Alors que les prix des carburants traditionnels repartent à la hausse en ce début d’année 2025, le superéthanol E85 s’impose comme une solution économique majeure, affiché à un prix moyen de 0,78 € le litre. Cette alternative permet de réaliser des économies substantielles, pouvant dépasser 700 € par an pour un automobiliste moyen. Cependant, l’arrivée de l’hiver et de sa composition spécifique, abaissant la teneur en éthanol à 60 %, soulève une question récurrente : comment gérer les démarrages par temps froid sans difficulté ? Une astuce simple permet de contourner cet inconvénient et de profiter pleinement de ses avantages.
E85 en hiver : la solution pour un démarrage optimal et des économies maximales
L’attrait pour le superéthanol E85 ne cesse de croître, soutenu par un réseau de distribution qui couvre désormais plus de 40 % des stations-service en France. Cette accessibilité renforcée, couplée à un avantage financier indéniable, encourage de plus en plus de conducteurs à opérer la transition via l’installation d’un boîtier de conversion homologué.
Le témoignage d’Antoine Dubois, technicien de maintenance de 38 ans résidant à Lille, illustre bien cette tendance. « Chaque passage à la pompe devenait une source d’anxiété, il fallait que ça change », explique-t-il. Après avoir fait équiper son véhicule, il a rapidement constaté les bénéfices. Malgré une surconsommation d’environ 25 %, l’économie réalisée sur un an couvre largement le coût de l’installation, estimé en moyenne à 1 000 €.
Comprendre la variation saisonnière du E85
La principale interrogation des utilisateurs concerne la performance du E85 durant les mois les plus froids. Pour y répondre, les distributeurs adaptent sa composition. Dès le mois d’octobre, la proportion d’éthanol est réduite à environ 60 % (E60), contre 85 % en été. Ce réajustement vise à augmenter la volatilité du carburant, facilitant ainsi son inflammation et le démarrage du moteur lorsque les températures chutent.
L’astuce simple pour éviter les difficultés au démarrage
Malgré l’ajustement de sa composition, certains véhicules peuvent encore éprouver des difficultés à démarrer par grand froid. L’astuce, connue des habitués, consiste à ajouter une petite proportion de sans-plomb 95-E10 dans le réservoir. Cet ajout, de l’ordre de 5 à 10 litres pour un plein, suffit à faciliter l’allumage initial sans altérer les performances globales du moteur. Cette pratique simple permet de profiter sereinement des avantages économiques du E85 toute l’année.
Les impacts multiples du choix E85
Opter pour le superéthanol ne se résume pas à un simple calcul financier. C’est un choix aux bénéfices variés :
- Économique : Avec un écart de près de 1 € par litre avec le SP95-E10, les économies sont immédiates.
- Environnemental : Il permet de réduire les émissions nettes de gaz à effet de serre d’au moins 40 %.
- Pratique : Le réseau de stations continue de s’étendre, notamment dans les grandes et moyennes surfaces.
Carburant | Prix moyen au litre (Janvier 2025) | Coût estimé pour 13 000 km | Économie annuelle |
---|---|---|---|
SP95-E10 | 1,77 € | ~1 610 € | – |
Superéthanol E85 | 0,78 € | ~881 € (avec surconsommation de 25%) | ~729 € |
Au-delà du carburant, un enjeu de transition énergétique
L’adoption du superéthanol s’inscrit dans une démarche plus large de diversification des sources d’énergie pour la mobilité. En tant que biocarburant produit localement à partir de matières végétales, il contribue à réduire la dépendance aux énergies fossiles importées. Cette solution représente une étape de transition accessible pour le parc automobile essence existant, en parallèle du développement d’autres technologies. Son évolution future pourrait voir l’émergence de carburants synthétiques compatibles, renforçant encore son rôle dans le mix énergétique de demain.
Ah, l’E85… J’économise un peu, c’est vrai, mais l’odeur à froid me rappelle un peu trop la distillerie de mon grand-père. Ça me fait sourire, mais bon…
700€ d’économies, c’est tentant, mais j’ai peur de la compatibilité avec ma vieille voiture. Un risque à prendre ?
L’E85, c’est bien tant qu’il y en a à la pompe. Dans ma campagne, c’est parfois la croix et la bannière pour en trouver…
Octobre qui arrive déjà… L’E85 à 60%, c’est bien pour démarrer, mais la conso remonte, forcément. Moins d’économies du coup. C’est un peu le serpent qui se mord la queue.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact environnemental. On parle d’économies, mais qu’en est-il des terres agricoles utilisées pour produire cet éthanol ? Une vraie question à se poser.
0,78€, c’est presque trop beau pour être vrai ! J’espère juste que les stations ne vont pas en profiter pour remonter leurs prix sournoisement.
Moi, l’E85, ça me fait penser aux initiatives locales. Est-ce qu’on soutient vraiment nos agriculteurs avec ça, ou est-ce que c’est juste un effet d’aubaine pour rouler moins cher ?
Moi, je me demande si cette histoire d’E85 ne crée pas une nouvelle dépendance, juste à un autre carburant. On remplace une addiction par une autre.
E85 en hiver, c’est bien beau, mais bonjour la galère pour trouver une pompe ouverte le dimanche!
L’E85, c’est un peu comme un ami qu’on aime bien, mais qui change d’humeur en hiver. Espérons que cette version « allégée » restera quand même sympa niveau porte-monnaie.
L’E85, c’est un pari. J’espère juste que ce carburant « low cost » ne va pas devenir le nouveau diesel qu’on diabolise dans dix ans.
L’E85, c’est l’occasion de se sentir un peu moins coupable quand on prend la voiture. Un petit geste, quoi.
Franchement, l’E85, ça me fait penser aux soldes : on est content sur le coup, mais on achète plus, au final.
Bof, je préfère encore prendre le bus, au moins je suis sûr de pas tomber en panne.
J’ai l’impression que l’E85, c’est une fausse bonne idée. On se concentre sur le prix à la pompe, mais quid de la longévité du moteur ?
L’E85 ? J’y suis passé, mais le surcoût à l’achat d’un véhicule compatible m’a refroidi. L’économie à la pompe ne compense pas, pour moi.
L’E85, c’est tentant, mais j’ai peur de l’odeur. Ça sent fort, non ?
L’E85, c’est le genre de truc qui me fait me sentir « malin » en faisant le plein. Mais est-ce que je suis vraiment plus malin que les ingénieurs qui ont conçu ma voiture pour rouler au SP95 ? J’en doute.
L’E85, c’est marrant comme ça fait jaser. Moi, je me demande surtout qui profite vraiment de cette économie affichée. Les agriculteurs ? Les pétroliers déguisés ? Pas sûr que ça arrive jusqu’à moi.
