La crainte de la panne sèche sur autoroute a longtemps été le principal frein à l’adoption des véhicules électriques. Cette angoisse semble pourtant appartenir au passé. Un constructeur asiatique vient de pulvériser un record en faisant parcourir près de 4 000 kilomètres à sa berline en seulement 24 heures, une distance équivalente à un aller-retour Paris-Rome. Cet exploit n’est pas anecdotique : il révèle une maîtrise technologique qui confirme la suprématie de la Chine sur ce marché stratégique et redéfinit ce que l’on peut attendre d’une voiture électrique.
Ce record d’endurance qui change la donne pour l’électrique
L’autonomie et le temps de recharge sont au cœur des préoccupations des automobilistes. En démontrant qu’il est possible de parcourir une très longue distance en une seule journée, arrêts compris, les fabricants envoient un signal fort. La performance a été rendue possible grâce à une organisation millimétrée, avec des équipes de pilotes se relayant et des recharges ultra-rapides successives. Pour de nombreux professionnels comme Julien Mercier, 42 ans et ingénieur logistique à Lyon, cette nouvelle change tout. « Je passais plus de temps à planifier mes recharges qu’à profiter de la route. Ce record change complètement ma perception de l’électrique pour les longues distances. »
La technologie derrière l’exploit
Ce bond en avant n’est pas le fruit du hasard. Il repose sur des innovations techniques majeures qui se démocratisent. La clé réside principalement dans l’architecture électrique à 800 volts, qui permet de supporter des puissances de charge beaucoup plus élevées. Concrètement, cela signifie récupérer des centaines de kilomètres d’autonomie en à peine dix minutes. Bien sûr, la performance dépend aussi de la disponibilité de bornes compatibles, mais le déploiement s’accélère.
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Aborde également un changement dans le domaine des transports, comme l'article sur les véhicules électriques
- Architecture 800V : Réduit le temps de charge de moitié par rapport aux systèmes 400V classiques.
- Batteries LFP : La technologie lithium-fer-phosphate, moins coûteuse et plus durable, gagne en performance.
- Gestion thermique : Un système de refroidissement optimisé est crucial pour supporter des charges et décharges rapides répétées.
La suprématie chinoise bien au-delà de la performance
Ce record est la partie visible d’une stratégie industrielle bien plus vaste. La Chine ne se contente plus d’assembler des véhicules ; elle maîtrise l’ensemble de la chaîne de valeur, du raffinage des matières premières à la production de batteries, dont elle fournit 75 % du marché mondial. Cette avance est consolidée par des investissements colossaux en recherche et développement.
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Traite aussi des transports et peut intéresser les lecteurs préoccupés par la mobilité
| Indicateur de domination technologique | Position de la Chine (2023-2024) |
|---|---|
| Brevets sur les moteurs électriques | Leader mondial avec plus de 660 brevets déposés |
| Production de cellules de batteries | Contrôle de 75 % de la capacité mondiale |
| Recherche à fort impact | Publie 65 % des articles les plus influents du secteur |
Un impact direct sur le marché automobile mondial
Cette démonstration de force a des répercussions directes sur les constructeurs historiques européens et américains, qui doivent accélérer leur transition pour rester compétitifs. En repoussant les limites de l’autonomie et de la vitesse de recharge, les fabricants chinois ne répondent pas seulement à une attente des consommateurs, ils fixent les nouveaux standards du marché. Cette compétition intense profite au final à l’usager, qui verra ces technologies de pointe se démocratiser rapidement sur des modèles plus abordables.
4000km en 24h, c’est bien… mais à quelle vitesse ? Et combien de recharges ? L’autonomie c’est bien, mais la logistique reste essentielle.
Paris-Rome en électrique, ça me fait rêver ! Plus besoin de s’arrêter tous les 500 bornes pour faire le plein. J’espère que ça veut dire que les vacances en famille vont être moins galère bientôt.
Record ou pas, j’ai toujours du mal à imaginer faire de si longs trajets en électrique. J’aime trop la liberté de m’arrêter où je veux sans planifier ma prochaine borne.
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de record, mais on ne dit pas qui l’a fait ! C’est une pub déguisée pour une marque chinoise qu’on ne nomme même pas ? Bof, ça me laisse froid.
Moi, ce qui me dérange avec ce genre d’exploit, c’est l’image qu’on renvoie : toujours plus loin, toujours plus vite. On oublie le plaisir de voyager, de prendre son temps.
Moi, ça me fait penser qu’on se concentre trop sur la distance et pas assez sur l’impact environnemental de ces batteries géantes. Est-ce qu’on résout un problème ou on en crée un autre ?
Ce record, c’est une course à l’échalote. Moi, je roule électrique pour le silence et l’agrément en ville. Les longs trajets, c’est pas ma priorité.
Franchement, ce record me laisse perplexe. Ça ressemble plus à un test en laboratoire qu’à une expérience utilisateur réelle.
Moi, ce qui m’intéresse, c’est de savoir comment ce genre de performance va impacter le prix des voitures. Si l’innovation se traduit par des modèles inabordables, ça ne sert pas à grand-chose pour le consommateur lambda.
Moi, ce qui me plaît, c’est l’idée que l’électrique puisse devenir synonyme de voyage sans stress. Moins de bruit, moins de pollution, et maintenant, peut-être, moins de bornes à chercher désespérément.
Moi, ce qui me frappe, c’est le silence autour de l’équipe qui a réalisé cet exploit. Derrière chaque record, il y a des hommes et des femmes. On devrait les mettre en lumière.
Moi, je me demande si cette course à l’autonomie ne nous éloigne pas de la vraie question : comment rendre la recharge plus simple et plus rapide au quotidien?
Moi, ce que je retiens surtout, c’est l’évolution hyper rapide de cette technologie. Il y a encore quelques années, on n’aurait jamais imaginé ça. Ça donne envie de voir ce que l’avenir nous rés…
4000 km en 24h, c’est impressionnant, mais je préfère m’arrêter pour profiter du paysage. La route, c’est aussi ça non ?
Je me demande si ce record ne va pas surtout servir d’argument de vente alors que l’autonomie réelle en conditions hivernales est bien différente.
Autant je suis pour l’électrique, autant ce genre d’exploit me fait penser à ces pubs pour les lessives qui lavent « plus blanc que blanc ». C’est du marketing, pas une solution pour mes vacances.
