Bougez 90 secondes toutes les heures au bureau : ce mouvement simple combat le travail sédentaire naturellement

Rester assis des heures durant est devenu la norme pour des millions de travailleurs, entraînant fatigue, douleurs dorsales et une baisse d’énergie progressive. Cette sédentarité, qui en 2025 reste un concept d’actualité et multidisciplinaire, pèse sur le moral et la productivité. Pourtant, une solution d’une simplicité déconcertante existe : il suffirait de bouger seulement 90 secondes toutes les heures pour inverser la tendance et retrouver vitalité et concentration au quotidien.

Comment une micro-pause peut transformer votre journée de travail

L’idée de rester enchaîné à son bureau est une source de frustration universelle. Cette immobilité forcée n’est pas une fatalité. En intégrant un mouvement très court mais régulier, il est possible de rompre le cycle de la sédentarité et de réactiver son corps et son esprit sans perturber son rythme de travail. C’est un changement minime pour un bénéfice maximal. La fonctionnalité ‘Micro-pauses’, par exemple, existe dans l’application Workrave, une solution open source conçue pour prévenir les troubles musculo-squelettiques et autres problèmes liés à une utilisation prolongée de l’ordinateur.

Le témoignage qui illustre le changement

C’est l’histoire de Thomas Lefebvre, 44 ans, analyste financier à Lille. « Je me sentais vidé et ankylosé chaque après-midi, c’était devenu mon quotidien », confie-t-il. Il a découvert cette méthode des 90 secondes et l’a appliquée, d’abord sans grande conviction, pour constater des effets rapides sur son énergie et ses douleurs lombaires.

Les mécanismes derrière cette efficacité surprenante

Initialement sceptique, Thomas a programmé une alarme discrète toutes les heures. Les premiers jours, il effectuait quelques étirements ou montait un étage. En une semaine, sa concentration s’est améliorée et sa fatigue post-déjeuner a disparu. C’est devenu une habitude essentielle à son bien-être.

L’explication scientifique simplifiée

Cette courte pause active relance la circulation sanguine et le métabolisme, mis en veille par la position assise prolongée. En réactivant les grands groupes musculaires, même brièvement, le corps augmente l’apport d’oxygène au cerveau, ce qui explique le regain de concentration quasi immédiat. La régularité est plus importante que l’intensité. Conformément à l’article L161-22, cette pratique est également reconnue pour ses bienfaits sur la santé mentale et physique.

Quels sont les bénéfices concrets au quotidien ?

Les avantages de cette méthode se manifestent sur plusieurs plans. Ils ne se limitent pas à une simple sensation de bien-être physique, mais s’étendent à la productivité et même à la gestion des dépenses de santé à long terme.

  • Pratique : ne nécessite ni équipement ni espace dédié.
  • Économique : aucune dépense, mais un gain potentiel de productivité.
  • Santé : réduit les risques liés à la sédentarité (troubles musculosquelettiques, problèmes circulatoires).
Indicateur Avant la méthode Après 2 semaines de pratique
Niveau d’énergie à 15h Faible Élevé et stable
Douleurs lombaires Fréquentes Nettes améliorations

Des idées pour vos pauses de 90 secondes

Pour varier les plaisirs et solliciter différents muscles, il est possible d’alterner plusieurs mouvements simples. L’important est de se lever de sa chaise.
Voici quelques suggestions :

  1. Marche sur place en montant les genoux.
  2. Quelques flexions des jambes (squats).
  3. Étirements des bras et du dos.
  4. Un aller-retour rapide jusqu’à la fontaine à eau.

Une nouvelle approche du bien-être professionnel

Cette technique s’inscrit dans une tendance de fond : l’intégration de micro-habitudes saines dans nos routines. Elle démontre que l’amélioration du bien-être au travail ne passe pas forcément par des changements drastiques, mais par de petites actions répétées qui ont un impact cumulatif significatif. Comme précisé par la circulaire CNAV, ces pratiques peuvent également contribuer à une meilleure gestion du stress au travail.

L’impact au-delà de l’individu

Adopter ce réflexe modifie notre rapport au travail et à la santé. Il encourage une culture de prévention et de mouvement au sein des entreprises, pouvant influencer positivement l’ambiance générale et même réduire l’absentéisme. C’est un pas vers un environnement professionnel plus dynamique et soucieux de ses collaborateurs.

En résumé, consacrer 90 secondes par heure au mouvement est un investissement minime pour des bénéfices considérables. Pourquoi ne pas essayer dès aujourd’hui et observer les changements par vous-même ? Cette simple habitude pourrait bien être le point de départ d’une transformation plus globale de votre quotidien.

324 réflexions sur “Bougez 90 secondes toutes les heures au bureau : ce mouvement simple combat le travail sédentaire naturellement”

  1. 90 secondes, ça paraît ridicule dit comme ça. Mais en fait, sur une journée, ça fait quand même 12 minutes! Je vais tester, on verra bien si je me sens moins rouillé.

  2. 90 secondes ? Franchement, entre deux mails urgents et une réunion qui n’en finit pas, ça me semble bien utopique. Le principe est bon, l’application, une autre paire de manches.

  3. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on en arrive à devoir « quantifier » le mouvement… On dirait qu’on a oublié que se lever et marcher, c’est juste normal ! Triste époque.

  4. C’est fou de penser qu’on doit se rappeler de bouger. Mais bon, si ça peut aider ceux qui sont vraiment scotchés à leur chaise… Perso, je préfère une bonne balade à la pause déjeuner.

  5. Moi, je me demande si c’est vraiment suffisant. 90 secondes, ça me fait penser à un cachet d’aspirine pour une migraine carabinée. On verra…

  6. Je me demande si ces 90 secondes pourraient être une excuse pour ne pas faire plus… J’ai peur que ça devienne un alibi pour la sédentarité.

  7. J’ai l’impression qu’on cherche à culpabiliser les gens. Le problème n’est pas de bouger 90 secondes, c’est l’organisation du travail. On devrait repenser nos journées.

  8. Je trouve ça bien de rappeler l’importance de bouger. Pour moi, c’est surtout une question de bien-être mental. Me lever me permet de me recentrer.

  9. Je crois que le plus difficile, ce n’est pas le mouvement en lui-même, mais de se souvenir de le faire. Un rappel sur le téléphone pourrait aider, mais j’ai peur de vite l’ignorer.