L’E85, c’est toujours présenté comme une solution miracle, mais personne ne parle jamais de l’impact environnemental réel de sa production. Ça me chiffonne.
E85 en hiver, c’est un peu comme un régime avant les fêtes : on se prive, mais on sait que le plaisir ne durera pas. J’espère juste que ma voiture ne va pas tousser…
Mouais, l’E85, ça me rappelle la promesse du GPL il y a 20 ans. On verra si ça dure plus longtemps avant que le gouvernement change d’avis et nous taxe à mort.
L’E85, c’est pas juste une affaire de prix, c’est aussi un pari sur l’avenir de nos campagnes. Si ça peut aider les agriculteurs locaux, pourquoi pas ?
E85 en hiver… l’éternel recommencement ! Chaque année, on nous ressort le même refrain sur les démarrages difficiles. On dirait que personne n’apprend.
C’est marrant, l’E85. On dirait un club secret : ceux qui savent (ou croient savoir) et les autres. Moi, je suis juste curieux de voir si ça va vraiment décoller cette fois.
L’E85, c’est l’espoir de moins culpabiliser à chaque plein. Mais bon, je suis pas mécano, j’espère juste que ça ne va pas me coûter plus cher en réparations.
Franchement, 78 centimes, ça pique moins les yeux que le SP98. Je vais peut-être me laisser tenter et faire installer un kit. Le prix de l’installation est vite amorti, non ?
L’E85, je me demande si c’est pas juste une mode. On verra dans 5 ans si on en parle encore.
J’ai toujours pensé que l’E85, c’était un peu comme les soldes : on a l’impression de faire une affaire, mais on finit toujours par dépenser plus que prévu.
Moi, ce qui me freine, c’est l’odeur. J’ai fait un plein une fois, et j’avais l’impression de rouler dans une distillerie. Ça m’a dissuadé.
60% en hiver, c’est bien beau, mais quid de l’impact sur la consommation ? J’ai l’impression qu’on gagne d’un côté pour perdre de l’autre.
L’E85, ça me fait penser aux régimes : séduisant sur le papier, mais la réalité est souvent moins rose.
Je me demande surtout si cette histoire d’E85 n’est pas une manière déguisée de nous faire consommer plus d’alcool produit localement.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’impact sur les moteurs anciens. J’ai peur d’abîmer ma vieille bagnole.
J’avoue que le côté « solution économique » m’attire. Mais je me demande si les stations qui en proposent sont bien réparties sur le territoire… Je n’ai pas envie de faire des détours de 50 bornes pour faire le plein.
Le prix est tentant, c’est clair. Mais l’éthanol, c’est pas un peu nocif pour l’environnement, au final? J’ai toujours entendu dire que sa production était gourmande en ressources.
L’E85, c’est comme les promesses en politique. Difficile de savoir si on peut vraiment y croire, et surtout, sur le long terme.
Tiens, l’E85 qui repasse sur le devant de la scène. On dirait que le gouvernement cherche une solution facile pour verdir l’automobile.
L’E85, ça me rappelle les biocarburants de première génération. J’espère qu’on a tiré des leçons sur les risques de compétition avec les cultures alimentaires.
L’E85, c’est bien tant que le prix du pétrole est haut. Mais si le baril redescend, on en reparlera plus.
Moi, l’E85, ça me fait penser à mon oncle. Il a toujours des solutions « miracles » qui finissent par coûter plus cher. J’attends de voir !
C’est marrant, j’ai l’impression qu’on redécouvre l’eau tiède. Mon voisin roule à l’E85 depuis des années, et il n’a jamais eu de soucis.
Je suis curieux de voir si la promesse des 700€ d’économies tient la route. Faut voir la surconsommation et le coût de l’adaptation du véhicule.
Je me demande si cette baisse de la proportion d’éthanol en hiver ne va pas changer la donne pour ceux qui ont fait reprogrammer leur voiture.
L’E85, c’est surtout une opportunité pour ceux qui font beaucoup de kilomètres, non ?
J’ai peur que les économies affichées ne prennent pas en compte l’entretien supplémentaire.
L’E85 me fait penser aux légumes de mon jardin. Ça a l’air économique et écolo, mais faut du temps et de l’huile de coude !
Rouler à l’E85, c’est un peu comme miser sur un cheval : l’excitation de la course est là, mais on ne sait jamais vraiment si on va gagner.
L’E85, ça me rappelle les mobylettes de mon adolescence. On bidouillait pour que ça marche, mais c’était rarement fiable à 100%. Espérons que cette fois, ce sera différent.
Moi, l’E85, ça me fait penser à la campagne. C’est une solution locale, simple, presque rustique, face à un problème global. Ça a un côté rassurant.
E85, c’est un peu le pari de la débrouille à la française. J’espère juste que ça ne deviendra pas un casse-tête au quotidien.
L’E85 me fait penser aux vieux diesels qui fumaient noir.
L’E85, c’est la solution qu’on nous vend comme miraculeuse, mais j’ai toujours un doute. Un peu comme ces régimes à la mode : efficace au début, et après ?
L’E85 ? Un pansement sur une jambe de bois. On continue à dépendre de la voiture individuelle, c’est ça le problème.
Moi, l’E85, ça me fait penser aux initiatives de quartier. On se dit que ça peut aider, mais on a toujours un peu peur que ça ne dure pas.
L’E85, c’est un peu comme passer du vin rouge au rosé pour l’été… moins fort, mais est-ce que ça désaltère vraiment de la même manière ? Je me demande si le plaisir de conduire reste le même.
L’E85, c’est un peu comme acheter en solde : on se sent malin sur le coup, mais est-ce qu’on avait vraiment besoin de ça ?
L’E85, c’est un peu comme ces recettes de grand-mère qu’on redécouvre. Ça a du charme, mais est-ce vraiment adapté à nos voitures high-tech ?
L’E85 à 0,78€, ça attire forcément. Mais est-ce que la consommation plus élevée ne va pas annuler l’avantage ? J’attends de voir des tests indépendants sur le long terme.
Franchement, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les moteurs à long terme. On parle d’économies, mais la fiabilité, elle est comment ?
L’E85, c’est peut-être la bouffée d’air frais pour mon porte-monnaie. J’en ai marre de voir le prix à la pompe grimper !
C’est marrant, cette histoire d’E85 me rappelle les premiers ordinateurs : prometteurs, mais on attend toujours la version stable.
L’E85, c’est un peu comme un ami fauché : sympa, mais il faut anticiper les imprévus. Je me demande si les économies compensent les soucis potentiels.
L’E85, ça me rappelle les débuts du GPL. On verra si ça devient aussi commun ou si ça restera une niche.
Personnellement, je trouve ça bien que l’E85 se démocratise. Moins dépenser, c’est toujours bon à prendre.
Le coup des 60% en hiver, ça me rappelle un peu les histoires de pneus neige obligatoires.
