Le geste que les anciens jardiniers faisaient toujours le soir contre les pyrales « appliqué au bon moment, il sauve vos buis sans chimie »

Voir ses buis, si patiemment entretenus, dévorés en quelques jours par la pyrale est un crève-cœur. Cette chenille vorace laisse derrière elle un spectacle désolant et beaucoup de jardiniers se sentent démunis. Pourtant, un geste simple, appliqué le soir, change radicalement la donne sans aucun produit chimique.

Jean-Pierre Lemoine, 68 ans, retraité de la poste à Orléans, a failli arracher toute sa bordure de buis. « Je voyais mes haies brunir à vue d’œil, je croyais que tout était perdu. C’est un simple souvenir de mon grand-père qui m’a sauvé la mise. »

Chaque soir, il voyait les papillons voler autour de ses arbustes. Se souvenant des gestes d’antan, il a commencé à doucher ses buis au jet d’eau puissant à la tombée de la nuit. Dès la première semaine, il a vu des dizaines de chenilles tomber au sol.

Le mécanisme est double. Le jet d’eau puissant déloge mécaniquement les chenilles et détruit leurs toiles protectrices. Appliqué le soir, il perturbe le cycle de ponte des papillons nocturnes et maintient une humidité qui peut favoriser le développement de champignons pathogènes pour les larves.

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Méthode de jardinage bio pour éliminer un autre ravageur courant

L’avantage est multiple. D’un point de vue pratique, il suffit d’un tuyau d’arrosage. Économiquement, la méthode ne coûte rien, contrairement aux traitements spécialisés. Surtout, l’impact environnemental est nul, préservant ainsi les insectes utiles du jardin comme les abeilles et les prédateurs naturels.

Pour optimiser l’efficacité, on peut placer une bâche au pied des buis avant de pulvériser pour récupérer et éliminer les chenilles qui tombent. Certains ajoutent une cuillère de savon noir dans un pulvérisateur pour une action légèrement plus adhésive et asphyxiante sur les jeunes larves.

Cette approche s’inscrit dans une tendance plus large de retour à un jardinage raisonné et observateur. Plutôt que de répondre par la chimie, il s’agit de comprendre le cycle de vie du ravageur pour intervenir au moment le plus opportun avec des moyens physiques et non polluants.

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Astuce d'entretien du jardin à faible coût, comme la méthode contre la pyrale

Au-delà du jardin, ce geste réhabilite des savoirs anciens et renforce le lien entre générations de jardiniers. Il redonne aux particuliers un pouvoir d’action simple et efficace face à des invasions qui semblaient ingérables, favorisant une résilience locale et le partage de bonnes pratiques.

En somme, la lutte contre la pyrale du buis ne requiert pas forcément un arsenal chimique. Un geste ancestral, appliqué avec régularité, suffit à protéger ces arbustes emblématiques. Une belle leçon de simplicité qui invite à explorer d’autres secrets de nos aînés pour le jardin.

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288 réflexions sur “Le geste que les anciens jardiniers faisaient toujours le soir contre les pyrales « appliqué au bon moment, il sauve vos buis sans chimie »”

  1. Intriguant, mais ça sent un peu le truc de grand-mère non prouvé scientifiquement. J’attends de voir le « geste simple » avant de crier victoire. J’espère que ça ne se résume pas à parler aux bui…

  2. Oh là là, les pyrales, une vraie plaie ! J’ai déjà perdu un buis magnifique l’année dernière. J’espère que ce geste de Jean-Pierre est plus efficace que mes pièges à phéromones…

  3. J’ai envie d’y croire, sincèrement. Mes buis sont moches, mais jeter l’éponge, ça me fend le cœur. J’attends la suite, avec impatience.

  4. Buis, pyrales, Jean-Pierre… ça me rappelle mon père. Il avait toujours une astuce. J’espère que celle-ci est moins farfelue que de leur jouer du Mozart.

  5. Jean-Pierre de la Poste qui a une solution, ça me fait sourire. On a tous un Jean-Pierre dans le coin. Je me demande si son truc marche vraiment mieux que le Bacillus thuringiensis que j’utilise.

  6. J’ai peur que ce soit encore une solution miracle qui demande plus de temps qu’elle n’en fait gagner. Mes soirées sont déjà bien occupées !

  7. J’avoue, je suis plus du genre à tailler mes buis à la cisaille électrique qu’à les contempler amoureusement le soir. Si ça demande de la patience, je passe mon tour.

  8. Le suspense est bien monté ! J’espère que ce n’est pas un truc trop bizarre, genre chanter une berceuse aux chenilles. Mes voisins risqueraient de se poser des questions.

  9. Je parie que Jean-Pierre a trouvé le moyen de les faire tomber en secouant les buis. C’est ce que je faisais gamin avec les arbres fruitiers ! Simple, mais efficace ?

  10. Moi, je me demande surtout si Jean-Pierre est d’accord pour qu’on utilise son nom pour ça. Ça me paraît un peu intrusif comme approche journalistique, non ?

  11. J’ai l’impression d’être pris pour un pigeon. On nous promet la lune, mais on ne sait toujours pas en quoi consiste ce fameux geste. C’est du pur appât à clics !

  12. Si ça peut éviter de pulvériser des cochonneries partout, je suis preneur. Pourvu que ce soit faisable par un non-jardinier comme moi.

  13. C’est marrant, cette insistance sur le soir. On dirait un rituel. J’espère que ça implique pas de rester planté là à attendre que les chenilles se couchent.

  14. Le « soir » me fait penser aux pics d’activité des pyrales. Peut-être que c’est plus facile de les repérer à ce moment-là ?

    J’espère que ce n’est pas trop physique, mon dos me joue des tours.

  15. Jean-Pierre, l’Orléanais sauveur de buis… Ça sent le récit de terroir comme on les aime. J’espère juste que ce n’est pas une méthode trop « grand-père », genre remède de cheval imbuvable.

  16. Ce teasing est agaçant. J’espère que la solution de Jean-Pierre ne dépend pas de la météo locale d’Orléans… Mon jardin n’a rien à voir avec ça.