C’est bien beau, mais combien de batteries ont-ils usées pour faire ça ? L’impact écologique de la fabrication et du recyclage, on en parle quand ?
Moi, ça me rappelle ces défis qu’on se lançait ado avec nos vélos. Qui allait le plus loin sans poser pied à terre. C’est une belle vitrine, mais est-ce que ça nous dit vraiment quelque chose su…
Est-ce que ce record signifie qu’on aura enfin des aires de repos dignes de ce nom, avec des toilettes propres et du bon café, pendant que la voiture charge? C’est ça, le vrai progrès pour moi.
C’est une bonne nouvelle pour ceux qui ont la phobie de la panne, mais j’avoue que personnellement, je préfère prendre le train et lire un bon roman.
Si la voiture a fait Paris-Rome en 24h, ça veut dire qu’elle n’a rien vu! Quel intérêt de voyager si on ne s’arrête pas?
Le plus impressionnant, c’est la constance de la vitesse. Ça rend la perspective d’un long trajet moins stressante, même si je ne roulerai jamais comme ça.
Franchement, ce record me laisse froid. J’ai surtout l’impression qu’on nous vend du rêve.
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Ça me fait penser aux publicités pour les voitures autonomes qu’on nous promet depuis 10 ans.
Mouais, ça me fait penser à ces marathons où les athlètes sont à bout de souffle. C’est la voiture qui gagne, pas l’utilisateur.
4000 km en 24h, c’est impressionnant, mais quel est le confort du conducteur après ça? J’imagine le dos en compote.
Ce record, c’est peut-être la fin des discussions interminables sur l’autonomie à table ! Enfin, on pourra parler d’autre chose que de bornes de recharge pendant le repas du dimanche.
Moi, je me demande surtout si ce genre de performance se traduit par un prix accessible. Parce que la technologie c’est bien, mais si elle reste hors de portée…
C’est bien joli tout ça, mais ça ne résout pas le problème de la recharge rapide et abordable en copropriété. C’est ça qui me bloque, pas l’autonomie sur autoroute.
Ce record est une curiosité, certes, mais je me demande quel est l’impact environnemental d’une telle batterie et de sa production. On déplace le problème, non ?
Ce record, c’est surtout une victoire marketing. Je doute que le conducteur moyen fasse ça un jour. Ça ne change rien à mes trajets quotidiens.
Ce record, c’est peut-être un argument de plus pour convaincre ma femme de passer à l’électrique. Elle flippe toujours de tomber en panne sur l’A7.
Moi, ce qui me frappe, c’est la course à la performance. On dirait qu’on oublie le plaisir de conduire, de flâner sur la route. La voiture, c’est pas juste un moyen de transport, c’est aussi un voyage.
Si le record prouve quelque chose, c’est surtout qu’on peut rouler non-stop. Et qui a vraiment envie de ça ? Je préfère m’arrêter, visiter un village, goûter des spécialités locales.
Je me demande surtout comment ils ont géré les pauses pipi ! C’est ça, la vraie question.
Moi, ce qui me fait rêver, ce n’est pas la distance, mais le silence pendant tout ce trajet. Imaginez la tranquillité ! Un vrai cocon sur roues.
4000 bornes en 24h, chapeau ! Mais j’espère que le conducteur était bien payé pour ça. Ça ressemble plus à un boulot qu’à une expérience agréable.
4000 km, c’est impressionnant, mais ça ne me parle pas. Mon plaisir, c’est d’arriver à destination en ayant découvert des coins sympas sur le chemin. L’électrique pour ça, c’est pas encore ça.
Un aller-retour Paris-Rome sans dormir… Bof. Je préfère prendre le train et lire un bon livre. L’exploit, c’est peut-être de rendre les voyages plus agréables, pas plus rapides.
Moi, je vois surtout la pression que ça met sur les infrastructures de recharge. Si tout le monde fait ça, bonjour les bornes squattées !
Moi, ce qui m’intéresse, c’est la batterie. Elle a tenu comment, cette pauvre batterie ? J’espère qu’ils n’ont pas sacrifié sa longévité pour un coup marketing.
Moi, je me demande quel est le prix de cette berline. L’autonomie, c’est bien, mais si c’est hors de prix, ça ne change rien pour le commun des mortels.
Finalement, ce record valide une chose : l’électrique est désormais une option crédible pour les gros rouleurs. Ça change la donne.
Ce record me laisse un peu froid. Je crois qu’on oublie l’essentiel : le plaisir de conduire. Est-ce qu’on prend encore le temps d’apprécier le paysage ?
Ça me fait penser qu’on va bientôt pouvoir aller encore plus loin dans des endroits encore plus paumés. Génial pour les vacances !
Record ou pas, je continue à penser que les longs trajets en électrique, c’est une logistique compliquée et un stress que je n’ai pas envie de m’infliger en vacances.
Je suis curieux de savoir si ce record a été réalisé en conditions réelles de circulation, avec des bouchons et des imprévus. C’est ça qui compte vraiment.
Moi, je me demande si le bruit du moteur ne va pas me manquer. Le silence, c’est bien joli, mais un bon V6, c’est quand même une autre ambiance !
4000 bornes en 24h ? C’est impressionnant, mais j’espère que ce n’est pas au détriment de la sécurité. Conduire à ce rythme, ça doit être épuisant.
4000 km, c’est bien, mais le voyage, c’est plus que la destination, non ? J’ai toujours aimé m’arrêter dans des petits villages, goûter la cuisine locale.
C’est un beau coup de pub, c’est sûr. Mais on parle d’une voiture, pas d’un train. J’espère qu’il restait un peu de fun dans ce marathon électrique.
Un aller-retour Paris-Rome sans polluer l’atmosphère, c’est tentant. Mais j’espère qu’on ne va pas transformer nos routes en banc d’essai géant. La vraie question, c’est la durabilité de ces batteries.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le prix de la recharge sur autoroute. Si ça coûte aussi cher que l’essence, où est l’avantage ?
Tiens, encore un record. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de « maîtrise technologique » mais pas du confort du conducteur après 24h. On oublie l’humain ?
Moi, ce qui me chiffonne, c’est qu’on nous parle de record, mais qu’en est-il de l’impact sur l’environnement de la fabrication et du recyclage de ces batteries géantes ? Le bilan carbone global, il …
C’est marrant, moi ce qui me vient à l’esprit, c’est le côté « course contre la montre ». Pourquoi 24h ? On se prive du plaisir de flâner, non ?
