« Ils flashent même quand le téléphone est éteint dans ma poche… » : à 35 ans, ce commercial découvre la détection automatisée impitoyable

Se sentir piégé par un système de contrôle routier de plus en plus invisible est une frustration grandissante pour de nombreux conducteurs. Recevoir une amende sans même avoir aperçu le moindre appareil est déconcertant. La raison est simple : la détection automatisée a évolué, rendant les anciennes astuces totalement obsolètes et la surveillance bien plus efficace.

La surprise d’une verbalisation invisible

Matthieu Dubois, 35 ans, est commercial à Lyon et passe ses journées sur la route. « Je ne comprends pas. J’ai reçu une amende sur un trajet habituel. Ils flashent même quand le téléphone est éteint dans ma poche… C’est à n’y rien comprendre, on se sent impuissant. »

Un sentiment d’injustice face à la technologie

Habitué à son trajet quotidien, Matthieu pensait maîtriser sa vitesse et sa conduite. La réception d’un avis de contravention l’a totalement surpris. Cette sanction inexpliquée a généré un stress financier et une perte de confiance, le poussant à chercher comment un tel contrôle a pu avoir lieu sans qu’il ne s’en aperçoive.

Le fonctionnement des nouveaux systèmes de contrôle

Ces nouveaux dispositifs n’utilisent plus un seul point de mesure. Ils analysent le comportement du véhicule sur plusieurs centaines de mètres grâce à des capteurs interconnectés. Ils peuvent évaluer la vitesse moyenne, les distances de sécurité ou même une conduite anormale, sans flash visible ni signalement préalable.

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Évoque également les nouvelles règles routières et leurs conséquences pour les conducteurs

Quels sont les impacts directs pour les conducteurs ?

Sur le plan pratique, cela impose une vigilance de tous les instants. Économiquement, le risque de sanctions financières augmente considérablement. Si l’objectif affiché est la sécurité, la méthode est perçue par beaucoup comme une surveillance généralisée et déshumanisée.

Type d’infraction automatisée Méthode de détection Sanction possible
Excès de vitesse Calcul de vitesse moyenne entre deux points Amende et retrait de points
Non-respect des distances Analyse vidéo et capteurs lasers Amende et retrait de points
Franchissement de ligne Lecture automatisée des marquages au sol Amende et retrait de points

Comment s’adapter à cette nouvelle réalité ?

Au-delà de la vitesse, ces technologies peuvent verbaliser d’autres manquements au code de la route. Pour s’en prémunir, l’unique solution reste l’adoption d’une conduite irréprochable et l’utilisation systématique des aides électroniques.

  • Utiliser le régulateur de vitesse, y compris en ville.
  • Vérifier régulièrement la signalisation, qui peut changer.
  • Maintenir une distance de sécurité constante avec le véhicule précédent.

Une surveillance qui dépasse la simple sécurité routière

Cette évolution s’inscrit dans la tendance des « villes intelligentes » où la donnée est reine. La collecte d’informations sur les flux de circulation soulève des questions légitimes sur la protection de la vie privée et l’utilisation de ces données au-delà du cadre routier.

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Traite aussi des problématiques liées aux amendes routières et à leur impact sur les conducteurs

L’impact sur notre rapport à la conduite

Le déploiement de cette surveillance automatisée modifie en profondeur le rapport à la route. Il ne s’agit plus seulement de faire attention aux zones de contrôle connues, mais d’intégrer une contrainte permanente qui peut transformer le plaisir de conduire en une source d’anxiété.

Vers une conduite entièrement régulée ?

La technologie de contrôle a pris une avance considérable sur les habitudes des automobilistes. S’adapter n’est plus une option mais une nécessité pour éviter les mauvaises surprises. Demain, la route sera probablement un espace où chaque comportement sera analysé par des algorithmes en temps réel.

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269 réflexions sur “« Ils flashent même quand le téléphone est éteint dans ma poche… » : à 35 ans, ce commercial découvre la détection automatisée impitoyable”

  1. Ça me fait peur. On dirait qu’on est surveillés en permanence, même quand on pense être tranquilles. C’est flippant cette impression de ne plus avoir le contrôle.

  2. Moi, ça me fait surtout penser qu’il faut vraiment s’adapter. Le monde change, la technologie avance, et on doit suivre le rythme si on veut éviter les mauvaises surprises.

  3. Ça me rappelle cette fois où j’ai reçu une amende pour excès de vitesse… dans une zone de travaux signalée… après les travaux. J’ai vraiment eu l’impression d’être pris pour un pigeon.

