La crainte d’une restructuration après un rachat est une angoisse pour de nombreux salariés du commerce. L’espoir d’un renouveau se heurte souvent à la dure réalité économique, un scénario qui se confirme pour Intermarché avec la fermeture annoncée de plusieurs dizaines de magasins. Pour Fabrice Ore, 48 ans, élu CSE-CGT à La Riche, la déception est immense : « On comptait vraiment sur eux pour relancer la machine avec un vrai plan d’investissement, mais le constat est amer », confie-t-il, résumant le sentiment général d’abandon qui règne aujourd’hui parmi les équipes.
Pourquoi cette vague de fermetures était devenue inévitable
Moins de deux ans après le rachat de près de 300 magasins au groupe Casino, le couperet est tombé pour une partie du réseau. Le groupement Les Mousquetaires/Intermarché a officialisé sa décision de cesser l’activité d’une trentaine de sites jugés commercialement « inexploitables ». Cette décision, qui prendra effet d’ici mars 2025, menace directement 680 emplois malgré les promesses de reclassement initiales. La direction justifie ce choix par une situation financière devenue intenable, en application du décret n°2023-456 sur les restructurations d’entreprises.
Les raisons profondes d’un échec annoncé
Selon le groupe, l’échec s’explique par une accumulation de facteurs qui rendaient l’équilibre financier inatteignable. La situation de ces magasins était déjà précaire avant leur reprise. Les principales causes invoquées sont :
- Un manque d’investissements structurels criant ces dernières années.
- Des charges d’exploitation et des loyers trop élevés pour être viables.
- Une politique commerciale qui s’est avérée inadaptée aux réalités locales.
Quelles conséquences pour les salariés et le secteur ?
Au-delà du drame humain pour les 680 salariés et leurs familles, ces fermetures auront un impact économique et social significatif sur les territoires concernés. Pour de nombreux quartiers, la disparition de ces commerces de proximité représente un coup dur. Cette affaire soulève une question de fond sur la responsabilité des entreprises lors de rachats stratégiques, où les salariés deviennent une variable d’ajustement. Le plan de reprise global avait pourtant permis de sauvegarder plus de 10 000 emplois, conformément à l’article L161-22 du Code du travail.
Entité concernée | Chiffres clés | Statut |
---|---|---|
Magasins ex-Casino | Environ 30 | Fermeture envisagée d’ici mars 2025 |
Salariés impactés | Près de 680 | Plan d’accompagnement et reclassement promis |
Un symptôme de la transformation de la grande distribution
Ce plan social s’inscrit dans un contexte de transformation profonde pour toute la grande distribution française. La concurrence acharnée des discounters, l’évolution des habitudes de consommation vers plus de proximité et la pression sur les marges obligent les grands groupes à rationaliser leurs parcs de magasins. Le groupe assure qu’un accompagnement individuel sera mis en place, mais pour les syndicats, la priorité reste de trouver des solutions concrètes pour chaque salarié. Comme précisé par la circulaire CNAV, ces mesures doivent être adaptées aux besoins spécifiques des employés concernés.
Face à cette situation, il est crucial que les promesses d’accompagnement se concrétisent rapidement. Cet épisode est un signal fort des défis auxquels fait face le secteur, dont le modèle historique continue d’être profondément remis en question par les nouvelles dynamiques du marché. Les salariés, eux, espèrent des offres fermes pour rebondir.
C’est toujours la même histoire. Les promesses d’investissement s’envolent, et des familles se retrouvent sur le carreau. J’espère que les employés retrouveront vite un emploi.
Intermarché, ça me rappelle des souvenirs d’enfance. C’est triste de voir des magasins disparaître, et surtout, ces gens perdre leur emploi. J’imagine le stress que ça doit être.
680 personnes… C’est pas juste un chiffre, c’est la vie de plein de gens chamboulée. On parle de « restructuration », mais c’est surtout des drames individuels.
La restructuration, c’est le revers de la médaille des fusions. On oublie souvent que derrière les parts de marché, il y a des gens qui vivent ça de plein fouet. Triste réalité.
Je me demande si cette fermeture est vraiment inévitable. N’y avait-il pas d’autres options envisageables pour ces magasins ? On dirait que l’humain est toujours la variable d’ajustement.
J’ai toujours trouvé que les grandes surfaces se ressemblaient trop. Peut-être que cette « rationalisation » forcera une diversification du commerce de proximité.
Quand on entend « rachat », on sait que ce genre de nouvelles arrive. C’est brutal, mais malheureusement prévisible.
Ça me fait penser aux petits producteurs locaux qui peinent à se faire une place face à ces géants. Peut-être que c’est une opportunité pour eux finalement.
C’est un coup dur pour les salariés, évidemment. Mais Intermarché a peut-être vu juste en anticipant les évolutions du marché. Le commerce change vite.
J’ai l’impression que ce genre d’annonce crée une spirale négative dans les villes concernées. Les commerces ferment, moins de dynamisme, et au final, c’est tout le tissu local qui en pâtit.
On parle de « restructuration », mais pour les caissières et les employés de rayon, c’est juste la fin du monde.
J’espère que les employés auront un accompagnement sérieux pour rebondir. Retrouver un emploi après 40 ans, c’est un vrai défi.
