccupé par l’impact sur les animaux domestiques que sur moi. Mon chat se fait déjà piquer, je crains pour lui l’hiver.
Je me demande si l’augmentation du tourisme et des échanges commerciaux n’y sont pas pour quelque chose dans cette propagation. On déplace peut-être le problème sans le savoir.
C’est surtout le côté anxiogène de l’article qui me dérange. On dirait qu’il est écrit pour nous faire peur plus que pour nous informer.
Finalement, le plus inquiétant, c’est qu’on s’habitue à cette présence constante. L’été, c’est moustiques, et maintenant l’automne aussi… Bientôt, on ne se posera même plus la question.
Je me demande si cette adaptation au froid ne va pas aussi modifier les maladies qu’ils transmettent. On ne parle que de la nuisance, mais pas de l’évolution des virus.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le coût que ça va engendrer. Plus de traitements, plus de prévention… Qui va payer à la fin ?
J’ai l’impression qu’on minimise l’impact psychologique. Entendre ce bourdonnement angoissant plus longtemps, c’est vraiment pénible.
Franchement, j’ai surtout l’impression qu’on est pris de court chaque année. On découvre que le moustique est toujours là, comme si c’était une surprise. On devrait être mieux préparés, non ?
Moi, j’ai l’impression qu’on devrait peut-être se concentrer sur les solutions individuelles. Chacun chez soi, on peut faire des choses, non ?
C’est fou comme un si petit insecte peut changer nos habitudes. Je me demande si on ne devrait pas revoir nos aménagements extérieurs. Plus de plantes à eau stagnante chez moi, c’est sûr.
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de « nuisance ». C’est plus qu’une nuisance, c’est une invasion. On dirait qu’on banalise le problème.
J’en ai marre de ces articles alarmistes. On dirait qu’on est condamnés à vivre sous cloche.
Je me demande si cette adaptation au froid est vraiment une surprise. Les espèces évoluent, non ? On aurait dû s’y attendre.
Je trouve que l’article ne précise pas assez quelles régions sont concernées. C’est vague et ça crée plus d’inquiétude qu’autre chose.
Le titre est clair, au moins. Mais est-ce qu’on a vraiment tout essayé côté recherche de solutions durables, au lieu de juste constater et s’alarmer ? J’ai l’impression qu’on est passifs.
C’est vrai qu’on se sent impuissants face à ça. J’ai l’impression que les infos arrivent trop tard pour qu’on puisse agir efficacement.
Je me demande si le réchauffement climatique n’y est pas pour quelque chose. C’est une conséquence de plus.
J’ai l’impression que la science nous rattrape. On a tellement perturbé l’environnement, est-ce qu’on peut vraiment s’étonner que les espèces s’adaptent ?
J’ai été piqué en plein mois de novembre l’année dernière, alors cet article ne m’étonne qu’à moitié. On ne parle pas assez des conséquences sur les animaux domestiques.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout le risque accru de maladies tropicales qui pourraient s’installer durablement chez nous. On parle de nuisance, mais c’est potentiellement bien plus grave.
C’est pénible, cette histoire. On ne peut même plus profiter des dernières belles journées sans se faire bouffer.
L’adaptation, c’est une chose… mais j’espère que les municipalités vont adapter leurs campagnes de démoustication aussi, parce que là, on est mal barrés.
J’ai l’impression que chaque année, c’est le même refrain. On découvre l’eau chaude, alors que le problème est là, bien installé. Marre de cette fatalité ambiante.
Franchement, je m’attendais à pire. Novembre, c’est déjà presque l’hiver, non? C’est embêtant, mais bon, on ne va pas s’enfermer pour ça.
Moi, ce qui me frustre, c’est ce sentiment de ne pas pouvoir faire grand-chose à part mettre du répulsif. On subit, quoi. C’est ça le progrès?
Je me demande si on ne pourrait pas encourager la prolifération de ses prédateurs naturels. Les libellules, par exemple.
Perso, je trouve qu’on minimise souvent l’impact psychologique de ces bestioles. Ça crée une anxiété permanente, surtout quand on a des enfants.
