Las légumes du supermarché vous déçoivent par leur manque de saveur ? En jardinerie, le choix est souvent limité à quelques variétés hybrides fragiles. La solution oubliée pour retrouver un goût authentique et un potager résilient réside pourtant dans une technique simple : semer soi-même des variétés anciennes.
Lucien Dubois, 68 ans, horticulteur à la retraite près d’Angers, a fait ce constat. « Les produits du commerce n’ont plus d’âme. Je cherchais simplement à retrouver le goût de mon enfance, celui des récoltes du jardin de ma grand-mère. C’est ce qui a tout déclenché. »
Déçu par les plants F1 qui ne permettent pas de récupérer les graines, il a retrouvé un vieux sachet de semences familiales. Après les avoir semées, il a obtenu des plants incroyablement robustes qui ont résisté aux gelées tardives et offert une récolte abondante et savoureuse. C’est devenu sa seule méthode.
Ces variétés anciennes, dites à pollinisation ouverte, possèdent une grande diversité génétique. Contrairement aux hybrides conçus pour l’uniformité, elles se sont adaptées pendant des générations à des terroirs spécifiques, ce qui explique leur résistance naturelle aux aléas climatiques et aux maladies locales. Il faut toutefois accepter une production moins homogène.
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Partage des conseils de jardinage traditionnels pour préserver les plantes
Faire ses propres semis est économique, car la récupération des graines d’une année sur l’autre vous affranchit des achats annuels. C’est aussi un geste pour l’environnement : ces plantes, riches en nectar, attirent les abeilles et autres insectes pollinisateurs, favorisant ainsi la biodiversité de votre jardin.
Pour débuter, commencez par des espèces faciles comme les haricots ou certaines tomates rustiques. Pensez aussi à échanger vos graines avec d’autres jardiniers pour diversifier vos cultures sans frais. Cette pratique renforce les liens au sein de la communauté des passionnés de potager.
Cette démarche va au-delà du simple jardinage. Elle s’inscrit dans un mouvement plus large de souveraineté alimentaire et de préservation du patrimoine agricole. En cultivant ces trésors oubliés, vous participez activement à la sauvegarde d’un héritage biologique et culturel menacé par l’industrialisation.
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Aborde le thème de l'autonomie et des techniques alternatives dans un domaine spécifique
En choisissant de cultiver des variétés anciennes, chaque jardinier devient un maillon essentiel dans la chaîne de préservation de la biodiversité. Cette pratique influence positivement les comportements en reconnectant les gens à la terre et au cycle des saisons, transformant un simple potager en un acte de résistance.
Opter pour les semences anciennes est donc un choix puissant pour retrouver des saveurs uniques et renforcer la résilience de son potager. N’hésitez pas à vous lancer, car l’avenir de nos assiettes se trouve peut-être dans les graines de notre passé, attendant patiemment de germer.
C’est mignon l’histoire de la grand-mère, mais bon, j’ai pas son terrain ni son temps. Le goût authentique, c’est bien joli, mais est-ce que ça va nourrir ma famille aussi facilement que les légumes du supermarché ? J’en doute.
Moi, ce qui me touche, c’est l’idée de renouer avec un savoir-faire perdu. On a tellement déconnecté la nourriture de son origine… ça donne envie de remettre les mains dans la terre.
Ça me parle. J’en ai marre de jeter des salades flétries achetées à prix d’or. Si une variété ancienne est plus robuste et moins gourmande en soins, ça vaut le coup d’essayer, même sur un balcon.
Les variétés anciennes, c’est une belle idée, mais ça demande un sacré investissement au départ. Trouver les graines, apprendre à les conserver.
Moi, les légumes anciens, ça me rappelle surtout les corvées de désherbage chez mes parents ! Plus de goût, oui, mais plus de boulot aussi, non ?
C’est vrai que les tomates du commerce sont insipides. Mais est-ce qu’on ne fantasme pas un peu trop le « goût d’avant » ? Ma madeleine de Proust, c’est les frites surgelées, pas les patates du jardin.
Lucien a raison sur le constat. Mais est-ce qu’on ne risque pas de retomber dans une nostalgie un peu simpliste ? La modernité a aussi du bon.
Je ne crois pas à la nostalgie, mais à la transmission. Si cette variété peut prospérer sans moi, pourquoi pas l’aider un peu ?
L’idée est séduisante, mais je me demande si ces variétés sont compatibles avec le climat de ma région. Ça serait dommage d’investir du temps et de l’énergie pour un résultat décevant.
Le titre m’a fait sourire. « Technique simplissime oubliée par tous » ? On dirait une pub pour un régime miracle.
Ce qui me frappe, c’est la perte de lien. On dirait qu’on a oublié que les légumes, ça pousse, et que c’est pas un produit industriel. Ça donne envie de retrouver ce lien simple.
Lucien me fait penser à mon grand-père. Il avait toujours un truc à dire sur les tomates d’aujourd’hui.
C’est vrai, les légumes d’antan avaient plus de caractère.
Le coup de la grand-mère, ça marche toujours. Mais moi, c’est surtout pour les abeilles que ça me motive. Si ça peut les aider…
J’espère que Lucien partagera ses graines. Une fleur qui se ressème toute seule, c’est le bonheur garanti pour un jardinier paresseux comme moi.
Lucien me parle. J’ai l’impression que nos anciens avaient un secret, une connaissance qu’on a laissé filer pour aller plus vite. Ça me donne envie de ralentir, de voir ce que j’ai raté.
Je suis plus pragmatique. Les variétés anciennes, c’est bien joli, mais ça demande du temps et un savoir-faire. Je préfère optimiser mon temps libre autrement.
Je suis curieux de savoir si ces variétés anciennes sont vraiment plus résistantes aux maladies. C’est souvent là que le bât blesse.
C’est marrant, cette injonction à la « résilience » des légumes. On dirait qu’on leur demande de compenser nos propres erreurs. Un peu facile, non ?
Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée qu’on « redécouvre » des trucs. Ma grand-mère, elle faisait ça par nécessité, pas par nostalgie. C’était dur, le jardin !
Je ne suis pas sûr que le goût soit la seule question. Le prix, lui, est bien réel quand on fait ses courses. Les semences paysannes, ça a un coût, non ?
Moi, ce qui me chiffonne, c’est le côté « technique oubliée ». On dirait qu’on culpabilise de ne pas jardiner comme avant. Mais tout le monde n’a pas la main verte, et c’est pas grave.
Moi, j’y vois surtout une histoire de transmission. Pas juste les graines, mais l’envie de faire. C’est ça qui se perd, je crois.