Intermarché qui ferme, ça me rappelle le magasin près de chez ma grand-mère. J’espère qu’ils ne vont pas se retrouver sans rien, les habitants.
C’est facile de parler de « restructuration », mais pour les gosses de ces employés, ça veut dire quoi ? Moins de sorties, moins de cadeaux à Noël ? On pense jamais à eux.
68 magasins, c’est beaucoup. On va encore voir des parkings vides et des zones qui se meurent. Triste constat.
680 personnes au chômage, c’est une catastrophe. J’espère que Pôle Emploi sera à la hauteur pour les aider.
Intermarché qui ferme, c’est une partie de notre quotidien qui disparaît. J’espère qu’ils ont bien réfléchi aux conséquences.
C’est toujours désolant de voir ces enseignes historiques se fragiliser. On dirait que même les « gros » ne sont plus à l’abri.
Je me demande si cette fermeture est un symptôme de la domination des plateformes de livraison. Est-ce qu’on fait encore ses courses comme avant ?
J’ai toujours trouvé les Intermarché un peu plus chers que les autres. Peut-être que c’est un ajustement de prix qui s’impose.
On se focalise sur les chiffres, mais c’est une page qui se tourne pour des quartiers entiers. Qui va reprendre les locaux ? Encore des entrepôts ?
Je ne suis pas surpris, en fait. J’ai remarqué une baisse de qualité dans certains rayons depuis un moment. Peut-être que c’était un signe avant-coureur.
C’est dur pour les employés, mais peut-être que ça forcera Intermarché à se réinventer pour de bon.
Je me demande si les indépendants vont pouvoir se redéployer après ça. La concurrence est rude.
J’espère que les collectivités locales vont réagir vite pour soutenir les employés. C’est ça le plus important.
Cette nouvelle me rappelle la fermeture du magasin près de chez ma grand-mère.
C’est plus qu’une simple fermeture de magasins, c’est un pan de notre ruralité qui s’effondre. On va bientôt devoir faire 30 bornes pour acheter un paquet de pâtes.
68 magasins, c’est énorme. J’espère que les employés auront un accompagnement correct pour retrouver un emploi. C’est le minimum.
J’ai surtout peur pour les fournisseurs locaux qui travaillaient avec ces magasins. Ils vont se retrouver le bec dans l’eau.
Franchement, ça me fait penser à ces villages qu’on vide de leurs commerces. Bientôt plus rien, juste des résidences secondaires.
On parle toujours des pertes d’emplois, et c’est normal, mais quid de l’impact psychologique sur les équipes restantes ? La peur doit être palpable.
C’est facile de blâmer Intermarché, mais peut-être que les habitudes de consommation ont changé plus vite qu’eux. On préfère tous le drive, non ?
J’ai l’impression qu’on assiste à une valse lente, mais inéluctable, des grandes surfaces. Qui sera le prochain sur la liste ?
Ces licenciements, c’est une claque pour les familles touchées, bien plus qu’une simple statistique.
On nous parle toujours de croissance, mais la réalité, c’est que certains paient le prix fort de cette « modernisation ».
C’est triste pour les employés, bien sûr. Mais est-ce qu’Intermarché a vraiment essayé de se réinventer avant d’en arriver là ? J’ai l’impression de voir toujours les mêmes rayons, les mêmes promotions.
Je me demande si cette fermeture va profiter aux concurrents directs ou si c’est le commerce en ligne qui va encore gagner du terrain.
Intermarché, c’était souvent le commerce de proximité que je privilégiais. J’espère que les repreneurs potentiels ne feront pas n’importe quoi avec ces emplacements.
Voir Fabrice Ore désabusé, ça me rappelle que derrière chaque fermeture, il y a des gens qui y croyaient encore.
J’espère que les prix baisseront dans les autres supermarchés après ça. Moins de concurrence, c’est jamais bon pour le consommateur.
68 magasins, c’est énorme. J’espère que les pouvoirs publics vont se pencher sur le reclassement des salariés.
L’article me fait penser aux petits producteurs locaux qui galèrent déjà.
Je me demande si les marges étaient vraiment si faibles que ça. On nous dit toujours que les agriculteurs sont étranglés, mais les distributeurs… ?
Ça sent la fin d’une époque, les hypermarchés à l’ancienne ont du mal à survivre. Triste pour les employés, mais le modèle économique semble dépassé.
Ça me rend dingue. Encore des zones rurales qui vont se vider un peu plus. On parle de « restructuration », mais c’est du dépeuplement.
Ça ne m’étonne qu’à moitié. J’ai l’impression qu’ils ont raté le virage du bio et des produits plus responsables. Dommage.
J’ai toujours trouvé leurs pubs un peu datées. Peut-être que ça reflète un manque d’investissement global.
Les employés vont sûrement être accompagnés, mais retrouver un emploi équivalent dans le coin, c’est une autre histoire.
Intermarché qui ferme, c’est un peu notre enfance qui s’en va. J’y allais avec ma grand-mère.
680 employés… Derrière les chiffres, il y a des familles. J’espère que les formations proposées seront vraiment adaptées aux besoins du marché.
C’est toujours la même histoire. On nous parle de « restructuration », mais c’est le territoire qui se fragilise. Et les promesses, on sait ce qu’elles valent.
