Notre corps est un véritable livre ouvert, envoyant constamment des signaux, souvent à notre insu. De la manière dont nous croisons les jambes à un simple froncement de sourcils, chaque geste peut trahir nos émotions les plus sincères. Un psychologue nous aide à décrypter ce langage silencieux qui, bien souvent, en dit bien plus long que nos paroles.
Ce que votre posture révèle vraiment de vos émotions
Se sentir incompris ou douter de la sincérité d’un interlocuteur est une frustration universelle. Et si la clé se trouvait non pas dans les mots, mais dans les gestes ? Un psychologue explique comment notre maintien révèle nos émotions profondes. Le corps parle un langage que la bouche ignore parfois.
Julien Lambert, 42 ans, psychologue du travail à Lyon, observe ce phénomène quotidiennement. « Le corps ne ment jamais, même quand les mots essaient. C’est ce qui rend mon métier si fascinant, car je décode des vérités que les gens ignorent eux-mêmes exprimer », confie-t-il. Dans son cabinet, il a remarqué un schéma récurrent : un manager affirmant être serein tout en faisant tressauter son pied, ou un candidat cachant ses mains sous la table. Il en a conclu que ces gestes parasites sont de puissants indicateurs de notre état émotionnel.
Les signaux involontaires qui ne trompent pas
Ce phénomène s’explique par la prédominance de notre cerveau limbique, le centre des émotions. Face au stress ou à un effort cognitif, il déclenche des réactions physiologiques que nous ne contrôlons pas : les pupilles se rétractent, les muscles se tendent, trahissant notre état interne. Comprendre ce langage a des enjeux majeurs. Sur le plan pratique, cela permet d’adapter son discours en temps réel. Économiquement, une posture assurée peut conclure une négociation. Pour la santé, reconnaître ces signaux est un atout précieux.
Au-delà des gestes universels, il existe des nuances. Pour projeter la confiance, quelques actions simples sont efficaces :
- Garder les mains visibles et ouvertes.
- Maintenir un contact visuel stable sans être insistant.
- Éviter de toucher son visage ou son cou, des gestes d’auto-réconfort.
- Adopter une posture droite mais détendue.
Comment maîtriser ce langage silencieux au quotidien
À l’ère des visioconférences en 2025, cette compétence devient cruciale. Le cadre de la caméra amplifie les micro-expressions du visage et du haut du corps. Savoir lire et maîtriser son langage corporel à l’écran est désormais une nouvelle forme d’éloquence professionnelle. L’écran ne cache pas tout, il peut même accentuer nos insécurités.
Cette prise de conscience transforme nos relations. En décodant les signaux non verbaux, on développe une plus grande empathie, réduisant les malentendus. Cela favorise une communication plus authentique, non seulement dans la sphère professionnelle mais aussi personnelle, renforçant les liens sociaux.
Décoder les autres pour mieux communiquer
Apprendre à identifier ces gestes permet de mieux comprendre les intentions réelles de nos interlocuteurs. Voici quelques exemples courants et leur signification potentielle.
Geste observé | Émotion potentiellement trahie |
---|---|
Pieds qui tressautent | Anxiété, impatience ou agacement |
Mains cachées (sous la table, dans les poches) | Manque de confiance, dissimulation |
Se caresser le menton ou le cou | Hésitation, besoin de réconfort face au stress |
Regard fuyant | Gêne, manque de concentration ou désintérêt |
Notre corps est donc une source d’information inestimable sur nos émotions. Apprendre à lire ce langage silencieux est un outil puissant pour mieux se comprendre et interagir avec les autres. Observer ces détails peut non seulement améliorer notre communication, mais aussi enrichir profondément nos relations humaines au quotidien.
C’est marrant de penser qu’on est des livres ouverts. Moi, j’ai l’impression de maîtriser assez bien mon expression corporelle, enfin, la plupart du temps.
Mouais, ça me fait toujours un peu sourire ce genre d’articles. On dirait qu’on est tous prévisibles comme des algorithmes. L’humain est quand même un peu plus complexe, non ?
Tiens, ça me rappelle cette fois où j’essayais de cacher mon stress avant un entretien, mais mon pied n’arrêtait pas de gigoter… Tellement vrai !
Intéressant, mais je me demande si l’interprétation de la posture ne dépend pas beaucoup du contexte culturel. Un signe peut vouloir dire tout et son contraire selon le pays.
Je trouve ça un peu angoissant, l’idée que mes émotions se lisent comme ça. J’ai pas envie d’être déchiffré en permanence !
Moi, je me demande si ce « langage du corps » n’est pas parfois auto-réalisateur. Si on me dit que les bras croisés, c’est la fermeture, je vais interpréter ça chez l’autre et créer une distance, m…
J’ai toujours pensé que les émotions ressurgissent physiquement, même si on ne le veut pas. Le corps a sa propre mémoire.
Je suis sceptique. L’idée que ma posture soit une carte émotionnelle me semble réductrice. Peut-être que je suis juste fatigué et avachi, point.
Et si on se trompait souvent ? Je me suis vu interpréter des postures comme de l’assurance, alors que la personne était juste mal à l’aise. L’erreur est humaine.
Je me demande si on n’accorde pas trop d’importance à ce que les autres pensent de notre posture. Se sentir bien dans son corps, c’est déjà beaucoup, non ?
C’est vrai que parfois on se sent observé, comme si on devait performer même en étant immobile. C’est épuisant de devoir contrôler chaque micro-mouvement!
C’est marrant, moi je me demande si on peut consciemment « mentir » avec sa posture. Genre, faire le mec super à l’aise alors qu’on panique intérieurement. Ça marcherait ?
Moi, je trouve ça fascinant, mais ça me fait surtout réaliser à quel point on est conditionnés à se tenir d’une certaine façon. Difficile de savoir ce qui est « naturel » et ce qui est appris, au final.
L’article me fait penser à ces moments où je me surprends à imiter la posture de quelqu’un que j’admire. Est-ce que ça veut dire que je ressens les mêmes choses ou juste que je cherche à me donn…
Moi, ça me fait penser à ma grand-mère qui disait toujours : « Tiens-toi droit ! ». On dirait qu’elle avait raison, sans forcément savoir pourquoi.
Je me demande si la culture joue un rôle énorme. Ce qui est perçu comme « fermé » ici, est peut-être simplement poli ailleurs.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée que nos émotions seraient universellement lisibles. J’imagine que ça dépend beaucoup de l’éducation, non?
