Elle pensait envoyer son Deadpool/Batman #1 en grading normal… il est revenu Grade 9.8 à 580€, voici comment cette fan a maximisé son timing J0

Recevoir un comic tout neuf est une chose, mais comment s’assurer que sa valeur potentielle ne s’évapore pas avec le temps ? C’est la frustration de nombreux collectionneurs face aux sorties très attendues. La solution réside dans une action rapide : le faire grader professionnellement dès le premier jour, comme l’a fait une fan avec le nouveau Deadpool/Batman #1.

L’intuition d’une collectionneuse qui rapporte gros

Voici Chloé Durand, 32 ans, graphiste à Lyon et collectionneuse avertie. En recevant son exemplaire, elle a tout de suite compris son potentiel. « Je sentais que ce numéro allait être spécial, il fallait agir vite pour ne pas laisser passer l’opportunité », explique-t-elle. Son geste a transformé un achat simple en un investissement notable.

Un processus mené sans attendre

Dès sa sortie en septembre 2025, Chloé a examiné son exemplaire : pas un défaut, des couleurs éclatantes. Sans attendre, elle l’a envoyé à un service de gradation professionnel. Quelques semaines plus tard, le verdict est tombé : une note quasi parfaite de 9.8, scellant officiellement son état exceptionnel.

Comprendre la valeur ajoutée de la gradation

La gradation n’est pas qu’une simple protection. C’est un processus d’authentification et d’évaluation objective de l’état d’un comic, basé sur des critères stricts comme l’alignement, l’état des coins ou l’absence de défauts d’impression. Une note élevée, comme 9.8, garantit un état quasi neuf, ce qui démultiplie sa valeur sur le marché.

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Les retombées concrètes d’une note parfaite

Pour Chloé, l’impact a été immédiat. Le comic, acheté pour quelques euros, a vu sa valeur estimée grimper à 580€ grâce à sa note. Au-delà de l’aspect financier, l’objet est désormais protégé dans un boîtier scellé, préservant sa condition pour des décennies et devenant une pièce maîtresse de sa collection.

Comment maximiser ses chances de succès

Pour ceux qui voudraient suivre cette voie, plusieurs astuces existent. Il est souvent judicieux de cibler les couvertures alternatives (« variant covers »), souvent plus rares et prisées. De plus, un service de pressage professionnel avant la gradation peut corriger des défauts mineurs et augmenter significativement la note finale.

Un phénomène qui dépasse les comics anciens

Cette stratégie montre une évolution majeure. La gradation n’est plus réservée aux trésors vintage des années 60. Le crossover historique entre Marvel et DC, plus de vingt ans après le dernier, crée des « classiques instantanés ». Savoir identifier et protéger ces numéros clés dès leur parution est devenu un enjeu pour les collectionneurs modernes.

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L’impact sur les habitudes des collectionneurs

Cette approche transforme la manière de collectionner. L’achat n’est plus seulement guidé par la lecture, mais aussi par une vision à plus long terme. La manipulation des comics neufs se fait avec une précaution extrême, dans l’espoir de préserver un état parfait pour une future certification, mêlant passion et stratégie d’investissement.

Une nouvelle ère pour les sorties majeures

L’histoire de Chloé illustre parfaitement que le timing est crucial. Pour des événements comme ce crossover ou sa suite attendue en novembre 2025, agir vite peut faire toute la différence. C’est un rappel que les trésors de demain sont peut-être déjà dans les rayons des magasins spécialisés aujourd’hui.

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314 réflexions sur “Elle pensait envoyer son Deadpool/Batman #1 en grading normal… il est revenu Grade 9.8 à 580€, voici comment cette fan a maximisé son timing J0”

  1. Franchement, spéculer sur des comics dès la sortie, ça me dépasse. J’achète pour lire, pas pour revendre plus cher. Tant mieux pour elle si ça marche, mais c’est pas ma passion.

  2. 580€ pour un comic… ça fait cher la lecture ! Je comprends l’attrait du grading, mais ça ressemble un peu à transformer un loisir en investissement boursier, non?

  3. Moi, ce qui me frappe, c’est la pression que ça met. On dirait qu’on n’a plus le droit de simplement apprécier un comic, faut déjà penser à sa « valeur potentielle ». Un peu triste, non ?

  4. Je me demande si le grading immédiat ne gâche pas un peu le plaisir de la découverte. On est déjà dans l’optique de le préserver au lieu de le manipuler, de le lire.

  5. C’est marrant de voir comment une pratique américaine débarque chez nous. Perso, je préfère acheter mes comics en brocante. L’idée de « maximiser son timing J0 » me fait plus sourire qu’autre chose.

  6. Je suis curieux de savoir comment elle a protégé le comic de l’imprimerie au service de grading. C’est le transport le plus risqué, non ?

  7. Le grading si tôt, je trouve ça presque… clinique. On dirait qu’on déshumanise l’objet, qu’on oublie son but premier : raconter une histoire.

  8. Moi, j’avoue que le grading me fait penser à ces reliques sous vide qu’on ne touche jamais. C’est un peu dommage de ne pas profiter de l’objet tel quel, non ?

  9. Je me demande si cette course au « 9.8 » ne tue pas un peu la flamme du collectionneur. On dirait qu’on collectionne des notes, plus des histoires.

  10. Moi, ce qui me chagrine, c’est l’idée de faire ça en « normal ». Si tu vises le 9.8, autant tenter l’express, non ? Le jeu en vaut la chandelle.

  11. Le grading, c’est un peu comme mettre son enfant à l’école préparatoire dès la maternelle. On anticipe le succès, mais on oublie peut-être de profiter de l’instant.

  12. Je suis toujours étonné de voir à quel point les gens sont obsédés par le « neuf ». Un comic abîmé a souvent une histoire plus intéressante à raconter qu’un 9.8.

  13. Je crois que je préférerais acheter ce comic à quelqu’un qui l’a lu et aimé, même avec une petite pliure. L’investissement, c’est avant tout émotionnel.