  17. Moi, ce qui m’inquiète, c’est « les anciens jardiniers ». Ça veut dire que c’est peut-être une méthode oubliée pour une bonne raison… Et si c’était inefficace ?

  18. Buis ou pas buis, l’histoire de Jean-Pierre me touche. C’est une vie derrière ces haies, un symbole peut-être. J’espère que sa méthode, c’est pas juste un truc de passionné inaccessible.

  19. J’espère que la méthode de Jean-Pierre est compatible avec mon hamac. Si je dois choisir entre buis et sieste vespérale, le choix est vite fait !

  20. Moi, ce qui me chiffonne, c’est qu’on parle d’un seul geste. Un seul geste peut vraiment faire la différence contre une invasion ? J’ai du mal à y croire…

  21. Un geste le soir ? Ça me rappelle mon grand-père et ses histoires. J’espère que c’est pas un truc à base de prières à la lune.

  22. J’ai eu une invasion l’an dernier. J’ai tout coupé à ras, ça a repoussé. Si ce geste du soir est moins radical, je suis preneur.

  23. Moi, ce qui me frappe, c’est le côté « crève-cœur ». C’est vrai, on s’attache à ces plantes. J’ai plus envie de sauver mon buis par amour que par principe.

  24. « Un geste simple »… Ça sent la solution miracle qu’on nous vend à chaque printemps. J’attends de voir le geste, mais je prépare déjà mon sécateur.

  25. Moi, ce que j’espère, c’est que ce geste ne demande pas une patience infinie. J’ai déjà du mal à arroser mes tomates régulièrement…

  26. J’ai plus peur des voisins qui râlent que des pyrales. Si ce geste du soir me fait passer pour un excentrique, je préfère encore les chenilles.

  27. Jean-Pierre, retraité de la poste… ça me donne envie d’y croire, plus qu’un article sponsorisé. Un geste simple, c’est peut-être juste de l’observation attentive. J’essaierai.

  28. Le suspens est bien monté, c’est sûr. Mais j’avoue, ça me stresse un peu de dépendre d’un seul geste. Si je l’oublie un soir, c’est la catastrophe ?

  29. Les buis, c’est joli, mais franchement, c’est pas vital. Si un geste simple suffit, tant mieux. Sinon, il y a d’autres arbustes moins capricieux.

  30. Si Jean-Pierre a trouvé la solution, tant mieux pour lui. Moi, j’ai fini par remplacer mes buis par des houx crénelés. Plus de pyrales, et ça ressemble presque pareil !

  31. Les pyrales, c’est comme les impôts : on s’en débarrasse jamais vraiment. J’espère que ce geste du soir n’est pas une corvée de plus.

  32. J’ai hâte de savoir quel est ce geste. Mes buis sont encore jeunes, je ne veux pas les perdre. J’espère que ce n’est pas trop physique, mon dos me fait déjà assez souffrir au jardin.

  33. J’attends de voir ce que Jean-Pierre propose, mais je me demande si ça marche aussi pour les thuyas. C’est la même galère, non ?

  34. Pyrales, buis… ça me rappelle surtout les après-midis chez ma grand-mère. J’espère que le geste de Jean-Pierre est moins radical que ce qu’elle faisait : tout brûler !

  35. J’ai surtout peur que ce soit un truc chronophage. Mes soirées sont déjà bien remplies. Si ça demande plus de 5 minutes par buis, c’est rédhibitoire.

  36. Un seul geste ? Ça me fait penser à un truc magique, presque. J’espère juste que ça demande pas de parler aux chenilles, parce que là…

  37. Jean-Pierre, un sauveur ? On verra. J’ai déjà testé tellement de « solutions miracles » que je suis devenu méfiant. Mon buis, lui, l’est resté… bien malade.

  38. Un geste simple contre les pyrales ? Si ça peut éviter de revoir mes buis transformés en dentelle, je suis preneur. Pourvu que ça marche aussi avec mes rosiers, ils commencent à faire grise mine.

  39. Moi, les pyrales, ça me fait surtout penser aux vacances gâchées. L’odeur des buis, c’est le souvenir du Sud et là, c’est juste une invasion. J’espère que le geste de Jean-Pierre est moins déprimant que le spectacle.

  40. Jean-Pierre Lemoine ? J’espère que son geste est adaptable en appartement. Mes buis sont en pot sur le balcon, mais ils ont aussi le droit de survivre, non ?

  41. Les pyrales… ça me rappelle surtout que je dois tailler. Ce « geste du soir » ne serait pas un bon prétexte pour remettre ça à plus tard, par hasard ?

  42. J’avoue, le suspense est bien monté. J’espère juste que ce n’est pas un truc à faire en pleine nuit, parce que je tiens à mon sommeil.

  43. Buis, pyrales, gestes du soir… Tout ça me rappelle surtout le prix des buis ! J’espère que ce geste est gratuit, parce que sinon, autant racheter des plantes, non ?

  44. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le « appliqué au bon moment ». C’est ça le vrai truc, non ? Si faut guetter les pyrales comme le lait sur le feu, c’est pas gagné.

  45. J’imagine Jean-Pierre, le soir, face à ses buis. Il y a une poésie là-dedans, une sorte de rituel. Plus que le geste lui-même, c’est cette attention que je trouve belle.

  46. Les buis de Jean-Pierre, ça me touche. On dirait une histoire de famille, un truc qui se transmet. J’imagine son père lui montrant le geste. C’est peut-être ça le plus important.

  47. Un geste simple, dites-vous ? J’ai déjà passé des heures à traquer ces satanées chenilles. Si ça marche vraiment, je veux bien y croire, mais j’ai peur d’être déçu.

  48. Franchement, le mystère autour du geste, ça me fait penser aux recettes de grand-mère. Souvent, c’est plus l’amour qu’on y met que la méthode qui compte.

  49. Ce qui me frappe, c’est la promesse d’une solution simple. On est tellement habitués à des traitements compliqués, qu’on en oublie parfois l’efficacité de méthodes plus douces.

  50. Le titre est accrocheur, certes. Mais j’ai comme l’impression qu’on me prend un peu pour un pigeon avec cette histoire. J’attends de voir le fameux geste avant de crier victoire.

