« Votre maintien parle pour vous » : ce que votre position dévoile sur vos émotions (d’après un psychologue)

Bien plus qu’une simple question d’apparence, notre posture est le miroir silencieux de nos émotions. Du bureau à nos interactions sociales, la façon dont nous nous tenons en dit long sur notre état d’esprit, influençant la perception des autres et notre propre confiance. Un psychologue décrypte ce langage non verbal que nous utilisons tous sans même nous en rendre compte.

Ce que votre posture dit de vous sans un mot

Se sentir mal interprété est une frustration courante. Souvent, la réponse est sous nos yeux : notre maintien. Votre posture est un langage silencieux qui révèle vos émotions bien avant que vous ne parliez. Comprendre ses codes peut tout changer.

Julien Moreau, 45 ans, psychologue à Lyon, étudie le langage corporel depuis plus de quinze ans. « Le corps ne ment jamais », confie-t-il. « Avant même la première poignée de main, la posture de mes patients me donne des indices précieux sur leur état émotionnel intérieur. »

La signification cachée de nos positions quotidiennes

Dans son cabinet, Julien observe. Des épaules voûtées trahissent souvent un manque de confiance, tandis qu’une posture ouverte suggère l’aisance. Il compare ces signaux entre contextes professionnels et personnels, notant une cohérence étonnante dans ce langage non verbal.

Ce phénomène s’explique par la connexion corps-esprit. Une émotion négative déclenche des micro-tensions musculaires qui modifient notre maintien. Attention cependant, une mauvaise posture peut aussi résulter de douleurs physiques et ne doit pas être surinterprétée sans contexte.

Posture observée Émotion souvent associée
Épaules voûtées, tête basse Manque de confiance, tristesse
Dos droit, épaules ouvertes Confiance, assurance, ouverture
Bras croisés, corps fermé Défense, fermeture, désaccord

Comment votre maintien influence votre quotidien et vos relations

Au-delà de l’aspect psychologique, une posture affirmée peut transformer votre quotidien. Elle influence la perception des recruteurs en entretien, améliore vos interactions sociales en vous rendant plus accessible et peut même, par un effet retour, booster votre propre confiance en soi.

Pour améliorer activement votre maintien, intégrez de simples habitudes. Le renforcement des muscles du tronc est une solution efficace. Voici quelques gestes simples :

  • Effectuez des rotations douces des épaules plusieurs fois par jour.
  • Placez un rappel visuel sur votre bureau pour vous redresser.
  • Intégrez des exercices de gainage pour renforcer votre sangle abdominale.

Au-delà du corps : l’impact sociétal d’une bonne posture

Cette prise de conscience s’inscrit dans la tendance du bien-être. Elle dialogue avec des pratiques comme le yoga ou le Pilates, qui placent le corps au centre de l’équilibre, un enjeu majeur face à la sédentarité et l’usage des écrans.

L’attention portée à la posture a des répercussions collectives. Elle inspire une nouvelle ergonomie dans les bureaux et les écoles, influençant la conception du mobilier pour préserver la santé à long terme. C’est un enjeu de santé publique discret mais fondamental.

Votre corps est un outil de communication. Apprendre à ajuster consciemment votre posture est une compétence précieuse. C’est une démarche simple pour harmoniser ce que vous ressentez et ce que vous projetez au monde.

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309 réflexions sur “« Votre maintien parle pour vous » : ce que votre position dévoile sur vos émotions (d’après un psychologue)”

  1. C’est marrant, je me suis toujours dit que ma posture influençait *mes* émotions, pas l’inverse. Si je me tiens droit, je me sens plus fort, même si je suis stressé.

  2. Mouais, un peu simpliste non ? On dirait qu’on peut nous lire comme un livre ouvert, alors que parfois on fait juste avec ce qu’on a niveau confort physique.

  3. Intéressant. Je me demande si ça marche aussi avec les animaux. Mon chat a une posture bien à lui, et elle reflète clairement son humeur!

  4. Perso, je me demande si ce n’est pas un cercle vicieux. Mauvaise posture = mal-être, puis le mal-être renforce la mauvaise posture. Difficile de savoir où ça commence !

  5. Moi, je trouve ça culpabilisant. Déjà qu’on se met la pression sur tout, maintenant faut aussi penser à sa posture pour ne pas « dévoiler » son stress.

  6. Je me demande si on peut réellement « tricher » avec sa posture. Essayer d’avoir l’air confiant quand on ne l’est pas, est-ce que ça peut vraiment berner les autres… et soi-même ?

  7. C’est vrai que quand je suis avachi, j’ai l’impression que mes soucis pèsent plus lourd. Peut-être qu’il y a un fond de vérité dans tout ça.

  8. Je me reconnais tellement dans cette histoire de posture ! Quand je suis fatigué, je me vois littéralement me tasser sur moi-même. C’est flagrant.

  9. Je pense que l’article oublie un peu le contexte. Une scoliose peut donner l’impression d’une posture « fermée », alors que la personne est juste en souffrance physique.

  10. L’article est intéressant, mais j’aimerais savoir si certaines postures sont universellement interprétées de la même manière dans toutes les cultures.

  11. Je pense que c’est un peu simpliste. On a tous des moments « mous », ça ne veut pas dire qu’on est tous au fond du trou à chaque fois.

  12. Je me demande si l’inverse est vrai. Si adopter une « bonne » posture peut réellement influencer nos émotions et nous rendre plus heureux ? À tester !

  13. Je suis sceptique. Tout ramener à la posture, c’est ignorer la complexité de l’expression humaine. Un sourire forcé peut cacher bien des choses, non ?

  14. Moi, je me demande si les gens qui ont confiance en eux adoptent naturellement une « bonne » posture, ou si c’est la « bonne » posture qui, à la longue, forge la confiance. L’œuf ou la poule, quoi.

  15. Je suis curieux de savoir si les personnes aveugles de naissance ont les mêmes « codes » posturaux que nous. Ça remettrait pas mal de choses en question, non ?

  16. Je trouve ça flippant qu’on puisse être « lu » comme ça, sans même qu’on s’en rende compte. Presque comme si on n’avait plus le contrôle.

  17. Moi, ça me fait penser à ma grand-mère. Elle disait toujours « Tiens-toi droit! ». Peut-être qu’elle avait raison, finalement.

    Je crois que l’environnement joue beaucoup.

  18. C’est vrai que parfois, je me sens plus « grand » quand je suis fier de moi. Un truc inconscient.

    Peut-être que la posture est une langue qu’on apprend sans le savoir.