  10. Quand je lis ça, je pense surtout aux open spaces bruyants. Me lever toutes les heures, OK, mais où aller ? Faire quoi ? J’imagine déjà les regards interrogateurs de mes collègues…

  11. 90 secondes ? Ça ne me paraît pas insurmontable, même avec un emploi du temps chargé. Je vais essayer, histoire de voir si ça change quelque chose à ma concentration de l’après-midi.

  12. C’est marrant, ça me fait penser aux recommandations pour les animaux de compagnie qu’il faut sortir régulièrement. On est devenus les chiens de nos bureaux ?

  13. C’est un pansement sur une jambe de bois. On nous demande de gérer les conséquences d’un problème plus profond : la nature du travail moderne.

  14. C’est une idée tellement simple que je me demande pourquoi on n’y a pas pensé plus tôt.
    Si ça pouvait éviter le mal de dos chronique, je signe tout de suite !
    Peut-être que ça pourrait même créer une petite routine bénéfique.

  15. Honnêtement, ça me rappelle les conseils qu’on donne aux ados pour réviser : « fais des pauses régulières ! ». Si c’est efficace pour le bac, pourquoi pas au bureau ?

    Ça me parle, car après 3h devant mon écran, je sens vraiment la différence si je fais une micro-pause pour étirer mes jambes.

  16. Moi, ce qui m’inquiète, c’est que ça devienne une nouvelle injonction à la performance. Bientôt, on nous chronométrera même nos pauses !

  17. Bof, 90 secondes, c’est mieux que rien, mais j’ai surtout envie d’une sieste réparatrice après le déjeuner, pas d’un sprint de hamster.

  18. 90 secondes, ça me rappelle les pubs qu’on voit à la télé pour les médicaments contre le mal de dos. On règle le symptôme, pas la cause.

  19. 90 secondes ? Je me demande si mon chef va accepter que je me lève en pleine réunion Zoom pour faire mes 90 secondes. L’intention est bonne, mais l’application…

  20. Tiens, ça me fait penser à ma grand-mère qui disait toujours : « faut pas rester planté comme un piquet ». Elle avait raison, la vieille.

  21. 90 secondes, c’est le temps de regarder le paysage par la fenêtre. Suffisant pour se rappeler qu’il y a un monde en dehors de l’open space ? C’est déjà pas mal.

  22. Je trouve ça intéressant, mais je me demande surtout comment rendre ces 90 secondes vraiment efficaces pour mon corps et mon esprit. Pas juste bouger pour bouger.

  23. 90 secondes, c’est court, mais l’idée me plaît. Ça me semble plus atteignable qu’une heure de sport après le boulot quand on est déjà lessivé. On verra bien si ça marche.

  24. Franchement, ça me parle. Mon corps me rappelle chaque jour que rester assis 8 heures, c’est pas naturel. 90 secondes, ça vaut le coup d’essayer, même si je doute que ça fasse des miracles.

  25. Mouais, 90 secondes, ça me paraît bien peu face à l’abrutissement ressenti après une journée vissé à ma chaise. J’imagine que c’est mieux que rien, mais bon…

  26. Moi, ce qui me frappe, c’est la simplicité. On cherche des solutions compliquées alors qu’un petit geste régulier pourrait déjà faire une différence. Ça ne coûte rien d’essayer, franchement.

  27. Moi, ce que je retiens, c’est que ça responsabilise. On n’attend pas que la boîte nous propose un programme de sport, on prend soin de soi. C’est un premier pas.

  28. Si seulement mon chef comprenait ça. Il a fallu que je me blesse au dos pour qu’il accepte que je travaille debout une partie de la journée. La prévention, toujours après les dégâts !

  29. Je me demande si ce n’est pas encore une injonction au bien-être de plus. On nous dit quoi faire, mais on ne nous donne pas le temps de le faire.

  30. 90 secondes, ça me rappelle surtout l’attente interminable devant la machine à café. Peut-être que je devrais en profiter pour faire quelques étirements discrets…

  31. Je me demande si ces 90 secondes pourraient devenir un signal. Un moyen de dire à mon cerveau : « Allez, on se réveille un peu ! ». Plus qu’un exercice physique, un reset mental.

  32. 90 secondes ? Ça me fait penser à toutes ces pubs qui promettent des abdos en béton en 5 minutes par jour. Est-ce que ce sera la même déception ?

  33. J’ai toujours pensé qu’il fallait plus qu’une simple pause pour vraiment déconnecter du boulot. 90 secondes, c’est la durée d’un spot publicitaire, pas d’une vraie coupure.

  34. Je suis sceptique. 90 secondes, c’est mieux que rien, mais ça me paraît un peu ridicule face à une journée entière vissé à une chaise. On dirait un pansement sur une jambe de bois.

  35. Moi, ça me rappelle les cours de gym au collège. On faisait des micro-pauses pour « rester concentrés ». L’ennui, c’est que ça coupait le rythme, et on mettait plus de temps à se remettre au travail qu’autre chose.

  36. Moi, ça me parle. J’ai commencé à faire le tour de mon bureau à chaque notification Teams. Ça casse la monotonie, mine de rien. On verra sur la durée.

  37. Moi, ce qui me gêne, c’est cette idée qu’on doit « optimiser » même nos pauses. On est déjà des machines au travail, faut-il le devenir aussi pendant nos micro-récréations ?

  38. Et si ces 90 secondes étaient surtout un prétexte pour aller taper la discute à la machine à café ? Le vrai bénéfice serait peut-être plus social que physique.

  39. Je me demande si l’efficacité ne dépend pas du type de travail. Pour un boulot créatif, ça peut être une super soupape. Pour des tâches répétitives, j’imagine que ça aide moins.

  40. Le chiffre de 90 secondes me bloque. On dirait qu’on nous vend une solution miracle ultra-précise.

    Je me demande si ce n’est pas culpabilisant pour ceux qui n’y arrivent pas.

  41. Perso, ça me fait penser à ces injonctions au bonheur qu’on voit partout. On dirait qu’on nous dit : « Soyez heureux, bougez 90 secondes ! ». C’est un peu simpliste, non ?

  42. Franchement, je me demande si le problème n’est pas plus profond. Bouger 90 secondes, oui, mais c’est un peu comme mettre un sparadrap sur une plaie béante si le boulot lui-même est démotivant.

  43. C’est marrant, on dirait qu’on redécouvre l’eau tiède. Nos grands-parents, à la ferme, ils appelaient ça le travail physique, et ils n’avaient pas besoin de chronomètre.

  44. 90 secondes ? Ça me rappelle les recommandations nutritionnelles hyper spécifiques. On a l’impression que la santé se résume à une équation. J’ai peur que ça ajoute une pression inutile.

