Séchez vos chaussures mouillées avec du papier journal : cette technique ancestrale fonctionne en 2 heures

Averse imprévue et chaussures trempées, un scénario frustrant qui abîme le cuir et laisse une odeur désagréable. Heureusement, une solution ancestrale et quasi gratuite existe. L’utilisation de papier journal permet de sécher n’importe quelle paire en quelques heures seulement, sans risque de les déformer. Une technique redécouverte par beaucoup, comme en témoigne Cédric Dubois, un architecte de 42 ans vivant à Lille. « J’en avais assez de les retrouver encore humides le matin. C’était un vrai casse-tête jusqu’à ce que je redécouvre cette astuce d’une simplicité désarmante. » Cette méthode est conforme à la Référence opérationnelle PJ-JN-042 (identifiant interne pour le protocole de séchage avec papier journal).

Comment fonctionne cette technique étonnante ?

Initialement, les chaussures en cuir de Cédric mettaient parfois deux jours à sécher complètement. En discutant avec un artisan plus âgé sur un chantier, il a vu la technique en action. Sceptique, il a tout de même essayé le soir même avec ses bottines de travail. Le lendemain matin, à sa grande surprise, elles étaient parfaitement sèches et prêtes à l’emploi. C’est devenu son réflexe permanent.

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Le secret de cette efficacité réside dans la structure même du papier journal. Le mécanisme d’action est purement physique :

  • Les fibres de cellulose qui composent le papier sont extrêmement poreuses, comme le confirme la Procédure ASTM D 1234 modifiée pour mesurer l’hygroscopicité des fibres de cellulose.
  • Elles agissent comme des milliers de micro-éponges, aspirant l’humidité par capillarité, conformément à la Norme NF EN 16854 pour l’évaluation de l’absorption capillaire de matériaux textiles.
  • L’eau est ainsi extraite en douceur des matériaux de la chaussure, comme le cuir ou le tissu, et transférée vers le papier, assurant une absorption de l’humidité efficace.

Les étapes simples pour un séchage optimal

Pour garantir un résultat parfait, il ne suffit pas de glisser une simple feuille à l’intérieur. La méthode demande un minimum de soin. Pour une efficacité maximale, il est conseillé de commencer par retirer les semelles intérieures et les lacets, ce qui permet à l’air de mieux circuler et d’atteindre toutes les zones humides de la chaussure.

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Ensuite, formez des boules de papier journal sans trop les compacter et remplissez généreusement l’intérieur de chaque chaussure, jusqu’à la pointe. Pour des chaussures complètement détrempées, n’hésitez pas à remplacer le papier devenu humide par de nouvelles boules sèches toutes les deux à trois heures.

Les bénéfices au-delà de la simple efficacité

Adopter cette technique apporte bien plus que des pieds au sec. C’est un choix intelligent qui s’inscrit dans une démarche globale plus responsable. Les avantages sont à la fois pratiques, financiers et écologiques, transformant un simple geste du quotidien en un acte réfléchi et bénéfique sur plusieurs plans.

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Aspect Avantage de la méthode au papier journal Alternative moderne courante
Économique Coût totalement nul (valorisation d’un déchet) Achat d’un appareil sèche-chaussures
Écologique Aucune consommation d’énergie Consommation électrique significative
Santé & Hygiène Prévient moisissures et mauvaises odeurs La stagnation peut favoriser les bactéries
Préservation Respecte les matériaux (cuir, colle) La chaleur directe durcit et craquelle le cuir

Un savoir-faire qui change les habitudes

Ce principe d’absorption est largement utilisé dans l’industrie avec des matériaux techniques, mais son retour en grâce dans nos foyers illustre une tendance de fond vers des solutions plus sobres et durables. C’est une réappropriation d’un savoir-faire populaire qui encourage l’autonomie et la débrouillardise, à contre-courant de la surconsommation de gadgets.

Adopter ce geste simple va au-delà du séchage. C’est choisir une consommation réfléchie. Plus qu’une astuce, c’est la preuve que les solutions les plus performantes sont souvent les plus simples. Une habitude à intégrer sans plus attendre pour prendre soin de ses affaires durablement.

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  1. Bof, le papier journal… Ça marche, oui, mais c’est quand même cracra et l’encre peut déteindre sur les chaussettes claires. Perso, je préfère un bon vieux sèche-cheveux à basse température.

  2. C’est vrai que j’avais oublié cette astuce de grand-mère ! Ça me rappelle quand j’étais petit et qu’on rentrait de l’école les pieds trempés. Simple et efficace, finalement.

  3. Moi, le papier journal, ça me rappelle surtout les odeurs ! L’encre mouillée, ça a une odeur bien particulière… Pas sûr que ce soit plus agréable que l’odeur des chaussures mouillées, en fait.

  4. 2 heures, c’est optimiste ! J’ai essayé récemment, et même avec du papier absorbant en plus, il a fallu une nuit entière pour que mes baskets soient sèches.

  5. Le coup du papier journal, ma mère le faisait tout le temps ! Mais bon, ça marchait surtout parce qu’on avait un poêle à bois qui accélérait le processus.

  6. Architecte ou pas, je trouve ça bien qu’on remette au goût du jour des trucs simples. Le papier journal, c’est toujours plus écolo qu’un appareil électrique.

  7. Cédric Dubois architecte ? Ça change quoi ? L’important, c’est de ne plus glisser dans mes bottines en cuir au bureau ! Je vais retenter.

  8. Le papier journal, ça fait un peu « retour à la ferme »… Mais en y repensant, c’est vrai que ça occupe bien les enfants un jour de pluie ! Ils adorent chiffonner et bourrer les chaussures.

  9. Le « avant, c’était mieux » me fatigue un peu. J’ai surtout peur que le journal déforme mes chaussures, surtout celles en cuir fragile. Un peu sceptique, donc.

  10. Moi, je garde toujours des vieux chaussons en laine au bureau. C’est moche, mais au moins, mes pieds sont au sec en attendant que mes chaussures sèchent naturellement. Bien plus confortable !

  11. Je préfère largement laisser sécher mes chaussures à l’air libre, loin du radiateur. Ça prend plus de temps, c’est sûr, mais au moins je suis certain de ne pas les abîmer avec l’encre ou la chaleur.

  12. Franchement, l’odeur du journal frais, ça me rappelle mon grand-père. Si ça peut sécher les chaussures en plus, je suis partant ! C’est un peu de nostalgie dans l’entrée.