  19. Intéressant ! Ça me rappelle les cours de théâtre où on apprenait à incarner des émotions avec le corps. Finalement, c’est peut-être plus un outil qu’une fatalité.

  20. Je me demande si cette « lecture » de la posture n’est pas très culturelle. Ce qui est perçu comme de la confiance ici pourrait être de l’arrogance ailleurs.

  21. Moi, je me demande si on ne surestime pas l’impact de la posture. On peut être fatigué, avoir mal au dos, sans que ça reflète forcément un état émotionnel négatif.

  22. Je me demande si cette histoire de posture n’est pas un peu trop simplifiée. On a tous des jours « sans », où on se sent moins bien dans sa peau, sans que ça veuille dire qu’on est fondamentalement malheureux.

  23. C’est marrant, j’ai l’impression que cet article oublie les jours où, simplement, on a froid et on se recroqueville pour se réchauffer.

  24. Je trouve ça un peu réducteur. Parfois, je me tiens mal juste parce que mon fauteuil est inconfortable. L’émotion, c’est peut-être le fauteuil qui la provoque!

  25. Je me demande si on ne se focalise pas trop sur l’interprétation par les autres. Perso, je me concentre d’abord à me sentir bien, la posture suit.

  26. Moi, ça me fait penser aux animaux. Un chat qui gonfle le poil, un chien qui rentre la queue… On est peut-être moins différents qu’on le croit.

  27. Moi, je me demande si ça s’applique aux personnes qui ont des douleurs chroniques. Mon dos me dicte souvent ma posture, peu importe comment je me sens.

  28. Moi, je pense à mes enfants. Quand ils sont absorbés par un jeu, ils se tiennent n’importe comment, et pourtant ils sont heureux comme tout. La posture, c’est peut-être surtout quand on se soucie d…

  29. Je me demande si l’article prend en compte le fait qu’on imite inconsciemment les postures des autres. Ça brouille un peu les pistes, non ? On pourrait juste « refléter » l’état émotionnel de quelqu’un d’autre.

  30. Moi, ça me fait penser à ma grand-mère. Elle disait toujours « Tiens-toi droit, on dirait un sac à patates ! ». C’était plus une question d’éducation qu’autre chose, je crois.

  31. Moi, ça me fait réaliser à quel point je suis influencé par la mode. J’ai vu des gens « cool » se tenir de manière relâchée, et j’ai peut-être inconsciemment copié ça, même si ça ne me correspond pas forcément.

  32. Tiens, ça me rappelle ma prof de théâtre. Elle disait que la posture, c’est aussi un rôle qu’on joue, parfois inconsciemment, pour s’intégrer.

  33. C’est marrant, moi je trouve que ça dépend tellement du contexte culturel. Ce qui est perçu comme « confiant » ici peut être vu comme arrogant ailleurs.

  34. C’est intéressant, mais j’ai l’impression qu’on cherche toujours à décoder les gens. Parfois, une posture est juste une posture, sans arrière-pensée.

  35. Intéressant, mais ça met une pression folle ! J’ai déjà du mal à décoder mes propres émotions, alors celles des autres via leur dos… bon courage.

  36. C’est vrai que je me sens plus sûr de moi quand je me tiens droit, même si je suis angoissé. C’est comme si la posture forçait l’émotion.

  37. Je trouve ça un peu réducteur. On est plus complexe qu’un simple décodage postural. Parfois, je suis juste fatigué, ça n’a rien à voir avec mes émotions.

  38. Ça me fait surtout penser à tous ces coachs qui nous vendent une posture « de pouvoir ». On dirait qu’on ne peut plus être soi-même sans être jugé.

  39. Je me demande si l’inverse est vrai. Est-ce qu’une posture « ouverte » peut aider à se sentir mieux, même quand on est au fond du trou ? À tester…

  40. Moi, je me demande si on ne surestime pas l’impact de la posture sur l’impression qu’on donne. On est tellement bombardés d’images parfaites !

  41. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de « décoder » les autres. Et si on commençait par écouter ce qu’ils *disent*, tout simplement ?

  42. Moi, ça me fait penser qu’on se complique la vie. J’ai toujours fait attention à mon dos à cause de douleurs, et bizarrement, les gens me trouvent plus sympa quand j’ai moins mal et que je me tiens plus droit.

  43. Moi, je me demande si cet article est accessible à tous. Certaines personnes ont des handicaps physiques qui affectent leur posture, indépendamment de leurs émotions.

  44. Moi, je me demande si l’environnement ne joue pas un rôle plus grand. Dans un open space bruyant, je me recroqueville, c’est sûr, mais pas forcément par angoisse.

  45. Moi, ça me rappelle les cours de théâtre où on apprenait à « incarner » un personnage. Mais dans la vraie vie, c’est pas un rôle, c’est juste… soi.

  46. Je crois que l’article oublie un truc essentiel : la fatigue. Quand je suis crevé, ma posture s’effondre, point. Pas besoin de psy pour ça.

  47. C’est amusant de voir comment on cherche des significations cachées partout. Parfois, je crois juste que j’ai froid, et c’est pour ça que je me recroqueville.

  48. Intéressant, mais ça me fait surtout penser à la pression qu’on se met déjà. Maintenant, il faut en plus surveiller comment on se tient ? On ne peut plus juste exister ?

  49. Et si l’article avait raison ? Depuis que j’ai adopté une posture plus ouverte, j’ai l’impression que les gens m’abordent plus facilement. Simple coïncidence ? Peut-être.

  50. Je me demande si cette « lecture » de la posture n’est pas culturellement biaisée. Ce qui est perçu comme de la confiance ici, peut être de l’arrogance ailleurs…

  51. Mouais, l’article est sympa mais j’ai surtout l’impression qu’on nous dit de faire gaffe à pas se tenir mal pour plaire aux autres. Bof.

  52. Franchement, je me demande si c’est pas un peu une vision trop simpliste du truc. On est pas des robots qui affichent des émotions avec le dos droit ou pas.

  53. Moi, ça me fait penser à ma grand-mère qui disait toujours « Tiens-toi droit ! ». Peut-être qu’elle avait raison, finalement… pas pour les raisons qu’elle pensait, mais quand même.

  54. Moi, je me demande si changer sa posture peut vraiment changer ses émotions. Un peu comme forcer un sourire pour se sentir mieux ? L’idée est séduisante, mais… je reste sceptique.