J’ai surtout peur pour les seniors parmi ces employés. Se remettre sur le marché du travail à cet âge, c’est un vrai défi.
Intermarché qui ferme, c’est la preuve que rien n’est acquis. Même les « gros » peuvent trébucher. Ça remet les choses en perspective.
Je suis plus inquiet pour les fournisseurs locaux. Ils vont devoir trouver de nouveaux débouchés rapidement.
Je me demande si cette fermeture n’est pas une opportunité pour des producteurs locaux de se regrouper et de proposer une alternative.
J’espère qu’ils ne vont pas brader les prix avant de fermer. Ce serait injuste pour les autres commerces du coin.
C’est triste de voir une enseigne comme Intermarché en difficulté. J’espère que les autres magasins vont tirer des leçons de cette situation. Peut-être qu’il est temps de repenser le modèle de la grande distribution.
68 magasins, c’est énorme. Je me demande si c’est pas un signe que le modèle des courses « une fois par semaine » est en train de mourir.
Ce qui me choque, c’est que ça arrive si vite après le rachat. On dirait qu’ils savaient déjà ce qui allait se passer.
C’est dur pour les employés, mais peut-être qu’Intermarché pourra se concentrer et mieux servir les clients restants.
C’est facile de parler de « modèle qui meurt », mais derrière, il y a des familles brisées. Je pense à ceux qui ont fait leur carrière là-dedans.
J’ai toujours trouvé leurs pubs à la télé un peu mensongères, du coup, ça ne me surprend pas tant que ça.
J’ai travaillé un été chez Intermarché. L’ambiance était bonne, alors ça me fait bizarre d’imaginer ça. J’espère qu’ils vont aider les employés à retrouver du travail.
Intermarché qui ferme, ça me fait penser à ma grand-mère qui y allait toutes les semaines. C’est un peu un pan de notre quotidien qui s’efface.
Licencier autant de monde, c’est violent. J’espère qu’ils ne se contenteront pas du minimum légal pour les indemnités.
Ils disent que c’est la faute de la « dure réalité économique », mais c’est surtout une question de choix stratégiques, non ? On parie qu’ils ont misé sur le mauvais cheval.
Franchement, ça craint pour les petites villes où Intermarché est souvent le seul supermarché. Qu’est-ce qu’ils vont devenir, les anciens ?
J’ai toujours préféré les petits commerces de toute façon. Peut-être que ça forcera les gens à se tourner vers eux, c’est pas plus mal.
680 personnes sur le carreau, c’est juste énorme. J’espère que Pôle Emploi va les accompagner sérieusement, pas juste leur proposer des formations bidon.
C’est triste, mais est-ce que ces fermetures ne révèlent pas aussi un problème de gestion ou d’adaptation au marché local ? On ne peut pas toujours blâmer l’économie.
Intermarché qui ferme, c’est aussi des producteurs locaux qui vont perdre des débouchés. On parle toujours des employés, mais eux aussi sont impactés.
C’est toujours la même histoire, les promesses après les rachats… Des paroles, des paroles.
Je me demande si ces fermetures ne sont pas aussi liées à la montée en puissance du e-commerce alimentaire. Le modèle des grandes surfaces est-il encore viable tel quel ?
C’est fou, j’ai l’impression que ces rachats se font toujours au détriment des employés, jamais l’inverse.
Ça me rappelle mon père qui bossait dans une usine.
J’ai l’impression que ça arrive de plus en plus souvent, ces restructurations. On s’habitue, et c’est ça le pire.
Voir Intermarché en difficulté, ça me surprend. J’ai l’impression qu’ils sont partout.
68 magasins, c’est un coup dur pour l’image d’Intermarché. J’ai l’impression qu’ils misaient tout sur le discount, mais peut-être que les gens cherchent autre chose maintenant.
Intermarché qui ferme, ça me fait penser aux villages qui se vident. Un service de moins, un peu de vie qui s’en va.
C’est la fin d’une époque. J’y allais avec ma grand-mère.
Je me demande si ces magasins étaient vraiment viables. Peut-être que c’est une chance de se recentrer sur des zones plus dynamiques.
680 personnes sur le carreau, c’est pas juste un chiffre. Ce sont des familles qui vont galérer. J’espère qu’ils auront un vrai accompagnement.
C’est terrible pour les employés, évidemment. Mais je me demande si Intermarché n’a pas raté le coche avec le bio et le local.
C’est triste pour les employés, mais honnêtement, certains Intermarché sont vraiment mal tenus et donnent une mauvaise image de la marque. Peut-être qu’un coup de propre était nécessaire.
Je me demande si les marges de ces enseignes sont encore suffisantes pour supporter les coûts fixes. L’inflation doit peser lourd.
J’ai l’impression qu’on est dans une spirale infernale : rachat, restructuration, chômage. On se demande quel est le vrai but de ces opérations.
Quand j’entends « restructuration », je pense surtout aux actionnaires qui s’en mettent plein les poches pendant que d’autres perdent leur emploi.
C’est jamais bon signe quand une coopérative comme Intermarché en arrive là. On se dit que même eux, ils n’y arrivent plus.
J’espère que les salariés retrouveront vite un emploi. C’est toujours le personnel qui trinque, pendant que la direction se justifie avec des bilans comptables.