  14. Le grading J0, c’est un pari risqué. Imagine la déception si le comic revient avec une note moins bonne. Tout ça pour, peut-être, gagner quelques euros… Je préfère le lire, moi.

  15. Le « J0 » me fait penser à ces gens qui achètent une baguette et la congèlent aussitôt. On perd le plaisir immédiat, la fraîcheur. Est-ce que la plus-value en vaut vraiment la chandelle ?

  16. Moi, le J0, ça me rappelle l’époque où on mettait les pièces de monnaie dans des albums en plastique pour qu’elles gardent leur « fraîcheur ». Est-ce qu’on aimait plus l’objet ou sa valeur potentielle ? La question reste ouverte.

  17. 580€ ? C’est le prix d’une belle édition collector qu’on peut lire et relire. Ça me laisse perplexe.

    Je me demande quel est le coût environnemental de ce genre de démarche.

  18. L’obsession du « J0 » me fait penser aux primeurs qui trient leurs fruits avant même qu’ils ne soient mûrs. On rate la meilleure partie.

  19. Moi, ce qui me frappe, c’est l’anonymat. On parle d’une « fan », mais on ne parle pas de sa passion. Juste de son investissement. C’est froid, non ?

  20. Moi, j’ai toujours pensé que le plaisir d’un comic, c’était de le rouler, de le lire sous la couette avec une lampe de poche, de le partager… Un 9.8, c’est juste un objet, pas une histoire vécue.

  21. L’idée de maximiser son timing J0 me fait penser à une mise sous cloche de l’excitation de la découverte. On étouffe le plaisir immédiat pour une potentielle gratification future.

  22. L’article vend du rêve, mais la réalité du marché de la BD est bien plus complexe. Un 9.8 ne garantit pas une plus-value à long terme, surtout sur une collaboration aussi « hype ».

  23. J’avoue, l’idée du grading immédiat me stresse. Et si, en le lisant, j’adorais tellement que je le froisse sans faire exprès ? Ça gâcherait tout.

  24. Je trouve ça fascinant de voir comment un objet culturel comme un comic peut devenir un placement financier. Presque plus un objet de spéculation qu’un objet de lecture.

  25. Je suis perplexe. On dirait qu’on transforme un acte d’amour (lire un comic) en une opération boursière. C’est triste.

    Et puis, Deadpool/Batman… le crossover dont personne n’avait vraiment besoin…

  26. Est-ce que cette course au grading ne tue pas un peu la magie de la collection ? Moi, je préfère chiner des vieux numéros en brocante, avec leur vécu et leur odeur de papier jauni.

  27. Je me demande si cette « fan » a vraiment lu le comic avant de l’envoyer au grading. C’est un peu comme acheter une voiture de sport juste pour la revendre plus cher, sans jamais la conduire.

  28. Moi, ce qui me choque, c’est le prix du grading. 580€ pour un 9.8, ça veut dire que la marge pour un acheteur potentiel est déjà minuscule, non ?

  29. Moi, le grading, ça me fait penser aux Tupperware de ma grand-mère. On conserve, on protège… mais on finit par oublier ce qu’il y a dedans. Le plaisir se perd, non ?

  30. C’est fou comme on s’éloigne de l’essentiel : l’histoire. Un comic, c’est avant tout un récit, pas un lingot d’or potentiel.

    Le J0, ça me rappelle la ruée vers l’or, mais en version papier.

  31. L’urgence de l’envoi, ça me fait penser à ces gens qui achètent un iPhone le jour de la sortie pour le revendre 100€ plus cher. L’art est secondaire.

  32. Moi, le J0, ça me fait penser aux soldes. On se bat pour une « bonne affaire », mais on oublie qu’on achète parfois des trucs dont on n’a pas besoin.

  33. Le « J0 » et le grading… Honnêtement, ça me donne l’impression d’être spectateur d’un concours de celui qui aura la boîte la plus brillante, sans se soucier du cadeau qu’elle contient.

  34. Moi, ce qui m’attriste, c’est que l’excitation semble venir de la note, pas du plaisir de la lecture partagée. On dirait qu’on formate le plaisir.

  35. Moi, j’imagine la pression que ça doit être de manipuler ce comic comme une relique dès sa sortie. Presque plus un objet de lecture, mais une bombe à retardement financière.

  36. Moi, je me demande si l’histoire vaut vraiment le coup d’être autant « protégée ». Un bon récit, on l’use, on le partage, même abîmé.

  37. Je suis partagé. D’un côté, je comprends l’investissement. De l’autre, ça me fait penser à ces animaux empaillés : beaux, certes, mais sans vie.

  38. Le J0, c’est un peu comme acheter un livre rare, le sentir, admirer la couverture… et ne jamais l’ouvrir de peur de l’abîmer. Triste dilemme.

  39. Ce qui me frappe, c’est le niveau de stress que ça implique. Acheter un comic devrait être un plaisir, pas une course contre la montre pour le transformer en placement.

  40. Je me demande si cette course à la note parfaite n’est pas une façon de compenser une certaine angoisse face à la valeur subjective de l’art. Un 9.8, c’est rassurant, c’est quantifiable.

  41. Personnellement, je préfère attendre quelques mois. Le battage médiatique retombe, on trouve des exemplaires moins chers, et on peut lire l’histoire tranquillement sans se soucier de la cote.

  42. Je trouve ça fascinant, ce réflexe de transformer un objet de pop culture en actif financier dès sa sortie. Ça dit quelque chose de notre époque, non ?

  43. Je comprends l’excitation, mais le côté « coup de poker » me dérange un peu. On dirait qu’on achète un ticket de loterie, pas une BD.

  44. Moi, ce qui m’interroge, c’est : est-ce que l’histoire de ce Batman/Deadpool vaut vraiment autant d’efforts ? Un bon scénario, ça n’a pas de prix, même abîmé.

  45. Moi, je me demande si cette dame a vraiment apprécié l’histoire avant de l’envoyer se faire « grader ». L’art, c’est pas juste un numéro.

