« Un ancien de chez Stellantis de 63 ans dévoile comment cette cession d’usine diesel cache une stratégie pour faire durer les moteurs 250 000 km de plus »

La fin annoncée du diesel vous laisse perplexe ? Voir un grand groupe automobile céder une usine emblématique semble confirmer cette tendance. Pourtant, cette manœuvre cacherait une stratégie surprenante visant à prolonger la vie de nos moteurs. Un ancien cadre dévoile un plan pour atteindre une longévité inégalée.

La vérité sur la cession des usines diesel

Loin d’être un simple retrait, la vente de certaines unités de production de moteurs diesel à des partenaires spécialisés répondrait à une logique industrielle bien plus fine. Selon un expert ayant travaillé des décennies au cœur de ces décisions, il ne s’agirait pas d’abandonner une technologie, mais de la perfectionner à un niveau jamais atteint.

Le témoignage d’un ingénieur chevronné

Jean-Pierre Moreau, 63 ans, ingénieur motoriste à la retraite vivant près de Mulhouse, a passé sa carrière au cœur du réacteur. « On ne jette pas des décennies de savoir-faire, on le réoriente. Ce que beaucoup voient comme une fin est en réalité une mutation profonde », confie-t-il, apportant un éclairage inédit sur les coulisses de l’industrie.

Une stratégie cachée pour des moteurs quasi indestructibles

Il a suivi de l’intérieur les débats sur l’avenir du diesel. La cession de l’usine à un équipementier spécialisé n’était pas un abandon, mais un transfert stratégique. Le constructeur conserve l’ingénierie et confie la production de blocs ultra-résistants, conçus pour une durabilité extrême, notamment pour les véhicules utilitaires et les gros rouleurs.

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Propose une astuce inattendue pour améliorer un produit du quotidien, comme l'article actuel sur les moteurs diesel

Comment atteindre 250 000 km supplémentaires ?

La stratégie repose sur le surdimensionnement des pièces d’usure : vilebrequins, bielles et pistons renforcés. En externalisant, le partenaire peut se concentrer sur ces composants à haute valeur ajoutée. Le secret réside dans cette focalisation sur un « cœur » de moteur capable de supporter des contraintes bien plus élevées, prolongeant sa durée de vie de manière significative.

Approche traditionnelle Nouvelle approche stratégique
Production de masse internalisée Production spécialisée externalisée
Durée de vie standard (250 000 km) Objectif de durabilité étendue (+250 000 km)
Compromis coût/performance Focus sur la robustesse maximale des pièces clés

Pour l’utilisateur, les avantages sont multiples et concrets :

  • Fiabilité accrue : Des véhicules capables de dépasser les 500 000 km.
  • Économies à long terme : Un coût total de possession qui chute drastiquement.
  • Impact environnemental : Moins de renouvellement de parc, c’est moins de production.

Cette logique de durabilité n’est pas exclusive au diesel. La même approche de renforcement des blocs moteurs pourrait s’appliquer aux futurs moteurs thermiques fonctionnant avec des carburants de synthèse. Pour les propriétaires actuels, cela souligne l’importance d’un entretien rigoureux pour préserver la mécanique.

Cette vision s’inscrit dans une tendance de fond : la fin du véhicule jetable. Face à la complexité des nouvelles technologies, l’industrie pourrait se scinder entre des modèles à renouvellement rapide et des véhicules conçus comme des investissements à très long terme, changeant notre rapport à la propriété automobile.

Au-delà de l’automobile, c’est un changement de paradigme industriel. On passe d’un modèle de volume à un modèle de valeur et de durabilité. Cela pourrait redéfinir le marché de l’occasion et créer de nouveaux métiers axés sur la remise à neuf de composants de haute performance.

Loin d’être un enterrement, cette cession d’actifs révèle une stratégie d’excellence et de longévité pour le diesel. Une approche qui nous invite à repenser la durée de vie de nos biens et pourrait bien inspirer d’autres secteurs industriels en pleine transformation.

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322 réflexions sur “« Un ancien de chez Stellantis de 63 ans dévoile comment cette cession d’usine diesel cache une stratégie pour faire durer les moteurs 250 000 km de plus »”

  1. Bof, encore un article qui joue sur la peur de l’obsolescence programmée. Je me demande si c’est pas juste pour nous faire consommer plus de produits d’entretien « miracles ».

  2. Intéressant. Perso, j’y vois surtout une façon de délocaliser les risques et de se débarrasser d’actifs qui vont perdre de la valeur. Le « plan secret », j’y crois moyen.

  3. Ça sent le baroud d’honneur du diesel ! 250 000 km de plus, ça veut dire quoi concrètement ? Est-ce que je vais pouvoir revendre ma voiture plus cher ? J’avoue que ça me laisse dubitatif…

  4. J’ai toujours aimé le diesel, sa pêche. Si on prolonge sa vie, tant mieux. Je trouve ça bien qu’on essaie de pas jeter tout ce qu’on a.

  5. Moi, je pense surtout aux gens qui travaillaient dans cette usine. Un « plan secret », c’est bien beau, mais ça ne remplace pas un emploi.

  6. J’avoue, le titre est accrocheur. Mais à mon avis, c’est surtout une tentative de rassurer les acheteurs de diesel actuels, histoire de ne pas effondrer complètement le marché de l’occasion.

  7. Stellantis qui « cache » quelque chose ? Ça me rappelle un peu ces régimes miracles qu’on nous vend avant l’été. J’imagine déjà la complexité pour faire réparer ces moteurs « boostés » dans quelques années.

  8. C’est fou comme on s’accroche à des certitudes. On dirait qu’on panique à l’idée de changer nos habitudes. La transition, ça fait peur, mais ça peut aussi être une opportunité.

  9. Si Stellantis prolonge la durée de vie des moteurs, c’est qu’ils savent qu’on n’est pas tous prêts à passer à l’électrique. Un peu de réalisme, ça fait du bien !

  10. C’est marrant, on dirait que Stellantis veut nous faire croire au Père Noël du diesel. Moi, j’y vois juste une tentative de maintenir un marché vieillissant.

  11. C’est l’histoire du serpent qui se mord la queue, non ? On investit dans le futur en prolongeant le passé. Paradoxal, mais peut-être malin.