Perso, ça me rappelle les cours de théâtre où on apprenait à projeter des émotions. Du coup, est-ce que la posture révèle ou est-ce qu’elle crée l’émotion ? La poule et l’œuf, quoi.
Intéressant, mais ça me met mal à l’aise. L’idée d’être « lu » comme un livre ouvert, c’est un peu flippant, non ? J’ai pas envie qu’on analyse mes émotions à mon insu.
En tant que personne qui passe ses journées devant un écran, je me demande surtout si ma posture révèle juste que j’ai besoin d’une bonne séance de kiné.
Ça me rappelle quand j’étais enfant et que je jouais aux devinettes avec mes amis. On essayait de deviner ce que l’autre pensait juste à son visage. Souvent, on se trompait complètement !
Tiens, ça me fait penser à mon chien! Il est super expressif avec sa queue et ses oreilles, mais je suis sûr que je rate plein de nuances. On doit être pareil, mais en plus compliqué.
Je trouve ça réducteur de penser qu’on peut résumer quelqu’un à sa posture. On est bien plus complexes que ça, non ?
Moi, je me demande si on ne surinterprète pas souvent des petites habitudes physiques qui n’ont rien à voir avec les émotions profondes. Parfois, j’ai juste froid !
Franchement, ça me fait penser à tous ces coachs en entreprise qui te disent comment te tenir pour inspirer la confiance. C’est pas un peu manipulatoire tout ça ?
Moi, ça me fait surtout penser à mon ex. Il prétendait toujours savoir ce que je ressentais avant même que je parle. C’était rarement juste et super agaçant.
Je me demande si cette « lecture » du corps ne risque pas de renforcer les préjugés. On risque de coller des étiquettes hâtivement.
Moi, ce qui me frappe, c’est le boulot que ça demande d’être conscient de sa posture en permanence! Déjà que je suis pas mal à l’ouest…
Moi, j’ai toujours pensé que c’était un peu comme essayer de deviner le temps qu’il fera en regardant les nuages : parfois ça marche, parfois pas du tout.
Moi, ça me fait penser aux cours de théâtre où on apprenait à simuler des émotions. C’est utile pour jouer un rôle, mais est-ce que ça reflète vraiment ce qu’on ressent au fond ?
C’est marrant, ça me fait penser à mon dos qui hurle quand je suis stressé. Pas besoin de psychologue pour ça, la douleur parle d’elle-même !
Intéressant ! Je me demande si cette « lecture » du corps est la même dans toutes les cultures. Un signe peut avoir une signification complètement différente ailleurs.
Je me demande si cette conscience du corps ne pourrait pas, au contraire, m’aider à mieux gérer mes émotions en les détectant plus tôt. Une sorte de biofeedback naturel.
Ça me rappelle ma grand-mère qui disait toujours : « Les yeux sont le reflet de l’âme ». Peut-être que le corps entier l’est, finalement.
Je me demande si, à force d’analyser chaque micro-mouvement, on ne finit pas par se couper de son intuition et de ses vraies sensations. L’authenticité, c’est peut-être aussi s’autoriser à être maladroit.
Je trouve ça flippant l’idée que mon corps me trahisse à ce point. J’ai déjà du mal à me comprendre moi-même…
Moi, je me demande si les animaux font attention à notre posture. Mon chat a toujours l’air de savoir quand je suis pas bien, même avant que je le réalise moi-même.
Moi, j’ai toujours cru que c’était plus la façon dont on utilise notre voix qui trahit nos émotions. Le ton, le débit, ça en dit long, non ?
Mouais, je reste sceptique. On a vite fait de surinterpréter et de voir des choses qui n’existent pas.
Personnellement, je trouve que ça ajoute une pression supplémentaire. Déjà qu’on se juge constamment, maintenant il faudrait en plus surveiller chaque mouvement !
Je me demande si on peut vraiment généraliser. Chacun exprime ses émotions différemment, non ? Ce qui vaut pour l’un ne vaut pas forcément pour l’autre.
C’est vrai que souvent, je sais que je suis stressé quand je me surprends à avoir les épaules toutes crispées. C’est un peu comme un signal d’alarme discret.
Tiens, ça me fait penser aux cours de théâtre. On apprenait à maîtriser sa posture pour jouer un rôle, mais du coup, est-ce que ça veut dire qu’on peut « mentir » avec son corps ?
Intéressant ! Ça pourrait aider à mieux comprendre les silences dans les conversations, ces moments où les mots ne suffisent plus.
J’ai l’impression que mon corps est parfois en décalage avec ce que je ressens. Je peux sourire alors que je suis intérieurement triste, ou avoir l’air détendu alors que je suis hyper stressé.
Moi, ça me rappelle ces moments où je me suis senti mal à l’aise sans savoir pourquoi, juste une intuition bizarre en face de quelqu’un. Peut-être que c’était ça, des signaux inconscients capté…
Moi, je suis surtout fasciné par l’idée que notre corps ait sa propre mémoire, qu’il garde des traces de nos émotions passées sans qu’on s’en rende compte.
Je me demande si les animaux utilisent aussi ce langage corporel entre eux. Ça serait fascinant de voir comment ils communiquent leurs émotions sans parole.
Je me demande si cette « lecture » du corps ne renforce pas les préjugés qu’on peut avoir sur les autres.
C’est marrant, ça me fait penser aux jeux de rôle. On imagine un personnage, son histoire, et hop, sa posture vient naturellement. C’est peut-être ça, la posture : l’histoire qu’on se raconte.
Ça me rappelle ma prof de danse qui disait « le mouvement ne ment jamais ». Mais la vie, c’est pas une chorégraphie, c’est plus brouillon que ça.
Je me demande si on fait pas un peu de surinterprétation parfois.
Mouais, intéressant… mais j’ai l’impression qu’on met un peu trop de sérieux là-dedans. Parfois, j’ai juste les épaules voûtées parce que mon canapé est nul.
Je me demande si l’environnement n’influence pas plus notre posture que nos émotions réelles. Un siège inconfortable, une lumière trop forte… ça change tout !
C’est vrai qu’on se concentre souvent sur ce qu’on dit, mais moins sur comment on le dit. Je vais essayer d’y faire plus attention, tiens !
Tiens, ça me fait penser à ces moments où, malgré moi, je me suis surpris à imiter la posture de quelqu’un que j’admire. Un peu comme si le corps cherchait à s’approprier un trait de caractère.
