Dans certaines bouteilles de vin : parfois plus de pesticides détectés que dans des pommes

Une récente enquête menée par une association de consommateurs jette un pavé dans la mare : des pesticides, dont certains suspectés d’être dangereux pour la santé, ont été retrouvés dans des bouteilles de vin très populaires. L’analyse a porté sur quarante bouteilles de chablis, muscadet, bordeaux et côtes-du-rhône, révélant une réalité préoccupante pour un tiers des vins conventionnels. Face à ce constat, comment faire le bon choix au moment de l’achat ? Les vins biologiques semblent offrir une alternative bien plus sûre.

La présence de pesticides dans le vin : ce que révèle l’enquête

L’idée de se détendre avec un verre de vin est souvent gâchée par l’inquiétude grandissante face aux substances chimiques qu’il pourrait contenir. Cette frustration est partagée par de nombreux amateurs qui peinent à savoir ce que cachent réellement les étiquettes. Heureusement, une étude récente met en lumière la composition de nos bouteilles, révélant que certains vins contiennent des résidus de pesticides, tandis que d’autres, notamment biologiques, en sont exempts.

Le témoignage d’un consommateur averti

Julien Moreau, un architecte de 42 ans vivant à Lyon, se sent directement concerné. « J’aime choisir un bon vin pour le dîner, mais l’idée d’y retrouver des produits chimiques me dérange de plus en plus. On ne sait plus à quoi se fier pour protéger sa santé. »

Habitué à acheter du vin sans trop se poser de questions, la lecture des résultats de l’étude a été un déclic pour Julien. Il se sent désormais beaucoup plus méfiant, notamment envers certains labels qui ne garantissent pas une absence totale de produits controversés et passe plus de temps à chercher des informations avant d’acheter.

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Comprendre les risques et les enjeux pour votre santé

La présence de pesticides dans le vin s’explique par l’utilisation de fongicides pour protéger les vignes des maladies. Le problème est que certaines de ces molécules, retrouvées dans les analyses, sont suspectées d’être cancérogènes, mutagènes ou reprotoxiques (CMR). Même à faible dose, une exposition répétée pose question.

Quelles sont les implications réelles ?

Au-delà du risque pour la santé, ces découvertes ont plusieurs conséquences. Elles remettent en question la confiance accordée à certaines appellations et certifications. Sur le plan économique, le consommateur peut avoir l’impression de payer pour un produit dont la qualité sanitaire n’est pas irréprochable. Cela affecte également l’image d’un pilier de la culture française.

  • Santé : Exposition à des substances potentiellement dangereuses.
  • Confiance : Méfiance accrue envers les étiquettes et les labels.
  • Économie : Remise en question du rapport qualité-prix de certains vins.

Comment choisir un vin plus sain ?

Pour éviter ces substances, se tourner vers les vins biologiques est la solution la plus efficace. L’étude a confirmé qu’aucune des bouteilles bio testées ne contenait de résidus de pesticides de synthèse. De plus, elles présentent généralement des teneurs en sulfites bien plus faibles que les vins conventionnels.

Type de vin Constat principal de l’étude
Vin conventionnel (1/3 des échantillons) Présence de résidus de pesticides, dont certains classés CMR.
Vin biologique Aucun résidu de pesticide de synthèse détecté.

L’évolution vers plus de transparence

Ce débat s’inscrit dans un mouvement plus large en faveur de la transparence alimentaire. Les réglementations évoluent pour obliger les producteurs à afficher la liste des ingrédients, ce qui donnera aux consommateurs les outils pour faire des choix éclairés et poussera la filière viticole vers des pratiques plus durables.

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Ces enquêtes citoyennes jouent un rôle crucial. Elles accélèrent la prise de conscience collective et obligent les producteurs à revoir leurs méthodes. À long terme, c’est toute la filière qui pourrait se transformer pour répondre à une demande de produits plus sains et respectueux de l’environnement.

Vers une viticulture plus responsable

En conclusion, il est clair que la vigilance est de mise. Privilégier les vins issus de l’agriculture biologique apparaît comme un geste simple et efficace pour sa santé. Cette tendance de fond vers plus de transparence pourrait bien redéfinir les standards de qualité pour les années à venir.

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347 réflexions sur “Dans certaines bouteilles de vin : parfois plus de pesticides détectés que dans des pommes”

  1. Je suis déçu mais pas surpris. Le vin, c’est quand même de l’agriculture… et on sait comment ça se passe souvent. Je vais peut-être me pencher plus sur les vins bio, même si le prix est un frein.

  2. Ça me rappelle le débat sur le Nutella et l’huile de palme. On nous dit de faire attention à tout, mais on peut vraiment ? Le plaisir d’un bon verre de vin est-il plus important que ce risque hypothétique ? La question se pose.

  3. Mouais…encore une étude anxiogène. On va finir par ne plus rien pouvoir manger ni boire. Je préfère savourer mon verre de vin sans psychoter.

  4. Je ne comprends pas comment on peut autoriser ça. Le vin, c’est censé être un produit de terroir, pas un cocktail chimique. On devrait avoir des contrôles plus stricts, et plus de transparence sur les pratiques des viticulteurs.

  5. Ah zut alors… Moi qui pensais que le vin, c’était moins pire que les légumes niveau pesticides. Va falloir que je demande conseil à mon caviste, il saura sûrement me guider vers des options plus saines.

  6. J’avoue que je suis plus inquiet pour ceux qui boivent du vin tous les jours. Un verre de temps en temps, ça va, mais une consommation régulière, ça change la donne.

  7. C’est sûr que ça fait réfléchir. Perso, j’achète souvent en direct chez des petits producteurs. Je me dis que c’est plus facile de discuter de leurs pratiques et de voir comment ils travaillent.

  8. Moi, ça m’incite surtout à me demander si le problème vient de la méthode d’analyse. Comparer des pommes et du vin, c’est comparer des torchons et des serviettes, non ?

  9. Le bio, c’est bien, mais est-ce que le goût est vraiment au rendez-vous ? J’ai souvent été déçu. Je préfère un vin conventionnel avec du goût qu’un bio sans âme.

  10. Je me demande si le problème n’est pas plutôt dans la quantité utilisée. On parle de « détection », mais à quelle dose ? Est-ce vraiment dangereux ou juste un épouvantail ?

  11. Je suis atterré. On nous parle toujours de manger cinq fruits et légumes par jour, mais le vin, on n’y pense jamais. C’est un peu hypocrite comme discours, non ?