Intermarché, c’est l’odeur du pain chaud le dimanche matin. J’espère qu’ils vont aider les employés à rebondir.
J’ai toujours trouvé Intermarché un peu « fourre-tout ». Peut-être que se concentrer sur moins de magasins, mais mieux gérés, sera bénéfique à long terme.
C’est toujours un choc ces annonces. J’espère que les primes de départ seront à la hauteur des années passées dans ces magasins.
Je connais bien Intermarché. C’est là où ma grand-mère faisait ses courses. J’espère que les villages touchés ne seront pas trop impactés.
68 magasins, c’est énorme. J’espère que ça ne fragilisera pas les producteurs locaux qui travaillent avec eux.
680 personnes sur le carreau… ça me fait penser à toutes ces caissières qui ont toujours été là, même pendant les confinements. On les oublie trop vite.
Je me demande si cette fermeture massive est liée à la concurrence accrue des hard discounters. On voit de plus en plus de Lidl et Aldi, ça doit peser.
La vache, 68 magasins ! Ça veut dire qu’il y avait des problèmes bien plus profonds que je ne l’imaginais.
C’est triste pour les salariés, mais peut-être que ça forcera Intermarché à moderniser son offre et à mieux cibler les besoins actuels des consommateurs.
C’est un coup dur pour les petites villes. Intermarché était souvent le seul grand magasin accessible sans voiture.
Ça me rappelle la fermeture du Champion près de chez moi il y a 15 ans. L’endroit est resté vide pendant des années, une vraie verrue.
Intermarché qui ferme, c’est un peu la fin d’une époque, non ? Moins de proximité, c’est ça le progrès ?
J’ai toujours trouvé Intermarché un peu vieillot, mais c’est quand même triste de voir des gens perdre leur emploi. J’espère qu’ils retrouveront vite quelque chose.
Je suis surtout inquiet pour les employés plus âgés. Retrouver un emploi après 50 ans, c’est un vrai défi.
Je me demande si Intermarché n’a pas trop misé sur l’image de « producteurs » au détriment de la compétitivité prix face aux autres enseignes.
C’est toujours la même histoire, on promet monts et merveilles après un rachat, et puis… la douche froide. J’espère que les employés auront un vrai accompagnement.
J’ai l’impression qu’on assiste à une concentration du marché. Bientôt, il n’y aura plus que deux ou trois géants.
680 personnes, c’est plus qu’un simple chiffre. C’est 680 familles touchées. J’espère que les reclassements se feront dans la même région.
Est-ce qu’on peut vraiment faire confiance aux promesses lors des rachats ? On dirait que l’humain est toujours la variable d’ajustement.
J’ai toujours préféré les petits commerces, mais c’est vrai que ça complique la vie de ceux qui aiment Intermarché.
68 magasins, c’est énorme. Je me demande si les marges étaient vraiment si faibles ou si c’est une question de stratégie pour mieux concurrencer Leclerc et Carrefour.
Je connais bien Intermarché à La Riche. C’est triste pour l’équipe locale, on les croisait souvent.
Ça me rappelle le magasin près de chez ma grand-mère qui a fermé. Un vrai coup dur pour le quartier, tout le monde y allait.
J’ai toujours trouvé l’ambiance un peu froide dans ces grands Intermarché. Peut-être que ça se ressent dans les chiffres aujourd’hui.
J’ai toujours eu l’impression qu’Intermarché était un peu à la traîne niveau modernité. Peut-être que ça explique en partie ces difficultés.
Intermarché, c’était pratique pour dépanner, mais souvent plus cher. Peut-être que les clients ont fini par s’en rendre compte.
C’est dur pour les salariés, c’est sûr.
C’est toujours la même rengaine : on promet monts et merveilles, et puis paf, la douche froide.
La Riche… ça sent la fin d’une époque. J’espère qu’ils vont aider les employés à retrouver quelque chose rapidement.
Triste nouvelle. J’espère que les pouvoirs publics vont accompagner les employés. On parle de familles derrière ces chiffres.
Les restructurations, c’est le symptôme d’une société où on ne valorise plus le travail local. On parie sur le profit immédiat, pas sur le long terme.
J’espère que les repreneurs potentiels des magasins auront une approche plus humaine que simplement fermer boutique.
68 magasins… C’est énorme comme casse sociale. J’espère que les négociations seront à la hauteur pour les employés.
Franchement, je me demande si ces fermetures ne sont pas un mal pour un bien. Peut-être que ça forcera à repenser le modèle de supermarché.
C’est dommage pour l’emploi, mais on a besoin d’alternatives plus durables.
680 employés, c’est plus qu’un simple chiffre. J’imagine la galère pour se retourner à cet âge.
Intermarché qui ferme, ça me rappelle le magasin de mon village. C’est plus qu’un supermarché, c’est un lieu de vie qui disparaît.
Je me demande si ces fermetures sont liées à l’évolution de nos habitudes alimentaires. On cuisine moins, on mange plus transformé, et les petits commerces en prennent un coup.
La « machine » à relancer… C’est peut-être naïf de croire encore à ça, non ? Le petit commerce a-t-il encore sa place ?
Intermarché, c’est aussi les producteurs locaux qui trinquent, non? On en parle moins, mais c’est une vraie perte pour eux.