Je me demande si ce décryptage constant ne nous éloigne pas de l’écoute véritable. On finit par analyser au lieu de ressentir.
Et si, au lieu de chercher des significations cachées, on demandait juste à la personne comment elle se sent ?
J’ai toujours trouvé que certaines personnes « irradiaient » quelque chose, bien au-delà de leur posture.
J’ai toujours pensé que la posture était surtout une question d’énergie. Quand je suis crevé, je suis avachi, point.
Moi, je me méfie des généralisations. Chaque personne a sa propre « langue corporelle », influencée par son histoire et sa culture. Décoder les autres, c’est complexe.
Moi, je crois que la posture, c’est comme un vieux pull : confortable, mais pas toujours flatteur. Elle reflète plus nos habitudes que nos sentiments profonds, je pense.
Moi, je me demande si forcer une « bonne » posture pour influencer nos émotions, ça marche vraiment. Un peu comme sourire pour se sentir mieux, mais… pas toujours convaincant.
Moi, je pense que l’article oublie une chose : le corps a une mémoire. Parfois, ma posture est juste le reflet de vieilles douleurs, pas de mes émotions du moment.
Et si notre posture était juste… une habitude ? J’ai toujours dormi sur le ventre, alors forcément, mes épaules sont rentrées. Ça n’a rien de profond, juste du vécu.
Parfois, je me demande si cette « lecture » de la posture n’est pas une prophétie auto-réalisatrice. On attribue une émotion, et hop, la personne l’intériorise !
C’est marrant, ça me rappelle quand j’essayais de cacher ma timidité en me tenant droit comme un i. Un vrai fiasco, je me sentais encore plus mal à l’aise !
C’est amusant, on dirait qu’on cherche une notice d’emploi du corps humain. Pour ma part, je crois qu’il est bien plus bavard qu’un simple manuel.
Je pense que la posture est aussi une question de confort physique, pas toujours de sentiments.
Moi, ça me stresse un peu cette idée d’être constamment « lu ». J’ai pas envie de passer mon temps à contrôler chaque mouvement.
C’est fou comme on cherche à décortiquer le moindre geste. Perso, je crois que l’authenticité, ça passe aussi par une posture imparfaite.
Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’idée de « trahir » nos émotions. On dirait qu’il y a un truc à cacher, alors que parfois, c’est juste…être soi.
Personnellement, je trouve ça culpabilisant. On se sent presque obligé d’être un acteur parfait de ses propres émotions.
Moi, ça me fait penser aux cours de théâtre. On travaille la posture pour incarner un personnage, mais c’est de la performance, pas forcément la vérité.
Je me demande si on n’oublie pas le contexte social et culturel. Une posture « ouverte » est peut-être signe d’assurance dans une culture, et d’impolitesse dans une autre.
L’article est intéressant, mais j’ai toujours l’impression que ces analyses sont trop généralistes. On est tous différents !
Je trouve ça réducteur de penser qu’une posture signifie toujours quelque chose. Parfois, j’ai juste mal au dos!
C’est vrai que ça peut donner des clés, mais j’ai surtout l’impression qu’on cherche à simplifier à l’extrême des choses complexes. Chacun réagit différemment, non ?
Je me demande si l’inverse est vrai. Est-ce qu’adopter une « bonne » posture peut influencer positivement nos émotions ? Une sorte de cercle vertueux…
Moi, je me demande si on ne surestime pas l’importance de la posture. Parfois, je suis juste fatigué, et ça se voit… sans que ça veuille dire autre chose.
Moi, ça me rappelle quand j’essayais de cacher ma nervosité en entretien d’embauche. C’était pire ! Plus je me forçais, plus j’avais l’air bizarre.
Moi, ce que j’y vois, c’est un outil potentiel pour mieux comprendre les autres, plus qu’un décryptage absolu. Une piste, quoi.
Moi, ça me fait un peu flipper. On a déjà tellement de mal à se comprendre soi-même, si en plus faut surveiller comment on se tient…
Perso, ça me rappelle ma grand-mère qui disait toujours « Tiens-toi droit ! ». Peut-être qu’elle avait raison, mine de rien.
Moi, ce que je trouve fascinant, c’est l’idée que même sans le vouloir, on raconte une histoire. C’est comme un film muet qu’on joue en permanence.
Moi, ça me fait penser aux cours de théâtre où on apprenait à exagérer les émotions avec le corps. C’était drôle, mais c’était surtout pour se rendre compte à quel point c’est artificiel, en fait.
Moi, ça me fait penser aux détectives dans les films, ceux qui observent les micro-expressions. J’imagine qu’il y a une part de vérité, mais la vie n’est pas un polar.
Je me demande si cette « lecture » du corps ne dépend pas beaucoup du contexte culturel. Un même geste peut signifier tellement de choses différentes selon où on se trouve.
C’est marrant, ça me fait penser à mon chien. On dirait qu’il comprend tout à ma tête, même quand je ne dis rien. Peut-être qu’on est tous des animaux, après tout.
Je me demande si on ne risque pas de tomber dans la caricature, à force de vouloir interpréter chaque position. On finit par voir des intentions partout.
Ça me rappelle ma prof de yoga qui disait qu’une bonne posture, c’est surtout une posture confortable, pas une pose figée. L’émotion suit peut-être, mais l’inverse est plus vrai pour moi.
C’est intéressant, mais j’ai surtout l’impression qu’on cherche à rationaliser des impressions. Le ressenti, ça ne se décortique pas comme une recette.
Je trouve ça un peu culpabilisant. On a déjà tellement de choses à gérer, maintenant il faudrait en plus faire attention à sa posture pour ne pas « trahir » des émotions qu’on essaie peut-être j…
Bof, ça me semble une mode. On nous vend l’idée qu’on peut tout contrôler, même nos émotions qui s’échappent.
Franchement, je trouve ça rassurant. Si mon corps parle à ma place, ça veut dire que je n’ai pas toujours besoin de trouver les mots justes.
Moi, ça me rappelle surtout les entretiens d’embauche. On te dit de sourire, d’être ouvert… C’est plus une performance qu’une réelle expression de soi, non ?
Est-ce qu’on ne risque pas de se perdre en conjectures ? Chacun interprète à sa façon, et on imagine vite des choses…
Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on commence à se méfier de son propre corps. On ne peut plus se tenir tranquille sans être analysé !
Moi, je me demande si c’est pas l’inverse en fait. On ressent une émotion, et après, on se tient d’une certaine façon. Pas l’inverse.