  12. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de la voiture, jamais du plaisir de conduire. Le diesel a encore de beaux jours devant lui sur les petites routes de campagne.

  13. Franchement, ça me gave ces annonces à demi-mot. Je préférerais qu’on nous dise clairement ce qu’il se passe, sans mystère.

    Ils pensent vraiment qu’on va gober ça ? Moi, j’attends de voir les preuves sur la route.

  14. 250 000 km de plus, ça me fait penser à ma vieille bagnole. Tant qu’elle roule, je la garde. Peut-être que Stellantis pense à ceux qui ne veulent pas changer tout de suite.

  15. Un ancien de Stellantis qui balance ? Ça sent le règlement de comptes. J’espère juste que ça ne se traduira pas par des pièces détachées hors de prix dans quelques années.

  16. Stellantis, c’est un peu le magicien qui sort un lapin d’un chapeau vide. On parie que cette « stratégie » sert surtout à écouler les stocks avant l’électrification massive ?

  17. Moi, ce que je retiens, c’est qu’on parle encore de diesel. J’ai l’impression qu’on nous balade avec cette technologie, on nous dit qu’elle est morte, puis qu’elle revit.

  18. Moi, ça me touche cette idée qu’on puisse prolonger la vie des choses. C’est un peu comme une deuxième chance pour nos vieilles autos.

  19. Moi, ça me rappelle le jour où mon grand-père m’a dit : « Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. » On verra bien si cette longévité promise est au rendez-vous.

  20. Moi, je me demande si c’est pas juste un baroud d’honneur du diesel, une façon de repousser l’échéance de l’électrique. Ça sent le coup marketing.

  21. Moi, cette histoire me fait penser aux meubles de ma grand-mère. Solides, increvables. Peut-être qu’on revient à une logique de durabilité, par la force des choses.

  22. Moi, je trouve ça presque attendrissant. On dirait qu’ils essayent de soigner leur image après avoir misé à fond sur le diesel. Un chant du cygne, en quelque sorte.

  23. Un ancien de Stellantis qui parle ? Mouais… J’ai l’impression qu’on nous sert souvent ce genre d’histoire pour masquer des réalités plus triviales.

  24. Franchement, je me fiche un peu de la stratégie. J’espère juste que mes pièces détachées seront encore disponibles dans 10 ans. C’est ça, la vraie longévité pour moi.

  25. Stellantis qui prolonge la vie du diesel ? Ça me fait surtout penser à mon portefeuille. Moins de voitures neuves vendues, moins de primes à la casse… Ils pensent à nous, au fond ?

  26. 250 000 km de plus ? C’est toujours bon à prendre, surtout avec les prix des voitures neuves. J’espère juste que ça ne se traduira pas par des réparations hors de prix !

  27. Ce qui me frappe, c’est le timing. On se débarrasse d’une usine, mais on promet une durée de vie accrue ? Ça ressemble à un divorce à l’amiable… avec un gros chèque.

  28. Je suis plus inquiet pour l’environnement que pour la durée de vie du moteur. Est-ce vraiment une bonne nouvelle, même si le moteur dure longtemps ?

  29. Si ça peut éviter de voir ma vieille bagnole partir à la casse trop vite, je prends. Ça me laisse le temps de voir venir les électriques.

  30. Moi, ce qui me chiffonne, c’est qu’on nous parle de « stratégie » comme si c’était une faveur. On aurait donc accepté des moteurs moins durables avant ?

  31. Moi, ce qui me dérange, c’est cette nostalgie du diesel. On dirait qu’on essaie de retenir un passé polluant. J’aimerais qu’on regarde devant, pas derrière.

  32. Stellantis, c’est comme un magicien qui sort un lapin de son chapeau alors qu’il vient de le brûler en public. Un peu bizarre, cette annonce, non ?

  33. Moi, je me demande si c’est pas juste un coup de com’ pour rassurer les actionnaires après la fermeture. Ça sent le pansement sur la jambe de bois, non ?

  34. Moi, cette histoire me fait penser à mon grand-père qui rafistolait tout au lieu de jeter. C’est peut-être une question de mentalité, finalement. On n’est pas obligés de toujours consommer du neuf.

  35. Mouais… On nous vend du rêve avec un « ancien de chez Stellantis ». J’aimerais bien savoir qui c’est, ce fameux « ancien ». Ça sent l’info balancée pour faire le buzz.

  36. Franchement, ça me fait penser à ces vieux tubes de crème qu’on vide jusqu’à la dernière goutte. Une façon de rentabiliser à fond, avant que ça ne disparaisse.

  37. C’est marrant, on dirait qu’ils ont trouvé une astuce pour faire rouler nos diesels plus longtemps. Un peu comme un médecin qui te dit comment vivre plus vieux, alors que tu préférerais qu’il te soigne vraiment.

  38. Prolonger la vie d’un moteur, c’est bien, mais ça ne résout pas le problème de fond : l’air qu’on respire. On se concentre sur la voiture, pas sur la planète.

  39. Ils nous prennent vraiment pour des billes. Céder l’usine et promettre la lune après ? Ça sent l’excuse bidon pour justifier une décision économique brutale.

  40. 250 000 bornes de plus ? C’est peut-être bien, mais ma prochaine voiture sera électrique, de toute façon. L’odeur du diesel, c’est fini pour moi.

  41. Est-ce qu’on ne se focalise pas trop sur le moteur ? La carrosserie, l’électronique… ça vieillit aussi, non ? 250 000 km de plus, c’est bien, mais pour une voiture rouillée, ça change quoi ?

  42. Ça me rappelle mon père, accro à sa Passat diesel. Il la bichonne plus que lui-même. Peut-être qu’il aura enfin une bonne raison de la garder…

  43. 250 000 km de plus ? C’est un argument pour les collectionneurs, ceux qui aiment les belles mécaniques d’antan et qui les entretiennent amoureusement.

  44. Moi, ce qui me frappe, c’est l’obsolescence programmée inversée ! C’est nouveau, non ? On nous habitue à jeter et là, on nous dit que ça peut durer.

  45. Stellantis qui joue les prolongations avec le diesel ? Ça me rappelle ces groupes de rock qui annoncent un dernier album… avant d’en sortir trois autres. Simple coup marketing, à mon avis.