  51. J’espère juste que ce n’est pas un truc du genre chanter une berceuse aux pyrales. Mes voisins risquent de se moquer… et les chenilles de revenir en fanfare !

  52. Jean-Pierre, ancien postier et sauveur de buis, ça sent la bonne histoire locale. J’espère juste qu’il n’a pas inventé un truc trop bizarre en s’ennuyant à la retraite.

  53. Je suis plus inquiet pour les buis de Jean-Pierre que pour les miens. J’espère qu’il a vraiment trouvé une solution et pas juste un placebo pour jardiniers désespérés.

  54. Moi, les « anciens jardiniers », ça me fait toujours un peu sourire. On dirait qu’avant, ils avaient plus de temps à perdre que nous. J’espère que ce geste n’est pas trop chronophage.

  55. J’avoue, je suis intrigué. La pyrale, c’est la guerre. Si un ancien facteur a trouvé la paix avec ses buis, je suis prêt à écouter, même si ça sent l’astuce improbable.

  56. Moi, ce qui m’interpelle, c’est le timing. « Appliqué le soir », ça veut dire quoi ? Elles se planquent le jour, les pyrales ? Drôle de bestiole.

  57. Jean-Pierre, si tu nous lis, révèle-nous ton secret ! Mes buis sont en piteux état, et je suis à deux doigts de tout remplacer par des thuyas. L’espoir fait vivre, même au jardin.

  58. Buis ou pas buis, la vraie question est : est-ce que Jean-Pierre va partager son secret avant qu’il ne soit trop tard ? Le suspense est insoutenable !

  59. Franchement, je me méfie des solutions miracles. J’ai déjà essayé tellement de trucs pour les pucerons… J’attends de voir le geste en question, mais je reste sceptique.

  60. Les pyrales, c’est devenu une obsession ! J’espère que ce n’est pas un remède de grand-mère qui demande un doctorat en botanique pour être appliqué.

  61. Jean-Pierre Lemoine, retraité de la poste… J’imagine déjà le truc hyper précis, genre relever les compteurs de pyrales tous les soirs à 22h17. J’espère que c’est moins compliqué que ça.

  62. Je suis plus inquiet pour Jean-Pierre que pour mes buis. Un ancien facteur qui se bat contre les pyrales, ça sent le burn-out de jardinier amateur. J’espère qu’il prendra des vacances, lui aussi.

  63. Buis, pyrales, Jean-Pierre… Tout ça me rappelle mon enfance chez mes grands-parents. J’espère juste que ce « geste » n’implique pas de rester dehors jusqu’à minuit, comme mon grand-père le faisait pour traquer les limaces.

  64. J’ai un peu honte, mais je ne saurais même pas reconnaître une pyrale si j’en croisais une. Mes buis se débrouillent seuls, tant mieux pour eux.

  65. Le soir, hein? J’espère que c’est pas un truc à faire à la frontale, j’ai déjà assez l’air d’un idiot quand je cherche mes clés.

  66. J’ai peur que ce soit encore une de ces astuces qui marchent une fois sur dix, selon l’exposition du buis et l’humeur de la pyrale. On verra bien.

  67. Encore un article qui commence par la catastrophe… J’attends de voir le geste, mais je suis déjà fatigué de cette dramatisation systématique.

  68. J’espère que Jean-Pierre n’a pas passé ses nuits dans son jardin à cause de ça. C’est le genre de truc qui me ferait culpabiliser si ça marche.

  69. Si le geste est simple, pourquoi tout ce suspense ? J’espère que c’est pas un truc qui demande de se contorsionner, mon dos me remercierait pas.

  70. J’espère que ce geste n’est pas trop dépendant de la météo. Ici, en Bretagne, le soir, c’est souvent synonyme de pluie… et de découragement.

  71. Jean-Pierre, postier et sauveur de buis, ça sonne comme un conte. Hâte de connaître son secret, même si je me méfie des solutions miracles. Mes buis, c’est un peu ma madeleine de Proust.

  72. J’ai l’impression qu’on me vend du rêve avec un ancien qui a trouvé le truc. Tant mieux pour lui, mais moi, j’ai un boulot et une famille, pas le temps de jouer les apprentis sorciers au clair de lune.

  73. Buis, pyrales, Jean-Pierre… Ça me rappelle mon grand-père. Il avait toujours un truc, lui. J’espère juste que ce n’est pas un truc trop… grand-père.

  74. Les buis de mon voisin sont magnifiques. Je vais suivre ça de près, on ne sait jamais… Si ça peut éviter les pesticides, c’est toujours bon à prendre.

  75. Si Jean-Pierre a trouvé un truc, tant mieux pour lui. Moi, j’ai déjà essayé le piège à phéromones, ça a juste attiré toutes les pyrales du quartier.

  76. « Le soir », ça veut dire « le soir ». J’espère que c’est pas compatible qu’avec les horaires de retraite, sinon, ça va pas le faire pour moi.

  77. J’ai déjà tellement bataillé contre ces satanées pyrales que je suis prêt à tout entendre. Pourvu que ce soit moins fastidieux que d’écrabouiller des chenilles une par une.

  78. Mes buis, je les aime bien taillés, bien droits. Si ce Jean-Pierre a une astuce pour éviter que ça devienne un gruyère, je suis preneur. On verra bien ce que c’est.

  79. Buis, pyrales, et un retraité… ça sent la solution un peu simpliste. J’espère juste que c’est pas un truc qui demande d’être copain avec les oiseaux du coin.

  80. J’espère que ce n’est pas juste une histoire de bon sens paysan, du genre « regardez vos buis de près ». Parce que ça, je le fais déjà, et ça ne suffit pas.

  81. Ce suspense autour du geste me rappelle mon grand-père et ses « trucs » de jardinier. Souvent, c’était plus de l’attention qu’une méthode miracle. Curieux de voir ce que cache cette histoire.

  82. J’ai peur que ce soit encore une de ces solutions qui marchent « chez lui », avec son microclimat et ses habitudes. Moi, j’ai essayé tellement de choses…

  83. J’espère que Jean-Pierre n’est pas devenu riche en vendant des pièges à phéromones… J’ai l’impression qu’on nous prend un peu pour des pigeons, parfois.