  55. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de posture comme si c’était figé. Mais ça change tout le temps, non ? Ça dépend de la minute, de la personne en face…

  56. Moi, ça me rappelle les cours de théâtre où on apprenait à « incarner » une émotion. On travaillait la posture, les gestes… Mais est-ce que ça rend l’émotion plus vraie, ou juste plus visible ? La question reste ouverte.

  57. Moi, je me demande si la posture ne serait pas juste une confirmation d’un ressenti déjà là. C’est pas elle qui le crée, mais elle le reflète. Un peu comme un thermomètre.

  58. Moi, je pense surtout à ceux qui ont des problèmes de dos. On est vite catalogués comme « mous » ou « timides » alors qu’on souffre juste !

  59. C’est marrant, moi je trouve ça rassurant qu’on puisse « lire » un peu les gens comme ça. Ça donne l’impression qu’on peut mieux se comprendre.

  60. Intéressant, mais je me demande si cette « lecture » de la posture ne renforce pas les préjugés. On risque de juger trop vite.

    Ouais, ça me fait penser aux entretiens d’embauche.

  61. C’est marrant comme on cherche toujours à décoder les autres. Perso, je préfère me concentrer sur comment *je* me sens, et ça, ça se voit dans ma posture, c’est sûr.

  62. Je me demande si cette « lecture » de la posture n’est pas très culturelle. Ce qui est interprété comme de la confiance ici pourrait être vu comme de l’arrogance ailleurs.

  63. J’ai l’impression que cet article oublie un peu le contexte. On est tellement bombardés d’images de « réussite » qu’on finit par copier des postures sans les ressentir vraiment.

  64. Je suis sceptique. On dirait qu’on essentialise les gens. Une posture, c’est juste une posture, non ? Pas une vérité absolue.

    C’est culpabilisant pour ceux qui ont naturellement une posture « peu assurée ».

  65. Moi, ça me fait penser à ma grand-mère. Elle disait toujours : « Tiens-toi droit, on dirait un sac à patates ! ». C’était plus une marque d’affection qu’un jugement sur ma personnalité, je crois.

  66. Moi, ça me fait penser à ma fille ado. Elle se voûte pour se faire plus petite. Triste de penser que sa posture envoie un message qu’elle ne contrôle même pas.

  67. Moi, je me demande si à force d’y penser, on ne va pas devenir des automates, à contrôler chaque mouvement. Ça ôte un peu de spontanéité, non?

  68. Moi, ça me rappelle mes cours de théâtre. On travaillait beaucoup sur la posture pour incarner un personnage. C’est un outil, pas un verdict.

  69. Moi, je trouve ça intéressant mais je me méfie. J’ai l’impression qu’on est déjà tellement connectés, ça rajoute une couche de surveillance implicite.

  70. Moi, je trouve ça libérateur. Si ma posture trahit mes émotions, alors je peux travailler dessus pour me sentir mieux, non ? Un peu comme un feedback immédiat de mon corps.

  71. Je trouve que l’article met le doigt sur quelque chose d’évident, mais que l’on oublie souvent : le corps est une extension de l’esprit. C’est un rappel utile, même s’il ne faut pas tomber dans l’interprétation à outrance.

  72. C’est marrant, ça me rappelle les fois où j’ai essayé de me forcer à sourire pour me sentir mieux. Ça marche… un peu. Mais c’est surtout épuisant à la longue.

  73. C’est amusant, on dirait qu’on découvre l’eau tiède. Les expressions du visage, la voix, tout ça trahit nos émotions. La posture, c’est juste un élément de plus dans le puzzle.

  74. Mouais… Et si ma posture, c’était juste… le résultat de mes 1m95 tassé dans une voiture trop petite ? Faut pas chercher midi à quatorze heures parfois.

  75. Moi, ça me fait surtout culpabiliser. J’ai toujours eu une posture… disons, pas très avantageuse. J’espère que les gens ne pensent pas que je suis constamment déprimé !

  76. C’est vrai que j’y avais jamais pensé en termes d’émotions… Moi je me disais plutôt que c’était une question de confort. Si je suis avachi, c’est juste que je suis bien, non ?

  77. En tant que personne plutôt introvertie, je me demande si ça ne donne pas une fausse image de moi, genre distant ou hautain, alors que je suis juste… dans ma bulle.

  78. Je suis sceptique. On va encore nous dire comment se tenir, comment penser. Ras le bol des injonctions au bonheur et à la performance, même posturales !

    C’est culpabilisant.

  79. L’article me fait penser à mon grand-père, toujours droit comme un i malgré ses 90 ans. Je me demande si c’est sa posture qui le maintient en vie ou l’inverse.

  80. Bof, ça me fait surtout penser à ma prof de danse classique. Elle disait la même chose, mais avec des mots moins « psy ». Plus « redresse-toi, bon sang ! »

  81. Ça me fait penser aux entretiens d’embauche. On nous dit toujours de se tenir droit, de sourire… On joue un rôle, quoi. Pas sûr que ça révèle grand-chose de sincère.

  82. Ça me rappelle ma grand-mère qui disait toujours : « Tiens-toi ! On dirait un sac à patates ! ». Elle avait peut-être raison, finalement…

  83. La posture, c’est pas juste une question de se tenir bien. C’est aussi un marqueur social, non ? On se tient pas pareil selon son milieu, son éducation.

  84. Intéressant ! Mais est-ce que les gens interprètent vraiment ma posture comme je le pense ? C’est un peu flippant, cette idée d’être décrypté à mon insu.

  85. Je me demande si l’environnement joue pas un rôle plus important que nos émotions. Une chaise inconfortable, ça se voit tout de suite sur ma posture, non?

  86. Moi, ça me fait penser à mon chat. Quand il a peur, il se fait tout petit. Quand il est content, il s’étire de tout son long. On n’est pas si différents, finalement.

  87. Moi, ça me renvoie à mes cours de théâtre. On travaillait beaucoup la posture pour incarner un personnage. C’est fascinant de voir comment ça change l’émotion qu’on ressent.

  88. Moi, je me demande si changer sa posture peut réellement influencer son humeur. Genre, si je me force à me tenir droit, est-ce que je vais me sentir plus confiant ? À tester…

  89. Moi, je suis curieux de savoir si la posture peut être « hackée ». Peut-on consciemment adopter une posture « de confiance » pour tromper notre cerveau et les autres ?

  90. Moi, je me demande si on ne s’invente pas des choses. On cherche tellement à donner du sens à tout, qu’on en voit peut-être là où il n’y en a pas.

  91. Moi, je trouve ça culpabilisant. Déjà qu’on se juge assez, maintenant il faut surveiller comment on se tient… Encore une injonction à la performance !