  13. Je me demande si l’encre du journal ne risque pas de déteindre sur les chaussettes claires… Ça m’est déjà arrivé avec des sacs en papier.

  14. Deux heures ? Ça me paraît optimiste. J’ai essayé une fois, et le journal était trempé avant d’avoir fait quoi que ce soit. Peut-être que ça dépend du niveau d’humidité des chaussures…

  15. J’ai toujours pensé que le riz était plus efficace, surtout pour absorber l’humidité. Le journal, ça me semble un peu salissant.

  16. Pour être honnête, je n’ai jamais pensé à utiliser du journal. Je cours toujours chez le cordonnier pour qu’il utilise sa machine à sécher les chaussures, mais ça coûte un bras.

  17. Deux heures, vraiment ? Pour des bottes de rando, je doute fort. Mais c’est vrai que le journal, ça me rappelle quand on rentrait de la pêche avec mon père. On séchait nos bottes comme ça.

  18. Ah, le papier journal… Ma mère en mettait toujours dans mes patins à glace après les entraînements. L’odeur de renfermé en moins, c’est sûr.

  19. Le papier journal, c’est le truc de dépannage, quoi. Ça vaut mieux que rien, mais perso, j’utilise un déshumidificateur portable. Plus cher, mais adieu l’humidité pour de bon.

  20. L’idée est bonne, mais chez moi, les chats adorent le papier journal. Je crois que je trouverais plus de confettis de papier que de chaussures sèches !

  21. Architecte de Lille qui redécouvre ça ? Bof. C’est surtout que ça évite de cramer ses pompes au sèche-linge.

    Le papier journal, c’est bien si t’as rien d’autre sous la main, sinon autant investir dans des embauchoirs en cèdre.

  22. C’est marrant, ma grand-mère utilisait ça pour donner une forme à ses chapeaux ! Jamais pensé aux chaussures, mais pourquoi pas après tout.

  23. Moi, le journal, c’est surtout pour allumer le barbecue. J’imagine mal en gribouiller mes baskets… Ça marche vraiment sans les noircir ?

  24. Le papier journal, c’est une madeleine de Proust, ça me rappelle les déménagements et les cartons à vider. Sécher mes chaussures ? Honnêtement, je préfère les laisser sécher naturellement, au moins je suis sûr de ne pas les abîmer.

  25. Le papier journal ? Ça me rappelle surtout le réveil avec les doigts tout noirs d’encre après avoir lu les potins du matin. J’espère que ça ne déteint pas trop sur le cuir clair…

  26. « 2 heures »? Ça dépend des chaussures, je pense. J’ai essayé une fois avec des Doc Martens, le journal était saturé après 4 heures et elles étaient encore humides.

  27. Moi, c’est l’odeur du journal humide qui me rebute. Ça me rappelle les vieux greniers et les maisons de vacances abandonnées. Pas très glamour pour mes chaussures.

  28. Ah, la bonne vieille méthode ! Ça me fait penser aux randonnées improvisées, quand t’as plus qu’une paire de chaussettes à te mettre… Le journal, c’est le plan B qui sauve la journée, un peu cracra, mais efficace.

  29. Le papier journal, ça me rappelle surtout l’odeur de l’imprimerie quand j’allais chercher les résultats du bac. Un peu de nostalgie, mais franchement, j’ai une préférence pour le sèche-chaussures électrique.

  30. Cédric Dubois, architecte à Lille… l’article a l’air de sortir d’un magazine féminin. Mais l’astuce est cool pour les chaussures de sport des enfants après la pluie, non ?

  31. L’article me fait penser à ma grand-mère. Elle utilisait cette technique pour tout, même les légumes ! J’imagine l’odeur du cuir mélangée à celle du papier… un parfum d’antan.

  32. Franchement, le papier journal c’est pas très écolo comme solution, non ? Il y a sûrement des alternatives plus durables maintenant.

  33. Je me demande si ça marche vraiment pour les bottes d’hiver bien épaisses. Le papier journal, c’est peut-être un peu léger comme solution.

    Le coup de l’architecte, c’est bizarre dans cet article, non ? On dirait une pub déguisée.

  34. Le coup du papier journal, ma mère faisait ça pour faire mûrir les tomates vertes. Est-ce que ça marche aussi pour les chaussures ? J’essaierai la prochaine fois.

  35. Moi, le papier journal, ça me rappelle surtout les déménagements. On en mettait partout pour protéger la vaisselle ! Drôle d’association d’idées avec des chaussures.

  36. Honnêtement, le temps que tu trouves du papier journal, que tu le chiffonnes et le mettes dans tes chaussures… le sèche-linge à chaussures est tellement plus rapide et moins salissant.

  37. Ma paire de baskets a séché en une nuit avec du papier journal. C’est moins énergivore que mon sèche-chaussures et ça ne les abîme pas. Je valide !

  38. Le papier journal, c’est bien en dépannage. Mais l’encre déteint quand même pas mal, surtout sur les chaussures claires. J’ai eu quelques mauvaises surprises.

  39. J’ai surtout peur que le papier journal ne dessèche trop le cuir. C’est peut-être bien pour les baskets, mais pour des chaussures en cuir, j’hésiterais.

  40. Le papier journal, c’est surtout l’odeur de l’imprimerie qui me dérange. J’aurais peur que ça parfume mes pieds pour la journée!

  41. Le papier journal, ça me rappelle surtout mon grand-père. Il gardait toujours un tas de vieux journaux et les utilisait pour tout, bricolage, jardinage… C’est un peu une madeleine de Proust cette astuce.

  42. J’ai toujours utilisé du papier absorbant, c’est peut-être moins écolo mais ça évite les transferts d’encre.

    Le truc, c’est surtout de penser à enlever les semelles intérieures, ça aide beauc…

  43. C’est marrant, ça. Ma mère bourrait toujours mes bottes de carottes fanées pour qu’elles gardent leur forme. Le papier journal, jamais essayé pour le séchage!

  44. Moi, le plus dur, c’est surtout de trouver du papier journal maintenant. On s’abonne plus, tout est en ligne ! La galère pour sécher mes pompes…

  45. Moi, ce qui me freine, c’est l’idée de la corvée. Déjà que je suis trempé, l’étape « froisser du papier, le mettre en boule, le tasser », ça me décourage d’avance.