  46. Le vrai exploit, c’est d’avoir trouvé un service de grading qui accepte un envoi aussi rapide ! J’imagine le stress pour le faire parvenir intact.

  47. Le J0, c’est la date de sortie ? Je suis largué. Ça me donne l’impression que je suis passé à côté d’un truc important dans le monde des comics.

  48. Je suis plus intéressé par le fait qu’elle ait aimé ou non l’histoire. Le grading, c’est du bonus si un jour elle veut s’en séparer.

  49. Franchement, le côté « investissement » me refroidit. J’achète des comics pour les lire et les relire, pas pour spéculer. L’idée qu’il reste emballé me rend triste.

  50. Le grading J0 me fait penser aux enchères de vin primeur. On parie sur la qualité future, sans même avoir goûté. Un peu absurde appliqué à un comic, non ?

  51. Je me demande si la pression de la spéculation ne gâche pas le plaisir de la découverte. Le côté « objet de collection » prend le pas sur le récit, c’est dommage.

  52. J’imagine la joie de cette personne en apprenant la note. C’est un peu comme gagner au loto, non ? Perso, j’aurais peur de l’abîmer après.

  53. Moi, ce qui me frappe, c’est l’espoir fou que les gens placent dans un simple bout de papier. Un 9.8, c’est cool, mais ça ne change rien à l’histoire elle-même.

  54. Moi, je me demande si le scénario de Deadpool/Batman est à la hauteur de tout ce cirque autour de la note. On dirait que le contenu est secondaire.

  55. Je comprends l’excitation, mais je préfère laisser le temps faire son œuvre sur mes comics. Une petite marque d’usure, c’est une preuve que j’ai aimé et relu l’histoire.

  56. 580€ de grading pour un comic ? C’est le prix de plusieurs mois d’abonnement à une librairie spécialisée. Chacun son truc, mais ça me semble disproportionné.

  57. Moi, ce qui m’interroge, c’est la définition du « timing J0 ». Est-ce que ça vaut vraiment le stress de courir après la sortie ? Ça enlève de la spontanéité.

  58. Le J0, ça ressemble à une course contre la montre absurde. Je préfère savourer le comic, quitte à ce qu’il prenne de la patine. L’histoire avant tout !

  59. Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée que l’avenir d’un comic se joue le jour de sa sortie. Comme si sa valeur ne dépendait que de son état initial, pas de l’impact qu’il a sur nous.

  60. Je me demande si cette « fan » n’est pas juste une pro du marketing déguisée. L’histoire du J0 parfait, ça sent le coup monté.

  61. Perso, ce qui me frappe, c’est l’obsession de la perfection. On dirait qu’on achète un coffre-fort, pas une BD. Ça me fait presque de la peine pour le comic.

  62. Le grading ? Ça me rappelle les concours de beauté pour bébés. On juge un potentiel, pas une expérience. Un comic, c’est avant tout une lecture, un voyage.

  63. Moi, ça me fait penser à ces gens qui achètent des bouteilles de vin pour les revendre plus tard. On oublie le plaisir de la dégustation, l’histoire qu’il y a derrière.

  64. Moi, j’ai toujours gardé mes comics de gamin. Ils sont abîmés, cornés, mais ils valent une fortune… en souvenirs. Le reste, c’est du vent.

  65. Honnêtement, je suis jaloux ! J’adorerais avoir un comic comme ça, nickel, mais l’idée de le garder sous scellé me rend triste.

    C’est un peu le paradoxe du collectionneur.

  66. Le J0 parfait ? Plus qu’une BD, on dirait un objet de spéculation. J’espère juste que l’histoire vaut le coup d’être lue, au-delà de sa note.

  67. Le J0 et le grading me laissent froid. Je préfère acheter mes comics d’occasion, avec une histoire déjà vécue, un peu abîmés. Ils ont plus de charme.

  68. Je trouve ça fascinant, cette course au J0. Presque une performance artistique en soi, détachée de l’œuvre. Ça me fait penser aux collectionneurs de timbres, un autre monde.

  69. 580€, c’est le prix d’un bon week-end… ou d’un comic sous plastique. Le choix est vite fait pour moi.

    Le J0, je le comprends, mais ça ressemble tellement à une loterie.

  70. Le J0, c’est un peu comme gagner au loto, mais au lieu d’argent, tu gagnes… un comic parfait. Perso, je préfère le lire sous la couette.

  71. Personnellement, je trouve dommage de réduire un crossover aussi fun que Deadpool/Batman à une simple opportunité d’investissement. L’excitation de la lecture passe au second plan.

  72. Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’idée qu’un comic « tout neuf » ait besoin d’être « sauvé » de la détérioration dès sa sortie. C’est triste, non ?

  73. Moi, ce qui m’intrigue, c’est l’idée que cette fan ait anticipé un tel grade. Elle y croyait vraiment ? Ou c’est juste un coup de chance ? La foi, ça paye, parfois.

  74. C’est fou de penser qu’un comic, objet de plaisir, devienne si vite une denrée boursière. J’espère que la fan l’a au moins feuilleté avant de l’envoyer.

  75. Franchement, ça me déprime un peu de voir un objet culturel réduit à un potentiel profit immédiat. On dirait qu’on a oublié que les comics, c’est avant tout des histoires.

  76. Personnellement, je me demande si cette course au « grade parfait » ne finit pas par dénaturer l’œuvre elle-même. On parle d’un Batman/Deadpool, quand même!

  77. Moi, ce qui me frappe, c’est la confiance absolue dans le système de grading. On dirait qu’une note transforme instantanément un bout de papier en lingot d’or. C’est presque magique, non ?

  78. Je suis partagé. D’un côté, tant mieux pour elle si elle a fait une bonne affaire. De l’autre, ça transforme l’achat d’un comic en investissement spéculatif, et ça, ça me met mal à l’aise.

  79. Je me demande si cette course au grade parfait ne crée pas une pression inutile sur les éditeurs. Doivent-ils maintenant penser à la qualité de la production plus qu’à l’histoire?