Je me demande si cette adaptation au froid n’est pas aussi liée au réchauffement climatique… C’est un cercle vicieux.
J’ai surtout l’impression que notre environnement change à une vitesse folle. On est dépassés, non ?
Je suis plus ennuyé qu’alarmé. C’est surtout qu’ils gâchent les barbecues d’arrière-saison, ces moustiques.
Je me demande si cette prolongation de la saison n’aura pas un impact sur le prix des produits anti-moustiques. Ça risque de peser sur le budget.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout pour les animaux domestiques. On pense toujours à nous, mais les chiens et chats, ils sont aussi vulnérables.
C’est surtout l’idée que ce qui était exceptionnel devienne la norme qui me dérange. On s’habitue à tout, même à l’inconfort. Et on finit par l’accepter.
Je suis surtout agacé par le manque d’informations concrètes sur les « régions clés ». On alerte, mais on ne dit pas où!
Plus de terrasses en automne… c’est la fin des apéros tranquilles. Tristesse.
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle du moustique tigre comme d’un envahisseur. On oublie qu’on modifie son habitat, et que peut-être, il ne fait que s’adapter.
Je me demande si l’efficacité des mesures de prévention est vraiment à la hauteur. On nous dit toujours de vider l’eau stagnante, mais est-ce suffisant face à cette adaptation ?
Franchement, je trouve qu’on dramatise un peu. On a survécu à bien pire que des moustiques jusqu’en novembre, non ?
Bof, un petit coup de bombe et c’est réglé. J’ai toujours un aérosol sous la main, ça fait partie du paysage maintenant.
J’ai l’impression qu’on découvre l’eau chaude. Le changement climatique, ça se traduit aussi par ça, non ?
C’est marrant, moi qui pensais que la fin des beaux jours allait enfin me débarrasser de ces bestioles ! Visiblement, l’automne ne sera pas un répit cette année.
J’ai entendu dire qu’ils se reproduisent même dans les plaques d’égout. Vider les coupelles, c’est bien, mais est-ce que ça suffit vraiment ?
Je suis plus inquiet pour les animaux domestiques que pour moi. Leurs piqûres doivent être encore plus désagréables, et on ne pense jamais à les protéger.
J’espère que les municipalités vont prendre ça au sérieux et intensifier la démoustication. On ne peut pas laisser les particuliers se débrouiller seuls.
Mince, ça veut dire qu’il va falloir supporter leur bourdonnement plus longtemps… Moi qui comptais sur le calme de l’automne.
Ça m’énerve de devoir encore y penser. On devrait pouvoir profiter de l’automne sans ce stress constant.
Ils sont coriaces ces moustiques ! L’année dernière, j’ai été piqué en plein mois de décembre, alors que je jardinais. Je pensais que c’était une mouche, mais non…
Je me demande si cette adaptation au froid ne va pas perturber tout l’écosystème. On parle des piqûres, mais les conséquences pourraient être plus larges.
Je me demande si cette adaptation n’est pas une aubaine pour la recherche. Peut-être qu’en étudiant comment ils résistent au froid, on pourrait trouver des solutions plus durables contre eux.
Franchement, je trouve qu’on dramatise un peu. On a survécu à bien pire. Quelques piqûres de plus, c’est pas la fin du monde, si ?
C’est une mauvaise nouvelle, mais je suis surtout déçu. Je m’étais habitué à la trêve automnale, elle me permettait de souffler. On ne va plus être tranquille.
Bof, encore un truc de plus à gérer. J’ai l’impression qu’on se bat constamment contre la nature.
Je viens de refaire tous mes joints de fenêtres… pour rien !
Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout pour les animaux domestiques. On parle des humains, mais les chiens et chats, ils n’ont pas de spray anti-moustique !
C’est rageant de se dire qu’on n’aura plus de répit. J’espérais pouvoir ranger les répulsifs et profiter des couleurs d’automne sans cette angoisse.
Moi, je me dis que c’est l’occasion de repenser nos jardins et balcons. Peut-être des plantes répulsives ? Au lieu de subir, agir !