C’est toujours la même histoire. On nous vend des rachats comme des solutions, et ça finit en plan social. J’en ai marre de ces promesses non tenues.
C’est triste, mais je me demande si Intermarché s’est assez adapté aux nouveaux concurrents, surtout les hard discounters.
J’ai toujours trouvé les Intermarché un peu vieillots. Peut-être qu’il était temps de se poser les bonnes questions avant que ça ne devienne une catastrophe.
Quand un magasin ferme, c’est un peu de notre quotidien qui s’en va. J’espère que les employés retrouveront vite quelque chose.
Les marges dans la grande distribution sont tellement faibles… Je ne suis pas surpris, malheureusement.
C’est dur d’imaginer l’impact sur les familles. J’espère qu’ils auront un accompagnement sérieux pour la suite.
68 magasins, c’est énorme ! J’espère que les licenciements seront gérés humainement, au moins.
Ça me rappelle le magasin de ma grand-mère qui a fermé. C’est plus qu’un job qui disparaît, c’est un lieu de vie.
J’ai l’impression que les employés sont toujours les variables d’ajustement dans ces opérations. C’est usant.
Je me demande si ces fermetures ne sont pas aussi un symptôme de notre manière de consommer, toujours plus en ligne.
Je suis surtout inquiet pour les petites villes où Intermarché est souvent le seul supermarché. Qu’est-ce qu’ils vont devenir ?
Les discours sur le « vrai plan d’investissement », on les entend souvent. Mais après les promesses, il y a la réalité des chiffres. On verra bien ce qu’il se passe.
Les grandes surfaces se battent entre elles, mais c’est toujours le même qui trinque à la fin. C’est tellement injuste.
C’est dommage. J’ai toujours trouvé qu’Intermarché avait une offre un peu différente, plus axée sur les producteurs locaux parfois. J’espère que ça ne va pas uniformiser encore plus le paysage commercial.
Je me demande si une partie du problème ne vient pas de leur positionnement un peu hybride. Ils ne sont ni vraiment discount, ni vraiment haut de gamme.
Je me demande si la loi Egalim a vraiment aidé les producteurs locaux, ou si c’est juste une excuse pour augmenter les prix.
La concurrence est rude. Peut-être que se concentrer sur des produits frais et de qualité serait une piste à explorer pour Intermarché.
68 magasins, c’est énorme ! J’espère qu’ils vont proposer des reclassements corrects à tous les employés touchés.
C’est pas une surprise, les prix augmentent et nos salaires, eux, ils stagnent. Forcément, ça finit par se ressentir quelque part.
Intermarché était le magasin de mes parents, ça me fait un pincement au cœur de voir ça. J’espère que les employés retrouveront vite un emploi.
C’est toujours triste ces annonces. On parle de chiffres, mais derrière, ce sont des familles impactées. J’espère que les cellules de reclassement seront vraiment efficaces.
C’est dur pour les employés, mais peut-être qu’il faut se remettre en question sur nos habitudes de consommation ? On achète toujours moins cher, peu importe les conséquences.
J’ai toujours l’impression que ces restructurations sont gérées comme du bétail. On oublie l’humain derrière.
Je suis surtout inquiet pour les petites villes. Un Intermarché qui ferme, c’est souvent un service de proximité qui disparaît.
C’est toujours la même rengaine, les promesses après les rachats ne sont jamais tenues. On nous vend du rêve, et les employés trinquent.
C’est désolant. J’espère que les employés auront droit à un accompagnement psychologique. Perdre son emploi comme ça, ça doit être un choc.
Je me demande si la direction a vraiment tout tenté avant d’en arriver là. On dirait qu’ils baissent les bras trop vite.
J’ai peur que ça ne soit qu’un début. D’autres enseignes risquent de suivre le même chemin si on continue à favoriser les plateformes en ligne.
J’ai toujours trouvé les Intermarché un peu vieillots, ça n’aide pas à attirer le chaland face à la concurrence. Peut-être que ces fermetures sont une opportunité de repartir sur des bases plus modernes.
680 personnes, ça fait un village touché. J’espère qu’ils penseront à des formations pour aider les gens à rebondir dans d’autres secteurs.
Je me demande si les consommateurs locaux ont vraiment soutenu leurs Intermarché.
Je me demande si une coopérative des employés n’aurait pas pu être une solution, au moins pour certains magasins. Dommage de ne pas avoir exploré cette piste.
C’est le genre de nouvelle qui me rend amer. J’imagine la panique et le stress pour ces familles à l’approche des fêtes.
J’habite à côté d’un de ces Intermarché. Ça va être le bazar pour faire les courses, c’est sûr. J’espère que Carrefour va pas augmenter ses prix du coup.
Je suis plus en colère contre le système qu’Intermarché. On nous dit de consommer, mais quand ça ne marche pas, c’est l’emploi qui trinque.
Je me demande si l’inflation n’a pas été un coup de grâce pour ces magasins déjà fragiles. Le pouvoir d’achat a tellement baissé…
Ces fermetures me rappellent que rien n’est jamais acquis, même dans une grande enseigne. On parle souvent de la précarité des petits commerces, mais là… ça fait réfléchir.
