La journée nationale du sport scolaire approche, mais pour beaucoup d’élèves, l’excitation est remplacée par l’anxiété. Cette frustration naît d’une préparation souvent axée sur la seule compétition, oubliant l’essentiel. Une approche centrée sur la préparation mentale et coopérative change radicalement l’implication et le plaisir des enfants.
Julien Dubois, 42 ans, professeur d’eps dans un collège de la banlieue lyonnaise, a constaté ce phénomène pendant des années. « On voyait les mêmes enfants s’éteindre chaque année avant la journée du sport. Il fallait changer l’approche, pas seulement l’événement en lui-même », confie-t-il.
Initialement, ses classes montraient une forte disparité de motivation. Il a alors introduit des ateliers préparatoires basés non sur la performance mais sur des objectifs collectifs et l’entraide. Les résultats furent probants : l’enthousiasme est devenu général et la participation active a grimpé de près de 40 %.
Cette méthode s’appuie sur le principe de la motivation intrinsèque. En valorisant l’effort, la coopération et le progrès personnel plutôt que la victoire, on renforce l’estime de soi des élèves. Cela crée un environnement sécurisant où l’échec n’est plus une source de honte mais une étape d’apprentissage.
🔍 À lire également : Ce gestionnaire CAF révèle l’erreur que tous les parents font avec le Pass’Sport 70€ et qui les prive de cette aide précieuse
Aborde également le thème du sport scolaire et des aides pour les jeunes
Les bénéfices sont multiples. Sur le plan pratique, ces ateliers ne demandent aucun matériel coûteux. Au niveau de la santé, ils réduisent le stress lié à la performance. Socialement, ils améliorent considérablement la cohésion de groupe et le respect mutuel entre les élèves aux capacités différentes.
Pour aller plus loin, on peut varier les approches en intégrant des rôles non compétitifs : des élèves peuvent devenir « reporters » de l’événement, « coachs » d’équipe ou organisateurs logistiques. L’important est que chacun trouve une place valorisante au sein du projet commun, au-delà de la simple participation physique.
Cette vision dépasse le cadre de l’éducation physique. Elle s’inscrit dans une tendance de fond visant à développer les compétences socio-émotionnelles à l’école. Savoir collaborer, gérer ses émotions et encourager les autres sont des atouts essentiels pour leur avenir citoyen et professionnel.
🔍 À lire également : Une directrice d’école met en garde : cette attitude que 90% des parents ont en réunion de rentrée sabote la communication avec l’équipe – changez maintenant
Traite de la communication entre l'école et les parents, importante pour le soutien des activités scolaires
L’impact de ce changement est profond. Il ne s’agit pas seulement d’améliorer une journée sportive, mais de transformer la relation des enfants avec l’activité physique sur le long terme. En cultivant le plaisir de bouger ensemble, on prévient le décrochage sportif, un enjeu de santé publique majeur.
En définitive, repenser la préparation de cet événement est une opportunité simple de remobiliser les élèves. En mettant l’accent sur la coopération, chaque établissement peut faire de cette journée un véritable succès inclusif, posant les bases d’une génération plus active et solidaire.
C’est tellement vrai ! On oublie souvent que tous les enfants ne sont pas des compétiteurs nés. Il faut d’abord leur donner le goût de bouger.
La JNSS, c’est souvent le même problème : ceux qui aiment le sport y participent déjà. Comment motiver les autres, ceux qui ont une image négative du sport ? C’est ça la vraie question.
Perso, la JNSS, ça me rappelle surtout les galères d’organisation et les profs qui courent dans tous les sens. On en fait tout un plat mais l’impact réel sur le long terme est minime, non ?
La JNSS, je m’en souviens surtout comme d’une journée où on se sentait obligé de faire du sport. C’était plus une corvée qu’un plaisir, malheureusement.
Ah, la JNSS… C’est vrai que pour certains, ça peut être intimidant. Peut-être faudrait-il proposer plus d’activités découvertes, sans enjeu ? Juste pour s’amuser.
Dubois a raison. On devrait vraiment revoir la formation des profs d’EPS sur la gestion de groupe et l’inclusion. C’est là que ça pêche souvent, bien plus qu’en préparation physique.
Moi, ce que je retiens, c’est que le prof pointe un problème de fond : on formate les enfants trop tôt à l’esprit de compétition, et ça les dégoûte. C’est dommage.
Je me demande si cette « préparation mentale » n’est pas une nouvelle mode. Quand j’étais petit, on se débrouillait, on apprenait à gérer la pression sur le terrain.
Moi, la JNSS, ça me fait penser aux gosses laissés sur la touche parce qu’ils sont « moins bons ». On devrait surtout célébrer la participation, pas la performance.
Je pense que la JNSS est une belle idée sur le papier, mais elle oublie que certains enfants ont des complexes physiques qui les empêchent de s’épanouir en public.