  80. Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on glorifie la spéculation. L’article aurait pu insister sur la passion de la collectionneuse pour le comic, pas sur sa valeur marchande potentielle.

  81. Moi, ce qui me fait sourire, c’est l’idée du « timing J0 ». On dirait qu’on parle d’une opération chirurgicale à réussir, pas d’un comic !

  82. J’avoue, le « timing J0 » me parle. J’ai mis des années à ouvrir certains comics de peur de les abîmer. C’est débile, mais l’idée du potentiel gâché me hante.

  83. L’obsession du « J0 » me rappelle ces gens qui achètent des bouteilles de vin qu’ils ne boiront jamais. Drôle de façon de vivre une passion.

  84. Le côté « J0 » me fait surtout penser à une course contre la montre que je n’ai pas envie de courir. Je préfère savourer l’histoire avant de penser à la revente.

  85. Le « J0 » me fait penser à ces chaînes YouTube où on déballe des jouets encore sous blister. Un peu triste, non ? Le plaisir est dans l’objet, pas dans sa valeur intacte.

  86. C’est amusant, cette idée d’envoyer un comic se faire « juger » directement à sa sortie. On dirait un concours de beauté pour papier glacé.

  87. Je trouve ça fascinant que la BD, un art populaire à la base, puisse générer ce genre d’enjeux financiers dès sa sortie. Ça dénature un peu le plaisir de la lecture, non ?

  88. Moi, j’aurais trop peur d’abîmer le comic en l’envoyant me faire ça. Un accident est si vite arrivé… Je préfère le lire tranquillement.

  89. Moi, ce qui me frappe, c’est l’ironie. Batman et Deadpool, symboles de la justice et de l’irrévérence, réduits à un simple placement financier. C’est presque une blague qu’ils auraient écrite eux-mêmes.

  90. Moi, ce qui me chiffonne, c’est que tout le monde semble focalisé sur le pognon. On oublie l’histoire, le plaisir de lire un bon crossover déjanté.

  91. J’ai toujours pensé que le vrai trésor d’un comic, c’était l’usure qu’il accumule avec les relectures. Les coins cornés sont mes madeleines de Proust.

  92. Si ça peut aider des parents à financer les études de leurs enfants, tant mieux. Un comic qui dort dans un coffre, c’est moins grave qu’un enfant qui ne peut pas étudier.

  93. Je me demande si cette course au grading immédiat ne crée pas une pression inutile sur les nouveaux lecteurs. On devrait pouvoir découvrir un comic sans penser à sa valeur marchande.

  94. Moi, ça me fait penser à ces gens qui achètent des bouteilles de vin hors de prix sans jamais les ouvrir. L’art est fait pour être consommé, non ?

  95. ProvincialeHeureuse

    Le J0, ça me rappelle un peu la loterie. On fantasme sur le gain, mais la probabilité est infime. Je préfère profiter du récit.

  96. InstitutricePassionnée

    Je suis content pour elle, mais le « comment maximiser son timing J0 » sonne un peu trop business. L’excitation de découvrir un nouveau comic devrait primer, non ?

  97. Deadpool/Batman gradé… Mouais. Perso, j’aurais peur de l’ouvrir, justement. L’histoire est peut-être géniale, et je passerai à côté.

  98. Le grading J0 ? Ça me rappelle les cartes Pokémon, un truc d’investisseur plus que de lecteur. L’âme du comic, elle est où là-dedans ?

  99. Si elle l’a fait grader et qu’elle est contente, tant mieux pour elle. Perso, je préfère les comics qui ont vécu, avec des marques de lecture. Ils ont une histoire, quoi.

  100. Je suis plus pragmatique : si ça peut aider à financer ma collection en revendant un exemplaire gradé, pourquoi pas ? Je lirai l’autre, et tout le monde est content.

  101. Le J0, c’est devenu un sport de compétition ? J’espère qu’elle a au moins pris le temps de le feuilleter avant de l’envoyer.

  102. Guillaume Bernard

    Moi, ce qui me chiffonne, c’est pas tellement le grading, mais l’idée d’acheter un Batman/Deadpool pour *ça*. On dirait un placement financier déguisé.

  103. Je trouve ça fascinant, cette quête du 9.8. C’est comme transformer un loisir en course à l’échalote. Est-ce que le plaisir de la lecture est toujours là, au final ?

  104. Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’idée que le comic est neuf. Un 9.8 sur un truc qui vient de sortir, c’est un peu comme acheter une voiture et la mettre direct au garage. C’est du gâchis, non ?

  105. L’idée du J0 me fait penser aux primeurs qui vendent des fruits à peine mûrs pour la conservation. On perd le goût pour gagner du temps.

  106. Moi, j’attends surtout l’histoire ! Est-ce que ce Batman/Deadpool vaut vraiment le coup d’être lu, au-delà de sa potentielle valeur ?

  107. Moi, je me demande surtout si la fan a aimé l’histoire avant de penser au grading. Un 9.8, c’est super, mais est-ce qu’elle a vibré en lisant le crossover ? C’est ça, le plus important, non ?

  108. Si le J0 devient la norme, les gamins dans 20 ans ne sauront même plus que les comics peuvent se lire. Ils verront juste des plastiques brillants.

  109. Le J0, c’est quand même un truc de spéculateur. Perso, je préfère les comics qui ont vécu, avec des traces de lecture. Ça raconte une histoire, au-delà de l’histoire dessinée.

  110. C’est marrant cette course au grading. Moi, j’avais un vieux Strange, retrouvé chez ma grand-mère. Il était tout gondolé, mais l’histoire m’a fait rêver.

  111. Alexandre Bernard

    On dirait que le comic est devenu un placement financier avant d’être une œuvre. Triste époque pour les lecteurs passionnés…

  112. Je me demande si le rush pour le J0 ne crée pas une pression inutile sur les revendeurs locaux. Ils doivent gérer l’engouement et les demandes spécifiques, alors que leur passion est souvent ailleurs.

  113. Christophe Bernard

    Mouais, le « timing J0 », ça sonne marketing. L’article oublie de parler du prix du grading, non ? Ça doit bien amputer une partie de la plus-value, quand même.