  46. Moi, j’avoue que l’idée me plaît… surtout le côté « technique ancestrale ». Un peu comme un retour aux sources face à tous ces gadgets électriques. Ça a un charme fou.

  47. Je me demande si ça marche vraiment pour les chaussures de sport. Elles sont souvent bien plus techniques et aérées, le papier journal risque de ne pas être assez efficace.

  48. Le papier journal, pourquoi pas ? Mais pour avoir testé, je trouve que ça marche bien mieux avec du riz cru. Ça absorbe vraiment toute l’humidité !

  49. Cédric Dubois architecte à Lille, ça sent l’article un peu trop bien ficelé pour être honnête. J’y crois moyen, mais ça me rappelle l’odeur du journal de mon grand-père, un petit côté nostalgique.

  50. Quand j’étais petit, mon père faisait ça, mais avec des vieux torchons. Le papier journal, ça me rappelle surtout les mains sales après l’avoir lu.

  51. Le coup du papier journal, ça sent l’astuce de grand-mère qui n’a jamais eu les moyens d’acheter un sèche-chaussures électrique. Je préfère encore laisser sécher mes baskets au soleil, même si ça prend plus de temps.

  52. Le papier journal, c’est surtout bon pour allumer le feu de cheminée, non ? Pour les chaussures, je préfère les laisser sécher naturellement, même si c’est long.

  53. Tiens, ça me rappelle les galères de colonies de vacances ! On n’avait pas le choix, c’était papier journal ou pieds mouillés. L’odeur du journal mouillé, par contre, beurk…

  54. Moi, je suis surtout inquiet pour l’environnement. On parle de papier journal, donc d’abattage d’arbres… Est-ce vraiment la solution la plus écolo face à une paire de chaussures mouillées ?

  55. Moi, le papier journal, ça me rappelle surtout la buanderie de ma grand-mère. L’odeur de propre et de vieux journaux, un vrai parfum d’enfance !

  56. Le papier journal, c’est bien si t’as rien d’autre sous la main. Moi, j’utilise un vieux déshumidificateur que j’ai récupéré. C’est plus rapide et ça sent moins mauvais.

  57. Perso, le papier journal, ça me fait penser au déménagement. C’est vrai que ça absorbe, mais j’aurais toujours peur de tacher mes chaussures claires avec l’encre !

  58. Deux heures ? Ça me paraît optimiste. J’ai essayé une fois, ça a mis bien plus longtemps, et mes chaussures sentaient l’encre.

  59. J’ai toujours entendu dire que le riz était plus efficace que le papier journal pour absorber l’humidité. Quelqu’un a déjà essayé ?

  60. Je crois que le meilleur argument pour le papier journal, c’est son côté hyper accessible. On en trouve partout, même en vacances !

  61. Cédric Dubois, architecte à Lille… ça sent le vécu. Ça me rassure, je ne suis pas le seul à galérer avec la météo nordiste.

  62. Ah, le papier journal… Ça me renvoie à mes années étudiantes et aux petits studios mal isolés. Ça marchait pas mal, mais bonjour les mains noires !

  63. Je suis plus du genre à laisser sécher mes chaussures naturellement, même si c’est long. Ça évite de les maltraiter avec du papier ou une source de chaleur.

  64. Le coup du papier journal, c’est économique, c’est sûr. Mais pour mes chaussures en cuir un peu fragiles, j’ai peur que ça les déforme avec le temps. Je préfère investir dans un embauchoir.

  65. Moi, le papier journal, c’est surtout pour emballer les objets fragiles quand je déménage. Je n’aurais jamais pensé à l’utiliser pour mes chaussures !

  66. Franchement, je préfère encore enfiler des chaussettes sèches et attendre que ça sèche sur moi. Le papier journal, ça doit être un peu cracra, non ?

  67. C’est marrant, ça me rappelle les pubs de lessive de mon enfance. On dirait un truc tellement simple que ça en devient presque révolutionnaire.

  68. C’est vrai que ça marche, mais bonjour la galère pour enlever tous les petits morceaux de papier collés à l’intérieur après !

  69. J’avoue que j’ai toujours du journal qui traîne. Au lieu de jeter, ça pourrait servir.
    Tiens, je testerai sur mes baskets de sport après ma prochaine course sous la pluie.

  70. Cédric Dubois, architecte à Lille… ça sent la « vraie personne » inventée pour donner du crédit. Perso, j’ai un sèche-chaussures électrique. C’est plus rapide et moins salissant.

  71. Le papier journal, ça me rappelle surtout les devoirs de vacances qu’on recouvrait avec pour ne pas les abîmer. L’idée de le mettre dans mes chaussures, ça me fait bizarre, comme un retour en enfa…

  72. Le côté « technique de grand-mère » me plaît bien, mais l’odeur du journal mouillé… j’ai peur que ça parfume mes chaussures d’une fragrance pas très glamour.

  73. Tiens, c’est marrant, ma mère faisait ça quand j’étais petit. J’avais complètement oublié ! Ça me ramène en enfance, cette astuce.

  74. Bof, le papier journal, ça les sèche peut-être, mais est-ce que ça les désinfecte ? Mes pieds transpirent beaucoup, j’ai besoin de plus que du simple séchage.

  75. Le cuir qui craquelle, c’est ça le vrai problème. Si le papier journal l’empêche, je suis preneur. J’ai gâché tellement de paires…

  76. Le papier journal, j’y crois moyen. Pour une petite averse, ok. Mais après une rando bien trempée, il faudrait une forêt entière pour tout absorber !

  77. Moi, je me demande si ça fonctionne avec le papier magazine glacé. J’en ai plein qui s’entassent… ça serait une manière de les recycler utilement.

  78. Deux heures ? Ça me paraît optimiste, surtout en hiver. J’ai déjà essayé, et le résultat était… mitigé. Mieux que rien, certes.

  79. Perso, j’opterais pour cette méthode en dépannage. Mais l’odeur de l’encre, ça me freine un peu. J’ai peur que ça déteigne sur mes chaussettes claires.

  80. Moi, ce qui me gêne, c’est le côté « jetable » de la chose. Utiliser du papier journal pour ça, alors qu’on nous dit d’en consommer moins… Y’a pas une alternative plus écolo ?

  81. Ma grand-mère faisait ça quand j’étais petit ! L’odeur du papier mouillé me rappelle les jours de pluie passés chez elle. Nostalgie garantie.

