Les fenêtres couvertes de buée, une odeur tenace de renfermé et le linge qui peine à sécher sont des signes familiers lorsque l’humidité s’installe. Pour préparer cette astuce, pensez à remplir un récipient ouvert ou un sachet en tissu avec du riz cru (150–200 g ou à moitié rempli), et à verser environ 200 g de gros sel par bol ou récipient. Veillez à placer le sel ou le riz dans des zones humides confinées (placards, tiroirs, salle de bain, rebords de fenêtre), à remplacer le sel ou le riz toutes les 2 à 3 semaines (ou tous les 2–3 jours selon l’humidité) et à utiliser des sachets ou chaussettes en tissu pour contenir le mélange. Si les appareils électriques sont une solution, ils pèsent sur la facture d’énergie et sont souvent bruyants. Pourtant, une astuce japonaise ancestrale, incroyablement simple et économique, refait surface et promet de réguler l’humidité ambiante avec deux ingrédients que vous avez déjà dans votre cuisine.
Cette technique japonaise naturelle qui chasse l’humidité de votre intérieur
L’humidité excessive n’est pas seulement inconfortable, elle peut aussi endommager votre intérieur et affecter la qualité de l’air. Plutôt que de recourir à des solutions chimiques ou énergivores, de plus en plus de foyers se tournent vers des méthodes traditionnelles dont l’efficacité a traversé les âges. L’une d’elles, venue du Japon, se distingue par sa simplicité déconcertante et ses résultats probants pour assainir les petits espaces.
Le témoignage d’une solution simple et efficace
Nathalie Dubois, 48 ans, artisane fleuriste à Brest, était constamment aux prises avec l’humidité dans son appartement. « Je sentais cette odeur de renfermé s’installer, surtout dans la penderie. C’était décourageant ». Après avoir essayé diverses solutions du commerce, elle a testé cette méthode. En quelques jours, l’air de son placard était notablement plus sec et l’odeur avait disparu, une transformation qu’elle a depuis adoptée dans plusieurs pièces.
- Situation initiale : lutte contre l’humidité avec des absorbeurs chimiques coûteux.
- Déclencheur : découverte de l’astuce lors d’une discussion sur les remèdes de grands-mères.
- Adoption : utilisation systématique dans les placards, la salle de bain et la buanderie.
Comment fonctionne cette astuce anti-humidité à base de riz et de sel ?
Le principe de cette méthode repose sur une propriété physique simple : l’hygroscopie. Le riz cru et le gros sel sont des matériaux naturellement hygroscopiques, ce qui signifie qu’ils attirent et absorbent les molécules d’eau présentes dans l’air. En les plaçant dans un bol ou un sachet en tissu, on crée un déshumidificateur passif et entièrement naturel. Il est important de noter que cette solution est idéale pour des espaces confinés comme les armoires, les tiroirs ou les petites salles d’eau, mais ne remplacera pas un traitement de fond pour des murs très humides.
Les bénéfices multiples de cette méthode ancestrale
Au-delà de son efficacité, cette technique présente des avantages significatifs sur plusieurs plans. Elle est extrêmement économique, ne nécessitant que des produits de base. Sa mise en œuvre est instantanée et ne demande aucun entretien, si ce n’est de remplacer le mélange lorsque les grains deviennent saturés d’eau. C’est également une solution plus saine, sans émission de composés chimiques, et écologique, car elle ne consomme aucune électricité.
Critère de comparaison | Astuce riz et sel | Déshumidificateur électrique |
---|---|---|
Coût initial | Très faible (moins d’un euro) | Élevé (plusieurs dizaines à centaines d’euros) |
Coût de fonctionnement | Nul | Consommation électrique continue |
Impact environnemental | Faible, ingrédients naturels | Élevé (énergie, fabrication, fin de vie) |
Niveau sonore | Silencieux | Bruyant (moteur et ventilateur) |
Les alternatives et optimisations pour un air encore plus sain
Pour améliorer l’efficacité ou varier les plaisirs, plusieurs ajustements sont possibles. L’ajout de quelques gouttes d’huile essentielle (lavande, arbre à thé) sur le mélange permet de parfumer agréablement l’espace tout en bénéficiant de leurs propriétés antibactériennes. D’autres matériaux naturels partagent ces capacités d’absorption :
- Le charbon de bambou activé, ou takesumi, est une autre star japonaise de l’absorption d’humidité et des odeurs.
- La litière de silice pour chat peut également être détournée pour cet usage dans les caves ou garages.
- Le bicarbonate de soude est un excellent complément pour neutraliser les odeurs tenaces.
Cette approche s’inscrit dans une tendance de fond : la recherche de solutions « low-tech » et durables. En redécouvrant des savoirs ancestraux, on se réapproprie des gestes simples qui répondent à des besoins quotidiens sans dépendre de technologies complexes et énergivores. C’est un retour à l’essentiel qui gagne du terrain dans nos modes de vie. L’adoption de ces techniques influence positivement nos habitudes de consommation, nous incitant à chercher des solutions locales et naturelles avant de nous tourner vers des produits industriels. Ce changement de perspective réduit notre empreinte écologique et renforce notre autonomie face aux petits tracas domestiques. En résumé, cette astuce japonaise est bien plus qu’un simple remède contre l’humidité ; c’est une porte d’entrée vers un entretien de la maison plus conscient et respectueux. Facile à tester, elle pourrait bien devenir un réflexe incontournable pour maintenir un intérieur sain et agréable à vivre.