  46. Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’impact sur les emplois. L’article parle de la cession, mais les salariés, ils deviennent quoi ? C’est ça la vraie question.

  47. Un ancien cadre qui parle, c’est toujours intéressant. Mais est-ce que ça va vraiment changer ma vie de conducteur ? Je me demande surtout si cette « stratégie » se traduira par des voitures plus chères à l’achat.

  48. Je suis plus inquiet pour l’avenir de la filière après-vente. Si les moteurs durent plus longtemps, les garagistes vont-ils souffrir ? C’est une autre question.

  49. Moi, j’y vois surtout une façon de limiter la casse financière sur le marché de l’occasion. Valoriser le diesel existant, c’est logique.

  50. Ça me fait penser aux vieux outils de mon grand-père. On disait qu’ils étaient dépassés, mais ils duraient une éternité. Peut-être que le diesel, c’est pareil.

  51. J’ai toujours aimé l’odeur du gazole le matin. Si cette « stratégie » permet de la sentir encore un peu plus longtemps, pourquoi pas ? C’est une madeleine de Proust, en quelque sorte.

  52. Mouais… 250 000 km de plus, ça ne me fera pas changer ma décision d’arrêter de rouler en diesel. C’est surtout bon pour ceux qui ne peuvent pas faire autrement.

  53. Ils parient sur le conservatisme des flottes d’entreprises, non ? Qui va changer tous ses utilitaires du jour au lendemain ? Une prolongation de la durée de vie, ça les arrange bien.

  54. C’est un peu comme essayer de vendre des cartouches d’encre pour une imprimante qu’on dit obsolète. Je me demande si c’est vraiment pour le client, ou juste pour vider les stocks.

  55. Franchement, ça me rappelle ces groupes de rock qui font un dernier album « hommage aux fans » après avoir annoncé leur séparation. Un baroud d’honneur avant le silence radio ?

  56. Stellantis qui cède une usine, ça sent surtout la pression des normes européennes. On nous parle de longévité, mais c’est peut-être juste pour minimiser les pertes avant l’électrique obligatoire.

  57. C’est marrant, on dirait qu’ils veulent nous faire croire qu’on a gagné le gros lot avec cette histoire de longévité. Moi, je vois surtout un aveu qu’avant, ils auraient pu faire mieux.

  58. Moi, je vois surtout une tentative de rassurer les marchés financiers. Une façon de dire : « On maîtrise la transition, pas de panique ! »

  59. 250 000 km de plus, c’est chouette si on aime les vieux moteurs qui puent. Moi, je rêve d’une voiture qui ne fait pas de bruit et qui ne pollue pas mon quartier.

  60. Prolonger la vie des moteurs, c’est bien, mais ça ne réglera pas le problème du prix du carburant qui explose. Je préférerais qu’ils se concentrent sur ça, en fait.

  61. Un ancien cadre qui parle, c’est toujours intéressant. Mais est-ce qu’il a vraiment toutes les cartes en main aujourd’hui ? J’attends de voir les preuves, moi.

  62. Franchement, ça me fait surtout penser à mon père, accro à son diesel, qui va se sentir conforté dans son choix. Il va falloir lui expliquer que ça ne change rien au futur.

  63. Bof, toute cette histoire me fait penser à ces vieux téléphones indestructibles qu’on gardait 10 ans. L’innovation, elle est où là-dedans ?

  64. Si ça peut permettre à des gens à petit budget de garder leur voiture plus longtemps, c’est une bonne chose, non ? Pas tout le monde peut se payer une voiture électrique du jour au lendemain.

  65. Moi, je me demande surtout si cette prolongation de vie des moteurs ne va pas juste retarder l’échéance et rendre la transition vers l’électrique encore plus douloureuse dans quelques années.

  66. 250 000 km de plus ? Chouette, ça repousse juste l’instant où je devrai revendre ma voiture à un prix encore plus bas à cause des ZFE. Merci, mais non merci.

  67. Moi, je suis surtout curieux de savoir comment ils comptent s’y prendre concrètement. 250 000 km de plus, c’est énorme. Ça change quoi au juste dans l’entretien ?

  68. Moi, ça me rappelle surtout les promesses qu’on nous fait avant de vendre quelque chose. On verra bien dans quelques années si c’était du vent.

  69. Stellantis qui se soucie soudainement de la longévité de nos moteurs, c’est un peu fort de café après toutes ces années. On dirait qu’ils ont trouvé une nouvelle façon de nous faire culpabiliser de ne pas acheter du neuf.

  70. Moi, je vois surtout une tentative de rassurer les marchés financiers après une décision qui a dû en inquiéter plus d’un. On vend une usine, mais tout va bien, on a un plan !

  71. Mon père a toujours juré que sa vieille Peugeot était plus fiable que n’importe quelle voiture moderne. Peut-être qu’il avait raison, finalement. Ça me fait penser à lui, tout ça.

  72. Un ancien de Stellantis qui parle ? J’ai l’impression d’entendre mon voisin me dire qu’il a toujours su comment gagner au loto… Après coup, c’est toujours facile de tout expliquer.

  73. Mouais, ça sent le coup marketing pour redorer leur image après avoir lâché le diesel. Je me demande si c’est pas juste un pansement sur une jambe de bois.

  74. Le diesel, c’est une page qui se tourne. J’ai grandi avec cette odeur, ça me rappelle les départs en vacances. C’est bizarre de voir ça disparaître.

  75. Le diesel qui dure, c’est un peu comme une histoire d’amour qui revient. On s’en lasse, puis on se dit que finalement, c’était pas si mal. Nostalgie quand tu nous tiens…

  76. 250 000 km de plus ? Ça veut dire quoi en vrai ? Plus de pollution pendant plus longtemps, non ? Je préfère encore l’électrique, même avec ses défauts.

  77. 250 000 km de plus, ça fait rêver mon portefeuille. Reste à voir si ça se traduit par des économies réelles à la pompe et à l’entretien. On parle souvent de « longévité », mais rarement du coût total de possession.

  78. Céder une usine pour faire durer les moteurs ? Ça ressemble à ces régimes où tu manges moins pour vivre plus longtemps… mais est-ce que tu vis mieux ?