L’E85, c’est la promesse d’un soulagement financier, mais je me demande si cette « astuce » hivernale ne va pas juste compliquer la vie des utilisateurs occasionnels.
J’ai toujours eu peur d’abîmer le moteur. Mais 700€ d’économies, ça donne envie de creuser…
Moi, l’E85, ça me fait penser aux soldes : une bonne affaire, mais il faut chercher et faire attention.
L’E85, c’est la promesse du beurre et l’argent du beurre… à voir si le crémier ne prend pas sa part au passage !
Moi, je roule à vélo. L’E85, ça me fait penser à un pansement sur une jambe de bois, tant qu’on ne s’attaque pas au vrai problème.
L’E85, c’est pas le carburant de mes rêves, mais si ça peut calmer la douleur à la pompe, pourquoi pas essayer ? Faut juste pas que ça devienne une corvée.
L’E85, ça me fait penser aux légumes de saison : on s’adapte pour profiter du meilleur au bon moment. Si 60% en hiver assure un démarrage facile, pourquoi pas ?
L’E85, c’est comme un régime : séduisant sur le papier, mais il faut vraiment s’y tenir pour voir les résultats sur la balance. Et ça, c’est pas toujours facile…
L’E85, c’est un peu le bon pote qui te propose un plan moins cher… mais tu te demandes toujours si y’a pas une embrouille cachée.
Franchement, l’E85, c’est un peu comme le tofu : ça prend le goût qu’on lui donne. Si ça fait baisser ma facture, je suis preneur.
J’avoue que le côté « on bidouille la composition pour que ça marche » me refroidit un peu. J’ai pas envie de me prendre la tête avec ça.
L’E85, c’est un peu le copain fauché qui t’invite au resto : sympa sur le coup, mais tu crains toujours que l’addition soit salée plus tard en réparations.
Bof, l’hiver c’est déjà assez déprimant, j’ai pas envie que ma voiture me fasse des misères en plus.
C’est cool de payer moins cher, mais j’espère que cette adaptation hivernale ne va pas rendre ma voiture plus gourmande.
Je me demande surtout quel impact cette modification aura sur les émissions polluantes. Le prix bas, c’est bien, mais pas au détriment de l’environnement.
0,78€, ça reste imbattable ! J’espère juste que la disponibilité des pompes E85 va suivre, parce que faire des kilomètres pour économiser quelques euros, c’est un peu absurde.
Moi, ce qui me tracasse, c’est de savoir si cette baisse d’éthanol va impacter la puissance du moteur. J’aime bien avoir du répondant quand je double !
Moi, j’ai surtout peur que cette histoire d’E60 me fasse perdre l’habitude de démarrer du premier coup. Le matin, c’est déjà une lutte…
C’est marrant, on dirait qu’on accepte de plus en plus que nos voitures soient « vivantes » et qu’il faut les cajoler selon la saison. Ça me fait penser à un animal de compagnie.
En 2025, on en est encore à se poser des questions sur l’E85 ? J’ai l’impression qu’on réinvente la roue à chaque hiver.
E85 en 2025… J’espère que les constructeurs auront enfin intégré ça nativement, sans qu’on ait l’impression d’être des pionniers bricoleurs.
Moi, ce qui me freine, c’est l’odeur. On dirait qu’on fait le plein de gnôle !
Je suis un peu sceptique. On nous promet des économies, mais combien de temps ça va durer avant que les taxes ne rattrapent tout ?
Moi, l’E85, c’est surtout un casse-tête. Je me demande toujours si je vais trouver la bonne station et si ça vaut vraiment le coup avec tous ces changements.
L’E85, c’est un peu comme ces régimes à la mode : séduisant au début, mais est-ce que ça tient sur la durée ? J’attends de voir si le jeu en vaut vraiment la chandelle, hiver après hiver.
L’E85, c’est bien sur le papier, mais j’ai toujours l’impression de devoir anticiper et planifier mes trajets. La spontanéité en prend un coup.
Le prix est attractif, c’est sûr. Mais est-ce que rouler E85 c’est pas un peu se compliquer la vie pour finalement pas grand-chose ?
Franchement, 78 centimes, ça me fait presque oublier le côté « bricolage » de la chose. Presque.
Finalement, cette histoire d’E85, c’est un peu comme les soldes. On est contents sur le moment, mais après on se demande si on en avait vraiment besoin.
L’E85 à 0,78€, c’est tentant, mais mon garagiste me dit que ça use plus vite les joints. Faut voir si l’économie compense vraiment.
L’E85, c’est un peu comme adopter un chat. On se dit que c’est mignon et économique, mais il faut être prêt aux contraintes quotidiennes.
L’E85 en hiver, c’est bien beau, mais j’ai peur que ma voiture fasse la tête et que je me retrouve à pousser dans le froid.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’impact environnemental réel. On parle d’économies, mais la planète, elle en pense quoi ?
L’E85 moins cher, oui, mais je me demande si l’investissement initial pour adapter ma voiture vaut vraiment le coup.
L’E85 en hiver, ça me rappelle les crèmes solaires dégriffées en octobre : bonne affaire, mais l’été est fini.
L’E85, c’est peut-être le futur, mais j’ai l’impression d’être un cobaye. On verra bien si ça tient la route.
L’E85 en hiver, ça me rappelle les pulls soldés qu’on achète en mars et qu’on oublie dans le placard. L’intention est bonne, mais l’utilité…
E85 en hiver… J’ai surtout l’impression que ça complique une solution qui devrait être simple. Un peu comme devoir jongler avec les horaires de bus en fait.
Baisse à 60% en octobre ? Ça sent la prise de tête pour s’y retrouver.
J’ai l’impression qu’on nous vend du rêve avec ce E85, mais je préfère la fiabilité et la tranquillité d’esprit d’un carburant classique.
Moi, je me demande si cette baisse de la teneur en éthanol n’est pas juste un aveu que le E85 n’est pas encore au point pour toutes les saisons. Ça me refroidit un peu.
C’est vrai que 700€ d’économies, ça fait réfléchir. Je me demande si ma vieille voiture supporterait bien ce changement. Peut-être que je vais me renseigner.
Octobre… encore un truc de plus à penser en même temps que les pneus neige. On est jamais tranquille !
Le E85, c’est comme la bière artisanale : intéressant, mais faut aimer et s’y connaitre un peu pour pas être déçu.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact environnemental réel de cette culture d’éthanol. On gagne d’un côté, mais on perd de l’autre ?
Le prix est attractif, c’est sûr. Mais est-ce que l’économie compense vraiment la perte de puissance du moteur ? C’est ça, la vraie question.
Moi, j’espère juste que les stations-service ne vont pas en profiter pour augmenter les prix « parce que c’est l’hiver ».