Franchement, 4000 bornes, ça me donne juste envie de prendre le train. Le voyage, c’est aussi prendre son temps, non ?
Moi, ce que je retiens, c’est l’autonomie. Enfin, peut-être des vacances sans la hantise de chercher une borne compatible tous les 200 km !
Moi, ce qui me préoccupe, c’est le bruit. Un moteur électrique, c’est silencieux, oui, mais le bruit de roulement à 160 km/h pendant 24 heures, ça donne quoi ?
4000 km, c’est impressionnant, mais j’imagine la fatigue du conducteur ! J’espère qu’il y avait une équipe qui se relayait. La sécurité avant tout, non ?
Moi, ce qui me sidère, c’est cette obsession de la performance brute. Est-ce vraiment ça le futur de la mobilité ? On dirait qu’on applique les vieilles recettes de la course automobile à l’électrique.
C’est une chose de prouver que c’est possible, mais est-ce que c’est souhaitable ? Moi, je préfère m’arrêter admirer le paysage.
En tant que famille nombreuse, l’autonomie, c’est crucial. Mais 4000 km en 24h, ça me fait surtout penser au stress constant de la route. On part en vacances pour se détendre, pas pour battre des records.
Finalement, le vrai luxe, c’est peut-être de ne pas avoir à aller aussi vite. Ça me rappelle les trajets en voiture de mon enfance, on s’arrêtait souvent pour un pique-nique improvisé.
Ce record, c’est bien beau, mais ça me fait surtout penser aux embouteillages monstres pendant les vacances. Plus de voitures électriques, c’est peut-être plus propre, mais ça reste des bouchons.
Moi, je me demande quel est le coût environnemental exact de cette performance. Batterie, usure des pneus, infrastructures… Le bilan carbone global est-il vraiment positif ?
La Chine qui confirme sa « suprématie électrique »… ça sent quand même fort le coup marketing, non ? On nous vend du rêve technologique, mais la réalité du quotidien, c’est quoi ?
Intéressant, mais j’aimerais surtout savoir comment ils ont géré la recharge en si peu de temps. C’est là le vrai défi, non ?
Moi, ce que je retiens, c’est que l’innovation avance. Peut-être que dans quelques années, l’électrique sera vraiment pratique pour tous, même pour ceux qui habitent à la campagne.
Ce record me laisse un peu indifférent. Je crois que je préfère prendre le train et lire un bon livre. C’est moins stressant, et plus convivial.
4000 km en 24h, c’est impressionnant, mais ça me fait surtout penser aux livreurs. J’espère que cette course à l’autonomie ne va pas intensifier la pression sur eux.
Ce record, c’est un peu comme les vols spatiaux : ça impressionne, mais ça ne résout pas mes problèmes de stationnement en centre-ville.
Si c’est pour rouler à cette allure, je préfère encore mon vieux diesel. Au moins, j’ai le temps de profiter du paysage.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’aspect performance pure. On dirait qu’on cherche à battre des records pour le plaisir, mais est-ce que ça rend vraiment l’électrique plus désirable pour l’utilisateu…
Moi, l’idée de pouvoir faire un Paris-Rome sans me soucier de la recharge, ça me parle. Les vacances en famille seraient tellement plus simples !
Franchement, ce record me laisse un peu froid. J’ai surtout l’impression qu’on nous distrait avec des chiffres pendant qu’on oublie de parler du prix de ces voitures. Qui peut se permettre ça ?
Moi, l’autonomie, ça ne me rassure pas tant que ça. J’ai surtout peur de l’état des batteries après un usage aussi intensif. Est-ce vraiment durable comme solution ?
Moi, je me demande surtout quel était le confort de conduite sur une telle distance. 24 heures dans une voiture, électrique ou pas, ça doit être épuisant.
Moi, ça me fait rêver à des road trips sans fin, sans culpabiliser à chaque plein. L’électrique, c’est aussi une façon de voyager plus responsable, non ?
Moi, je me demande si ce record ne cache pas une course à la performance au détriment de la simplicité d’usage. J’ai peur que l’électrique devienne un truc de geeks au lieu d’un outil pratique.
Moi, je me demande si l’infrastructure suit. Super l’autonomie, mais trouver une borne dispo, c’est une autre paire de manches.
Je me demande si ce record est représentatif de l’expérience quotidienne. Sur autoroute, oui, mais en ville, dans les embouteillages… l’autonomie fond comme neige au soleil.
Moi, je trouve ça bien qu’on innove, mais j’espère que ça ne se traduira pas par une complexification des réparations. J’ai déjà du mal avec ma voiture actuelle…
Le record est impressionnant, certes, mais la vraie question est : est-ce qu’on a vraiment besoin d’une voiture capable de faire 4000 km en 24h ? Pour moi, le problème est ailleurs.
Record ou pas, j’attends surtout de voir l’impact environnemental réel de ces batteries sur le long terme. On déplace peut-être juste le problème.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la vitesse à laquelle on pousse ces technologies. On a le temps de s’adapter, nous, les conducteurs ? J’ai l’impression de courir après un train.
4000 km en 24h, c’est impressionnant, mais je crois que je préfère prendre mon temps et profiter du paysage. L’important, c’est le voyage, pas la vitesse.
Franchement, ce record me laisse froid. Je préfère largement le bruit d’un bon moteur thermique et le plaisir de passer les vitesses. L’électrique, c’est trop lisse, trop aseptisé à mon goût.
Je suis surtout curieux de savoir combien de bornes de recharge ultra-rapide ont été nécessaires pour réaliser ce record. L’autonomie, c’est bien, mais le temps de recharge, c’est encore mieux.
C’est marrant cette course aux records. Moi, la première chose que je me dis, c’est : « Et le conducteur, il est comment après 24 heures ? » La sécurité routière, on en parle ?
C’est un coup de pub réussi, c’est sûr. Mais j’aimerais savoir quel est le prix de cette berline « record ». L’électrique, c’est super, mais si ça reste réservé à une élite, ça ne changera pas grand-chose.
Moi, ce qui me frappe, c’est la rapidité avec laquelle la Chine s’impose dans ce domaine. On parle d’un futur proche où l’on risque de dépendre d’eux pour nos voitures.
