Ils ont dit « il faut qu’il s’endurcisse » avant que leur chien traverse la baie vitrée pendant les feux de la Saint-Jean

Confondre « leur » et « leurs » est une frustration courante qui peut miner la crédibilité d’un texte. Même une manchette dramatique peut cacher cette erreur subtile. Heureusement, une règle simple permet de ne plus jamais hésiter et d’écrire avec assurance, en distinguant clairement le pronom de l’adjectif.

La distinction essentielle entre « leur » et « leurs »

Pour beaucoup, cette nuance grammaticale reste un casse-tête. Pourtant, la logique est implacable et facile à intégrer une fois qu’on a saisi le mécanisme. Analysons ensemble comment dissiper ce doute une bonne fois pour toutes.

  • Leur : pronom personnel invariable.
  • Leurs : déterminant possessif variable.

Voici le témoignage d’un professionnel qui traite cette erreur quotidiennement.

Le regard d’un expert sur une erreur fréquente

Je suis Antoine Dubois, un correcteur-relecteur de 46 ans basé à Lille. « Chaque jour, je vois les mêmes erreurs revenir. La confusion entre ‘leur’ et ‘leurs’ est un classique, même dans des écrits professionnels. C’est un détail qui trahit un manque d’attention et peut décrédibiliser un propos. »

Comment appliquer la bonne règle sans se tromper ?

Antoine observe cette hésitation dans tous les types de documents qu’il corrige. Le problème vient souvent d’une mauvaise analyse de la fonction du mot. Il a remarqué que l’erreur est plus fréquente à l’oral, ce qui influence négativement l’écrit, rendant la distinction floue pour beaucoup.

Cas d’usage Exemple correct Astuce de vérification
Leur (pronom) Je leur parle. Remplacer par « lui ». (Je lui parle)
Leur (déterminant) C’est leur maison. Le nom qui suit est au singulier.
Leurs (déterminant) Ce sont leurs voitures. Le nom qui suit est au pluriel.

Le mécanisme grammatical simplifié

La règle est purement mécanique. « Leur » placé devant un verbe est un pronom invariable. Il signifie « à eux » ou « à elles » et peut être remplacé par « lui » au singulier. En revanche, « leur » ou « leurs » devant un nom est un déterminant possessif qui s’accorde avec le nom qu’il accompagne.

Les impacts au-delà de la simple orthographe

Maîtriser cette règle a des bénéfices multiples. Sur le plan pratique, cela accélère la rédaction et la relecture. Économiquement, cela évite des corrections coûteuses. Socialement, une écriture précise renforce la crédibilité et l’image de sérieux d’une personne ou d’une organisation.

Astuces complémentaires pour ne plus hésiter

Pour aller plus loin, pensez au sens de la possession. Plusieurs personnes possèdent-elles une seule chose (leur projet) ou plusieurs choses (leurs projets) ? Cette simple question suffit généralement à lever le doute. On peut aussi passer la phrase au singulier pour vérifier la logique de l’accord.

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Traite également de l'importance de la précision et de l'organisation dans un contexte culturel

Une erreur révélatrice des défis de la langue française

Cette confusion s’inscrit dans un contexte plus large de difficultés liées aux homophones en français, comme « a/à » ou « son/sont ». Elle montre le décalage entre la langue parlée, où la distinction est inaudible, et le code écrit, qui exige une rigueur grammaticale et sémantique précise.

L’enjeu social de la maîtrise de la langue

Savoir manier ces subtilités influence la perception sociale et professionnelle. Une bonne orthographe peut agir comme un marqueur éducatif et faciliter l’accès à certaines opportunités. Rendre ces règles accessibles est donc un enjeu pour une communication plus inclusive et égalitaire.

En résumé, la clé est de bien identifier la fonction du mot : pronom ou déterminant. Avec un peu de méthode et de pratique, cette distinction devient un réflexe naturel, ouvrant la voie à une maîtrise plus profonde des richesses de la langue française et renforçant la clarté de chaque message.

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261 réflexions sur “Ils ont dit « il faut qu’il s’endurcisse » avant que leur chien traverse la baie vitrée pendant les feux de la Saint-Jean”

  1. Je trouve ça un peu cynique de détourner une situation potentiellement tragique (le chien et les feux) pour une leçon de grammaire. On dirait un prétexte opportuniste.

  2. C’est vrai que le titre accroche, mais après, l’explication grammaticale, c’est un peu le soufflé qui retombe. On se sent presque manipulé.

  3. Moi, ce qui me frappe, c’est l’expression « il faut qu’il s’endurcisse ». On dirait qu’ils prévoyaient un truc dur pour le chien. Ça sonne bizarre, non ?

  4. Moi, ce qui me dérange, c’est le décalage total entre le titre sensationnaliste et le fond, hyper banal. On passe d’un truc potentiellement poignant à un cours de grammaire.

  5. Le titre est tellement bizarre que j’ai immédiatement pensé à une faute de frappe. C’est plus un exercice de style qu’une vraie info.

  6. Je suis plus interpellé par l’idée d’endurcissement du chien. On projette tellement nos attentes sur nos animaux, parfois de manière étrange. La grammaire, après, c’est secondaire.

  7. Moi, j’avoue, le titre m’a fait sourire. L’idée d’un chien philosophe qui traverse une baie vitrée, c’est quand même assez cocasse.

  8. Perso, je me demande si l’auteur n’a pas volontairement mis la faute dans le titre pour attirer l’attention. Une sorte de « piège à clics » grammatical…

  9. La grammaire, c’est important, ok. Mais je suis resté sur ma faim. J’aurais préféré savoir comment le chien va maintenant. J’espère qu’il n’a pas trop de séquelles.

  10. Franchement, le titre est tellement improbable que j’ai cru à une blague. Puis l’article… bof.

    L’urgence de la grammaire face à un drame canin, c’est spécial comme priorité.

  11. J’ai trouvé ça tellement inattendu! On dirait un fragment de conversation réelle, capturé juste avant le drame. C’est presque de l’art brut.

  12. C’est vraiment étrange comme juxtaposition. On dirait une métaphore ratée de nos propres efforts d’adaptation face à la catastrophe.

  13. Le titre est tellement absurde que je me suis demandé si c’était une œuvre de surréalisme canin. On dirait du Ionesco avec un labrador.

  14. L’association de la grammaire et du drame animalier me laisse perplexe. J’ai l’impression qu’on instrumentalise la souffrance du chien pour une leçon de français.