  114. Je me demande si cette histoire de « timing J0 » ne risque pas de créer des faux espoirs. Tout le monde ne tombera pas sur un 9.8, et la déception pourrait être grande.

  115. Moi, ce qui me frappe, c’est le côté « solution miracle ». Un comic, c’est fragile. Même sorti d’usine, un défaut est vite arrivé. Le J0 ne garantit rien.

  116. François Bernard

    Je trouve ça fascinant qu’un simple numéro puisse susciter autant d’espoir financier. Ça me rappelle les cartes Pokémon, mais avec des super-héros.

  117. Grégoire Bernard

    Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on parle de « fan » alors qu’on dirait surtout un investisseur. La passion, elle est où dans tout ça ?

  118. C’est vrai que ça fait bizarre de penser à un comic comme ça. Moi, je me souviens de l’odeur du papier quand j’étais gamin. Ça, ça n’a pas de prix.

  119. J’avoue être partagé. D’un côté, tant mieux pour cette personne. De l’autre, j’ai l’impression que le plaisir de la lecture est complètement occulté par la spéculation.

  120. Béatrice Bernard

    Le côté « comment gagner de l’argent facile » me dérange un peu. On dirait qu’on oublie que c’est censé être une histoire avant tout.

  121. Perso, je trouve ça triste de voir un objet culturel transformé aussi vite en placement financier. On perd le côté « œuvre ».

  122. Je me demande si cette personne a réellement apprécié l’histoire avant de l’envoyer se faire grader. J’espère qu’elle l’a au moins feuilleté une fois !

  123. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée de la perfection immédiate. Comme si un comic avait une date de péremption, et qu’il fallait le congeler direct. Ça me met une pression folle !

  124. Le « timing J0 » me fait penser à ces concours où il faut être le premier à poster pour gagner. L’art est devenu une course.

  125. Si un comic doit être « parfait » pour valoir quelque chose, est-ce qu’on ne tue pas l’âme de l’objet ? Un petit pli raconte aussi une histoire.

  126. Moi, je suis plus du genre à lire mes comics sous une lampe de chevet, les doigts pleins de chips. L’idée de le faire grader me paraît juste… bizarre.

  127. Je comprends l’attrait financier, mais pour moi, un comic, c’est surtout un voyage. Laisser une histoire prendre la poussière dans une boîte, aussi bien notée soit-elle, c’est dommage.

  128. Je suis partagé. D’un côté, tant mieux pour elle si elle a fait une bonne affaire. De l’autre, j’ai l’impression que le but ultime n’est plus l’histoire, mais le potentiel de revente.

  129. Je vois surtout une énorme loterie. Envoyer un comic tout neuf, c’est un peu comme gratter un ticket : on espère le gros lot, mais souvent… bof.

  130. Moi, ce qui me dérange c’est l’idée que ce soit exceptionnel. On dirait que la norme, c’est de recevoir un comic abîmé. Ça en dit long sur la qualité de la distribution…

  131. Je trouve ça triste que l’excitation première soit déjà de penser à la revente. On dirait qu’on achète moins pour lire que pour spéculer.

  132. Ce qui me fascine, c’est l’idée d’optimiser un plaisir. On dirait qu’on veut transformer la passion en un investissement sûr, un peu froid.

  133. Le « J0 » me fait penser aux vendanges : il faut être rapide pour cueillir le fruit au bon moment, mais c’est la nature (du tirage) qui décide vraiment du résultat.

  134. Je suis curieux de savoir si ce grading a vraiment boosté la valeur de son comic plus que l’inflation naturelle de ce tirage spécifique. C’est peut-être un coup de chance bien marketé.

  135. Le J0, ça me rappelle l’époque où je collectionnais les cartes Pokémon. On voulait tous la carte brillante, mais au final, c’est surtout les souvenirs des échanges entre copains qui comptent.

  136. Un grade 9.8, c’est cool, mais ça veut dire quoi ? Est-ce que ça change ma lecture ? Je préfère un comic avec une histoire que j’aime, même un peu usé.

  137. Deadpool/Batman, c’est fun ! Mais le grading, ça me fait penser à ces concours de beauté canins où on oublie que le chien est avant tout un compagnon.

  138. Je me demande si elle a comparé le coût du grading au gain potentiel. 580€, c’est peut-être plus de valeur sentimentale qu’autre chose.

  139. Moi, j’avoue, ça me dépasse un peu. Un comic c’est fait pour être lu, pas enfermé dans du plastique. L’histoire est bonne au moins ?

  140. C’est vrai qu’on dirait une course à l’échalote. Moi, je collectionne pour le plaisir de relire mes histoires préférées, pas pour spéculer. Si ça prend de la valeur, tant mieux, sinon… bof!

  141. Le J0, c’est le nouveau Black Friday des geeks ? Je suis un peu perdu. Si je veux lire une bonne histoire de Batman, je vais à la bibliothèque.

  142. J’imagine le stress de la fan à l’ouverture du colis ! Moi, je serais incapable d’attendre le résultat du grading avant de dévorer l’histoire.

  143. C’est fou comme l’excitation de la nouveauté se transforme en angoisse de la dégradation. J’avoue, j’ouvrirais le comic avec des gants, presque en apnée !

  144. Mouais, autant j’adore l’idée d’un crossover déjanté, autant cette histoire de « timing J0 » me fait l’effet d’une piqûre de moustique en plein été. Ça gâche un peu le plaisir.

  145. Moi, je me demande ce que cette fan va faire de son comic gradé. L’exposer ? Le revendre ? J’espère qu’elle aura au moins pris le temps de le lire avant !

  146. Je ne comprends pas trop cette manie du « J0 ». Pour moi, un comic, ça se lit et ça se partage. Un 9.8, c’est juste un objet qu’on ne touche plus, non ?

  147. Je me demande si l’auteur a pensé à l’impact environnemental de tout ça. Un comic sous plastique pour l’éternité, c’est pas très écolo, non ?