Je me demande surtout si cette course à l’autonomie ne délaisse pas l’aspect pratique au quotidien. Pour mes trajets boulot-dodo, 400 km suffisent amplement.
Moi, ce qui me vient à l’esprit, c’est la liberté que ça pourrait apporter. Plus besoin de planifier chaque arrêt sur un long trajet. Un peu comme reprendre la route sans trop se soucier !
Je me demande si cette autonomie extrême ne va pas encourager des comportements de conduite plus dangereux. Moins de pauses, plus de fatigue…
En tant que parent, je me demande surtout quel est l’impact environnemental de la fabrication de ces batteries « géantes ». On gagne en autonomie, mais à quel prix pour la planète ?
Moi, je me demande si on ne surestime pas l’importance de l’autonomie. À part quelques trajets exceptionnels, combien de fois on roule vraiment plus de 500 bornes sans s’arrêter ?
C’est bien beau les records, mais je me demande si ça change vraiment mon quotidien. J’habite en ville, je n’ai pas de garage. L’autonomie, c’est secondaire par rapport à la facilité de recharge sur mon trajet quotidien.
Moi, ce qui me fait tiquer, c’est l’idée même de rouler 24 heures d’affilée. Ça va à l’encontre de tout ce qu’on nous dit sur la sécurité.
4000 km, c’est impressionnant, mais le réseau de bornes de recharge, lui, il suit ? C’est ça la vraie question.
Moi, ce record me fait penser aux voitures de sport. On nous vend la performance, mais qui utilise réellement tout ce potentiel au quotidien? C’est plus un fantasme qu’un besoin réel, non?
Je suis surtout curieux de savoir comment ils ont géré les changements de conducteurs et les recharges. C’est un peu occulté, non ?
Moi, je me dis que c’est une belle vitrine technologique, mais j’aimerais surtout voir ces innovations se traduire par des prix plus abordables pour le grand public.
Moi, ça me fait rêver à des road trips improvisés, sans la hantise de la prochaine station. L’aventure, quoi!
Franchement, je trouve ça un peu flippant. Toute cette course à l’autonomie, ça me fait penser qu’on veut transformer nos voitures en bureaux roulants.
Un record, c’est bien joli, mais je me demande surtout si cette voiture tiendrait le coup sur les routes défoncées de ma campagne. La durabilité, c’est ça le vrai défi, non ?
Moi, l’autonomie, je m’en fiche un peu. Ce qui m’inquiète, c’est l’impact environnemental de la fabrication de ces batteries, et surtout, leur recyclage après.
Moi, ce record, ça me rappelle surtout que le temps, c’est de l’argent. Qui a vraiment besoin de faire 4000 bornes en une journée ? On court déjà assez après le temps, non ?
Je ne suis pas spécialement intéressé par les records, mais je suis content que la Chine investisse dans l’électrique. Peut-être que ça forcera les constructeurs européens à se bouger un peu plus.
4000 km, c’est bien. Mais est-ce que cette voiture a transporté des enfants qui se disputent, un chien qui bave et des sacs de courses renversés ? C’est ça, la vraie vie.
Moi, je me demande surtout si ce record inclut le temps de recharge. Parce que 4000 bornes, oui, mais si tu passes la moitié du temps à la borne, l’exploit est tout de suite moins impressionnant.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’obsession de la distance. On dirait qu’on ne peut plus apprécier un trajet sans viser un record. La beauté du voyage, elle est où là-dedans ?
4000 bornes en 24h ? Impressionnant, certes. Mais au final, ça valide surtout l’idée qu’on est esclave de la bagnole. On devrait peut-être réfléchir à voyager autrement, non ?
Un aller-retour Paris-Rome en électrique, c’est tentant. Mais j’imagine le prix de la recharge rapide sur autoroute… Ça doit vite calmer les ardeurs !
Moi, je suis surtout curieux de savoir comment ils ont géré la fatigue du conducteur. 24 heures, c’est long, même avec un copilote ! La sécurité avant tout, non ?
Record ou pas, ça ne me dit pas si je peux facilement trouver une borne compatible un dimanche soir en Lozère. C’est ça, la vraie angoisse!
Ce record, c’est bien joli, mais ça ne dit rien sur la fiabilité de la bête après quelques années et des milliers de kilomètres. C’est ça qui m’intéresse, la durabilité.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’empreinte carbone de la fabrication de la batterie. On gagne d’un côté pour perdre de l’autre?
Moi, les records, ça me laisse froid. Ce qui m’intéresse, c’est le silence. Si cette voiture est silencieuse, alors oui, ça m’intéresse. Marre du bruit des moteurs thermiques !
La Chine qui confirme sa suprématie ? Ça me fait penser à une course à l’armement, mais pour les voitures. J’espère que ça se traduira par des voitures plus abordables pour nous, les consommateurs.
4000 km, c’est bien, mais est-ce que cette berline rentre dans mon garage ? C’est ça, le vrai test.
4000 km, c’est une chose, mais est-ce que ça change la manière dont je vis ma vie au quotidien ? Pas vraiment, non.
Je me demande si toute cette course à l’autonomie ne nous éloigne pas de l’essentiel : le plaisir de conduire. Une pause, un paysage, une rencontre… c’est ça aussi, un voyage.
Intéressant, mais ça me rappelle ces pubs pour le dentifrice qui promettent des dents plus blanches en deux jours. On nous montre un résultat exceptionnel, mais la réalité au quotidien, c’est quo…
Un Paris-Rome en électrique ? Ça me donne envie de vacances, pas d’acheter une voiture. Je préfère prendre le train, moins stressant.
Moi, j’ai juste envie de savoir si le siège est confortable pour se taper 4000 bornes. Le reste, c’est du marketing.
Record ou pas, je pense à tous ceux qui n’ont pas les moyens de s’acheter une voiture, électrique ou non. C’est ça, la vraie distance à combler.
C’est marrant, on parle toujours de distance, mais jamais du temps de recharge. Si je dois attendre une heure à chaque arrêt, l’exploit devient vite une torture.
4000 bornes en 24h, c’est impressionnant, mais j’ai du mal à imaginer l’état du conducteur après ça. Plus envie de conduire pendant une semaine !
Super, un record ! Mais concrètement, ça pollue combien de batteries à la fabrication et au recyclage, tout ça ? On se concentre sur l’utilisation, mais le bilan global.