Franchement, 78 centimes, ça me rappelle le bon vieux temps. Si ça peut éviter de me ruiner à la pompe, je suis prêt à tester.
Honnêtement, l’idée d’économiser est séduisante. Mais je me demande si ma voiture, je l’aime trop pour lui faire subir ça.
Le E85, c’est bien joli, mais l’odeur à la pompe… j’ai l’impression de faire le plein avec du dissolvant pour vernis à ongles.
Je suis surtout curieux de savoir si cette baisse à 60% va vraiment résoudre tous les problèmes de démarrage. J’ai un ami qui a galéré l’hiver dernier, même avec le E85 hivernal.
Moi, j’avoue que le E85, ça me fait penser à un pari. Est-ce que je vais gagner gros, ou est-ce que je vais finir par regretter ?
J’ai surtout peur que ma voiture, avec l’âge, ne supporte pas ce carburant « nouveau ».
L’E85, c’est peut-être la solution pour certains, mais j’ai pas envie de me prendre la tête avec ça. Je préfère payer un peu plus cher et rouler tranquille.
Moi, ce qui me freine, c’est la disponibilité. Trouver une pompe E85 quand on part en vacances, c’est souvent la galère.
Je me demande surtout si la filière E85 est vraiment durable à long terme. On parle d’économie, mais qu’en est-il de l’impact environnemental global ?
Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’expression « E85 hiver 2025 ». On dirait qu’on parle d’un nouveau cru, comme un vin ! Un peu marketing tout ça, non ?
Moi, ce qui me rassure, c’est qu’ils pensent déjà à l’hiver. Ça montre qu’ils anticipent les problèmes, c’est plutôt bon signe.
Moi, je me demande si la différence de prix à la pompe compense vraiment l’augmentation de la consommation avec l’E85. Il faut faire le calcul précis, non ?
700€ d’économies, ça fait rêver ! Mais perso, je roule peu, donc l’investissement dans un boîtier n’est pas rentable pour moi.
L’E85, c’est pas pour tous les profils d’automobilistes, c’est clair.
L’E85, c’est bien joli, mais j’ai toujours l’impression qu’on déshabille Pierre pour habiller Paul. On règle un problème, mais on en crée un autre, non ?
C’est rassurant de voir que l’E85 est de plus en plus répandu. J’espère que ça encouragera les constructeurs à proposer des véhicules adaptés d’origine, sans avoir à bricoler avec des boîtiers.
Pour ma part, c’est surtout le bruit qui me dérange. J’ai entendu dire que certains moteurs font un bruit bizarre avec l’E85. Ça, ça me dissuade direct.
C’est chouette qu’on parle de l’E85, mais j’ai toujours peur que l’agriculture intensive derrière ne fasse plus de mal que de bien. On remplace une dépendance par une autre ?
Franchement, l’E85, ça me fait penser à une mode. J’ai peur que dans quelques années, on en parle plus et qu’on se retrouve coincés.
Moi, l’E85, ça me fait penser à mes parents qui mettaient du fuel rouge dans leur vieille bagnole… On contourne la règle, quoi. Est-ce que c’est vraiment bien ?
Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’odeur à la station. Ça sent fort, l’E85, non ? J’ai l’impression de me parfumer à l’alcool à brûler en faisant le plein.
J’ai surtout peur que l’E85 encrasse le moteur à long terme. Personne n’en parle vraiment, mais c’est ma hantise.
Perso, je me demande si nos stations-service vont suivre le rythme et ne pas tomber en panne sèche d’E85 cet hiver. L’offre suit-elle la demande ?
Moi, ce qui me freine, c’est la disponibilité des pompes. J’ai pas envie de galérer à chercher une station E85 en rase campagne.
Moi, je me demande si l’économie à la pompe compense vraiment la surconsommation. Faut voir à l’usage.
Finalement, ce qui me gêne le plus avec l’E85, c’est de potentiellement dépendre d’une filière agricole spécifique. Diversifier les sources d’énergie, oui, mais pas pour créer une nouvelle monoculture.
Moi, ce qui me rassure, c’est cette adaptation hivernale. Ça montre qu’ils prennent en compte les contraintes et cherchent des solutions durables.
Moi, je suis surtout content de voir un carburant moins cher. Le budget voiture me plombe, si ça peut aider…
J’ai converti ma voiture il y a deux ans. Le plus gros avantage, c’est que je n’ai plus l’impression de me faire racketter à chaque plein. C’est déjà ça.
L’E85, c’est bien joli sur le papier, mais j’ai toujours l’impression qu’on nous vend un truc miracle sans vraiment nous dire s’il y a un loup. Je préfère rester prudent.
Je me demande si l’impact écologique global est vraiment positif, en tenant compte de la production et du transport. Ça reste flou pour moi.
C’est marrant, on dirait qu’on nous prend pour des pigeons avec ces histoires de pourcentage. On passe de 85 à 60, c’est quand même une grosse différence, non ?
Je suis surtout curieux de savoir si la baisse d’éthanol va vraiment se sentir sur la performance de ma voiture. J’espère que ça ne va pas trop la brider…
C’est bien beau de parler d’économies, mais je flippe un peu pour ma vieille voiture. J’espère que ce carburant n’est pas trop agressif pour les joints…
700€ par an, ça me paierait presque mes vacances ! Je vais me renseigner sur les modèles compatibles.
L’E85 moins cher, c’est tentant… mais est-ce que ma voiture va aimer ? J’ai peur de flinguer le moteur.
Bof, encore un truc qui change. J’ai pas envie de devoir me prendre la tête avec la composition du carburant selon la saison.
C’est quand même un peu le bazar ces histoires d’éthanol.
Franchement, ce qui m’inquiète, c’est la disponibilité. Est-ce que je vais trouver de l’E85 partout où je vais partir en vacances ? C’est ça, la vraie question.
Moi, ce qui me dérange, c’est l’odeur. J’ai entendu dire que ça sentait l’alcool fort, c’est pas très engageant…
Moi, je trouve ça bien qu’on essaie de trouver des alternatives. Même si c’est pas parfait, ça bouge un peu les choses.
L’E85, ça me fait penser à la margarine : moins chère, mais est-ce que c’est vraiment bon à long terme ? J’ai un doute.
Moi, ce qui me freine, c’est l’idée de dépendre d’une seule source d’énergie, même si elle est moins chère. Diversifier, c’est toujours plus sûr, non ?
Moi, l’E85, ça me fait penser aux légumes de mon jardin. C’est bien quand c’est de saison, mais hors saison, on triche un peu avec des astuces. Est-ce que ça vaut vraiment le coup ? J’hésite.
L’E85, c’est comme les soldes : alléchant sur le coup, mais il faut faire attention à ne pas acheter des trucs qu’on regrette après.