  4. C’est fou comme on se sent impuissant face à ça. On a l’impression que la machine a toujours raison, même quand on est sûr d’être dans son droit. La galère pour contester…

  5. Franchement, ça me gonfle cette victimisation. On connaît les règles, non ? Si on les respectait, on n’aurait pas ce genre de problème.

  6. Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on finisse par conduire la peur au ventre, plus par respect des règles. La route devrait être un plaisir, pas une source d’angoisse.

  7. Je me demande si toute cette technologie ne crée pas plus de stress qu’elle n’empêche d’accidents. On est tellement focalisés sur le « pas dépasser » qu’on en oublie parfois le reste.

  8. Je me demande si on n’oublie pas un peu le facteur humain derrière le volant. La route, c’est aussi de l’adaptation et de l’attention, pas juste du respect aveugle des chiffres.

  9. Moi, ce qui me dérange, c’est l’impossibilité de contester. Comment prouver que le téléphone était éteint ? On est présumé coupable.

  10. Ils pourraient au moins nous informer clairement des nouvelles techniques de contrôle. On a l’impression de jouer à un jeu dont on ne connaît pas les règles.

  11. Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on adapte notre conduite à la machine, pas à la route. On finit par oublier de regarder autour de nous.

  12. Moi, ce qui me frappe, c’est que la technologie est censée nous aider, pas nous angoisser. On dirait que c’est l’inverse qui se produit.

  13. C’est vrai que le « progrès » a parfois un goût amer. J’ai l’impression qu’on essaie surtout de nous faire rentrer dans le rang.

  14. Ce qui me dérange le plus, c’est le sentiment d’être constamment surveillé. Où s’arrête le besoin de sécurité et où commence l’intrusion ?

  15. Je me demande si tout cet argent récolté est vraiment réinvesti dans l’entretien des routes, ou si c’est juste un gros coup de pub pour la sécurité routière.

  16. Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on risque de se concentrer tellement sur la technologie qu’on oublie le bon sens et l’attention au volant. La machine ne remplacera jamais l’humain.

  17. C’est un peu effrayant, cette idée qu’on puisse être « pris » sans même s’en rendre compte. Ça donne l’impression qu’on n’a plus le droit à l’erreur.

  18. C’est pas faux. On nous dit que c’est pour notre bien, mais j’ai l’impression que c’est surtout pour le bien des caisses de l’État.

  19. Franchement, ça me fait penser à ces pubs où on te vend un truc miraculeux, mais à la fin, tu payes l’abonnement. La sécurité, ça coûte cher, et c’est nous qui trinquons.

  20. Je me demande si ce commercial n’était pas juste un peu trop souvent au téléphone au volant, avant. L’invisibilité des radars change la donne, c’est sûr, mais ça responsabilise.

  21. La technologie est implacable, c’est vrai. Mais peut-être que si on avait des infrastructures routières moins saturées, on aurait moins besoin de ce genre de mesures…

  22. Perso, je suis surtout curieux de savoir quel type de détection est utilisé. Ça ouvre des questions sur la vie privée et la collecte de données, non ?

  23. Moi, ce qui m’inquiète, c’est que ça décourage les gens de prendre la route. Le commerce, le tourisme, tout le monde en pâtit à la fin.

  24. Moi, je suis surtout triste pour ce commercial. Son boulot, c’est d’être sur la route. Comment il fait, maintenant, pour joindre les deux bouts ?

  25. C’est toujours la même histoire : l’État trouve de nouvelles façons de nous faire payer. On nous parle de sécurité, mais c’est le budget qui doit être content.

  26. Je trouve ça ironique. On nous vend des voitures bardées de technologie, et cette même technologie se retourne contre nous en nous traquant.

  27. Je me demande si le problème n’est pas qu’on a trop délégué notre attention à la technologie. On conduit, mais on ne fait plus attention à la route.

  28. On se croirait dans un épisode de Black Mirror. C’est flippant cette impression d’être constamment surveillé.

    Je suis partagé. La sécurité routière est importante, mais cette surveillance de masse.

  29. Moi, ça me fait juste penser que je dois vraiment faire gaffe à mes points. Bientôt, on pourra plus conduire.

    C’est peut-être un mal pour un bien, qui sait ? On se plaint des accidents.

  30. C’est vrai que ça fout les jetons. Mais au fond, si on respecte les règles, on a rien à craindre, non ? Faut peut-être juste accepter qu’on est plus en 1980.

  31. Je me demande si l’efficacité accrue ne va pas finir par déresponsabiliser complètement les conducteurs. On va se reposer encore plus sur la technologie, jusqu’à l’accident.