La JNSS… j’ai toujours trouvé ça un peu hypocrite. On fait semblant d’encourager le sport, mais après, le reste de l’année, les moyens manquent cruellement.
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout le bruit. Un vacarme infernal de sifflets et d’encouragements forcés. Pas vraiment l’endroit idéal pour découvrir le plaisir de bouger.
La JNSS, c’est aussi l’occasion de voir des jeunes s’investir à fond, découvrir des sports. Ne noircissons pas tout, il y a du positif aussi !
La JNSS ? Pour moi, c’était surtout l’occasion de squatter les copains qui avaient une dispense. On séchait les cours ensemble, c’était ça le vrai sport.
La JNSS, c’est souvent l’occasion de se sentir nul si on n’est pas déjà sportif. On devrait peut-être plus valoriser les progrès individuels que les résultats.
La JNSS, c’est un jour où l’école ressemble enfin à un terrain de jeu, et pas seulement à une usine à devoirs. C’est déjà ça de pris.
La JNSS, une journée pour le sport ? Mouais… J’ai surtout l’impression qu’on force un peu les gamins à faire du sport un jour par an pour se donner bonne conscience.
La JNSS et la compétition ? Pour moi, c’était surtout l’occasion de voir des profs d’EPS stressés comme des dingues pour l’organisation. Ça déteignait forcément sur l’ambiance.
Cet article met le doigt sur un truc important : le sport, c’est pas juste gagner. Si la JNSS crée plus de stress que de fun, c’est raté.
La préparation mentale, c’est vrai que c’est souvent oublié. Perso, j’aurais adoré qu’on nous apprenne à gérer le stress avant une course plutôt que juste… courir.
Je me demande si cette histoire de préparation mentale, c’est pas juste un truc à la mode. On se focalise tellement sur le bien-être qu’on oublie parfois le plaisir de se dépasser, même sous pression.
La JNSS ? Bof. Je me souviens surtout du sentiment d’être jugé. Pas juste sur mes capacités sportives, mais sur ma « motivation ». C’était épuisant.
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout les équipes faites à la va-vite et l’humiliation d’être choisi en dernier. L’esprit d’équipe, on repassera.
La JNSS a toujours été une journée où l’école sort de ses murs, c’est déjà une victoire. On respire un peu, même si c’est pas parfait.
Franchement, la JNSS, je m’en fichais un peu. C’était un jour férié déguisé en activité sportive. On glandait plus qu’on ne courait.
La JNSS, c’est vrai que ça met une pression sur ceux qui ne sont pas « sportifs ». On se sent obligé de participer, même si on n’aime pas ça.
Moi, la JNSS, ça m’a toujours semblé être une belle opportunité gâchée. On pourrait tellement mieux faire pour que ça profite à tous, pas juste aux plus sportifs.
La JNSS, je la voyais surtout comme un moment où on pouvait enfin jouer avec nos potes d’autres classes, sans se soucier du niveau. C’était ça, le plus important, non?
En tant que parent, je trouve ça dommage que la JNSS puisse être une source d’angoisse pour certains. L’école devrait être un lieu d’épanouissement, pas de stress.
C’est vrai qu’on oublie souvent que certains gamins n’ont jamais vraiment appris à perdre. La JNSS pourrait être l’occasion.
Si seulement on pouvait utiliser cette journée pour initier les jeunes à des sports moins conventionnels, plus axés sur la découverte que sur la performance.
Ce prof a raison. On se focalise trop sur le résultat immédiat et pas assez sur le plaisir de bouger.
Je me demande si cette « préparation mentale et coopérative » ne risque pas, au final, de gommer l’esprit de compétition, qui a aussi son intérêt. Apprendre à se dépasser, c’est important aussi.
Ce qui me frappe, c’est que la JNSS devrait être une fête, pas une épreuve. Dommage que l’esprit de compétition l’ait parfois dénaturée.
Moi, la JNSS me rappelle surtout les dispenses médicales savamment négociées avec l’infirmerie. Une journée de moins à transpirer, ça ne se refusait pas !
La JNSS ? Perso, je m’en fichais royalement. J’y allais pour retrouver mes copains, et basta. Le reste…
La JNSS, ça me rappelle surtout le jour où j’ai découvert que j’étais vraiment nul en sport. Pas une super expérience.
La JNSS me fait penser aux élèves toujours choisis en dernier, ceux qui se sentent transparents. On devrait peut-être repenser l’inclusion.
La JNSS ? Plus qu’une préparation, c’est souvent un tri impitoyable qui se joue. Les plus sportifs sont valorisés, les autres… oubliés.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est que si on enlève la compétition, est-ce qu’il y aura encore du monde motivé pour participer ? Le sport, c’est aussi se mesurer aux autres, non ?
J’ai toujours trouvé cette journée un peu artificielle. On décore la cour, on met de la musique, mais le fond reste le même : certains brillent, d’autres subissent.