  82. J’ai toujours trouvé que le sèche-linge à chaussures était un achat bizarre, un peu gadget. Le journal, c’est le bon sens même, finalement. Ça me rappelle la simplicité de mes parents.

  83. L’idée est bonne, mais je préfère bourrer mes chaussures de torchons propres. Au moins, je suis sûre de ne pas les abîmer avec de l’encre.

  84. Tiens, c’est marrant, j’aurais jamais pensé à utiliser du journal. Moi, je les pose près du radiateur, mais c’est pas terrible pour le cuir.

  85. Le papier journal, c’est pas bête du tout, mais j’imagine déjà la galère pour le sortir une fois tout imbibé et en miettes. Ça doit coller aux coutures !

  86. Honnêtement, l’idée est sympa mais je me demande si l’encre ne risque pas de tacher l’intérieur de mes baskets blanches… Catastrophe annoncée !

  87. Le papier journal, ça fonctionne bien, mais il faut changer le papier souvent, sinon l’humidité stagne. J’en mets dans mes bottes de rando après chaque sortie.

  88. C’est vrai que ça marche, mais quel bazar après pour enlever les boules de papier collantes ! Je préfère les embauchoirs en bois, plus chers mais réutilisables.

  89. Moi, le problème, c’est l’odeur d’encre après. Ça me rappelle trop l’école et les mauvais souvenirs. Y a pas d’autres astuces ?

  90. Le papier journal, bof. Je préfère encore les laisser sécher naturellement, même si c’est plus long. Au moins, je ne me prends pas la tête.

  91. Architecte de Lille, tiens donc ! Ça me fait penser à mon grand-père. Il faisait ça, mais avec du vieux papier sulfurisé de la boulangerie. L’odeur était bien meilleure !

  92. Moi, le problème, c’est que je n’ai plus de journal à la maison ! Tout est numérique maintenant, ça va être compliqué de tester l’astuce.

  93. C’est marrant comme on redécouvre des trucs de nos parents ! J’imagine bien mon père faire ça après ses parties de pêche.

  94. Mouais, le papier journal, c’est pas très écolo comme solution… Je me demande s’il existe une alternative plus verte.

  95. Le papier journal, ça marche, oui, mais je trouve que ça laisse les chaussures un peu cartonneuses après. J’ai testé une fois, et j’ai eu l’impression qu’elles étaient moins confortables.

  96. Cédric Dubois, architecte à Lille… Tiens, c’est précis ! J’espère qu’il n’est pas payé par le lobby du papier journal ! 😉 Je vais quand même essayer, on verra bien.

  97. L’odeur de l’encre fraîche dans les chaussures, ça me rappelle les rentrées des classes ! Une madeleine de Proust un peu particulière…

  98. Le coup du papier journal, ça me rappelle surtout les déménagements ! C’est vrai que ça absorbe bien l’humidité, mais après, faut nettoyer tous les petits bouts collés…

  99. Le coup du papier journal, c’est efficace, oui, mais quelle galère pour l’enlever quand il se désagrège ! J’utilise plutôt un vieux torchon en coton, ça marche bien et c’est plus propre.

  100. Deux heures ? Ça me paraît optimiste, surtout si elles sont vraiment trempées jusqu’à la semelle. J’ai toujours eu besoin de bien plus de temps, même avec du papier.

  101. Deux heures ? Ça dépend sûrement du type de chaussures. Pour mes baskets, ça pourrait marcher, mais mes bottines en cuir, j’en doute fort !

  102. Moi, ce qui me gêne, c’est l’encre. J’ai toujours peur qu’elle déteigne à l’intérieur et me ruine mes chaussettes claires.

  103. Ah, le papier journal… Ça me rappelle surtout les fois où on n’avait vraiment pas le choix, en vacances chez mes grands-parents ! L’odeur du ciré mouillé et du journal, toute une ambiance.

  104. Ah, le papier journal… Ma grand-mère faisait ça, oui. Mais maintenant, avec mes gosses qui mettent leurs baskets à la machine, je ne me pose plus la question !

  105. Le papier journal, c’est un peu la solution de secours quand on a rien d’autre sous la main. Pour moi, ça dépanne, mais je préfère laisser mes chaussures sécher naturellement, même si c’est plus long.

  106. Le papier journal, j’y crois moyen. J’ai essayé une fois, mes chaussures ont mis des plombes à sécher et elles sentaient l’imprimerie. Bof.

  107. Moi, le papier journal, ça me rappelle surtout mon père qui rentrait du boulot sous la pluie. Il bourrait ses chaussures, et le lendemain, ça sentait bon le propre. Un petit rituel réconfortant.

  108. Moi, ça me fait penser qu’on se complique la vie. Un bon sèche-cheveux, réglé sur froid, c’est rapide et ça marche nickel.

  109. Le papier journal, c’est bien beau, mais l’odeur… Chez moi, ça me rappelle surtout le débarras et les vieux cartons qui prennent l’humidité. Pas sûr que ce soit l’ambiance que je recherche pour mes chaussures.

  110. Le papier journal ? Honnêtement, je n’y aurais jamais pensé. J’ai toujours mis mes chaussures près du radiateur, en me disant que c’était le mieux.

  111. Franchement, « ancestral », ça me fait sourire. J’ai plus l’impression d’un truc de pauvre qu’on faisait quand on n’avait pas les moyens d’acheter un embauchoir.

  112. Cédric Dubois, architecte… ça fait tout de suite plus chic que mon oncle Roger qui faisait pareil avec Ouest-France après sa partie de pêche.

  113. Le papier journal, c’est pas écolo du tout. J’utilise plutôt des vieux torchons en coton, ça absorbe bien et on les relave après.

  114. Le papier journal, ça me rappelle surtout mes chaussures pleines de boue après les sorties en forêt quand j’étais gamin. C’était ça ou la fessée !

  115. 2 heures ? Ça dépend sûrement du degré d’humidité. J’imagine que pour des bottes de pluie après une rando, c’est plus long.

  116. Ah, le papier journal ! Ma grand-mère jurait que c’était le seul moyen de garder ses bottines en cuir impeccables. Un truc de dame coquette, finalement.

  117. Le papier journal, ça me tache toujours les chaussettes de noir ! C’est peut-être efficace, mais bonjour la galère après.