  15. Je suis plus préoccupé par les motivations des propriétaires. Pourquoi vouloir « endurcir » un chien pendant des feux ? Ça sent la négligence, plus qu’une faute de français.

  16. L’histoire du chien est tragique, mais l’angle choisi est déconcertant. On dirait une tentative maladroite de rendre la grammaire « engageante ». Dommage.

  17. C’est un peu tordu, non ? On dirait qu’on minimise la douleur de l’animal en la réduisant à une erreur de langue. Ça me met mal à l’aise.

  18. C’est fou comme un détail de grammaire peut dérouter. Au début, je me suis dit « tiens, une leçon de français ». Puis j’ai imaginé le chien, paniqué… et la faute m’a semblé presque indécente.

  19. Moi, ce qui me frappe, c’est la déshumanisation. On dirait qu’on parle d’un objet brisé, pas d’un être vivant traumatisé. Le « leurs/leur » devient plus important que la souffrance.

  20. Franchement, c’est tellement bizarre comme article. L’association de la faute de français avec un chien qui se blesse, ça ne fait pas sens. On dirait une blague de mauvais goût.

  21. Moi, ça me rappelle les profs qui corrigeaient nos copies en rouge, sans jamais relever les bonnes idées. Prioriser la forme sur le fond, même quand un chien est blessé.

  22. Je trouve ça intéressant de pointer une faute courante dans un contexte aussi particulier. Ça montre qu’on peut tous se laisser distraire, même dans l’urgence.

  23. C’est le genre d’article qui me fait soupirer. La grammaire, c’est bien, mais là, on dirait qu’on essaie de justifier un manque d’empathie. Je me demande si l’auteur a déjà eu un animal de compagnie.

  24. Moi, je trouve ça assez malin comme accroche. Ça force à s’arrêter et à réfléchir. La faute de français devient un point d’entrée inattendu pour une histoire plus large.

  25. Je me demande si l’auteur n’a pas simplement cherché à faire du buzz en utilisant une histoire choquante pour parler d’une faute de grammaire. Ça sent le marketing, plus que l’amour des animaux.

  26. Je suis perplexe. L’article est-il réellement sur le chien, ou juste une excuse pour une piqûre de rappel grammaticale déguisée ? J’ai l’impression d’avoir été manipulé émotionnellement pour une leçon de français.

  27. L’image du chien est forte, certes. Mais la citation des maîtres est horrible. C’est ça qui m’a marqué, plus que la faute de grammaire. On dirait qu’ils se défaussent.

  28. Moi, j’ai plutôt pensé au journaliste. Il devait se sentir obligé de traiter l’histoire, mais en même temps, la banalité de l’erreur lui permettait de se distancer de la tragédie.

  29. Je trouve qu’on oublie souvent que la langue est vivante. Peut-être que l’erreur « leur/leurs » est révélatrice d’une évolution du langage, pas forcément une faute impardonnable.

  30. Cette histoire me met mal à l’aise. On dirait qu’on utilise la souffrance animale pour se sentir supérieur parce qu’on maîtrise une règle de grammaire. C’est déplacé.

  31. J’ai surtout pensé à la banalité du mal. On est tellement habitué à voir des fautes d’orthographe qu’on ne s’étonne même plus de la citation terrible. C’est ça qui me fait peur.

  32. Ce qui me frappe, c’est le contraste entre la violence de l’événement et la petitesse de la faute relevée. C’est comme si on cherchait à minimiser l’horreur en se concentrant sur un détail insignifiant.

  33. Ce titre me laisse un goût amer. On dirait qu’on cherche à excuser l’inexcusable derrière une faute de français. L’horreur est ailleurs, dans cette phrase glaçante.

  34. L’association des deux, la faute et le drame, me fait penser à un mauvais polar. On cherche le coupable, mais on se trompe de mobile. L’erreur est un écran de fumée.

  35. Je ne comprends pas le problème. On corrige une faute, point. Pourquoi y voir une tentative de minimisation ou de manipulation ? C’est juste une information utile.

  36. C’est vrai que le titre est percutant, mais je me demande si on ne tombe pas dans le sensationnalisme facile. L’amalgame est un peu rapide, non ?

  37. Franchement, je me demande si ce n’est pas une stratégie de communication. La faute attire l’attention, et hop, on parle de l’article, même si c’est pour critiquer. Malin, non ?

  38. L’insistance sur cette faute me perturbe. On dirait qu’on cherche à déshumaniser les auteurs de la phrase en les réduisant à une erreur de grammaire. C’est un peu facile.

  39. Je trouve le titre racoleur et disproportionné par rapport au contenu. On instrumentalise une tragédie animale pour donner une leçon de grammaire. C’est malhonnête intellectuellement.

  40. Moi, ce qui me choque, c’est qu’on publie une telle phrase. Qui a dit ça ? Dans quel contexte ? C’est ça, la vraie question. Pas la grammaire.

  41. Je trouve ça assez courageux de prendre un exemple aussi poignant pour une leçon de grammaire. Ça rappelle que les mots, même mal écrits, ont un impact réel.

  42. Je trouve l’association du « leur/leurs » à la souffrance animale assez étrange. On dirait qu’on veut créer un électrochoc pour mieux retenir la règle. Ça me met mal à l’aise.

  43. Moi, ça me fait juste penser qu’on est obsédés par la grammaire, parfois au détriment du sens. On oublie que derrière chaque phrase, il y a des gens qui parlent.

  44. Moi, la grammaire, ça me rappelle mes profs de français qui disaient que bien écrire, c’était bien penser. Du coup, le chien et la baie vitrée, ça devient presque un symbole de pensée confuse.

  45. Je suis plus sensible au contraste. L’horreur de l’accident du chien et la banalité de la faute de grammaire… C’est un peu comme un éclat de rire à un enterrement.

  46. Moi, ce titre me fait penser à l’expression « joindre l’utile à l’agréable » mais appliquée à l’horreur. Apprendre la grammaire grâce à une tragédie, c’est.

  47. Je trouve ça un peu cynique, mais finalement assez efficace. Je me souviendrai probablement plus longtemps de la règle « leur/leurs » grâce à cette image terrible.

  48. On dirait un manuel de grammaire écrit par Stephen King. C’est tellement glauque que j’en ai presque oublié la faute de « leur/leurs ». J’ai ri, mais je me sens coupable.

  49. C’est un peu racoleur, non ? On dirait un truc pour attirer l’attention sur les réseaux sociaux, plus qu’un véritable article sur la langue française.