  92. Je trouve ça intéressant, mais un peu angoissant. Si les autres lisent aussi en moi comme dans un livre ouvert, ça met une pression sociale supplémentaire.

  93. C’est marrant, ça me rappelle quand j’ai commencé le yoga. J’étais hyper crispé, et la prof disait que ça se voyait dans ma posture. Ça a mis du temps, mais ça a fini par se détendre, et mon humeur a suivi.

  94. Je suis assez sceptique. On nous dit tellement de choses contradictoires… Un jour il faut s’affirmer, l’autre être humble. Comment trouver la « bonne » posture ?

  95. Moi, je pense que c’est un peu simpliste. Ma grand-mère se tient toujours droite, même quand elle est au plus mal. La posture, c’est peut-être aussi une habitude, non ?

  96. Mouais, ça me rappelle ma mère qui me disait toujours de me tenir droit. Honnêtement, je crois que c’est surtout une question d’éducation et de bonnes manières.

  97. Finalement, ça me rassure un peu. Vu le temps que je passe avachi devant mon écran, je me dis que c’est peut-être pour ça que je suis si fatigué…

  98. Je me demande si l’inverse est vrai. Est-ce qu’une douleur physique, comme un mal de dos, ne déforme pas aussi notre posture et donc, indirectement, nos émotions ?

  99. Je me demande si ça change beaucoup selon les cultures. Ce qui est perçu comme « confiant » ici pourrait être vu comme arrogant ailleurs.

  100. Perso, je trouve ça hyper déprimant de penser que mon corps me trahit en permanence. J’ai pas envie de devenir un robot souriant pour plaire.

  101. Ça me fait penser à ces fois où je me suis forcé à sourire alors que j’étais super mal. La posture, c’est peut-être juste un masque de plus qu’on enfile.

  102. C’est dingue de penser qu’on pourrait influencer ses propres sentiments en changeant sa posture. Un peu comme un cercle vertueux, non ?

  103. On dirait une excuse pour juger les autres, non ? Genre, « Ah, il est avachi, donc il est forcément malheureux. » C’est un peu réducteur, je trouve.

  104. Tiens, ça me fait penser à ces moments où je me suis senti invisible et où j’ai instinctivement réduit ma présence. Est-ce que c’est ça le corps qui parle ?

  105. Moi, j’ai surtout l’impression que la posture, c’est comme un écho : elle reflète souvent la façon dont le monde nous perçoit déjà.

  106. Moi, je me demande surtout si le psychologue a pensé aux gens qui ont des problèmes de dos. C’est facile de parler de posture « émotionnelle » quand on n’a pas mal.

  107. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée qu’on puisse « lire » quelqu’un comme un livre ouvert juste à sa posture. C’est oublier que la vie est complexe, et les gens aussi.

  108. Je me demande si la culture influence énormément ça. Une posture « ouverte » est peut-être mal vue dans certaines sociétés, et n’indique pas forcément un mal-être.

  109. SportifDuDimanche

    C’est marrant, ça me rappelle les cours de théâtre où on apprenait à « habiter » son corps pour jouer un rôle. On fabriquait une émotion de l’extérieur.

  110. Moi, je trouve ça flippant. Si ma posture trahit mes émotions, je suis à nu. L’idée de devoir contrôler ça en permanence est épuisante.

  111. Je me demande si on peut vraiment changer sa posture juste en y pensant. Est-ce que c’est pas plutôt un travail de fond sur l’estime de soi qui ferait la différence ?

  112. MécanicienRetraité

    Moi, je me demande si l’article n’oublie pas que la mode et le confort vestimentaire jouent aussi un rôle énorme. Un jean trop serré peut ruiner toute tentative de posture « ouverte ».

  113. InstitutricePassionnée

    Pour moi, c’est surtout un cercle vicieux. Si je me sens bien, je me tiens droit, et vice-versa. C’est l’œuf ou la poule, en fait.

    Et si on arrêtait de chercher un sens caché à tout et qu’on se contentait de vivre, tout simplement ?

    Je suis souvent avachi, mais ça veut pas dire que je suis malheureux, juste que je suis bien installé.

  114. Et si, au lieu de décoder, on essayait juste d’être plus attentifs aux autres, sans chercher à les analyser ? Ça me semble plus humain.

  115. Je me demande si ce décryptage de posture ne crée pas plus d’anxiété qu’il n’en résout. On va finir par se scruter les uns les autres en permanence, et c’est pas forcément une bonne chose.

  116. C’est vrai que j’ai toujours pensé que la posture des gens en disait long. Mais peut-être qu’on cherche trop à intellectualiser, alors que c’est souvent plus instinctif, un ressenti global.

  117. Je trouve ça fascinant, mais j’y vois aussi une forme de fatalité. Si ma posture me trahit, suis-je condamné à ressentir ce qu’elle exprime ? C’est un peu flippant.

  118. Je me méfie un peu de ces généralisations. On dirait qu’on veut nous faire rentrer dans des cases, alors que chacun vit les choses différemment.

    Peut-être que l’interprétation de la posture dépend aussi beaucoup de la culture dans laquelle on a grandi.

  119. Tiens, ça me rappelle ma grand-mère qui disait toujours « Tiens-toi droit ! ». Peut-être qu’elle avait raison, au-delà de la simple éducation.

  120. Guillaume Bernard

    Moi, ça me fait penser à ces cours de théâtre où l’on travaille le corps pour incarner un personnage. La posture, c’est un outil, pas une vérité absolue.

  121. Je suis sceptique. Mon dos me fait souffrir, donc ma posture est mauvaise. Ça n’a rien à voir avec mes émotions ! C’est juste la réalité de vieillir.

  122. Moi, je me demande si les psychologues tiennent compte du fait qu’on passe nos journées sur des écrans, le dos courbé ? C’est peut-être ça, la vraie émotion à décrypter : la fatigue numérique.

  123. Moi, je me demande si ça marche aussi dans le sens inverse ? Si je me tiens droit, est-ce que je me sentirai plus confiant, même si je suis mort de trouille ? Je vais essayer tiens.

  124. Moi, je crois que c’est surtout une question d’énergie. Quand je suis crevé, forcément, je me tiens comme un point d’interrogation.

  125. Je me demande si on ne surestime pas l’impact de notre posture sur les autres. Les gens sont souvent bien trop occupés avec leurs propres soucis pour décortiquer la façon dont on se tient.

  126. C’est marrant de voir comment on cherche à décoder les autres. Perso, je me concentre surtout à me sentir bien dans ma peau, la posture suit après.