  12. Ça me rappelle l’époque où on disait que le vin rouge était bon pour le cœur… Faut croire que les « bienfaits » se font de plus en plus rares. On nous vend du rêve, et derrière…

  13. J’ai toujours pensé que le vin était un produit complexe, et cette nouvelle ne me surprend qu’à moitié. On idéalise trop souvent le « terroir », sans voir la réalité des pratiques agricoles.

  14. Le vin, c’est la convivialité… si même ça devient une source d’inquiétude, où va-t-on ? Je vais peut-être me mettre à la bière, tiens.

  15. Franchement, ça ne m’étonne qu’à moitié. Le vin, c’est devenu une industrie comme une autre.

    Je me demande si on ne devrait pas revenir aux cépages oubliés, moins productifs mais plus résistants.

  16. Bof, encore une alerte. Je crois que je vais continuer à me faire plaisir avec un bon verre de vin. Le stress, c’est mauvais pour la santé aussi !

  17. Le vin, c’est une histoire de famille chez nous. Mon grand-père disait toujours : « Le vin, c’est la terre qui parle. » J’imagine qu’aujourd’hui, elle crie surtout à l’aide. C’est triste.

  18. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact de ces produits sur les sols à long terme. On boit le résultat, mais la terre, elle, le subit.

  19. Les reportages sensationnalistes comme ça, c’est toujours la même chose. On fait peur, mais on ne donne pas de solutions. Au final, on est juste plus angoissé.

  20. Moi, ce qui me dérange, c’est le « parfois plus que dans des pommes ». Ça veut dire quoi ? On compare des torchons et des serviettes. Une dose par kilo ? Par litre ? C’est du flou artistique pour faire peur.

  21. J’ai toujours privilégié le vin de petits producteurs locaux. C’est plus cher, mais je sais d’où ça vient et qui le fait. C’est un investissement dans la qualité, pas juste une boisson.

  22. Et dire qu’on nous vante le terroir… On dirait qu’il est surtout gavé de produits chimiques. Ça donne plus envie de boire de l’eau, finalement.

  23. Franchement, ça me rappelle pourquoi j’ai commencé à acheter en direct chez des vignerons. Au moins, j’ai un visage derrière la bouteille et je peux poser des questions.

  24. J’avoue que ça ne me surprend pas tant que ça. Le bio est cher, et je comprends que tout le monde n’ait pas les moyens. On paie pour sa santé, c’est ça ? C’est injuste.

  25. Bof, le vin c’est un plaisir, pas une source d’angoisse. Si on commence à tout scruter, on ne profite plus de rien. Un bon verre entre amis, c’est ça le plus important.

  26. J’espère juste qu’ils ont testé les vins sans sulfites ajoutés aussi. C’est souvent là qu’on cherche l’authenticité, pas forcément dans le bio labellisé.

  27. Je suis déçu, mais pas surpris. J’espère que cette étude incitera les grandes marques à plus de transparence sur leurs pratiques.

    Ça remet en question mes habitudes d’achat, je vais devoir faire plus attention.

  28. Le vin, c’était mon petit plaisir du week-end pour décompresser. Maintenant, je vais y penser à deux fois avant de déboucher une bouteille. La détente a un goût amer, soudain.

  29. Je suis un peu las des études alarmistes. On nous dit de manger bio, de boire local, mais ça coûte un bras. Comment on fait quand on a un budget limité ?

  30. C’est agaçant. On essaie de soutenir les produits français et on tombe sur ça. J’espère que cette enquête va bouger les lignes, mais j’en doute.

  31. C’est le genre d’info qui me fait me demander si le problème n’est pas plus global, dans notre façon de produire à grande échelle. Le vin n’est qu’un symptôme, non ?

  32. Je me demande si l’étude a pris en compte les quantités ingérées. On ne boit pas une bouteille de pesticides comme on croque une pomme, non ? La dose fait le poison, comme on dit.

  33. Tiens, ça me rappelle quand mon grand-père disait : « Le vin d’aujourd’hui n’a plus le goût de celui d’avant. » Il avait peut-être raison, finalement. C’est triste.

  34. Franchement, ça me conforte dans l’idée de privilégier les petits producteurs que je connais directement. Au moins, je peux leur poser des questions.

  35. Dire que je suis surpris serait mentir. On nous vend tellement de rêve avec les terroirs et les traditions, mais la réalité est souvent bien moins poétique.

  36. Perso, ça me donne envie de revenir au vin en vrac du producteur local. Au moins, on sait ce qu’on achète, sans fioritures ni marketing.

  37. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les sols à long terme. On parle beaucoup de notre santé, mais la terre, elle, qui la défend ?

  38. C’est toujours la même rengaine. On pointe du doigt, on alerte, mais concrètement, ça change quoi pour nous, consommateurs ? Des infos, oui, des solutions, zéro.

  39. Je me demande si les méthodes d’analyse sont comparables entre les fruits et le vin. On ne mange pas une pomme entière comme on boit une bouteille, non ?

  40. Franchement, ça me rappelle l’histoire du poulet aux hormones. On va encore nous dire que les doses sont infimes et qu’il n’y a pas de risque. J’ai juste envie de pouvoir choisir en toute transparence.

  41. Moi, je trouve ça dingue qu’on découvre ça maintenant. On se doute bien que l’agriculture intensive n’est pas sans conséquences…

  42. Je n’achète que du vin chez des petits producteurs que je connais. Au moins, je peux discuter avec eux de leurs pratiques. Ça change tout.

  43. Je suis plus déçu qu’effrayé. C’est triste de voir que même un plaisir comme le vin peut être gâché par des pratiques douteuses. J’espère juste que ça poussera les vignerons à changer.

  44. Je suis un peu blasé. Encore un truc qu’on aimait bien et qui se révèle moins reluisant qu’on ne le pensait. On va finir par plus rien oser consommer.

  45. Je me demande si le problème vient pas aussi de nous, les consommateurs. On veut du vin pas cher, et forcément, ça a un impact sur les pratiques viticoles.

  46. Ça me fait surtout penser aux agriculteurs, coincés entre des normes et la pression des prix. La solution n’est peut-être pas si simple.

  47. Je me demande si les seuils autorisés sont vraiment adaptés à une consommation régulière. On nous parle souvent de « traces », mais l’accumulation, elle, n’est jamais mentionnée.