  84. Si ce Jean-Pierre a trouvé, tant mieux pour lui. Moi, j’ai fini par me résigner à accepter les dégâts. La perfection au jardin, c’est une illusion.

  85. Ce teasing autour du geste, ça me fait penser aux recettes de cuisine qu’on trouve sur internet : 3 pages de blabla pour une recette de pâtes au beurre.

  86. Ce qui m’inquiète, c’est le « appliqué au bon moment ». Si le timing est trop pointu, c’est mort. J’ai pas le temps d’être à la seconde près avec mes buis.

  87. Franchement, j’ai l’impression qu’on diabolise trop la chimie. Un traitement ciblé, c’est parfois la solution la moins pire pour l’environnement, non ?

  88. Moi, ce qui me désole, c’est la perte de ces haies structurantes. Au-delà de l’aspect esthétique, c’est tout un écosystème local qui disparaît avec les buis.

  89. J’ai hâte de connaître ce geste. Mes buis sont jeunes, je veux tout tenter avant de les voir dépérir. L’espoir fait vivre, même au jardin.

  90. Un geste simple, le soir… Ça sent la solution miracle qu’on ressort à chaque fois. J’attends de voir, mais je sens déjà le coup du « faut y penser avant les autres ».

  91. Jean-Pierre Lemoine, ça sent le vécu. J’espère juste que son astuce n’implique pas d’aller papoter avec les chenilles tous les soirs. J’ai déjà assez de conversations avec mes tomates.

  92. J’ai toujours pensé que les solutions les plus efficaces étaient celles qu’on redécouvrait. Peut-être que Jean-Pierre a raison, après tout. L’espoir est permis !

  93. J’espère surtout que ce geste n’est pas une galère à mettre en place. J’ai déjà du mal à arroser, alors si c’est plus compliqué…

  94. Buis, pyrales… ça me rappelle les dimanches chez ma grand-mère. J’espère que l’astuce est moins compliquée que son arrosage des orchidées !

  95. Jean-Pierre Lemoine, un sauveur de buis ? J’ai surtout peur qu’il ne nous propose une solution qui marche… chez lui à Orléans. La pyrale, chez moi dans le Nord, c’est une autre paire de manches.

  96. « Le geste que les anciens jardiniers faisaient toujours »… Ça me rappelle mon arrière-grand-père. J’espère que c’est quelque chose de poétique, un peu comme parler aux plantes, mais en plus efficace contre ces satanées pyrales.

  97. J’ai déjà essayé tellement de « gestes simples » contre ces bestioles… Je croise les doigts, mais je ne me fais pas d’illusions. On nous prend souvent pour des pigeons.

  98. Ah, les buis… et les pyrales. Ça me rappelle surtout le prix que j’ai payé mes plants ! Si ce « geste » peut éviter d’en racheter l’année prochaine, je suis preneur.

  99. Moi, les pyrales, ça me rappelle surtout que j’ai arrêté d’acheter des buis. Trop de stress pour un résultat incertain. J’attends de voir le fameux geste, mais je suis passé aux arbustes moins sensibles.

  100. J’ai sacrifié mes buis. Le vide est moche, mais au moins, je ne culpabilise plus à chaque papillon blanc aperçu. Ce « geste » arrive trop tard pour moi.

  101. SportifDuDimanche

    « Le geste que les anciens jardiniers faisaient toujours »… ça sent le vécu, la transmission. J’espère que ça ne demande pas un doctorat en entomologie, juste un peu d’observation et de patience.

  102. J’attends toujours le truc miraculeux. J’ai vu des modes passer, des produits hors de prix… Mes buis sont toujours là, un peu moins beaux, mais là.

  103. MécanicienRetraité

    J’ai peur que ce soit encore un truc chronophage. Mes soirées sont déjà bien remplies, si je dois ajouter une tournée des buis…

  104. InstitutricePassionnée

    Orléans, la poste… J’imagine bien Jean-Pierre, le genre à avoir la main verte et le sens du détail. Curieux de savoir si son truc est transposable à ma région, le climat doit jouer.

  105. Jean-Pierre d’Orléans, ça sent la source fiable, pas l’influenceur sponsorisé. J’espère que son truc respecte la biodiversité, les abeilles en particulier.

  106. Mon buis, c’est un peu ma madeleine de Proust. J’espère que le geste de Jean-Pierre ne demande pas une agilité de chat, mais je suis prêt à essayer pour retrouver l’odeur de mon enfance.

  107. Le « soir », c’est déjà un bon point. Moins de soleil, plus de fraîcheur, peut-être que les pyrales sont moins actives… J’espère que ce n’est pas juste les écraser à la main, sinon, bonjour le …

  108. Le suspense est insoutenable ! J’espère que Jean-Pierre ne va pas nous sortir une recette à base d’urine de chat, comme j’ai déjà vu sur internet…

  109. J’ai surtout envie de savoir si ce geste « d’ancien » fonctionne vraiment sur les grosses infestations. Mes buis sont déjà bien attaqués, j’ai peur que ce soit trop tard.

  110. Franchement, j’ai plus de succès avec le marc de café qu’avec les « gestes d’antan ». On verra bien ce que propose Jean-Pierre, mais je reste sceptique.

  111. Guillaume Bernard

    J’attends de voir, mais le « geste simple » me fait toujours un peu sourire. On dirait qu’il faut un miracle pour sauver nos buis maintenant.

  112. Le suspense me stresse un peu, autant dire. Mes buis sont moches, et si la solution était si simple, pourquoi personne n’y a pensé avant ?

  113. Jean-Pierre me rappelle mon grand-père. Simple, direct, sans chichi. J’espère juste que son geste n’est pas trop physique, mon dos me remerciera.

  114. J’ai l’impression qu’on me vend du rêve. J’espère juste que ce n’est pas encore une astuce qui demande plus de temps qu’il n’y en a dans une journée.

  115. Buis, pyrales, Jean-Pierre… ça sent la chronique rurale à la bonne franquette. J’espère que l’astuce n’est pas trop « poétique » et qu’elle a une vraie base scientifique.