Moi, j’ai essayé une fois. Bof. C’est joli, c’est sûr, un petit bol de riz, mais honnêtement, je n’ai pas vu de différence flagrante. Peut-être que mon taux d’humidité n’était pas assez élevé pour que ça marche.
Ça me rappelle les remèdes de grand-mère. Je suis sceptique, mais pas contre l’idée d’essayer. Au moins, c’est plus écologique qu’un déshumidificateur.
Riz et sel, ça me fait penser à un rituel plus qu’à une solution anti-humidité. J’imagine l’odeur du sel marin… ça peut au moins parfumer légèrement la pièce !
Le riz et le sel, c’est pas cher, c’est sûr. Mais si l’humidité est vraiment importante, j’ai peur que ça ne soit qu’un pansement sur une jambe de bois. Mieux vaut traiter la cause !
Du riz et du sel, sérieusement ? Ça me fait penser aux placards de ma grand-mère, pleins d’astuces bizarres. J’imagine la galère pour nettoyer après, le riz qui colle partout.
Ah, le riz et le sel, ça me rappelle les boîtes à secrets de mon enfance. Curieux de voir si ça marche vraiment, mais je me demande si les chats ne vont pas s’en faire un festin.
Franchement, j’ai peur que ça attire les souris, cette histoire. Je préfère encore aérer plus souvent, même en hiver.
J’imagine déjà le riz moisi après quelques semaines… bof, pas très convaincu.
J’ai toujours du riz et du sel à portée de main. Pour l’humidité, je ne sais pas, mais ça pourrait faire un joli centre de table minimaliste dans ma salle de bain !
Je testerais bien dans mon placard à chaussures, là où l’odeur est parfois… comment dire… particulière. Si ça ne marche pas, au moins ça aura servi d’expérience !
Je me demande si ça ne va pas juste masquer le problème en réalité. L’humidité sera toujours là, juste absorbée par le riz, non ?
J’ai testé le coup du riz une fois après une inondation. Ça a légèrement aidé, mais ça n’a pas fait de miracle. Pour une petite pièce, peut-être…
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact écologique. On utilise du riz et du sel qui pourraient servir à autre chose, juste pour ça ? Bof.
C’est marrant, ça me rappelle les astuces de grand-mère qu’on utilisait quand on avait pas le choix. Nostalgie… et scepticisme.
Moi, j’essaierais bien pour le principe. C’est le côté « remède de grand-mère » qui me plaît, même si je ne m’attends pas à un miracle. On verra bien !
L’idée me fait sourire. Le riz et le sel, c’est la base de la cuisine, pas de l’assainissement ! J’ai du mal à imaginer que ça puisse remplacer un vrai déshumidificateur, même pour une petite salle de bain.
Le côté « astuce japonaise » me fait tiquer. On dirait qu’on essaie de vendre n’importe quoi en collant une étiquette exotique. Est-ce que ça marche vraiment mieux que d’autres méthodes ? J’en doute.
Franchement, l’humidité, c’est la plaie. Si ça peut éviter d’allumer le déshumidificateur qui consomme à mort, pourquoi pas tenter ? Au moins, c’est naturel.
Ça me fait penser aux absorbeurs d’humidité qu’on achète, sauf que là, c’est DIY. Moins de plastique, c’est déjà ça.
Mouais… Je me demande surtout combien de temps ça reste efficace avant de devoir tout jeter. Le riz moisi, le sel tout collant… pas très ragoûtant !
Le gros sel, ça, j’y crois plus que le riz. J’en mets déjà dans mes placards pour les odeurs, alors pourquoi pas contre l’humidité ? À tester dans un coin.
Je suis surtout curieux de savoir si ça attire les insectes. L’humidité, c’est déjà pénible, mais si en plus je dois me battre contre les fourmis…
Le riz et le sel, ça me rappelle ma grand-mère qui mettait du riz dans la salière pour éviter qu’elle ne se bouche. Peut-être que le principe est le même, finalement.
J’ai surtout peur que ça attire les rongeurs. L’humidité, c’est déjà un problème, mais une invasion de souris… non merci! Je préfère encore investir dans un déshumidificateur.
L’humidité, c’est la galère dans ma vieille maison. Peut-être que ça vaut le coup d’essayer avant de repeindre les murs, ça ne coûte rien.
C’est marrant, ça me rappelle les astuces de grand-mère qu’on trouvait dans les magazines. On dirait que ça revient à la mode!
J’ai déjà essayé une variante avec du charbon actif. Ça avait légèrement amélioré l’air, mais pas miraculeusement absorbé l’humidité. J’imagine que le riz et le sel, c’est un peu le même principe, mais en moins efficace.
Je ne suis pas sûr que ce soit une solution à long terme. L’humidité, c’est souvent un problème de ventilation, non ?
Franchement, je trouve ça poétique. Remplacer un appareil bruyant par du riz et du sel, c’est presque un geste de rébellion contre la technologie. À voir si ça marche vraiment !
Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’aspect écologique. Si ça marche vraiment, c’est une alternative bien plus verte qu’un déshumidificateur énergivore !
Moi, je me demande surtout combien de temps ça reste efficace avant de devoir tout jeter. On parle de semaines, de jours ? L’article est un peu léger sur ce point.