Je me souviens surtout de l’organisation chaotique de la JNSS. On ne savait jamais vraiment quoi faire ni où aller. Un peu plus d’encadrement serait déjà un bon début.
C’est vrai que l’EPS, c’est pas que le sport. C’est aussi apprendre à travailler ensemble, à se connaître soi-même. La JNSS devrait refléter ça.
Ce que dit ce prof d’EPS me parle. On oublie souvent que l’école, c’est aussi un lieu pour apprendre à gérer ses émotions, pas juste à courir vite.
La JNSS, c’est surtout l’occasion pour certains profs de se prendre pour des coachs sportifs. Un peu de modestie ne ferait pas de mal.
Moi, la JNSS, ça me faisait surtout penser à une kermesse déguisée en événement sportif. Le côté « fête » prenait souvent le pas sur l’activité physique.
La JNSS, pour moi, c’était surtout une journée où on voyait les mêmes gagner à chaque fois. Ça ne donnait pas vraiment envie de s’investir.
La JNSS… un jour de congé déguisé pour les profs ? C’est l’impression que ça me laissait.
On nous parlait de valeurs, mais c’était surtout le bazar dans la cour.
L’alerte de ce prof d’EPS me rappelle surtout que l’école devrait moins chercher à « formater » des champions, et plus à donner envie de bouger. On n’a pas tous l’âme d’un compétiteur.
Si seulement on pouvait utiliser cette journée pour initier les élèves à des sports moins traditionnels. Ça changerait de l’éternel foot/basket !
La JNSS ? J’ai surtout le souvenir d’élèves mis de côté parce qu’ils n’étaient pas « au niveau ». Triste.
Je me demande si cette journée sert vraiment à quelque chose pour ceux qui ne sont pas naturellement sportifs.
La JNSS, je m’en fichais pas mal, et je crois que les profs aussi. Une journée comme une autre, quoi.
Cette journée, je la voyais surtout comme un moyen de sortir des cours, c’était déjà pas mal. L’aspect sportif, je l’avoue, me passait un peu au-dessus.
Je me demande si l’accent mis sur la compétition ne crée pas un stress inutile et contre-productif pour beaucoup d’élèves.
Enfant, j’adorais la JNSS ! C’était une pause dans le rythme scolaire, une bouffée d’air frais. Même si je n’étais pas le meilleur, j’aimais l’esprit d’équipe et le sentiment d’appartenance.
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout les tentatives maladroites pour former des équipes. On se retrouvait souvent avec des groupes déséquilibrés et le moral en berne avant même le coup d’envoi.
Moi, j’y allais pour les copains. C’était l’occasion de faire autre chose ensemble, même si on était nuls.
La JNSS, c’était surtout l’occasion de voir qui se prenait le plus au sérieux. L’ambiance, tendue, me gâchait le plaisir.
Le prof a raison. On se focalise trop sur le résultat et pas assez sur le plaisir de bouger ensemble. C’est dommage.
La JNSS, c’était surtout une journée où je me sentais transparent, invisible, pas intégré. Juste un spectateur.
Préparation mentale ? Jamais entendu parler à mon époque. On nous lançait sur le terrain et débrouillez-vous. Pas étonnant que certains aient détesté.
La JNSS ? Un jour où les moins sportifs se sentaient encore plus nuls. On devrait encourager l’effort, pas juste la victoire.
La JNSS, c’est aussi une question de moyens. Toutes les écoles n’ont pas les infrastructures pour bien préparer les élèves. Inégalités, quand tu nous tiens…
La JNSS, c’est une belle idée sur le papier, mais concrètement, ça dépend tellement de l’équipe pédagogique et de l’ambiance de l’établissement… Un prof motivé peut tout changer.
La JNSS, c’est vrai que ça peut être stressant. On dirait qu’on évalue notre « valeur » à travers le sport ce jour-là.
La JNSS… Moi, c’était le jour où je découvrais des talents cachés chez mes camarades. Des timides qui se révélaient sur le terrain. C’était ça, le plus intéressant.
C’est bien beau la préparation mentale, mais qui forme les profs à ça ? On leur demande toujours plus avec moins de moyens.
Moi, la JNSS, c’était surtout une journée où je me sentais dispensé d’aller en cours. Une pause, quoi. Le sport, c’était secondaire.
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout le bordel monstre dans les vestiaires. Une cacophonie sans nom !
La JNSS, c’était l’occasion de voir les profs d’EPS se prendre au sérieux, comme des coachs de ligue 1. Un peu ridicule, non ?
La JNSS, c’était l’occasion de rater un contrôle de maths, mais clairement pas une source d’épanouissement sportif.
La JNSS, c’était surtout l’occasion de se comparer aux autres. Pas toujours valorisant quand on est pas naturellement doué.
La JNSS ? Un souvenir lointain. Je me rappelle surtout l’appréhension de ne pas être à la hauteur, le regard des autres… Pas très motivant.