  48. Moi, je me dis que ça confirme ce que je ressentais : le goût a changé. On dirait que les vins d’avant avaient plus de caractère, un truc authentique qu’on ne retrouve plus.

  49. Franchement, ça me refroidit. Le vin, c’est censé être un plaisir, un moment de convivialité. L’idée d’y trouver des pesticides… ça gâche tout.

  50. Bof, ça ne m’étonne qu’à moitié. Je préfère boire moins, mais acheter directement chez un vigneron que je connais et qui travaille en biodynamie. Au moins, j’ai un visage derrière la bouteille.

  51. Je ne suis pas un grand connaisseur, mais j’ai l’impression qu’on nous infantilise. On nous alerte, mais sans nous donner les moyens de comprendre les risques réels et d’agir.

  52. J’espère que cette enquête poussera les supermarchés à la transparence. Afficher clairement les résultats des analyses, ça éviterait de se sentir pris en otage.

  53. Je me demande si le problème ne vient pas de notre obsession pour des vins « parfaits » visuellement et gustativement. On a peut-être oublié que la nature, c’est parfois un peu de défaut…

  54. Franchement, je suis plus inquiet pour les vignerons que pour ma santé. Si ça continue, ils ne pourront plus rien faire pour protéger leurs vignes. C’est leur gagne-pain qui est en jeu.

  55. Plus de pesticides que dans une pomme… ça relativise mon envie de croquer dans le fruit défendu ! Je vais peut-être me contenter d’un verre, finalement.

  56. Je n’achète que du vin en direct chez des vignerons que je connais. Au moins, je peux discuter de leurs pratiques. Ça évite les mauvaises surprises.

  57. Ça me rend surtout triste. Le vin, c’est censé être un plaisir, un héritage. Apprendre ça, c’est un peu comme découvrir que le Père Noël n’existe pas.

  58. Je me demande si le problème ne vient pas de la définition même de « vin conventionnel ». Il faudrait peut-être revoir les normes et les contrôles, non ?

  59. Je me demande si le problème n’est pas aussi lié au stockage du vin. On parle toujours de la production, mais l’environnement dans lequel il vieillit peut-il influencer la présence de ces substance…

  60. Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout l’impact sur le goût. Est-ce que ces pesticides altèrent vraiment la saveur du vin ? C’est ça, la vraie question, non ?

  61. J’espère qu’on ne va pas se retrouver avec une nouvelle crise comme celle des œufs contaminés. On devrait avoir le droit de savoir précisément quelles marques sont concernées.

  62. C’est fou de voir que même un produit qu’on associe à la tradition et au terroir peut être touché par ça. J’espère que les vignerons vont réagir vite.

  63. Alors là, ça me rappelle la fois où j’ai essayé de faire pousser mes propres tomates… Une catastrophe ! Peut-être qu’au fond, c’est juste ça, l’agriculture, conventionnelle ou pas : un combat permanent contre la nature.

  64. Tiens, c’est marrant, ma tante me disait justement l’autre jour qu’elle ne sentait plus le même « goût de raisin » dans son verre de rouge… Serait-ce lié ?

  65. Je suis passé au bio il y a quelques années, justement pour éviter ce genre de mauvaises surprises. Ça vaut peut-être le coup d’y regarder de plus près, quitte à payer un peu plus cher.

  66. Le vin, c’est censé être un plaisir. Maintenant, faut-il faire une thèse de chimie avant de déboucher une bouteille ? Ça gâche un peu le truc, non ?

  67. Je me demande si cette « découverte » ne va pas surtout servir à vendre encore plus de vin « nature ». Le marketing a de beaux jours devant lui.

  68. Moi, ce qui m’inquiète le plus, c’est l’effet cocktail. On parle de « dépassement » sur une pomme, mais on mange rarement une seule pomme isolée. Et si le vin s’ajoute à tout le reste ?

  69. Personnellement, je trouve ça un peu hypocrite de s’offusquer. On se doute bien que le vin, comme tout produit agricole, est rarement « naturel » à 100%.

  70. Moi, j’aimerais surtout savoir quelles marques sont concernées. C’est bien de prévenir, mais sans donner de noms, ça sert pas à grand-chose, si ?

  71. Je me demande si le problème n’est pas dans les seuils autorisés, plus que dans la présence de pesticides elle-même. On accepte des doses infimes partout, mais est-ce qu’on sait vraiment ce que ç…

  72. Moi, je me demande si le problème n’est pas plus global. On accepte ces produits dans l’agriculture, donc les retrouver dans le vin, c’est la conséquence logique, non ? C’est la politique agricole qu’il faudrait changer.

  73. C’est quand même fou qu’on trouve plus de cochonneries dans un produit de luxe que dans un fruit basique. Ça remet les priorités en question.

  74. Ça me fait surtout penser à ma grand-mère qui disait toujours : « Le vin d’avant, il te montait à la tête, pas te rendre malade. » Nostalgie ou réalité ? Difficile à dire.

  75. C’est le genre de nouvelles qui me fait repenser à mon budget vin. Peut-être que quelques euros de plus par bouteille, c’est un investissement dans ma santé.

  76. Franchement, ça me gave un peu ces articles alarmistes. On nous culpabilise sur tout, tout le temps. Bientôt, on aura plus le droit de rien apprécier.

  77. Moi, ça m’énerve qu’on nous parle toujours de « vin conventionnel » comme si c’était un bloc monolithique. Y’a des vignerons qui se battent pour limiter les traitements, même sans label bio.

  78. Je ne bois du vin qu’en de rares occasions, alors ça ne change pas grand chose pour moi. Mais j’imagine que pour les amateurs, c’est un peu la douche froide.

  79. Ce genre d’article me fait réaliser que derrière l’image romantique du vin, il y a aussi une industrie avec ses dérives. La transparence serait un premier pas.

  80. Le titre est choc, mais j’aimerais connaître les quantités exactes retrouvées. « Plus que dans des pommes », ça ne veut pas dire grand-chose sans chiffres précis.

  81. J’avoue que ça m’interpelle, surtout pour les repas entre amis. On choisit souvent un vin sans trop se poser de questions… C’est dommage de gâcher un bon moment avec des inquiétudes.

  82. C’est sûr que ça donne pas envie. J’espère que les producteurs vont réagir vite, ça peut vraiment entacher l’image du vin français.

  83. C’est flippant quand même. On pense se faire plaisir et on ingère des trucs pas nets. Va falloir que je regarde les étiquettes de plus près, dorénavant.