L’E85 à 60% en hiver, ça sent la bidouille pour que ça passe… J’espère que ça ne va pas créer plus de problèmes que ça n’en résout.
Le vrai plus de l’E85, c’est pas tant l’argent, mais la conscience tranquille de moins polluer. Ça me motive plus que les euros.
J’ai l’impression que l’E85, c’est un peu comme la mode des panneaux solaires : intéressant au début, mais faut voir si l’investissement de départ est vraiment rentabilisé sur la durée.
Moi, l’E85, ça me rappelle mon grand-père qui mettait du sucre dans son réservoir pour « booster » sa vieille bagnole. Est-ce que c’est vraiment plus sérieux que ça ?
C’est marrant, on dirait qu’on nous sert toujours la même rengaine sur les économies. Moi, j’aimerais surtout savoir si mon garagiste sera content si je roule à l’E85.
Mouais, 700€ d’économies, ça fait rêver. Mais les stations E85, faut déjà en trouver une près de chez soi…
Franchement, l’E85, ça me rappelle les promesses qu’on nous fait avant les élections. On verra si ça tient la route sur le long terme.
Finalement, rouler à l’E85, c’est un peu comme passer au bio : une bonne intention, mais est-ce que mon portefeuille suivra vraiment ?
L’E85, c’est peut-être la solution pour ne plus flipper à chaque passage à la pompe. Pourvu que ma voiture accepte le régime !
L’E85, je trouve ça bien tant que ça reste simple. J’ai pas envie de me prendre la tête avec des histoires de pourcentage d’éthanol.
Bof, le prix est intéressant, mais je préfère un moteur qui dure.
L’E85, c’est un peu comme un vêtement soldé : tentant, mais il faut vérifier la qualité avant de craquer.
L’E85 en hiver, c’est comme les pneus neige : une contrainte saisonnière de plus. J’espère que ça ne va pas devenir une source de stress supplémentaire.
E85, ça me fait penser aux légumes de saison. Faut s’adapter, c’est tout. Tant que le prix reste bas, je suis prêt à faire l’effort.
L’E85, j’ai peur que ce soit la nouvelle lubie qu’on oubliera dans 5 ans.
L’E85 ? J’attends surtout de voir l’impact environnemental réel, au-delà du prix à la pompe.
L’E85, ça me fait penser à la lessive concentrée : faut voir si c’est aussi efficace que le « normal ».
Moi, ce qui me tracasse, c’est l’approvisionnement. On est sûr qu’il y en aura assez pour tout le monde, si tout le monde s’y met ?
Moi, l’E85, ça me rappelle quand on passait du sans plomb au super dans les années 90. Un peu la même angoisse du « est-ce que ça va marcher ? »
Le E85, ça me rappelle les voitures de mon grand-père qu’il fallait pousser pour démarrer en hiver. J’espère que ça ne sera pas pareil !
C’est marrant cette nostalgie du démarrage difficile que ça évoque chez certains. Moi, ça me fait penser aux vacances d’été, quand on sent l’odeur des champs de maïs.
Le E85 ? Moi, c’est surtout le bruit du moteur qui me préoccupe. Est-ce que ça va changer le son de ma voiture, ce truc ? J’aime bien le ronronnement actuel.
700€ d’économies, c’est tentant, mais est-ce que ma voiture est compatible ? Faut pas que ça me coûte plus cher en réparations après…
L’E85, c’est bien joli, mais j’ai surtout l’impression qu’on nous pousse à consommer un truc dont personne ne maîtrise vraiment les conséquences à long terme. Un peu comme le diesel à l’époque.
L’E85 en hiver, ça sent surtout la fin des beaux jours et le retour aux mornes trajets quotidiens… Vivement le printemps et le vélo!
Octobre qui arrive vite… J’espère que la transition se fera en douceur pour nos moteurs. Pas envie de jouer les mécanos par temps froid.
60% en hiver, c’est déjà ça. Ça me rassure, j’avais peur de devoir remettre du SP95 à chaque plein.
Je suis un peu naïf, mais j’espère que le E85 n’est pas juste un effet de mode et qu’il va durer.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est cette histoire de « solution économique ». C’est pas un peu court comme argument ? On parle environnement, bilan carbone, ou on fait juste le plein moins cher ?
Le E85, c’est surtout une question de conscience, non ? Rouler moins cher, c’est bien, mais est-ce que je suis vraiment tranquille avec l’idée de potentiellement impacter la production agricole ? Je préfère réfléchir avant de foncer.
J’ai toujours eu l’impression que le E85 était une solution de repli. On ne règle pas le vrai problème, on le contourne. Un peu dommage.
Franchement, l’histoire des 60% en hiver, ça me fait penser aux produits allégés. On retire un truc, on en rajoute un autre. J’espère juste qu’on ne nous vend pas une « solution » moins efficace.
Moi, ce qui me freine, c’est l’odeur à la pompe. Ça sent fort et je trouve ça désagréable. Un détail, peut-être, mais ça compte.
J’ai l’impression qu’on parle toujours du prix, jamais du plaisir de conduire. Un moteur qui ronronne, ça n’a pas de prix.
Le prix est attractif, c’est certain. Mais quid de l’entretien à long terme ? J’ai lu des témoignages contradictoires sur la corrosion et l’usure prématurée des pièces.
J’ai surtout l’impression que l’E85, c’est comme un bon plan qu’on se refile entre amis. Tant qu’il y a du stock, ça marche. Mais si tout le monde s’y met…
J’ai converti ma vieille voiture et franchement, quel bonheur de ne plus stresser au moment de faire le plein. Le reste, je m’en fiche un peu.
Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on nous parle toujours de l’E85 comme si on était tous égaux face à ça. Ma voiture est trop vieille, je ne peux pas faire la conversion.
L’E85, c’est bien si on habite près d’une station qui en propose. Moi, je dois faire 20 bornes pour en trouver, l’économie est vite gâchée.
Je me demande si cette histoire d’E85 hivernal ne va pas rendre le calcul des économies plus compliqué. Il faudra suivre les prix et la consommation de près.
Moi, l’E85, ça me fait penser aux panneaux solaires il y a 15 ans : une promesse verte subventionnée. J’attends de voir si ça dure.
Je me demande si cette baisse d’éthanol en hiver n’est pas un aveu implicite que ce carburant est un peu capricieux.
Je me demande si l’État va continuer à soutenir l’E85 si jamais le pétrole redevient vraiment bon marché. C’est ça la vraie question.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est cette dépendance à l’agriculture. On remplace le pétrole par des champs, c’est un peu un pansement sur une jambe de bois, non ?
L’E85 à 0,78€, ça sonne bien, mais j’espère qu’on ne va pas le payer indirectement via d’autres taxes ou impôts. On connait la chanson.
L’E85, c’est peut-être une aubaine, mais je crains que ce soit une solution à court terme, un peu comme un feu de paille.