C’est pénible, mais au fond, ça nous force peut-être à être plus attentifs à notre environnement. On a un peu trop oublié qu’on fait partie d’un tout.
Ça m’énerve de voir que même l’automne, on n’est plus tranquilles. On paie un prix fort pour le dérèglement climatique.
J’espère juste que les collectivités vont prendre ça au sérieux et intensifier la démoustication avant que ça devienne vraiment ingérable. Il faut anticiper, pas seulement réagir.
Je me demande si les études sur les maladies transmises par le moustique tigre suivent cette évolution. La nuisance, c’est une chose, mais le risque sanitaire, c’est autre chose.
Je me demande si les moustiques tigres du Sud sont les mêmes que ceux du Nord. Peut-être que leur résistance au froid varie selon leur origine géographique ?
J’ai l’impression qu’on découvre l’eau chaude. Les insectes s’adaptent, c’est la base de l’évolution. On devrait être surpris ?
Personnellement, je m’interroge sur l’impact de cette prolongation de la saison du moustique sur le tourisme local. Les gens vont-ils hésiter à réserver des séjours en arrière-saison dans les ré…
Moi, je me demande si on va finir par s’y habituer, tout simplement. Une nouvelle normalité, quoi. Triste, mais possible.
Je me demande si nos animaux de compagnie sont aussi impactés. Mon chat semble plus agité en soirée ces derniers temps.
Je suis surtout déçu. Encore un truc qui change et qui empire, sans qu’on puisse faire grand-chose individuellement. Un peu fataliste, je l’avoue.
Moi, je vais peut-être investir dans des plantes répulsives pour mon balcon. Au moins, j’aurai l’impression d’agir à mon échelle. On verra si ça marche.
C’est pénible, mais je crois que je vais ressortir les manches longues et le répulsif. Tant pis pour le style, la santé avant tout.
Franchement, ça me gave. Encore un truc de plus à gérer, en plus de l’inflation et du reste. On est jamais tranquille.
C’est embêtant, mais ça me rappelle surtout qu’il faut vider les soucoupes de plantes plus souvent. La flemme, mais bon.
Plus de barbecues jusqu’à nouvel ordre alors… Quelle plaie, on n’est jamais tranquilles !
J’ai peur pour les personnes âgées fragiles. Ils sont souvent les plus vulnérables et les moins équipés pour se protéger.
J’espère que les municipalités vont prendre le problème à bras le corps. Une démoustication ciblée serait la bienvenue, plutôt que de nous laisser nous débrouiller seuls.
Je me demande si cette adaptation au froid n’est pas un signe avant-coureur de problèmes plus vastes liés au changement climatique. Ça fait froid dans le dos.
Bof, j’ai l’impression que c’est le serpent qui se mord la queue. On nous dit de moins utiliser de pesticides, mais après on se plaint des moustiques. Faut choisir.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur la faune locale. Les insectes qu’il mangeaient, ils vont devenir quoi ? On pense toujours à nous, mais…
J’habite dans le sud et franchement, je m’y attendais. On le voit bien plus tard dans la saison ces dernières années.
Je me demande si les produits anti-moustiques vendus en pharmacie sont réellement efficaces contre cette nouvelle génération de moustiques tigres résistants. Quelqu’un a testé ?
Le titre est un peu alarmiste je trouve. J’ai toujours vu des moustiques en automne, même avant le tigre.
Je suis surtout déçu. On nous promettait un automne tranquille et voilà qu’on est encore embêtés. On ne peut plus rien prévoir, c’est ça le pire.
Je suis blasé. Encore un truc à gérer. On n’a pas déjà assez avec tout le reste ?
C’est surtout la piqûre qui me dérange, plus que le risque de maladie. La démangeaison est insupportable!
Je me demande si cette histoire de résistance au froid n’est pas surtout liée à nos hivers plus doux. On repousse juste la limite, en fait.
Franchement, ça me gave qu’on parle toujours des piqûres. Personne ne pense au bruit ? Leurs vols autour de mes oreilles le soir, c’est ça le vrai supplice !
Je vais peut-être passer pour un égoïste, mais tant que les maladies restent rares, je relativise. La dengue, le chikungunya, c’est un risque théorique pour moi, pas une réalité.