  50. Personnellement, ça me fait surtout penser qu’on cherche des accroches désespérément originales pour tout et n’importe quoi, même la grammaire. L’important, c’est pas d’éviter une faute, c’est de raconter une histoire.

  51. Franchement, ce qui me frappe, c’est la violence du titre pour une faute si commune. C’est presque disproportionné, non? On dirait qu’on punit l’erreur plus que la souffrance de l’animal.

  52. En lisant ça, je me demande surtout si l’auteur a vraiment compris le sens de l’empathie. Transformer une potentielle souffrance animale en leçon de grammaire, c’est limite.

  53. C’est tellement bizarre comme angle. J’imagine bien la réunion de brainstorming pour trouver ça.

    Plus sérieusement, c’est un peu tiré par les cheveux, mais au moins, ça sort de l’ordinaire.

  54. Moi, ça me perturbe de voir associer un drame potentiel avec une erreur de français. J’ai l’impression qu’on minimise la douleur animale pour un simple tic de langage. C’est maladroit, je trouve.

  55. C’est vrai que l’association est choquante au premier abord, mais ça m’a fait tilter. J’avais jamais pensé à l’impact d’une simple faute sur la perception d’un texte.

  56. C’est vrai que le titre est percutant, mais je me demande si ça ne dessert pas le propos. L’horreur de la scène prend le pas sur la faute de grammaire, et on oublie presque le but pédagogique.

  57. Le titre me laisse froid. J’ai l’impression qu’on utilise une image choc pour masquer un manque d’imagination. La grammaire, c’est pas forcément ennuyeux, y’a moyen de faire mieux.

  58. Moi, ce qui me dérange, c’est le ton moralisateur. On dirait qu’une faute d’orthographe est pire qu’un accident. Je trouve ça complètement hors sol.

  59. En tant que lecteur, je me demande si l’auteur n’essaie pas de rendre la grammaire plus mémorable en l’associant à une image forte. Ça peut marcher pour certains, mais c’est risqué.

  60. Le titre est tellement improbable que je me demande si c’est une parodie. Si c’est sérieux, c’est un peu à côté de la plaque, non ?

  61. Je ne suis pas sûr de comprendre le lien. On dirait qu’on instrumentalise une image dramatique pour parler d’une simple faute de français. C’est un peu dérangeant, non?

  62. Je suis un peu cynique, je dois l’avouer. Le titre est tellement sensationnaliste que ça sent la technique de growth hacking à plein nez. On clique, on s’offusque, et hop, l’article est partagé.

  63. Le titre est un peu too much, c’est sûr. Mais en y réfléchissant, ça m’a fait sourire. C’est tellement improbable que ça en devient presque drôle.

  64. Je trouve l’analogie un peu tirée par les cheveux, mais après tout, ça attire l’attention. Peut-être que c’est le but.

    L’image du chien est forte.

  65. Franchement, le titre m’a fait penser à un mauvais générateur de contenu. J’espère que l’explication est claire, parce que le reste…

  66. L’histoire du chien est triste, mais l’article est… opportuniste. J’aurais préféré une approche plus respectueuse de l’événement tragique.

  67. L’image du chien me touche, c’est vrai. Mais je me demande si l’auteur ne sous-estime pas la charge émotionnelle d’un tel événement pour en faire un simple prétexte grammatical.

  68. Je suis plus sensible à la souffrance animale qu’aux subtilités grammaticales. L’association des deux me laisse un goût amer, comme si on banalisait la détresse.

  69. L’idée est originale, au moins ! J’avoue que j’ai failli ne pas cliquer, mais la curiosité a gagné. Bon, la grammaire, c’est important, mais je ne sais pas si c’était la meilleure façon de l’aborder.

  70. Le titre est tellement bizarre que j’ai cru à une blague. C’est presque du surréalisme appliqué à la grammaire. Est-ce que ça fonctionne ? Peut-être, mais j’avoue que je suis plus perplexe qu’éclairé.

  71. Le titre est indigeste, c’est vrai. Mais finalement, l’erreur « leur/leurs » est tellement fréquente, que l’exemple choc la rend presque mémorable. Espérons juste que le chien va bien.

  72. Je suis partagé. L’accroche est maladroite, presque insensible. Mais si ça peut aider des gens à maîtriser cette foutue règle, alors peut-être… un mal pour un bien ?

  73. C’est vrai que l’accroche est choc, mais on retient mieux les choses quand on est ému. Je me demande si les gens qui critiquent l’association grammaire/chien n’auraient pas zappé l’article sinon.

  74. Je suis plus préoccupé par le contexte de l’histoire que par la règle de grammaire. Pourquoi ce besoin d' »endurcir » un chien pendant un incendie ? Ça me semble étrange et potentiellement cruel.

  75. On dirait un titre sorti d’un cauchemar. C’est tellement bizarre que je suis incapable de me concentrer sur la règle de grammaire. L’histoire du chien est totalement éclipsée.

  76. Je trouve ça un peu cynique d’utiliser un fait divers potentiellement traumatisant pour une leçon de grammaire. L’effet recherché est peut-être l’attention, mais le résultat est plus proche du malaise.

  77. Je me demande si l’urgence de la correction grammaticale justifie vraiment de s’appuyer sur des situations potentiellement anxiogènes. C’est un peu comme utiliser un accident de voiture pour vendre des pneus.

  78. L’image du chien qui panique est forte. L’article tente de lier l’émotion à la grammaire, une méthode d’apprentissage comme une autre, peut-être.

    En fait, je me demande si cette méthode n’est pas contre-productive.

  79. Franchement, le titre me fait penser à une vieille blague de mauvais goût qu’on raconte entre amis. Est-ce que c’est vraiment la meilleure stratégie pour capter l’attention sur une leçon de grammaire ? J’en doute.

  80. Je me demande si l’auteur n’a pas cherché le buzz à tout prix. Le titre est tellement alambiqué que j’ai dû le relire plusieurs fois pour comprendre.

  81. Je trouve l’association insolite, mais efficace. Perso, c’est le genre de titre qui me fait cliquer. Après, j’espère que le reste de l’article est à la hauteur.

  82. L’article en lui-même est secondaire. Ce qui me frappe, c’est la violence implicite du titre. On dirait que ça banalise la souffrance animale.

  83. Le titre est tellement spécifique que j’imagine déjà la scène. Ça rend la faute de grammaire d’autant plus irritante. On dirait un détail qui cloche dans une photo par ailleurs parfaite.