  32. En tant que parent, ce qui me gêne le plus, c’est l’idée que je pourrais perdre mon permis et ne plus pouvoir emmener mes enfants à l’école ou au sport. C’est ça, ma vraie angoisse.

  33. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les petits trajets du quotidien. On va finir par hésiter à prendre la voiture pour aller chercher le pain, par peur de l’amende surprise.

  34. Cet article me fait penser à la perte de liberté individuelle. On nous infantilise de plus en plus, comme si on était incapables de se responsabiliser seuls.

  35. C’est vrai que ça peut faire peur, mais perso, je trouve ça bien que ça évolue. On est tellement habitués à bidouiller pour contourner, c’est peut-être ça le problème.

  36. Ce qui me frappe, c’est le côté anxiogène de cette « impitoyabilité ». On a l’impression d’être constamment sous surveillance, même sans intention de mal faire.

  37. Franchement, ça me rappelle un peu Black Mirror, cette histoire. On est filmé en permanence, et on s’habitue… C’est ça le plus flippant.

    Perso, je me demande surtout si ces systèmes sont infaillibles.

  38. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de « détection impitoyable », mais on oublie souvent les victimes de la route. C’est pour eux aussi que ces systèmes existent.

  39. C’est vrai que c’est flippant, mais en même temps, je me dis que si on respecte les règles, on n’a rien à craindre. Peut-être qu’on se focalise trop sur la punition et pas assez sur la prévention…

  40. Moi, je me demande si ce commercial roulait vraiment si prudemment que ça, même avec son téléphone éteint… On a vite fait d’oublier les limitations, non ?

  41. Moi, je me demande si toute cette technologie ne nous déresponsabilise pas finalement. On compte sur les machines au lieu de notre propre vigilance.

  42. Je trouve ça ironique qu’on se plaigne de la détection automatisée alors qu’on adore Waze qui utilise les mêmes données pour éviter les bouchons.

  43. Je me demande si cette « impitoyabilité » ne va pas finir par créer un stress tel chez les conducteurs qu’elle deviendra contre-productive pour la sécurité.

  44. Est-ce qu’on ne risque pas de créer une société de la peur, où on a plus peur de l’amende que de l’accident ? Un peu paradoxal, non ?

  45. Je suis un peu perplexe. Si le téléphone éteint est vraiment la cause du flash, il y a un sacré problème de fiabilité des capteurs. On est en droit d’attendre une précision irréprochable.

  46. C’est surtout l’idée d’être constamment surveillé qui me met mal à l’aise, plus que l’amende potentielle. Ça donne l’impression qu’on ne nous fait pas confiance.

  47. C’est fou, on dirait que l’État se transforme en joueur de poker, à bluffer sur la technologie pour nous faire peur et nous inciter à respecter les règles.

  48. Franchement, ça me rappelle ces pubs où on nous dit qu’on est « libre » mais qu’il faut tout faire comme eux. Drôle de liberté.

    C’est lourd de se sentir comme un cobaye pour des tests grandeur nature.

  49. Moi, je me demande si toute cette technologie ne nous déresponsabilise pas, au final. On finit par attendre de la machine qu’elle nous corrige, au lieu de faire attention nous-mêmes.

  50. Je suis surtout curieux de savoir comment ils font la distinction entre un téléphone éteint et un autre appareil. C’est ça, le vrai mystère.

  51. Je me demande si toute cette technologie est vraiment efficace pour réduire les accidents, ou si c’est juste une nouvelle façon de faire du chiffre sur notre dos.

  52. Franchement, ça me rappelle surtout que je dois vraiment me mettre à jour sur le code de la route. On dirait que ça change plus vite que mes chaussettes.

  53. C’est sûr que ça fait bizarre, mais peut-être que ça responsabilise plus qu’on ne le pense. J’ai vu tellement d’accidents bêtes à cause du téléphone…

  54. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le risque d’erreur. Une machine peut se tromper, non ? Et prouver sa bonne foi après, c’est mission impossible.

  55. Moi, je me demande si toute cette sophistication technologique ne nous distrait pas de l’essentiel : l’attention au volant. On parie sur la sanction au lieu de l’éducation.

  56. C’est le serpent qui se mord la queue. On achète des voitures de plus en plus connectées, et après on s’étonne d’être surveillés.

  57. Je me demande si l’acceptation de cette surveillance ne nous rend pas plus fatalistes qu’attentifs. On finit par se dire « de toute façon je vais me faire flasher », et on conduit moins bien.