C’est agaçant, mais ça me motive à enfin vider les soucoupes de pots de fleurs. J’aurais dû le faire plus tôt, en fait.
Je me demande si les prévisions météo devraient intégrer un « indice moustique » désormais, au même titre que l’indice UV. On pourrait mieux s’organiser.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur la faune locale. Si le tigre prolifère, qu’est-ce qui arrive aux autres espèces de moustiques ? Un écosystème chamboulé, c’est rarement bon signe.
Moi, j’ai peur pour mes chats. Ils passent leur temps dehors et forcément, ils se font piquer. J’espère que ces piqûres ne sont pas dangereuses pour eux.
Tiens, je me disais bien que j’en avais encore croisé un la semaine dernière ! Je pensais que c’était juste un survivant attardé.
J’ai l’impression qu’on découvre l’eau chaude. Le changement climatique, c’est pas juste une canicule en été, c’est tout qui change, même les moustiques.
J’ai l’impression qu’on se focalise trop sur les piqûres et pas assez sur la solution. On en parle, mais on agit peu collectivement. Que font les mairies concrètement ?
On dirait qu’on est bons pour ressortir les vêtements longs plus tôt que prévu. C’est quand même triste de devoir se barricader comme ça, même à l’automne.
J’espère juste que les produits anti-moustiques vont suivre le rythme et qu’on aura des solutions efficaces plus longtemps dans l’année. Parce que l’été, c’était déjà la galère.
C’est une sacrée mauvaise nouvelle ça. Je comptais justement profiter des derniers beaux jours sans me tartiner de répulsif. Adieu, tranquillité !
Ça m’énerve. Encore un truc qu’on va subir sans pouvoir faire grand-chose. On est juste bons à se badigeonner de produits chimiques.
Franchement, ça me rappelle les étés de mon enfance en Camargue, les moustiques, c’était toute l’année ! C’est peut-être juste un retour aux sources…forcé.
Pfff, encore un truc qui nous tombe dessus. Moi qui adore jardiner en automne, ça va devenir un enfer.
C’est pénible, mais au fond, ça me motive à enfin vider les soucoupes sous mes pots de fleurs. On remet toujours ça à plus tard… Là, y’a plus le choix.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les animaux. Nos chats et chiens aussi se font piquer. On ne parle jamais d’eux !
C’est sûr que ça change la donne. Je me demande si les assurances habitation vont finir par prendre en compte les risques liés aux maladies transmises par les moustiques.
Je me demande si ce n’est pas aussi lié au réchauffement climatique global. On change tellement notre environnement…
Moi, j’ai surtout peur pour les personnes fragiles. Les enfants, les personnes âgées, ça les fatigue déjà plus en été, alors si ça dure plus longtemps…
Mouais… Je me demande si c’est pas juste une excuse pour nous vendre encore plus de gadgets anti-moustiques. Le marketing a bon dos.
J’espère que les municipalités vont prendre le problème à bras le corps. Les particuliers seuls ne peuvent pas faire grand-chose.
Je me demande si les scientifiques étudient aussi comment cette adaptation au froid affecte la virulence des maladies qu’ils transmettent. C’est ça, le plus important.
C’est rageant. J’ai l’impression qu’on n’aura plus jamais de répit. On est toujours en train de se battre contre quelque chose, maintenant même les moustiques…
Franchement, je suis plus agacé qu’autre chose. Encore un truc qui vient perturber notre quotidien. On est jamais tranquille !
Je ne suis pas surpris. On voyait déjà des moustiques en octobre l’année dernière. C’est juste une confirmation, pas une nouveauté.
Ça me rappelle les étés de mon enfance, on se plaignait déjà des moustiques. Rien de bien nouveau sous le soleil, finalement.
Ça me rappelle quand j’étais petit et qu’on devait toujours mettre des manches longues le soir. On y revient, quoi…
Bof, encore un truc de plus à gérer. J’espère juste que ça ne va pas impacter le prix des assurances maladies, ça serait le pompon.