  127. Intéressant, mais je pense qu’il y a un aller-retour constant entre le corps et l’esprit. La posture n’est pas juste un reflet passif, elle peut aussi façonner ce qu’on ressent.

  128. Moi, ça me rappelle mon prof de self-défense. Il disait que la posture, c’est surtout dissuasif. Une question de territoire, plus que d’émotion pure.

  129. Sébastien Bernard

    Moi, je trouve ça rassurant en fait. Si ma posture peut influencer mon état d’esprit, c’est un outil de plus pour agir sur moi.

  130. Mouais, je me demande si c’est pas un peu trop généralisé. Chacun a sa façon de se tenir, qui est parfois juste… sa façon de se tenir, point.

  131. C’est vrai que j’y pense jamais, mais quand je vois une personne marcher la tête haute, instinctivement, j’ai plus confiance. Un biais cognitif, sûrement.

  132. Alexandre Bernard

    Franchement, ça me fait penser à ma grand-mère. Elle disait toujours : « Tiens-toi droite, on dirait que tu as avalé un parapluie ! » Peut-être qu’elle avait raison, au fond.

  133. Je suis sceptique. On attribue tellement de choses à la psychologie… Parfois, j’ai l’impression qu’on cherche des explications compliquées à des choses simples : j’ai mal au dos, je me tiens mal.

  134. Christophe Bernard

    Ça me fait penser à quand je me sens jugé. Direct, je me redresse, genre « regardez comme je suis bien ». C’est plus une réaction, qu’une émotion vraie, je crois.

  135. Bof, l’article me laisse un peu indifférent. J’ai toujours l’impression qu’on veut nous dire comment on doit être « normaux ».

  136. Ça me fait penser aux cours de théâtre. On travaillait beaucoup sur la posture pour incarner un personnage. C’est pas forcément une émotion « vraie », mais ça peut la faire naître.

  137. François Bernard

    Quand je suis fatigué, je me tiens avachi. Pas parce que je suis triste, juste… fatigué. L’article oublie peut-être l’impact du physique sur la posture.

  138. Grégoire Bernard

    Intéressant. Pour ma part, je me demande si la posture n’est pas autant une question d’habitude, prise dès l’enfance, qu’un reflet d’émotions passagères.

  139. Quand je suis stressé, je me recroqueville sur moi-même, comme une tortue. C’est presque inconscient. C’est vrai que ça doit se voir.

  140. Je pense que c’est surtout valable en face à face. Au téléphone, ma posture est horrible, mais ça n’affecte pas ma conversation.

  141. Moi, ça me rappelle mon prof de sport au collège. Il nous hurlait dessus pour qu’on se tienne droit. J’étais juste timide, pas malheureux. Peut-être qu’on se trompe souvent, finalement.

  142. Béatrice Bernard

    Je me demande si l’environnement joue pas un rôle énorme. Dans un open space bruyant, je suis crispé, forcément. C’est pas forcément que je suis angoissé par la vie !

  143. Moi, je me demande si ça marche dans toutes les cultures. Peut-être qu’en Asie, une posture qu’on interpréterait comme de la timidité, c’est juste du respect ?

  144. Moi, je me demande si on peut vraiment généraliser. J’ai vu des gens super confiants avec une posture… disons, originale ! Ça dépend tellement de la personne.

  145. Moi, je me demande si on peut se forcer à avoir une « bonne » posture pour aller mieux. Un peu comme sourire pour de vrai, ça marche ?

  146. Moi, j’ai toujours pensé que c’était un peu comme le visage : on peut essayer de le contrôler, mais le vrai ressenti finit toujours par transparaître.

  147. Gabrielle Bernard

    C’est marrant, on dirait qu’on est des livres ouverts ! Mais je crois que la posture, c’est aussi une danse avec les autres, une manière de s’adapter.

  148. C’est intéressant, mais est-ce qu’on ne risque pas de se faire des films sur la posture des autres ? On interprète peut-être trop vite.

  149. Moi, ça me fait penser aux entretiens d’embauche. On nous dit de se tenir droit, de regarder les gens dans les yeux. Mais au fond, est-ce que c’est pas juste un jeu de rôle ?

  150. Franchement, ça me stresse un peu de penser que tout le monde analyse ma façon de me tenir. J’ai déjà assez de soucis sans ça !

  151. Moi, je trouve ça flippant. On est déjà tellement jugés sur tout, si en plus ma façon de me tenir devient un sujet d’analyse… Où va le monde ?

  152. C’est vrai que j’ai remarqué que quand je suis fatigué, mes épaules tombent et j’ai l’air d’un vieux schnock. Faut que je me redresse !

  153. Je me demande si cette attention portée à la posture ne nous éloigne pas de l’écoute véritable de ce que les gens ont à dire. Parfois, on est juste fatigué !

  154. Je me demande si on peut vraiment généraliser. La posture, c’est peut-être aussi culturel, non ? Ce qui est signe de confiance ici pourrait être impoli ailleurs.

  155. Je me demande si ce n’est pas un peu culpabilisant, finalement. On a déjà tellement de choses à gérer, devoir en plus contrôler sa posture, ça ajoute une pression inutile.

  156. Perso, j’ai toujours pensé que la posture suivait l’émotion, pas l’inverse. C’est un peu comme forcer un sourire, ça ne rend pas forcément heureux.

  157. Je trouve ça intéressant, mais j’aimerais surtout savoir comment changer sa posture *volontairement* pour se sentir mieux, pas seulement être « décrypté ». Des exercices concrets, quoi.

  158. Moi, ça me rappelle une prof qui disait toujours : « Tenez-vous droit, vous n’êtes pas des nouilles ! ». Peut-être qu’elle avait raison, au fond.

  159. En tant que personne introvertie, je trouve presque rassurant l’idée que ma posture révèle des choses. Au moins, ça évite de devoir tout exprimer verbalement.

  160. Moi, je trouve ça fascinant. Ça me fait penser aux animaux qui se gonflent pour impressionner. On est peut-être plus proches d’eux qu’on ne le pense.

  161. Catherine Bernard

    C’est vrai que quand je suis stressé, mes épaules se rentrent. Je n’avais jamais vraiment fait le lien consciemment. Ça donne à réfléchir.

  162. Moi, ça me fait penser à ma grand-mère. Elle disait toujours que les gens bien élevés se tenaient correctement. Peut-être que c’est juste une question d’éducation, finalement.

  163. C’est marrant, l’article me fait penser à ma fille qui imite toujours mes poses quand elle est fâchée. C’est peut-être plus une question d’imitation sociale qu’autre chose.