  148. Pour moi, c’est surtout une histoire de spéculation, plus qu’une passion pour le comic en lui-même. Dommage.

    Le « timing J0 » me rappelle un peu la bourse.

  149. Drôle de course à la perfection. Moi, j’aurais peur d’abîmer le comic en l’envoyant se faire « grader ». Ironique, non ?

  150. L’idée de « maximiser le timing J0 » sonne terriblement business. On dirait qu’on oublie le plaisir de la lecture au profit d’un investissement. C’est triste, un peu.

  151. Je suis un peu perplexe. Batman et Deadpool, c’est déjà un mélange improbable. Alors, en plus, le transformer en placement financier… Bizarre, non ?

  152. Je me demande si le plaisir de posséder un comic ne réside pas justement dans sa patine, dans les marques de lecture. Un 9.8, c’est beau, mais un peu froid, non ?

  153. Sébastien Dubois

    C’est marrant, j’ai acheté le même. Je l’ai lu direct, et il traîne sur ma table de nuit, avec une tache de café. Il a de la valeur pour moi.

  154. Ce qui m’interpelle, c’est qu’on parle de « fan ». Est-ce que la passion se mesure à la valeur marchande ? Je me pose la question.

  155. Le « J0 », ça me fait penser aux soldes. On se rue sur un truc, pas forcément parce qu’on en a besoin, mais parce qu’on a peur de rater une « bonne affaire ».

  156. Moi, ce qui me frappe, c’est la confiance qu’il faut avoir pour envoyer un truc neuf se faire évaluer. On est jamais sûr du résultat! Risqué comme pari.

  157. Christophe Dubois

    Je suis un peu jaloux, je dois l’avouer. Pas tant de la valeur du comic, mais de la prévoyance de cette personne. J’ai toujours mes comics qui s’abîment dans une boîte.

  158. Moi, j’aurais trop peur qu’il se perde à la Poste, ou qu’il arrive abîmé au labo de grading. Tout ça pour une note… Non, merci. Je préfère le lire et le ranger précieusement.

  159. Moi, j’imagine le stress de vivre avec un comic à ne surtout pas abîmer en attendant le grading. Perso, je préfère profiter de mes BDs sans cette pression.

  160. Je me demande si cette course au « J0 » ne transforme pas les comics en actions boursières. On en oublie le plaisir de la lecture, non?

  161. 580€, quand même… Ça paie quelques belles éditions originales d’auteurs moins mainstream. Chacun son trip, hein.

    Le J0, c’est un peu comme acheter une baguette de pain et la mettre sous vide.

  162. Le côté spéculation me laisse froid. Je préfère la patine du temps sur un objet qu’on a aimé, qu’un truc figé dans du plastique. C’est un peu triste, non ?

  163. Deadpool/Batman gradé 9.8… Ça me rappelle ces reportages sur les mecs qui achètent des bouteilles de vin qu’ils ne boiront jamais. L’objet devient plus important que l’expérience.

  164. C’est fou comme un objet culturel peut devenir un placement financier. Ça me fait penser à ces tableaux qu’on admire sans jamais vraiment les regarder.

  165. L’investissement, pourquoi pas, mais le #1 est-il vraiment bon ? Si l’histoire est nulle, la note ne compensera pas ma déception.

    Le grade 9.8, c’est bien, mais est-ce qu’elle a *aimé* le comic ? C’est ça la vraie question.

  166. Grading J0… C’est un truc d’Américains, non ? En France, on aime bien corner un peu nos BDs en les lisant. Ça a un charme, je trouve.

  167. Franchement, le J0, ça me fait penser à ces gens qui plastifient les meubles de leur salon pour qu’ils restent « neufs ». On vit dans un musée ou quoi ?

  168. Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’idée qu’un simple numéro puisse valoir autant si vite. Ça déconnecte complètement l’œuvre de son créateur, non ? On dirait presque une loterie.

  169. Le « J0 » me fait l’effet d’un rituel étrange. J’imagine la personne ouvrir fébrilement le paquet, juste pour le refermer aussitôt. Quel drôle de rapport à la collection.

  170. Moi, j’avoue que ça me donne presque envie de le faire. Juste une fois, pour voir ce que ça fait de miser sur un coup de dés pareil.

  171. Je comprends la démarche, mais à 580€ le comic gradé, ça fait cher le plaisir de lire une aventure de Batman et Deadpool. On est plus dans l’investissement que dans la passion, non ?

  172. Moi, j’avoue que le « J0 » me laisse perplexe. J’aurais trop peur d’abîmer le comic en le manipulant pour l’envoyer. L’ironie serait cruelle.

  173. Cette course à la perfection me fatigue d’avance. Je préfère largement trouver un vieux numéro dans un carton et imaginer son histoire.

  174. J’espère qu’elle a pris le temps de le lire avant de l’envoyer. Ce serait dommage de louper une bonne histoire pour juste gagner de l’argent.

  175. Je me demande si cette pratique ne crée pas une bulle spéculative. Qu’arrivera-t-il si tout le monde envoie son comic au grading J0 ?

  176. Je me demande si toute cette histoire de « J0 » ne finit pas par dénaturer complètement le plaisir simple de la lecture. On dirait qu’on achète un ticket de loto, pas un comic.

  177. Pour moi, c’est surtout l’idée de la pression que ça rajoute sur les dessinateurs et scénaristes. S’ils savent que chaque imperfection potentielle sera scrutée à la loupe.

  178. Je trouve ça fascinant qu’un objet de divertissement devienne une valeur refuge, presque comme un lingot d’or version geek. Le marché de l’art est en train de contaminer la BD.

  179. Moi, j’y vois surtout une manière d’assurer un héritage, un truc à transmettre à ses enfants, peut-être ? Pas forcément pour l’argent, mais pour le symbole.

  180. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée que cette fan ait anticipé un tel score. Un pari risqué, mais apparemment gagnant. C’est presque de la divination appliquée à la BD !

  181. Moi, j’imagine surtout la galère pour emballer ça sans l’abîmer avant même de l’avoir feuilleté. Toute une opération commando pour préserver… du papier.