  79. Moi, le diesel qui dure, ça me fait penser à mon grand-père. Il bichonnait sa Peugeot 504 diesel, elle a fait des kilomètres incroyables. C’est peut-être ça qu’ils veulent retrouver ? Un peu de …

  80. Mouais, le coup de la cession d’usine, ça sent le grand ménage de printemps. Ils veulent se débarrasser des actifs « polluants » avant que ça ne vaille plus rien.

  81. Un ancien de Stellantis qui parle ? Ça me rappelle les secrets de famille qu’on découvre au repas de Noël. Intéressant, mais faut pas tout prendre pour argent comptant.

  82. J’ai toujours eu un faible pour les mécaniques increvables. Si Stellantis a une astuce pour ça, je suis preneur. J’espère juste que ça ne veut pas dire conduire des tacots fumants pendant 20 ans.

  83. Je suis plus inquiet pour l’avenir des employés de cette usine que pour la durée de vie de mon prochain moteur. J’espère que leur reconversion est bien encadrée.

  84. Stellantis et leurs combines… J’ai l’impression qu’ils nous prennent vraiment pour des quiches. Ils pourraient pas juste faire des voitures fiables, point ?

  85. Prolonger la vie des moteurs, c’est bien, mais est-ce que ça va vraiment inciter les jeunes à acheter des voitures ? Le problème est peut-être ailleurs.

  86. Cette histoire de moteurs plus durables, c’est peut-être une bonne nouvelle pour mon portefeuille. Changer de voiture tous les 5 ans, ça commence à peser.

  87. Tout ça me fait penser à une valse à trois temps. Ils dansent autour du pot pour continuer à vendre ce qu’ils ont déjà produit, je suppose. La transition électrique prendra plus de temps que prévu, c’est évident.

  88. 250 000 km de plus? Ça sent le coup marketing pour rassurer ceux qui hésitent à passer à l’électrique. Moi, je pense surtout au bruit du moteur… il va me manquer.

  89. Stellantis qui refile son usine, ça me fait surtout penser à la fin d’une époque. Le diesel, c’était quand même une part importante de notre histoire automobile. Un peu nostalgique, je dois dire.

  90. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée de « longévité inégalée » pour un moteur diesel. On dirait qu’ils cherchent à en faire un argument de vente alors que tout le monde se tourne vers l’électrique.

  91. Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on nous parle de « longévité inégalée » *après* la cession de l’usine. Pourquoi ne pas avoir mis en avant cet argument avant? Ça sent le plan B improvisé.

  92. Moi, je suis juste curieux de savoir comment ils comptent faire. 250 000 km de plus, c’est énorme ! Ça change la donne si c’est vrai.

  93. Un ancien de Stellantis qui balance ? Intéressant. J’espère juste que ce n’est pas juste une opération de com’ pour adoucir la pilule de la transition énergétique.

  94. Franchement, ça me rappelle mon oncle qui bricolait sa 405 diesel. Il disait toujours qu’elle durerait plus longtemps que moi. Une cession d’usine, c’est juste une autre façon de bricoler, non?

  95. SportifDuDimanche

    Moi, le diesel, ça me rappelle surtout les odeurs de gasoil à la station et les pleins qui n’en finissent plus. 250 000 km de plus, tant mieux pour la planète si on utilise moins de ressources, mais perso, je n’y reviendrai pas.

  96. Si ça rallonge la durée de vie des moteurs, c’est une bonne chose. Moins de gaspillage, c’est tout bénef pour nous et pour la planète.

  97. ProvincialeHeureuse

    Ça me fait penser aux vieux tracteurs increvables de mon grand-père. Ils étaient réparés, pas remplacés. Une philosophie qu’on a perdue.

  98. MécanicienRetraité

    Si c’est vrai, tant mieux. Mais j’ai surtout l’impression qu’on essaie de nous consoler de la fin d’une époque. Un peu comme quand on perd un ami et qu’on nous dit qu’il est parti en voyage.

  99. InstitutricePassionnée

    Stellantis qui se sépare du diesel mais promet une longévité accrue, ça me rappelle ces ex qui te disent qu’ils te veulent du bien après t’avoir quitté.

  100. Cette usine diesel cédée, c’est un peu comme ranger les photos d’un ex dans un carton au grenier. On sait qu’on y replongera peut-être un jour, par nostalgie.

  101. 250 000 km de plus ? Ça dépend surtout de comment on conduit. Un moteur, c’est comme une paire de chaussures, faut en prendre soin. L’usine, c’est secondaire.

  102. Céder une usine et promettre la lune après, ça sent la communication de crise à plein nez. Je me demande surtout quel impact réel ça aura sur le portefeuille des consommateurs.

  103. Je suis méfiant. On nous parle d’un « ancien cadre », pas du PDG. Quelle est sa crédibilité réelle ? Simple rumeur ou info vérifiée ?

  104. Guillaume Bernard

    Moi, le diesel, c’est surtout les souvenirs de vacances en famille, la 405 qui avalait les kilomètres. Si cette cession permet de faire durer ces souvenirs un peu plus longtemps, c’est déjà ça.

  105. Honnêtement, ça sent surtout la fin d’un monde. On essaie de nous vendre du rêve avec des kilomètres en plus, mais moi je vois surtout des emplois qui disparaissent.

  106. Moi, je vois surtout une tentative désespérée de valoriser un actif en déclin. On nous enfume avec des promesses, mais le marché, lui, a déjà choisi.

  107. Tiens, ça me rappelle mon oncle, toujours à bricoler sa vieille Mercedes. Il disait que c’était pas la marque, mais l’entretien qui comptait. Peut-être qu’ils ont trouvé le truc pour qu’on bricole moins, finalement.

  108. 250 000 bornes de plus ? Ça me rappelle le discours de mon garagiste pour me convaincre de faire une vidange « spéciale ». J’y crois moyen, mais si ça peut retarder l’échéance du remplacement…

  109. Stellantis qui fait durer le diesel ? C’est comme essayer de ressusciter le Minitel. J’espère que ça ne se fera pas au détriment du développement des voitures électriques.

  110. Stellantis qui prolonge la vie des diesels, ça sent surtout le pragmatisme à court terme. Ils doivent encore en vendre, non ? Le virage électrique prendra du temps.

  111. 250 000 km de plus, c’est tentant, mais ça ne résoudra pas les restrictions de circulation dans les grandes villes. Le diesel, c’est devenu compliqué.