Je trouve ça flippant que la nature change aussi vite. On dirait qu’on perd le contrôle.
Je suis surtout triste pour les animaux sauvages, les oiseaux et les insectes « gentils » qui doivent déjà lutter pour survivre. Un prédateur de plus, c’est jamais une bonne nouvelle pour la biodiversité.
Ah, les moustiques tigres… Je me demande si ma citronnelle va encore servir jusqu’à Noël, cette année. La déprime…
J’espère que les municipalités vont intensifier les campagnes de démoustication. C’est bien beau de le savoir, mais il faut agir.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la potentielle augmentation des cas de dengue ou de chikungunya. On parle toujours de nuisance, mais on oublie les maladies.
C’est ballot, ça veut dire qu’on va devoir continuer à vider les soucoupes des pots de fleurs plus longtemps. La flemme.
Si seulement on pouvait anticiper les zones les plus à risque pour mieux se protéger. Une carte interactive en temps réel, ce serait top.
On s’habitue à tout, même au pire. Bientôt, on aura des moustiques tigres toute l’année, et on trouvera ça normal.
J’ai l’impression qu’on découvre l’eau chaude. Les étés sont de plus en plus longs, forcément les moustiques aussi.
C’est pas une surprise, avec cet automne doux. On a l’impression que l’été n’en finit plus, c’est agréable pour les balades, moins pour les piqûres.
Je crois que le plus rageant, c’est qu’on sait depuis des années qu’ils arrivent et qu’on ne fait rien de vraiment efficace à long terme. On subit.
Moi, j’ai surtout peur pour les personnes âgées et fragiles. Ces piqûres à répétition, ça doit être un vrai calvaire pour elles.
C’est surtout qu’on dirait qu’on est impuissants face à ça. Chaque année, c’est la même rengaine, on en parle, et puis… rien. On attend l’été prochain.
On dirait que le moustique tigre s’est abonné à nos vies. Plus de répit, même quand les feuilles tombent. Tristesse.
Mince, moi qui pensais enfin pouvoir ranger ma citronnelle ! C’est déprimant, on dirait qu’on est condamnés à vivre avec eux.
J’en ai marre de me faire piquer en boucle. On devrait obliger les gens à entretenir leurs jardins, c’est la base.
On se focalise sur les piqûres, mais les animaux domestiques, ils en souffrent aussi ! Mon chat ne sort presque plus à cause de ça.
Est-ce qu’on sait si cette adaptation au froid change aussi leur capacité à transmettre des maladies ? C’est ça qui m’inquiète le plus.
Moi ce qui m’agace c’est qu’on nous parle toujours de « régions clés », mais on ne sait jamais lesquelles ! On est tous concernés, non ?
Bof, ça ne m’étonne pas du tout. Avec le réchauffement climatique, on doit s’attendre à ce genre de choses. On va finir par les croiser en décembre.
Mouais… j’ai l’impression que le problème, c’est surtout qu’on s’habitue à l’idée. On râle, mais au fond on accepte. C’est ça le plus flippant.
Ah, super… encore une mauvaise nouvelle. J’espérais justement une accalmie pour profiter du jardin.
Moi, je me demande surtout si les produits qu’on utilise sont toujours efficaces contre ces moustiques qui mutent. J’ai l’impression de gaspiller mon argent.
Je suis plus inquiet pour les personnes fragiles. Les piqûres répétées, c’est pas anodin pour tout le monde.
Je me demande si la prolifération des moustiques tigres n’est pas un indicateur qu’on devrait revoir notre façon de penser l’aménagement urbain et les espaces verts. On se contente de subir.
Franchement, je suis surtout dégoûté. J’avais enfin réussi à me débarrasser des bouteilles d’eau qui traînaient. On ne peut jamais être tranquille.
J’ai l’impression que chaque année, c’est la même rengaine. On découvre l’eau chaude… Le moustique tigre est là, il pique, point. On fait quoi concrètement ?
On dirait que même les moustiques prennent des cours d’adaptation ! Plus sérieusement, j’espère que ça va inciter les municipalités à agir plus tôt dans l’année, pas juste quand on se plaint en plein mois d’août.