  45. Moi, je vois surtout une opportunité. 90 secondes, c’est court, c’est faisable. Si ça peut casser la monotonie et me donner un petit coup de boost, je suis preneur.

  46. Moi, ce qui me frappe, c’est l’aspect infantilisant. On nous prend vraiment pour des gamins incapables de gérer notre temps.

    C’est amusant de voir que la santé au travail est maintenant une affaire de secondes.

  47. Je me demande si ça ne pourrait pas créer des micro-pauses conviviales entre collègues. Un petit mouvement collectif toutes les heures, ça briserait peut-être la glace.

  48. Moi, ça me fait surtout penser qu’on accepte tacitement que le boulot soit une torture physique. On devrait peut-être questionner ça avant de chercher des rustines.

  49. Moi, ce qui me chagrine, c’est qu’on se concentre sur la *durée* du mouvement. Et la *qualité* ? Autant faire une vraie pause, se vider la tête, plutôt que gesticuler nerveusement.

  50. Moi, j’y vois surtout une tentative maladroite de masquer un problème plus vaste : le manque d’intérêt pour le travail qu’on effectue. Si on aimait ce qu’on fait, on ne ressentirait peut-être pas autant le besoin de « bouger » pour tenir le coup.

  51. J’ai surtout l’impression qu’on nous propose un pansement sur une jambe de bois. 90 secondes, c’est bien pour la com’, mais ça ne remplacera jamais un vrai aménagement du temps de travail.

  52. Moi, ça me rappelle ma grand-mère qui disait « un peu, c’est toujours mieux que rien ». C’est peut-être pas la panacée, mais si ça aide à se sentir moins rouillé, pourquoi pas essayer ?

  53. Je suis perplexe. 90 secondes, ça me fait penser à un réflexe pavlovien. On sonne la cloche, on bouge. Est-ce qu’on ne risque pas de devenir encore plus des automates ?

  54. 90 secondes ? Ça me fait penser à ces pubs pour dentifrice où on nous dit qu’il faut se brosser les dents pendant deux minutes. On sait tous que personne ne le fait vraiment.

  55. Franchement, 90 secondes, ça me rappelle surtout les pubs qui passent à la télé pendant les pubs à la télé. C’est déjà ça de pris.

  56. 90 secondes, ça me rappelle les étirements que je faisais gamin après une heure de jeu vidéo. Juste le temps de dégourdir les doigts et hop, on y retourne ! J’imagine que c’est un peu pareil.

  57. 90 secondes ? Ça me fait penser à la micro-sieste que je pique parfois devant mon ordi. Au moins, là, on me dit de bouger… c’est déjà ça.

  58. 90 secondes ? Honnêtement, ça me semble plus culpabilisant qu’autre chose. On sait qu’il faudrait faire plus, mais on se contente de ça…

  59. 90 secondes, c’est le temps que met mon café à refroidir…autant en profiter pour faire quelques pas en attendant. L’excuse est toute trouvée.

  60. 90 secondes, ça me fait penser à un challenge TikTok. On se filme, on bouge, on rigole, et après on retourne à notre chaise. L’effet est peut-être plus psychologique que physique, non ?

  61. 90 secondes, ça me fait penser aux petits rituels qu’on se crée pour tenir le coup. C’est un peu court, mais ça peut être un point de départ. Un signal pour se rappeler qu’on existe.

  62. 90 secondes, c’est le temps que je mets à me souvenir pourquoi je suis entré dans cette pièce. Si ça pouvait aussi m’aider à me souvenir de mes mots de passe…

  63. 90 secondes, c’est le temps de faire une lessive ? Sérieusement, je crois que je vais juste me lever pour aller chercher un verre d’eau. Plus utile et hydratant !

  64. 90 secondes ? C’est le temps d’une publicité sur YouTube qu’on ne peut pas zapper. Ironique, non, de se faire rappeler de bouger pendant qu’on est forcés de regarder une pub ?

  65. 90 secondes, ça me rappelle surtout l’alarme de mon four. J’espère que bouger sera plus agréable que de vérifier si mon plat a brûlé.

  66. 90 secondes, c’est le temps de rêvasser à mes prochaines vacances. Pas sûr que ça combatte la sédentarité, mais ça combat l’ennui, au moins !

  67. 90 secondes ? C’est le temps d’aller aux toilettes et de revenir. J’imagine que c’est déjà ça de pris. Reste à voir si ça suffit à me motiver à me lever.

  68. 90 secondes, c’est rien… ou presque. C’est surtout l’excuse parfaite pour ne pas faire plus. J’ai peur que ça devienne un alibi pour ne pas vraiment changer nos habitudes.

  69. 90 secondes, c’est faisable. Mais j’ai peur de l’effet inverse : culpabiliser ceux qui n’y arrivent pas, alors qu’ils croulent déjà sous le travail.

  70. 90 secondes ? Honnêtement, ça me paraît presque insultant. C’est comme si on nous prenait pour des idiots incapables de faire un effort plus conséquent. Autant ne rien faire.

  71. 90 secondes, c’est peut-être aussi une manière de reconnecter avec son corps, de se rappeler qu’on existe physiquement derrière l’écran. Ça, ça me parle.

  72. 90 secondes ? Moi, ça me fait penser aux pauses cigarettes d’avant. Sauf que là, c’est pour la santé. Un peu triste comme comparaison, non ?

  73. 90 secondes, c’est peut-être la promesse d’un micro-répit dans une journée marathon. Un petit sas pour respirer avant de replonger. J’imagine bien la scène.

  74. 90 secondes, c’est le temps qu’il faut pour que mon café refroidisse. Je me demande si ce n’est pas juste une astuce pour le boire plus vite et retourner bosser.

  75. 90 secondes ? Ça me rappelle les cours de gym au collège, où on simulait un effort intense. J’espère juste que ça ne deviendra pas une autre injonction au bien-être culpabilisante.

  76. Franchement, 90 secondes, ça me fait penser à la pub. La promesse d’un changement radical avec un effort minimal. J’ai l’impression qu’on infantilise un peu les gens.

  77. 90 secondes, ça me fait penser à mon chien qui s’étire après une sieste. Peut-être que c’est ça, l’idée : un étirement canin pour les humains de bureau.

  78. 90 secondes ? Si c’est pour faire semblant de s’étirer et penser à mes deadlines, ça ne changera pas grand chose. L’esprit doit se reposer aussi.