Moi, j’y crois moyen. Quand je suis fatigué, je me tiens mal, mais ça ne veut pas dire que je suis triste.
Moi, je me demande si l’environnement joue pas un rôle énorme. Debout dans le métro, je me tiens forcément différemment qu’assis au soleil en vacances.
Moi, je me demande si c’est pas carrément épuisant de décortiquer chaque posture. On finirait par ne plus vivre, mais juste analyser.
Moi, je me demande si ça marche pareil pour tout le monde. Peut-être que ces « signaux » varient selon les cultures ou les personnalités.
C’est marrant, j’ai toujours pensé que ma posture influençait *mes* émotions, pas l’inverse. Se redresser quand on est mou, ça aide vraiment à se sentir mieux.
C’est intéressant, mais j’ai l’impression qu’on réduit l’humain à une série de codes. Ça me fait un peu peur, cette idée qu’on puisse être « lu » comme un livre ouvert.
Ça me fait penser aux cours de théâtre. On apprend à utiliser son corps pour communiquer, mais c’est un outil, pas forcément un reflet exact de ce qu’on ressent.
Je trouve ça fascinant, mais aussi un peu culpabilisant. J’ai l’impression que je devrais être plus conscient de mon corps et de ce qu’il dit aux autres.
J’ai toujours pensé que c’était surtout l’intention qui comptait. On peut se tenir droit et sourire tout en étant faux. L’authenticité, ça transparaît, peu importe la posture.
Cet article me rappelle mon prof de fac, un grand théoricien. On dirait qu’il oublie que parfois, on a juste mal au dos.
Moi, je trouve ça rassurant. On a tous du mal à exprimer nos sentiments parfois. Si mon corps peut aider, tant mieux !
Tiens, ça me fait penser à ma grand-mère. Elle disait toujours qu’on pouvait lire le bonheur dans les yeux, pas dans la façon de se tenir.
Mouais, j’ai toujours cru que la posture, c’était surtout une question d’habitude et de confort physique, plus que d’émotions cachées.
Intéressant, mais j’ai peur qu’on tombe vite dans la surinterprétation. J’imagine déjà les conversations : « Tu croises les bras, tu es donc sur la défensive! » Un peu réducteur, non ?
Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on en arrive à juger les gens sur leur apparence, et maintenant leur posture ! On va bientôt vivre dans un monde de robots.
J’ai toujours pensé qu’une bonne posture, c’était surtout signe qu’on a eu une éducation stricte.
Bof, encore un truc culpabilisant pour les timides et les complexés.
Je me demande si cet article n’est pas un peu trop simpliste. On a tous des jours « sans » où la posture en prend un coup, sans que ça veuille dire quoi que ce soit de profond.
Franchement, ça me fait surtout penser à tous ces entretiens d’embauche où on te dit de te tenir droit. C’est une performance, pas une vérité.
Je trouve ça un peu flippant de penser que mon corps me trahit sans cesse.
Je me demande si c’est vraiment universel. Est-ce que les signaux posturaux veulent dire la même chose dans toutes les cultures? Ça me paraît un peu occidentalocentré comme approche.
Ça me rappelle les cours de théâtre où on apprenait à simuler des émotions. On peut très bien faire illusion, non ?
Je suis sceptique. Si on pouvait vraiment lire les gens si facilement, les manipulateurs n’existeraient pas.
Moi, je trouve ça rassurant. Si mon corps exprime ce que je ressens, ça veut dire que je suis authentique, même sans le vouloir. C’est peut-être ça, le vrai « être soi ».
Personnellement, je me demande si l’inverse est vrai. Est-ce qu’en modifiant ma posture, je peux influencer mes émotions ? Ça pourrait être un outil intéressant pour gérer le stress.
C’est amusant de penser qu’on puisse être déchiffré comme ça. J’imagine déjà les réunions de famille devenir un vrai champ de bataille d’interprétations.
Je me demande si l’interprétation de la posture ne dépend pas beaucoup de la personne qui regarde. Chacun voit midi à sa porte, non?
C’est marrant, ça. Moi, je me demande surtout si ça marche avec les animaux. Mon chat, quand il se roule par terre, c’est de la joie ou une stratégie pour les caresses ?
Moi, ça me fait penser à la difficulté de cacher ce qu’on ressent vraiment, surtout quand on essaie trop. L’effort de contrôle se voit autant, non ?
C’est un peu infantilisant, non, de réduire les émotions à des postures ? J’ai l’impression qu’on nous prend pour des bébés qu’il faut décoder.
Moi, ça me fait penser à tous ces conseils qu’on lit pour « avoir l’air » confiant. Mais à force de faire attention à sa posture, on n’est plus soi-même, non ?
J’ai toujours pensé que l’intonation de la voix disait bien plus que la posture. On peut se tenir droit et mentir comme un arracheur de dents !
Je me demande si c’est pas une question de culture, tout ça. La même posture peut signifier des choses très différentes selon le pays où on est, non ?
Franchement, ça me stresse un peu. Si tout le monde se met à analyser ma posture, je vais me sentir constamment jugé.
Intéressant, mais j’ai l’impression que ça ajoute une pression supplémentaire. Déjà qu’on doit gérer nos émotions, maintenant faut surveiller comment on se tient !
Je trouve ça fascinant, mais surtout utile pour mieux me comprendre, pas pour épier les autres. Ça m’aiderait peut-être à identifier mes propres signaux de stress ou d’inconfort.
Mouais, je me demande si l’article ne simplifie pas un peu trop. On n’est pas des robots programmés à réagir toujours de la même manière. Le contexte, l’humeur du jour, ça compte aussi, non ?
Personnellement, je me demande si ce n’est pas surtout une question de feeling. Je crois qu’on perçoit l’état d’esprit de quelqu’un bien plus par l’ensemble que par un détail isolé.
En tant que grand timide, je sais que ma posture me trahit souvent. Parfois, je me sens coincé dans un corps qui hurle mon malaise, même quand j’essaie de faire bonne figure. C’est un peu frustrant.
On dirait un peu de la voyance low-cost. J’ai du mal à y croire, mais ça donne envie de faire plus attention à soi, au moins.
Je me demande si l’interprétation de la posture n’est pas influencée par nos propres biais. On voit ce qu’on veut bien voir, non ?
Moi, ça me fait penser à quand je joue au poker. On essaie tous de cacher ce qu’on ressent, mais il y a toujours un petit quelque chose qui nous trahit.