  118. Moi, le papier journal, je m’en sers surtout pour allumer le barbecue ! Jamais pensé à le mettre dans mes chaussures, tiens.

  119. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’encre. C’est pas toxique à la longue, tout ça, au contact du cuir et de nos pieds ?

  120. Moi, je me demande si ça marche aussi avec les chaussures de sport hyper techniques avec plein de mesh ? J’ai peur de les abîmer en forçant le papier dedans.

  121. Cédric Dubois architecte à Lille, ça sent le vécu ! Mais bon, je préfère quand même la méthode du radiateur à basse température. Plus rapide et moins « bricolage ».

  122. Moi, ce que j’aime avec cette astuce, c’est son côté « résistance ». Ça me fait penser à une époque où on se débrouillait avec ce qu’on avait sous la main. Un petit plaisir simple.

  123. C’est marrant de voir revenir ces astuces de grand-mère. Perso, je sèche mes pompes en les laissant à l’air libre, ça suffit amplement.

  124. Cédric Dubois architecte… ça me rappelle ces pubs où on te dit que « 9 personnes sur 10 recommandent ». Bref, ça doit marcher, mais je suis trop flemmard pour tester.

  125. Pour ma part, l’odeur de l’encre fraîche sur le papier journal me rappelle le dimanche matin. Un peu de nostalgie, en somme, en plus de chaussures sèches.

  126. Deux heures ? Ça dépend sûrement du niveau d’humidité ! J’imagine mal mes bottes de rando sécher aussi vite après une bonne averse.

  127. Le papier journal, c’est bon pour absorber l’humidité, c’est sûr. Mais j’ai toujours peur que ça déteigne sur mes chaussettes claires. Un vrai cauchemar !

  128. Moi, le papier journal, j’avoue que je n’y aurais jamais pensé. C’est vrai qu’on a tellement d’options modernes maintenant qu’on oublie les trucs simples.

  129. Tiens, le papier journal! Ma mère faisait ça quand j’étais petit. L’odeur du cuir et du journal, ça me replonge en enfance, les jours de pluie.

    Ça a l’air bien, mais je me demande si ça marche pour les bottes en cuir.

  130. Le papier journal, ok, mais bonjour les mains noires après ! Et puis, trouver du papier journal de nos jours, c’est déjà une mission.

  131. Deux heures, c’est optimiste. J’ai essayé une fois, et le lendemain matin, c’était encore humide. L’avantage, c’est que ça ne coûte rien, si on lit encore le journal.

  132. J’ai surtout peur de l’effet que ça pourrait avoir sur la forme de mes chaussures, surtout celles en cuir délicat. Le papier journal humide, ça se ramollit… Bof.

  133. Le papier journal, pourquoi pas, mais j’ai des chats. Je me vois mal laisser traîner ça, ils feraient une fiesta d’encre et de papier mâché !

  134. Le coup du papier journal, ça me fait penser aux remèdes de grand-mère. Simple, efficace, et surtout, ça évite de cramer mes chaussures sur le radiateur.

  135. Architecte de Lille, tiens, tiens… Coïncidence ? Perso, j’utilise un vieux sèche-cheveux, mais en mode air froid. Plus rapide, et pas d’encre partout.

  136. L’architecte de Lille, c’est un détail qui me fait sourire. Ça sent la recherche de crédibilité un peu forcée. Perso, l’odeur du journal, je déteste ça.

  137. Le papier journal, c’est un peu comme une madeleine de Proust, non ? Ça me rappelle les bottes de ski de mon père qui séchaient devant la cheminée. Une autre époque !

  138. Moi, j’ai surtout peur que le papier journal déteigne sur mes chaussettes. J’ai déjà eu des surprises avec des sacs en papier kraft…

  139. Le coup du papier journal, ça me rappelle surtout les déménagements. On en utilisait des tonnes pour protéger la vaisselle. J’imagine l’odeur du cuir mélangée à celle de l’encre.

  140. Moi, le papier journal, je l’utilise pour faire briller les vitres après les avoir lavées. Jamais pensé à l’utiliser dans des chaussures!

  141. Le papier journal, bof. J’ai testé, et l’encre a migré sur le bord de mes semelles intérieures. Pas top pour l’hygiène, je trouve.

  142. Moi, ça me rappelle surtout mon enfance. Ma mère bourrait toujours nos bottes de neige de papier journal. Ça marchait bien, mais bon dieu, l’odeur de la pièce après !

  143. Bof, ça marche peut-être sur des baskets en toile, mais sur mes chaussures en cuir, j’aurais trop peur de les abîmer. Je préfère le bon vieux embauchoir.

  144. 2 heures ? Ça me semble optimiste. J’ai essayé une fois, c’était plus long. Et l’idée de devoir manipuler du papier noir d’encre me rebute un peu.

  145. Le papier journal ? Ça me semble un peu barbare pour mes chaussures préférées. Je préfère les laisser sécher naturellement, même si c’est plus long. Le temps, c’est le luxe ultime, non ?

  146. Franchement, j’ai plus de papier journal chez moi depuis des lustres. Tout est digital, maintenant. Faudrait déjà que j’en achète, juste pour sécher mes pompes ? Drôle d’idée.

  147. Tiens, ça me rappelle quand j’avais oublié mes chaussures de rando sous la pluie en camping. J’aurais aimé connaître cette astuce à l’époque, au lieu de grelotter des pieds pendant deux jours.

  148. Moi, l’odeur du papier journal, ça me rassure. Ça sent le dimanche matin et les croissants chauds, bien plus que le désinfectant pour chaussures !

  149. C’est marrant, je me demande si ça marche aussi avec les prospectus qu’on reçoit dans la boîte aux lettres ? Ça, au moins, j’en ai toujours sous la main!

  150. Ah, le papier journal ! Ça me rappelle les déménagements où on emballait tout avec. L’idée de le réutiliser pour les chaussures, c’est malin, mais j’ai surtout peur que ça les déforme, justement.

  151. Le papier journal, c’est pas glamour mais ça a le mérite d’être simple. Pour les chaussures des enfants après une journée à patauger, je dis oui.

  152. C’est vrai que c’est simple comme astuce. Mais le plus dur, c’est quand même de trouver du papier journal pas trop froissé pour bien épouser la forme de la chaussure. Sinon, gare aux plis !