L’argument du goût authentique me touche moins que l’idée de préserver une diversité. C’est comme les langues, non ? Si on n’en prend pas soin, ça disparaît.
Je me demande si le « se multiplie toute seule » ne serait pas un peu exagéré. J’ai toujours entendu dire que garder une lignée pure était un boulot de chaque instant.
Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’aspect « anti-gaspillage ». Retrouver des variétés qui produisent bien, ça éviterait peut-être de jeter autant de légumes abîmés. C’est une piste intéressante.
Je me demande si cette « simplicité » n’est pas un peu idéalisée. Ma grand-mère avait beau avoir un potager, elle passait un temps fou à désherber !
Moi, ce qui me plaît, c’est l’idée d’un lien direct avec le passé, un peu comme lire une lettre écrite par mes ancêtres, mais en croquant une tomate.
J’ai l’impression qu’on idéalise beaucoup la vie d’avant. Ma propre expérience me dit que le jardin de ma grand-mère était surtout… envahi de limaces.
Je me demande si ce n’est pas une manière de se reconnecter à un rythme plus lent, loin de l’immédiateté des supermarchés. Un peu comme tricoter ou faire son pain.
C’est marrant, ça me rappelle les discussions au café du village sur « le bon vieux temps ». La nostalgie, c’est joli, mais le progrès a aussi du bon.
C’est vrai que les tomates du supermarché n’ont aucun goût. Mais bon, j’ai pas le temps de m’occuper d’un potager.
L’idée que nos aïeux connaissaient des secrets… ça me fait sourire. Ma grand-mère, elle, achetait ses plants au marché, et ça poussait très bien.
C’est vrai que la nostalgie joue, mais l’idée de ne pas dépendre des semenciers, ça me parle. On perd en autonomie à tous les niveaux.
Franchement, l’idée de sauver des variétés qui résistent mieux, c’est ce qui me motive le plus. Moins de traitements, plus d’assurance d’avoir quelque chose à récolter.
Finalement, ce n’est pas tant le goût qui me manque, mais l’odeur. L’odeur d’un jardin après la pluie, ça, les supermarchés ne peuvent pas l’offrir.
Le goût des légumes d’antan, oui, ça me parle. Mais entre le dire et s’y mettre… j’ai peur de l’échec, tout simplement.
Je me demande si ces variétés anciennes sont vraiment adaptées à mon terrain argileux et souvent détrempé. La rusticité, c’est bien, mais encore faut-il que ça pousse chez moi !
Moi, ce qui me frappe, c’est le côté « anti-gaspillage ». Récupérer des graines, c’est éviter d’acheter. Une petite victoire, non ?
C’est une belle idée, mais est-ce que nos sols actuels, pollués et lessivés, sont encore capables de nourrir ces variétés anciennes comme avant ? J’ai des doutes.
Moi, je trouve ça super que Lucien Dubois partage son savoir. Mais je me demande si c’est vraiment à la portée de tous, sans un minimum de connaissances au départ.
C’est mignon l’idée de la grand-mère, mais est-ce que ça nourrit vraiment une famille aujourd’hui ? J’ai besoin de rendement, pas de souvenirs.
Lucien Dubois a raison, nos supermarchés sont tristes. Mais je n’ai pas la patience de cultiver. Je préfère soutenir les petits producteurs locaux qui font déjà ce travail.
Je n’ai jamais eu de grand-mère jardinière, mais l’idée de renouer avec le cycle des saisons, de ne plus être un simple consommateur, ça me tente.
Ma grand-mère achetait tout au marché. Je me demande si cette nostalgie des « variétés anciennes » n’est pas surtout une nostalgie d’une époque où on mangeait moins transformé, point.
J’en ai marre de cette image d’Épinal de la grand-mère. Ma grand-mère, elle, achetait des plats préparés et regardait la télé. C’était son choix, et je le respecte.
J’espère surtout que ces variétés résistent aux maladies actuelles. Le mildiou, par exemple, décime tout dans mon coin.
Le coup des variétés anciennes, c’est un peu comme chercher un trésor. On a l’impression de redécouvrir quelque chose d’essentiel. Peut-être que le goût est meilleur, c’est vrai.
C’est marrant, cette quête du goût perdu. On dirait qu’on cherche à manger notre enfance, plus qu’une tomate.
Le titre me fait sourire, ça sent la madeleine de Proust à plein nez ! Mais bon, si ça peut remotiver les gens à mettre les mains dans la terre, pourquoi pas.
Le titre me fait presque culpabiliser de ne pas avoir hérité d’un tel savoir-faire familial. J’espère que l’article donnera des conseils concrets et pas juste de belles images.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le temps. Est-ce que j’ai vraiment le temps, avec mon boulot, de m’occuper d’un potager, même avec des techniques simplissimes ?
Je suis curieux de savoir quelles sont ces fameuses variétés. On parle beaucoup de goût, mais quid de la facilité à trouver les graines ? Un lien vers des fournisseurs serait top.
Le « se multiplie toute seule », ça, ça m’intéresse vraiment. J’ai un balcon, pas un champ, donc l’autosuffisance est un critère primordial.
L’idée est séduisante, mais j’ai peur du côté « secte » des variétés anciennes. J’ai juste envie de bonnes tomates, pas de rejoindre un club.
Moi, ce qui me frappe, c’est la nostalgie. On dirait qu’on idéalise une époque où tout était meilleur, mais c’est peut-être juste une illusion.
Ma grand-mère, elle, achetait tout au marché. Je ne sais pas si c’était meilleur, mais au moins, elle avait le contact humain. C’est ça que je regrette, plus que le goût.
Je me demande si ces variétés « miraculeuses » ne demandent pas un sol particulier. Ma terre est argileuse, rien ne pousse ici.
Moi, c’est surtout le côté « fleurit pour les abeilles » qui me parle. Si ça peut aider ces petites bêtes, je suis prêt à sacrifier un peu de productivité dans mon jardin.
Franchement, le discours sur les variétés anciennes, c’est souvent culpabilisant. J’ai pas envie de me sentir mal parce que j’achète des tomates en barquette au supermarché.
Je suis un peu sceptique. « Technique simplissime oubliée par tous » ? Ça sent un peu le marketing, non ? On dirait qu’il faut absolument culpabiliser de ne pas le faire.
Je suis de la ville, mais j’ai un mini-potager sur mon balcon. L’idée de renouer avec des saveurs oubliées, ça me parle. C’est un peu comme retrouver un vinyle qu’on avait oublié.