La JNSS, c’était surtout le jour où l’on voyait bien qui était choisi… et qui ne l’était pas. Sentiment d’exclusion garanti.
La JNSS, ça devrait être une fête du sport, pas une source de stress supplémentaire. On oublie trop souvent l’aspect ludique et le plaisir de bouger ensemble.
C’est vrai que la JNSS peut être une source d’angoisse pour ceux qui ne sont pas « sportifs ». L’important, c’est peut-être de trouver une activité où chacun se sente à l’aise, même en dehors des sports classiques.
La JNSS, c’est vrai que ça peut être clivant. Mais bien encadrée, ça peut aussi être une première expérience positive du sport pour certains. Tout dépend de l’ambiance.
J’aurais aimé qu’on nous prépare plus à l’esprit d’équipe qu’à la performance pure. Ça aurait peut-être changé mon rapport au sport.
« 95% des écoles »… C’est un chiffre énorme. J’aimerais connaître la source de cette statistique, parce que ça me paraît exagéré.
Je me demande si cette « préparation mentale et coopérative » ne risque pas de transformer la JNSS en colonie de vacances. Le sport, c’est aussi apprendre à se dépasser et parfois, à perdre.
On diabolise trop la compétition. Apprendre à gérer la pression, c’est aussi une compétence utile dans la vie.
La JNSS ? Ça me rappelle surtout les dispensés qui restaient sur le banc, à regarder les autres « s’amuser ». On pourrait peut-être repenser ce statut pour qu’ils se sentent moins exclus.
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout le bazar sans nom dans le gymnase. On faisait un peu n’importe quoi, sans vraiment comprendre l’intérêt.
Préparation mentale ? On dirait qu’on veut faire des athlètes de haut niveau dès le collège. Un peu de légèreté ne ferait pas de mal.
Je suis d’accord sur le fond, mais je pense que le problème est plus large : le sport à l’école en général devrait être moins axé sur la performance et plus sur le bien-être.
La JNSS a toujours été une journée comme une autre pour moi. On faisait du sport, point. L’idée de mettre de la pression ou de faire de la « préparation mentale » me semble ridicule pour un événement ponctuel.
La JNSS, c’était le jour où je réalisais à quel point j’étais nul en sport, comparé aux autres. L’idée de préparation mentale aurait peut-être atténué ce sentiment.
La JNSS, c’était toujours l’occasion de tester de nouveaux sports. Dommage qu’on n’ait pas plus souvent ce genre d’opportunités.
La JNSS, c’est surtout le jour où les profs d’EPS sont hyper stressés et nous le font sentir. L’ambiance est rarement détendue.
La JNSS, c’était souvent l’occasion de voir les profs d’EPS innover, tester des activités originales. C’est dommage que ces initiatives ne durent qu’une journée.
La JNSS, c’était surtout l’occasion de se défouler après une semaine de cours. L’aspect « compétition » passait souvent au second plan, tant mieux.
La JNSS ? Pour moi, c’était surtout une journée où les équipes étaient toujours déséquilibrées. Les « bons » d’un côté, les autres de l’autre. Pas très motivant pour progresser ensemble.
Je me souviens surtout des pique-niques de la JNSS, plus que des épreuves elles-mêmes. C’était un moment de convivialité rare.
La JNSS, pour moi, c’était surtout l’occasion de sécher les cours d’après-midi sans trop culpabiliser. Est-ce que c’est ça l’esprit sportif ?
Je trouve ça bien que ce prof d’EPS pointe du doigt l’aspect anxiogène de la JNSS. On oublie trop souvent que tous les élèves n’ont pas la fibre sportive.
Préparation mentale et coopération ? Excellente idée ! Ça éviterait peut-être que la JNSS ne soit qu’une gigantesque cour de récréation un peu bordélique.
Moi, ce qui me frappe, c’est que la JNSS reste une journée « à part ». On devrait intégrer cet esprit de jeu et de coopération toute l’année, non ?
Moi, je me demande si cette « préparation mentale » ne risque pas d’ajouter une pression supplémentaire. On est déjà tellement évalués…
Moi, ce qui m’interpelle, c’est le chiffre de 95%. C’est énorme ! Comment on arrive à un tel manque de préparation ? Il y a un vrai problème de moyens ou de priorités, non ?
Je me demande si on ne surestime pas l’impact réel de cette journée sur le long terme. Une journée, c’est si vite passé…
La JNSS, c’est vrai que ça peut être intimidant si on n’est pas naturellement sportif. J’aurais aimé que mes profs nous préparent plus à l’esprit d’équipe qu’à la performance pure.
Moi, la JNSS, je m’en fichais un peu. C’était juste un jour différent, ni bien, ni mal. L’investissement des profs me semblait variable selon les années.
Je ne suis pas sûr que la JNSS ait besoin d’être « corrigée ». L’improvisation et le côté un peu chaotique avaient leur charme. On n’est pas tous des athlètes, heureusement.