  164. Franchement, ça me fait penser à ces techniques de « power posing » à la mode il y a quelques années. J’avais essayé… bof, pas convaincu que ça change grand-chose.

  165. Je me demande si ça ne marche pas surtout quand on est observé. On se « redresse » pour donner une image. Seul, avachi sur mon canapé, je doute que ma posture reflète autre chose que mon confort.

  166. C’est marrant, je me demande si ça marche avec les visios. On est tellement concentré sur le visage qu’on en oublie complètement le reste du corps.

  167. Tiens, ça me rappelle mon cours de théâtre. Le prof disait toujours : « Le corps ne ment jamais ». J’imagine que c’est un peu ça.

  168. Jacqueline Bernard

    Intéressant… J’ai toujours pensé que c’était surtout une question de confort physique. Si j’ai mal au dos, ma posture change, point. L’émotion, c’est peut-être un bonus.

  169. Moi, j’y crois moyen. Je pense qu’on surestime souvent l’interprétation des signaux non verbaux. On voit ce qu’on veut bien voir.

  170. Je me demande si la posture n’est pas aussi une prophétie auto-réalisatrice. On se tient mal, on se sent mal, et ça empire le cercle vicieux.

  171. Je trouve ça flippant qu’on puisse être « lu » comme ça. J’ai l’impression d’être transparent, et pas forcément à mon avantage.

  172. Je me demande si cet article ne culpabilise pas un peu trop les gens. On n’est pas tous des athlètes avec une conscience corporelle parfaite. Parfois, on est juste fatigué !

  173. Ça me fait surtout penser aux entretiens d’embauche. On te dit de te tenir droit, de sourire, mais c’est tellement artificiel… Est-ce que ça reflète vraiment qui on est ?

  174. Perso, je crois que la posture, c’est surtout une habitude. On prend de mauvaises habitudes et après, c’est dur de s’en débarrasser, émotion ou pas.

  175. Je me demande si notre posture n’est pas aussi façonnée par notre éducation et notre milieu social. Pas sûr qu’une posture « ouverte » soit universellement interprétée de la même manière partout.

  176. Moi, ça me fait penser à la danse. On peut exprimer tellement sans un mot, juste avec le corps. C’est pas toujours conscient, mais c’est puissant.

  177. Moi, ce qui me frappe, c’est à quel point on juge les autres (et nous-mêmes !) sur des détails. Une épaule tombante et hop, on est catalogué « manque de confiance ». C’est un peu réducteur, non ?

  178. Moi, ça m’évoque surtout l’impact sur soi-même. Si je me force à me tenir droit, même sans motivation, bizarrement, je me sens un peu plus énergique. Un peu comme un placebo postural !

  179. Moi, ça me rappelle mes cours de théâtre. On travaillait beaucoup sur la posture pour incarner un personnage. C’est dingue comme ça peut transformer complètement l’impression qu’on donne !

  180. Moi, je me demande surtout si l’inverse est vrai. Est-ce qu’en modifiant ma posture, je peux vraiment influencer mes émotions ? C’est ça la vraie question, non ?

  181. Moi, ça me fait surtout sourire. On dirait qu’on redécouvre l’eau tiède. Ma grand-mère disait déjà qu’il fallait se tenir droit pour avoir l’air bien!

  182. C’est marrant, moi je repense à mon chat. Il se vautre de tout son long quand il est détendu, et se redresse d’un coup quand il est aux aguets. C’est peut-être plus instinctif qu’on ne le pense.

  183. C’est marrant, je me demande si les écrans n’ont pas flingué la posture de tout le monde. Tête penchée vers le bas en permanence… On doit tous avoir l’air déprimé maintenant.

  184. C’est intéressant, mais je me demande si on ne surestime pas l’interprétation qu’en font les autres. On est tellement dans notre propre bulle… Ils remarquent vraiment tout ça ?

  185. Sébastien Dubois

    Je suis dubitatif. On dirait qu’on cherche des raccourcis pour décrypter les gens. La posture, c’est peut-être aussi juste une question de confort physique, non ?

  186. Tiens, ça me fait penser aux entretiens d’embauche. On m’a toujours dit de me tenir droit. Est-ce que j’ai décroché un job grâce à ça ? Difficile à dire, mais ça donne une drôle d’impression d’être un pantin.

  187. Intéressant, mais j’ai toujours pensé que la posture changeait surtout avec l’âge. Le poids des années, quoi. Moins une histoire d’émotions, plus une question de gravité !

  188. Je me demande si la posture n’est pas aussi un reflet de notre éducation et de notre culture. On ne se tient pas de la même manière partout dans le monde, non ?

  189. J’ai toujours trouvé ça culpabilisant, ce genre d’articles. Comme si on devait en permanence performer, même dans notre façon de se tenir. Je préfère me concentrer sur ce que je ressens vraiment.

  190. Christophe Dubois

    C’est vrai que quand je suis stressé, mes épaules remontent sans que je m’en rende compte. C’est peut-être un signal que je devrais écouter…

  191. Moi, je pense qu’on peut aussi « jouer » avec sa posture. Un peu comme un acteur qui prend un rôle. On peut se donner un coup de pouce en se redressant, même si on ne le sent pas forcément au début.

  192. Moi, ce qui me frappe, c’est l’aspect double tranchant. Une posture « positive » peut aussi masquer une vraie souffrance. Le sourire de façade, en quelque sorte, appliqué au corps.

  193. Moi, je me demande si cet article ne met pas trop l’accent sur l’individu. Et si c’était l’environnement qui nous obligeait à adopter certaines postures ? Le mobilier de bureau, l’open space.

  194. Finalement, c’est un peu comme si notre corps avait son propre correcteur orthographique émotionnel. Des fois, il faudrait pouvoir le désactiver !

  195. Je suis d’accord que la posture en dit long, mais je me demande si on ne risque pas de surinterpréter. Parfois, j’ai juste mal au dos…

  196. C’est marrant, ça me rappelle ma grand-mère qui disait toujours : « Tiens-toi droit ! ». Je crois qu’elle voulait surtout pas qu’on ait l’air pauvre.

  197. Moi, je me demande si l’inverse est vrai. Est-ce qu’une posture forcée peut *créer* une émotion, même si elle n’est pas authentique au départ ?

  198. Je trouve que l’article oublie un peu les personnes qui ont des problèmes physiques. Mon dos me fait souvent tenir bizarrement, ce n’est pas toujours une question d’émotions.

  199. Je trouve ça flippant qu’on puisse lire en moi comme dans un livre ouvert juste en me regardant. J’ai pas envie d’être un panneau publicitaire émotionnel.