Je suis partagé. Ma grand-mère avait un jardin, oui, mais elle passait son temps le dos cassé. Le « bon vieux temps » avait aussi ses inconvénients.
Le côté « technique simplissime » me fait sourire. J’ai essayé, et le résultat était loin des photos idylliques qu’on voit sur internet. Beaucoup de patience et d’échecs au début, en fait.
Je me demande si le problème n’est pas aussi qu’on a perdu le geste, tout simplement. On ne sait plus faire, même si c’est « simple ».
Le « se multiplie toute seule » me fait rêver. J’ai juste pas le temps de m’en occuper. Un légume autonome, ce serait le top.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée de transmission. On hérite pas que des meubles, on hérite aussi de savoir-faire. Dommage de laisser ça se perdre.
Ce qui me gêne, c’est cette idée qu’on doit TOUT faire soi-même. J’ai un métier, une vie… Je n’ai pas l’énergie de devenir agriculteur.
Ce qui est rassurant, c’est de voir que même à 68 ans, on peut encore partager un savoir. Ça donne envie de l’écouter, ce monsieur Dubois.
Moi, je trouve ça cool qu’on parle de Lucien Dubois. C’est souvent les jeunes qu’on met en avant, mais l’expérience, ça compte aussi.
C’est chouette de penser aux abeilles ! On oublie souvent que nos choix au potager ont un impact bien plus large.
Le goût des légumes d’antan… un argument marketing imparable ! Mais est-ce que le goût justifie vraiment tout ce travail supplémentaire ? Je ne suis pas sûr.
Je me demande si ces variétés anciennes sont vraiment adaptées à mon sol argileux en région parisienne. Ça marche peut-être bien dans le Maine-et-Loire, mais ici…
Ça me rappelle les tomates de mon enfance, celles qui parfumaient toute la cuisine. Un vrai souvenir gustatif, pas juste un légume.
J’espère juste que ces variétés sont résistantes aux limaces, parce que chez moi, c’est la guerre tous les ans !
C’est marrant, j’ai l’impression qu’on idéalise beaucoup le passé. Ma grand-mère, elle achetait souvent des conserves. C’était peut-être pas si terrible, le progrès ?
Je me demande si le plaisir qu’on retire de ces légumes ne vient pas surtout de l’acte de jardiner lui-même. Le goût, c’est peut-être secondaire.
Variétés anciennes, d’accord, mais il faut avoir le temps de s’en occuper et surtout, la place ! Un balcon, ça ne suffit pas toujours.
Le côté « qui se multiplie tout seul » m’intéresse. J’ai surtout la flemme de replanter chaque année. Si ça peut demander moins de boulot, je suis preneur !
Le côté « technique simplissime » me parle. J’ai l’impression qu’on nous complique toujours tout. Si c’est vraiment facile, pourquoi pas essayer ?
Le côté « grand-mère » me fait sourire. La mienne avait surtout le don de brûler les plats, pas de faire pousser des miracles.
Je suis toujours sceptique face aux discours nostalgiques. On oublie souvent les contraintes et les difficultés du passé.
J’ai surtout peur de me lancer et de tout rater. J’ai un peu l’impression qu’il faut être un expert pour réussir, et ça me décourage.
Moi, ce qui me freine, c’est l’idée de devenir dépendant d’une seule variété. La biodiversité, c’est important, non ?
Lucien Dubois a raison, les tomates du supermarché, c’est du carton. Mais le goût de la madeleine de Proust, ça ne se force pas.
J’imagine bien le goût des tomates de son enfance… Mais la réalité, c’est que je n’ai pas le temps de m’y consacrer. Dommage.
Le discours de Lucien est séduisant, mais j’espère que ces variétés sont résistantes aux maladies modernes. Les souvenirs d’enfance, c’est bien, mais un potager ravagé, c’est vite décourageant.
Moi, j’aimerais surtout savoir où trouver ces fameuses graines ! Les catalogues sont pleins de promesses, mais la réalité est souvent décevante.
Les légumes de supermarché me vont très bien. Je n’ai pas la place ni l’envie de me lancer dans le jardinage. Moins de stress !
On dirait un énième article sur le « c’était mieux avant ». Mais bon, si ça peut aider les abeilles, je suis toujours preneur.
L’idée du « qui sème récolte » me plaît bien, mais j’ai peur d’être envahi. Un potager qui se multiplie tout seul, ça peut vite devenir la jungle.
C’est marrant, moi, c’est le côté « technique simplissime » qui m’interpelle. J’ai toujours pensé que le jardinage, c’était compliqué. Si c’est vraiment facile, pourquoi pas tenter ?
J’ai toujours trouvé ça poétique, l’idée de perpétuer un héritage familial à travers des graines. Un petit bout de l’histoire de sa grand-mère qui continue de vivre.
Je me demande si ces variétés « oubliées » sont vraiment adaptées à mon climat local. Mon sol est argileux, ça change tout.
Ma grand-mère disait toujours qu’il faut faire confiance à la nature, mais elle passait des heures dans son jardin! Le « tout seul », faut voir…
Je suis toujours touché par ces histoires de transmission. C’est peut-être naïf, mais j’imagine le sourire de cette grand-mère en voyant ses légumes revivre.
Moi, ce qui me frappe, c’est la déconnexion. On nous parle d’une époque où les gens étaient plus proches de leur nourriture. C’est ça le vrai luxe, non ?
C’est amusant comme on redécouvre des choses que nos aïeux maîtrisaient. J’espère juste que ce n’est pas une mode passagère et que ça incitera vraiment les gens à consommer plus local.
Je suis curieux de savoir si ces variétés anciennes sont aussi résistantes aux maladies que les hybrides modernes. La résilience, c’est bien, mais pas si c’est pour récolter une salade pleine de …
Je me méfie des promesses trop belles. « Se multiplie tout seul », ça veut surtout dire qu’il faudra désherber plus !
Le goût… c’est ça qui me manque. Les tomates d’aujourd’hui sont belles, rondes, mais sans saveur. Si ces vieilles variétés peuvent raviver ça, je suis prêt à essayer, même si ça demande un peu plus de travail.
C’est bien beau de parler de variétés anciennes, mais où est-ce qu’on les trouve, ces fameuses graines ? Pas facile d’accès pour le citadin moyen.
Je pense que c’est une super idée de renouer avec des variétés anciennes. Par contre, je suis un peu sceptique sur le « se multiplie tout seul ». Ça doit demander un minimum d’attention, non ?
Franchement, le discours sur « avant c’était mieux », ça me fatigue un peu. On idéalise toujours le passé.