  112. Cette histoire d’usine cédée, ça me fait penser à une pièce de théâtre. On nous montre un acte, mais le vrai spectacle se joue en coulisses. J’attends de voir la suite.

  113. Sébastien Bernard

    Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’âge de l’ancien de Stellantis. 63 ans, ça veut dire qu’il a connu l’âge d’or du diesel. Son plan, c’est peut-être juste un baroud d’honneur.

  114. Ce « plan » me laisse un goût amer. On parle de prolonger la vie d’un moteur, mais qu’en est-il de la qualité de l’air qu’on respire ? Est-ce qu’on pense vraiment à l’avenir ?

  115. L’usine cédée, le diesel « éternel »… On dirait un peu le syndrome de Stockholm appliqué à l’automobile. On s’attache à ce qui nous pollue.

  116. Alexandre Bernard

    Mouais… Stellantis qui cède une usine tout en promettant la longévité du diesel, ça me fait penser aux promesses qu’on entend avant les élections. On verra bien les résultats.

  117. Moi, ce qui me frappe, c’est le titre. « Cacher une stratégie »… On dirait un complot ! Peut-être qu’ils veulent juste écouler leurs stocks de pièces détachées diesel, non ?

  118. Christophe Bernard

    Moi, le diesel, c’est comme une vieille paire de chaussures confortables. On sait qu’il faut s’en séparer, mais c’est dur de faire le deuil. Cette histoire me donne un peu d’espoir, même si je sais que c’est peut-être illusoire.

  119. Un ancien cadre qui balance, c’est toujours croustillant. J’espère juste que ce n’est pas une opération de com’ pour masquer autre chose.

  120. François Bernard

    Si ça permet de trouver des pièces d’occasion plus longtemps, c’est déjà ça. Marre de jeter des voitures en parfait état juste pour une pièce introuvable.

  121. Grégoire Bernard

    Diesel « éternel » ou pas, ce qui m’inquiète c’est le prix de l’entretien dans quelques années. Qui va encore réparer ces moteurs ?

  122. Céder l’usine, c’est peut-être juste se décharger des emmerdes à venir, non ? Le diesel, c’est bien tant que ça roule, après… bon courage.

  123. 250 000 km de plus ? Ça me rappelle le « on vous promet la lune ». La réalité, c’est que rouler en diesel sera bientôt un parcours du combattant, normes ZFE obligent.

  124. Béatrice Bernard

    Moi, ce qui me chiffonne, c’est qu’on parle de prolonger la vie des moteurs, mais pas celle de la planète. On reporte juste le problème, non ?

  125. Moi, je me demande si cette « stratégie » ne sert pas surtout à justifier des suppressions de postes à long terme. Un prétexte idéal.

  126. Un ancien cadre qui balance, c’est toujours croustillant. Mais 250 000 bornes de plus, ça veut dire quoi concrètement ? Plus de pollution pendant plus longtemps ?

  127. Gabrielle Bernard

    Stellantis qui joue les magiciens avec du vieux diesel, ça me fait penser à mon grand-père qui bricolait sa 404. Un pansement sur une jambe de bois, quoi.

  128. Un ancien cadre qui parle, mouais… J’ai surtout l’impression qu’on essaie de nous rassurer, alors que le train de l’électrique est déjà bien parti.

  129. C’est touchant de voir qu’on pense encore à ceux qui n’ont pas les moyens de passer à l’électrique. Un peu d’espoir pour les petits budgets, finalement.

  130. Tiens, c’est bizarre de voir le diesel revenir sur le devant de la scène. On dirait une vieille habitude qu’on n’arrive pas à quitter.

  131. J’avoue que ça me laisse un goût amer. L’idée de rallonger la sauce avec le diesel, c’est un peu comme rapiécer un vieux pull troué. On finit par le jeter quand même.

  132. Moi, je vois ça comme une bouée lancée à ceux qui habitent à la campagne et n’ont pas encore de bornes de recharge partout. C’est pas la solution idéale, mais ça dépanne.

  133. C’est surtout un aveu d’échec, non ? On n’a pas su (ou voulu) rendre l’électrique vraiment accessible à tous, alors on bricole. Triste constat.

  134. Franchement, ça me fait surtout penser à un divorce compliqué. On se sépare, mais on continue à se croiser. Une séparation à l’amiable, version automobile.

  135. Moi, ce qui me frappe, c’est le côté « secret industriel ». Un ancien cadre qui balance ça, ça sent pas bon pour l’ambiance chez Stellantis. On dirait un règlement de comptes.

  136. Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’impact environnemental réel. On parle d’allonger la durée de vie, mais est-ce qu’on parle aussi de réduire les émissions pendant cette période ?

  137. C’est fou comme on s’accroche à ce qu’on connaît, même quand on sait que c’est fini. Un peu comme garder des vieux vinyles, mais en moins poétique.

  138. Drôle de timing, cette info. Pile au moment où les ZFE se multiplient. On nous encourage à changer de voiture et là, on nous dit qu’on peut faire durer la nôtre ? Paradoxal.

  139. Catherine Bernard

    Tiens, c’est marrant, moi je me dis que c’est surtout une façon de rassurer les acheteurs de diesel d’occasion. Un argument de vente, en somme.

  140. Je suis surtout soulagé. J’ai acheté un diesel il y a deux ans, en pensant faire une bonne affaire, mais j’avais peur de l’avenir. Si ça peut rassurer…

  141. J’ai du mal à croire à un altruisme soudain. Si Stellantis prolonge la vie des diesels, c’est qu’ils ont un intérêt financier caché, sûrement lié aux pièces détachées.

  142. Jacqueline Bernard

    Moi, ce qui me frappe, c’est le timing. Ils auraient pu le dire avant, non ? J’ai l’impression qu’ils réagissent aux critiques, plus qu’ils ne sont proactifs.

  143. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact environnemental à long terme. Plus de kilomètres, c’est plus de pollution, même « optimisée ». On repousse le problème, non ?

  144. Moi, je me demande si c’est pas une façon de justifier le prix des pièces détachées à venir. On nous fait miroiter une longue vie, mais à quel coût ?

  145. Moi, j’ai surtout l’impression qu’on nous parle de « moteurs » mais pas de « voitures ». Le moteur peut durer, mais le reste ? La rouille, l’électronique… C’est ça qui me fait peur, personnellement.