  116. J’espère que ce geste n’implique pas de rester debout à observer les buis pendant des heures ! J’ai déjà du mal à les tailler.

  117. Le « geste », c’est pas un truc spirituel, j’espère ? Parce que mes buis, ils ont besoin de solutions concrètes, pas de méditation. Si c’est encore une histoire de prier la lune, je passe mon tour.

  118. Jean-Pierre, il a l’air sympa, mais mes buis, c’est pas sa bordure. J’espère que son truc marche aussi pour les citadins stressés et leurs mini-jardins.

  119. J’ai déjà essayé plein de trucs « naturels » pour mes buis. Marre des promesses non tenues. On verra bien ce que Jean-Pierre propose, mais je suis blasé.

  120. Si ça peut éviter de sortir l’artillerie lourde chimique, je suis preneur. J’espère juste que c’est compatible avec mes horaires de travail.

  121. Franchement, j’ai surtout peur que ce soit un truc que je vais oublier de faire régulièrement. L’efficacité, c’est bien, mais la constance, c’est mieux !

  122. L’appel à l’aide d’un retraité, c’est touchant. J’espère que son expérience sera transposable. On est tous un peu Jean-Pierre face à ces satanées chenilles.

  123. Alexandre Bernard

    J’ai surtout envie de savoir si ce « geste » est accessible aux personnes à mobilité réduite. Mon dos me dit que le jardinage doit être malin, pas acrobatique.

  124. J’ai plus de succès en prévenant qu’en guérissant. Je mets un voile de protection sur mes buis au printemps, ça évite le problème.

  125. C’est surtout le « appliqué au bon moment » qui m’inquiète. Si c’est la nuit de la pleine lune en chantant la Marseillaise, c’est mort.

  126. Moi, ce qui me fatigue, c’est qu’on diabolise tout de suite la chimie. Parfois, c’est juste la solution la plus réaliste pour pas passer sa vie au jardin.

  127. François Bernard

    J’espère surtout que Jean-Pierre va nous expliquer clairement. Marre des articles à suspense qui finissent par vendre un produit !

  128. Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on culpabilise toujours de vouloir des solutions simples. J’aime mes buis, mais j’ai aussi une vie. Si c’est trop compliqué, tant pis pour eux.

  129. Je suis curieux de savoir ce que faisait ce Jean-Pierre, mais j’ai surtout envie de savoir si c’est vraiment efficace sur le long terme. Un coup de chance, ça arrive, mais sur plusieurs saisons ?

  130. Béatrice Bernard

    Jean-Pierre et ses buis, ça me rappelle mon père. J’espère que son astuce est moins farfelue que les siennes… mais bon, je suis prêt à tout essayer avant de me résoudre à les couper.

  131. Un geste simple et sans chimie, ça sonne bien, mais j’attends de voir. J’ai déjà essayé tellement de trucs pour ces fichues pyrales…

  132. J’avoue, j’ai presque honte, mais je n’ai jamais réussi à aimer mes buis. Si la pyrale les emporte, tant pis. Moins de taille, plus de temps pour les tomates.

  133. Les buis de Jean-Pierre, c’est peut-être le début d’une belle histoire… ou d’une grosse déception. J’espère juste que ce sera plus inspirant que le nom de mon coiffeur.

  134. Jean-Pierre, le nouveau héros des buis ? On dirait bien que l’auteur a trouvé son accroche. J’espère que l’astuce est bonne, parce que le suspense commence à me stresser plus que les pyrales elles…

  135. Gabrielle Bernard

    Jean-Pierre, c’est mon voisin ? La moitié des jardiniers du coin ont le même âge et la même passion… et les mêmes problèmes de pyrales. J’espère que son truc est meilleur que le mien (qui ne marche pas).

  136. Moi, ce qui m’intéresse, c’est le « appliqué au bon moment ». C’est ça, la clé, non ? On nous dit jamais quand c’est, ce « bon moment ».

  137. Je suis surtout fatigué de ces articles qui promettent la lune. Encore un truc à tester qui prendra du temps pour probablement pas grand-chose.

  138. J’ai plus de succès avec le purin d’ortie qu’avec les conseils « miracles » trouvés sur internet. Je préfère la méthode de ma grand-mère.

  139. Les pyrales me rappellent surtout la guerre que je mène contre les limaces. Un ennemi invisible, qui grignote sans vergogne. J’espère que ce geste du soir sera plus efficace que mes pièges à bière.

  140. J’ai toujours pensé que la patience était la meilleure arme au jardin. Si ce geste du soir peut m’éviter de passer des heures à inspecter chaque feuille, je suis preneur.

  141. J’ai l’impression d’entendre ma propre angoisse résumée en quelques lignes. Ces pyrales, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase après une journée de boulot.

  142. J’attends surtout qu’on m’explique ce qu’il faut faire. J’ai déjà perdu deux buis, je suis prêt à tout essayer, même si ça a l’air un peu bizarre.

  143. « Sauver ses buis sans chimie », ça sonne bien. Mais est-ce que ce geste du soir est compatible avec mon emploi du temps chargé ?

  144. Je me demande si ce « geste » du soir n’est pas juste une façon poétique de dire qu’il faut ramasser les chenilles à la main. Parce que, bon, la poésie, ça ne tue pas les pyrales.

  145. Jean-Pierre Lemoine, ça pourrait être mon voisin. J’espère juste que l’article va vite arriver au fameux geste, parce que je commence à paniquer en voyant l’état de mes buis.

  146. C’est toujours la même histoire : on nous appâte avec le « geste ancestral » et on nous laisse sur notre faim. J’espère qu’il ne va pas nous dire de chanter une berceuse aux buis.

  147. J’ai surtout peur que ce soit encore une de ces astuces qui marchent… chez les autres. Chez moi, c’est toujours l’exception qui confirme la règle.

  148. J’espère que ce n’est pas une histoire de lune ou de prières. Mes buis sont déjà assez angoissés comme ça. Un peu de pragmatisme, s’il vous plaît !

  149. C’est marrant, le coup du « geste ancestral ». On dirait une recette de grand-mère, mais pour les buis. J’espère que ce n’est pas trop compliqué, parce que moi, je suis plutôt du genre « jardinage du dimanche ».