Le « se multiplie tout seul » me fait sourire. Ma belle-mère a des framboises qui font ça… et qui envahissent TOUT. Attention à l’effet boomerang !
Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée que le bonheur serait dans le potager de nos ancêtres. C’est oublier les labeurs et les contraintes de l’époque.
Je me demande si ce n’est pas aussi une manière de se reconnecter à une histoire familiale, plus qu’un simple potager.
L’idée de transmettre quelque chose de vivant, c’est touchant.
J’avoue, l’idée du « goût authentique » me parle. Marre de ces légumes insipides.
L’argument du « se multiplie tout seul » attire l’attention. Ça évoque un jardin facile, mais je me demande quel est le coût en termes de contrôle et de planification.
Mouais, le coup de la grand-mère, ça fait un peu marketing, non ? On peut aimer jardiner sans forcément idéaliser la paysannerie d’antan.
J’ai l’impression que ces variétés sont aussi une forme de résistance face à l’uniformisation de l’alimentation.
C’est vrai que ça fait rêver, mais j’ai peur de ne pas avoir la main verte.
Ça me rappelle surtout les tomates du jardin de mon voisin, un vrai délice qu’on ne trouve plus. Peut-être que les variétés anciennes, c’est ça, juste du goût ?
Semer, ça a toujours été un peu mystérieux pour moi, comme un savoir réservé.
Le côté « technique simplissime oubliée » me chiffonne. J’ai l’impression qu’on minimise le travail et les connaissances nécessaires. C’est plus complexe que ça, non ?
Je me demande si on ne risque pas de créer une nouvelle forme d’élitisme, le potager « de grand-mère » devenant un luxe réservé à ceux qui ont le temps et l’espace.
Je me demande si ces variétés anciennes ne demandent pas un sol bien spécifique. Chez moi, c’est argileux, ça vaudrait le coup de vérifier avant de me lancer.
Le discours sur les variétés anciennes me touche, mais j’espère que ça ne culpabilise pas ceux qui n’ont qu’un balcon et des tomates cerises hybrides. On fait ce qu’on peut.
Le « se multiplie tout seul », ça me fait penser aux mauvaises herbes de mon jardin ! J’espère que c’est pas aussi envahissant que ça…
Le coup de la « technique simplissime », ça me fait sourire. C’est simple… quand on sait ! J’imagine déjà les galères pour obtenir une germination correcte.
Je me demande si ces variétés sont aussi résistantes aux maladies qu’on le prétend. Le mildiou, chez moi, c’est une catastrophe chaque année.
J’ai perdu mon poireau d’été cette année, alors l’idée d’une variété plus solide me séduit. Peut-être que je vais me renseigner.
Le « se multiplie tout seul » me fait peur, je me demande si c’est pas un peu invasif.
Ma grand-mère, justement, n’a jamais réussi à faire pousser quoi que ce soit! L’idée me plaît, mais je crois que le secret, c’est surtout d’avoir la terre qui convient.
C’est marrant, cet appel à la nostalgie. Ma grand-mère, elle, achetait tout au marché, et c’était très bien comme ça !
L’idée est séduisante, mais je crains que ce soit un peu trop romancé. Ma grand-mère avait surtout beaucoup de temps libre, ce qui est rare aujourd’hui.
Le goût, c’est ça le plus important. Si je peux retrouver la saveur des tomates de mon enfance, ça vaut la peine d’essayer.
C’est attendrissant, cette image de la grand-mère jardinière. Mais bon, le goût, c’est subjectif. Ce qui plaisait à ma grand-mère ne me plairait pas forcément.
J’ai l’impression que c’est plus qu’un simple retour aux sources, c’est un acte de résistance face à l’uniformisation du goût. On nous vend des standards, autant cultiver nos propres exceptions.
Mouais, ça me rappelle surtout qu’avant, on avait moins de choix, pas forcément que c’était meilleur. Le marketing « comme chez grand-maman » est bien rodé.
Moi, ce qui m’intéresse, c’est la biodiversité. Si planter ça permet de la préserver, alors je suis partant, même si le goût est pas exceptionnel. C’est un geste pour demain, je crois.
J’ai toujours trouvé ça ironique qu’on doive « résister » en faisant pousser des légumes. C’est pas un peu prendre le problème à l’envers ?
Le côté « se multiplie tout seul » m’inquiète un peu. J’ai déjà eu des surprises avec des plantes qui prenaient toute la place. Ça demande peut-être plus de surveillance qu’on ne le pense.
Moi, je me demande si c’est vraiment plus économique au final, avec tout le temps et les efforts que ça demande.
Ça me fait penser aux étiquettes « bio » qui coûtent un bras. On dirait qu’il faut payer pour bien manger, alors qu’avant, c’était juste normal.
Je me demande si ces variétés anciennes sont vraiment adaptées à mon sol. J’ai essayé des trucs « miracle » qui ont lamentablement échoué.
Si ça peut éviter de jeter des légumes abîmés en deux jours, je suis preneur. Moins de gaspillage, c’est déjà une victoire.
Ma grand-mère avait la main verte, c’est sûr. Mais elle passait un temps fou dans son jardin. Je me demande si j’ai vraiment cette patience… Le résultat serait-il à la hauteur de ses efforts ?
Le goût des tomates de mon enfance… Ça me parle. J’ai l’impression qu’on a perdu quelque chose, au-delà de la simple nostalgie.
Lucien Dubois me fait penser à mon arrière-grand-père. Il avait toujours une histoire à raconter sur ses plants. Plus que le goût, c’est ce lien avec le passé qui me touche.
L’idée est séduisante, mais je manque cruellement de lumière sur mon balcon. Dommage, j’aurais bien aimé essayer.
Le côté « fleurit pour les abeilles » me parle beaucoup plus que le goût. On parle souvent de sauver la planète, mais on oublie les petites choses concrètes qu’on peut faire, comme ça.
J’ai toujours cru que les variétés anciennes étaient plus sensibles aux maladies. L’article me donne envie de me renseigner davantage sur leur résistance.
Je suis toujours méfiant face aux discours idylliques sur le « bon vieux temps ». Est-ce que c’était vraiment si simple ?
J’ai toujours trouvé que les légumes anciens avaient une drôle de tronche, moins « parfaits » que ceux du commerce. Mais au fond, c’est peut-être ça, la vraie beauté.
J’avoue que l’idée de me passer des jardineries me plaît bien. Moins de tentations d’acheter des trucs inutiles, plus de contrôle sur ce que je mange. À creuser !