  84. Je me demande si le problème vient pas surtout de la monoculture de la vigne. Ça fragilise et ça force à traiter… Diversifier les cultures, c’est peut-être ça la vraie solution.

  85. MécanicienRetraité

    Je me demande si les seuils autorisés sont vraiment pertinents. On nous dit « dans les normes », mais est-ce que ces normes tiennent compte de l’effet cocktail ?

  86. InstitutricePassionnée

    Ce qui m’inquiète, c’est surtout l’impact sur les vignerons eux-mêmes, exposés quotidiennement. On parle souvent du consommateur, mais moins de ceux qui produisent.

  87. Je suis surtout déçu. Le vin, c’est souvent associé aux bons moments, à la convivialité. Apprendre ça, ça gâche un peu le plaisir.

  88. Clément Bernard

    Ça me fait surtout penser qu’on idéalise trop le vin. C’est un produit comme un autre, soumis aux mêmes logiques de production.

  89. Étienne Bernard

    Je trouve ça ironique de se soucier des pesticides dans le vin alors qu’on en trouve partout dans notre alimentation. C’est un peu l’arbre qui cache la forêt.

  90. Tiens, voilà qui remet en question mes apéros du vendredi soir ! Va falloir que je sois plus regardant sur l’origine du vin, même si je n’y connais rien.

  91. Le vin, c’était un peu mon dernier plaisir « non négociable ». Maintenant, je me demande si je vais pas finir par craquer et passer au bio, même si ça pique le porte-monnaie.

  92. Franchement, ça ne m’étonne qu’à moitié. Le vin, c’est aussi une industrie. Je m’inquiète plus pour l’environnement des vignobles que pour ma propre santé à boire un verre de temps en temps.

  93. Moi, ce qui me frappe, c’est le contraste. On nous vend le vin comme un produit du terroir, authentique, et derrière, c’est peut-être gavé de produits chimiques. Un peu hypocrite tout ça.

  94. J’espère juste que l’étude complète est transparente et qu’on peut consulter les données brutes. Savoir *quels* pesticides et en *quelles* quantités, c’est crucial pour relativiser ou s’alarmer.

  95. Je me demande si l’étude prend en compte la dose ingérée. Un verre de vin, ce n’est pas un kilo de pommes. L’impact réel est-il si grave ?

  96. Bof, je me dis que si ça peut pousser les vignerons à faire mieux, c’est pas plus mal. Peut-être que ça les forcera à trouver des alternatives plus naturelles.

  97. J’ai toujours cru que le « goût de bouchon » était le seul truc à craindre dans le vin. Ça fait peur de penser qu’on boit peut-être autre chose sans le savoir.

  98. Le vin, c’est déjà assez compliqué comme ça avec les cépages et les tanins. Maintenant, faut être chimiste pour choisir sa bouteille? Ça me décourage un peu, honnêtement.

  99. Je me demande si cette étude ne va pas surtout profiter aux vins « nature ». Ça sent la campagne marketing déguisée, non ?

  100. Sébastien Bernard

    Plus de pesticides que dans les pommes, c’est quand même fort de café ! Je vais peut-être me contenter de boire du cidre, tiens.

  101. Je bois du vin bio depuis des années, justement pour éviter ce genre de mauvaises surprises. Le goût est souvent différent, plus « sauvage », mais au moins je sais ce que je bois.

  102. Alexandre Bernard

    Le vin, c’est un plaisir. Apprendre qu’il pourrait contenir des cochonneries, ça gâche un peu la fête, non ? J’espère que les producteurs réagiront vite.

  103. Benjamin Bernard

    Franchement, ça me fait penser à l’époque où on disait que l’eau du robinet était meilleure que l’eau en bouteille… on ne sait plus qui croire.

  104. Christophe Bernard

    J’avoue, je suis un peu perdu. J’aimerais savoir quelles marques sont concernées. Sans noms, l’info reste assez vague et anxiogène.

  105. Je me demande si le problème vient surtout des traitements appliqués après la récolte, pour la conservation ? On parle toujours des vignes, mais moins du reste.

  106. Emmanuel Bernard

    Le vin est un produit de la terre, c’est logique qu’on y retrouve des traces de traitements. L’important est de savoir si ces quantités sont dangereuses ou pas, non ?

  107. François Bernard

    J’achète souvent du vin chez le producteur, en direct. Je vais lui poser la question, tiens. Ça me permettra de me faire une idée plus précise de ses pratiques.

  108. Grégoire Bernard

    C’est surtout le « plus que dans les pommes » qui me choque. On nous encourage à manger des fruits et légumes, et là…

  109. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur la biodiversité des sols, plus que sur ma propre santé. On oublie souvent ça.

  110. Moi, ça me rappelle surtout que derrière chaque bouteille, il y a un vigneron. J’espère qu’on ne va pas les accabler sans nuance.

  111. C’est toujours la même rengaine. On pointe du doigt, on alerte, mais au final, ça change quoi concrètement pour nous, consommateurs ? Des étiquettes plus claires, ce serait déjà un bon début.

  112. Le bio devient presque un argument de sécurité, plus qu’un choix gustatif. Triste constat pour un produit aussi lié au terroir.

  113. Béatrice Bernard

    Je trouve ça ironique. On taxe le sucre, on culpabilise sur le gras, et le vin, symbole de notre culture, serait bourré de pesticides ? Drôle d’époque.

  114. Franchement, ça me refroidit un peu. Je buvais du vin pour me faire plaisir, pas pour ingérer des cochonneries. Je crois que je vais lever le pied, au moins un temps.

  115. Delphine Bernard

    Bof, ça ne me surprend pas vraiment. Le vin « plaisir », c’est souvent ça, du marketing plus que du raisin.

    Et puis, est-ce qu’on a vraiment besoin d’une nouvelle raison de culpabiliser ?

  116. Ça me fait penser aux scandales alimentaires à répétition. On finit par ne plus savoir quoi manger ni boire en toute tranquillité.

  117. Gabrielle Bernard

    Je me demande si le problème ne vient pas de notre obsession pour l’esthétique parfaite du raisin. On veut des grappes sans défaut, et ça a un prix.

  118. Hélène Bernard

    Je me demande si ces pesticides persistent après la fermentation. Le processus de vinification pourrait peut-être éliminer une partie de ces résidus.

  119. Isabelle Bernard

    Moi, le vin, c’est surtout des souvenirs. Les repas de famille, les soirées entre amis. Si ça devient une source d’angoisse, autant passer au jus de raisin, non ?