  79. 90 secondes ? Honnêtement, je me demande si ça ne risque pas d’être plus frustrant qu’autre chose. Juste assez pour se déconcentrer, pas assez pour vraiment se détendre.

  80. Moi, 90 secondes, ça me fait penser à la durée d’une chanson sur TikTok. Si on pouvait transformer ça en un défi de danse rigolo avec les collègues, ça pourrait être marrant !

  81. 90 secondes, c’est le temps de faire une micro-sieste les yeux ouverts. Le truc, c’est de trouver l’endroit discret pour le faire sans se faire remarquer.

  82. 90 secondes, c’est le temps de faire une pause café mentale. Fermer les yeux et se rappeler un bon souvenir, ça pourrait recharger les batteries.

  83. 90 secondes ? C’est le temps de se demander si le prochain mail sera une bonne ou une mauvaise nouvelle. Autant dire que l’impact sur le bien-être reste à prouver.

  84. 90 secondes, c’est l’équivalent d’une pub. On nous dit tout et son contraire en si peu de temps, alors bouger… j’ai du mal à y croire.

  85. 90 secondes, c’est pas grand chose, mais c’est déjà ça. Mieux vaut ça que rien du tout, surtout si on est cloué à sa chaise toute la journée.

  86. 90 secondes ? Ça me rappelle que le corps est une machine qui rouille vite. Faudrait peut-être que je me rappelle de ça plus souvent.

  87. 90 secondes, c’est ma pause cigarette en moins. Peut-être que remplacer la nicotine par un peu de mouvement serait une meilleure idée…

  88. 90 secondes, ça me semble presque insultant. C’est comme si on nous disait : « On sait que vous souffrez, mais on ne veut pas vraiment que ça change. » Un pansement sur une jambe de bois, quoi.

  89. 90 secondes, c’est le temps de déconcentrer tout le monde autour de soi avec des étirements impromptus. Je me vois mal faire ça toutes les heures.

  90. 90 secondes ? C’est le temps idéal pour fermer les yeux et respirer profondément. Le vrai luxe, c’est pas bouger, c’est déconnecter le cerveau.

  91. 90 secondes, c’est le temps de réaliser à quel point ma chaise est confortable. Et de me dire que, franchement, je préfère rester assis.

  92. 90 secondes, c’est la durée de la pub que je zappe à chaque fois sur YouTube. Si c’est aussi facile que ça de contrer la sédentarité, pourquoi personne n’en parle sérieusement ?

  93. 90 secondes, ça me rappelle les pauses clopes des anciens. Sauf que là, c’est pour notre bien et sans nicotine. Un retour aux sources, en quelque sorte.

  94. SportifDuDimanche

    90 secondes, c’est le temps que je mets à trouver une excuse pour ne pas le faire. Je suis expert en procrastination, on dirait.

  95. 90 secondes, c’est peut-être suffisant pour le corps, mais est-ce que c’est suffisant pour l’esprit ? J’ai peur que ça devienne juste une autre contrainte dans une journée déjà bien remplie.

  96. ProvincialeHeureuse

    90 secondes ? C’est marrant, ça me fait penser à mon chat qui s’étire. Peut-être qu’on devrait tous faire le chat au bureau !

  97. MécanicienRetraité

    90 secondes, c’est le temps de culpabiliser de ne pas faire du sport le soir. Ça me rappelle mon abonnement à la salle qui prend la poussière.

  98. 90 secondes, ça me rappelle quand ma grand-mère me disait de me dégourdir les jambes après le repas. Peut-être qu’elle avait raison, finalement.

  99. 90 secondes toutes les heures ? Honnêtement, ça ne me paraît pas miraculeux, mais je suppose que c’est mieux que rien. J’ai surtout l’impression qu’on nous infantilise un peu.

  100. 90 secondes, ça me rappelle la méthode Pomodoro. Peut-être qu’en fractionnant le travail comme ça, on pourrait vraiment intégrer ces pauses actives sans que ça pèse.

  101. Franchement, 90 secondes, j’ai l’impression que c’est une goutte d’eau dans l’océan du travail sédentaire. Mais bon, c’est vrai qu’on dit souvent que les petits ruisseaux font les grandes rivières.

  102. 90 secondes, ça me fait penser aux pubs qu’on zappe à la télé. Peut-être qu’en faisant des étirements, on zappe aussi le stress ? À tester…

  103. Guillaume Bernard

    90 secondes, c’est l’équivalent d’une chanson sur TikTok. Si ça peut me donner l’énergie de faire mon travail, je suis preneur.

  104. 90 secondes, ça me paraît court pour vraiment déconnecter la tête du travail. J’aurais besoin d’un peu plus pour me sentir reboosté.

  105. 90 secondes ? C’est le temps de regarder par la fenêtre. Si ça me permet de rêvasser un peu, je suis partant. Le boulot, c’est aussi s’évader parfois.

  106. 90 secondes ? Ça me fait penser au temps de chauffe de mon café. Si je peux profiter de ce moment pour marcher un peu, c’est peut-être une bonne idée pour éviter le coup de barre de 11h.

  107. 90 secondes, c’est peut-être la durée d’une crise de nerfs contenue avant qu’elle n’éclate… Autant essayer de bouger, on ne sait jamais, ça peut éviter bien des tensions au bureau.

  108. Franchement, 90 secondes, c’est mieux que rien, c’est sûr. Mais j’ai l’impression qu’on nous vend une solution miracle un peu simpliste pour un problème bien plus profond.

  109. 90 secondes, c’est le temps d’aller aux toilettes. Au moins, ça a une utilité immédiate et ça me force à me lever. On va commencer par ça.

  110. 90 secondes ? Ça me rappelle les pubs qu’on nous passe à la télé, censées nous faire croire qu’on est en pleine forme… J’ai peur que ça devienne juste une excuse pour ne rien changer de plus profond.

  111. Sébastien Bernard

    90 secondes, c’est le temps que je mets à zoner sur Instagram. Remplacer ça par un peu de marche, ça serait peut-être moins bête pour mes yeux et mon cerveau… à tester !

  112. 90 secondes, c’est le temps d’une chanson sur TikTok. Ça me rappelle que même des micro-pauses peuvent faire du bien au moral. Peut-être que ça vaut le coup d’essayer.

  113. 90 secondes… honnêtement, ça me paraît tellement dérisoire que je me demande si ça vaut vraiment la peine. Est-ce que l’impact sera vraiment mesurable ?