C’est marrant, moi j’ai l’impression inverse. Les légumes anciens, c’est souvent la galère à trouver les bonnes recettes pour les cuisiner.
Mouais, « technique simplissime », faut voir. J’ai déjà essayé de récupérer des graines, résultat : rien. Faut avoir le coup de main, je pense.
Ma grand-mère disait toujours que ses tomates avaient le goût du soleil. Je parie qu’elle avait ses propres petites astuces… Des astuces qu’on ne retrouve pas dans les livres.
Le « se multiplie toute seule » m’interpelle. Est-ce que ça veut dire que je vais me retrouver envahi ? Faut voir le côté pratique avant le côté romantique.
Ça me rappelle les confitures de ma tante, toujours meilleures que celles du magasin. Le secret, c’était peut-être juste les fruits du jardin, plein de soleil et d’histoire.
Moi, ce qui me frappe, c’est le gaspillage qu’on évite. On jette tellement de légumes moches ou un peu abîmés… Revenir à ça, c’est aussi ne plus être obsédé par la perfection.
Ce qui me plaît, c’est l’idée de renouer avec un savoir-faire transmis oralement. On s’éloigne tellement de ça aujourd’hui.
Le plus intéressant pour moi, c’est l’aspect écologique. Moins de pesticides et d’engrais, ça, ça me parle.
Je suis curieux de savoir quelles variétés sont vraiment faciles à multiplier. J’ai un petit balcon, l’espace est compté.
Moi, je me demande surtout si ces variétés anciennes sont aussi résistantes aux maladies que les modernes. C’est bien joli le goût, mais si c’est pour passer son temps à traiter…
J’espère juste que ce n’est pas une mode passagère. J’ai déjà vu tellement de « retours aux sources » qui finissent par s’éteindre…
L’idée me séduit, mais ça demande du temps. Entre le travail et les enfants, je me demande si j’arriverai à m’y consacrer vraiment.
Ce qui me manque, c’est le temps de vraiment observer pousser. On est tellement déconnectés du rythme des saisons.
Je me demande si ces variétés anciennes sont toujours adaptées à notre climat actuel, avec les étés de plus en plus secs.
Le goût de la madeleine de Proust, c’est ça que je recherche ! Retrouver le souvenir d’un parfum, d’une texture, d’un légume… c’est plus qu’un simple aliment, c’est un voyage.
C’est marrant, ça me rappelle les histoires de mon papi. Il disait toujours qu’avant, les tomates avaient une vraie odeur. Peut-être qu’il a raison, faut juste retrouver ces graines.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la perte de diversité. On se retrouve avec les mêmes trois tomates insipides partout. C’est triste.
Je me demande si c’est pas un peu idéalisé quand même. Ma grand-mère, elle passait son temps à désherber et à lutter contre les limaces, c’était pas toujours la joie !
Moi, c’est surtout le côté « cadeau de la nature » qui me parle. Un truc qui se ressème tout seul, ça change de l’esclavage du potager !
C’est vrai que nos aïeux avaient des solutions simples. Mais, il ne faut pas non plus oublier les avancées de la science. Un juste milieu, peut-être ?
Je suis curieux de savoir si ces variétés résistent aux maladies modernes. C’est bien beau la rusticité, mais encore faut-il que ça pousse sans traitements chimiques.
Franchement, le supermarché, c’est pratique, mais ça me déprime. L’idée de retrouver un lien avec quelque chose de plus « vrai » me parle énormément.
Je suis toujours touché par ces récits de savoir-faire transmis. C’est plus qu’un légume, c’est un héritage qu’on sème.
J’espère surtout que Lucien Dubois partagera ses secrets !
Le côté « qui se multiplie tout seul », c’est de la poésie pure.
Lucien Dubois a raison. J’ai goûté des tomates du jardin de ma voisine, une variété que sa mère cultivait. Rien à voir avec ce qu’on achète !
Je me demande si le secret, c’est pas juste le temps. Nos grands-mères avaient le temps, nous, on court après.
Le côté « technique simplissime oubliée », ça me fait toujours sourire. On dirait qu’on redécouvre l’eau tiède. Mais bon, si ça peut aider les gens à manger mieux…
Mon expérience personnelle avec les légumes anciens ? C’est souvent plus de boulot pour un résultat à peine meilleur… et parfois franchement bizarre en goût.
Cette nostalgie du « c’était mieux avant » me fatigue un peu. Ma grand-mère, elle achetait aussi des conserves… faut pas tout idéaliser.
L’idée de « se multiplier tout seul » est séduisante, mais ça ne doit pas être aussi simple en réalité.
Plutôt que de chercher la saveur d’antan, je me demande si ces variétés sont adaptées au changement climatique actuel. C’est ça, la vraie question.
Ça sent le vécu, cet article ! On a tous en mémoire un truc du jardin de quelqu’un qui avait un goût incroyable.
L’idée de la grand-mère et du jardin, c’est un beau conte. Mais concrètement, trouver les graines et avoir la patience de tout recommencer chaque année.
« Se multiplie tout seul », l’expression est jolie. J’imagine le jardin de ma grand-mère envahi de courgettes, c’était plutôt l’inverse, elle se battait contre !
Si ça tient bon aux gelées, c’est déjà ça de pris ! Le goût, c’est important, mais la survie du potager, encore plus, vu les hivers qu’on a.
Le coup des variétés anciennes, c’est tentant… mais je me demande si le problème, c’est pas surtout la terre qu’on utilise, épuisée à force de traitements.
Moi, ce qui me plaît, c’est l’idée de reconnecter avec un savoir-faire. Plus que le goût parfait, c’est le geste qui compte.
J’ai l’impression qu’on diabolise un peu trop les hybrides modernes. Ils sont peut-être moins « romantiques », mais ils nourrissent le monde, non ?
Franchement, le côté « fleurit pour les abeilles » me parle plus que le goût. On a tellement abîmé leur environnement, si on peut aider en faisant pousser quelque chose d’utile, c’est déjà ça.
Le « se multiplie tout seul », c’est beau sur le papier. Mais sans désherber, ça donne vite un champ de bataille où seule la plus résistante gagne, pas forcément la plus savoureuse…
J’y crois moyen à cette histoire de « technique oubliée ». Ma grand-mère, elle, achetait ses plants au marché. C’était plus simple et ça poussait très bien.
Le goût des tomates de mon enfance… C’est surtout le soleil et le temps passé dehors qui les rendaient si bonnes, je crois. Pas juste la variété.
Ça me rappelle surtout les après-midis passés à observer ma grand-mère. Pas tant le goût, mais la fierté qu’elle avait de ses récoltes. Ça, ça n’a pas de prix.