  120. C’est embêtant, mais je me dis que mes grands-parents ont bu du vin toute leur vie sans s’en soucier. Peut-être que je m’inquiète pour rien.

  121. Je ne bois que du vin rouge. J’espère que les tests ont été faits aussi sur ce type de vin. Si c’est le cas, ça va être compliqué de trouver une alternative…

  122. Nathalie Bernard

    Franchement, je préfère ne pas savoir. Le vin, c’est un petit plaisir simple. Si je commence à décortiquer chaque verre, ça perd tout son charme.

  123. Je suis un peu las de ces études alarmistes. On nous dit tout et son contraire, à la fin on ne sait plus quoi croire. Le vin, c’est aussi un terroir, un savoir-faire, une histoire.

  124. Ça me conforte dans l’idée de privilégier les petits producteurs locaux. Au moins, on peut discuter avec eux et comprendre leurs méthodes.

  125. Je suis surtout déçu. Le vin, c’est censé être un produit de la terre, un héritage. Retrouver ça, c’est trahir l’idée qu’on s’en fait. J’espère que les vignerons prendront ça au sérieux.

  126. Je suis partagé. J’aime le vin, mais l’idée d’ingérer des pesticides en même temps me refroidit. Peut-être qu’alterner avec d’autres boissons est une solution.

  127. Le vin, c’est comme beaucoup de choses maintenant : on ne sait plus ce qu’on avale. Je vais peut-être me remettre à faire mon propre vin de pissenlit. Au moins, je saurai ce qu’il y a dedans.

  128. Valérie Bernard

    Je ressens surtout de la colère. On nous prend vraiment pour des imbéciles en continuant à utiliser ces saletés. C’est inadmissible.

  129. Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on cible le vin alors que les pesticides sont partout. C’est toujours plus facile de taper sur un produit plaisir.

  130. Brigitte Bernard

    Moi, je trouve surtout que ça gâche le plaisir de la dégustation. On ne peut plus savourer un bon verre sans arrière-pensée.

  131. Catherine Bernard

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout l’impact sur les générations futures. On ne voit les conséquences que sur le long terme.

  132. Et le bio, il est vraiment épargné ou c’est juste un argument marketing de plus ? Parce que si c’est pour payer plus cher et avoir la même chose…

  133. Est-ce qu’on parle des doses retrouvées ? Parce que « plus que dans les pommes » ne veut pas dire grand-chose si on ne contextualise pas.

  134. Florence Bernard

    Je me demande si ces pesticides retrouvés sont vraiment une surprise. L’agriculture intensive, on la voit partout, pas seulement dans le vin.

  135. Bof, encore une alerte. On nous dit tellement de choses, que je ne sais plus qui croire. On finit par ne plus rien manger, ni boire.

  136. Huguette Bernard

    Franchement, ça me donne envie de retourner chez mon petit producteur local. Au moins, je peux discuter avec lui de ses méthodes.

  137. Je me demande si l’étude prend en compte la transformation du raisin en vin. Est-ce que le processus de vinification ne réduit pas la quantité de pesticides ?

  138. Jacqueline Bernard

    C’est effrayant, mais je ne suis pas étonné. On idéalise trop le vin, alors que c’est juste un produit agricole comme un autre.

  139. J’espère que les vignerons vont réagir. C’est dommage pour l’image de nos vins.

    Après, on a toujours le choix de ne pas en boire. C’est peut-être le moment de se mettre à la bière !

    Je me demande si les vins étrangers sont concernés aussi.

  140. C’est dingue, quand même. On nous parle toujours de terroir, de tradition… et derrière, c’est la même logique que pour les fraises hors-sol. Ça décrédibilise tout.

  141. Moi, le vin, c’est avant tout un plaisir. Si à chaque gorgée, je dois penser aux pesticides, ça gâche tout. Je vais peut-être lever le pied un moment.

  142. Moi, ce qui me chiffonne, c’est qu’on cible le vin. Les pesticides, c’est un problème agricole global, non ? On dirait qu’on cherche le buzz.

  143. Moi, je suis surtout déçu. Le vin, c’est souvent un moment de partage, de convivialité. Apprendre ça, c’est un peu comme découvrir un secret moche sur un ami.

  144. Guillaume Dubois

    C’est vrai que ça fait réfléchir. Mais honnêtement, je suis plus inquiet pour mes enfants et les fruits qu’ils mangent tous les jours. Le vin, c’est occasionnel chez moi.

  145. Je trouve ça hypocrite de s’offusquer pour le vin et d’oublier les champs de céréales à côté de chez soi. Le problème est bien plus vaste.

  146. Je suis curieux de connaître les noms des vins testés. Sans ça, l’info reste floue et culpabilisante sans donner les moyens d’agir.

  147. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les petits vignerons. Ils n’ont pas forcément les moyens de passer au bio, mais ils font souvent du bon boulot.

  148. C’est ballot, moi qui apprécie un bon verre avec le repas. Faut-il revenir au picrate de nos grands-pères pour être tranquille ?

  149. Franchement, j’espère que cette étude va pousser les vignerons à la transparence. Un label clair, simple, sur la quantité de pesticides, ça aiderait à choisir.

  150. C’est embêtant, mais pas surprenant. On sait bien que le « goût de terroir » peut parfois masquer des pratiques moins reluisantes. J’espère que ça réveillera les consciences, surtout chez les consommateurs comme moi.

  151. Je me demande si le problème n’est pas plutôt la définition de « pesticide ». Le cuivre, utilisé en bio, est-il comptabilisé ? Parce que dans ce cas…

  152. Bof, encore une étude à sensation. On nous dit qu’il y a des pesticides, ok. Mais à quelle dose ? Est-ce que c’est vraiment dangereux ou juste un coup de pub pour faire peur ? J’attends de voir des chiffres concrets avant de paniquer.

  153. Le vin, c’est quand même un produit de plaisir. Si on commence à se poser trop de questions, on perd un peu de la magie, non ?

  154. Sébastien Dubois

    C’est vrai que ça gâche un peu le plaisir, cette histoire. Je vais peut-être me tourner plus souvent vers les vins natures, même si c’est un peu plus cher.

  155. Moi, je me dis que nos ancêtres, ils faisaient du vin sans tous ces produits, non ? On a oublié des savoir-faire, c’est ça le problème.