La JNSS, j’en garde un souvenir de brouhaha et de pique-nique géant. On était entre nous, c’était surtout ça le plus important. Le sport, c’était presque un prétexte.
La JNSS, c’était surtout l’occasion de sécher les cours « normaux ». On se plaignait, mais au fond, on était contents de changer de rythme.
La JNSS ? Franchement, j’ai l’impression qu’on en fait une montagne pour pas grand chose. C’est juste un jour, non ?
J’ai l’impression que les profs d’EPS sont souvent les seuls à se soucier du bien-être des élèves pendant cette journée. Dommage que leur voix ne porte pas plus.
La JNSS, c’était le jour où les copains qui n’aimaient pas le sport se révélaient enfin ! Une autre facette de chacun, c’était ça qui était chouette.
Je me souviens surtout de la JNSS comme d’une journée où certains se sentaient mis de côté. C’est dommage de ne pas réussir à inclure tout le monde.
Je me demande si l’enjeu n’est pas de revoir ce qu’on entend par « sport scolaire ». Pour certains, c’est juste bouger ensemble, pas viser la performance.
J’ai toujours pensé que la JNSS était une vitrine pour les clubs de sport locaux plus qu’une vraie fête pour tous les élèves. On mettait en avant les « bons » et les autres regardaient.
Je me demande si cette focalisation sur la préparation mentale n’est pas une nouvelle forme de pression. On ne pourrait juste pas s’amuser sans se poser de questions ?
Moi, ce qui me frappe, c’est le titre alarmiste. 95% des écoles négligeraient un truc ? Ça me paraît énorme, et un peu culpabilisant pour les profs qui font déjà beaucoup.
Moi, je me demande si ce prof ne pointe pas surtout le manque de moyens et de temps. Préparer mentalement, c’est du boulot en plus, non ?
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout l’odeur de la salle de sport et le bruit des baskets qui crissent. Une ambiance particulière, un peu stressante, mais différente du reste de l’année scolaire.
La JNSS, c’était surtout une journée où je me sentais inutile. Pas assez sportif pour briller, pas assez mauvais pour être drôle. Juste transparent.
La JNSS, c’était surtout l’occasion de sécher les cours de maths. Le sport en lui-même, je m’en fichais pas mal.
La JNSS, c’était toujours un peu le bordel organisé, mais au moins ça changeait du quotidien. Une parenthèse bienvenue, même si on était nuls.
Je suis d’accord avec le prof. La JNSS devrait être un moment positif pour tous, pas une source de stress pour ceux qui ne sont pas des athlètes.
La JNSS, c’est un peu comme le spectacle de fin d’année. On sait que certains vont exceller, d’autres se cacher derrière. C’est la vie, non? Pourquoi vouloir à tout prix gommer les différences?
La JNSS, j’en garde un souvenir de compétition acharnée, où l’esprit d’équipe était un vain mot. On voulait surtout gagner, quitte à se marcher dessus. Dommage.
La JNSS a toujours été synonyme de compétition pour moi, mais je comprends l’idée de Julien Dubois. Peut-être qu’une approche plus ludique et moins axée sur la performance permettrait à plus d’élèves de s’y retrouver.
La JNSS, c’est vrai que ça met une pression terrible sur certains. J’aimerais que ça célèbre plus le mouvement, moins la victoire.
La JNSS, franchement, ça me paraît être une micro-problématique. Il y a tellement d’autres choses à améliorer dans l’éducation avant de se focaliser sur une seule journée de sport.
Je me demande si le problème n’est pas plus profond que la JNSS elle-même. C’est le rapport au sport en général qui devrait être revu.
La JNSS, j’y allais surtout pour retrouver mes copains hors du cadre scolaire. Le sport, c’était secondaire.
J’ai toujours pensé que la JNSS était une vitrine, pas un vrai reflet de l’activité sportive à l’école. On montre le meilleur, mais qu’en est-il du reste de l’année ?
C’est bien beau de parler de préparation mentale, mais concrètement, comment on fait ça avec 30 élèves surexcités ?
En tant qu’ancien élève, je me souviens surtout de l’ambiance festive. On était dehors, avec les copains, ça changeait du quotidien. La performance, je m’en fichais un peu.
La JNSS ? Bof. J’ai toujours eu l’impression qu’on forçait l’enthousiasme. Moi, j’aurais préféré une bonne séance de sport normale, sans tout ce cirque.
Je suis d’accord avec l’idée de rendre ça plus inclusif. Le sport, c’est avant tout du plaisir, non ?
Je trouve ça bien qu’un prof s’en inquiète. Perso, j’ai toujours détesté ces journées, on se sent nul si on n’est pas « sportif ».
Moi, ce qui me frappe, c’est le chiffre de 95%. C’est énorme. Si c’est vrai, il y a un vrai problème systémique.