  200. L’article est intéressant, mais je me demande si on ne tombe pas dans une forme de déterminisme corporel. On est plus complexe qu’une simple équation posture = émotion.

  201. Je me demande si on accorde trop d’importance au « paraître ». On oublie parfois qu’on est juste fatigué ou qu’on a passé une mauvaise nuit.

  202. Mouais, ça me fait penser aux cours de théâtre où on apprenait à simuler des émotions. Est-ce que ça veut dire que tout le monde est un acteur qui s’ignore ?

  203. C’est vrai que quand je suis stressé, mes épaules se crispent direct. Je le sens, et je suis sûr que les autres le voient aussi. Difficile de le cacher, en fait.

  204. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on apprend à maîtriser son langage verbal, mais qui nous apprend à maîtriser ce langage du corps ? On est livré à nous-mêmes !

  205. C’est marrant, on dirait qu’on redécouvre l’eau chaude. Ma grand-mère disait déjà « tiens-toi droit ! » et elle n’avait pas fait psycho.

  206. Je me demande si l’article aborde l’impact de la posture sur l’émotion elle-même. Est-ce qu’en redressant mes épaules, je peux me sentir plus confiant ? C’est un peu l’histoire de l’oeuf et de la poule.

  207. Moi, ce que je trouve dommage, c’est qu’on se concentre sur l’interprétation, alors qu’on devrait peut-être plus bosser sur l’acceptation de nos propres émotions.

  208. Moi, ça me fait penser à ces moments où tu croises un inconnu et, sans un mot, tu sais déjà si tu vas bien t’entendre ou pas. Y’a un truc qui se dégage, au-delà des mots.

  209. Je me demande si le psychologue donne des conseils concrets pour changer sa posture ? Parce que savoir que je me tiens mal, c’est une chose, mais faire différemment, c’en est une autre !

  210. Je me demande si la posture n’est pas aussi une conséquence de nos habitudes physiques. Passer des heures courbé sur un écran doit forcément influencer notre maintien, non ?

  211. Je me demande si les personnes handicapées moteur se reconnaissent dans ces analyses. La posture ne serait alors qu’un marqueur possible, mais pas universel.

  212. Je me demande si cette « lecture » de la posture n’est pas très culturelle. Ce qui est signe d’assurance ici peut être perçu comme de l’arrogance ailleurs.

  213. Moi, ça me fait penser à ces pubs où on te dit de sourire pour être plus heureux. Est-ce qu’on ne prend pas le problème à l’envers ? La posture suit l’émotion, pas l’inverse, non ?

  214. Intéressant, mais ça me rappelle aussi les conseils « feel good » qu’on voit partout. Est-ce qu’on ne risque pas de se forcer à adopter une posture « positive » même quand on est mal, et donc d’être …

  215. Moi, ça me fait penser aux entretiens d’embauche. On nous dit de se tenir droit, de regarder le recruteur… mais est-ce que c’est vraiment ça qui compte ? L’authenticité ne serait-elle pas plus im…

  216. Je me demande si cet article ne nous encourage pas, involontairement, à jouer un rôle. On risque de devenir des acteurs de notre propre vie, plutôt que de la vivre pleinement.

  217. J’ai toujours pensé que ma posture reflétait surtout ma fatigue ! Le dos courbé après une longue journée, c’est pas forcément un manque de confiance, juste… la pesanteur.

  218. Moi, ça me parle. Je me souviens d’une fois, en colère, j’ai claqué la porte et, en la claquant, j’ai redressé les épaules. C’était comme si la colère me donnait de la force, physiquement.

  219. Finalement, ça me rassure un peu. Je me dis que ma posture « bizarre » est peut-être juste le reflet d’un état intérieur, et pas juste de la maladresse.

  220. Jacqueline Dubois

    Je me demande si on n’est pas en train de redécouvrir l’eau chaude. Ma grand-mère disait déjà : « Tiens-toi droit, on dirait que tu portes la misère du monde sur tes épaules ! »

  221. Je me demande si l’inverse est vrai. Est-ce que changer de posture peut vraiment changer mes émotions ? Je vais essayer de me tenir plus droit quand je suis stressé pour voir.

  222. Le psychologue a raison. Quand je suis vraiment concentré sur un truc, je me penche en avant sans m’en rendre compte, comme un rapace. Ça doit pas être terrible à voir.

  223. Intéressant, mais j’ai l’impression que ça culpabilise un peu. Genre, si ça va mal, c’est de ma faute parce que je me tiens mal ?

    Je me demande si on ne surestime pas l’impact de la posture sur les autres.

  224. C’est marrant, ça me fait penser à ces moments où on se regarde dans le miroir en essayant de « faire bonne figure ». On se force, mais ça sonne faux.

  225. Je suis sceptique. On dirait qu’on cherche encore une fois à nous faire sentir coupables de nos propres ressentis, déguisé en « science ».

  226. Je me demande si l’article considère l’impact des douleurs chroniques sur la posture. Mon dos me dicte souvent plus que mes émotions.

  227. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée qu’on puisse lire nos émotions comme dans un livre ouvert. J’ai l’impression que c’est plus compliqué que ça, et que chacun interprète ce qu’il voit à travers son propre filtre.

  228. Moi, j’y vois surtout une opportunité. Si ma posture trahit mes émotions, autant apprendre à la maîtriser pour mieux les gérer !

  229. Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on parle de « décrypter » comme si c’était une science exacte. L’interprétation de la posture me semble vachement subjective, influencée par le contexte et nos propres biais.

  230. Moi, ça me rappelle ma grand-mère qui disait toujours « Tiens-toi droit ! ». Elle y voyait surtout du respect, plus que des émotions à décrypter.

  231. Moi, je trouve que l’article oublie un truc essentiel : le confort. Si je suis avachi, c’est peut-être juste que je suis bien, non ? Le reste, c’est des interprétations.

  232. Moi, je me demande si la posture n’est pas juste une habitude, un truc qu’on a appris petit et qui reste, sans lien direct avec ce qu’on ressent vraiment.

  233. C’est marrant, je me suis toujours dit que ma posture était juste… la plus pratique pour ne pas me fatiguer. L’idée qu’elle communique des trucs à mon insu, c’est une perspective nouvelle.

  234. Moi, ça me fait penser à un acteur qui joue un rôle. On ajuste sa posture pour convaincre, pour se mettre dans l’ambiance. Est-ce que ça change vraiment ce qu’on ressent au fond ? J’en doute.