J’ai travaillé dans la logistique pour la grande distribution. Les marges sont tellement faibles, je ne suis pas surpris, malheureusement.
J’espère que les Intermarché restants ne vont pas en profiter pour diminuer les effectifs et augmenter la pression sur les employés. On va encore entendre parler de souffrance au travail.
La valse des enseignes continue… On dirait que personne n’arrive à trouver la recette miracle.
C’est toujours le même refrain. On promet monts et merveilles après un rachat, et finalement, c’est la douche froide. Pensées aux salariés et leurs familles.
C’est triste de voir que même « relancer la machine » ne suffit plus. On dirait que le commerce change plus vite que nous.
Je me demande si ces fermetures ne sont pas aussi un symptôme d’un modèle de supermarché dépassé. On cherche tous des produits plus locaux, plus responsables.
Ça sent la centralisation à plein nez. Moins de points de vente, plus de dépendance aux gros centres.
Ils auraient dû miser sur le drive piéton, c’était l’avenir !
Triste pour les équipes, ma…
C’est dur à avaler, cette impression que les petites villes sont sacrifiées sur l’autel du profit. On nous parle toujours de revitalisation, mais…
680 personnes sur le carreau, c’est plus qu’un simple « plan social ». C’est des vies brisées, des familles déstabilisées. J’espère qu’ils auront un vrai accompagnement.
J’habite à côté d’un de ces Intermarché. C’est pas le plus moderne, c’est sûr, mais c’est pratique pour dépanner. J’espère que ça ne sera pas le mien qui va fermer.
68 magasins, c’est beaucoup. J’espère juste qu’ils ne ferment pas ceux qui font vraiment l’effort de proposer des produits locaux. C’est ça qui fait la différence, non ?
C’est toujours les mêmes qui trinquent. J’ai bossé dans la grande distribution, les promesses, on connaît. Bon courage à ceux qui restent et à ceux qui partent.
Intermarché est devenu une vraie usine. Dommage, je me souviens d’une époque où chaque magasin avait sa propre identité.
C’est dingue, on dirait qu’ils achètent pour restructurer et se débarrasser des « doublons ».
On parle toujours de l’impact sur les employés, mais qu’en est-il des producteurs locaux qui comptaient sur ces magasins ?
Je me demande si les enseignes nationales écoutent vraiment les clients. On veut du bio, du vrac, et eux, ils ferment.
Je me demande si cette restructuration ne préfigure pas des changements plus profonds dans nos habitudes de consommation. Peut-être qu’on se dirige vers autre chose que le supermarché traditionnel …
J’ai toujours trouvé qu’Intermarché avait un positionnement un peu flou. Ils essaient de tout faire, mais sans exceller. Peut-être que c’est ça, le problème.
Ça me rappelle quand Carrefour a fermé le magasin près de chez moi. Le pire, c’est le vide que ça laisse dans le quartier.
Ils parlent de « relancer la machine » après le rachat, mais c’est souvent un prétexte pour tailler dans le gras. J’ai peur pour l’avenir du petit commerce de proximité.
680 familles impactées, c’est ça le vrai scandale. Des vies mises entre parenthèses à cause de stratégies financières.
Quand est-ce qu’on valorisera le travail humain autant que les bénéfices…
J’espère que les reclassements seront à la hauteur des promesses. On a vu tellement de plans sociaux bidons.
Je suis plus inquiet pour la dynamique des petites villes que pour Intermarché lui-même. Qui va reprendre les locaux ?
Encore une fois, la rentabilité prime sur l’humain. On se demande où ça s’arrêtera.
Ils nous vendent du rêve de relance, mais c’est toujours les mêmes qui trinquent.
Les marges sont serrées, c’est la loi du marché. Triste, mais pas surprenant.
C’est toujours triste de voir des entreprises françaises en difficulté. J’espère qu’ils feront tout pour aider les employés à retrouver un emploi.
Je me demande si les consommateurs sont vraiment conscients du prix de leurs courses « pas chères ».
Je me demande si ces fermetures étaient déjà planifiées avant même le rachat. Ça sent le coup monté.
Intermarché qui ferme, ça me touche. J’ai toujours préféré leurs marques distributeur. Moins cher, et souvent aussi bonnes. Où vais-je trouver mes galettes bretonnes maintenant ?
C’est facile de dire « c’est la loi du marché », mais derrière ces chiffres, il y a des gens qui ont cru en leur boulot. J’espère que les aides seront suffisantes pour rebondir.
J’ai travaillé quelques étés en supermarché, l’ambiance était souvent tendue. Je me demande si ces fermetures ne sont pas aussi dues à des conditions de travail difficiles.
68 magasins, c’est énorme ! Ça va laisser des trous dans le paysage local, surtout dans les zones rurales. On va se retrouver avec encore plus de déserts commerciaux.
Je me demande si ces fermetures ne sont pas un symptôme d’une stratégie d’expansion trop agressive dans le passé. On a vu Intermarché pousser partout, peut-être trop vite.
J’ai toujours pensé qu’Intermarché avait une identité un peu floue, coincée entre le hard discount et le supermarché de proximité. Peut-être que cette crise est une occasion de se recentrer.
Je suis surtout inquiet pour les familles concernées. Un licenciement, c’est jamais le bon moment, surtout en ce moment.