La JNSS, pour moi, c’était surtout le jour où on voyait qui avait les meilleures baskets. L’enjeu de la compétition était bien secondaire.
La JNSS ? Une journée où les « bons » se sentent valorisés et les autres… invisibles. L’école devrait inverser cette logique.
Préparation mentale ? On en parle, mais à part quelques exercices de respiration vite faits… jamais vu ça en vrai à la JNSS.
J’ai surtout l’impression qu’on transforme le sport en une nouvelle source de stress pour les enfants. On devrait se concentrer sur le jeu et l’amusement, pas sur la performance.
La JNSS… Un jour où j’avais honte de mon corps, de ne pas être à la hauteur. C’est ça, mon souvenir.
La JNSS devrait peut-être servir à initier les élèves à de nouveaux sports, pas seulement à les évaluer sur des compétences déjà acquises.
La JNSS, c’est souvent le seul contact avec le sport pour certains. On devrait s’assurer que ce soit une porte d’entrée positive, pas un repoussoir.
On oublie que certains élèves sont intimidés par l’idée même de « sport ». Il faudrait peut-être commencer par dédramatiser l’activité physique.
La JNSS, c’est aussi l’occasion de découvrir des rôles : arbitre, organisateur, reporter. On oublie souvent l’investissement possible hors de la performance physique.
J’ai l’impression que la JNSS accentue les différences sociales, ceux qui pratiquent déjà ont un avantage certain.
Dubois a raison. L’EPS devrait être un moment de plaisir, pas une source d’angoisse. On dirait qu’on fabrique des compétiteurs avant de former des individus épanouis.
Franchement, je pense qu’on diabolise trop la compétition. Apprendre à gagner et à perdre, ça fait partie de la vie, non ?
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout le bazar sans nom pour organiser les équipes et les transports. On perdait plus de temps qu’on n’en passait à faire du sport.
Moi, je me demande si cette journée ne sert pas surtout à donner bonne conscience aux institutions sur le sport.
Perso, j’ai toujours trouvé la JNSS un peu artificielle. On dirait qu’on force l’enthousiasme.
Moi, j’aimerais surtout que les profs d’EPS soient mieux formés à gérer les émotions des élèves.
Moi, ce qui me frappe, c’est que la JNSS reste souvent une journée « à part », sans réel lien avec le reste de l’année scolaire. On décore un jour, puis on oublie.
Moi, je me souviens surtout de la JNSS comme d’un jour où on se sentait moins « jugé » sur ses capacités. L’ambiance était plus détendue que d’habitude en cours.
La JNSS ? Moi, c’était surtout le jour où j’espérais ne pas être choisi en dernier pour une équipe… L’humiliation assurée.
La JNSS ? Je m’en fichais pas mal. C’était juste une journée où on avait le droit de porter son jogging préféré.
La JNSS, c’était le jour où je découvrais des talents cachés chez des camarades timides. C’est ça que j’en retiens, plus que la compétition.
Je suis partagé. La JNSS, c’est l’idée d’un sport accessible, mais souvent, ça ressemble plus à une kermesse mal organisée qu’à un vrai moment sportif inclusif.
La JNSS, c’est un peu comme un vernis qu’on met sur une réalité plus complexe. On voudrait que tout le monde aime le sport, mais c’est pas si simple.
Dubois a raison. On se focalise trop sur le résultat. J’aurais aimé qu’on nous apprenne à aimer bouger, sans stress.
La JNSS? Un jour où les bons en sport brillent, et les autres… ben, ils regardent. L’écart se creuse au lieu de se réduire.
On idéalise souvent le sport. Mais pour certains, la JNSS c’est aussi la peur de l’échec devant les autres. Il faudrait peut-être plus de bienveillance.
La JNSS, c’est un peu le test grandeur nature de l’inclusion : une belle intention, mais l’exécution laisse souvent à désirer. On voit vite qui est à l’aise et qui subit.
La JNSS, c’est le seul jour où le prof d’EPS essayait d’être sympa. Ça changeait de d’habitude, mais ça ne masquait pas les complexes.
La JNSS, c’est une occasion manquée de montrer que le sport, c’est pas juste pour les athlètes. Dommage.
Le sport, ça devrait être un jeu, pas une source de stress. La JNSS devrait encourager le dépassement de soi, pas la comparaison aux autres.
La JNSS me rappelle surtout les efforts inutiles pour être à la hauteur. L’esprit d’équipe, c’était souvent une façade.
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout le bruit. Une cacophonie d’encouragements forcés et de sifflets stridents. Un peu artificiel, tout ça.
La JNSS, c’était surtout l’occasion de sécher les cours normaux, soyons honnêtes. Le sport, c’était un bonus ce jour-là.
La JNSS, c’est un peu comme la kermesse de fin d’année, mais en survêtement. On y va, sans trop savoir pourquoi.