  150. Catherine Bernard

    J’avoue, je suis un peu sceptique. « Un geste simple »… ça sent le truc qu’on a déjà tous essayé sans succès. J’espère juste que ça vaut mieux que les pièges à phéromones, qui attirent les p…

  151. Moi, ce qui m’agace, c’est le suspense. On dirait une pub pour lessive. On nous vend du rêve, mais on ne sait toujours pas comment sauver nos pauvres buis.

  152. Buis ou pas buis, la retraite de Jean-Pierre à Orléans me parle plus que le geste mystère. J’imagine bien la scène, le buis, c’est son nouveau défi.

  153. Moi, ce qui me frappe, c’est la promesse d’un truc simple. On a tellement compliqué le jardinage, on dirait. Peut-être que revenir à des méthodes plus intuitives, ça peut marcher.

  154. Ça me rappelle ma grand-mère qui parlait aux plantes. J’espère juste que le geste est plus concret que ça, sinon mes buis sont condamnés.

    Franchement, si ça marche, je me convertis au jardinage à l’ancienne.

  155. Franchement, j’ai plus confiance dans l’observation que dans les grands gestes. Les anciens, ils connaissaient *leurs* buis, c’est ça la différence.

  156. Jacqueline Bernard

    Moi, les pyrales, c’est devenu une obsession. J’ai même rêvé que mes buis me suppliaient… J’espère que ce geste n’est pas trop acrobatique, mon dos me remerciera.

  157. Le mystère autour de ce geste me laisse froid. J’ai surtout envie de savoir ce qu’il fait, Jean-Pierre, de ses journées à Orléans, maintenant qu’il n’est plus à la poste.

  158. Les pyrales, c’est la guerre, mais la guerre ça coûte ! Si ce geste me fait économiser en produits, je suis preneur. Marre de dépenser des fortunes pour ces satanées chenilles.

  159. J’ai déjà essayé tellement de trucs… Si un simple geste suffit, ça remettrait du baume au coeur à mon jardin, et à moi aussi. J’attends de voir !

  160. Je suis curieux, bien sûr, mais le coup du « geste simple » me rappelle un peu trop les secrets de grand-mère qu’on trouve sur internet et qui marchent jamais. On verra bien.

  161. Un geste simple ? Facile à dire quand on n’a pas passé des heures à tailler ses buis. J’espère que ça prend pas plus de temps que de traiter, sinon c’est mort.

  162. Jean-Pierre, il est d’Orléans comme moi ! J’espère que son geste secret est pas un truc qu’on ne peut faire qu’ici, avec l’eau de la Loire ou je ne sais quoi.

  163. Le titre est accrocheur, mais j’espère que l’article ne va pas s’arrêter à « Jean-Pierre d’Orléans ». J’ai juste besoin d’une solution, pas d’une carte postale.

  164. J’ai plus de buis. J’ai cédé. La pyrale a gagné. Mais je suis curieux de savoir si ce geste pourrait aider mes voisins à éviter mon erreur.

  165. Franchement, j’espère que ça ne va pas être encore une de ces solutions qui marchent nickel… chez les autres. J’attends toujours le truc miracle.

  166. J’ai toujours pensé que les buis, c’était ringard. Mais voir ma mère se battre contre ces bestioles, ça me fait de la peine. Si un petit truc peut l’aider, tant mieux.

  167. J’ai peur que ce soit encore un truc chronophage. J’ai déjà passé l’âge de jouer à l’apprenti sorcier dans mon jardin. Si c’est pour y passer des heures, autant laisser la nature faire son œuvre.

  168. J’avoue que « geste simple » et « sauve vos buis » dans la même phrase, ça me rend méfiant. Mais bon, j’ai rien à perdre à lire la suite, mes buis sont déjà bien attaqués.

  169. C’est marrant, j’ai l’impression que tout le monde a des buis. Moi, c’est les rosiers qui me donnent du fil à retordre. J’espère que le geste en question peut s’appliquer à autre chose qu’aux pyrales.

  170. Buis ou pas buis, le soir, je suis plutôt apéro. Si le geste dont parle l’article se fait avec un verre à la main, ça m’intéresse. Sinon, bof.

  171. Sébastien Dubois

    « Un geste simple »… ça sent la recette de grand-mère qu’on a oubliée. J’espère que ça ne demande pas de grimper sur un escabeau. Mon dos me remercierait.

  172. Jean-Pierre Lemoine, de la poste… Tiens, ça me rappelle mon oncle. J’espère que son geste est plus efficace que ses conseils de jardinage, lui.

  173. Mouais, « geste simple »… J’attends de voir. J’imagine déjà le truc qu’on ne peut faire que par nuit de pleine lune avec une branche de saule.

  174. Un postier, un geste du soir… Ça sent la routine bien rodée, l’observation attentive. C’est peut-être juste ça, la clé : être là, au bon moment.

  175. Christophe Dubois

    J’imagine déjà Jean-Pierre, le soir, face à ses buis, un peu Don Quichotte contre les pyrales. L’espoir fait vivre, même au jardin.

  176. Jean-Pierre, il me fait penser à tous ces gens qui ont « la » solution miracle. J’espère juste que sa solution n’est pas plus contraignante que les pyrales elles-mêmes.

  177. Les buis de mon voisin sont magnifiques. J’ai toujours pensé qu’il utilisait des produits chimiques. Si Jean-Pierre a une solution naturelle, je suis preneur, même si ça a l’air un peu mystérieux.

  178. J’ai déjà essayé tellement de « remèdes miracles » pour mes buis… J’espère juste que ce n’est pas encore une arnaque déguisée en astuce de vieux.

  179. « Appliqué au bon moment »… ça me fait penser à ma propre routine du soir. Si c’est un truc à ajouter à ma promenade du chien, pourquoi pas.

  180. Des buis dévorés… ça me rappelle les cheveux de mon Yorkshire après une tonte ratée. J’espère que le geste de Jean-Pierre est moins traumatisant.

  181. Jean-Pierre et ses buis, ça sent l’histoire vécue. J’espère que l’article expliquera clairement son geste, sans blabla inutile. J’ai plus envie d’agir que de lire un roman.