Ça me rappelle l’été dernier, j’ai cru devenir fou avec ces bestioles. Impossible de dormir la fenêtre ouverte, même avec la moustiquaire…
C’est pénible, mais au moins ils préviennent. Je vais ressortir les vêtements longs plus tôt que prévu.
C’est agaçant cette focalisation sur le moustique. On dirait qu’on oublie tous les autres insectes qui piquent en automne… et qui, eux, ne font pas la une.
Ils parlent des régions clés, mais lesquelles ? C’est toujours pareil, on angoisse sans savoir si on est concerné.
C’est surtout l’aspect « jusqu’en novembre » qui me déprime. On a tellement peu de beaux jours en France, ça me gâche la fin de saison.
C’est pas une surprise. On nous parle de réchauffement climatique, on s’étonne que les moustiques restent plus longtemps ?
Ce qui m’inquiète, c’est pas tant la piqûre, mais les maladies qu’ils peuvent transmettre. On en parle jamais assez.
Moi, ce qui m’attriste, c’est qu’on s’habitue à cette situation. On devrait être plus indignés de voir ces espèces proliférer à cause de nos modes de vie.
Je me demande si cette adaptation au froid n’est pas aussi une question de microclimats urbains. Le béton et le chauffage doivent bien aider, non ?
Franchement, je me demande si on ne dramatise pas un peu trop. J’ai toujours été piqué en automne, moustique tigre ou pas.
C’est sûr que ça arrange personne cette histoire. J’ai l’impression qu’on perd un peu plus de notre qualité de vie chaque année, petit à petit.
Bof, je trouve qu’on a toujours l’impression de découvrir l’eau chaude avec ces articles. On sait bien que le climat change, non?
Je suis curieux de savoir si les mesures de démoustication sont aussi adaptées à cette période prolongée. On continue à faire comme en été ou il y a des ajustements ?
Moi, j’ai surtout peur pour nos animaux. On pense à nous, mais les chiens et chats, ils se font piquer aussi, et on sait pas trop ce que ça fait sur eux.
C’est pénible, mais au moins, ça donne une excuse pour rallumer le chauffage plus tôt sans culpabiliser !
Je vais peut-être passer pour un vieux grincheux, mais j’ai surtout l’impression qu’on découvre la lune. Ma grand-mère disait déjà qu’il n’y a plus de saisons !
C’est l’invasion. On va finir par devoir vivre cloîtrés chez nous, c’est déprimant.
J’ai l’impression que le problème vient surtout de l’eau stagnante autour de chez nous. On devrait peut-être plus sensibiliser au niveau local sur ce point.
C’est vrai que c’est embêtant. Moi, j’ai surtout peur que ça impacte le tourisme dans les régions concernées. Qui a envie de se faire piquer pendant ses vacances d’automne ?
J’habite en ville, donc je suis moins touché. Mais je me demande si cette adaptation du moustique ne va pas changer nos habitudes vestimentaires. Adieu les manches courtes jusqu’en novembre?
Je me demande si les plantes répulsives, type citronnelle, peuvent vraiment faire une différence sur une période aussi longue. J’ai toujours eu des doutes sur leur efficacité réelle.
Ça me rappelle les étés de mon enfance dans le sud, on se battait déjà contre les moustiques jusqu’aux vacances de la Toussaint. Rien de nouveau sous le soleil, finalement.
Je me demande si cette adaptation n’est pas aussi un signe que nos écosystèmes sont plus fragiles qu’on ne le pense. Ça va au-delà des piqûres, non ?
Franchement, ça me fatigue d’entendre parler de ça. Chaque année, c’est la même rengaine. On dirait qu’on découvre l’eau chaude.
Je trouve ça flippant que les moustiques s’adaptent. Ça veut dire qu’ils sont plus forts que nos tentatives de les contrôler.
Je me demande si cette persistance du moustique tigre ne va pas rendre les assurances habitation plus chères dans les zones touchées. Un risque sanitaire prolongé, c’est un risque financier accru, …
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la désinformation. On panique pour un moustique, mais les vrais problèmes de santé publique… On en parle moins.