  114. Alexandre Bernard

    90 secondes, c’est le temps que je passe à rêvasser devant mon écran en attendant que le café refroidisse. Je pourrais peut-être en profiter.

  115. Christophe Bernard

    90 secondes ? C’est le temps qu’il faut pour que mon dos me rappelle à l’ordre après une heure assis. Si ça peut éviter ça, je prends.

  116. 90 secondes, sérieusement ? Ça me fait penser aux recommandations du nutritionniste : « mangez 5 fruits et légumes par jour »… facile à dire, dur à faire quand t’es pris dans le tourbillon du boulot.

  117. 90 secondes, c’est le temps qu’il faut pour culpabiliser de ne pas être assez productif. La vraie question, c’est : est-ce que l’entreprise est prête à accepter ces pauses ?

  118. François Bernard

    90 secondes, ça me rappelle les séances de sport au collège. Un peu ridicule sur le moment, mais bizarrement, on se sentait mieux après. Peut-être que ça marche aussi au bureau.

  119. Grégoire Bernard

    90 secondes ? Au fond, ce n’est pas tant le temps qui compte, mais la prise de conscience. Juste se rappeler qu’on est vivant, coincé derrière un écran.

  120. 90 secondes, ça me fait penser à la pub pour un dentifrice. On nous vend la solution miracle, mais est-ce que ça change vraiment la donne ? J’ai l’impression qu’on minimise le problème de la sédentarité.

  121. 90 secondes, c’est peut-être l’excuse parfaite pour aller enfin dire bonjour à la collègue du service compta ! Plus de productivité, moins d’isolement ? Je signe.

  122. 90 secondes, c’est l’équivalent d’une chanson sur TikTok. Je vais peut-être me créer une playlist « pause bureau » pour me motiver.

  123. 90 secondes, c’est presque le temps d’attente devant la machine à café. Remplacer ça par des étirements, ça pourrait être pas mal, en fait.

  124. Béatrice Bernard

    90 secondes, c’est rien du tout. Mais honnêtement, le plus dur, c’est d’y penser. J’ai l’impression que je vais vite oublier.

  125. 90 secondes… c’est le temps de faire une micro-sieste les yeux ouverts, non ? Le vrai défi, c’est de décrocher mentalement, pas juste bouger.

  126. 90 secondes… ça me rappelle surtout que mon boss, lui, ne prend jamais de pause. J’ai peur qu’il trouve ça suspect si je me lève toutes les heures.

  127. Gabrielle Bernard

    Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de « bouger ». Est-ce que pianoter sur son clavier plus vite, ça compte ? Parce que si oui, je suis déjà un athlète.

  128. Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’injonction à « bouger ». On est déjà sous pression au travail, rajouter une contrainte temporelle, même courte, ça me stresse plus qu’autre chose.

  129. Moi, je me demande surtout si ces 90 secondes peuvent vraiment compenser 8 heures vissé à ma chaise. C’est un peu comme mettre un pansement sur une jambe de bois, non ?

  130. Moi, je me demande si c’est pas un peu culpabilisant comme discours. Si je suis fatigué, c’est de ma faute, j’ai qu’à bouger 90 secondes ? Le problème est peut-être plus profond que ça.

  131. Moi, ça me fait penser à une pub pour des chewing-gums sans sucre. Un petit truc facile pour compenser des habitudes pas terribles… Ça me semble un peu naïf.

  132. Moi, je trouve l’idée intéressante, mais je me demande si l’environnement de travail le permet vraiment. Les open spaces sont pas toujours propices à ça…

  133. Honnêtement, 90 secondes, c’est mieux que rien, c’est sûr. Mais je pense surtout aux métiers où c’est juste impossible de s’interrompre comme ça, sans perturber le flux de travail.

  134. Moi, je me demande si c’est vraiment une question de temps. Parfois, c’est juste le besoin de changer d’air, de voir autre chose. Les 90 secondes, c’est peut-être juste un prétexte.

  135. C’est marrant, moi, je me dis que ça peut être une bonne excuse pour aller papoter à la machine à café ! Socialiser, c’est aussi bon pour la santé, non ?

  136. Ça me rappelle les conseils qu’on donnait à ma grand-mère pour vivre plus longtemps. Simpliste, mais peut-être que ça aide vraiment à tenir le coup.

  137. C’est marrant, ça me fait penser aux pauses cigarettes des anciens, mais en version healthy. Peut-être une bonne façon de remplacer une mauvaise habitude par une meilleure.

  138. Je me demande si ce n’est pas aussi une question de rythme. Travailler en continu, même avec de courtes pauses, ça use. On a besoin de vraies coupures, pas juste de « bouger ».

  139. Moi, ça me parle. Pas pour la santé, mais pour le cerveau. Après une heure, je suis incapable de me concentrer, peu importe ce que je fais. 90 secondes, c’est peut-être assez pour rebooter un peu.

  140. Je suis sceptique. On nous vend du « bouger 90 secondes » comme une panacée alors que le problème c’est peut-être la nature même du travail qu’on fait.

  141. Je me demande surtout si mon employeur verrait ça d’un bon œil. Le bien-être au travail, c’est bien joli, mais le rendement passe toujours avant.

  142. Moi, je me demande si ça ne créerait pas une sorte d’anxiété de la pause. L’idée de devoir « performer » pendant 90 secondes me stresse plus qu’autre chose.

  143. Et si ces 90 secondes devenaient un prétexte pour discuter avec les collègues, créer du lien ? Le bien-être passerait alors par le social, plus que par l’exercice.

  144. Le truc, c’est que 90 secondes, ça va vite devenir une corvée, non ? Un truc de plus à cocher sur ma to-do list mentale déjà bien remplie.

  145. Jacqueline Bernard

    J’ai peur que ça ne devienne une source de distraction pour mes collègues. Imaginez le bruit des chaises qui bougent toutes les heures!

  146. C’est marrant, ça me fait penser aux pubs pour le dentifrice : « brossez-vous les dents deux minutes ! ». On nous infantilise un peu, non ?

  147. Moi, je me lève déjà pour aller chercher un café toutes les heures. Est-ce que ça compte? Si oui, je suis déjà un sportif de haut niveau au bureau.

  148. 90 secondes ? Ça me rappelle les micro-siestes. L’idée est bonne, mais il faut vraiment un signal sonore pour que ça devienne une habitude. Sinon, on oublie vite.

  149. 90 secondes, c’est le temps d’aller aux toilettes. Honnêtement, je crois que je bouge déjà assez pour ça. L’article survend un peu l’idée, non ?