Je me demande si cette alerte du prof Dubois ne sonne pas un peu comme un rappel à l’ordre nécessaire. On se focalise trop sur la performance et pas assez sur le plaisir de bouger ensemble.
Je me demande si cette « préparation mentale et coopérative » n’est pas juste un nouveau jargon pour éviter la compétition. Le sport, c’est aussi apprendre à gérer la pression.
Perso, la JNSS, c’était surtout le jour où je me rendais compte à quel point j’étais nul en sport. Un peu humiliant, en fait.
La JNSS, c’est vrai que ça peut être une source d’inégalités flagrantes entre ceux qui pratiquent régulièrement et les autres. Ça met en lumière des différences, parfois de manière brutale.
La JNSS ? Mouais… J’ai toujours eu l’impression qu’on simulait l’enthousiasme. Un peu comme un anniversaire forcé avec des gens qu’on n’apprécie pas forcément.
Je me demande si la JNSS n’est pas devenue une coquille vide, un rituel sans âme. On coche une case, mais on rate l’objectif.
Je pense que le problème, c’est qu’on oublie souvent que tous les enfants n’ont pas les mêmes facilités, ni le même intérêt pour le sport. Forcer l’enthousiasme, ça ne marche pas.
Je me souviens surtout de l’ambiance électrique, pas toujours positive, et de la pression de performer devant les copains. Le fun était souvent absent.
Je ne suis pas surpris. On veut faire du sport un outil de notation, alors que ça devrait être d’abord une découverte de soi et du collectif. Le plaisir avant tout!
Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on parle toujours des enfants « démotivés ». Et les profs épuisés, qui doivent organiser tout ça avec des budgets riquiqui, on en parle ?
La JNSS, c’est peut-être aussi l’occasion de faire découvrir des sports moins conventionnels et de casser les codes du « toujours plus vite, toujours plus fort ».
Je suis d’accord sur la préparation mentale. On devrait plus insister sur le dépassement de soi que sur la victoire à tout prix.
Peut-être que la JNSS gagnerait à être moins centrée sur la performance et plus sur la découverte d’activités originales.
La JNSS… J’ai toujours pensé que c’était surtout une journée où les clubs sportifs locaux venaient faire leur pub. On se sentait un peu comme du bétail à évaluer.
La JNSS, c’est surtout une journée où l’on compare les établissements, non ? Un peu comme un concours déguisé.
Je me demande si on ne met pas trop de pression sur les épaules de cette journée. C’est qu’une journée, non ?
En tant que parent, ce qui m’inquiète, c’est le message implicite : si tu n’es pas bon, tu n’as pas ta place. On devrait valoriser l’effort, pas seulement le résultat.
La JNSS… Mon fils est en situation de handicap moteur et l’intégration est souvent un vœu pieux. J’espère que cette journée ne renforce pas son sentiment d’exclusion.
La JNSS? Pour moi, c’était surtout l’occasion de sécher les cours classiques, soyons honnêtes. Personne ne se souciait vraiment de la « préparation mentale » à mon époque.
La JNSS, je m’en souviens surtout comme d’une journée banale, noyée dans le calendrier scolaire. On faisait le minimum syndical, sans âme.
La JNSS, c’est vrai qu’on en entend parler une semaine avant, et puis… plus rien. On dirait un feu de paille.
La JNSS me laisse un souvenir mitigé. Sympa pour ceux qui aiment la compétition, mais les autres ? On les laissait un peu sur le côté.
Moi, la JNSS, c’était le jour où j’ai réalisé que j’étais vraiment nul en sport. Traumatisant, en fait.
Dubois a raison. La JNSS devrait être une fête du sport, pas un tri sélectif. L’EPS c’est pas que la perf !
Moi, la JNSS, ça me fait penser à ces journées où l’école essaie de faire « moderne » mais sans vraiment y croire. Un peu artificiel comme initiative.
La préparation mentale, c’est vrai que ça change tout. J’aurais aimé qu’on nous parle de ça au collège, ça aurait rendu le sport moins intimidant.
La JNSS, c’est une journée où l’on voit bien qui a les moyens de s’acheter le bon équipement et qui ne les a pas. L’égalité des chances, on repassera.
J’ai toujours pensé que la JNSS était une occasion manquée de montrer que le sport, c’est aussi apprendre à se connaître et à s’apprécier, au-delà du chrono.
La JNSS, ça me rappelle surtout les profs qui forçaient l’enthousiasme, genre « allez, on s’amuse ! ». Ça sonnait faux, et ça me braquait encore plus.
Je me demande si cette « préparation mentale et coopérative » ne risque pas de tomber dans l’excès inverse : une compétition sans compétition… Est-ce que ça motive vraiment ?
La JNSS, je me demande si elle ne sert pas surtout à justifier le budget des profs d’EPS. On fait une journée « événement », et après ?
La JNSS ? Je m’en fichais royalement. C’était juste une journée de pause dans l’année scolaire.