Bof, un moustique en novembre… Ça me rappelle surtout qu’il faut encore vider les soucoupes des plantes avant le gel ! Un petit rappel utile, en somme.
Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on se concentre sur la nuisance alors qu’il transmet des maladies. On devrait plus insister là-dessus, plutôt que sur le confort.
Moi, ça me fait penser qu’il va falloir ressortir les moustiquaires plus tôt l’année prochaine. On a cru s’en débarrasser, mais non.
C’est surtout déprimant. Encore un truc de plus à gérer. On n’est jamais tranquilles.
Je me demande si les produits anti-moustiques classiques sont toujours efficaces si tard dans la saison. Faudra peut-être adapter nos méthodes.
Est-ce qu’on est sûr que c’est vraiment pire qu’avant ? J’ai toujours eu l’impression de me faire piquer jusqu’à tard dans l’automne, même avant qu’on parle autant du tigre.
Ils devraient peut-être se pencher sur les causes de cette adaptation au froid, au lieu de juste constater les dégâts. Ça éviterait peut-être que ça empire encore.
Je suis surtout curieux de savoir si les services de démoustication des communes vont adapter leurs interventions. Ça change peut-être la donne pour eux aussi, non ?
Franchement, j’en ai marre qu’on nous parle toujours de ce moustique. On dirait qu’il n’y a que ça dans la vie.
Tiens, ça veut dire qu’il va falloir que je range le parasol chauffant plus tard ? On va peut-être pouvoir profiter de la terrasse plus longtemps, finalement.
Je me demande si mon assurance habitation couvre les frais médicaux liés aux maladies transmises par les moustiques. Va falloir que je vérifie ça… on ne sait jamais !
Bof, ça ne m’étonne pas vraiment. Le climat change, tout le monde s’adapte… même les moustiques !
J’ai surtout peur pour les animaux. On pense toujours à nous, mais le risque pour les chiens, les chats… personne n’en parle.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est que ça devienne la norme. On s’habitue à tout, même à vivre avec les moustiques plus longtemps. C’est ça le vrai problème.
Je me demande si cette persistance tardive ne va pas surtout impacter les personnes fragiles. On parle de risques sanitaires, mais qui est le plus à risque concrètement ?
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de « régions clés ». Lesquelles ? Suis-je concerné ? L’article est trop vague.
Ce qui m’embête, c’est l’idée que nos villes deviennent un terrain de jeu idéal pour ces bestioles toute l’année. On bétonne, on imperméabilise, et voilà le résultat.
J’ai l’impression qu’on est toujours dans la réaction, jamais dans l’anticipation. On attend que le problème empire pour agir, c’est usant.
On dirait que l’été n’en finit plus, même pour les nuisibles. J’espère juste que les produits anti-moustiques seront encore efficaces en novembre.
J’ai une petite fille, et je me demande si les crèches et écoles sont suffisamment informées pour adapter les activités extérieures. C’est surtout pour eux que je m’inquiète.
Je suis surtout fatigué de devoir me battre contre ces moustiques, même en portant des vêtements longs. On ne peut plus profiter du jardin tranquillement.
J’ai l’impression qu’on découvre l’eau chaude. On nous parle de changement climatique depuis des années, forcément ça allait arriver.
C’est vrai que ça gâche un peu l’arrière-saison… j’avais justement prévu de ranger les moustiquaires la semaine prochaine. Tant pis !
Moi, ce que je trouve fou, c’est qu’on s’étonne encore! On le sait depuis des années qu’ils remontent vers le nord. Bientôt on aura des palmiers et des moustiques en Bretagne, et on fera encore les étonnés.
Je me demande si cette adaptation au froid ne va pas aussi modifier leur comportement. Seront-ils plus agressifs ? Piqueront-ils à d’autres moments de la journée ? J’ai peur qu’on ne soit pas préparés.
Moi, je me demande si c’est vraiment une « adaptation » ou juste un décalage dû à des automnes plus doux. On dramatise peut-être un peu vite.
J’ai surtout l’impression que ça va impacter le tourisme. Qui aura envie de passer des vacances en extérieur avec ça ?