  84. Je ne suis pas certain que cette approche choc soit la meilleure. J’aurais préféré une accroche plus subtile, peut-être une phrase d’auteur connu truffée de cette même faute.

  85. Moi, ce qui me frappe, c’est la dissonance. On dirait un titre généré par une IA qui a mal compris le contexte. Ça sonne faux, même si la faute est pertinente.

  86. Moi, ça me fait penser à ces profs qui forçaient un élève à lire une rédaction horrible à voix haute. L’humiliation comme outil pédagogique, bof.

  87. C’est dingue de partir d’une erreur si banale pour raconter une histoire aussi précise. J’imagine tout de suite le chien, la chaleur… La grammaire devient presque un prétexte.

  88. Moi, ce qui me dérange, c’est le cynisme. Utiliser une potentielle tragédie animale pour vendre une règle de grammaire, je trouve ça limite. Ça me met mal à l’aise.

  89. En tant que maître d’un chien un peu peureux, je comprends trop bien la phrase. On a vite fait de dire « faut qu’il s’endurcisse » sans penser aux conséquences.

  90. Je ne suis pas convaincu que l’erreur « leur/leurs » soit la plus importante à corriger. Il y a des fautes bien plus rédhibitoires qui nuisent vraiment à la compréhension.

  91. Je trouve ça intéressant de lier une faute de grammaire courante à une situation émotionnelle forte. Ça contextualise l’importance de la langue, au lieu de juste l’aborder de façon théorique et ennuyeuse.

  92. Franchement, le titre est tellement bizarre que je me demande si ce n’est pas fait exprès pour attirer l’attention. Après, l’article doit bien expliquer la règle, j’imagine.

  93. Moi, je me demande si l’article va vraiment aider. J’ai toujours confondu « leur » et « leurs » et une simple règle n’a jamais suffi. C’est plus une question d’habitude, je crois.

  94. Le titre est tellement spécifique, on dirait une anecdote vécue. Ça donne presque envie de connaître la suite, même si c’est juste pour une règle de grammaire. On dirait un fait divers.

  95. Le titre est un peu racoleur, mais si l’article peut aider certains à éviter cette faute, tant mieux. Perso, j’ai toujours visualisé « leurs » comme un pluriel, ça aide.

  96. Ce titre… On dirait une blague de mauvais goût. J’espère que le chien va bien, et que l’article apporte plus que du voyeurisme grammatical.

  97. J’avoue, le titre m’a d’abord fait sourire. Après, je me suis senti coupable d’y trouver un côté amusant. J’espère juste que l’article ne minimise pas la détresse de l’animal.

  98. Je ne comprends pas le lien entre le titre et la règle de grammaire. On dirait deux sujets complètement déconnectés et c’est assez déroutant.

  99. Le titre est tellement particulier que ça marche. Ça me rappelle une discussion entendue au parc, retranscrite à l’écrit. J’espère que l’article va au-delà d’une simple leçon de grammaire et qu’il explore la dimension humaine derrière nos erreurs.

  100. Le titre me met mal à l’aise. On dirait qu’on utilise la souffrance d’un animal pour vendre une leçon de français. C’est maladroit, voire irrespectueux.

  101. Le titre est un peu too much, non ? J’ai peur que la simplification grammaticale ne banalise la détresse animale. J’espère que l’article sera sensible.

  102. Le titre est hyper bizarre, ça me fait penser à ces micro-nouvelles où on te balance un contexte absurde sans explication. J’espère que l’article expliquera le choix de cet exemple particulier.

  103. Franchement, le titre est tellement bizarre que ça en devient presque poétique. J’espère que l’article saura justifier ce choix audacieux.

    Ça me fait penser à une phrase sortie de son contexte.

  104. Un titre choc pour une faute de grammaire ? C’est un peu comme utiliser un marteau-piqueur pour planter un clou. J’espère que la méthode sera plus douce et moins anxiogène que cette introduction.

  105. Le titre est tellement étrange que je me demande si c’est une IA qui l’a pondu. J’espère que l’article est plus humain et moins générateur de clics.

  106. Le titre est tellement spécifique que j’imagine instantanément la scène. Un peu glauque comme accroche, mais efficace. Curieux de voir si le reste suit.

  107. Le titre est tellement bizarre que j’ai cru à une blague de mauvais goût. J’espère que l’article ne va pas tourner à la moquerie facile. Le français, c’est sérieux, mais pas au point d’utiliser la souffrance animale.

  108. Bon, le titre est un peu sensationnaliste, c’est clair. Mais au fond, ça marche. Ça m’a fait cliquer, et ça me rappelle ces conversations qu’on entend en passant, pleines d’une cruauté involontaire.

  109. Le titre est tellement précis que j’en suis mal à l’aise. C’est voyeuriste. J’espère que l’article justifiera l’utilisation d’un tel exemple pour parler de grammaire.

  110. Je suis plus agacé qu’autre chose. Ce titre, c’est du putaclic déguisé en leçon de grammaire. On instrumentalise une situation tragique pour attirer l’attention.

  111. Je trouve le titre maladroit et l’association des deux sujets (grammaire et drame animalier) contre-productive. L’un dessert l’autre, en fait. On se focalise sur l’anecdote, et on oublie la règle.

  112. L’exemple est fort, certes, mais il m’a immédiatement fait penser à ces erreurs qu’on corrigeait en primaire. Un peu infantilisant, non ?

  113. L’exemple est perturbant, mais je me demande si c’est pas justement ça qui va marquer les esprits. On se souviendra plus de la règle grâce à l’image forte.

  114. Ce titre est un peu trop théâtral pour une simple faute de français. On dirait une scène de film. Est-ce qu’on a vraiment besoin d’un tel pathos pour retenir une règle basique ?

  115. Moi, ce qui me frappe, c’est l’angle choisi. On dirait qu’on culpabilise ceux qui font la faute.
    J’aurais préféré un titre plus neutre, moins accusateur.

  116. Moi, ce qui me chiffonne, c’est ce besoin constant de dramatiser pour enseigner. On ne peut pas juste expliquer la règle simplement, sans histoire de chien malheureux? Ça me fatigue.

  117. Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on utilise un drame possible pour illustrer une faute si banale. Ça banalise le drame, en fait. On dirait un peu « tout ça pour ça ».

  118. Franchement, ça m’a fait sourire. C’est tellement vrai que même dans les moments de panique, les fautes de français restent une préoccupation. Un peu comme si la grammaire était notre juge intérieur.