  146. Moi, je me demande si c’est pas surtout pour les marchés émergents où le diesel reste roi. On se débarrasse des usines ici, mais on continue à produire ailleurs.

  147. Perso, je me demande surtout si c’est pas une manière de nous faire accepter la transition vers l’électrique en douceur. Une sorte de pansement sur une jambe de bois, quoi.

  148. Moi, je vois surtout la fin d’une époque. Mon père n’a juré que par le diesel toute sa vie. Ça me fait bizarre de penser que ça va disparaître.

  149. 250 000 km de plus ? Mouais… Ma belle-mère avec sa Punto diesel, elle les a déjà faits deux fois. C’est surtout l’entretien qui compte, je pense.

  150. Stellantis qui se soucie de nos vieux diesels ? Ça me rappelle mon ex qui me disait qu’on resterait amis après la rupture. J’attends de voir les actes, plus que les belles promesses.

  151. Un ancien de chez Stellantis qui parle ? On dirait la recette d’un bon feuilleton. J’espère juste que ça ne se terminera pas en eau de boudin.

  152. Céder une usine pour que les moteurs durent plus longtemps, c’est un peu comme déménager pour mieux jardiner. L’intention est peut-être bonne, mais est-ce que ça va vraiment marcher ?

  153. Franchement, ça sent le coup de com’ pour verdir leur image à peu de frais. J’attends de voir si ça se traduit par des pièces détachées abordables, au moins.

  154. Moi, j’y crois moyen. On nous vend toujours du rêve, mais au final, c’est notre porte-monnaie qui trinque. On verra bien si les réparations seront moins chères.

  155. Si ça permet de trouver des pièces détachées plus facilement pour ma vieille voiture, je suis preneur. J’ai galéré l’année dernière.

  156. L’idée est séduisante, mais qui va payer la facture de cette « longévité accrue » ? Est-ce qu’on va encore nous faire croire que c’est pour notre bien ? J’ai comme un doute.

  157. Cette usine, c’était des emplois locaux. Si Stellantis veut vraiment compenser, qu’ils créent des postes dans la maintenance de ces diesels « longue durée ». Là, on verra une vraie intention.

  158. Sébastien Dubois

    C’est marrant, on dirait qu’ils essaient de nous faire passer la pilule du tout électrique en douceur. Un peu comme un « après-diesel » géré.

  159. J’ai toujours aimé l’odeur du diesel… Si cette stratégie permet de la conserver un peu plus longtemps, tant mieux ! C’est nostalgique, mais je suis conscient des enjeux.

  160. Diesel longue durée ? Ça me rappelle le « garanti 2 ans » qui lâche le lendemain de l’expiration. On verra bien la réalité sur le terrain.

  161. Stellantis qui se soucie de la longévité des moteurs… C’est nouveau. J’espère surtout que ça veut dire moins de pannes intempestives, ça serait déjà un progrès.

  162. Christophe Dubois

    Mouais, ça me fait penser à mon grand-père qui bricolait sa 404 jusqu’à plus soif. Peut-être qu’on revient à une mentalité de réparation plutôt que de remplacement systématique ? Ça changerait.

  163. Un ancien cadre qui parle, c’est toujours intéressant, mais ça sent aussi un peu le règlement de comptes. J’attends de voir les preuves concrètes, pas juste des promesses.

  164. Diesel increvable, c’est un peu comme promettre la jeunesse éternelle, non ? Ça sonne bien, mais je me demande si c’est pas juste un coup de pub avant de tout fermer.

  165. Prolonger la vie des diesels, c’est peut-être surtout repousser l’échéance du recyclage des véhicules. Un peu comme ranger la poussière sous le tapis.

  166. Prolonger la vie des diesels, pourquoi pas ? Mais j’espère que ça ne se fera pas au détriment de la qualité de l’air qu’on respire.

  167. Moi, le diesel, ça me rappelle les vacances en famille, la bagnole chargée à bloc. Si on peut garder ça un peu, sans polluer la planète, je dis banco.

  168. Si Stellantis prolonge la vie des diesels, ça veut dire plus de pièces détachées disponibles plus longtemps. Bonne nouvelle pour ceux qui veulent garder leur voiture !

  169. 250 000 km de plus, c’est bien… mais est-ce que ça inclut les problèmes d’électronique embarquée ? C’est souvent ça qui lâche avant le moteur.

  170. Stellantis qui prolonge la vie des diesels ? J’espère que ça veut dire qu’ils vont enfin s’occuper des problèmes de vanne EGR qu’on a tous subis pendant des années.

  171. Cette histoire de diesel prolongé, ça me fait penser aux vieux films qu’on regarde en boucle. On sait comment ça finit, mais on y revient quand même.

  172. Stellantis et le diesel, c’est une histoire d’amour vache. J’ai l’impression qu’ils essaient de nous faire croire à un happy end alors que le film est déjà fini.

  173. Stellantis qui joue les prolongations avec le diesel, ça sent surtout la gestion de stock géante. Ils doivent avoir des montagnes de pièces à écouler.

  174. Un ancien de Stellantis qui parle, c’est toujours croustillant. Mais est-ce qu’ils pensent vraiment aux clients qui galèrent à revendre leurs diesels aujourd’hui?

  175. Moi, le diesel, je m’en fiche un peu, honnêtement. Ce qui m’intéresse, c’est que Stellantis assure le SAV sur leurs anciens modèles.

  176. Moi, je me demande surtout si c’est pas un aveu de faiblesse sur l’électrique, tout ça. On dirait qu’ils n’y croient pas tant que ça, au fond.

  177. Diesel increvable? Mouais. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact de tout ça sur la qualité de l’air dans nos villes. On respire déjà assez de cochonneries.

  178. 250 000 bornes de plus ? Tant mieux, ça repousse l’échéance de la voiture électrique pour moi. J’ai pas envie de changer tout de suite.

  179. Moi, je me demande si c’est pas juste une question d’image. Faire « durée » le diesel, c’est peut-être une manière de ne pas brusquer les clients fidèles.

  180. Moi, ce qui me frappe, c’est l’âge de la personne qui parle. 63 ans, c’est une autre époque. Est-ce que sa vision du futur correspond vraiment à la nôtre ?