C’est bien joli, ce record, mais j’aimerais surtout savoir si la voiture est fiable sur le long terme. L’endurance, c’est pas juste une course de 24 heures.
Ce record, c’est un peu comme un marathon pour une voiture. Impressionnant, certes, mais est-ce que ça veut dire qu’elle est agréable pour faire les courses le samedi matin ? J’ai surtout besoin d’une voiture fiable pour déposer les enfants à l’école.
4000 bornes, bravo. Mais ça prouve surtout qu’il faut encore rouler à une vitesse folle pour vraiment exploiter l’autonomie d’une électrique. Pas très écolo comme approche, non ?
Je suis curieux de connaître le modèle exact. Si c’est la voiture de Monsieur Tout-le-Monde, ça change la donne.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact de cette course sur la durée de vie de la batterie. On la pousse à fond, mais après ?
Moi, je me demande si cette « preuve » de performance ne cache pas juste une volonté de domination industrielle. C’est plus un coup politique qu’une avancée pour le consommateur lambda, non ?
Moi, je me demande surtout si ce genre de record rend vraiment les voyages en électrique plus sereins pour les familles. L’angoisse, elle est plus dans la préparation du trajet que dans la capacité de la voiture.
Moi, ce record me laisse froid. J’ai l’impression qu’on nous vend du rêve pour cacher la réalité : le prix exorbitant de ces voitures.
Moi, je vois surtout une preuve que l’électrique peut rassurer. 4000km, ça change l’image des petites voitures de ville.
Ce record ? Bof. Perso, je préfère une voiture qui ne me stresse pas à trouver une borne tous les 300 km.
Moi, l’électrique, ça me fait penser aux smartphones : toujours à chercher une prise. Est-ce que ce record règle vraiment ça ? J’en doute.
Moi, je me demande si ce record ne crée pas une pression inutile sur les conducteurs. On nous montre l’exceptionnel, mais le quotidien, c’est quoi ?
Si c’est une berline, j’imagine le confort des passagers après 24h ! Plus qu’un record d’autonomie, c’est un record de patience.
Record ou pas, je continue à préférer entendre le ronronnement d’un bon vieux moteur. C’est peut-être ringard, mais ça me rassure.
Moi, ce que je retiens, c’est que le « made in China » n’est plus forcément synonyme de bas de gamme. C’est un signal fort pour l’industrie automobile.
4000 km, c’est impressionnant. Mais combien de bornes rapides ont été nécessaires ? C’est ça, la vraie question. L’autonomie seule ne suffit pas.
Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’impact écologique de ce record. On parle d’électrique comme d’une solution miracle, mais l’énergie utilisée pour parcourir ces 4000 km, elle venait d’où exacteme…
Moi, ce record me fait penser aux marathons. Impressionnant, oui, mais est-ce que ça rend tout le monde capable de courir 42 km ? Pas sûr… L’important, c’est l’usage quotidien, pas les performances extrêmes.
Moi, ce qui me frappe, c’est la vitesse à laquelle la technologie évolue. On parlait d’autonomie limitée il y a peu, et voilà 4000 km. Ça donne de l’espoir pour l’avenir.
Moi, ce qui me vient à l’esprit, c’est la logistique derrière ça. Une équipe de pilotes qui se relaient ? Des stratégies de recharge millimétrées ? Ça ressemble plus à un défi technique qu’à une expérience utilisateur réaliste.
Ce record, c’est un peu comme voir un athlète soulever des poids énormes. Ça impressionne, mais est-ce que ça me sera utile pour monter mes courses au 5ème sans ascenseur ? Pas sûr du tout.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est que l’article ne donne pas le nom du constructeur. Un peu de transparence, ça aiderait à se faire un vrai avis, non ?
Franchement, ça me fait plus penser à une pub déguisée qu’à un véritable article d’information.
Personnellement, ce record me laisse froid. J’ai juste l’impression qu’on nous vend du rêve hors de prix.
Je me demande surtout quel est le confort sur 4000 km. Un siège inconfortable et c’est l’enfer, même en électrique.
Ce record me fait rêver de road trips sans culpabiliser pour la planète. J’imagine déjà les paysages traversés en silence…
Je suis plus sensible au silence promis qu’à la distance. Le bruit des moteurs thermiques me fatigue.
Moi, je suis surtout curieux de connaître l’impact environnemental de la fabrication de cette batterie géante. On parle d’endurance, mais quid de la durabilité ?
Moi, ce qui me préoccupe, c’est l’accessibilité de ces technologies. Super pour les riches, mais qu’en est-il de ceux qui galèrent déjà à payer l’essence ?
Moi, je me demande si toute cette course à l’autonomie ne sert pas surtout à masquer d’autres problèmes, comme le manque de bornes de recharge fiables et disponibles sur les longs trajets.
Moi, je trouve ça cool, mais j’espère que le conducteur avait le droit à des pauses pipi et café ! 4000 bornes, ça doit être long.
4000 km, c’est impressionnant, mais est-ce vraiment l’usage qu’on fait d’une voiture électrique au quotidien ? Je pense surtout aux trajets domicile-travail et aux courses.
Moi, ça me rappelle les défis qu’on se lançait à vélo quand j’étais gamin. Sauf que là, c’est une voiture et ça coûte une blinde.
Je trouve ça paradoxal. On vante l’électrique pour son côté « local », et là on nous parle de traverser la moitié du continent. On perd un peu le sens, non ?
Franchement, je trouve ces records un peu déconnectés de la réalité. Mon vieux diesel fait le même trajet, et sans stress de recharge. L’électrique doit prouver son utilité au quotidien, pas dans des performances extrêmes.
Moi, ce record me laisse un peu froid. J’ai l’impression qu’on se focalise sur des chiffres impressionnants alors que, personnellement, j’attends surtout une voiture électrique qui me simplifie la vie au quotidien, sans prise de tête.
Je me demande si ce record ne va pas encourager une conduite plus risquée. L’autonomie, c’est bien, mais pas au détriment de la sécurité.
Moi, ça me fait rêver. J’imagine les paysages traversés, le silence à bord… Un road trip électrique, ça change des haltes bruyantes aux stations essence.
Est-ce qu’on a pensé à l’impact environnemental de ce record ? Batteries, usure des pneus… Un bilan complet serait plus parlant.