  119. Le titre m’a interpellé, certes, mais l’association du drame et de la faute me laisse un sentiment étrange. On dirait qu’on se moque un peu de la douleur derrière l’accident.

  120. C’est vrai que l’exemple est un peu choc, mais au moins, ça force à s’arrêter et à se poser la question. Peut-être que ça évitera une autre erreur à l’avenir.

  121. SportifDuDimanche

    Je trouve le contraste saisissant. D’un côté, une tragédie potentielle, de l’autre, une erreur que même les correcteurs automatiques repèrent. C’est presque absurde, mais ça illustre bien notre rapport parfois obsessionnel à la langue.

  122. Pour moi, le titre est surtout une illustration de notre incapacité à faire court. On veut tellement accrocher qu’on en oublie la clarté. Un simple « Leur ou leurs : ne plus se tromper » aurait été plus efficace.

  123. C’est marrant, cette manie de vouloir tout lier à l’émotionnel pour faire passer un message. La grammaire, c’est pas censé être rationnel, justement ?

    Le titre est long et glauque, mais l’important, c’est qu’on se souvienne de la règle ensuite.

  124. ProvincialeHeureuse

    L’exemple me semble un peu tiré par les cheveux. J’aurais préféré une situation plus quotidienne, moins… apocalyptique. On dirait qu’on cherche à choquer plus qu’à aider.

  125. MécanicienRetraité

    Je me demande si l’auteur n’a pas voulu créer un mème avant l’heure. Le titre, bien que macabre, a un potentiel viral certain. L’efficacité pédagogique, par contre, reste à prouver.

  126. InstitutricePassionnée

    Le titre est tellement sensationnaliste que j’ai failli ne pas lire l’article. On dirait un piège à clics.

    Je me demande si l’auteur a vraiment pensé à l’impact émotionnel potentiel sur les lecteurs qui ont vécu des situations similaires avec leurs animaux.

  127. J’ai surtout retenu l’idée que la maîtrise de la langue, même basique, peut être un rempart contre la confusion, même en période de stress. C’est rassurant, en fait.

  128. Je me demande si l’auteur a déjà vu un chien paniquer. L’article trivialise une situation terrifiante. La grammaire, oui, mais l’empathie d’abord.

  129. Franchement, j’ai souri. L’exemple est exagéré, oui, mais l’absurdité de la situation rend la faute de grammaire tellement plus mémorable. Pari réussi pour ancrer la règle, je crois.

  130. Le titre est un peu ridicule, c’est vrai. Mais ça m’a rappelé une fois où j’ai corrigé un rapport important et que j’ai laissé passer un « ces » au lieu de « ses ».

  131. Moi, ce qui me frappe, c’est l’espèce de cynisme ambiant. On dirait qu’on ne peut plus aborder la langue qu’avec un humour grinçant, presque honteux.

  132. Je trouve ça étrange de mélanger une faute de grammaire banale avec une situation aussi anxiogène. On dirait une tentative maladroite d’utiliser la peur pour retenir une règle.

  133. Guillaume Bernard

    Moi, je me dis que c’est une astuce comme une autre pour rendre la grammaire moins barbante. Si ça peut aider ceux qui butent toujours sur « leur/leurs », pourquoi pas ?

  134. Moi, je trouve que c’est un peu gratuit de taper sur l’auteur. On a tous des façons différentes de retenir les choses. Si ça marche pour certains, tant mieux.

  135. Moi, ce qui me dérange, c’est cette obsession à toujours vouloir simplifier la langue. On dirait qu’on accepte de moins en moins l’effort d’apprendre. Bientôt, on écrira tous en phonétique.

  136. Je comprends la volonté de pédagogie, mais l’exemple est tellement incongru que je me demande si l’attention du lecteur ne sera pas détournée de la règle elle-même.

  137. C’est le titre qui m’a accroché, pas tant pour la faute de grammaire potentielle que pour le côté « faits divers ». Drôle de façon d’enseigner la grammaire, mais au moins, ça attire l’attention.

  138. Je n’aurais jamais pensé que la grammaire puisse être aussi… angoissante. C’est presque un thriller éducatif, ce truc.

    Ça me fait penser à ma prof de français au collège qui utilisait des images choc pour qu’on retienne les règles.

  139. L’exemple est tellement caricatural que ça en devient presque offensant pour ceux qui ont réellement vécu un incendie. On peut parler grammaire sans instrumentaliser des drames.

  140. Je trouve ça un peu sensationnaliste, mais en même temps, je me souviens encore de la tête de mon père quand j’ai mis « ses » au lieu de « c’est » dans ma lettre de motivation.

  141. Je suis surtout interpellé par la phrase « il faut qu’il s’endurcisse ». C’est terrible de l’entendre, surtout juste avant un drame. La grammaire passe au second plan.

  142. Je suis plus choqué par l’emploi du conditionnel (« pourrait miner ») que par le reste. On dirait une excuse pour ne pas assumer une critique.

  143. L’association de l’horreur et de la grammaire est étrange. Ça me laisse un sentiment de malaise, comme un mauvais goût dans la bouche. Je préfère apprendre autrement.

  144. Sébastien Bernard

    Le titre est un peu trop « putaclic » à mon goût. On dirait un article de journal people plus qu’un cours de grammaire. Ça décrédibilise l’intention pédagogique.

  145. L’exemple est extrême, c’est sûr, mais ça m’a fait tilt. On se souvient mieux de ce qui nous touche, même si c’est un peu fort de café. La grammaire a besoin d’un coup de fouet parfois.

  146. L’idée de lier une erreur grammaticale à une tragédie est maladroite. Ça banalise la souffrance réelle et donne l’impression que l’orthographe est plus importante que l’empathie.

  147. Alexandre Bernard

    Moi, ce qui me frappe, c’est l’absurdité de la situation. On se focalise sur une faute de grammaire alors qu’un chien a été blessé. C’est vraiment déconnecté des priorités.

  148. C’est vrai que l’accroche est forte, mais au final, si ça peut aider certains à faire la différence entre « leur » et « leurs », tant mieux. Moi, j’avoue que ça me rappelle toujours la même chose : « leur » = à lui, « leurs » = à eux.

  149. Christophe Bernard

    C’est vrai que l’exemple est un peu tiré par les cheveux, mais ça illustre bien comment une petite erreur peut distraire de l’essentiel. Ça m’arrive tout le temps au travail.