  181. Prolonger la durée de vie des moteurs, c’est bien, mais j’espère que ce ne sera pas au détriment de l’innovation dans les autres domaines de l’automobile.

  182. Si c’est vrai, ça veut dire qu’on va continuer à entendre le bruit du diesel encore longtemps. J’avoue que le silence des voitures électriques me manque déjà.

  183. J’ai toujours pensé que les constructeurs avaient des cartes cachées. Peut-être qu’on se focalise trop sur l’électrique, et qu’il y a d’autres solutions plus durables à explorer.

  184. Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’usine et ses employés. J’espère qu’ils ne sont pas les dindons de cette histoire de « moteurs durables ».

  185. J’ai l’impression qu’on nous sert une histoire pour calmer le jeu face à la transition électrique. Ça sent le coup de com’.

  186. 250 000 km de plus, ça fait rêver quand on voit le prix des voitures neuves ! Mais est-ce qu’on ne risque pas de se retrouver avec des moteurs increvables.

  187. Moi, le diesel increvable, ça ne me convainc pas. J’ai l’impression qu’ils veulent juste retarder l’échéance de l’électrique.

  188. Moi, ce qui me frappe, c’est l’âge de l’ancien de Stellantis. Un gars qui a vu le diesel à son apogée, c’est peut-être lui qui a la vision la plus claire du futur… ou pas.

  189. Et si cette histoire était surtout une question de pièces détachées ? Assurer un stock suffisant pour les diesels existants, ça aurait du sens.

  190. Jacqueline Dubois

    Je me demande si cette « stratégie » ne sert pas surtout à masquer des problèmes de fiabilité actuels. Un aveu déguisé, en somme.

  191. Moi, le diesel, c’est fini pour moi. Trop de contraintes, trop de bruit. 250 000 km de plus, ça ne me fera pas changer d’avis. L’avenir, c’est ailleurs.

  192. La fin du diesel, c’est comme la fin du monde annoncée tous les ans. J’attends de voir les preuves concrètes avant de me réjouir, ou de m’inquiéter.

  193. Stellantis qui joue les prolongations, ça sent le coup marketing pour rassurer ceux qui ont encore un diesel sous le capot. Malin, mais j’attends de voir les détails.

  194. 250 000 km de plus ? Ça veut dire qu’on va continuer à entendre les « clac clac » des diesels pendant encore plus longtemps. J’espère juste que l’air qu’on respire ne va pas trinquer.

  195. Tiens, c’est marrant cette histoire de longévité. Mon voisin, lui, il dit que son diesel, c’est increvable… peut-être qu’il avait raison finalement.

  196. Intéressant… ça me fait penser aux vieux tracteurs de mon grand-père. Increvables, ceux-là ! Peut-être qu’il y a un peu de cette philosophie derrière tout ça.

  197. Un ancien cadre qui parle, c’est toujours vendeur. Mais 250 000 km de plus, c’est surtout bon pour le porte-monnaie de Stellantis à court terme, non ? Je me demande comment ça impactera le prix des réparations.

  198. Céder l’usine pour faire durer les moteurs ? Ça me rappelle les histoires de grand-père qui bricolait sa voiture avec du fil de fer. Un peu rustique comme approche, non ?

  199. Prolonger la vie des moteurs, c’est bien. Mais ne serait-ce pas mieux de se concentrer sur des technologies vraiment propres et durables plutôt que de rafistoler l’existant ?

  200. Céder l’usine, c’est peut-être juste une façon de gérer la transition en douceur. Les gens ont besoin de temps pour changer leurs habitudes.

  201. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le prix des pièces détachées si l’usine ferme. Est-ce qu’on va se retrouver avec des prix exorbitants pour entretenir nos vieux diesels ? C’est ça la vraie question.

  202. Moi, ce qui me frappe, c’est le timing. On se débarrasse des usines mais on prolonge la durée de vie ? Ça pue la fin de stock organisée, non ?

  203. Cette histoire d’usine cédée, ça me fait penser à la nostalgie. On s’accroche à ce qu’on connaît, même si l’avenir est ailleurs. Peut-être qu’ils veulent juste nous laisser le temps de dire au revoir au diesel, en douceur.

  204. Franchement, cette histoire me laisse un goût amer. On nous vend une pseudo-solution écologique, alors que c’est juste repousser le problème.

  205. Moi, j’ai du mal à croire au miracle. 250 000 km de plus, ça sent la promesse marketing avant tout. On verra bien ce que ça donne sur le terrain.

  206. Sébastien Durand

    Moi, le diesel, ça me rappelle les vacances en famille. L’odeur, le bruit… C’est toute une époque. Si on peut la faire durer un peu, tant mieux.

  207. Je suis partagé. D’un côté, tant mieux si nos voitures durent plus longtemps. De l’autre, ça ressemble à un baroud d’honneur du diesel. Un peu triste, finalement.

  208. Moi, je suis surtout curieux de savoir comment ils comptent s’y prendre concrètement. Est-ce qu’il y aura des kits d’entretien spéciaux ? Des préconisations différentes ? J’attends les détails techniques.

  209. Moi, j’y vois surtout une opportunité pour des PME. Si Stellantis se désengage, ça peut laisser de la place pour l’innovation et la réparation locale. L’avenir n’est pas forcément dans le neuf.

  210. Christophe Durand

    La fin du diesel, c’est surtout la fin d’une certaine liberté. J’espère juste qu’ils ne vont pas nous forcer à passer à l’électrique sans alternative abordable.

  211. Céder l’usine, c’est peut-être juste une façon de se décharger de la responsabilité des pannes futures. On verra bien qui paiera la facture des réparations.

  212. Stellantis qui vend une usine et promet une longévité accrue, ça me fait penser à mon grand-père qui bricolait sa 4L. Peut-être qu’ils reviennent à l’essentiel : faire des voitures robustes.

  213. Franchement, je me demande si c’est pas juste un coup de com’ pour rassurer les acheteurs de diesel avant qu’ils ne se retrouvent avec une voiture invendable.

  214. 250 000 km de plus, c’est beau sur le papier, mais j’ai surtout peur de la complexité que ça va ajouter. Plus de pièces, plus de risques de pannes exotiques et hors de prix.