  182. Franchement, ça me rappelle mon grand-père et ses « secrets » de jardinier. J’espère que ce sera plus concret que ses histoires de planter la lune.

  183. Les pyrales, c’est la guerre ! J’espère que ce Jean-Pierre n’est pas juste un poète jardinier. Parce que si ça marche, je lui érige une statue dans mon jardin.

  184. Un geste simple, le soir… J’ai un peu peur que ce soit trop beau pour être vrai. J’attends de voir le fameux geste, avant de crier victoire.

  185. Buis ou pas buis, le soir, je suis plutôt devant la télé. Si le geste de Jean-Pierre me demande de sortir, il a intérêt à être drôlement efficace !

  186. Jean-Pierre, il a l’air sympa, mais j’attends le geste. Mes buis sont plus qu’une bordure, c’est un héritage. Si son truc marche, je lui offre une bière.

  187. Le suspense est bien orchestré, mais j’espère surtout que ce geste respecte la biodiversité. On a assez de solutions « miracles » qui font plus de mal que de bien.

  188. Gabrielle Dubois

    Jean-Pierre qui sauve les buis, ça me rappelle mon voisin. Il a toujours un truc, souvent bizarre, mais ça marche. J’attends de voir si c’est aussi farfelu que les siens.

  189. J’avoue, j’ai survolé l’article en diagonale. J’ai plus confiance en mon insecticide bio qu’en un secret de jardinier. On verra bien.

  190. Moi, ce qui m’inquiète, c’est « le soir ». J’ai déjà passé tellement de soirées à traquer ces maudites chenilles… j’espère que ce n’est pas juste une version glorifiée de la chasse à la lampe torche.

  191. J’ai déjà tout essayé. Le truc du marc de café, les nématodes… Si ça se trouve, Jean-Pierre a juste de la chance. Mais bon, on ne sait jamais.

  192. Jean-Pierre, un héros du jardin ? J’espère que son « geste » n’implique pas de rester debout des heures. Mon dos ne le supporterait pas pour des buis.

  193. Les « anciens jardiniers », ça me fait sourire. Ma grand-mère disait surtout « fais avec ce que tu as sous la main ». J’espère que c’est ça, l’esprit.

  194. « Voir ses buis, si patiemment entretenus, dévorés en quelques jours par la pyrale est un crève-cœur. » Vraiment. On se sent presque trahi par la nature.

  195. J’aime ces articles qui promettent monts et merveilles. Reste à savoir si le « geste » est compatible avec mon agenda chargé.

  196. Buis, pyrales, Jean-Pierre… ça sent la solution à la bonne franquette. J’espère juste que ce n’est pas trop chronophage, j’ai déjà du mal à suivre le rythme des saisons.

  197. « Le soir »… ça veut dire se battre contre les moustiques en plus des pyrales ? Autant dire que le remède est presque pire que le mal.

  198. J’attends toujours le geste miracle. Mes buis ont une valeur sentimentale, mais à ce rythme, je vais finir par les remplacer par des lavandes. Plus simple, moins de soucis.

  199. J’ai peur que ce soit encore un de ces trucs hyper spécifiques qui marchent juste chez Jean-Pierre. On a tous un sol différent, une exposition différente…

  200. Si ce geste « sauve » vraiment, pourquoi il n’est pas déjà connu et partagé par tous les jardiniers ? J’ai l’impression qu’on nous prend un peu pour des naïfs.

  201. Jean-Pierre, ça me rappelle mon voisin. Toujours une astuce, toujours à refuser les produits chimiques. J’espère juste qu’il explique clairement son truc.

  202. J’avoue, je suis curieux. Mes buis sont encore épargnés, mais je préfère prévenir que guérir. On verra bien si le truc de Jean-Pierre est applicable à ma région.

  203. Catherine Dubois

    J’ai surtout envie de savoir si ça marche sur les petites pyrales, celles qui se cachent bien au fond du buis. Les grosses, je les vois venir.

  204. Jean-Pierre et son « geste »… Ça me rappelle mon grand-père et ses remèdes de grand-mère. On verra bien si ça fonctionne, mais au moins, ça donne un peu d’espoir.

  205. Le titre est accrocheur, c’est sûr. Mais j’ai surtout envie de savoir si ça marche sans se casser le dos. J’ai des problèmes lombaires, donc les solutions « naturelles » qui demandent des contorsions, c’est rédhibitoire.

  206. J’espère que ce « geste » n’implique pas de rester debout des heures à les guetter ! J’ai le dos fragile et peu de temps. Un truc rapide serait vraiment top.

  207. Moi, ce qui m’inquiète, c’est « le soir ». Les pyrales, elles attaquent quand, exactement ? Si c’est pendant que je regarde la télé, c’est mal barré.

  208. Le nom « Jean-Pierre » me met toujours la puce à l’oreille. J’ai l’impression qu’on me vend une lessive. J’attends de voir le geste, mais je reste méfiant.

  209. Jacqueline Dubois

    Buis ou pas buis, le principal, c’est d’avoir un jardin qui vit. Si Jean-Pierre a une solution douce, tant mieux. Sinon, on plantera autre chose, la nature est pleine de surprises.

  210. J’ai peur que ce soit encore une de ces solutions trop belles pour être vraies. Mes buis, c’est plus qu’un décor, c’est des souvenirs d’enfance. Si ce « geste » pouvait les sauver, tant mieux, mais je n’y crois pas trop.

  211. Si Jean-Pierre a trouvé une astuce, tant mieux pour lui. Moi, j’ai fini par accepter que le buis, c’est du passé. Place à autre chose.

  212. Je suis curieux de savoir si ce geste est aussi efficace qu’il est simple. J’espère que Jean-Pierre va nous l’expliquer clairement, sans jargon.

  213. J’espère que Jean-Pierre n’a pas inventé une nouvelle corvée. Mes soirées, c’est sacré. Si ça demande plus de 5 minutes, je passe mon tour.

  214. Buis, pyrales… ça me rappelle juste le cimetière de mon village. Triste souvenir. J’espère que ce geste rendra les gens heureux.