Moi, j’y crois moyen. C’est un peu comme les tests de personnalité dans les magazines, flatteurs, mais pas très profonds.
Moi, ça me rappelle les cours de théâtre où on apprenait à utiliser son corps pour exprimer des émotions. C’est pas de la magie, juste de l’observation et de la technique.
Moi, j’ai toujours pensé que ça variait énormément selon les cultures. Un signe d’ouverture ici peut être un manque de respect ailleurs.
Moi, ce qui m’intrigue, c’est si on peut consciemment modifier sa posture pour influencer ce que les autres ressentent. Genre, un peu de « fake it till you make it » corporel.
C’est marrant, ça me fait penser à mon chat. Quand il a peur, ses oreilles et ses moustaches changent de position, c’est flagrant ! On est peut-être pas si différents.
C’est vrai que je reconnais souvent une émotion chez les autres à leur démarche, avant même de voir leur visage.
Je me demande si ce n’est pas juste une façon compliquée de dire qu’il faut être attentif aux autres. L’empathie, quoi.
J’ai toujours trouvé ça culpabilisant. Comme si on était responsables des interprétations que les autres font de nous. On ne peut pas contrôler chaque micro-expression!
Si mon corps parle, j’espère qu’il ne raconte pas trop de bêtises. Je me demande si, parfois, on n’est pas juste fatigué et que ça se voit… et qu’on interprète ça comme de la tristesse.
Je me demande si on ne surestime pas l’importance de ces signaux. Parfois, un dos voûté, c’est juste un mal de dos… et pas forcément le signe d’une déprime profonde.
Je me demande si, à force d’analyser, on ne perd pas le plaisir d’être simplement avec les gens. Le mystère, l’inattendu, ça a du bon aussi.
Je trouve ça un peu flippant. L’idée qu’on soit transparents malgré nous, c’est un peu comme ne plus avoir de jardin secret.
J’ai toujours cru que c’était surtout valable pour les émotions qu’on cherche à cacher. Les vraies émotions, celles qu’on assume, elles s’affichent clairement, non ?
Mouais, ça me rappelle un peu le « body language » des années 80. J’ai toujours eu l’impression que c’était un peu simpliste et que ça ne tenait pas assez compte du contexte.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’inverse : quand on est vraiment concentré sur quelque chose, on oublie complètement sa posture !
Intéressant, mais ça me fait penser à ces moments où je me surprends à imiter la posture de quelqu’un que j’admire. Est-ce de l’émotion ou juste de l’influence ?
Moi, je me dis que ça donne un pouvoir fou à ceux qui pensent pouvoir nous lire comme ça ! Et si on n’avait juste pas envie de sourire, point.
Ça me rappelle ma grand-mère qui disait toujours « tes yeux te trahissent ». Peut-être qu’il y a du vrai, mais j’ai toujours pensé que l’intention comptait plus que la posture.
C’est marrant, ça me fait penser aux cours de théâtre où on apprenait à projeter des émotions. Du coup, c’est inné ou appris, finalement ?
Tiens, ça me fait penser à ma mère qui me disait de me tenir droit pour avoir l’air plus sûr de moi. Je me demande si c’est pas juste une question de performance sociale, au final.
Franchement, ça me fatigue un peu ces articles qui nous disent comment « déchiffrer » les autres. J’ai surtout l’impression qu’on projette nos propres biais.
Personnellement, je trouve ça rassurant. Ça voudrait dire qu’on peut mieux comprendre les gens, même quand les mots manquent.
Peut-être que ça aiderait à désamorcer des tensions avant qu’elles n’explosent.
Je trouve ça dangereux de réduire les gens à leur posture. On n’est pas des robots avec des réactions préprogrammées. Ça me semble culpabilisant pour ceux qui ont du mal à exprimer leurs émotions.
Moi, je me demande surtout si ça marche en toutes circonstances. Est-ce qu’une posture « universelle » existe, ou est-ce que ça dépend vraiment de la culture ?
Moi, je me demande si on ne risque pas de s’auto-censurer. Si chaque geste est interprété, on va finir par devenir des automates.
Moi, ça me rappelle surtout les entretiens d’embauche. On essaie tellement de contrôler son corps que ça devient contre-productif. On en oublie d’être soi-même.
C’est amusant, mais j’ai l’impression qu’on cherche toujours des raccourcis. On dirait qu’on préfère décoder un corps plutôt qu’écouter ce qu’une personne a à dire.
Moi, je vois surtout un outil pour mieux me connaître. Pas pour juger les autres, mais pour comprendre pourquoi je me tiens comme ça dans certaines situations.
Moi, ça me fait penser aux animaux. Mon chat, je sais quand il a peur ou qu’il est content juste à sa posture. Peut-être qu’on est plus proches d’eux qu’on ne le pense.
Je me demande si l’inverse est vrai. Est-ce que changer ma posture peut influencer mon état émotionnel ? Si oui, on pourrait s’en servir consciemment pour se sentir mieux.
C’est marrant, moi ça me fait penser à ma grand-mère. Elle disait toujours « Tenez-vous droit, on dirait des sacs à patates ! » Peut-être que l’élégance, c’est juste une façon de cacher ce qu’on ressent.
Moi, ça me fait penser à un truc : parfois, je suis tellement fatigué que j’ai juste envie de m’avachir. Alors l’interprétation psychologique, je m’en fiche un peu à ce moment-là.
C’est vrai que ça peut être révélateur, mais je me demande si on n’est pas influencé par ce qu’on *attend* de voir. On projette peut-être nos propres idées sur la posture des autres.
Moi, je trouve que c’est flippant. L’idée qu’on puisse être lu comme un livre ouvert, ça me met mal à l’aise. J’ai pas envie que mes émotions soient décryptées à mon insu.
Bof, moi je trouve ça culpabilisant. Comme si on devait encore faire attention à une nouvelle chose pour être « correct ».
Mouais, ça me fait penser à ces trucs de développement personnel un peu simplistes. « Soyez positif et votre vie changera ! » C’est plus compliqué que ça, non ?
Je me demande si c’est pas surtout une question de culture. Se tenir « bien » n’a pas la même signification partout.
Je me demande si ça ne met pas une pression supplémentaire sur les personnes déjà complexées par leur apparence. Comme si, en plus de tout, il fallait « bien » se tenir pour ne pas être jugé.
Je trouve ça intéressant, mais j’ai surtout l’impression que ça dépend énormément du contexte. Une posture peut avoir mille significations différentes.