700€ d’économies, ça me paierait presque mes vacances ! Est-ce que ça vaut le coup de faire installer le boîtier sur ma voiture actuelle ? 🤔
L’hiver, ça veut dire moins d’éthanol, donc plus de sans plomb… L’arnaque est subtile, mais elle est là. On nous vend du rêve en été, et on revient aux carburants classiques quand il fait froid.
L’E85, ça me rappelle les premiers biocarburants. On verra si cette fois, l’impact environnemental est vraiment positif. J’ai un doute.
Encore une « solution miracle » qu’on nous vend. J’ai peur que ça abîme mon moteur à long terme.
Franchement, j’ai l’impression qu’on est juste en train de déplacer le problème. C’est pas une solution miracle, juste un compromis.
Moi, c’est surtout le côté pratique qui me parle. Est-ce qu’il y a assez de pompes E85 sur mon trajet quotidien ? C’est ça qui ferait vraiment pencher la balance.
J’avoue, je suis un peu perdu avec toutes ces histoires de pourcentage. Ça devient compliqué de faire le plein sans se prendre la tête.
L’E85 me laisse un goût amer, celui de l’opportunisme. J’ai l’impression de miser sur un coup de poker, sans vraiment connaître les règles du jeu.
Je me demande si le jeu en vaut vraiment la chandelle. L’E85, c’est pas juste une question de prix à la pompe, non ?
L’E85 ? Bof. Je préfère payer un peu plus cher et avoir l’esprit tranquille. Moins de tracas, c’est ça le vrai luxe.
J’ai l’impression que ça demande trop d’attention et de concessions.
J’ai surtout peur que la filière agricole ne suive pas. On va bouffer ou rouler, faudra choisir un jour.
700€ par an d’économies, ça fait une belle somme. Mais honnêtement, je me vois mal devoir calculer le pourcentage d’éthanol à chaque plein… C’est déjà assez compliqué comme ça.
Moi, j’aimerais surtout savoir si ma voiture, elle, va aimer l’E85. J’ai une vieille bagnole, je ne voudrais pas la flinguer.
L’E85 moins cher, oui, mais est-ce qu’on prend en compte la dégradation potentielle du moteur sur le long terme dans le calcul des économies ?
Moi, l’E85, ça me rappelle mon grand-père qui mettait de l’huile de friture dans sa vieille 4L. On verra bien si c’est plus durable que ça !
L’E85, c’est séduisant sur le papier, c’est vrai. Mais je me demande si on ne déplace pas juste le problème.
Le prix est attractif, mais l’impact environnemental global, on en parle ?
J’ai peur qu’on se focalise sur le porte-monnaie sans penser au reste.
Franchement, l’E85, ça me fait penser aux panneaux solaires il y a 15 ans. Tout le monde criait au miracle… J’espère qu’on ne sera pas déçus.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’odeur à la pompe. J’ai l’impression de sentir de la vodka bon marché. Ça me coupe l’envie direct.
L’E85, c’est comme un nouveau régime à la mode. Ça brille au début, mais tiendra-t-on sur la durée ?
L’E85 ? Ça me rappelle les promesses qu’on nous fait pour les élections. On verra si ça tient ses engagements, une fois en place.
J’avoue que cette histoire d’E85 en hiver, ça me fait penser aux pneus neige qu’il faut changer. Une contrainte de plus, quoi.
L’E85, c’est surtout une aubaine pour ceux qui roulent beaucoup, non ? Pour les petits trajets, l’amortissement est moins évident, non ?
L’E85, c’est bien beau, mais est-ce que toutes les stations-service en proposeront ? J’habite à la campagne, j’ai peur de ne pas en trouver.
Avec l’E85, j’ai surtout peur que ça devienne un argument pour continuer à produire des grosses cylindrées polluantes, en se donnant bonne conscience.
J’ai toujours cru que l’éthanol, c’était une solution à court terme, un peu comme un pansement sur une jambe de bois. Est-ce qu’on ne ferait pas mieux de pousser l’électrique plus fort ?
Moi, j’ai surtout l’impression qu’on nous vend ça comme LA solution, alors que c’est juste un palliatif. Ça me rappelle les biocarburants de première génération, une catastrophe annoncée pour l’agriculture.
Tiens, l’E85 en hiver, ça devient presque un rituel saisonnier. On s’adapte, comme avec les jours qui raccourcissent.
78 centimes, c’est tentant c’est sûr. Mais le bioéthanol, ça sent pas un peu le greenwashing ? J’ai du mal à y croire à 100%.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est qu’on parle toujours du prix à la pompe, mais jamais de la consommation. Elle augmente, non ?
Moi, ce que je trouve bizarre, c’est qu’on parle d’économie, mais personne ne parle de l’odeur à la pompe… c’est spécial, non ?
Franchement, au-delà du prix, j’ai surtout peur pour mon moteur. Est-ce que c’est vraiment sans risque sur le long terme ?
L’économie est réelle, certes, mais quid de la fiabilité de ma voiture ? Ça, personne n’en parle.
Personnellement, l’E85 me rappelle les efforts que faisait mon grand-père pour bricoler sa voiture. Un peu de débrouille pour moins dépenser, quoi.
L’E85, c’est un peu comme acheter un vêtement soldé : content sur le moment, mais on se demande si la qualité suivra.
L’E85, c’est le bon plan qui fait jaser le voisin. J’aime l’idée de dépenser moins, même si je ne suis pas un expert.
L’E85, c’est sympa pour le porte-monnaie, mais je me demande si c’est pas juste repousser le problème de la transition énergétique. On est vraiment sûr que c’est une solution d’avenir ?
L’E85, c’est pas mal si on habite à côté d’une station compatible. Sinon, le gain s’évapore vite en détours.
L’E85, c’est surtout un casse-tête logistique pour moi. Trouver une station sur la route des vacances, c’est mission impossible, non ?
L’E85, c’est marrant comme on en reparle à chaque flambée des prix. Un peu comme un vieil ami qu’on appelle quand on est fauché.
L’E85 ? Ça me fait penser aux courses aux promos au supermarché. On économise, mais on achète des trucs qu’on n’aurait jamais pris sinon.
Moi, l’E85, ça me fait penser à la betterave sucrière de mon oncle. Un truc de la terre, quoi. Un peu rustique, mais authentique.
L’E85, ça me fait penser aux fins de mois difficiles. Un petit soulagement, c’est sûr, mais le stress reste présent.
E85, ça me rappelle les odeurs d’alcool des distilleries quand j’étais gamin, un peu fort, mais finalement pas désagréable. Un truc qui sent l’artisanat.
E85, ça me rappelle un peu l’odeur des frites, huile de friture recyclée. On se dit que c’est un peu moins cher, mais est-ce que c’est vraiment bon pour la santé, de la voiture ?