  156. Ce n’est pas tant la présence de pesticides qui me choque, c’est que ce soit pire que dans des pommes ! On s’attend à manger des fruits traités, moins à boire du poison.

  157. Alexandre Dubois

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur la biodiversité. On parle de notre santé, mais les vignes traitées, c’est aussi une catastrophe pour les insectes et les oiseaux.

  158. Personnellement, j’ai juste l’impression d’être pris en otage. On aime le vin, on en achète, et on découvre ça. On fait comment, à part tout arrêter ?

  159. Christophe Dubois

    Franchement, ça me fait penser à ces reportages où on découvre que notre plat préféré est bourré d’additifs. On préférerait ne pas savoir, mais bon, l’info est là.

  160. C’est dommage. J’aimais bien l’idée que le vin rouge, c’était bon pour le cœur. Maintenant, je ne sais plus trop quoi penser.

  161. Je me demande si les vignerons eux-mêmes sont au courant de l’ampleur du problème. Ils doivent bien boire leur propre vin, non ?

  162. François Dubois

    J’ai toujours pensé que le prix du vin reflétait la qualité… mais visiblement, il reflète surtout la quantité de traitements chimiques. Ça remet en question pas mal de choses.

  163. Grégoire Dubois

    Je me demande si les seuils autorisés sont respectés, même avec plus de pesticides que dans les pommes. C’est peut-être ça la vraie question.

  164. J’espère que les vins testés étaient des millésimes récents. Parce que si on retrouve ça dans les vins d’aujourd’hui, qu’est-ce qu’il y a dans les bouteilles que j’ai en cave depuis dix ans ? Ça fait peur.

  165. Je ne suis pas surpris, malheureusement. Le vin, c’est comme tout, la rentabilité prime. C’est triste de voir que même un plaisir comme ça peut être gâché.

  166. J’ai une amie vigneronne. Elle se bat tous les jours pour limiter les traitements, c’est un vrai sacerdoce. Cet article, c’est cracher sur son travail.

  167. Béatrice Dubois

    Moi, je me demande si on ne diabolise pas trop vite. Le vin, c’est aussi un terroir, un savoir-faire… Faut-il vraiment tout remettre en cause ?

  168. Perso, je vais peut-être me mettre à regarder les vins natures de plus près. Au moins, on sait à quoi s’attendre, même si le goût est parfois… surprenant.

  169. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’effet cocktail. On mange des pommes, on boit du vin… tous ces résidus additionnés, ça donne quoi à long terme ?

  170. Ah, encore une nouvelle raison de culpabiliser en dégustant un verre. On ne peut plus rien faire sans que ça devienne une source d’angoisse.

  171. Gabrielle Dubois

    Boire du vin, c’est censé être un moment de partage. Si on commence à décortiquer chaque gorgée, on perd le plaisir. Je préfère profiter et faire confiance, tant pis si je suis naïf.

  172. Je me demande si le problème ne vient pas du manque de transparence. On devrait avoir accès aux données des analyses, pour chaque bouteille.

  173. Ça me rappelle un peu les débats sur la bouffe industrielle. On nous dit ce qu’il ne faut pas faire, mais rarement comment faire mieux concrètement.

  174. Le bio, c’est pas toujours abordable. On fait comment quand on a un budget limité et qu’on aime bien un petit verre de rouge de temps en temps ?

  175. Alors là, ça remet en question mon apéro ! Je me demande si les vignerons sont vraiment conscients de l’image qu’ils renvoient.

  176. Je me demande si la concentration de pesticides est réellement dangereuse, ou juste supérieure à celle des pommes, qui ne sont peut-être pas une référence fiable.

  177. Moi, le vin, c’est surtout les souvenirs qu’il transporte. J’espère que ces découvertes ne vont pas transformer chaque bouteille en étiquette à risque.

  178. Le vin, c’est comme un ami : parfois il te déçoit. Je me demande si on ne surréagit pas un peu, non ? Tout est pollué de toute façon.

  179. Ça me fait surtout penser aux petits producteurs indépendants, ceux qui se battent pour des méthodes plus saines. J’espère qu’ils vont tirer leur épingle du jeu.

  180. Plus de pesticides que dans des pommes, c’est quand même un comble ! Je vais peut-être me mettre au cidre… au moins je sais d’où viennent les pommes du verger de mon voisin.

  181. Pesticides dans le vin ? Encore un truc qui était censé être un plaisir et qui se transforme en source d’angoisse. On ne peut plus rien consommer sereinement, c’est usant.

  182. Bof, ça ne m’étonne qu’à moitié. Le marketing du « terroir » cache souvent des pratiques intensives. Faut pas se leurrer.

  183. Catherine Dubois

    Perso, je vais surtout scruter les étiquettes. Les mentions « HVE » ou « Terra Vitis » peuvent être un début de réponse, non ?

  184. C’est fou, quand même. On nous parle toujours de la beauté des vignes, des traditions… et derrière, on trouve ça. Ça gâche un peu le plaisir, non ?

  185. Je me demande si ces analyses prennent en compte les seuils autorisés. On parle de « présence », mais « présence » ne veut pas dire « danger ». C’est le dosage qui compte, non ?

  186. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’effet cocktail. On mange, on boit, et tout s’additionne. On ne sait pas vraiment ce que ça fait à long terme.

  187. Le pire, c’est d’imaginer que ces produits finissent sur nos tables de fêtes. On sabre le champagne en trinquant à la santé, ironique, non ?

  188. Franchement, je suis plus déçu qu’effrayé. Le vin, c’est un accompagnement, un partage. Que ça devienne un sujet de méfiance, c’est triste.

  189. Jacqueline Dubois

    Je pense que le problème n’est pas tant les pesticides que le manque de transparence. On devrait savoir exactement ce qu’on boit, point.

  190. Le vin, c’était un petit plaisir simple, un truc qui me connectait à la nature. Maintenant, on dirait que même ça, c’est pollué. Déprimant, franchement.

  191. Ben moi, ça me fait surtout penser à l’agriculture intensive partout, même pour le plaisir. On cherche le rendement, après on s’étonne.

  192. C’est une vraie douche froide. J’aimerais que les vignerons communiquent plus sur leurs pratiques, même si elles ne sont pas parfaites. L’honnêteté, ça rassure.

  193. Je suis perplexe. On pointe le vin, mais qu’en est-il des autres produits transformés qu’on consomme quotidiennement ? C’est toujours le même procès d’intention.