  182. Moi, je me demande surtout si elle a aimé l’histoire. Tout ce cirque autour du grading, ça occulte l’essentiel : est-ce que le comic est bon ?

  183. Moi, ça me rappelle l’époque des cartes Pokémon. On passait plus de temps à évaluer leur état qu’à jouer avec. Triste ironie.

  184. Je me demande si cette course au grading ne crée pas une bulle spéculative. Le jour où l’intérêt s’essouffle, la chute risque d’être brutale.

  185. Je comprends le côté « investissement », mais personnellement, j’achète des comics pour les lire, pas pour les mettre sous plastique. Le plaisir de la lecture avant tout !

  186. Je me demande si le graded est pas juste une excuse pour justifier l’achat compulsif de plusieurs exemplaires. « Au cas où »…

  187. C’est marrant, ça me fait penser aux gens qui achètent des bouteilles de vin chères et les gardent en cave sans jamais les boire. Dommage de ne pas profiter de l’objet.

  188. Je suis un peu jaloux, pas du prix, mais de la patience qu’il faut pour ne pas dévorer un comic qu’on attend! Chapeau pour la discipline.

  189. Le grading, c’est devenu le nouveau loto. On achète un ticket en espérant toucher le jackpot, mais au fond, on oublie le plaisir du jeu.

  190. Jacqueline Dubois

    Perso, j’avoue que je préfère le côté « objet culturel » du comic. Le toucher du papier, l’odeur… Le grading, ça me semble froid et impersonnel.

  191. C’est marrant cette obsession du « J0 ». Moi, j’ai l’impression que ça enlève toute la magie de la découverte du comic. On dirait presque qu’on achète un produit financier, pas une histoire.

  192. Je trouve ça fascinant cette capacité à transformer une passion en un processus si optimisé. Presque scientifique. Ça me rappelle les collectionneurs de timbres d’antan, mais avec une accélération folle due à internet.

  193. Moi, ce qui me frappe, c’est l’écart entre le prix du comic et le coût du grading. Est-ce que le jeu en vaut vraiment la chandelle pour tout le monde ?

  194. Moi, je me demande si les auteurs et dessinateurs sont contents de voir leur travail transformé en simple produit d’investissement. C’est un peu triste pour la création artistique, non?

  195. Moi, ce qui m’interpelle, c’est qu’on parle d’une fan. Est-ce que cette pratique est vraiment représentative des lecteurs ou est-ce qu’on est dans un micro-marché spéculatif ?

  196. Moi, ça me fait sourire. J’imagine bien la tension de la fan en déballant le comic, presque plus peur de l’abîmer qu’envie de le lire ! Une drôle de façon de vivre sa passion, mais après tout, chacun son truc.

  197. Moi, ce qui me dérange, c’est l’idée que la valeur d’un comic réside uniquement dans son état neuf. Un comic abîmé, c’est souvent un comic aimé, lu et relu. C’est ça, la vraie valeur, non ?

  198. Moi, ce qui me trouble, c’est cette pression. On dirait qu’on doit immédiatement penser à revendre au lieu de juste… apprécier l’histoire.

  199. Moi, ce qui me laisse perplexe, c’est l’idée de devoir « maximiser » un achat plaisir. On dirait qu’on ne peut plus juste aimer un comic, il faut rentabiliser chaque seconde. C’est épuisant, non ?

  200. Moi, je trouve ça bien que les gens s’intéressent à leur collection. Le grading, c’est un peu comme faire expertiser une vieille montre de famille, ça peut être une bonne surprise.

  201. Moi, je trouve que l’article oublie un truc essentiel : le plaisir de lire. Grader un comic Day One, c’est comme acheter un livre pour l’exposer sans jamais l’ouvrir. Un peu dommage, non?

  202. Personnellement, je trouve le concept de « timing J0 » un peu ridicule. On dirait qu’on a transformé la passion en course contre la montre.

  203. En tant que collectionneur depuis des années, je trouve ça fascinant. Le grading J0, c’est un peu la quête du Graal pour certains. Je suis curieux de voir si cette pratique va se démocratiser ou rester un truc de niche.

  204. Je comprends l’idée, mais perso, ça me stresse trop. J’aurais peur de l’envoyer et qu’il se perde. L’investissement devient angoisse.

  205. L’idée du J0, c’est un peu comme acheter une œuvre d’art qu’on emballe direct après l’achat. On perd le contact avec l’objet, non ?

  206. 580€ de grading pour un comic… C’est le prix de plusieurs BD d’auteurs que j’adore. Priorités, priorités.

    L’obsession de la spéculation gâche un peu le plaisir de la lecture.

  207. Je suis plus intéressé par le récit que par l’investissement. Un 9.8 c’est cool, mais je préfère une bonne relecture un dimanche après-midi.

    Cette histoire me fait penser aux gens qui achètent des baskets hors de prix pour ne jamais les porter.

  208. Je suis partagé. D’un côté, je comprends l’excitation de la valeur qui grimpe. De l’autre, je me dis que ce Deadpool/Batman, il aurait pu finir entre les mains d’un gamin qui aurait découvert sa passion pour les comics.

  209. Christophe Durand

    Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’idée de « maximiser le timing ». On dirait qu’on parle d’une action en bourse, pas d’un Batman. C’est froid comme approche.

  210. Le « J0 » me fait sourire. On dirait qu’on a inventé un nouveau sport. Mais bon, chacun son truc, tant que ça les amuse. Moi, je préfère les comics avec des traces de doigts, ça leur donne une âme.

  211. Le grading, je vois ça comme une assurance contre moi-même et mes enfants. C’est plus facile de le préserver quand il est déjà scellé.

  212. Je me demande si la « fan » en question a vraiment lu le comic avant de l’envoyer se faire évaluer. L’histoire comptait plus que le score, non ?

  213. Moi, je me demande ce que Stan Lee penserait de tout ça. Un comic, c’est fait pour être lu, non ? Pas enfermé dans du plastique.