Intéressant pour mieux comprendre les autres, mais surtout utile pour prendre conscience de mes propres tensions et peut-être les relâcher.
Je me demande si cette « lecture » du corps ne risque pas de créer des prophéties auto-réalisatrices. Si on me dit que je suis fermé parce que je croise les bras, je vais peut-être finir par me sentir fermé, même si ce n’était pas le cas au départ.
C’est marrant, moi, je repense à ma grand-mère qui disait toujours « Tiens-toi droit ! ». Peut-être qu’elle avait raison, mine de rien.
Ça me rappelle ma prof de théâtre qui nous disait qu’on pouvait mentir avec les mots, mais jamais avec le corps. J’y crois bien.
Je me demande si l’inverse est vrai : est-ce qu’en changeant consciemment ma posture, je peux influencer mes émotions ? Une sorte de « fake it till you make it » émotionnel.
Moi, ça me fait surtout penser aux entretiens d’embauche. On est tellement crispé qu’on envoie forcément des signaux bizarres !
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’idée qu’on puisse être « lu » comme un livre ouvert. C’est une atteinte à l’intimité, non ? J’ai pas envie que mes émotions soient étalées comme ça.
Moi, je trouve ça un peu réducteur. On est plus complexes qu’une simple posture.
Moi, ça me fait penser aux animaux. Ils communiquent beaucoup sans parler. On est des animaux, après tout. On l’oublie souvent.
Moi, je suis plus pragmatique. Si ça peut m’aider à mieux négocier avec mon chef, je prends !
Je me demande si cette science du corps n’est pas juste une façon de plus de nous juger les uns les autres. Déjà qu’on est pas mal à le faire tout seuls.
Personnellement, j’ai l’impression qu’on cherche un peu trop à décortiquer l’humain. Parfois, une posture, c’est juste… une posture confortable.
Intéressant, mais j’ai toujours pensé que le contexte était roi. Un dos courbé après une journée de déménagement n’est pas le même qu’un dos courbé en réunion.
Ça me fait sourire. Ma grand-mère disait toujours « les yeux sont le reflet de l’âme ». C’est un peu la même chose, non ? Juste une autre partie du corps qu’on essaie de comprendre.
C’est marrant, ça me rappelle mes cours de théâtre. On bossait énormément sur le corps, mais pour exprimer des rôles, pas pour être décrypté !
Je me demande si ça marche vraiment à tous les coups. Y’a des jours où je me tiens mal juste parce que j’ai mal au dos, pas parce que je suis triste.
C’est vrai que j’essaie souvent de cacher quand je suis stressé. Si ça se voit tant que ça, c’est flippant ! Peut-être que je devrais faire du yoga…
Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’idée qu’on puisse être « lu » à notre insu. C’est presque une atteinte à la vie privée, non ?
Moi, ça me fait penser à mes enfants. Quand ils sont petits, c’est flagrant. Puis, on apprend à cacher. Dommage, quelque part.
Je suis plus curieux de savoir si on peut influencer nos émotions en changeant consciemment de posture. Un peu comme un feedback loop.
Je me demande si cette « lecture » du corps ne dépend pas énormément de la culture. Ce qui est interprété comme de la timidité ici pourrait être de la politesse ailleurs.
Moi, ça me fait penser à ces moments où on force un sourire. On pense tromper son monde, mais le corps, lui, ne ment jamais vraiment, non ?
Je suis un peu sceptique. On dirait une nouvelle version de la psycho pop. On simplifie beaucoup trop la complexité humaine, non ?
J’ai toujours pensé que c’était un peu comme un jeu de devinettes. On projette nos propres émotions sur les autres, en fait.
Moi, je trouve ça rassurant. Ça veut dire qu’on n’est pas obligé d’être un bon orateur pour se faire comprendre. Le corps parle pour nous quand les mots nous manquent.
Intéressant. Ça me rappelle ces moments où je reconnais l’état d’esprit de quelqu’un juste en l’observant de loin.
Ça me fait penser aux entretiens d’embauche. On essaye d’adopter la « bonne » posture, mais est-ce qu’on est vraiment authentique ?
Finalement, c’est un peu comme observer les animaux. On comprend beaucoup sans qu’ils parlent. C’est instinctif.
En tant que grand timide, j’ai toujours eu l’impression que mon corps me trahissait, et pas forcément en bien. C’est à double tranchant, cette histoire.
Parfois, je me dis que ce « langage du corps » qu’on décode, c’est surtout une confirmation de ce qu’on a déjà décidé de penser de l’autre. Un biais de confirmation, quoi.
C’est vrai qu’on peut se sentir « nu » parfois, comme si les autres avaient un accès direct à nos pensées les plus intimes. Ça met une pression dingue, non ?
Et si on se laissait juste vivre, sans chercher à décortiquer chaque micro-expression ? On finirait par devenir paranoïaques, non ?
Mouais… ça me fait penser à toutes ces fois où j’ai mal interprété les signaux. On est vite à côté de la plaque, non ?
Je me demande si ce n’est pas un peu simpliste. On est tellement influencés par notre culture, notre éducation… Une posture « fermée » n’est pas toujours synonyme de malaise.
C’est marrant, ça me fait penser à ma grand-mère qui disait toujours « On voit tout dans les yeux ! ». Peut-être qu’elle avait raison, finalement.
Moi, j’y crois moyen. J’ai vu des gens super à l’aise en apparence, mais intérieurement en panique totale. Le corps ment aussi, non ?
Moi, ça me fait surtout penser à quel point on est vulnérables. On essaie de se contrôler, mais notre corps nous échappe.
Moi, je trouve ça fascinant, mais je me demande si ça marche aussi bien avec les gens qui ont des troubles anxieux. Le corps est peut-être en « mode alerte » constant, faussant la donne.
Est-ce qu’on ne risque pas de s’enfermer dans une interprétation figée des gens, à force de vouloir tout décoder ? La spontanéité, c’est précieux.
Je me demande si cette conscience accrue du langage corporel ne rend pas les interactions moins authentiques. On se concentre sur les signes, au lieu d’écouter vraiment.
Finalement, ça me rassure presque. Si mon corps me trahit, ça veut dire que je n’ai pas à toujours « jouer un rôle ». C’est une forme de vérité brute.
Je me demande si ça ne peut pas aussi nous aider à mieux nous comprendre, pas seulement les autres. À identifier nos propres signaux de stress, par exemple.