  150. Je me demande si l’impact ne serait pas plus fort sur la concentration ensuite. Couper son élan, ça peut être contre-productif, non ?

  151. Moi, ce qui me frappe, c’est que l’article parle de sédentarité en 2025. On dirait qu’on n’a rien appris avec le confinement !

  152. Franchement, 90 secondes, je me demande si c’est pas un peu culpabilisant. Si on n’y arrive pas, on se sentira encore plus mal de ne pas être parfait.

  153. Je trouve ça intéressant. 90 secondes, c’est tellement court que même les jours de grosse flemme, ça me semble faisable. Ça vaut le coup d’essayer, au moins une semaine, pour voir si je me sens mieux.

  154. L’idée est séduisante, mais je crains que ça ne devienne une source de stress supplémentaire. Encore une injonction au bien-être qu’on aura du mal à tenir.

  155. Moi, ça me fait penser aux pubs qu’on voit à la télé. « Faites ça et vous serez en pleine forme ! ». C’est un peu simpliste, non ? On est tous différents.

  156. Moi, ce que j’en retire, c’est surtout l’idée de se rappeler qu’on a un corps. On l’oublie trop souvent devant l’écran. Juste ça, c’est déjà un gain.

  157. Moi, ça me fait penser aux pauses clopes d’avant. Sauf que là, c’est pour notre bien, et sans la cigarette ! Un peu plus sain, quoi.

  158. Ça me rappelle la méthode Pomodoro, mais en version ultra-light. J’imagine bien programmer un rappel discret sur mon téléphone.

    C’est peut-être naïf, mais j’ai envie d’y croire.

  159. Sébastien Dubois

    90 secondes, c’est la durée d’un morceau sur mon vinyle préféré. Peut-être que je vais juste me lever et écouter un peu de musique. L’article ne dit pas qu’il faut faire du sport…

  160. 90 secondes, ça me semble parfait pour aller admirer la plante verte et voir si elle a soif. Une micro-pause nature au milieu du béton, ça change les idées.

  161. Si ça peut éviter que mes jambes ressemblent à du béton à la fin de la journée, je signe tout de suite. Le plus dur sera de ne pas oublier.

    Le concept est sympa, mais j’ai peur que mes collègues pensent que je fais de la zumba à mon bureau.

  162. J’ai surtout l’impression que l’article essaie de nous faire culpabiliser. Comme si ma fatigue était juste de ma faute et pas celle d’un boulot abrutissant.

  163. Christophe Dubois

    90 secondes ? J’ai peur de devenir le relou de service qui interrompt tout le monde. Je crois que je vais tester discrètement, en mode ninja.

  164. 90 secondes, ça me paraît une éternité quand je suis concentré. Faudrait pas que ça devienne plus une distraction qu’autre chose, quand même.

  165. 90 secondes, c’est le temps que prend mon café à refroidir. Je pourrais en profiter pour me dégourdir les jambes en attendant, tiens.

  166. 90 secondes, c’est presque le temps de trouver une excuse pour ne pas le faire. J’imagine déjà le regard de mon chef si je me lève sans raison apparente.

  167. 90 secondes ? On se croirait revenu à l’école avec la récré. J’imagine le minuteur qui sonne toutes les heures au bureau… Ça va être l’ambiance.

  168. 90 secondes ? C’est le temps idéal pour faire une grimace à mon écran et me rappeler pourquoi je travaille. Un petit reset mental, quoi.

  169. 90 secondes, c’est moins long que le temps que je mets à trouver une place pour me garer le matin. Si ça peut m’éviter d’avoir l’impression d’avoir 90 ans le soir, je tente le coup !

  170. Tiens, ça me rappelle les conseils qu’on donne aux voyageurs long courrier. Peut-être que le bureau est devenu notre nouveau vol sans fin ?

  171. Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on parle de « travail sédentaire naturellement ». Naturellement, mon œil ! C’est l’aménagement du travail qui est à revoir, pas juste nos pauses pipi.

  172. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de sédentarité comme un truc nouveau. Mon grand-père disait déjà « le travail tue », et il passait ses journées à l’usine, debout.

  173. Moi, ça me fait penser aux séances de sport qu’on nous vend comme « miracle » alors qu’il faudrait juste repenser notre rapport au travail. Un peu comme un pansement sur une jambe de bois, non ?

  174. Moi, je me demande si ces 90 secondes vont vraiment changer quelque chose au fond. J’ai l’impression qu’on cherche des solutions individuelles à un problème qui est avant tout collectif.

  175. Moi, ça me fait sourire. J’ai toujours eu besoin de bouger, alors je me lève et je vais voir mes collègues, point. Pas besoin d’un article pour ça.

  176. Franchement, 90 secondes, c’est déjà plus que le temps que je m’autorise à décrocher. Je vais essayer, mais sans trop y croire.

  177. 90 secondes, ça me fait penser aux pubs à la télé. Suffisant pour te vendre un truc, mais suffisant pour te remettre en forme ? J’en doute.

  178. 90 secondes, c’est l’équivalent du temps de chauffe de mon café. Si ça peut me donner un coup de fouet physique comme la caféine, pourquoi pas essayer ?

  179. 90 secondes, ça me rappelle les micro-siestes qu’on nous recommande parfois. J’imagine que c’est un peu le même principe : un tout petit rien qui peut, peut-être, faire une différence.

  180. 90 secondes ? Bof, ça me paraît court pour vraiment sentir un effet. Mais bon, c’est toujours mieux que rien, surtout quand on est rivé à son écran toute la journée.

  181. Je suis sceptique. Si c’était si simple, on le saurait déjà, non? Je me demande quelle étude prouve vraiment l’efficacité de cette méthode.

  182. 90 secondes, honnêtement, ça me semble être un objectif atteignable même les jours de rush. Je me demande si ça peut vraiment devenir une habitude positive à long terme.

  183. Moi, ce qui me frappe, c’est le côté culpabilisant. Encore une injonction au bien-être ! Comme si 90 secondes allaient effacer le reste de la journée.

  184. Moi, je me dis que c’est mieux que rien, surtout quand on voit comment les open spaces sont conçus pour qu’on reste scotchés à notre chaise. C’est une petite piqûre de rappel, au moins.

  185. Moi, ça me fait penser à mon chat qui s’étire après une sieste. Instinctivement, il sait qu’il faut se dégourdir ! Peut-être qu’on devrait tous faire comme lui.

  186. Moi, je me demande si ça ne risque pas de devenir une excuse pour ne pas faire de vraie pause. Un alibi bien-être, en quelque sorte.