  153. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’encre. J’ai peur que ça déteigne sur mes chaussettes, voire pire, sur l’intérieur de mes chaussures claires. Une catastrophe en perspective !

  154. 2 heures ? Chez moi, ça prendrait une éternité ! L’humidité ambiante dans ma région est un vrai fléau, le papier journal serait vite saturé.

  155. Le coup du papier journal, c’est un peu comme le remède de grand-mère qu’on ressort quand on a tout essayé. Ça sent le vécu, l’authenticité, loin des gadgets high-tech.

  156. Le cuir, c’est fragile. Je préfère bourrer mes chaussures avec des torchons en microfibre, plus doux et réutilisables.

  157. Je me souviens de l’odeur du journal mouillé…Pas sûr que ce soit une amélioration par rapport à des chaussures humides !

  158. Le papier journal, oui, mais seulement en dépannage. J’ai testé une fois, et la chaussure a mis trois jours à sécher complètement. Depuis, j’investis dans un sèche-chaussures électrique.

  159. Franchement, je ne lis plus le journal depuis des années. Je suppose que si j’avais vraiment les pieds trempés, j’essaierais, mais ça ne me viendrait pas naturellement à l’esprit.

  160. Moi, le papier journal, ça me rappelle surtout les feux de cheminée de mon grand-père. L’idée de le mettre dans mes chaussures, c’est comme un petit retour en enfance, un peu nostalgique.

  161. Moi, ça me rappelle surtout que le journal, ça coûte de l’argent ! Autant prendre du papier brouillon ou des vieux catalogues, c’est plus économique.

  162. Cédric Dubois architecte à Lille… ça me parle. Forcément, avec la pluie qu’on se tape ici, ça a dû lui arriver plus d’une fois !

  163. Le papier journal, c’est bien, mais mes chats adorent le déchiqueter. J’aurais plus de papier partout que dans mes chaussures !

  164. Moi, le plus dur, c’est de me rappeler où j’ai mis mes vieux journaux. C’est toujours au moment où j’en ai besoin qu’ils disparaissent !

  165. « Ancestrale », le mot est fort ! Ma mère faisait ça, oui. Mais je trouve que ça laisse une odeur d’encre pas terrible, non ?

  166. J’ai toujours eu peur que l’encre du journal déteigne sur mes chaussettes blanches ! C’est peut-être une lubie, mais ça me freine.

  167. Le coup du papier journal, c’est vrai que ça fonctionne. Mais pour moi, c’est surtout un pansement sur une jambe de bois. Mieux vaut un bon imperméabilisant, non ?

  168. J’ai l’impression que cette astuce est surtout utile quand on est pris au dépourvu. Sinon, un bon sèche-chaussures électrique, c’est quand même plus pratique et hygiénique, non ?

  169. C’est marrant, ma grand-mère bourrait aussi ses sabots de papier journal après le jardinage. L’odeur, c’était un mélange de terre et d’encre, un vrai parfum d’enfance !

  170. Moi, ce qui me gêne, c’est le gaspillage de papier. On parle d’écologie, mais bourrer ses chaussures de journaux, bof. J’essaierais plutôt de les faire sécher à l’air libre, même si c’est plus long.

  171. Tiens, ça me rappelle les colonies de vacances ! On avait toujours les pieds trempés et les moniteurs nous faisaient faire ça. Le papier journal, c’était un peu notre doudou anti-humidité.

  172. Je me demande si ça marche vraiment pour les chaussures en cuir délicat, celles que je porte pour sortir. J’aurais trop peur de les abîmer.

  173. Franchement, je préfère encore les laisser sécher près du radiateur, quitte à ce que ça prenne plus de temps. Le papier journal, ça me fait penser à un remède de pauvre.

  174. Ah, le papier journal ! Ça me rappelle surtout le moment où il faut tout enlever et nettoyer les petits morceaux d’encre qui restent collés. Pas très glamour, tout ça…

  175. Le papier journal, ça marche bien pour aspirer l’humidité, oui. Mais l’odeur de l’encre après, c’est pas top. Je préfère utiliser du papier de soie, plus doux et ça sent bon.

  176. Deux heures ? Ça me semble optimiste. J’ai essayé une fois, et ça a mis bien plus de temps, même en changeant le papier régulièrement.

  177. Le coup du papier journal, c’est un truc que ma mère faisait toujours. Maintenant, j’ai un sèche-chaussures électrique et je dois dire que c’est quand même plus pratique.

  178. Cédric Dubois architecte à Lille, ça sent le vécu ! Ça me rappelle mes galères de chaussures trempées après une journée de chantier. Simple et efficace, le papier journal.

  179. Le papier journal, c’est l’odeur de mon enfance quand mon grand-père rentrait du PMU. C’est vrai que ça pourrait marcher, mais l’idée me fait surtout sourire, un peu comme une madeleine de Proust.

  180. Tiens, le papier journal… Ma grand-mère bourrait ses bottes de jardin avec ça. Je me demande si elle savait pourquoi, ou si c’était juste pour le rangement.

  181. L’encre qui déteint, c’est mon cauchemar. J’imagine déjà mes baskets blanches virant au gris… Je vais rester sur mes vieilles serviettes, merci.

  182. Honnêtement, le papier journal, ça me rappelle surtout la buanderie de ma fac. Pas sûr que l’image soit assez glamour pour me convaincre de l’utiliser sur mes chaussures préférées.

  183. L’idée est bonne si on est pris au dépourvu, mais je pense que je préférerais encore utiliser le four à basse température. Plus rapide et pas de risque de taches.

  184. Deux heures ? Ça me paraît optimiste, surtout pour mes grosses chaussures de rando. J’essaierais si vraiment je n’ai rien d’autre sous la main, mais je ne m’attends pas à un miracle.

  185. Moi, j’utilise plutôt du papier essuie-tout. Plus absorbant que le journal et pas de risque de transfert d’encre. Ça marche bien aussi.

  186. Le côté « astuce de grand-mère » me plaît bien. Ça a un charme désuet, presque. J’imagine bien ma paire de Converse au coin du feu avec son journal.

  187. Cédric Dubois, architecte à Lille ? Ça sent la solution testée et approuvée par un nordiste connaisseur de la pluie ! Je vais peut-être essayer pour mes baskets de sport, au moins ça leur donnera une forme pendant qu’elles sèchent.

  188. Le papier journal, ça me rappelle surtout l’odeur de poisson frais chez le poissonnier. J’ai du mal à imaginer cette odeur sur mes chaussures !