  214. C’est fou, cette course au « J0 ». On dirait qu’on a oublié le plaisir de la découverte, l’excitation de lire un nouveau comic.

  215. 580€ de grading pour un crossover ? C’est le prix de deux beaux albums cartonnés ! Je préfère largement cette option.

    Le « J0 » et le grading, ça ressemble surtout à une façon de spéculer sur le dos de Batman et Deadpool.

  216. 580 balles pour le faire noter ? On dirait un placement financier plus qu’une passion. Moi, ce crossover, je l’attends pour le lire avec mon fils. Le reste, c’est du bonus.

  217. Le grading, c’est un peu comme mettre son comic sous cloche au lieu de le partager avec des amis. Ça le protège, ok, mais on perd le côté convivial.

  218. Moi, ce qui me chagrine, c’est que cet article parle plus de spéculation que de passion. On dirait qu’on oublie l’amour du personnage et de l’histoire au profit d’un simple investissement.

  219. Le J0, le grading… ça me rappelle l’époque des cartes Pokémon. Tout le monde cherchait la carte rare, oubliant le jeu lui-même. Un peu triste, non ?

  220. Le « J0 », ça me stresse ! Je préfère attendre les soldes et le lire tranquillement, sans pression. Si il est bon, il est bon, la valeur, je m’en fiche.

  221. Je comprends l’idée, mais pour moi, la magie d’un comic, c’est son odeur de papier et les traces de doigts qu’on y laisse. Un 9.8, c’est froid et impersonnel.

  222. Je suis contente pour elle, mais perso, le stress du J0 et du grading, ça me gâcherait le plaisir de la lecture. Autant attendre une réédition plus tard et profiter de l’histoire.

  223. Le « J0 » et le grading, c’est pas pour moi. J’aime bien abîmer mes comics, les lire dans le train, les cornés. Ça fait partie de l’expérience.

  224. L’article est fascinant, mais je me demande si cette course au grade parfait ne crée pas une pression malsaine. On en oublie presque que c’est avant tout une histoire à lire.

  225. Ça me fait penser aux antiquaires qui cherchent le meuble « dans son jus ». Le comic, c’est pareil, il prend de la valeur avec ses défauts, ses lectures répétées. C’est ça, sa vraie histoire.

  226. Je me demande si l’excitation du J0 ne vient pas de la peur de manquer quelque chose, plus que d’un réel intérêt pour le comic. Un peu comme les soldes.

  227. C’est fou comme le plaisir de collectionner se transforme en course contre la montre ! J’ai l’impression qu’on est plus obsédé par l’état du comic que par son contenu.

  228. 580€ ? C’est le prix d’un bon resto ça ! Moi, le seul « grading » qui m’intéresse, c’est de savoir si l’histoire est à mon goût.

    Le plaisir immédiat vaut plus que l’attente d’un hypothétique gain.

  229. Moi, j’avoue, je garde mes comics pour les relire plus tard. L’idée de les enfermer et de spéculer dessus, ça me dépasse un peu. C’est comme mettre un vinyle sous scellé.

  230. Je me demande si cette méthode ne dénature pas complètement l’objet. Un comic, c’est fait pour être touché, lu, partagé. Le transformer en placement, c’est triste.

  231. Le timing J0 ? On dirait une opération commando pour un produit de grande consommation. Ça me rappelle les collectionneurs de timbres hyper spécialisés.

  232. Moi, ce qui me frappe, c’est la confiance absolue dans la valeur future. Et si dans dix ans, plus personne ne s’intéresse à Deadpool/Batman ? Le risque est quand même bien présent.

  233. J’avoue être un peu perdu. On dirait qu’un comic est devenu un produit financier complexe. Moi, je cherche juste une bonne histoire à lire le soir.

  234. Le « J0 » me fait penser à un accouchement… on se concentre sur la mise au monde parfaite, mais on oublie le bébé. L’histoire, elle raconte quoi, au juste?

  235. Je comprends l’investissement, mais je suis plus nostalgique. Le prix d’un voyage dans le temps, ça n’a pas de prix. Retrouver l’odeur du papier, les couleurs… c’est ça la vraie valeur.

  236. L’idée du « J0 » me fait rire. On dirait qu’on parle d’un lancement spatial, pas d’une BD.

    C’est marrant cette obsession du grade. Moi, j’ai juste envie d’une couverture cool à montrer sur mon étagère.

  237. Je me demande si cette course au « J0 » ne crée pas une pression inutile. On a presque l’impression qu’il faut être un expert en logistique pour profiter d’une BD.

  238. C’est vrai que 580€, ça paie pas mal de comics à lire. Personnellement, je préfère collectionner les souvenirs qu’ils me procurent.

  239. Je suis content pour elle, mais ça ressemble plus à un coup de chance qu’à une stratégie infaillible. Le marché du comic est tellement imprévisible.

  240. Je trouve ça fascinant, ce rush pour le grading immédiat. Ça révèle une certaine angoisse de ne pas « optimiser » sa passion. Perso, je préfère savourer l’objet avant de penser à sa revente.

  241. Moi, j’y vois une forme d’art contemporain : l’art de la spéculation. La BD devient un support, pas un but. C’est intrigant, même si ce n’est pas ma tasse de thé.

  242. Jacqueline Durand

    Ce qui me dérange, c’est l’idée qu’on ne puisse plus juste aimer une BD pour elle-même. On dirait qu’il faut toujours penser à la revendre.

  243. Moi, ce qui me frappe, c’est le côté solitaire de cette démarche. Lire, c’est souvent un acte social, un partage. Là, on dirait qu’il n’y a que le profit qui compte.

  244. C’est un peu triste, non? Transformer une œuvre créative en un simple actif financier. J’imagine la pression de ne pas abîmer la couverture en lisant…

  245. Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on oublie le travail des auteurs et des dessinateurs derrière tout ça. Leur créativité est réduite à un potentiel financier. C’est dommage.

  246. Moi, je me demande si le grading sert vraiment la conservation des comics sur le long terme, ou si c’est juste un emballage marketing.

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