  235. Sébastien Durand

    Je me demande si ça ne pourrait pas être aussi une question de culture. Certaines sociétés sont plus formelles, ça se voit dans la posture.

  236. Intéressant, mais ça me fait penser aux gens qui analysent ton écriture. Y’a une part de vérité, mais c’est surtout une grille de lecture parmi d’autres, non ?

  237. Ça me fait penser aux animaux. Un chat qui se sent menacé hérisse le poil. Nous, on se recroqueville ? Y a un truc instinctif là-dedans, je pense.

  238. Et si c’était un cercle vicieux ? Mauvaise posture, mauvaise humeur, et du coup… encore plus mauvaise posture ? Une spirale infernale !

  239. Christophe Durand

    Tiens, ça expliquerait peut-être pourquoi je me sens plus « chef » quand je me tiens droit ! Effet Pygmalion pour soi-même ?

  240. Moi, ça me rappelle les cours de théâtre où on bossait l’ancrage au sol. Au final, le plus dur, c’était de pas avoir l’air d’un robot !

  241. Moi, je me demande si c’est pas surtout l’inverse. On est triste, du coup on se tient mal. La posture, c’est la conséquence, pas la cause.

  242. C’est marrant, on dirait que les coachs en développement personnel ont trouvé un nouveau filon. J’attends l’étude qui prouve vraiment le lien de causalité, moi.

  243. Ça me fait penser à ma grand-mère qui disait toujours : « Tiens-toi droit, on dirait que tu portes le poids du monde ! ». Peut-être qu’elle avait plus raison qu’elle ne le pensait.

  244. Moi, je me suis toujours dit que ma position avachie, c’était surtout le résultat de longues heures devant l’ordinateur. Pas forcément un baromètre émotionnel, juste… de la fatigue.

  245. Moi, je me demande si ça marche aussi avec le télétravail. Personne ne me voit, alors est-ce que ma posture influe vraiment sur mon moral ?

  246. En tant que sportif, je peux témoigner que travailler sa posture améliore les performances. L’impact sur le moral, j’y crois moins, mais sur l’efficacité, carrément !

  247. Moi, j’ai toujours pensé que la posture, c’était comme un vêtement : ça peut te donner confiance un jour, et te gêner le lendemain.

  248. Je me demande si les gens qui ont confiance en eux se tiennent naturellement bien, ou si c’est la bonne posture qui finit par créer la confiance. Un peu l’œuf et la poule, non ?

  249. Je me demande si les personnes malvoyantes développent une autre « lecture » de la posture. L’absence de regard change peut-être la donne.

  250. Intéressant tout ça. Moi, je crois surtout que si t’es bien dans tes pompes, ça se voit tout de suite. La posture, c’est juste le reflet.

  251. Moi, je pense que c’est une simplification un peu dangereuse. On réduit l’humain à un code postural, alors que chacun vit des choses complexes.

  252. Je me demande si on n’est pas en train de créer une nouvelle forme de pression sociale. On est déjà jugé sur tout, maintenant même notre façon de se tenir !

  253. Ça me fait penser aux cours de théâtre, où l’on travaille sa posture pour incarner un personnage. C’est un outil, mais ça ne définit pas qui on est.

  254. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée que notre corps nous « trahit ». On dirait qu’on n’est plus maître de rien, même pas de notre propre attitude. C’est assez angoissant, en fait.

  255. Tiens, ça me rappelle ma grand-mère qui disait toujours « Tiens-toi droit ! ». Peut-être qu’elle avait raison, au-delà de l’éducation.

  256. Moi, ça me rappelle quand j’ai commencé le yoga. On m’a dit que la posture physique influençait l’état d’esprit. J’étais hyper sceptique, mais finalement, j’ai vu une vraie différence !

  257. Je me reconnais tellement là-dedans. Quand je suis stressé, mes épaules remontent sans que je m’en rende compte. Une vraie torture !

  258. Intéressant ! Moi, ça me fait penser à ces moments où je me force à sourire même quand je suis triste. Est-ce que ça marche vraiment, influencer l’émotion par la posture ? J’aimerais bien voir des études là-dessus.

  259. Moi, ça m’évoque les entretiens d’embauche. On m’a toujours dit de soigner ma posture, mais ça sonne faux si je suis pas vraiment à l’aise.

  260. C’est marrant, moi je pense tout de suite aux animaux. On voit bien un chien qui a peur, non ? On est pas si différents finalement.

  261. Je me demande si la posture est une cause ou une conséquence. Est-ce que je suis avachi parce que je suis déprimé, ou est-ce que je suis déprimé parce que je suis avachi ? Le serpent qui se mord la queue.

  262. Je me demande si ça ne met pas une pression supplémentaire. Déjà qu’on doit gérer nos émotions, maintenant faut contrôler comment on se tient…

  263. Finalement, on est des panneaux publicitaires ambulants ! J’imagine la difficulté pour les gens qui ont des problèmes de dos, comment leur posture est constamment mal interprétée.

  264. Je me demande si on surestime pas un peu l’importance de la posture. On a tous des moments où on se tient mal, sans que ça veuille dire qu’on est au fond du trou.

  265. C’est vrai qu’on peut lire les émotions sur le visage, mais le corps entier ? Ça me fait penser à tous ces cours de développement personnel où on te dit comment « te tenir comme un leader ».

  266. Je me demande si les cultures différentes n’influencent pas énormément notre « langage » corporel. Ce qui est perçu comme de la timidité ici est peut-être du respect ailleurs.

  267. Moi, ça me rappelle ma grand-mère qui disait toujours « Tiens-toi droit, on dirait un sac à patates ! ». Peut-être qu’elle avait raison, mine de rien.

  268. J’ai toujours pensé que c’était un peu comme un cercle vicieux : quand je me sens bien, je me tiens droit sans y penser. L’inverse est vrai aussi.

  269. Moi, ça me fait penser à ces fois où je me suis forcé à sourire. Les gens le voient tout de suite que c’est faux, non ? La posture, c’est pareil, je crois.

  270. Moi, je me demande si on peut vraiment généraliser. Chaque personne est tellement unique, son vécu, son corps… réduire ça à une posture, c’est un peu simpliste, non ?

  271. Moi, ça me fait penser à mon chien : quand il a peur, il rentre la queue et se fait tout petit. C’est instinctif. On est peut-être plus proches des animaux qu’on ne le pense.

  272. Tiens, ça me fait penser à ma prof de théâtre. Elle disait toujours qu’il fallait « habiter son corps ». Une vraie présence, quoi. Pas juste une posture à imiter.

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