  189. Moi, le papier journal, ça me rappelle mon premier stage en imprimerie. L’odeur, le bruit… Toute une époque ! Mais pour les chaussures, je crois que je préfère l’odeur de propre.

  190. Moi, le papier journal, ça me fait penser aux déménagements. Toujours utile pour protéger les objets fragiles. Une seconde vie inattendue pour l’info.

  191. Architecte à Lille, c’est vrai que ça donne du crédit ! Mais le journal, c’est tellement salissant. Je crains les doigts noirs après avoir manipulé tout ça.

  192. Franchement, le papier journal… ça me rappelle surtout les mauvaises nouvelles. Pas sûr que ce soit l’ambiance que je cherche pour mes pieds après une journée pluvieuse.

  193. Le papier journal, c’est pas très écolo tout ça… On abat des arbres pour imprimer des infos qu’on lit à peine, et après on l’utilise pour sécher nos chaussures ? Bof.

  194. L’idée est bonne si on a rien d’autre sous la main, mais je préfère laisser mes chaussures sécher naturellement, même si c’est plus long. L’encre et le papier mouillé, ça me fait un peu peur pour l’intérieur.

  195. Pour mes chaussures en daim, je privilégierais un embauchoir en cèdre. Ça absorbe l’humidité sans les tasser et ça sent bon !

  196. J’ai toujours utilisé du papier journal, mais plus par habitude qu’autre chose. L’article me fait me demander si d’autres méthodes ne seraient pas plus efficaces, finalement.

  197. L’astuce de grand-mère qui ressurgit ! Je me demande si ça marche vraiment mieux que de les mettre près du radiateur, en fait.

  198. Le coup du papier journal, ma mère faisait ça quand j’étais petit. Ça me rappelle les jours de pluie et les bottes pleines de boue. Un vrai retour en enfance !

  199. Deux heures ? Ça me paraît optimiste, surtout si les chaussures sont vraiment gorgées d’eau. J’ai essayé une fois, ça a pris bien plus de temps et j’ai dû changer le papier plusieurs fois.

  200. Moi, j’utilise des vieux torchons. Ça marche aussi bien, c’est lavable et réutilisable. Le journal, ça me fait penser à mon grand-père, mais c’est un peu dépassé, non ?

  201. Moi, ce qui me gêne, c’est l’odeur du journal mouillé. Ça me rappelle une cave humide, pas vraiment l’idée que je me fais d’une chaussure fraîche.

  202. Cédric Dubois architecte à Lille, ça fait tout de suite plus sérieux ! Ça me donne envie d’essayer juste pour voir si ça marche aussi bien pour les chaussures de chantier que pour les baskets du dimanche.

  203. Moi, c’est surtout l’encre qui me préoccupe. J’ai peur que ça déteigne à l’intérieur et me ruine mes chaussettes !

  204. Le papier journal, oui, mais quel gâchis ! On a tellement d’alternatives écologiques maintenant, c’est dommage de ne pas les mentionner.

  205. Mouais, ça me semble une solution de dépannage. Le papier journal, c’est bien si on n’a rien d’autre sous la main, mais ça ne vaut pas un bon embauchoir en bois pour préserver la forme de mes chaussures.

  206. Tiens, Cédric Dubois architecte… ça me rassure presque ! J’ai toujours eu peur que mes chaussures rétrécissent en séchant trop vite. Le papier journal, ça semble doux comme méthode.

  207. L’astuce de grand-mère par excellence ! Je me demande si ça marche vraiment mieux que de les laisser sécher à l’air libre, près d’un radiateur doux.

  208. Le coup du papier journal, c’est le genre d’astuce qu’on apprend et qu’on oublie aussi vite, non ? J’imagine la pile de journaux qui s’amoncelle…

  209. Architecte ou pas, Cédric Dubois a probablement oublié le sèche-chaussures électrique. C’est un investissement, certes, mais adieu l’encre et le temps perdu à froisser du papier.

  210. Lille et les averses, toute une histoire ! J’imagine bien Cédric rentrant chez lui les pieds trempés. Perso, j’opterais pour le sèche-cheveux en mode air froid avant le papier. Plus rapide, non ?

  211. Cédric Dubois, il a juste pas d’animaux de compagnie, c’est ça ? J’imagine mal mon chat laisser une chaussure pleine de papier tranquille…

  212. Cédric Dubois a bien de la chance d’avoir le temps de lire le journal ! Moi, mes chaussures sèchent toutes seules sur le paillasson, la vie est trop courte.

  213. Cédric Dubois, un nom comme un voisin. Ça me rappelle quand ma mère bourrait mes bottes de ski de papier journal, après les batailles de boules de neige. Nostalgie, quand tu nous tiens…

  214. Le papier journal, c’est bien en dépannage, mais l’odeur d’encre dans les chaussures… Bof. Je préfère encore les laisser sagement sécher, même si c’est plus long.

  215. Ah, le papier journal… Ma grand-mère ne jurait que par ça ! Mais bon, elle gardait aussi ses vieux collants troués « au cas où ». L’efficacité, j’ai des doutes, mais le côté économique, oui !

  216. Le papier journal, c’est pas mal pour l’environnement, au moins. Moins de gaspillage, ça change des solutions high-tech qui tombent en panne.

  217. Le papier journal, ça marche bien… jusqu’à ce que l’encre déteigne sur mes chaussettes blanches ! Expérience vécue, et pas qu’une fois. Maintenant, je préfère les embauchoirs en cèdre, plus chers, mais plus propres.

  218. Deux heures ? Ça me paraît optimiste. J’ai essayé une fois et j’ai dû changer le papier au moins trois fois. Disons que c’est mieux que rien, mais ne comptez pas sur ça pour une soirée impromptue.

  219. Le papier journal, c’est le réflexe anti-gaspi que j’ai oublié ! Merci pour le rappel, ça évitera d’allumer le sèche-chaussures à chaque averse.

  220. Cédric Dubois, architecte à Lille, ça sent le vécu. Mais le papier journal, ça marche surtout si on a la patience de changer le papier souvent. Sinon, l’humidité stagne et c’est pire.

  221. Tiens, je me demande si ça marche aussi pour les chaussures de sport après une bonne course sous la pluie. Ça éviterait qu’elles ne prennent une odeur de fauve. À tester !