  58. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de « détection automatisée » comme d’une fatalité. On dirait qu’on a oublié de se demander si c’est vraiment ça qu’on veut, une société où on est constamment surveillé.

  59. Ça me rappelle cette fois où j’ai cru avoir grillé un feu orange, et j’ai passé la semaine à stresser. Le flash fantôme, l’angoisse !

  60. C’est dingue, j’ai l’impression de conduire dans un jeu vidéo où le niveau de difficulté augmente sans prévenir. On s’adapte comment à ça ?

  61. Je me demande si toute cette technologie ne nous déresponsabilise pas en tant que conducteurs. On compte trop sur les aides, et on oublie les bases du code de la route.

  62. Perso, j’ai juste peur que ces systèmes ne soient pas infaillibles et qu’on se retrouve à devoir prouver notre innocence, c’est un vrai parcours du combattant.

  63. Moi, je me demande surtout si toute cette technologie améliore vraiment la sécurité routière, ou si c’est juste une question de rentabilité. On se perd un peu dans tout ça.

  64. L’article est alarmiste, mais en même temps, on a tous déjà eu cette petite sueur froide en passant devant un radar.

    Je me demande si, au fond, cette « impitoyabilité » ne nous force pas simplement à être plus attentifs.

  65. Moi, ce qui me gêne le plus, c’est l’idée qu’on ne nous fait plus confiance. On est présumés coupables tant qu’on n’a pas prouvé le contraire. C’est ça qui est vraiment dérangeant.

  66. Je comprends l’exaspération, mais je me demande si on ne dramatise pas un peu. Avant, on trichait, on connaissait les radars. Maintenant, il faut juste respecter les limitations. Point.

  67. Moi, ce qui me frappe, c’est le côté intrusif. On a l’impression d’être surveillés en permanence, même quand on ne fait rien de mal. Ça crée un climat de suspicion généralisée, c’est usant.

  68. C’est vrai que ça fait flipper, mais pour être honnête, ça me rappelle surtout à quel point je suis devenu dépendant du GPS. Peut-être qu’il est temps de re-apprendre les panneaux ?

  69. Moi, ce qui me chiffonne, c’est qu’on parle de « détection automatisée impitoyable ». C’est le mot « impitoyable » qui me dérange. C’est pas une machine qui est méchante, c’est une règle qu’on a pas respectée.

  70. Je me demande surtout si cette « impitoyabilité » ne va pas finir par tuer l’envie de prendre la voiture. On se sent moins libre, c’est clair.

  71. Perso, je me demande si ça ne va pas forcer les constructeurs à revoir l’ergonomie des voitures pour moins solliciter le téléphone.

  72. Ce qui m’interpelle, c’est l’évolution de la technologie… Est-ce qu’on ne devrait pas plutôt investir dans des systèmes qui aident à conduire, plutôt que de simplement punir ?

  73. Je me demande si ce n’est pas une bonne chose, finalement. Peut-être que cette « impitoyabilité » obligera chacun à être plus attentif et à conduire plus prudemment.

  74. Je me demande si ce n’est pas aussi une question de design urbain. On nous entasse dans des voitures pour aller travailler, puis on nous sanctionne. Il y a une contradiction.

  75. Ça me fait penser qu’on est de plus en plus infantilisés. On nous déresponsabilise en pensant qu’on ne peut pas se gérer sans surveillance constante.

  76. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on découvre l’eau chaude. On est pistés en permanence, le téléphone éteint ou pas. La voiture n’est qu’un prétexte de plus.

  77. Moi, j’ai surtout peur que ça devienne un argument pour justifier des prix de voitures toujours plus hauts, avec des « aides à la conduite » obligatoires.

  78. Franchement, ce qui me gêne, c’est que ça crée encore plus de stress sur la route. On est déjà tellement tendus par les embouteillages et les impératifs, ça n’aide pas.

  79. Finalement, ce qui m’inquiète le plus, c’est le risque de banalisation. On va finir par s’habituer à cette surveillance constante et ne plus la remettre en question.

  80. Le pire, c’est qu’on finance indirectement ces technologies avec nos impôts… pour ensuite se faire piéger. Ça a un côté « double peine » assez amer.

  81. SportifDuDimanche

    On dirait qu’on nous pousse à abandonner la voiture, non ? Bientôt, ce sera plus simple de se déplacer à dos d’âne.

    Ça me rappelle ces jeux vidéo où la difficulté augmente sans prévenir.