  194. Mouais… Encore un truc pour culpabiliser. Moi, je préfère me concentrer sur le plaisir de boire un bon verre. Le reste, c’est du bruit.

  195. Guillaume Durand

    Et zut ! Moi qui pensais échapper aux pesticides en buvant du rouge. Va falloir se pencher sérieusement sur les alternatives.

  196. C’est marrant, j’ai justement visité un vigneron récemment qui m’expliquait toutes les difficultés qu’il rencontrait pour limiter les traitements. Ça me fait relativiser cet article.

  197. Je me demande si le problème ne vient pas aussi de la définition même de ce qu’est un « pesticide » et de la quantité autorisée. C’est peut-être là qu’il faudrait creuser.

  198. J’ai envie de dire, « pas de bol », mais en même temps, je me demande si on ne devrait pas boire moins, mais mieux. C’est peut-être ça, la vraie solution.

  199. Le bio, c’est devenu un argument marketing. On nous assure que c’est plus sain, mais est-ce vraiment contrôlé ? J’ai l’impression de choisir entre la peste et le choléra.

  200. C’est agaçant, cette défiance constante. On cherche toujours le scandale. Personnellement, j’ai plus confiance dans le savoir-faire des vignerons que dans les études alarmistes.

  201. Je suis un peu dégoûté, pour être honnête. Le vin, c’était un peu mon « plaisir sain ». Maintenant, j’ai l’impression de me faire avoir.

  202. Je ne suis pas expert, mais je pense que le problème, c’est surtout la transparence. Savoir *quels* pesticides et en *quelles* quantités, ça aiderait à se faire un avis éclairé, non ?

  203. Sébastien Durand

    Dire que je suis surpris serait mentir. Mais ça remet en question mon achat « vin du dimanche ».

    On parle toujours des fruits et légumes, mais le vin, on l’oublie.

  204. Je suis plutôt du genre à boire local, donc j’espère que les petits producteurs que je connais sont épargnés… Ça fait réfléchir.

  205. Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout l’impact sur les sols et la biodiversité, bien plus que dans mon verre. On oublie l’amont, souvent.

  206. Alexandre Durand

    Je me demande si la biodynamie est une alternative valable, au-delà du simple label. Ça demande un vrai engagement du vigneron, non ?

  207. Le vin, c’est aussi une histoire de terroir. J’ai peur qu’à force de traitements, on finisse par uniformiser les goûts, perdre l’identité de chaque région.

  208. Christophe Durand

    Je me demande si on ne devrait pas encourager davantage les démarches HVE (Haute Valeur Environnementale). C’est peut-être un bon compromis entre conventionnel et bio.

  209. Je vais peut-être me faire l’avocat du diable, mais est-ce qu’on a vraiment besoin de ces vins « très populaires » ? Il existe tellement de petites productions de qualité…

  210. François Durand

    J’avoue que le vin, c’est un peu sacré pour moi. J’espère juste que les doses sont vraiment infimes et sans danger à long terme.

  211. Moi, le vin, ça me donne mal de tête de toute façon. Alors avec des pesticides en plus, c’est double peine ! Je vais peut-être définitivement passer à l’eau pétillante.

  212. Franchement, ça me déçoit. Le vin, c’est un plaisir simple, un moment de partage. Savoir qu’il y a potentiellement des cochonneries dedans, ça gâche un peu la fête.

  213. J’espère que cette étude va pousser les vignerons à être plus transparents sur leurs pratiques. On a le droit de savoir ce qu’on boit.

  214. Béatrice Durand

    Mouais… Encore une étude alarmiste. On nous dit « plus que dans des pommes », mais quelles pommes ? Et à quelle dose ? Faut pas prendre les gens pour des jambons non plus.

  215. C’est toujours la même rengaine, non ? On pointe du doigt un truc qu’on aime bien, et on nous dit que c’est mauvais pour nous. Je me demande si on devrait pas juste arrêter de tout analyser et profiter de la vie.

  216. Ça me rappelle les débats sur les perturbateurs endocriniens dans les plastiques. On nous dit qu’il y en a partout, mais on continue d’acheter de l’eau en bouteille.

  217. Je suis un peu blasé. Encore une bonne raison de culpabiliser en savourant un verre. On ne peut plus rien faire sans se demander si on s’empoisonne.

  218. Gabrielle Durand

    C’est embêtant, mais ça ne m’étonne qu’à moitié. Je crois que je vais privilégier les petits producteurs locaux, quitte à payer un peu plus. Au moins, je pourrai discuter avec eux et me faire une idée plus précise.

  219. On devrait peut-être arrêter de se focaliser sur le vin et regarder ce qu’il y a dans l’assiette en général. Le problème est bien plus large que quelques bouteilles, non ?

  220. Personnellement, ça me fait penser que le problème n’est pas tant le vin, mais l’agriculture intensive en général. Triste constat.

  221. Je me demande si le problème ne vient pas aussi de la pression sur les prix. Pour faire du vin « pas cher », faut bien rogner quelque part…

  222. Moi ce qui me frappe, c’est le silence assourdissant des vignerons. On dirait qu’ils attendent que la tempête passe, mais ça ne fait qu’alimenter la méfiance.

  223. Le vin, c’est la convivialité. L’idée qu’il soit contaminé, ça gâche un peu le plaisir, non ? J’espère que les contrôles vont se renforcer.

  224. Plus de pesticides que dans des pommes, carrément ? C’est le genre d’info qui te refroidit net. Je vais peut-être me mettre au thé, finalement.

  225. J’ai toujours pensé que le soufre était le principal problème dans le vin. Les pesticides, c’est une autre paire de manches. Ça remet en question tout le processus.

  226. C’est vrai que ça fait réfléchir… Moi, j’ai toujours pensé que le terroir, c’était justement une garantie de qualité et d’authenticité. Du coup, ça met un peu à mal cette image.

  227. Je fais mon vin moi-même. C’est du boulot, mais au moins je sais ce qu’il y a dedans. Le goût est peut-être moins « parfait », mais la conscience est tranquille.

  228. Je ne bois que du vin rouge. J’espère que le test en a inclus et que les résultats sont similaires. Sinon, c’est incomplet.

  229. Je me demande si le bio est vraiment une solution ou juste un argument marketing de plus. Est-ce que les contrôles sont réellement plus stricts ?

  230. Ça ne m’étonne qu’à moitié. Le vin, c’est comme tout, on cherche la rentabilité avant tout. On verra bien si ça change nos habitudes.