Je suis toujours un peu méfiant face à la nostalgie. On embellit souvent le passé, non ? Les légumes de nos grands-mères étaient peut-être juste… ce qu’il y avait.
Variétés anciennes, oui, mais où trouver les graines fiables ? J’ai déjà été déçu par des sites qui promettaient monts et merveilles.
Moi, j’ai surtout peur de me lancer et de rater ma récolte. Le temps que ça prend, c’est ça le vrai frein.
J’ai toujours pensé que le vrai luxe, c’était de pouvoir manger une tomate qui a du goût. Pas besoin d’être un expert pour ça.
Je me demande si ces variétés anciennes sont vraiment adaptées à mon terrain. J’ai un sol argileux, ce serait dommage de tout planter et de voir ça dépérir.
J’ai surtout l’impression qu’on nous vend du rêve. Le marketing « à l’ancienne » marche toujours aussi bien.
C’est marrant, ça me fait penser que ma grand-mère n’avait pas le choix. Variétés anciennes, c’était juste les seules disponibles à l’époque!
L’idée me plaît, mais j’ai peur de l’invasion. Si ça se multiplie tout seul, je vais être vite dépassé !
C’est vrai que le supermarché, c’est pratique, mais on perd le lien avec la nature. Peut-être que retrouver ces variétés, c’est aussi retrouver un peu de ce lien perdu.
Le « se multiplie toute seule » me fait penser aux courges qui envahissent tout! Ça peut vite devenir galère, non ?
Moi, ce qui me frappe, c’est la transmission. On perd un savoir faire familial précieux, et c’est ça qui me rend triste.
La nostalgie a bon dos. Ma grand-mère pestait surtout contre les limaces et la sécheresse, pas contre le manque de goût des tomates.
Moi, c’est surtout le côté « fleurit pour les abeilles » qui me parle. Si en plus on peut aider ces petites bêtes, c’est tout bénef’ !
Le « se multiplie toute seule » me fait peur. J’ai déjà du mal à gérer mon gazon, alors un potager incontrôlable… non merci!
Lucien Dubois a raison. Le goût de la madeleine de Proust, c’est dans ces légumes oubliés qu’on le retrouve. Plus que le côté « pratique », c’est une quête de saveurs.
Je crois que le vrai enjeu, c’est de retrouver un rythme. On est tellement pressés qu’on n’a même plus le temps de savourer ce qu’on mange.
Moi, ce qui me chagrine, c’est que ça sous-entend que les anciens avaient forcément la science infuse. C’est oublier le progrès et la recherche agronomique quand même.
Je me demande si c’est vraiment « oublier » ou plutôt un choix. Tout le monde n’a pas le temps ou l’envie de s’y consacrer.
Je crois que c’est surtout une question de fierté, non ? L’idée de cultiver quelque chose qui perdure, qui a une histoire… ça me parle plus que le goût en lui-même.
Ce qui m’intéresse, c’est l’aspect économique. Est-ce que cultiver ces variétés anciennes permet vraiment de faire des économies sur le long terme ? Le coût des graines est-il amorti ?
Ce qui est sûr, c’est que les légumes du commerce n’ont plus le parfum de mon enfance. Ça vaut peut-être la peine de s’y remettre, rien que pour ça.
C’est beau de parler des variétés anciennes, mais il faut aussi penser à l’espace ! J’habite en ville, un balcon, c’est tout ce que j’ai. Est-ce que ça vaut la peine pour quelques radis ?
C’est marrant, ça me rappelle les discussions sur le pain au levain. Tout le monde encense le « goût d’avant », mais peu sont prêts à se lever à 5h du mat’ pour le faire.
Je suis curieux de savoir si ces variétés sont plus résistantes aux maladies. C’est souvent ça, le problème, plus que le goût.
J’ai l’impression que c’est un peu idéalisé. Ma grand-mère passait son temps dans le jardin et pestait contre les limaces ! C’était pas la joie tous les jours.
Moi, ce qui me freine, c’est la peur de l’échec. J’ai déjà essayé de faire pousser des tomates, ça a été une catastrophe. Peut-être que ces variétés anciennes sont plus indulgentes avec les …
C’est surtout le côté « qui se multiplie toute seule » qui me plaît. J’ai pas la main verte, donc si ça peut m’éviter des efforts…
Je me demande si le secret, c’est pas surtout l’amour qu’on met dans le jardin. La variété, finalement, c’est secondaire.
Variétés anciennes, bien sûr, mais où trouver les graines ? J’ai l’impression que c’est ça, le vrai défi.
L’histoire de Lucien Dubois est touchante, mais j’aimerais des preuves.
Mouais, le coup de la grand-mère, ça marche toujours. Mais bon, j’ai surtout l’impression qu’on nous vend du rêve.
Les légumes anciens, c’est un peu la madeleine de Proust du potager. Ça sent bon la nostalgie, mais est-ce que ça nourrit vraiment ?
Le goût… c’est vrai que les tomates du supermarché, c’est souvent de l’eau. Mais est-ce que le souvenir de celles de ma grand-mère n’embellit pas un peu la réalité ?
Le supermarché, c’est pratique, mais tellement uniforme. L’idée de retrouver des goûts oubliés, ça me parle. Je vais creuser, voir si je trouve des infos sur ces variétés locales.
Ma grand-mère, elle, achetait ses plants au marché. L’idée de faire mes propres semis me paraît chronophage, honnêtement.
Je suis citadin jusqu’au bout des ongles, mais l’idée d’un truc qui pousse sans que j’y comprenne rien, ça me fascine. Un peu comme un animal de compagnie facile à vivre, mais en légume.
Le côté « technique simplissime oubliée » me fait sourire. Simplissime pour qui ? Ma grand-mère avait un don, moi j’ai plutôt tendance à tuer les plantes.
Je crois que l’intérêt est ailleurs : c’est une question de transmission, de renouer avec quelque chose de plus grand que nous. Le goût, c’est un bonus.
Je ne suis pas du tout nostalgique du potager de ma grand-mère. C’était du boulot, point. Et puis, je préfère un bon melon du supermarché qu’une courgette amère cultivée avec amour.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la biodiversité. On dirait qu’on se dirige vers un appauvrissement généralisé, même dans nos assiettes.
Franchement, la résilience, ça me parle plus que le goût. Avec les étés qu’on se tape, avoir des légumes qui survivent, c’est déjà une victoire.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’image du « vieux sage » qui détient la vérité. On dirait qu’il faut forcément être retraité pour avoir le droit de donner des leçons de jardinage.