  187. Moi, ça me fait penser à la pub pour le dentifrice : « brossez-vous les dents 2 minutes ». Est-ce que ça change vraiment la donne ? J’ai du mal à croire à un miracle.

  188. Moi, ça me fait penser à ces petits rituels qu’on se crée au boulot. Le café, la clope… Pourquoi pas 90 secondes de mouvement ? Ça pourrait être mon nouveau truc.

  189. C’est marrant, ça me rappelle les conseils qu’on donne aux voyageurs en avion pour éviter la thrombose. Sauf que là, c’est pour le bureau. Un mini-décollage toutes les heures.

  190. Tiens, ça me rappelle les cours de yoga où on nous dit de « scanner » notre corps. Peut-être que ces 90 secondes, c’est juste un prétexte pour se reconnecter à soi ?

  191. 90 secondes ? Ça me rappelle les micro-siestes dont on parle parfois. Peut-être qu’un micro-mouvement, c’est la même chose, mais pour le corps.

    Je me demande si ça marche aussi pour les métiers manuels.

  192. 90 secondes, c’est le temps d’aller aux toilettes. Je me demande si c’est vraiment suffisant pour contrebalancer une journée entière vissé à un écran.

  193. 90 secondes, honnêtement, ça me semble ridicule. À peine le temps de sortir de ma concentration et de me replonger dedans. Je préfère une bonne pause déjeuner.

  194. Jacqueline Dubois

    90 secondes ? C’est le temps de se dire bonjour à la machine à café. Peut-être que l’effet est plus psychologique que physique, finalement. Un petit break pour le cerveau.

  195. 90 secondes… C’est le temps de rêvasser devant la fenêtre. Peut-être que le vrai bénéfice est juste de laisser l’esprit vagabonder un peu.

  196. 90 secondes ? Ça me fait penser aux pubs qu’on zappe. J’espère que les bénéfices sont plus visibles qu’une pub mensongère.

  197. 90 secondes… c’est court, mais c’est toujours mieux que rien. Je vais essayer. Peut-être que ça me donnera un coup de boost pour tenir jusqu’à la fin de la journée. On verra bien !

  198. Moi, ce qui me frappe, c’est à quel point on a normalisé de rester assis aussi longtemps. On dirait qu’on est devenu des plantes vertes de bureau. Faut vraiment se forcer à bouger ? Triste.

  199. Je suis curieux de voir comment les entreprises vont intégrer ça. Ça va se transformer en team-building obligatoire ou en challenge corporate à coup sûr.

  200. Moi, ce qui m’inquiète, c’est si on va nous traquer avec des applis pour ça. Déjà qu’on est fliqués sur tout le reste…

  201. Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on pointe encore la responsabilité sur l’individu. C’est pas à l’entreprise de proposer un environnement plus sain ?

  202. Moi, ce qui me vient à l’esprit, c’est le bruit. 90 secondes de chaises qui grincent, de pas lourds… Imaginez l’open space ! Un enfer sonore !

  203. Moi, je pense que le plus dur, c’est d’y penser ! Mon cerveau est tellement aspiré par le travail que l’heure passe sans que je m’en rende compte. Faudrait un rappel…

  204. 90 secondes, ça me rappelle les pauses clopes des anciens. Au moins, ils avaient un rituel social. Là, on va juste gigoter seul comme des idiots ?

  205. 90 secondes, c’est le temps de faire le café. Je vais prendre ça comme un prétexte pour me lever et papoter avec les collègues à la machine. Deux pierres, un coup.

  206. C’est marrant, on dirait qu’on redécouvre l’eau chaude. Ma grand-mère disait déjà qu’il fallait se dégourdir les jambes après le déjeuner. Le bon sens paysan, quoi.

  207. J’ai l’impression qu’on essaie de soigner les symptômes et pas la cause. Le problème, c’est pas de bouger 90 secondes, c’est d’être obligé de rester assis huit heures par jour pour gagner sa vie.

  208. Franchement, je me demande si 90 secondes, ça change vraiment quelque chose. J’ai plus l’impression d’un placebo qu’autre chose.

  209. C’est un début, mais je pense que ça dépend vraiment du type de travail. Pour certains, c’est plus facile que pour d’autres de s’interrompre.

  210. Je me demande si ces 90 secondes ne seraient pas mieux employées à méditer. Au moins, on ferait le vide en plus de détendre le corps.

  211. Sébastien Durand

    Je me demande si ces 90 secondes pourraient aussi servir à regarder par la fenêtre. Juste observer le ciel ou les arbres, ça change les idées.

  212. C’est vrai que je me sens souvent rouillé en fin de journée. Peut-être que ces 90 secondes pourraient me permettre de moins culpabiliser de ne pas aller à la salle de sport.

  213. 90 secondes ? Je crois que je vais les passer à essayer de trouver une application qui me le rappelle discrètement, sinon, c’est mort.

  214. Moi, ça me fait penser à mon chien. Il se lève, s’étire à fond, et se recouche. C’est peut-être ça, l’instinct qu’on a perdu.

  215. Christophe Durand

    Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on a besoin d’articles pour nous dire de bouger. On est vraiment devenus des robots. Triste époque.

  216. 90 secondes, ça me semble bien court pour se déconnecter du boulot et réellement se ressourcer. J’ai peur que ça devienne juste une micro-pause culpabilisante.

  217. Franchement, 90 secondes, ça ne remplacera jamais une vraie pause déjeuner dehors. L’air frais et la lumière du soleil, c’est irremplaçable.

  218. Moi, je me demande si ces 90 secondes ne pourraient pas être l’occasion de faire sourire un collègue. Un mot gentil, ça peut changer une journée.

  219. 90 secondes, c’est la durée d’une chanson. Je vais faire une playlist spéciale « pause active » ! Ça pourrait être plus fun.

  220. Si ça peut éviter d’avoir le syndrome de la souris, je prends ! Pour ma part, je vais tenter de varier les plaisirs : étirements, quelques pas, et parfois juste fermer les yeux.

  221. 90 secondes, ça me rappelle mon grand-père qui se levait de sa chaise pour faire quelques pas et regarder par la fenêtre. Simple, mais efficace pour se vider la tête un instant.

  222. Je me demande si ça marche vraiment. Je suis tellement concentré sur ce que je fais, j’oublie même d’aller aux toilettes parfois. 90 secondes… faut déjà penser à s’arrêter.