  231. Moi, je trouve ça surtout dommage pour l’image de nos vins. On a un patrimoine incroyable, c’est triste de le voir entaché comme ça.

  232. Ce qui me dérange le plus, c’est l’opacité. Si on trouve ces produits dans le vin, on devrait au moins pouvoir le savoir clairement avant d’acheter. Une étiquette plus transparente serait un bon début.

  233. Je me demande si les quantités retrouvées sont réellement dangereuses. On nous parle de « dépassement » par rapport à quoi, exactement ?

  234. Je me demande si le type de sol n’a pas une influence. On parle de Chablis, Muscadet, etc. Des sols différents, c’est aussi des traitements différents, non?

  235. Franchement, ça me conforte dans l’idée de boire moins, mais mieux. Un bon vin d’artisan, même plus cher, ça vaut peut-être le coup.

  236. Jacqueline Durand

    Le vin, c’est la convivialité. Apprendre ça, ça gâche un peu le plaisir, non? J’espère que les vignerons vont réagir positivement.

  237. C’est rageant. J’ai l’impression qu’on ne peut plus faire confiance à personne. On se fait avoir sur tout, même sur le plaisir.

  238. Je vais peut-être passer pour un vieux réac, mais je suis plus inquiet des sulfites que des pesticides. Au moins, on sait qu’ils en mettent!

  239. Moi, je pense qu’il faut surtout soutenir les démarches agroécologiques. C’est l’avenir pour limiter les traitements, sans forcément passer au bio.

  240. J’avoue, je suis un peu naïf. Je pensais que le vin, c’était plus « nature » que les fruits et légumes. Ça remet les choses en perspective.

  241. Je me dis qu’il y a probablement des contrôles, mais qu’ils ne sont pas assez efficaces. L’enquête le prouve bien.

    Boire du vin est un acte culturel, donc je me demande si la pression économique ne pousse pas certains à en faire trop.

  242. Je me demande si les quantités retrouvées dépassent les seuils autorisés. L’article est alarmiste, mais manque peut-être de précision.

  243. Personnellement, je suis plus préoccupé par l’absence d’informations sur les doses ingérées réellement. Un peu de pesticide, c’est comme un peu de sel : tout est dans la mesure.

  244. Je ne bois pas souvent de vin, mais quand j’en prends, c’est un petit plaisir. Savoir qu’il y a potentiellement plus de cochonneries que dans une pomme, ça gâche un peu la fête.

  245. Franchement, ça me rappelle l’histoire des lasagnes au cheval. On découvre un truc, on panique, puis on oublie. La semaine prochaine, ce sera le beurre.

  246. Je me demande si le problème ne vient pas de l’application des traitements. On suit peut-être les règles, mais mal ? Une formation plus poussée des viticulteurs serait peut-être la solution.

  247. Moi, ce qui me dérange, c’est l’idée qu’on nous cache des choses. On devrait avoir le droit de savoir exactement ce qu’on boit, non ?

  248. Moi, ce qui me frappe, c’est l’image du vin « souillé ». Ça brise un peu le rêve, l’idée du terroir et du savoir-faire ancestral.

  249. Je me demande si les vignerons eux-mêmes sont conscients de l’ampleur du problème. On imagine souvent un métier passion, mais peut-être qu’ils subissent aussi la pression économique et les conseils parfois douteux.

  250. Sébastien Leroy

    Ça ne m’étonne qu’à moitié. Le bio est souvent plus cher, forcément, mais là, ça justifie le prix. On sait ce qu’on achète.

  251. Bof. Moi, je me dis que nos ancêtres buvaient du vin bien moins « contrôlé » et ils ont pas tous fini empoisonnés. Faut relativiser, non ?

  252. Je fais mon propre vin de pissenlit, du coup ça ne me touche pas trop. Mais c’est vrai que c’est dommage pour ceux qui aiment les bons crus…

  253. Je me sens un peu trahi, en fait. C’est comme apprendre que ton boulanger industriel ajoute des trucs bizarres à sa baguette « tradition ».

  254. Christophe Leroy

    Franchement, ça me conforte dans mon choix de boire moins de vin. C’est devenu tellement industriel… Autant se faire plaisir avec une bonne bière artisanale, au moins on voit les ingrédients.

  255. C’est toujours la même rengaine. On nous culpabilise sur tout ce qu’on mange et boit. Bientôt, on ne pourra plus rien consommer sans se sentir coupable.

  256. Plus de pesticides que dans une pomme ? C’est aberrant. Je vais sérieusement me pencher sur les alternatives biodynamiques, même si c’est plus cher. La santé n’a pas de prix.

  257. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les viticulteurs. Ces révélations risquent de les stigmatiser, alors que beaucoup font déjà des efforts.

  258. C’est désolant. J’espère que cette enquête poussera les distributeurs à plus de transparence sur les méthodes de production. On devrait avoir le droit de savoir ce qu’on boit.

  259. Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on parle de « vin populaire ». Le bio est déjà cher, si en plus il faut éviter les marques accessibles… on boit quoi ? De l’eau ?

  260. Je ne suis pas surpris. On nous vend du rêve avec les terroirs, mais la réalité agricole est souvent moins poétique. Le bio devient presque un luxe.

  261. Moi, je me demande si le problème vient pas aussi de la concentration. On boit pas un kilo de pommes en une soirée, mais une bouteille de vin, ça se fait…

  262. Je me demande si le problème n’est pas qu’on compare des choses incomparables. Le vin, c’est un produit transformé, pas un fruit brut.

  263. Je ne suis pas chimiste, mais le vin, c’est aussi de la fermentation. Est-ce que ce processus ne modifie pas la nature des pesticides ? On compare peut-être des choux et des carottes.

  264. Le vin, c’est un plaisir, un moment de partage. Si on commence à flipper à chaque gorgée, on perd l’essence même de ce breuvage. Je préfère ne pas trop y penser et savourer.

  265. Franchement, ça me rappelle l’époque où on découvrait du sucre partout. J’imagine qu’on s’habituera, mais ça gâche un peu la fête.

  266. C’est le genre d’info qui te fait regarder ta bouteille de pinard d’un drôle d’oeil. On a l’impression de se faire avoir, non ?

  267. Je ne comprends pas trop cette panique. On nous dit qu’il y en a « parfois plus » que dans des pommes. Mais quelle quantité dans les pommes ? Sans ça, l’info est vide.

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