Je trouve ça un peu flippant, cette idée d’être transparent malgré moi. J’ai pas envie qu’on me lise comme un livre ouvert, ça retire un peu d’intimité.
Moi, ça me rappelle mes cours de théâtre. On apprenait à contrôler tout ça pour justement *faire croire* quelque chose. Du coup, le corps peut être un outil de manipulation aussi.
C’est fou de penser que nos muscles racontent notre vie à notre place ! Je me demande si on peut apprendre à « parler corps » pour mieux comprendre nos animaux de compagnie.
J’ai toujours pensé que l’intuition comptait plus que ces « signaux ». On sent quand quelqu’un est vrai, sans avoir besoin d’un décryptage.
Je me demande si ce n’est pas culturel. Un sourire est-il interprété de la même façon partout ? Ça relativise un peu l’idée d’un langage universel du corps.
Je me demande si ce n’est pas une mode. On a l’impression que chaque discipline essaye de « décoder » l’humain, comme si on était des machines.
Je me méfie un peu des généralités. Mon dos courbé, c’est peut-être juste parce que je passe mes journées devant un ordinateur ! Pas forcément un drame émotionnel.
Je suis toujours fasciné par la communication non verbale. Mais je crois qu’il faut considérer le contexte avant tout. Un bras croisé peut juste signifier qu’on a froid !
Ça me fait penser aux détectives dans les séries.
C’est amusant de penser que mon corps divulgue mes secrets. Mais est-ce vraiment grave ? Peut-être que ça rend les interactions plus authentiques, même malgré moi.
Je me demande si ça marche aussi avec les gens qui ont des troubles neurologiques. L’interprétation doit être plus complexe dans ces cas-là.
Si mon corps parle, j’espère qu’il négocie une augmentation à ma place ! Parce que moi, j’ose pas.
Moi, ça me met mal à l’aise. J’ai l’impression d’être nu en public, comme si tout le monde pouvait lire en moi. J’aime pas l’idée de perdre le contrôle de mon intimité.
Moi, j’essaie surtout de me tenir droit pour éviter le mal de dos. Si ça révèle quelque chose, tant mieux, mais c’est pas mon objectif premier.
Moi, ça me fait surtout réaliser à quel point on est conditionnés. On nous dit quoi faire et comment le faire, même avec notre corps. C’est un peu flippant.
Moi, je trouve ça culpabilisant. Déjà qu’on se juge assez, là, on dirait qu’on est jugé en permanence, même sans le savoir. Bof.
Moi, ça me rappelle ces moments où je me surprends à imiter la posture de quelqu’un que j’admire. C’est peut-être inconscient, mais révélateur.
Tiens, ça me fait penser à mon chat. Quand il a peur, il se fait tout petit. On est peut-être pas si différents finalement.
Moi, ça me rappelle ma prof de théâtre. Elle disait toujours que le corps ment jamais, mais qu’on peut apprendre à le « moduler ». Du coup, c’est inné ou acquis, cette histoire ?
Ça me rappelle les cours de poker. On essaie de cacher nos émotions, mais le corps trahit toujours, même un micro-tic. L’enjeu, c’est de le repérer chez l’autre.
J’ai toujours pensé que c’était un peu comme écouter une langue étrangère qu’on comprend intuitivement sans la parler. On capte l’ambiance, mais on rate les subtilités.
Intéressant. J’ai toujours cru que ma posture reflétait surtout mon niveau de fatigue, pas forcément mes émotions profondes.
On dirait une nouvelle façon de se mettre la pression. Comme si on devait décortiquer chaque mouvement pour « bien » se comporter. Ça me fatigue d’avance.
Bof, encore un truc pour se sentir mal à l’aise en société. On n’a déjà pas assez de soucis ?
Je me demande si ce n’est pas un peu trop simpliste. On est tellement plus complexe que ça, non ?
Je me demande si ça ne donne pas une excuse facile pour juger les autres. « Ah, il croise les bras, donc il est fermé. » Peut-être qu’il a juste froid, en fait.
C’est marrant, ça me fait penser à ma grand-mère. Elle prétendait toujours lire dans les pensées des gens rien qu’en les regardant. J’ai toujours cru que c’était juste de l’intuition, mais peut-être qu’elle avait raison finalement.
C’est vrai que parfois, je me surprends à deviner l’état d’esprit d’un ami juste à sa façon de se tenir. Mais est-ce que ça marche vraiment avec tout le monde ? J’ai des doutes.
J’ai l’impression que ça marche surtout si on connait déjà bien la personne, sinon, on risque de faire de grosses erreurs d’interprétation.
Et si l’on se trompait, finalement ? Je me demande si l’interprétation de ces signaux n’est pas teintée de nos propres biais et projections.
Je suis curieux de savoir si ces « signaux » sont universels ou s’ils varient selon les cultures.
Moi, ça me rappelle surtout mes cours de théâtre. On nous disait de travailler notre corps pour incarner un rôle, mais pas forcément pour « lire » les autres.
Moi, je me demande si on peut vraiment « feinter » son langage corporel. Genre, faire semblant d’être confiant alors qu’on est mort de trouille ? Ça pourrait être utile !
Moi, je trouve ça fascinant, mais aussi un peu flippant. L’idée qu’on puisse être « lu » comme ça, sans même s’en rendre compte… Ça remet en question la maîtrise qu’on pense avoir de soi.
Pour ma part, je pense que c’est surtout utile pour mieux se connaître soi-même. Observer sa propre posture peut révéler des choses qu’on ignore.
Personnellement, ça me fait penser à la pression qu’on se met. Déjà qu’on doit surveiller ce qu’on dit, maintenant faut faire gaffe à comment on se tient ! Ça rajoute une couche de stress, non ?
Mouais, ça me rappelle les bouquins de développement personnel un peu simplistes. Y’a sûrement une part de vérité, mais faut pas non plus tomber dans la caricature.
Moi, ça me fait penser à mon chien : quand il a peur, il baisse la queue. C’est peut-être aussi simple que ça, finalement.
Ça me fait penser aux entretiens d’embauche… On se sent scruté de la tête aux pieds. L’enfer !
C’est amusant, j’ai toujours pensé que ma posture était plus une question de confort qu’un reflet de mes émotions. Peut-être que je me trompe.
Je me demande si cette « lecture » du corps ne risque pas de créer des malentendus. On interprète, on juge, alors qu’il y a peut-être juste un problème de dos !
Je me demande si cette science de la posture n’est pas un peu culturelle. Ce qui est interprété comme de la timidité ici, est peut-être juste de la politesse ailleurs.