J’ai toujours pensé que ce genre d’article idéalise un peu trop le passé. Le goût, c’est subjectif, non ?
Lucien Dubois a raison. On a perdu le plaisir de manger des légumes qui ont du goût. C’est comme comparer un vin de table à un grand cru.
C’est touchant, cette évocation de la grand-mère. Mais pour moi, le vrai enjeu c’est la dépendance aux semenciers. On devrait tous avoir le droit de ressemer nos propres graines.
Je me demande si le vrai problème, c’est pas le temps. Qui a le temps de s’occuper de ça aujourd’hui ? C’est beau, mais…
Lucien Dubois a peut-être raison, mais le prix des semences anciennes, lui, est bien d’aujourd’hui ! Ça freine pas mal, mine de rien.
Le « se multiplie toute seule », c’est ça qui m’intéresse. J’ai un jardin minuscule, toute astuce pour gagner de la place est bonne à prendre. Quelles variétés font ça ?
J’ai replanté des tomates cerises l’an dernier à partir de graines récupérées. Surprise : elles étaient bien meilleures que celles du commerce. Une petite victoire !
Ma grand-mère, elle, plantait ce qui poussait… et ce qui plaisait à mon grand-père. Pas de discours sur la résilience, juste de quoi faire une bonne ratatouille.
J’ai peur que ce soit un retour en arrière romancé. La vie était rude avant, et les légumes moins variés.
Moi, ce qui me frappe, c’est le côté « anti-gaspillage » de la chose. Si ça repousse tout seul, c’est moins d’achats inutiles. Un argument écologique, finalement.
Le titre sonne un peu « conte de fées », non? J’imagine bien les photos sépia… Mais bon, si ça peut redonner envie de jardiner, tant mieux.
Moi, ce qui me dérange, c’est cette idée qu’il faudrait forcément choisir « ancien » contre « moderne ». On peut pas juste avoir les deux, selon nos envies et nos besoins ?
C’est marrant, on dirait qu’on redécouvre l’eau chaude. Ma voisine a toujours fait ça, sans se prendre la tête avec des mots compliqués.
Moi, ce qui me rassure, c’est de penser que les savoirs ne se perdent pas complètement. Quelqu’un se souvient toujours.
Je me demande si ce n’est pas aussi une question de patience. On veut tout, tout de suite, et les variétés anciennes demandent peut-être plus de temps et d’attention.
Cette histoire de variétés anciennes, ça me rappelle surtout le goût des madeleines de Proust. Peut-être que le plus important, c’est pas tant la « résilience » que le souvenir qu’elles font remonter.
J’ai toujours pensé que le goût fade des légumes d’aujourd’hui venait surtout de la culture intensive, pas forcément de la variété en elle-même.
C’est marrant, ça me fait penser aux recettes de famille qu’on se transmet. Le goût, c’est une histoire de transmission, pas juste de graine.
Le côté « fleurit pour les abeilles » me parle beaucoup plus que le goût. Si ça aide la biodiversité, c’est déjà une super raison de s’y mettre.
Je me demande si ces variétés sont vraiment adaptées à tous les climats. Dans le Nord, on a moins de soleil, ça change tout.
Ça me rappelle mon grand-père. Il disait toujours que le secret, c’était de laisser faire la nature. Pas de forcer la chose. Un peu de bon sens paysan.
« Technique simplissime oubliée par tous »… C’est un peu fort de café, non ? J’ai l’impression qu’on nous prend pour des idiots parfois. Y’a des modes, c’est tout.
Les légumes de ma grand-mère… C’est plus l’odeur de la terre sur ses mains qui me manque, que le goût en lui-même. Un parfum d’enfance irremplaçable.
J’ai peur que ce soit une idéalisation du passé. Ma grand-mère avait aussi des problèmes de récoltes, et elle pestait bien assez contre les limaces!
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la disponibilité des semences. On nous parle de « technique simplissime », mais où est-ce qu’on trouve ces graines, concrètement ?
Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée de retrouver un lien avec le passé à travers le jardinage. C’est peut-être ça, la vraie valeur.
Le « se multiplie toute seule » me fait rêver… mais j’ai un jardin minuscule. Est-ce que ces variétés anciennes sont compatibles avec la culture en pot sur un balcon ?
Franchement, le coup de la grand-mère… ça marche toujours, mais ça commence à dater comme argument marketing.
Le goût, oui, c’est important, mais la vraie question, c’est : est-ce que c’est plus économique que d’acheter au supermarché ? Parce que le temps, c’est de l’argent aussi.
Franchement, le supermarché me dépanne. Si je dois passer des heures à m’occuper de mes tomates pour qu’elles aient du goût, autant les acheter. Mon temps libre est précieux.
C’est beau de parler de résilience, mais il faut avoir le temps. Et la patience. Je préfère encourager les petits producteurs locaux, c’est un acte concret.
Je me demande si ces variétés, en plus d’être rustiques, sont vraiment adaptées à nos étés caniculaires. L’eau est devenue un problème majeur, même dans le jardin.
Lucien Dubois a raison. Les tomates du supermarché, c’est de l’eau. Mais est-ce que ces variétés anciennes résistent aux maladies ? J’ai déjà eu tellement de problèmes de mildiou…
C’est vrai que les tomates de mon enfance avaient un goût… Je me demande si c’est la variété ou juste le souvenir qui embellit tout.
Je suis curieux de savoir si ces variétés ont des besoins spécifiques en termes de sol. J’ai un terrain argileux, et tout ne pousse pas bien…
La nostalgie des saveurs d’antan, c’est séduisant. Mais entre le dire et le faire, il y a tout un monde. Je me demande si je serais à la hauteur.
L’idée est sympa, mais j’ai peur de me lancer et de me retrouver avec un truc qui ressemble à rien. La graine de grand-mère, c’est pas un peu un pari risqué ?
Le « se multiplie toute seule » m’intrigue. J’ai toujours pensé que le jardinage, c’était surtout beaucoup de boulot. Si c’était si facile, tout le monde le ferait, non ?
Je me demande si le secret, c’est pas juste l’amour qu’on met à cultiver, plus que la variété elle-même. Le souvenir doit jouer beaucoup.
Mouais, « technique simplissime oubliée par tous »… ça sent un peu le coup marketing, non ? J’ai pas envie de me faire avoir par une mode rétro.
Ma grand-mère disait toujours qu’il faut laisser faire la nature. Peut-être que ces variétés anciennes, c’est juste ça : moins d’intervention, plus de confiance.