  150. Moi, ce qui me dérange, c’est le sous-entendu que les gens ne connaissent pas la règle « leur/leurs ». C’est condescendant. On dirait qu’on nous prend pour des idiots.

  151. Je trouve l’article un peu alarmiste. Oui, « leur/leurs » est une erreur fréquente, mais de là à dire que ça mine la crédibilité d’un texte… C’est un peu fort, non ? On comprend l’idée même avec la faute.

  152. François Bernard

    Je trouve que l’article essaie de rendre la grammaire plus « palpable », plus concrète. C’est une approche originale, mais je ne suis pas sûr que ça marche pour tout le monde.

  153. Grégoire Bernard

    Franchement, l’image du chien et des feux de la Saint-Jean pour parler de « leur/leurs », c’est un peu too much. J’aurais préféré un exemple plus simple et moins…anxiogène.

  154. Bof, l’article m’a fait sourire. C’est vrai qu’on chipote souvent sur les fautes, mais au fond, l’important c’est que le message passe, non ?

  155. Je suis partagé. La méthode est choquante, mais après tout, je me souviendrai sûrement de la règle plus longtemps grâce à cette image marquante.

  156. L’analogie est bizarre, mais elle m’a fait penser à mes propres erreurs d’inattention, souvent dues à la fatigue. On est tous humains, non ?

  157. Béatrice Bernard

    Je me demande si on se focalise pas trop sur la forme au détriment du fond. L’histoire du chien est choquante, certes, mais elle reste en mémoire.

  158. Le titre est tellement bizarre que j’ai cliqué par curiosité. Mission accomplie pour l’article, même si je suis pas sûr d’avoir mieux compris la règle du « leur/leurs » pour autant.

  159. J’ai plus de peine pour le chien que pour la règle de grammaire. L’auteur aurait dû s’en tenir à un exemple moins… traumatisant. Ça dessert son propos.

  160. J’ai surtout l’impression que l’auteur s’est dit « comment faire le buzz ? » plutôt que « comment aider les gens ? ». Le chien, c’est juste de l’enrobage racoleur.

  161. Moi, ce qui me frappe, c’est l’utilisation d’une faute de grammaire hyper courante pour nous faire lire une histoire qui n’a rien à voir. C’est presque de la désinformation!

  162. Gabrielle Bernard

    Je trouve la technique de l’article un peu maladroite, mais au moins, ça prouve que la grammaire peut avoir un impact réel sur la compréhension et l’interprétation d’une situation.

  163. Moi, ce qui m’interroge, c’est cette manie de devoir toujours dramatiser pour capter l’attention. On ne peut plus apprendre les choses simplement ?

  164. Franchement, le titre m’a plus horrifié qu’intéressé par la grammaire. Je trouve ça limite de surfer sur un possible drame animalier pour vendre une leçon de français.

  165. Moi, ça me fait juste sourire. On dirait une version moderne et un peu trash d’une dictée de Pivot. Le chien qui brise une vitre, c’est le nouveau Bernard Pivot!

  166. Je suis partagé. Certes, l’accroche est un peu sensationnaliste, mais au fond, ça marche. Je me souviens mieux de mes erreurs grâce à des images fortes.

  167. J’avoue, j’ai cliqué parce que j’ai un chien. Mais au final, c’est malin. Ça me rappelle que je fais souvent cette faute, et que ça peut changer le sens d’une phrase.

  168. C’est vrai que l’image du chien est forte, mais pour moi, elle brouille le message. J’ai plus pensé au pauvre animal qu’à la grammaire. Peut-être un exemple moins marquant aurait été plus efficace.

  169. Bizarre comme approche. J’ai l’impression qu’on me prend pour un idiot. Si j’avais besoin d’un rappel sur « leur » et « leurs », j’irais pas chercher une histoire de chien traumatisé.

  170. Le titre est bizarre, c’est sûr. Mais ça m’a fait penser à ma grand-mère qui me corrigeait tout le temps. Peut-être que c’est une façon comme une autre de rendre la grammaire moins intimidante.

  171. Je suis plus perplexe qu’autre chose. C’est le genre d’article qui me laisse un arrière-goût de manipulation. On dirait qu’on me force à m’intéresser à quelque chose que je devrais déjà maîtriser.

  172. Mouais… le chien, la grammaire, les feux… ça part un peu dans tous les sens. J’ai surtout l’impression qu’on me crie dessus alors que je voulais juste lire un truc tranquille.

  173. Le titre est tellement improbable que ça en devient presque poétique. On dirait un haïku raté sur l’angoisse linguistique. Ça m’a fait rire, et j’ai appris un truc. Pari réussi, non ?

  174. Le chien et la grammaire, un mélange inattendu. Ça me fait penser aux pubs qui utilisent des images choc pour vendre des produits banals. Est-ce que ça marche vraiment sur le long terme? J’en doute.

  175. L’histoire du chien, c’est un peu too much. Mais bon, si ça peut aider certains à ne plus massacrer la langue française… pourquoi pas. Ça me rappelle mes propres fautes d’orthographe honteuses.

  176. Franchement, j’ai souri. L’absurdité de la scène, c’est presque une métaphore de la complexité de la langue française. On se prend la tête pour des détails, alors que l’essentiel, c’est peut-être juste de se comprendre.

  177. Un chien qui se crashe à travers une baie vitrée, ça arrive. L’erreur « leur/leurs » aussi. Relier les deux, c’est un peu chercher le buzz à tout prix, non ?

  178. Catherine Bernard

    Le titre est un peu « too much », c’est vrai. Mais, au fond, ça m’a rappelé ces moments où on se sent jugé pour une simple faute. C’est pas agréable.

  179. Je me demande si l’article ne minimise pas un peu trop l’impact émotionnel d’un tel accident. Le chien, la baie vitrée, c’est traumatisant pour tout le monde, pas juste une excuse pour un cours de grammaire.

  180. L’image du chien est forte, mais ça me fait surtout penser qu’on exige souvent la perfection, même quand on est vulnérable ou effrayé.

  181. L’exemple du chien est exagéré, mais je comprends le point. On se concentre sur la faute, pas sur l’intention. Ça arrive souvent, non seulement en grammaire.

  182. C’est marrant de voir comment un problème de grammaire est mis en scène. On dirait un sketch. Je me demande si l’auteur a vraiment vu ça ou si c’est juste une image.