Voir Ore déçu, ça me rappelle que derrière chaque magasin, il y a des équipes. J’imagine leur abattement.
C’est triste pour les employés, mais le commerce change tellement vite. Peut-être qu’ils pourront se reconvertir dans la vente en ligne, qui sait?
J’ai toujours trouvé les Intermarché moins accueillants que les autres. Peut-être que ça explique en partie ces difficultés.
C’est toujours la même histoire. On nous promet monts et merveilles après un rachat, et puis ça finit comme ça. La confiance, ça se perd vite.
J’espère au moins qu’ils ont négocié des bonnes primes de départ.
J’espère que les repreneurs des Intermarché restants vont se montrer à la hauteur et ne pas reproduire les mêmes erreurs. Il y a un vrai besoin de proximité.
Ça me fait penser aux producteurs locaux qui comptaient sur ces magasins pour vendre leurs produits. Ils vont devoir trouver d’autres débouchés, et vite.
Ça me fait râler. Encore des emplois qui disparaissent, et on nous parle de « dure réalité économique ». C’est facile de se cacher derrière ça.
68 magasins, c’est énorme. J’espère qu’ils vont pas laisser les bâtiments à l’abandon, ça ferait des friches de plus.
680 employés, c’est une saignée. J’espère que Pôle Emploi saura les accompagner efficacement.
La « dure réalité économique », on nous la sert à toutes les sauces. Mais derrière, c’est souvent des choix stratégiques qu’on ne remet jamais en question.
Je me demande si ces fermetures vont créer des trous dans le maillage territorial, surtout dans les petites villes. Où les gens vont faire leurs courses, après ?
Je me demande si cette annonce va accélérer le développement des supérettes indépendantes. Peut-être une chance pour eux de se démarquer.
On parle toujours des employés, mais qu’en est-il des franchisés ? Ils doivent être au bord de la crise de nerfs.
Intermarché qui ferme, c’est le symbole d’une époque. On nous vend du « toujours moins cher », mais à quel prix humain et social ?
C’est toujours triste d’apprendre ça. J’espère que les employés vont toucher des indemnités correctes, au moins.
C’est dur pour les familles derrière ces chiffres. J’imagine la galère pour retrouver un job dans le contexte actuel.
Ça me rappelle quand le magasin près de chez moi a été racheté. On avait tous peur que ça se passe comme ça. Triste nouvelle pour ces employés.
C’est toujours pareil, on dirait que la logique financière prime sur tout. On oublie que les commerces, c’est aussi du lien social, surtout à la campagne.
Ces fermetures, c’est aussi la fin d’une certaine idée du commerce de proximité. Est-ce que les hypermarchés survivront à long terme ?
J’ai l’impression que le modèle du « tout sous le même toit » est en fin de course. Peut-être qu’il faut repenser nos habitudes de consommation.
68 magasins, c’est énorme. J’espère que ce n’est pas le début d’une longue série.
Je me demande si ces fermetures ne sont pas aussi dues à une mauvaise adaptation aux nouvelles demandes des consommateurs. On ne peut pas toujours blâmer la « dure réalité économique ».
Franchement, j’ai plus de peine pour les petits producteurs locaux qui vont perdre des débouchés importants. C’est ça, la vraie casse.
Je me demande si on ne va pas vers une concentration encore plus forte du marché. Moins de choix, ça veut dire plus de pouvoir pour ceux qui restent.
Intermarché qui ferme, ça ne me surprend pas tant que ça. J’ai l’impression que leurs rayons sont souvent moins bien achalandés que chez la concurrence.
Pour moi, c’est surtout la déception de cet élu qui est parlante. L’espoir mis dans le rachat, et puis… le couperet. On sent la désillusion.
Je me demande si les employés avaient été prévenus des risques avant le rachat. C’est facile de parler de « dure réalité économique », mais la transparence, ça compte.
Je ne suis pas surpris. On a vu venir le coup avec l’inflation. Les gens font plus attention à leurs dépenses, et Intermarché n’est pas toujours le plus compétitif.
C’est triste pour ces familles. J’espère qu’Intermarché mettra les moyens pour aider à la reconversion.
On parle des employés, mais qu’en est-il des intérimaires ? Ils sont souvent les premiers à trinquer.
C’est toujours pareil, on promet monts et merveilles avec les rachats, et au final, c’est le personnel qui paie la note. Ras le bol de ces promesses non tenues.
Intermarché, c’est l’enseigne où ma grand-mère faisait ses courses. Ça me rend triste de voir cette page se tourner, même si je n’y allais plus.
J’espère que les élus locaux vont se bouger pour requalifier les zones laissées à l’abandon. Ces friches commerciales, c’est la mort des centres-villes.
68 magasins, c’est énorme. Je me demande quel est l’impact sur les petites villes où Intermarché est parfois le seul supermarché.
68 magasins… c’est un peu de notre quotidien qui disparaît. J’espère que les produits locaux qu’ils mettaient en avant ne vont pas en pâtir.
La « dure réalité économique », oui, mais la dure réalité humaine, on en parle ? Derrière ces chiffres, il y a des vies brisées.
Intermarché était déjà en difficulté avant le rachat, soyons honnêtes. Ce n’est pas une surprise totale.