E85, l’hiver… c’est surtout l’angoisse du premier démarrage, surtout si la voiture dort dehors. J’ai connu ça, ça calme l’enthousiasme de l’économie.
L’E85, c’est un peu comme un pansement sur une jambe de bois. Ça soulage le budget, mais ça ne règle pas le fond du problème environnemental.
L’E85, c’est surtout une occasion de moins culpabiliser quand je prends la voiture pour un trajet court. Ça ne change pas le monde, mais ça aide.
E85, l’hiver, ça me fait surtout penser à ma vieille 206 qui toussait comme une grand-mère asthmatique. J’espère que les voitures plus récentes gèrent mieux.
E85, l’hiver, ça me rappelle surtout les embouteillages… Moins cher, d’accord, mais si tout le monde s’y met, on gagne quoi au final ? Plus de bouchons ?
E85 en hiver ? Vu les prix annoncés, je me demande si l’économie réalisée compense vraiment l’investissement initial d’un boîtier.
E85 en hiver, ça veut dire rouler moins souvent, au final. Je préfère le vélo quand il fait froid et sec, de toute façon.
E85, hiver 2025… J’espère juste que la conversion ne va pas devenir obligatoire, et que je pourrai continuer à choisir mon carburant.
0,78€ le litre en 2025 ? Ça sent l’arnaque à plein nez. On nous appâte avec un prix bas au début, et après…
Ah, l’E85 en hiver… J’ai surtout peur de devoir chercher une station compatible ouverte un dimanche après-midi. L’économie, c’est bien, la galère, moins.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la disponibilité du E60. Est-ce que toutes les stations vont le proposer, ou faudra-t-il se galérer à trouver la bonne ?
L’E60, c’est un peu comme la raclette en été : ça fait bizarre. J’espère que ma voiture va s’y faire, elle a ses habitudes.
E85 l’hiver, c’est toujours le même stress du premier démarrage. J’espère que cette fois, ça ne me laissera pas en rade un matin.
L’E85 l’hiver, c’est surtout l’odeur de frites dans le garage qui me manque ! Un petit côté réconfortant avant d’affronter le froid.
L’E85, c’est bien pour le porte-monnaie, mais la fiabilité de ma vieille voiture me fait hésiter chaque année. Vais-je encore passer l’hiver à angoisser ?
L’E85 l’hiver, ça me fait penser aux feuilles qui tombent : un changement qui arrive chaque année, qu’on le veuille ou non.
E85 en hiver, ça me rappelle surtout qu’il faut vérifier ses bougies plus souvent. Une petite précaution pour éviter les mauvaises surprises.
L’E85 en hiver, c’est un peu comme la doudoune qu’on ressort du placard : ça prouve que l’été est bien fini.
Éthanol à 60% dès octobre ? Ça veut dire que je vais moins polluer, même en roulant moins cher ? C’est une bonne nouvelle, ça !
Le E85, c’est bien joli sur le papier, mais j’ai l’impression qu’on nous parle toujours des avantages sans jamais évoquer les petits désagréments du quotidien.
Le E85 à 0,78€, c’est tentant, mais j’ai peur que cette baisse de prix compense une surconsommation. Le gain est-il vraiment net à la fin ?
Je me demande si l’E85 est vraiment une solution à long terme, vu les évolutions constantes de la législation automobile.
L’E85 à 60% en hiver, ça me rappelle surtout que je vais devoir remettre mon additif spécial démarrage. Espérons que ça suffira !
Moi, l’E85, ça me fait penser à mon grand-père qui bricolait sa mobylette. Un peu système D, mais ça roule !
0,78€, c’est presque imbattable ! J’espère juste que ma station habituelle ne sera pas en rupture cet hiver comme l’an dernier.
L’E85, c’est devenu un peu la routine. On s’habitue vite aux économies, presque trop.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les moteurs à long terme. Est-ce qu’on a vraiment le recul nécessaire pour être serein ?
L’E85, c’est surtout la liberté de ne plus guetter le prix à la pompe chaque semaine. Un luxe, mine de rien.
Moi, l’E85, ça me fait penser aux vendanges : un truc de saison, avec son lot de contraintes, mais le résultat est sympa.
Le E85, c’est un peu comme les soldes : on pense faire une super affaire, mais il faut quand même bien regarder l’étiquette avant de craquer.
L’E85, c’est bien tant que ça marche, mais quand ça coince un matin de janvier, on regrette amèrement son côté « tête en l’air ».
L’E85, c’est un pari. Est-ce que le jeu en vaut la chandelle, selon sa voiture et ses trajets ? C’est la vraie question.
L’E85, c’est bien joli sur le papier, mais je me demande toujours si l’infrastructure suivra. Toutes les pompes seront-elles approvisionnées cet hiver ?
60% d’éthanol en hiver ? Ça me rappelle les pneus neige : un truc qu’on oublie jusqu’à la première galère.
L’E85 ? J’y suis passé cet été. Le bruit du moteur a un truc… plus rauque, plus vivant. C’est peut-être juste une impression, mais j’aime bien.
L’E85, c’est la promesse d’un budget auto moins saignant. Mais passer à l’éthanol, c’est aussi un peu renoncer à une partie de sa tranquillité d’esprit, non ?
E85 en hiver, c’est un peu comme sortir les pulls en laine. On sait qu’il faut le faire, mais on espère toujours pouvoir repousser l’échéance.
J’ai peur que cette baisse à 60% en hiver ne gomme l’avantage financier. Consommer plus pour démarrer, ça annule un peu l’intérêt, non ?
Perso, l’E85, c’est surtout une question de conscience. Rouler moins cher, oui, mais aussi un peu plus propre, non ? C’est ça qui me motive.
Le prix est attractif, c’est sûr. Mais j’ai toujours l’impression que l’E85 est un peu une solution de « bricoleur ».
L’E85 à 0,78€ ? Ça me rappelle les promos des supermarchés : l’espoir d’une bonne affaire vite douché par les contraintes.
L’E85, c’est comme un vieux copain : sympa, mais parfois capricieux. J’espère juste que le passage à 60% ne le rendra pas trop grognon.
78 centimes, ça reste imbattable. Je me demande si cette astuce de l’E60 sera vraiment efficace, ou si c’est juste un pansement sur une jambe de bois.
L’E85, c’est le carburant des optimistes. Moi, je me demande surtout si ma vieille voiture va apprécier le régime à long terme.
E85, 60% en hiver… ça me fait penser aux soldes. On espère toujours trouver la perle rare, mais souvent c’est juste un produit qu’on brade parce qu’il a un défaut caché.
Avec ces histoires d’E85, j’ai surtout l’impression d’être un cobaye pour les constructeurs. On verra bien si ça tient la route !