Record ou pas, ce qui m’intéresse, c’est le prix des batteries de remplacement. On en parle jamais !
Je ne suis pas convaincu que la course à l’autonomie soit la priorité. Ce serait plus intéressant de voir des innovations sur la rapidité de recharge.
Ça me fait surtout penser au temps qu’il faut pour recharger après un tel trajet. L’autonomie c’est une chose, mais la logistique derrière…
Ce record me fait penser aux pubs pour les lessives : impressionnant, mais est-ce que ça change vraiment ma vie ?
C’est bien beau, mais à part quelques commerciaux qui font de la route, qui a besoin de ça ? Je fais 15 km par jour pour aller bosser.
Moi, ce qui me frappe, c’est que ça valide l’investissement massif de la Chine dans l’électrique. C’est une vision long terme qui paie.
4000 km en 24h ? C’est presque inhumain pour le conducteur ! J’espère qu’il y avait plusieurs pilotes.
Finalement, ce genre de record ça me rassure. Si les voitures électriques sont capables de ça, elles doivent bien pouvoir gérer mes trajets quotidiens sans souci.
Un record, c’est bien. Mais j’aimerais savoir combien de bornes de recharge étaient disponibles et opérationnelles sur ce trajet. C’est ça, la vraie question.
Moi, ce qui me sidère, c’est l’idée de passer autant de temps dans une voiture. Peu importe qu’elle soit électrique ou non! La liberté, c’est aussi de ne pas être esclave de la route.
Moi, je me demande si tout ce « record » n’est pas juste une grosse opération de communication. J’attends de voir l’impact sur le prix des voitures, parce que pour l’instant…
Moi, je me demande quel est l’impact environnemental de ce type de « performance ». Fabriquer une batterie capable de ça, c’est pas forcément écologique, non ?
Moi, ce qui me vient à l’esprit, c’est le confort du trajet. 4000 bornes, c’est bien, mais est-ce que le conducteur a eu le temps d’apprécier le paysage ? C’est ça qui compte, non ?
Moi, je me dis que ce record, c’est un peu comme une course à l’échalote. On se concentre sur la distance, mais on oublie le plaisir de conduire. La technologie devrait nous simplifier la vie, pas la transformer en compétition.
Moi, je me demande si ce record ne met pas la charrue avant les boeufs. On pense autonomie, mais le réseau électrique français suivra-t-il la cadence si tout le monde passe à l’électrique ?
C’est marrant, moi ça me fait penser aux voitures à hydrogène qu’on nous promettait il y a 10 ans. On est passé à l’électrique, c’est tout. La technologie évolue, les promesses restent des promesses.
Ce record me fait penser à un marathon. C’est impressionnant, mais est-ce vraiment représentatif de l’utilisation normale d’une voiture ?
4000 km en 24h, ça me fait surtout penser à la fatigue du conducteur. L’autonomie, c’est bien, mais la sécurité, c’est mieux.
Moi, je pense que c’est un signal clair. La Chine investit massivement dans l’électrique et ça se voit. Ça risque de changer la donne pour nos constructeurs européens.
Ce record, c’est bien joli, mais ça ne me dit rien sur la fiabilité à long terme. Les batteries tiendront-elles le coup après quelques années d’utilisation intensive ? C’est ça qui m’intéresse vraiment.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’évolution des mentalités. Avant, on parlait autonomie pour éviter la panne. Maintenant, on parle record… C’est un changement de paradigme, non ?
Pour ma part, ce record me laisse un peu froid. J’ai l’impression qu’on se focalise sur la prouesse technique, alors que le plaisir d’un trajet, c’est aussi de s’arrêter, de flâner, de découvrir des endroits.
Moi, je vois surtout une tentative de rassurer le consommateur. L’autonomie était un frein, ils veulent le lever à tout prix. Mais est-ce que c’est ça la vraie question ?
Moi, ce qui me vient à l’esprit, c’est l’impact écologique d’une telle performance. À quelle vitesse ont-ils rechargé ? Avec quelle énergie ? Le bilan global est-il vraiment positif ?
Moi, je me demande si on va pas finir par vivre dans nos voitures, à ce rythme-là. On court après l’autonomie, mais on oublie de vivre en dehors. C’est ça le progrès ?
Moi, je me demande surtout si cette course à l’autonomie ne nous fait pas oublier le prix de ces batteries. Le coût des matières premières, l’extraction.
Moi, ça me fait rêver à des road trips sans fin, sans culpabiliser à chaque plein. L’électrique qui dévore les kilomètres, c’est une nouvelle façon de voyager.
Moi, je trouve ça dingue de voir à quel point on s’habitue vite à ces avancées. Il y a dix ans, on n’imaginait même pas ça possible. On dirait que la science-fiction devient réalité sous nos yeux.
Moi, je me demande surtout si ce record est reproductible par un conducteur lambda avec une famille à bord. Les conditions du test devaient être optimales, non ?
4000 km en 24h, ça me fait penser à ces marathons où le corps est poussé à l’extrême. J’espère que la voiture, elle, s’en remettra.
C’est une belle prouesse, mais je me demande si c’est vraiment ce qu’on attend d’une voiture électrique. Plus de bornes de recharge rapides et fiables me semblent plus utiles au quotidien.
Franchement, 4000 bornes en 24h, ça me stresse plus qu’autre chose. Qui a envie de rouler autant sans s’arrêter ? Le plaisir de conduire, c’est aussi prendre le temps de regarder le paysage.
C’est impressionnant sur le papier, mais je me demande si c’est pas un peu gadget. Perso, je cherche surtout une voiture fiable pour emmener les enfants à l’école et faire les courses.
Ce record me laisse un peu froid. J’ai peur que ça pousse les constructeurs à privilégier l’autonomie au détriment de la sécurité et du confort. J’aimerais une voiture électrique simple, fiable et abordable, pas un bolide.
Si la Chine domine l’électrique, tant mieux ! Ça mettra la pression sur nos constructeurs européens, un peu trop frileux à mon goût. La concurrence, c’est bon pour le consommateur.
Franchement, je me fiche un peu du record. Ce qui m’intéresse, c’est la durée de vie réelle de la batterie après plusieurs années d’utilisation. Est-ce qu’elle tiendra encore la route ?