Le côté « fleurit pour les abeilles » me parle beaucoup plus que le « se multiplie toute seule ». Si en plus c’est bon pour la biodiversité, ça vaut peut-être le coup d’essayer.
« Se multiplie toute seule », ça me fait rêver ! J’imagine un jardin qui vit presque sans moi, une sorte de petit écosystème autonome. J’aimerais bien essayer, juste pour voir.
Lucien Dubois, il a raison. On a perdu un savoir-faire avec ces salades qui montent pas en graines au supermarché. Dommage qu’il faille être à la retraite pour s’en rendre compte.
J’ai surtout envie de retrouver des tomates qui ont du goût. Les tomates d’aujourd’hui, c’est de l’eau. Si ces anciennes variétés peuvent m’aider, je suis preneur.
C’est marrant, je me demande ce que ma grand-mère pensait des légumes de son époque. On idéalise toujours le passé, mais c’était peut-être pas si différent.
Les légumes de ma grand-mère étaient peut-être moins beaux, mais on sentait le soleil dedans. Ça, ça ne s’invente pas avec un engrais.
C’est vrai qu’on a l’impression de manger du carton parfois. Mais est-ce qu’on est prêts à y consacrer le temps nécessaire ? C’est ça la vraie question.
J’ai toujours eu plus de succès à faire crever mes plantes qu’à les faire pousser. Variétés anciennes ou pas, je crains que mon jardin reste un désert.
C’est sympa de penser aux abeilles. Perso, je galère déjà à arroser mes géraniums… mais l’idée d’un jardin plus sauvage et utile me plaît.
Franchement, le goût des légumes de grand-mère… c’est surtout le souvenir qu’on en a qui est bon, non ?
Variétés anciennes, technique simplissime… On dirait une pub pour un retour à la terre idéalisé. Ça me rappelle les stages de permaculture hors de prix.
Si ça repousse tout seul, ça veut dire que je peux oublier d’en prendre soin ? Ça m’arrangerait bien, ça.
Ma grand-mère, elle, achetait les légumes au marché. C’était peut-être ça le secret, plus que la variété elle-même. Un bon primeur, ça change tout.
Le côté « qui se multiplie tout seul », ça me parle. J’ai pas la main verte, mais l’idée d’un jardin qui vit presque sans moi… ça me tente. Moins de culpabilité, plus de nature.
La nostalgie des légumes de grand-mère, c’est bien joli, mais il faudrait surtout savoir quelles variétés précisément ! Sans nom, l’article reste du vent.
La « technique simplissime », c’est surtout avoir le temps et l’espace, non? Tout le monde n’a pas un jardin à Angers.
J’aimerais bien savoir si ces variétés anciennes sont plus résistantes aux maladies. Ça pourrait être un argument massue pour moi, ça.
C’est beau de parler des grand-mères, mais les graines, ça s’achète où, concrètement ? Je ne vais pas déterrer le jardin de ma grand-mère !
Je me demande si ces variétés sont vraiment adaptées à mon coin. Le climat ici est tellement différent d’Angers…
J’ai surtout l’impression qu’on idéalise le passé. Ma grand-mère galérait au potager, c’était pas si idyllique.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est le côté « oublié ». On dirait qu’on a inventé l’eau tiède, alors que plein de gens continuent de jardiner comme ça !
Moi, ce qui me touche, c’est l’idée de renouer avec un savoir-faire. On a tellement délégué, c’est peut-être ça le vrai luxe aujourd’hui.
Ce qui me frappe, c’est le contraste entre cette promesse de facilité et la réalité du jardinage. On dirait qu’on nous vend un rêve, alors que ça demande quand même un minimum de connaissances.
Mouais, ça sent un peu le marketing « naturel » à plein nez, non? On nous fait culpabiliser de manger des tomates sans goût… alors que c’est pas toujours de notre faute!
Ça me rappelle les tomates du jardin de mon oncle. Imparfaites, mais quel goût ! Un souvenir d’enfance, ça vaut tous les beaux légumes calibrés du monde.
Je suis partagé. Le goût, oui, c’est important. Mais je n’ai pas la main verte et franchement, l’idée de rater mes semis me stresse plus qu’autre chose.
J’ai l’impression qu’on redécouvre ce que les paysans savent depuis toujours. Le goût, c’est le terroir, pas une marque.
Moi, c’est surtout la résilience qui m’intéresse. Avec le climat qui change, c’est peut-être ça l’avenir, plus que le goût.
C’est marrant, je me demande si ce Lucien Dubois a pensé aux limaces. Elles, elles ne font pas la différence entre une tomate hybride et une ancienne !
La technique simplissime, ça me fait sourire. Ma grand-mère avait le dos cassé et les mains pleines de terre, pas vraiment une promenade de santé.
Le côté « fleurit pour les abeilles » me parle beaucoup plus que le goût. Si ça peut aider à la biodiversité, même si mes tomates sont un peu moches, je suis preneur.
Lucien Dubois, ça sent la bonne personne. J’espère qu’il partagera concrètement ses astuces, pas juste des généralités.
C’est touchant cette nostalgie. Mais bon, ma grand-mère, elle achetait ses plants au marché, pas vraiment une révolution.
Le supermarché, c’est pratique. Si ces variétés anciennes demandent trop de temps, je préfère encore acheter mes légumes. Le goût ne fait pas tout.
Je me demande si ce type de culture est vraiment compatible avec nos vies modernes. J’ai un petit balcon, pas un champ.
Le goût de mon enfance… c’est surtout les légumes du jardin de mes parents. J’espère que ces variétés ont le même parfum. Je vais essayer !
Moi, ce qui me fait tiquer, c’est le « se multiplie toute seule ». On dirait de la magie. J’aimerais savoir ce que ça veut dire concrètement, parce que j’ai déjà essayé de récupérer des graines, c’est pas toujours gagné.
Variétés anciennes, oui, mais il faut surtout avoir le temps de s’en occuper. Et l’espace !
Moi, ce qui m’intéresse, c’est la transmission. Pas forcément le goût d’avant, mais l’idée de faire comme elle, de prolonger quelque chose. Ça donne du sens, non ?
Franchement, ce qui m’interpelle, c’est l’idée de résilience face aux gelées. Avec le climat qu’on a, ça devient un argument de poids, bien plus que le goût « d’avant ».
Le côté « technique simplissime oubliée » me rend méfiant. On nous vend souvent du rêve, alors qu’il y a toujours un « mais » caché.
Je me demande si ces variétés anciennes sont plus résistantes aux maladies que les hybrides modernes. Ça serait un argument pour moi, plus que le goût.