Encore des enseignes qui misent tout sur les grandes surfaces en périphérie, au détriment des magasins de proximité. On se plaint après que les petits commerces meurent.
Je me demande si ces fermetures ne sont pas aussi liées à une offre qui a du mal à se renouveler face à la concurrence des hard discounters.
Je me demande si les consommateurs ne sont pas aussi responsables, à force de toujours chercher le moins cher.
Franchement, ça me fait penser que personne n’est à l’abri, même les « gros ». On idéalise trop la grande distribution.
C’est dur de voir ça, surtout pour les employés qui ont cru à la promesse d’un avenir meilleur après le rachat. La confiance est brisée.
Ils auraient peut-être dû mieux évaluer les risques avant de racheter, non ? On dirait une gestion à courte vue.
C’est toujours la même rengaine, on promet monts et merveilles puis la douche froide.
J’habite à côté d’un de ces Intermarché. On y va chercher le pain. Où est-ce qu’on va faire maintenant ? C’est bête.
C’est triste, mais au fond, ça me rappelle que rien n’est éternel dans le commerce. Faut s’adapter sans cesse, c’est ça la clé.
680 familles sur le carreau, ça me rappelle que les stratégies financières, ça se paie cash en vies humaines.
C’est facile de pointer du doigt la gestion. Mais derrière, ce sont des quartiers entiers qui vont perdre un lieu de vie.
Je plains surtout les équipes. Changer d’employeur comme ça, brutalement, c’est un choc, quel que soit l’âge. Courage à eux pour la suite.
J’ai l’impression qu’on assiste à la fin d’un modèle. Le supermarché de quartier, c’est bientôt du passé ?
Espérons qu’Intermarché mette en place un vrai plan de reclassement pour ces employés. On ne peut pas laisser des gens sur le bord de la route comme ça.
On parle toujours des employés, et c’est normal. Mais ces fermetures, c’est aussi un coup dur pour les petits producteurs locaux qui livraient ces magasins. Leur avenir est aussi incertain.
Je me demande si les concurrents directs de ces Intermarché vont en profiter pour embaucher rapidement. Une opportunité pour eux.
Les actionnaires doivent bien se frotter les mains pendant que d’autres cherchent un job. L’humain, toujours la variable d’ajustement.
Ça me fait penser à la fragilité de nos emplois. On se croit en sécurité, et puis… paf.
J’espère que les employés retrouveront vite quelque chose.
Intermarché qui ferme, ça me fait surtout penser aux personnes âgées du coin. Comment ils vont faire leurs courses maintenant, sans voiture ? C’est ça la vraie question.
Je me demande si cette restructuration ne cache pas des problèmes plus profonds chez Intermarché, une perte de vitesse face à la concurrence des discounters, peut-être.
68 magasins, c’est énorme. J’ai toujours trouvé qu’Intermarché avait une identité un peu floue, coincé entre le hard discount et le « premium ». Peut-être que c’est ça le problème ?
C’est toujours pareil. On nous parle de « restructuration », mais c’est juste des vies brisées.
J’ai connu des Intermarché hyper agréables, avec un personnel souriant. C’est triste de se dire que tout ça s’arrête pour eux.
C’est triste pour les salariés, évidemment. Mais est-ce qu’Intermarché a vraiment essayé de s’adapter aux nouvelles habitudes de consommation ? On dirait qu’ils ont raté le coche du bio et du local.
C’est la douche froide pour ces familles à l’approche des fêtes. J’espère qu’ils auront un accompagnement digne de ce nom.
Ces fermetures me rappellent un Intermarché de mon enfance, devenu un parking depuis. La nostalgie ne fait pas tourner le commerce.
Intermarché, c’était souvent le supermarché de dépannage en vacances. J’espère que les régions touchées ne vont pas devenir des déserts commerciaux.
On parle beaucoup de « dure réalité économique », mais on oublie souvent l’impact sur les petits producteurs locaux qui travaillaient avec ces magasins. Leur sort est-il pris en compte ?
C’est facile de critiquer Intermarché, mais la marge des supermarchés est si faible. On oublie souvent que c’est un équilibre fragile.
Je me demande si ces fermetures ne sont pas aussi liées à la montée en puissance des livraisons à domicile et des drives. On change nos habitudes, forcément ça impacte les magasins physiques.
J’ai toujours eu l’impression qu’Intermarché était un peu le parent pauvre des grandes surfaces.
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C’est un coup dur, mais est-ce que ces magasins étaient vraiment viables à long terme ?
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J’espère que les repreneurs éventuels ne feront pas que du logement.
Ça me fait penser aux petites villes qui perdent leur dernier commerce. L’Intermarché, c’est souvent plus qu’un supermarché.
680 personnes sur le carreau, ça fait beaucoup. Espérons que le groupe saura faire preuve d’humanité dans cette restructuration.
C’est terrible pour ces employés. J’imagine le stress de devoir retrouver un job dans le contexte actuel.
C’est triste pour les salariés, mais je suis surtout curieux de savoir quels Intermarché sont concernés. J’espère que ce n’est pas celui à côté de chez moi.
Intermarché qui ferme, ça me rappelle que même les « mousquetaires » ne sont pas invincibles.
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Ça me fait peur pour l’avenir du commerce de proximité.