Je me demande quel est l’impact environnemental de la fabrication de ces batteries géantes. On parle d’autonomie, mais quid de l’empreinte carbone globale ?
Je suis partagé. L’autonomie, c’est super, mais j’ai peur que ça devienne un argument marketing qui nous détourne des vrais enjeux, comme l’accessibilité financière.
C’est marrant, ça me rappelle l’époque où on se battait pour la puissance des moteurs thermiques. On dirait qu’on transpose juste le problème, mais en électrique.
Moi, ce record, ça me fait penser aux défis qu’on se lançait entre potes avec nos vieilles bagnoles. Sauf que là, c’est une vitrine technologique, et ça, ça change tout.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’aspect culturel derrière ça. On dirait qu’en Chine, ils voient la voiture électrique comme un défi, une course à la performance.
Moi, je me demande si ce record est reproductible dans la vraie vie. Sur autoroute, avec du vent, de la pluie, et un coffre plein pour les vacances ?
Moi, ce qui me plaît, c’est l’idée qu’on puisse voyager loin sans polluer. Ça ouvre des perspectives de road trips plus propres, c’est ça qui me fait rêver.
Moi, ça me fait penser à mon voisin qui change de voiture tous les deux ans pour gagner 50km d’autonomie. On court après un chiffre, mais est-ce qu’on a vraiment besoin de ça au quotidien ?
Moi, je vois surtout que ça va faire monter les prix ! L’autonomie, c’est bien, mais à quel coût pour nous, les acheteurs ?
4000 bornes en 24h, ça veut dire rouler non-stop. J’espère que le conducteur a au moins eu le droit à quelques pauses pipi !
Franchement, 4000 bornes, c’est bien joli, mais j’ai surtout envie de savoir si le siège est confortable après autant d’heures !
4000 km en 24h… C’est impressionnant, mais j’espère surtout que ça ne va pas banaliser la fatigue au volant. On a déjà assez de problèmes avec ça.
Perso, je me demande si toute cette course à l’autonomie ne nous fait pas oublier le plaisir de conduire. Est-ce qu’on va finir par juste « consommer » des kilomètres ?
Tiens, ça me rappelle les pubs pour les piles, toujours plus d’autonomie. Mais au final, je préfère m’arrêter admirer le paysage.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est le silence sur la consommation énergétique réelle. On parle d’autonomie, mais l’impact environnemental global, il est où ?
Moi, ce qui me frappe, c’est la course à la performance. On dirait qu’on oublie le côté pratique. Est-ce que ça change vraiment la vie des gens, au fond ?
C’est marrant, on parle d’autonomie comme si c’était la seule chose qui comptait. Moi, j’aimerais bien savoir comment se comporte la batterie après un tel marathon. La dégradation, on en parle ?
Je me demande si cette prouesse technique ne sert pas surtout à rassurer les investisseurs. Le client lambda, lui, il veut juste aller faire ses courses sans stress.
Record ou pas, je continue de penser que le réseau de bornes de recharge est la priorité absolue. L’autonomie ne sert à rien si on est bloqué au milieu de nulle part.
Intéressant, mais est-ce que cette performance est reproductible au quotidien, avec des enfants à l’arrière et les embouteillages du périph’ ?
Moi, je me demande si ce record ne cache pas un autre enjeu : la domination du marché automobile électrique. On dirait une stratégie pour faire de l’ombre aux constructeurs européens.
Moi, ce record me fait penser à mes vacances. Partir loin, c’est bien, mais c’est surtout les petites routes et les arrêts imprévus qui font le voyage.
Moi, cette histoire me fait rêver à des road trips sans fin. Imagine, traverser la France d’une traite, sans stresser pour la recharge… Ça ouvre des perspectives !
4000 bornes en 24h, ça me rappelle surtout les vacances où on se relaye au volant. Mais là, c’est la voiture qui bosse, pas moi. Un peu flippant, non ?
Franchement, 4000 bornes, ça me laisse froid. Moi, je veux juste une voiture qui démarre par -10°C sans me faire prier.
Moi, ça me fait juste penser au prix de l’électricité. Si tout le monde se met à rouler électrique et à faire des records, on va tous payer le prix fort.
C’est bien joli tout ça, mais j’espère que la voiture a fait des pauses. 24h non-stop, même électrique, c’est dangereux pour le conducteur ! La sécurité avant tout, non ?
Un aller-retour Paris-Rome, c’est sympa, mais le bilan carbone de la fabrication de la batterie, on en parle ? J’espère que le progrès ne nous aveugle pas sur l’essentiel.
4000 km, c’est impressionnant. Mais ça me fait surtout penser à la pollution visuelle des autoroutes, déjà pleines de panneaux publicitaires. Bientôt des écrans géants pour recharger l’électri…
Moi, ce qui me frappe, c’est la rapidité avec laquelle le futur devient le présent. On dirait un film de science-fiction qui se déroule sous nos yeux.
Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’impact sur les métiers de la route. Moins d’arrêts, c’est potentiellement moins de travail pour certains… C’est une révolution qui a des conséquences.
Moi, ce que je retiens, c’est surtout le confort. Finis les arrêts obligatoires à la station essence, et l’odeur désagréable qui va avec. Un voyage plus doux, en somme.
Je me demande si ce record a été réalisé avec des conditions météo réelles. Une tempête de neige ou un fort vent latéral, ça change tout, non ?
Ce record, c’est marrant, ça me donne envie de partir à l’aventure. J’imagine déjà les road trips silencieux à travers l’Europe. Un nouveau type de voyage, peut-être ?
Je suis partagé. 4000 bornes, c’est bien, mais ça ne résout pas le problème de la recharge en zone rurale. Et puis, l’autonomie, c’est une chose, le prix de la voiture une autre…
Moi, ce que je me dis, c’est que ça va peut-être enfin calmer les embouteillages monstres sur les aires d’autoroute pendant les vacances. Moins de temps perdu à chercher une place !
Perso, je me demande si le confort sonore est vraiment au rendez-vous à cette vitesse. Le bruit de roulement, ça use les nerfs sur un long trajet.
Je suis curieux de connaître la stratégie derrière ce record. Rouler à fond pendant 24h, c’est pas forcément le meilleur argument pour convaincre Monsieur Tout-le-monde.
Un record, c’est bien, mais ça ne dit rien sur la durabilité des batteries à long terme. On verra dans 5 ans si elles tiennent encore la route.