  82. Moi, ce qui m’inquiète, c’est que ça favorise une conduite basée sur la peur, pas sur la sécurité réelle. On va regarder le compteur au lieu de la route.

  83. Moi, je me demande surtout si ces systèmes sont vraiment efficaces pour réduire les accidents, ou juste pour remplir les caisses de l’État.

  84. ProvincialeHeureuse

    Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’aspect intrusif. On se sent vraiment suivi, comme si on n’avait plus le droit à l’erreur, même involontaire.

  85. MécanicienRetraité

    Je me demande si on ne va pas finir par avoir des voitures qui se conduisent toutes seules pour éviter les amendes. Ironique, non ?

  86. Je compatis totalement avec ce commercial. C’est devenu un vrai casse-tête de savoir si on est en règle. On se sent comme un cobaye dans une expérience à grande échelle.

  87. Franchement, je me demande si on ne perd pas le plaisir de conduire avec toutes ces contraintes. On est tellement crispés qu’on en oublie pourquoi on prend la route.

  88. C’est fou cette sensation d’être pris au piège par un truc qu’on ne voit même pas. Ça donne l’impression de jouer à un jeu dont on ne connaît pas les règles.

  89. Guillaume Bernard

    Perso, j’ai arrêté de m’angoisser. Je mets le régulateur et je profite du paysage. Ça coûte moins cher en stress et en amendes.

  90. Moi, je me demande si toute cette technologie ne crée pas plus de stress et d’inattention qu’elle n’en corrige. On a tellement peur de l’amende qu’on oublie de regarder la route.

  91. Ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les petits trajets. Avant, on se disait « c’est juste pour aller chercher le pain ». Maintenant, même ça devient une angoisse.

  92. Moi, ce qui me frappe, c’est l’inégalité. Le commercial, il peut peut-être payer, mais le type au SMIC qui se fait flasher sans comprendre… C’est une autre histoire.

  93. Ce qui me sidère, c’est qu’on est censé conduire en toute confiance, mais on se retrouve à flipper à chaque trajet. C’est plus de la conduite, c’est de l’évitement.

  94. C’est vrai que c’est intrusif, mais peut-être qu’on devrait se demander pourquoi on a besoin d’utiliser son téléphone en conduisant, même éteint.

  95. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de répression, jamais d’éducation. On devrait peut-être commencer par là avant de sortir le bâton.

  96. C’est vrai que ça fait flipper. On a l’impression qu’on ne maîtrise plus rien, et que la technologie se retourne contre nous.

  97. Sébastien Bernard

    Ça me rappelle ces pubs pour les assurances qui te font culpabiliser à l’idée d’avoir un accident. La sécurité, oui, mais à quel point veut-on vivre dans la peur constante ?

  98. Franchement, ça me fait penser aux radars tronçons : on finit par psychoter sur sa vitesse moyenne et on en oublie de regarder la route.

  99. Je me demande si toute cette technologie ne crée pas plus de stress qu’elle n’en résout. On est tellement concentré sur les règles qu’on en oublie le plaisir de conduire.

  100. Alexandre Bernard

    Je me demande si l’amélioration de la sécurité routière justifie vraiment cette surveillance omniprésente. On se sent vraiment surveillés.

  101. Je suis surtout inquiet pour les erreurs. Si le système est si perfectionné, il devrait être infaillible, mais on sait bien que ce n’est jamais le cas. Qui va payer pour les erreurs ?

  102. Pour moi, le vrai problème, c’est le manque de transparence. On a le droit de savoir comment ces systèmes fonctionnent exactement !

  103. François Bernard

    On s’éloigne de plus en plus de la prévention et on fonce dans la répression pure et simple. Bientôt, on paiera avant même d’avoir commis l’infraction ?

  104. Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout la revente des données. Qui y a accès et pour quoi faire ? On parle beaucoup des amendes, mais pas assez de ça.

  105. Moi, ce qui m’agace le plus, c’est de devoir sans cesse m’adapter. On achète une voiture, on apprend à conduire, et puis tout change tout le temps.

  106. Je me demande si on ne se focalise pas trop sur le « flash ». L’important, c’est peut-être d’adapter sa conduite et de retrouver de bonnes habitudes.

  107. Franchement, j’ai l’impression qu’on nous prend un peu pour des vaches à lait. Si le but était vraiment la sécurité, on ferait plus de pédagogie.

  108. Béatrice Bernard

    Moi, j’avoue que ça me stresse de conduire maintenant. On a l’impression d’être constamment épié et jugé. Ça gâche le plaisir.