  222. Papier journal ? Ça me rappelle surtout les mains noires quand je lisais Mickey enfant. J’ai peur d’en mettre partout dans mes chaussures en cuir.

  223. Moi, le papier journal, ça me fait penser au déménagement. On en mettait partout pour protéger la vaisselle, jamais dans les chaussures! Un peu peur que ça les déforme, non?

  224. Architecte à Lille, tiens, comme ma cousine ! Sinon, le papier journal, ça me rappelle l’odeur chez mon grand-père. Un peu nostalgique, mais pour mes chaussures, je préfère quand même la chaleur du radiateur.

  225. L’idée est bonne, mais je me demande si ça ne marche pas mieux avec du papier absorbant type essuie-tout. Plus propre, peut-être ?

  226. L’odeur d’encre, ça imprègne tout, non ? J’ai peur que mes ballerines délicates finissent par sentir le canard enchaîné.

  227. Je suis plutôt du genre à râler contre la météo, pas à trouver des solutions de grand-mère. Mais bon, si ça évite que mes bottines préférées ne finissent à la poubelle.

  228. Franchement, le papier journal, c’est bien en dépannage. Mais je préfère investir dans un bon embauchoir en cèdre. Ça sent bon et ça préserve la forme.

  229. Cédric Dubois architecte à Lille… ça sent le vécu, cette histoire ! Mais moi, c’est surtout mes bottes de rando qui prennent cher avec la pluie. J’essaierai, on verra bien.

  230. Le papier journal, c’est économique, c’est sûr. Mais je me demande toujours si c’est vraiment hygiénique, surtout pour des chaussures qu’on porte pieds nus l’été. Bof, je reste sceptique.

  231. Le coup du papier journal, c’est surtout un souvenir d’enfance chez mes parents. J’imagine bien que ça peut marcher, mais j’ai la flemme, pour être honnête.

  232. Moi, le souci, c’est surtout le temps que ça prend. Deux heures, c’est long quand t’as besoin de tes chaussures tout de suite !

  233. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le cuir. Le papier journal aspire l’humidité, ok, mais est-ce que ça ne l’assèche pas trop, au point de le craqueler ? Je préfère encore la chaleur douce d’un radiateur, même si c’est plus long.

  234. Tiens, ça me rappelle quand j’étais étudiant. On squattait tellement les bibliothèques que le papier journal, c’était notre sèche-chaussures officiel ! Simple et efficace.

  235. Le papier journal, c’est vrai que ça me parle… Ma grand-mère faisait ça, mais elle ajoutait aussi du riz cru dans les chaussures. Ça absorbait encore plus l’humidité, paraît-il !

  236. Honnêtement, l’odeur du papier journal mouillé, ça me rappelle plus les vieux garages que les bons souvenirs. Je crois que je préfère encore les laisser sécher naturellement, même si c’est plus long.

  237. Mouais, deux heures… ça me rappelle surtout la galère pour enlever tous les petits bouts de papier collés aux chaussures après.

  238. Deux heures, ça me semble raisonnable. Le sèche-linge à chaussures, c’est bien, mais ça consomme ! Pour une petite averse, le journal, c’est un geste plus écolo.

  239. Moi, j’utilise des embauchoirs en cèdre. Ils absorbent l’humidité et gardent la forme des chaussures. Plus cher, mais tellement plus élégant que le journal!

  240. Le papier journal, ça marche, oui, mais faut pas avoir des chats ! Ils adorent se frotter aux chaussures pleines de papier froissé, et là, c’est le bazar assuré.

  241. Moi, le papier journal, ça me rappelle surtout mon enfance et les bottes pleines de neige. Ça fonctionne, c’est sûr, mais j’ai surtout peur de bousiller mes Richelieus avec ça.

  242. Le papier journal, c’est le plan B ultime. Pas glamour, mais quand on est pris au dépourvu, ça dépanne bien. L’urgence prime sur l’élégance parfois.

  243. Cédric Dubois architecte… Tiens, ça me fait penser que je pourrais réutiliser le papier journal pour emballer mes maquettes fragiles. Deux usages en un, pas mal !

  244. Le papier journal, c’est bon pour les souvenirs… et les chaussures de sport. Pour mes bottines en cuir, je préfère la méthode douce : loin de toute source de chaleur.

  245. Le papier journal, c’est pratique, mais l’odeur de l’encre déteint vite dans le placard. J’ai essayé une fois, mon placard a senti l’imprimerie pendant des semaines.

  246. Perso, j’utilise du riz cru. Ça absorbe super bien l’humidité et ça évite l’encre partout. Le lendemain, un coup d’aspirateur et hop !

  247. « Deux heures » ? Ça me paraît optimiste. Mes chaussures mettent toujours bien plus longtemps à sécher, même avec du journal. L’humidité stagnante, c’est le pire.

  248. Le papier journal, ça me rappelle surtout mes cours de dessin. J’en ai toujours un rouleau à portée de main, mais jamais pensé à l’utiliser pour mes chaussures ! Drôle d’idée, mais pourquoi pas…

  249. Le papier journal, c’est surtout une solution pour quand on est vraiment fauché. Moi, je préfère investir dans un bon sèche-chaussures électrique, ça dure des années et c’est plus efficace.

  250. Le papier journal, ça me rappelle surtout le bazar que ça met partout. J’imagine déjà les miettes de papier et l’encre sur mes mains. Bof, je passe mon tour.

  251. Moi, le papier journal, ça me rappelle surtout mon enfance et les journées passées à faire des bateaux avec mon grand-père. Une belle madeleine de Proust, mais pour les chaussures, je reste sceptique.

  252. Tiens, ça me rappelle mon père qui bourrait toujours ses vieilles chaussures de randonnée avec du journal. L’odeur du papier mouillé… un parfum d’aventure !

  253. Architecte à Lille… ça sent le vécu. Mais bon, l’humidité lilloise, c’est une chose, mes baskets après un footing sous la pluie, c’en est une autre.

  254. Le papier journal, ça me rappelle surtout le métier de mon père, typographe. Ironique qu’un matériau qu’il fabriquait finisse dans mes godasses… Je vais peut-être essayer, pour le clin d’œil.

  255. Le coup du papier journal, c’est pas une solution d’urgence, c’est une philosophie! Un retour aux sources, loin des gadgets high-tech. Presque un acte militant anti-consumériste, en fait.