Moi, ce que je vois, c’est surtout une course à l’échalote technologique. Est-ce que ça répond vraiment à mes besoins quotidiens de citadin ? J’en doute.
Intéressant, mais j’espère que ce record ne se fait pas au détriment de la sécurité. On parle quand même de 24 heures de conduite…
Si seulement ça pouvait signifier que je pourrais enfin traverser la France sans flipper pour trouver une borne compatible et disponible. Le vrai défi, c’est l’infrastructure, pas la distance.
J’ai l’impression qu’on nous vend du rêve. 4000 bornes, oui, mais combien de pauses pipi pour le conducteur ? On oublie l’humain dans tout ça.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’impact environnemental de ce record. Quid de la consommation énergétique pour recharger après une telle performance ? On déplace juste le problème, non ?
Franchement, ça me fait penser aux pubs pour les lessives : des performances exceptionnelles en labo, mais dans la vraie vie… est-ce que ça change vraiment quelque chose pour moi ?
4000 km en 24h, c’est impressionnant, certes. Mais pour être honnête, ce qui me retient, c’est le prix de ces bagnoles. Un record à ce prix-là, ça reste hors de portée pour beaucoup.
Moi, ce record me donne envie de vacances ! Imaginer pouvoir faire de longs trajets sans culpabiliser, ça change la perspective.
Paris-Rome en électrique ? Chouette pour les vacances, mais ma Kangoo familiale, elle, ne suivra jamais. Dommage.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’absence de détails sur le type de conduite. Est-ce que c’était à 90 km/h sur le plat ? Parce que ça, ma grand-mère pourrait presque le faire.
Moi, ce qui me plaît, c’est l’idée d’un futur où on n’est plus esclave de la station-service. Un peu plus de liberté, quoi.
Moi, ça me rappelle surtout ces pubs où une voiture monte des pentes improbables. C’est cool, mais je vis en ville, pas à la montagne. L’autonomie en embouteillage, ça m’intéresserait plus.
Un record, c’est bien joli. Mais moi, ce qui m’intéresse, c’est de savoir si la batterie tient le coup après des années. L’obsolescence programmée, ça me fait plus peur que la panne sèche.
Je suis content de voir que la technologie avance, mais est-ce que ce record signifie qu’on pourra enfin trouver des bornes de recharge partout, et surtout, qu’elles fonctionneront ? C’est ça, le vrai défi.
La Chine qui domine, ça, ça ne me surprend pas. Ce qui m’inquiète, c’est de voir la production de ces batteries et l’extraction des matériaux nécessaires.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’évolution du discours. Avant, on parlait juste d’autonomie, maintenant on parle de records. C’est déjà une victoire, non ?
Moi, je me demande surtout si ce record a été fait avec le chauffage ou la clim à fond. C’est ça, la vraie vie !
4000 bornes en 24h, impressionnant certes. Mais quand est-ce qu’on pensera au confort du conducteur pendant ces marathons ? Pause pipi, repas… On robotise le voyage, c’est ça ?
4000 bornes en 24h ? Ça me fait penser à mes trajets quotidiens. Si seulement je pouvais recharger aussi vite que je bois mon café avant d’aller au boulot…
Moi, ça me fait rêver à des road trips sans culpabiliser pour la planète. Imagine, traverser la France sans laisser une trace carbone… Presque trop beau pour être vrai.
Moi, ce que je retiens, c’est surtout la course à la performance. On oublie un peu le plaisir de conduire, non ?
Franchement, les records, ça me laisse froid. Ce qui compte, c’est le prix à la pompe… enfin, à la borne.
4000 km, c’est bien, mais j’aimerais savoir combien de conducteurs se sont relayés. Un seul humain derrière le volant, ça me paraît impossible et dangereux.
Record ou pas, je me demande surtout si cette berline chinoise est agréable à conduire au quotidien. C’est ça qui compte vraiment pour moi.
Moi, ce qui me vient à l’esprit, c’est le stress de planifier la recharge sur un trajet aussi long. L’autonomie est une chose, mais la disponibilité des bornes, c’en est une autre !
Derrière ce record, je me demande surtout quel est l’impact environnemental de la fabrication de cette batterie géante et de sa recharge intensive. C’est ça la vraie question.
Ce record me fait penser à la course aux armements, mais version écolo. Qui aura la plus grosse batterie ? On en revient toujours à la compétition…
Moi, ce qui me frappe, c’est la rapidité avec laquelle la Chine avance sur l’électrique. On a l’impression qu’ils redéfinissent les règles du jeu. Est-ce que nos constructeurs sont prêts ?
Ce record, c’est un peu comme voir un marathonien courir à une vitesse folle : impressionnant, mais est-ce que ça change ma vie quand je vais chercher le pain ?
Je me demande si ce record ne va pas surtout pousser à une standardisation des bornes de recharge. Parce que si on part en voyage, faut pas juste une voiture qui tient la distance, faut pouvoir la recharger partout, facilement.
Moi, je me demande si ce genre de record ne va pas alimenter une course à l’obésité des batteries. Plus gros, c’est pas forcément mieux pour la planète, non?
Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’aspect confort sur une telle distance. Être entassé dans une berline pendant 24h, électrique ou pas, ça ne me fait pas rêver du tout.
Moi, un record comme ça, ça me fait surtout penser aux vacances. J’imagine déjà la galère pour trouver une borne en plein mois d’août sur l’autoroute.
Finalement, ce record, ça me rassure. On dirait qu’on peut vraiment envisager de traverser la France sans passer sa vie à recharger.
4000 km en 24h, c’est impressionnant, mais ça ressemble plus à un test en laboratoire qu’à une utilisation réelle. Je me demande quelle était la vitesse moyenne et si le conducteur a vu autre chose que l’autoroute.
Moi, ça me fait penser au Tour de France. On admire la performance, mais on oublie le type qui pédale. J’espère que le conducteur a été bien traité.
Moi, je trouve ça un peu abstrait. 4000 bornes, c’est bien, mais je veux savoir combien ça coûte en électricité, en usure des pneus, et si le bilan carbone global est vraiment meilleur qu’avec ma vieille diesel.
Tout ça, c’est bien beau, mais j’aimerais surtout savoir si elle est jolie, cette voiture. On parle d’aller loin, mais autant le faire avec style, non ?