  109. C’est vrai que c’est flippant. Perso, j’ai juste peur de me faire flasher à 51 au lieu de 50. L’erreur humaine, ça existe.

  110. Perso, ça me fait surtout penser qu’on est de plus en plus déresponsabilisés au volant. On se fie à la technologie au lieu de notre propre jugement.

  111. Je me demande si ces systèmes ne finissent pas par nous faire conduire avec la peur au ventre, plus qu’avec prudence. La pression constante, c’est contre-productif.

  112. Je comprends la frustration, mais peut-être que cette invisibilité nous force à être plus conscients de notre vitesse, tout simplement.

  113. Gabrielle Bernard

    À mon avis, le vrai problème n’est pas tant le flash que le manque de clarté. On devrait avoir un accès facile à l’info sur les zones à risque, pas un jeu de cache-cache.

  114. Moi, ce qui me gêne, c’est que ça détourne l’attention des vrais dangers, comme la fatigue ou l’inattention. On se focalise sur la vitesse, mais c’est pas toujours le problème.

  115. Je trouve ça ironique de parler de déresponsabilisation alors que ces systèmes, au fond, ne font qu’appliquer la loi. C’est nous qui devons être responsables, pas les machines.

  116. Moi, ce qui me chiffonne, c’est le côté « big brother ». On se sent surveillés en permanence, et ça, c’est pas terrible pour la confiance qu’on a dans les institutions.

  117. Ça me fait penser aux radars tronçons, on oublie vite qu’on est surveillé sur plusieurs kilomètres. Du coup, on se fait avoir.

    C’est vrai que c’est agaçant, mais après tout, le code de la route, c’est le code de la route.

  118. Personnellement, je trouve qu’on oublie souvent l’aspect sécurité routière derrière tout ça. C’est pas juste une question de fric, non ?

  119. Ce qui me frappe, c’est l’acceptation passive. On dirait qu’on se résigne à être ponctionnés, sans vraiment remettre en question la pertinence de certaines limitations.

  120. C’est surtout le côté aléatoire qui me dérange. On a l’impression que c’est la loterie, plus qu’une réelle volonté de sécurité.

  121. C’est sûr que ça fait flipper. On a l’impression de jouer à un jeu dont on ne connaît pas les règles.

    Je trouve que ça crée une anxiété constante au volant, on est plus crispés qu’attentifs.

  122. C’est vrai que ça peut sembler injuste, mais je me dis que si on respectait vraiment les limitations, on ne se ferait pas flasher, non ?

  123. Je me demande si toute cette technologie ne nous déresponsabilise pas. On se fie tellement aux « béquilles » électroniques qu’on en oublie le bon sens.

  124. Moi, ce qui me gêne, c’est l’impression d’être pris pour un pigeon. On nous parle de sécurité, mais ça ressemble surtout à une machine à cash pour l’État.

  125. Je me demande si cette course à la technologie ne nous éloigne pas de la prévention. On investit des sommes folles dans la répression, mais est-ce qu’on fait assez pour l’éducation routière ?

  126. Catherine Bernard

    Ça me rappelle l’époque où on disait « les radars ne flashent pas les plaques étrangères ». On s’adapte, mais le sentiment d’injustice reste.

    L’article parle de téléphone éteint, mais je suis sûr que beaucoup se font avoir avec le kit mains libres.

  127. C’est pas tant le flash qui me dérange, mais le fait qu’on ne soit plus maîtres de nos erreurs. On se fait juger sans pouvoir s’expliquer.

  128. C’est plus qu’une amende, c’est la perte de confiance dans le système. On se sent infantilisé.

    On nous parle d’infractions graves, mais parfois c’est juste un excès de vitesse minime sur une portion qu’on connaît par cœur.

  129. Peut-être que le vrai problème, c’est qu’on a oublié à quel point conduire est dangereux. On se sent invincible dans nos boîtes de métal.

  130. On dirait qu’on nous transforme en vaches à lait high-tech. Bientôt, on paiera un abonnement pour avoir le droit de conduire.

    La prochaine étape, ce sera quoi ? Des amendes préventives ?

    C’est surtout l’accumulation qui est usante.

  131. Si le commercial est piégé avec son téléphone éteint, c’est qu’il y a autre chose. Peut-être une interprétation hâtive de l’infraction ?

  132. Jacqueline Bernard

    Franchement, je suis plus inquiet par la précision de ces systèmes. Si on flashe des gens à tort, c’est grave.

    Et puis, cette histoire de téléphone éteint, ça sent l’erreur de programmation ou un bug.