J’espère que cette adaptation hivernale ne va pas créer une nouvelle addiction à l’additif… ça deviendrait vite le serpent qui se mord la queue, l’économie fondrait comme neige au soleil.
Je suis surtout soulagé de voir qu’ils anticipent les problèmes de démarrage. C’est ça, le progrès : éviter les mauvaises surprises.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’impact environnemental réel. On parle économies, mais l’éthanol, ça vient de quelque part… J’aimerais creuser ça.
J’avoue, le prix me tente. Mais à chaque fois que je vois « E85 », je pense à ma facture de garagiste. J’ai peur du long terme, c’est tout.
Moi, j’ai surtout peur que toutes ces adaptations saisonnières finissent par embrouiller tout le monde. On va finir par ne plus savoir ce qu’on met dans le réservoir !
J’ai surtout l’impression qu’on nous prend pour des chimistes. Bientôt, il faudra un doctorat pour faire le plein !
Moi, l’E85, ça me rappelle surtout les odeurs de distillerie quand j’étais gamin à la campagne. Un peu nostalgique, mais est-ce que ça sentira pareil dans mon pot d’échappement ?
L’E85, c’est bien si on habite pas dans les montagnes, sinon bon courage pour trouver une pompe ouverte.
Moi, l’E85, ça me fait penser à mon voisin. Il a converti sa vieille bagnole, il est super content, mais il passe son temps à en parler. Au final, je suis pas sûr que ce soit si simple que ça.
Franchement, 700€ d’économies, ça fait rêver. Mais j’ai toujours un peu peur de l’inconnu et de bousiller mon moteur.
J’ai l’impression qu’on est toujours un peu les cobayes, non ? On teste, on ajuste… J’attends de voir si ça tient ses promesses sur le long terme.
J’ai toujours trouvé ça ironique qu’on doive adapter le carburant à la saison, comme si nos voitures étaient des plantes fragiles.
C’est marrant, cet article me fait penser aux confitures de ma grand-mère : une recette qu’elle adaptait selon les fruits de saison pour que ça marche toujours.
E85 en hiver… Ça me fait penser aux pneus neige qu’on oublie toujours de changer à temps. L’idée est bonne, mais j’ai l’impression que ça va me demander plus d’attention que d’habitude.
L’histoire des 60% d’éthanol, c’est un peu comme les jours qui raccourcissent : on sait que ça arrive, mais on espère toujours que ça passera inaperçu.
700 euros, ça sonne bien, mais je me demande combien de kilomètres il faut faire pour ça. Mon trajet quotidien est court, est-ce que je verrais la différence ?
L’E85 et moi, c’est une histoire d’amour timide. J’ai envie d’y croire, mais j’ai peur de m’engager. On dirait une relation compliquée.
L’E85, ça me rappelle les régimes : super au début, puis on craque pour un burger. L’hiver, c’est mon burger.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est le côté « astuce ». Si c’est une astuce, c’est que c’est pas si simple que ça, non ?
J’ai l’impression que l’E85, c’est comme un bon plan qu’on finit par regretter quand les températures chutent. Un peu comme les soldes d’été, illusoires en novembre.
Moi, l’E85, je l’imagine bien comme un pull en laine un peu rêche. Écolo, certes, mais faut voir si ça gratte pas trop au quotidien.
C’est bien joli tout ça, mais quid de la disponibilité des pompes E85 ? Dans mon coin, c’est le désert.
L’E85, c’est surtout une question d’habitude. J’ai converti ma voiture et franchement, le petit « clac » du pistolet à la pompe est devenu mon bruit préféré.
L’E85, c’est peut-être une bonne idée, mais j’ai toujours peur d’abîmer mon moteur. La tranquillité d’esprit a un prix.
L’E85 à 0,78€, ça fait rêver, c’est sûr. Mais j’ai peur que la disponibilité à long terme soit un problème. Vont-ils vraiment investir durablement dans cette filière ?
L’E85, je trouve ça un peu « bobo-écolo » sur les bords. Est-ce que c’est vraiment ça la solution pour la planète, ou juste une façon de se donner bonne conscience ?
E85 en hiver, c’est un peu comme mettre des pneus neige : un mal nécessaire si on veut rouler tranquille, mais un peu moins fun que l’été.
L’E85, c’est un peu comme un pari. On espère que ça va marcher, mais on garde un œil sur l’essence « normale » au cas où.
C’est marrant, on parle toujours de l’hiver et du démarrage à froid. Moi, c’est surtout les fortes chaleurs qui m’inquiètent avec l’E85. Personne n’en parle jamais.
60% en hiver, c’est bien, mais j’espère que ça ne va pas trop impacter la consommation.
Le prix est attractif, c’est indéniable. Mais à 0,78€, je me demande quel est l’impact réel sur les terres agricoles utilisées pour produire cet éthanol.
Franchement, l’E85, ça me rappelle la promotion du diesel il y a 20 ans. On nous vend une solution miracle… J’attends de voir les études sur le long terme.
Moi, ce qui me freine, c’est l’odeur à la pompe. Ça sent un peu trop la betterave…
Moi, l’E85, je trouve ça pratique pour le porte-monnaie, mais je me demande si c’est pas juste un pansement sur une jambe de bois pour éviter de vraiment changer nos habitudes.
J’ai toujours eu peur de modifier ma voiture pour rouler à l’E85, peur de l’abîmer. Est-ce que ça vaut vraiment le coup de prendre ce risque pour quelques euros économisés ?
Moi, ce qui me plaît, c’est de moins dépendre des pétroliers. Un peu d’indépendance, ça fait du bien.
L’E85, c’est surtout un casse-tête logistique pour trouver une station compatible quand on voyage. La promesse d’économies est sympa, mais la tranquillité d’esprit a un prix aussi.
L’E85, c’est peut-être l’occasion de moins culpabiliser quand je prends ma voiture pour aller chercher le pain à 500 mètres. Un petit pas vers la bonne conscience, même si c’est illusoire.
Pour moi, le vrai avantage de l’E85, c’est que ça met un peu de concurrence dans le marché des carburants. Ça oblige les autres à se bouger un peu.
Je suis curieux de voir si la baisse à 60% suffira vraiment à éviter les soucis de démarrage. J’ai connu des hivers rudes, même avec de l’essence « normale ».
Finalement, c’est peut-être l’occasion de ressortir ma vieille 205 du garage, elle qui dort depuis des années. Ça lui ferait prendre l’air !
Tiens, l’E85 qui revient sur le devant de la scène. J’espère juste que les stations-service vont suivre, sinon on va se retrouver avec des queues interminables.
Je me demande si cette histoire d’E85 hivernal aura un impact sur la consommation. J’ai l’impression qu’on ne parle jamais de ça.
L’E85, ça fait un peu « solution miracle » qu’on nous vend à chaque crise.