Intéressant… mais je me demande si l’interprétation de la posture n’est pas exagérément occidentalo-centrée. Les codes varient tellement.
Bof, je me demande si on n’accorde pas trop d’importance à des détails. Des fois, j’ai juste mal au dos et je me tiens bizarrement, c’est tout.
Tiens, ça me fait penser à ma prof de théâtre qui nous disait toujours : « Le corps ment jamais ! ». Mais bon, sur scène, c’est une chose, dans la vie de tous les jours.
Je suis toujours méfiant face à ces généralisations. On est tellement plus complexe qu’une simple interprétation de posture.
J’ai toujours cru que ma posture reflétait surtout mon niveau de fatigue. Après une longue journée, je me tiens comme un point d’interrogation, c’est sûr !
Je suis curieux de savoir si on peut réellement « s’entraîner » à avoir une posture plus positive, et si ça impacterait notre moral au quotidien. Un peu comme forcer le sourire pour se sentir mieux.
Mouais, ça me rappelle les bouquins de développement personnel un peu simplistes. On dirait qu’on peut déchiffrer les gens comme un mode d’emploi, alors que chacun a son histoire.
Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’idée qu’on puisse se sentir « nu » face à quelqu’un qui « lit » notre corps. Ça me mettrait mal à l’aise, presque comme une intrusion.
Moi, ça me fait surtout penser aux entretiens d’embauche… l’impression qu’on est scruté de la tête aux pieds. Est-ce qu’on peut vraiment être soi-même dans ces conditions ?
Moi, ce que je trouve fascinant, c’est l’idée que notre corps puisse « parler » sans qu’on s’en rende compte. Un peu comme un double langage involontaire, ça peut créer des malentendus terribles !
Ça me fait penser à mon chat. Quand il a peur, ses oreilles sont baissées, c’est flagrant. Est-ce qu’on est si différents, finalement ?
Et si c’était l’inverse ? On pense souvent que la posture révèle l’émotion, mais peut-être que forcer une posture « confiante » peut influencer l’émotion ressentie ? Un peu comme un cercle vertueux.
Je me demande si ces interprétations posturales ne sont pas très culturelles. Ce qui est interprété comme « fermeture » dans une culture pourrait être simplement une posture confortable dans une autre.
Franchement, je trouve ça un peu flippant. L’idée qu’on puisse être jugé en permanence, même sans rien dire, ça met une pression folle.
Je me demande si les personnes malentendantes ou non-verbales compensent instinctivement ces signaux corporels. Leur langage corporel doit être hyper développé, non ?
Je me demande si l’interprétation de la posture n’est pas aussi influencée par nos propres préjugés et humeurs du moment. On voit ce qu’on veut bien voir, non ?
Je suis curieux de savoir si les personnes qui pratiquent régulièrement la méditation ou le yoga ont une meilleure conscience de leur posture et donc, potentiellement, un meilleur contrôle de leurs émotions affichées.
Je suis sceptique. On nous vend souvent des recettes miracles pour décoder les autres, mais la réalité est bien plus complexe, non ? L’humain est un mystère.
Moi, ça me rappelle ma grand-mère qui disait toujours : « Les yeux sont le miroir de l’âme ». Peut-être que c’est un peu pareil, mais étendu à tout le corps ? Un peu naïf, non ?
Moi, je crois que ça peut nous aider à être plus attentifs aux autres. On est tellement pris dans nos pensées qu’on rate souvent les signaux. Ça pourrait rendre les relations plus riches.
Moi, ça me fait penser à mes cours de théâtre. On travaillait beaucoup la posture pour incarner un personnage. C’est un outil, pas une vérité absolue.
Moi, je trouve ça rassurant en fait. Si nos corps parlent, ça veut dire qu’on n’est pas obligés d’avoir les mots pour s’exprimer.
Moi, ça me fait sourire. On dirait qu’on redécouvre l’eau chaude. Ma chienne comprend quand je suis triste juste en me regardant. C’est pas si nouveau.
Moi, je me demande si ça marche avec les menteurs invétérés. Ils doivent bien maîtriser leur posture, non ? Du coup, on est encore plus piégés.
C’est marrant, ça me fait penser à mon chat. Quand il est énervé, la queue parle avant lui. On est peut-être tous un peu comme ça.
C’est vrai que j’ai souvent remarqué que quand je suis stressé, mes épaules se crispent sans que je m’en rende compte. Je vais essayer d’y faire plus attention.
Intéressant, mais j’ai l’impression que ça culpabilise un peu. Si je suis avachi, est-ce que je suis forcément malheureux ? Parfois, c’est juste que je suis fatigué.
Je me demande si cette « lecture » du corps ne nous enferme pas plus qu’elle ne nous libère. On risque de coller des étiquettes hâtives aux gens.
Et si c’était surtout une question de culture ? Ce qui est interprété comme de la timidité ici, est peut-être du respect ailleurs.
Je me demande si cette « lecture » du corps ne nous rend pas encore plus vulnérables face à la manipulation.
Je trouve ça un peu flippant de penser qu’on est si transparents. J’ai l’impression de perdre un peu de contrôle sur mes propres émotions.
Je me demande si cette attention portée au langage corporel ne crée pas une forme d’auto-censure. On finit par se surveiller, ce qui est contre-productif.
Je trouve ça rassurant. Si mon corps parle, il peut aussi mentir. Peut-être qu’on peut s’exercer à projeter une image plus forte, même quand on doute.
Mouais, ça me fait penser à ces tests de personnalité qu’on trouve dans les magazines. Amusant, peut-être, mais à prendre avec des pincettes. Chacun est différent.
Moi, j’y crois. Après tout, on passe notre temps à juger les autres sur leur apparence. Autant essayer de comprendre ce qu’on regarde.
Moi, je trouve ça fascinant. Ça me rappelle mes cours de théâtre où on apprenait à utiliser le corps pour exprimer des choses. C’est un outil puissant, même au quotidien.
Je me demande si c’est pas une mode, cette obsession du langage corporel. On dirait qu’on veut transformer les gens en équations.
En tant qu’ancien bègue, je peux dire que le corps peut devenir un piège. On se crispe, on anticipe, et ça empire. La spontanéité disparaît.
C’est marrant, on dirait qu’on cherche une notice d’emploi pour l’humain. J’imagine mal décortiquer la posture de mon voisin à la boulangerie. Ça gâcherait le plaisir d’un bon croissant.