  133. Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on se concentre sur la technologie et qu’on oublie l’humain. On devrait peut-être se demander pourquoi les gens utilisent leur téléphone au volant.

  134. Moi, ça me fait penser à un épisode de Black Mirror, mais en beaucoup moins bien. On est surveillés, c’est un fait. Mais ce qui me dérange le plus, c’est le manque de transparence sur ces technologies.

  135. Moi, ce qui me chiffonne, c’est qu’on entend toujours l’histoire d’un seul côté. J’aimerais bien avoir la version des forces de l’ordre, savoir comment ces systèmes fonctionnent vraiment.

  136. Personnellement, je me demande si ce n’est pas le stress constant au travail qui le rend distrait au volant. On est tellement sous pression qu’on en oublie parfois les règles les plus élémentaires.

  137. Moi, ce qui me sidère, c’est la rapidité avec laquelle on accepte d’être traqués. On dirait que la vie privée, c’est un concept du passé.

  138. Perso, je me demande si ce commercial n’a pas simplement oublié qu’il avait le kit mains libres activé. Ça arrive tellement vite.

  139. Moi, je me demande si c’est pas juste une bonne excuse pour se victimiser. On sait tous qu’il faut pas utiliser son téléphone au volant.

  140. C’est fou, cette impression de ne plus maîtriser ce qui nous arrive. On a beau faire attention, on se sent coupable avant même d’avoir commis une infraction.

  141. Moi, je me demande si ces systèmes ne sont pas trop sensibles. Une vibration, un mouvement brusque… et hop, flashé ? Ça me paraît un peu léger pour une amende.

  142. Je me demande si ce commercial n’est pas un peu naïf. La technologie évolue, c’est normal. On ne peut pas toujours blâmer le système.

  143. Ça me rappelle cette vieille blague : « On ne peut plus rien faire, même quand on ne fait rien! ». C’est une sensation désagréable, cette suspicion permanente.

  144. Moi, je pense surtout que ça va finir par coûter plus cher de contester les amendes que de les payer, même injustifiées. Décourageant.

  145. Ce qui m’inquiète, c’est surtout le manque de transparence. On devrait avoir accès aux données qui prouvent l’infraction, pas juste une amende.

  146. Sébastien Dubois

    Je me demande si le problème, c’est pas surtout la pression qu’on a tous au quotidien. On est tellement sollicités qu’on finit par faire des erreurs, même sans le vouloir.

  147. Je ne suis pas commercial, mais artisan. Mon fourgon est mon outil. Si je perds des points bêtement, je perds mon permis et donc mon gagne-pain. C’est bien plus grave qu’une simple amende.

  148. Christophe Dubois

    Perso, je me demande si c’est pas un peu le prix à payer pour une route plus sûre. C’est sûr, c’est frustrant, mais ça sauve peut-être des vies.

  149. Moi, je trouve ça un peu flippant, cette impression d’être constamment surveillé. On se croirait dans un roman de science-fiction.

  150. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la collecte massive de données que ça implique. On est fichés en permanence, et pour quoi faire au final ?

  151. Le côté « invisible » de la sanction, c’est ça qui me dérange le plus. On n’a même pas le temps de se dire « attention », c’est déjà trop tard. Ça rend l’apprentissage impossible.

  152. Le commercial a raison, c’est une vraie loterie ! J’ai l’impression qu’on nous tend des pièges.

    C’est pas une question de sécurité, c’est du racket organisé.

  153. C’est vrai que c’est perturbant. On est censés être responsables, mais on nous infantilise avec ces systèmes. Je me demande si ça change vraiment les comportements à long terme.

  154. Je comprends la frustration, mais peut-être qu’on devrait aussi se demander pourquoi on a son téléphone dans la poche en conduisant. Un peu de responsabilité individuelle, non ?

  155. Perso, ça me rappelle surtout que la technologie évolue plus vite que nos lois. Faudrait peut-être adapter le code de la route à ces nouvelles réalités, non ?

  156. Je me demande si l’accent n’est pas mis au mauvais endroit. On parle beaucoup de la sanction, mais quid de la prévention et de l’information sur ces nouvelles technologies ?

  157. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’acceptation progressive de cette surveillance constante. On s’habitue à être épiés, c’est ça le vrai danger.

  158. Je trouve ça hypocrite de s’étonner. On sait bien qu’on est surveillés, non ? Et puis, le téléphone, il n’a rien à faire dans la poche quand on conduit.

  159. Le vrai problème, c’est qu’on a l’impression d’être des vaches à lait. L’État se gave sur notre dos, et la sécurité routière devient un prétexte.