  183. J’ai l’impression que l’auteur a délibérément choisi un exemple extrême pour marquer les esprits. Ça rend le message plus mémorable, même si l’histoire du chien est un peu tirée par les cheveux.

  184. Jacqueline Bernard

    Je suis plus touché par la détresse du chien que par la faute de grammaire, honnêtement. On dirait qu’on trivialise une situation potentiellement grave pour un simple rappel linguistique.

  185. Moi, ce qui me frappe, c’est que l’article utilise une situation violente pour illustrer une faute de français. C’est un peu maladroit comme association.

  186. Moi, ce qui me dérange, c’est l’implication que le chien est responsable de l’erreur. On blâme la victime pour une faute d’orthographe. C’est un peu injuste.

  187. Moi, ça me fait sourire. On dirait un titre à la « Le Gorafi » pour une leçon de grammaire. C’est tellement absurde que ça en devient presque génial.

  188. Le titre est tellement spécifique que j’imagine tout de suite la scène. Ça pique la curiosité, on a envie de savoir comment le « leur/leurs » s’intègre là-dedans. Bien joué.

  189. Le titre est tellement bizarre que je me demande si l’article va vraiment m’aider à comprendre la différence entre « leur » et « leurs ». J’espère que l’explication sera plus claire que l’exemple !

  190. En fait, je trouve ça plutôt intelligent. L’absurdité du titre attire l’attention et finalement, on retient mieux la règle de grammaire. C’est un peu comme une pub choc, ça marche.

  191. Je trouve que le titre est un peu trop sensationnaliste. L’erreur de grammaire est importante, certes, mais l’associer à un accident impliquant un animal… c’est un peu fort de café.

  192. Honnêtement, le titre m’a fait tiquer. On dirait une recette de cuisine pour attirer l’attention, un peu trop forcée à mon goût. J’espère que le reste de l’article est plus subtil.

  193. En tant que daltonien, je suis plus perturbé par les feux de la Saint-Jean que par l’orthographe. C’est une fête magnifique pour les autres, mais un brouillard rouge pour moi.

  194. L’association d’une faute de grammaire et d’un accident domestique me laisse froid. Je doute que ça aide vraiment à retenir la règle.

  195. Le titre est tellement particulier que je suis sûr que je vais me souvenir de cette règle de grammaire pour toujours. C’est un peu comme une chanson ringarde qui te reste coincée dans la tête, mai…

  196. Je me demande surtout si l’article va aborder l’impact de ce type de fautes sur la perception de la qualité de l’information, au-delà de la simple règle de grammaire.

  197. Je me demande si l’article est vraiment nécessaire. Tout le monde fait des fautes de frappe, non ? Est-ce qu’on va vraiment commencer à disséquer chaque titre de journal ?

  198. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on utilise un fait divers potentiellement traumatisant pour parler de grammaire. Ça me met mal à l’aise.

  199. Sébastien Dubois

    Le titre est un peu bizarre, c’est sûr. Mais finalement, ça m’a intrigué et j’ai cliqué. Si ça a marché sur moi, ça doit marcher sur d’autres. Le but, c’est quand même que les gens lisent, non…

  200. L’idée de partir d’une erreur dans un titre pour en faire un article de grammaire, c’est malin. Ça rend la chose concrète et moins scolaire.

  201. Drôle de choix de titre, c’est clair. On dirait une mauvaise blague. J’espère que l’article donne des contextes d’utilisation concrets, sinon la règle va vite s’oublier.

  202. Je suis partagé. D’un côté, je trouve ça un peu opportuniste de capitaliser sur la panique d’un animal. De l’autre, je reconnais que c’est un moyen mnémotechnique assez efficace.

  203. C’est vrai que le titre est accrocheur, mais j’espère qu’il ne minimise pas la souffrance de l’animal pour une simple leçon de grammaire. L’empathie devrait primer, non ?

  204. Christophe Dubois

    Franchement, ce titre m’a donné une image mentale très claire. J’espère que l’article explique bien la règle, parce que je confonds toujours les deux.

  205. Le titre est un peu racoleur, mais bon, ça fonctionne. Perso, je fais la faute tellement souvent que si l’article propose une astuce simple, je suis preneur. On verra bien si ça marche !

  206. J’avoue, le titre m’a fait froncer les sourcils. L’histoire du chien est triste, mais si l’article peut m’éviter des fautes bêtes, je suis preneur. On verra bien si c’est vraiment une astuce miracle.

  207. Le titre est maladroit, c’est clair. Mais ça me fait penser à mon propre chien, terrorisé par les feux d’artifice. Si ça peut aider les gens à mieux écrire, tant mieux.

  208. Le titre est tellement improbable que j’ai cru à une parodie. Mais si ça peut aider à ne plus voir cette faute partout, pourquoi pas ? J’espère juste que l’article ne sera pas trop condescendant.

  209. Moi, ce qui me choque, c’est l’indifférence face à la détresse du chien. On dirait qu’on se soucie plus de la grammaire que de l’animal terrorisé. C’est un peu glaçant.

  210. En tant que correcteur, je tique moins sur le « leur/leurs » que sur le « il faut qu’il s’endurcisse ». Qui parle comme ça ? On dirait un mauvais doublage de film.

  211. Bizarre, cette association d’idées. J’espère que l’article ne tombera pas dans le piège de banaliser une faute d’orthographe derrière une anecdote tragique. L’enjeu est peut-être ailleurs.

  212. L’idée est bonne, mais le titre… C’est tellement « buzzfeed » que ça en devient contre-productif. On dirait un algorithme qui a décidé de ce qui allait faire le plus de clics.

  213. Le titre est tellement absurde que ça attire l’attention, c’est sûr. Mais pour une fois, je me demande si le problème n’est pas plutôt l’importance qu’on accorde à cette faute.

  214. Je trouve le titre un peu forcé, mais ça illustre bien l’aveuglement qu’on peut avoir face à nos propres erreurs. On se concentre parfois sur le détail (la faute) et on oublie le fond (le pauvre chien).

  215. Je me demande si l’auteur n’a pas voulu sciemment provoquer une réaction. C’est une stratégie comme une autre pour faire parler de soi, même si le parallèle avec le chien est un peu.

  216. Je ne suis pas convaincu. Le titre essaie trop de créer un choc. J’ai peur que l’article soit simpliste, voire infantilisant, alors qu’une explication claire suffirait.

  217. Le titre est exagéré, c’est sûr. Mais ça m’a rappelé une dispute avec mon père sur cette faute, il y a des années. C’est fou comme une simple règle de grammaire peut devenir un symbole de tensions familiales.