  215. Perso, je me dis que c’est peut-être une bonne nouvelle pour la planète, si on garde nos voitures plus longtemps au lieu d’en produire sans arrêt.

  216. Moi, ce qui me frappe, c’est le timing. Une usine cédée, une promesse de longévité… Ça sent le baroud d’honneur du diesel, non ? Un chant du cygne.

  217. Un ancien de chez Stellantis qui parle, c’est bien. Mais c’est surtout une personne qui n’a plus de comptes à rendre. Est-ce que sa vision correspond encore à la réalité du terrain ? J’ai des doutes.

  218. Moi, ce que je retiens, c’est l’âge de l’ancien de Stellantis. Il a peut-être connu une époque où les voitures étaient vraiment faites pour durer. Un peu de nostalgie, non ?

  219. Moi, le diesel, c’est surtout un souvenir d’odeur désagréable à la pompe. Si ça disparaît, tant mieux, même si ça dure un peu plus longtemps.

  220. Stellantis qui joue les prolongations avec le diesel, ça sent la tentative désespérée de surfer sur une vague qui s’éteint. Je ne crois pas aux miracles.

  221. Si Stellantis pense vraiment à la longévité, pourquoi tant d’obsolescence programmée dans l’électronique embarquée ? C’est ça, le vrai problème.

  222. Moi, ça me fait penser à ces vieux meubles qu’on restaure au lieu d’en acheter des neufs. Si ça peut s’appliquer aux voitures, pourquoi pas ? L’idée de consommer moins, ça me parle.

  223. Franchement, moi je me demande si c’est pas juste pour rassurer ceux qui galèrent à passer à l’électrique. On nous dit que le diesel va mourir, mais est-ce qu’on aide vraiment les gens à changer …

  224. Prolonger la vie des moteurs, c’est bien, mais j’espère surtout qu’on ne va pas se retrouver avec des pièces détachées introuvables d’ici quelques années.

  225. Moi, ça me rappelle l’époque où mon grand-père bichonnait sa Peugeot 504. Il disait toujours : « C’est pas compliqué, faut juste en prendre soin ». Peut-être que le secret est là finalement.

  226. Un ancien cadre qui parle ? Ça sent la rancune et le « c’était mieux avant ». J’attends de voir les preuves, pas des promesses.

  227. Céder une usine pour que les diesels durent plus longtemps ? Ça sent le coup marketing pour calmer le jeu, et éviter un effondrement des ventes de véhicules thermiques d’occasion.

  228. Le diesel qui dure plus longtemps, c’est bien beau, mais ça ne règle pas le problème du prix du carburant à la pompe. Ça reste un budget conséquent.

  229. 250 000 bornes de plus ? C’est comme promettre une retraite dorée quand on a déjà mal au dos. Le mal est fait, l’électrique arrive, je préfère qu’on investisse là-dedans.

  230. Stellantis se sépare d’une usine et on nous parle de longévité ? Ça me fait penser aux promesses qu’on ne tient jamais. J’ai l’impression qu’ils essaient juste de nous embobiner.

  231. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact écologique de cette « longévité ». On ne parle pas de voitures neuves, mais de prolonger la pollution d’anciens modèles.

  232. Moi, je me demande si cette « stratégie » ne va pas surtout profiter aux garagistes… Plus de réparations, plus de chiffre d’affaires.

  233. Moi, je me demande si c’est pas juste une question de simplification industrielle pour se concentrer sur l’électrique et quelques moteurs essence. Le diesel devient un boulet, faut s’en débarrasser intelligemment.

  234. Moi, je suis surtout nostalgique. Le diesel, c’était les vacances en famille, la bagnole chargée à bloc. Voir ça disparaître, ça fait un drôle d’effet.

  235. Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’idée qu’on nous présente ça comme une bonne nouvelle. On dirait qu’on est censé applaudir le prolongement d’une technologie dépassée.

  236. Moi, je trouve ça presque touchant cette tentative de donner une seconde jeunesse au diesel. Un peu comme s’accrocher à un souvenir précieux.

  237. Un moteur diesel qui dure plus longtemps, c’est bien, mais est-ce que le reste de la voiture suivra ? La rouille, l’électronique… c’est ça qui lâche en premier, chez moi.

  238. Prolonger la vie des diesels, c’est un peu comme vouloir réparer un vieux téléphone à clapet. On s’attache, mais est-ce vraiment raisonnable ?

  239. Si c’est pour payer plus cher des réparations sur une technologie obsolète, je passe mon tour. L’électrique arrive, autant investir dedans.

  240. Jacqueline Durand

    Un ancien de Stellantis qui parle ? Mouais, je me méfie toujours des révélations de « l’intérieur ». Ça sent souvent le règlement de comptes ou la tentative de se faire mousser.

  241. Si Stellantis brade son usine, c’est qu’ils doivent avoir une sacrée botte secrète pour que les diesels restent rentables. J’attends de voir le prix des pièces détachées, cela dit.

  242. Et si cette « stratégie » était juste une manière de mieux écouler les stocks de pièces détachées pendant encore quelques années ?

  243. Franchement, ça sent la dernière danse. Ils savent que le diesel est fini et cherchent juste à maximiser les profits avant la fin du bal.

  244. Finalement, le diesel a encore de beaux jours devant lui, au moins pour ceux qui ne peuvent pas (ou ne veulent pas) passer à l’électrique. Une bonne chose pour le pouvoir d’achat.

  245. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact écologique de cette « longévité accrue ». Est-ce qu’on ne va pas juste polluer plus longtemps ?

  246. Moi, ce qui me frappe, c’est l’âge de l’ancien de Stellantis. 63 ans, ça date d’une époque où la voiture, c’était une affaire de mécanique qu’on pouvait comprendre.

  247. Moi, je me demande si on nous prend pas pour des jambons. « Longévité accrue », ça veut dire quoi concrètement ? J’ai surtout l’impression qu’on nous vend du rêve.

  248. Moi, j’y vois surtout une forme de nostalgie. On s’accroche à une époque révolue, au bruit du diesel, à une certaine idée de la robustesse. C’est un peu triste.

  249. Moi, je me dis que si c’est vrai, ça pourrait calmer un peu la panique autour des ZFE. On est pas tous prêts à changer de voiture du jour au lendemain.

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