  160. Moi, je me demande surtout si ça va vraiment changer les comportements sur le long terme, ou si on va juste devenir plus stressés au volant.

  161. Perso, je me demande surtout si ce commercial a bien compris la loi avant de râler. C’est pas une question de téléphone éteint, mais d’utilisation durant la conduite, non ?

  162. Cette histoire me rappelle un ami qui a reçu une amende similaire. Il était persuadé d’être innocent et a contesté. Ça a été long et stressant, mais au final, il a gagné.

  163. C’est dingue, cette impression de ne plus avoir le contrôle. Ça me rappelle quand j’ai découvert que mon frigo enregistrait ce que je mangeais.

  164. Bientôt, on paiera un forfait mensuel pour avoir le « droit » d’utiliser notre voiture.

    C’est flippant, mais en même temps, ça me force à être plus concentré sur la route.

  165. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les artisans et livreurs qui ont besoin de leur téléphone pour bosser. Comment ils font ?

  166. Je me demande si cette technologie est vraiment infaillible. Les erreurs arrivent, non ? Ça fait peur de se dire qu’on est coupable jusqu’à preuve du contraire.

  167. Je ressens une vraie dissonance. D’un côté, je veux la sécurité. De l’autre, cette surveillance constante me donne l’impression d’être infantilisé.

  168. L’article ne parle pas de la complexité de prouver son innocence face à une machine. Comment contester quand la « preuve » est un algorithme ?

  169. Je me demande si cette technologie tient compte des situations d’urgence. Un coup de fil rapide pour prévenir d’un accident, ça peut sauver des vies.

  170. Plus qu’être infantilisé, j’ai l’impression qu’on nous considère déjà comme des criminels en puissance. C’est ça qui me dérange le plus.

  171. Jacqueline Dubois

    Moi, ce qui me frappe, c’est le sentiment d’impuissance face à la technologie. On a l’impression de ne plus maîtriser nos actions.

  172. Moi, je suis surtout curieux de savoir si cette technologie est déployée partout en France ou seulement dans certaines zones pilotes.

  173. Honnêtement, je me demande si l’État ne cherche pas surtout à renflouer les caisses. La sécurité, c’est le prétexte idéal.

  174. C’est fou comme on s’habitue à la présence constante de la technologie, même quand elle est intrusive. Au début, on s’étonne, puis on finit par faire avec.

  175. J’ai l’impression qu’on est passé d’une pédagogie de la route à une logique purement répressive. C’est dommage, la prévention me semble plus efficace à long terme.

  176. J’ai l’impression que l’article oublie un peu vite l’objectif premier : la sécurité. Si ça peut éviter des morts, je suis prêt à accepter quelques désagréments.

  177. Le type qui se fait flasher avec son téléphone éteint, il a peut-être juste pas de chance et c’est une erreur du système ? Ça arrive, non ?

  178. Commercial de 35 ans ou pas, personne n’est à l’abri. Mais bon, si on respectait les règles, on n’aurait pas ce problème, non ? Simple question.

  179. Je me demande si on ne devrait pas se concentrer sur la fiabilité de ces systèmes avant de les déployer à grande échelle. Une erreur d’identification, ça peut arriver à n’importe qui.

  180. Le titre est anxiogène, mais l’article ne donne pas assez de détails. Comment ça, il se fait flasher avec son téléphone éteint ? Il y a anguille sous roche…

  181. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le sentiment de ne plus maîtriser la situation. On conduit, on est censé être responsable, mais l’impression d’être un cobaye me dérange.

  182. Moi, je me demande surtout si ces systèmes tiennent compte des conditions de circulation. Une amende pour une micro-seconde d’inattention, c’est un peu raide, non ?

  183. Perso, ça me rappelle surtout que la technologie avance plus vite que notre capacité à s’y adapter. On est tous un peu dépassés.

  184. Je me demande si cette « efficacité » accrue ne va pas juste pousser les gens à contourner encore plus les règles. Le jeu du chat et de la souris continue.

  185. Je me demande si toute cette technologie ne crée pas une fausse impression de sécurité, en fait. On se repose trop sur elle, et on finit par moins faire attention soi-même.

  186. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de « piéger » les conducteurs. On dirait qu’on part du principe que tout le monde veut frauder… C’est triste.

  187. Sébastien Durand

    C’est surtout l’aspect financier qui me gêne. Tout ça rapporte beaucoup d’argent à l’État, non? On se croirait dans un jeu vidéo où il faut éviter les pièges pour ne pas perdre de points.

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