  218. Le titre est perturbant, oui. Mais ça me fait penser à ma prof de primaire qui nous disait que la grammaire, c’était aussi une forme de respect, pour celui qui lit.

  219. Le titre est tellement improbable que j’ai souri. Ça montre bien qu’une faute d’orthographe peut détourner l’attention d’une information plus importante.

  220. Moi, ce qui me frappe, c’est l’utilisation d’un incident, certes dramatique, pour parler d’une faute de grammaire. C’est un peu déplacé, non ? On dirait qu’on instrumentalise la souffrance animale pour vendre un cours de français.

  221. Je suis moins choqué que amusé par le titre. C’est tellement tiré par les cheveux que ça en devient presque poétique. On dirait du Raymond Devos appliqué à la grammaire.

  222. Ce titre est tellement bizarre que j’en ai presque oublié la faute qu’il dénonce. Je me demande si l’auteur ne s’est pas perdu en route.

  223. Moi, ce qui me frappe, c’est le contraste entre la gravité potentielle de l’incident et le côté trivial de la faute. Ça donne une impression de décalage un peu malaisante.

  224. Ce titre est tellement absurde que je me demande si l’auteur n’est pas lui-même en train de commettre une faute volontairement. Un peu comme un test pour voir si on est attentif.

  225. Le titre est tellement bizarre que j’ai cru à une blague. J’ai failli ne pas lire l’article, mais au final, ça m’a fait réfléchir à l’importance de la relecture.

  226. Le titre est tellement absurde que ça en devient presque une performance artistique. On se demande si l’auteur n’a pas fait exprès de créer un effet de sidération.

  227. Je trouve que ça banalise une situation potentiellement traumatisante pour l’animal. On dirait qu’on se focalise plus sur la faute que sur le chien. C’est un peu insensible.

  228. En tant que daltonien de la langue, ce genre d’article me laisse perplexe. Je comprends l’importance de la grammaire, mais parfois, elle me semble bien loin des préoccupations du quotidien.

  229. C’est vrai que l’exemple est bizarre. Mais ça me fait penser qu’on se focalise souvent sur les fautes alors qu’on devrait plutôt encourager les gens à écrire, même avec des erreurs.

  230. Honnêtement, j’ai trouvé l’accroche un peu racoleuse. On dirait un article de *faits divers* détourné pour faire de la grammaire. Ça m’a un peu mis mal à l’aise, pour être franc.

  231. Moi, ça me fait penser que ces petites erreurs sont hyper courantes à l’oral. On comprend le sens, alors on ne corrige pas. C’est peut-être ça le problème : on écrit comme on parle.

  232. Franchement, cette histoire de chien et de « leur/leurs », c’est un peu tiré par les cheveux pour parler grammaire. On dirait une excuse pour choquer, non ?

  233. C’est vrai que l’exemple est extrême, mais au moins, ça marque les esprits. Je me souviendrai de la différence entre « leur » et « leurs » grâce à ce pauvre chien !

  234. Moi, ce qui me frappe, c’est la confiance qu’on accorde à une simple règle de grammaire. Comme si la maîtrise de « leur/leurs » garantissait l’éloquence ou la pertinence d’un propos.

  235. Je me demande si cette obsession pour la correction grammaticale ne nous empêche pas d’apprécier la créativité et l’originalité de l’écriture.

  236. Je me demande si ce n’est pas un peu condescendant. La grammaire, c’est important, oui, mais pointer du doigt une erreur de « leur/leurs » sur un sujet potentiellement sensible… Bof.

  237. L’exemple est certes frappant, mais il reflète une réalité : la grammaire, c’est aussi une question de respect, du lecteur et du sujet traité. Un texte soigné témoigne d’une attention particulière.

  238. Je trouve ça dommage de réduire une tragédie potentielle à une simple faute de grammaire. Le titre est tellement fort, on s’attend à autre chose qu’une leçon de « leur » et « leurs ».

  239. Je trouve que l’article pointe du doigt un problème réel : on se focalise trop sur la faute d’orthographe et on oublie le message. La forme prend le pas sur le fond, c’est dommage.

  240. Jacqueline Dubois

    Je me demande si l’auteur n’utilise pas l’émotionnel (le chien!) pour nous faire accepter une pilule grammaticale un peu amère. Ça marche, mais c’est un peu manipulateur, non?

  241. Je trouve ça un peu décalé de s’attarder sur la grammaire quand l’histoire de ce chien est potentiellement tragique. On dirait qu’on cherche à se donner bonne conscience.

  242. Franchement, le titre m’a plus interpellé que la faute. L’histoire est tellement improbable que je me demande si c’est réel.

  243. Je suis plus intrigué par le « il faut qu’il s’endurcisse ». C’est quoi cette mentalité ? Avant un drame pareil, on se préoccupe de ça ? Ça en dit long sur notre société, non ?

  244. Moi, ce qui me frappe, c’est le contraste. On a d’un côté une image forte, presque choquante, et de l’autre une explication grammaticale banale. On passe du tragique au trivial en une phrase.

  245. Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’utilisation de l’impératif indirect « il faut qu’il s’endurcisse ». Ça sonne culpabilisant pour le chien, comme si c’était sa faute.

  246. Moi, ce qui me dérange, c’est l’amalgame. On mélange un fait divers (le chien) avec une règle de grammaire. C’est comme si la langue française devenait un prétexte.

  247. Moi, ce qui m’attriste, c’est l’indifférence. On dirait qu’on se protège de l’émotion en se cachant derrière la langue. Le chien devient un simple prétexte à une leçon, c’est triste.

  248. Moi, ce qui me perturbe, c’est le choix des mots. « Baie vitrée » et « feux de la Saint-Jean », c’est précis. Mais « il faut qu’il s’endurcisse »… On ne dit pas qui parle.

  249. Moi, ce qui me sidère, c’est l’association de « s’endurcir » avec un traumatisme. On dirait qu’il faut banaliser la souffrance, même animale, pour survivre. C’est glaçant.

  250. Moi, je me demande si le problème n’est pas justement de vouloir à tout prix écrire sans fautes. L’urgence de la situation, l’émotion… ça excuse un « leur » à la place de « leurs », non?

  251. La focalisation sur la faute de grammaire me semble presque une forme d’évitement. On évite de ressentir quoi que ce soit pour ce chien en pointant une erreur. C’est bizarre, non ?

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