  215. Si ce geste peut éviter le ballet incessant des traitements chimiques, je suis preneur. Marre de jouer à l’apprenti chimiste dans mon jardin.

  216. Guillaume Durand

    Le suspense est insoutenable ! J’espère qu’on ne nous fait pas miroiter une solution miracle qui tiendra sur un timbre. J’ai déjà tellement investi dans mes buis.

  217. Jean-Pierre, sounds familiar! J’ai essayé tellement de trucs. Si ça marche vraiment, je lui envoie une bouteille de pinard. Sinon, tant pis pour les buis.

  218. Mes buis, je les ai plantés pour que les oiseaux aient un abri. Si je dois passer mes soirées à les « sauver », autant les remplacer par des arbustes plus utiles à la faune.

  219. Le buis, c’est joli, mais honnêtement, ça me stresse plus qu’autre chose. Si ce geste me permet de dormir sur mes deux oreilles sans passer mon temps à inspecter les feuilles, je suis preneur.

  220. J’attends de voir le fameux geste. J’ai remplacé mes buis par des ifs, beaucoup moins d’ennuis. Peut-être que Jean-Pierre a la solution pour les autres.

  221. J’espère que ce geste est accessible aux personnes âgées comme moi. Le dos commence à coincer, les genoux grincent… Si c’est trop physique, je ne pourrai pas l’appliquer.

  222. Des pyrales, j’en ai eu. C’est moche, c’est clair. Mais bon, la nature reprend toujours ses droits. Mes buis, ils sont là depuis des années, ils survivront bien à quelques chenilles.

  223. Moi, le buis, c’est surtout un parfum d’enfance, les dimanches chez ma grand-mère. Si ce geste me permet de retrouver un peu de ça, je suis prêt à essayer.

  224. Le titre est accrocheur, mais je crains le « geste miracle ». J’ai déjà donné, et souvent été déçu. On verra bien de quoi il retourne, mais je reste prudent.

  225. J’avoue, j’ai un faible pour ces articles qui promettent des solutions à la papa. Ça me rappelle le bon vieux temps où on soignait tout avec du bicarbonate.

  226. Sébastien Durand

    J’ai toujours cru que le secret d’un beau jardin, c’était l’observation. Hâte de voir si le geste de Jean-Pierre confirme mon intuition et me permettra de sauver mes topiaires.

  227. Jean-Pierre Lemoine, un postier sauveur de buis ? Ça sent la belle histoire locale. J’espère que l’article détaillera le geste et qu’il ne s’agit pas juste d’écraser les chenilles à la main !

  228. La pyrale, c’est la guerre. J’ai essayé les pièges à phéromones, mais c’est comme pisser dans un violon. Si ce monsieur a une astuce plus efficace, je suis tout ouïe.

  229. Alexandre Durand

    Un postier qui terrasse la pyrale ? Ça me rappelle David contre Goliath, en version jardin. J’espère qu’il a mieux qu’une fronde.

  230. Un geste simple ? J’ai toujours pensé que les solutions radicales étaient les meilleures, mais peut-être que la subtilité a du bon, finalement.

  231. Christophe Durand

    Un postier et un geste ancestral contre la pyrale… Ça sent la méthode douce, presque poétique. J’espère que ça marche, j’en ai marre des traitements chimiques agressifs.

  232. J’espère juste que ce n’est pas encore une histoire de coccinelles à lâcher. J’ai déjà essayé, elles ont préféré les rosiers de la voisine.

  233. La pyrale, c’est un vrai cauchemar. Moi, j’ai tout coupé et remplacé par des ifs. Plus de problème ! Peut-être que Jean-Pierre a la solution pour ceux qui tiennent absolument à leurs buis…

  234. François Durand

    « Un geste simple », ils disent ? Méfiance, ça cache souvent un boulot monstre. J’attends de voir si c’est vraiment à la portée de mon emploi du temps déjà chargé.

  235. Grégoire Durand

    Je suis curieux. Mon voisin jurait que la solution, c’était de pulvériser du purin d’ortie. Ça n’a pas marché. Alors, ce geste de Jean-Pierre… je demande à voir.

  236. Buis, pyrales, gestes ancestraux… ça me replonge dans les jardins de mon enfance. J’espère que ce n’est pas trop contraignant, car le temps me manque cruellement.

  237. Jean-Pierre Lemoine… J’espère qu’il a pensé aux pauvres oiseaux. Les chenilles sont leur nourriture, et si on les supprime, c’est tout un écosystème qui souffre.

  238. J’ai toujours eu l’impression que les pyrales arrivaient comme une fatalité. Si un retraité a trouvé un truc, tant mieux, mais je ne me fais pas trop d’illusions.

  239. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le « appliqué au bon moment ». C’est quoi, le bon moment ? Pile quand la chenille sort de l’œuf ? Autant chercher une aiguille dans une botte de foin.

  240. Béatrice Durand

    Buis, pyrales, retraité… Encore une recette de grand-mère qu’on nous vend comme révolutionnaire. J’attends de voir la suite, mais je sens l’arnaque au kilomètre.

  241. Si ça marche vraiment, je serais le premier à applaudir. Mais j’ai tellement investi en traitements divers que j’ai du mal à y croire.

  242. Moi, les buis, c’est surtout le souvenir de l’odeur quand ma grand-mère les taillait. Si ce geste peut éviter les produits chimiques, ça vaut le coup d’essayer, rien que pour ça.

  243. J’ai peur que ce soit encore une de ces solutions qui marchent… chez Jean-Pierre. Mon buis, c’est le seul truc vert que j’ai réussi à garder en vie.

  244. J’imagine déjà Jean-Pierre, fier de sa découverte. Si ça lui apporte de la joie et que ça sauve ses buis, c’est déjà ça. Le reste, on verra.

  245. Gabrielle Durand

    J’ai déjà tout essayé, même les huiles essentielles hors de prix. Si Jean-Pierre a une solution, tant mieux pour lui. Moi, je suis résigné à remplacer mes buis par des houx.

  246. Jean-Pierre me fait penser à mon grand-père. J’espère juste que son truc n’implique pas de rester debout dans le jardin jusqu’à minuit ! J’ai le dos fragile.

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