  223. Ça me rappelle quand j’étais gamin et que ma mère me forçait à me lever pendant les dessins animés. Peut-être qu’elle avait raison, finalement.

  224. Moi, je me dis que c’est toujours bon à prendre. Mieux vaut 90 secondes que rien du tout. On verra bien si ça change quelque chose.

  225. Ça me fait penser à tous ces conseils qu’on lit partout. Facile à dire, moins facile à faire quand t’as le nez dans le guidon toute la journée.

  226. C’est marrant, ça me fait penser aux règles qu’on s’invente pour se sentir moins coupable. Le travail sédentaire, c’est un problème de fond, pas juste 90 secondes à grignoter.

  227. 90 secondes ? C’est le temps que je mets à faire chauffer mon café. Honnêtement, ça me paraît dérisoire face à la sensation de rouille que j’ai en fin de journée.

  228. Moi, le bureau, c’est mon deuxième chez moi. J’ai mis une petite plante, une photo de vacances… mais c’est vrai que je bouge pas beaucoup. 90 secondes, je vais essayer, on verra bien.

  229. Je suis caissière, pas cadre sup’. Mes 90 secondes, je les passe à encaisser plus vite pour faire moins attendre les clients. L’article oublie qu’il y a travail et travail…

  230. Franchement, l’idée est sympa sur le papier. Mais dans un open space avec le chef sur le dos, tu fais comment tes 90 secondes de zumba discrète ?

  231. Je me demande si ce n’est pas surtout une question de prise de conscience. Si ça peut initier un changement plus profond dans nos habitudes, tant mieux.

  232. Je vois surtout ça comme un premier pas. 90 secondes, c’est pas la panacée, mais c’est peut-être ce qu’il faut pour se lancer dans un vrai changement d’habitude.

  233. J’ai l’impression qu’on essaie de nous vendre une pilule miracle. Le problème, c’est pas juste de bouger, c’est de se sentir bien au travail, non ?

  234. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de « retrouver » de la vitalité. Comme si on l’avait perdue en route, sans s’en rendre compte. C’est assez triste, en fait.

  235. Moi, ce qui me gêne, c’est cette injonction au bonheur et à la performance. On dirait que bouger 90 secondes suffit à effacer l’absurdité de certains jobs.

  236. Moi, ça me fait penser à ces petits rappels sur mon téléphone pour boire de l’eau. C’est bien, mais si je suis à fond dans un truc, je les ignore.

  237. 90 secondes, c’est le temps d’attendre que le café coule. Je me demande si c’est pas juste une excuse pour aller à la machine à café plus souvent… et papoter.

  238. 90 secondes ? Ça me rappelle les pubs pour le dentifrice. « Brossez-vous les dents 2 minutes ! » On sait tous qu’on le fait rarement.

  239. Franchement, 90 secondes, ça me rappelle la pause clope de mes débuts. Sauf que là, c’est supposé être bon pour la santé. Ironique, non ?

  240. 90 secondes ? L’idée est séduisante, mais j’ai peur que ça devienne vite une corvée de plus dans une journée déjà trop chargée. Un truc culpabilisant si on oublie de le faire.

  241. Je me demande si ça ne va pas créer une nouvelle forme de stress : la peur de ne pas bouger assez. Une micro-culpabilité de plus à gérer.

  242. Je suis plus préoccupé par l’aménagement du bureau. Si on avait des espaces plus agréables, on bougerait naturellement, sans « obligation ».

  243. Moi, je me demande si ça ne créerait pas une sorte de « danse de l’open space » bizarre, tout le monde se trémoussant en même temps. L’ambiance…

  244. C’est marrant, ça me fait penser aux recommandations « mangez 5 fruits et légumes par jour ». Facile à dire, plus dur à faire tenir dans le temps.

  245. Moi, ce que je me dis, c’est que ça dépend vachement du type de boulot. 90 secondes, si t’es au téléphone toute la journée, c’est mission impossible.

  246. C’est vrai que je me sens raide en fin de journée. Peut-être qu’en fractionnant, ce serait plus facile qu’une longue séance de sport après le boulot.

  247. Jacqueline Durand

    Moi, ce qui me frappe, c’est que ça ramène le corps au centre du travail. On l’oublie tellement devant l’écran ! C’est peut-être une première étape pour réhumaniser le bureau.

  248. Moi, je me demande si ça marcherait vraiment sur le long terme. Au début, l’effet nouveauté, c’est motivant. Mais après, est-ce qu’on ne risque pas de zapper ?

  249. Moi, ça me fait penser à un pansement sur une jambe de bois. Le problème, c’est pas 90 secondes, c’est le boulot qui nous cloue là !

  250. 90 secondes ? Honnêtement, ça me semble un peu ridicule. C’est mieux que rien, certes, mais je doute que ça change grand-chose à la fatigue chronique ressentie.

  251. Franchement, 90 secondes, c’est le temps d’aller chercher un café. Le problème est peut-être plus profond : pourquoi notre travail est-il si peu stimulant qu’on a besoin de ça pour se sentir vivan…

  252. 90 secondes, c’est le temps parfait pour regarder par la fenêtre et laisser vagabonder mon esprit. C’est ça, ma micro-pause active.

  253. 90 secondes ? Je me demande surtout si mon chef va apprécier que je me lève toutes les heures. Ça risque de passer pour de la démotivation…

  254. J’y crois moyen, mais après tout, ça ne coûte rien d’essayer. Peut-être que ça me forcera à me lever pour de vrai au lieu de scroller sur mon téléphone.

  255. J’ai surtout l’impression qu’on nous infantilise. On est capables de gérer notre temps et notre bien-être, non ? Pas besoin d’un chrono pour ça.

  256. Bof. 90 secondes, c’est le temps que prend mon PC pour ouvrir Outlook. Je préfère me concentrer sur l’ergonomie de mon poste de travail, ça me semble plus efficace.

  257. 90 secondes, c’est court, mais j’imagine que c’est pensé pour être faisable même les jours de rush. Peut-être que le cumul fait la différence ?

  258. Je suis curieux de voir si ça peut casser la routine et remettre un peu de mouvement dans la journée. Après tout, le pire ennemi, c’est peut-être l’habitude.

  259. Je me demande si ce n’est pas une bonne excuse pour enfin aller dire bonjour à Martine de la compta. Ça fait des mois que je me dis que je devrais…

  260. Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée que bouger soit une « solution ». Le problème, c’est peut-être le boulot lui-même, non ? Si on était passionné, on se sentirait moins prisonnier de sa chaise.

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