La JNSS, c’est vrai que ça met la pression. J’aurais préféré qu’on insiste plus sur l’importance de bouger, peu importe le niveau.
Je me souviens surtout de la JNSS comme d’un jour où on se sentait jugé. Un peu comme un défilé de mode, mais en survêtement.
La JNSS ? Un jour où les plus sportifs brillaient et les autres se cachaient. C’était pas franchement inclusif, en fait.
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout l’odeur de la salle de sport et le bruit des baskets qui crissent. Des sensations fortes, malgré tout.
Moi, la JNSS, c’était surtout l’occasion de retrouver mes copains en dehors des cours. Le sport, un prétexte finalement.
Si seulement on nous avait appris à gérer notre stress avant ces journées… J’aurais beaucoup mieux vécu l’événement.
C’est vrai que la JNSS peut être une source de stress, mais ça reste une occasion de découvrir des sports qu’on n’aurait jamais essayés autrement.
C’est dommage que la JNSS soit devenue une source de stress. On devrait se concentrer sur le plaisir de bouger ensemble, pas sur la performance.
Préparation mentale ? C’est une bonne idée, mais je doute que ça change grand chose. Le problème, c’est surtout qu’on n’est pas tous égaux face au sport.
La JNSS, c’est surtout une journée où les profs d’EPS pouvaient enfin montrer leur boulot. Pour nous, c’était juste un jour différent, pas forcément mieux.
L’article a raison. La JNSS, c’est souvent la même rengaine : on met la charrue avant les bœufs. Apprendre à aimer l’effort, ça devrait être la base, pas un bonus.
La JNSS… ça me rappelle surtout l’angoisse de ne pas être à la hauteur. J’aurais aimé qu’on nous propose des activités moins compétitives, plus ludiques, pour que tout le monde puisse participer sans se sentir nul.
La JNSS, c’est surtout un jour où j’avais l’impression qu’on me forçait à aimer quelque chose que je n’aimais pas. Une sorte de « journée de la torture sportive ».
La JNSS… Je me souviens surtout du pique-nique géant et de l’ambiance festive, plus que des épreuves elles-mêmes. C’était une journée de détente, pas vraiment une compétition acharnée, dans mon souvenir.
Je me demande si le problème n’est pas plus large. On met beaucoup de pression sur les enfants en général, la JNSS n’en est qu’un symptôme.
La JNSS, c’était le jour où on voyait enfin les « bons » au sport briller. Pour les autres, c’était juste long.
La JNSS a toujours été une journée comme une autre pour moi. Ni stress, ni excitation, juste une pause dans le rythme scolaire.
Moi, la JNSS, ça m’a toujours semblé être un prétexte pour que l’école se donne bonne conscience sur le sport. Un jour par an, c’est un peu léger.
La JNSS ? Bof. Je trouve qu’on gagnerait plus à encourager une activité physique régulière tout au long de l’année, pas juste un jour.
Moi, ce qui me frappe, c’est le chiffre : 95% des écoles négligent la préparation mentale. C’est énorme ! On s’étonne après que les enfants soient stressés…
Je suis surpris que le professeur parle de « préparation mentale ». En EPS, on est censé bouger, pas faire de la méditation! C’est peut-être ça le problème, on intellectualise trop.
Je suis d’accord, l’aspect « compétition » prend trop le dessus. On devrait se concentrer sur le plaisir de bouger ensemble, peu importe le niveau.
Perso, je me demande si on ne surestime pas l’impact de cette journée. Les souvenirs sportifs durables, ils se créent ailleurs, dans la cour de récré, les clubs…
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout les équipes déséquilibrées et le malaise de ceux qui étaient toujours choisis en dernier. L’esprit d’équipe, on repassera.
Je comprends l’idée, mais je me demande si cette « préparation mentale » ne risque pas d’ajouter une couche de complexité inutile à un truc qui devrait rester simple : jouer.
Je me souviens surtout de la JNSS comme d’une journée où on essayait des sports qu’on ne connaissait pas. C’était ça, le plus intéressant.
La JNSS, pour moi, c’était surtout l’occasion de sécher les cours de maths ! On se retrouvait entre potes, sans pression, et c’était ça le plus important.
La JNSS, ça me faisait surtout culpabiliser de ne pas être assez sportif. Un rappel annuel de mon manque de coordination !
La JNSS, c’était surtout l’occasion de voir les profs d’EPS en survêtement toute la journée. Un spectacle rare !
La JNSS, une source de stress ? Quand j’étais gamin, c’était surtout une journée où on changeait de prof et d’activité, une rupture dans la routine.
La JNSS, ça me rappelle surtout les profs qui essayaient de nous faire aimer le sport à tout prix. Un peu forcé, le truc…
La JNSS ? Bof. Plus qu’une question de préparation, c’est surtout le manque de moyens criant dans les écoles qui gâche tout. Difficile de faire du sport avec du matériel obsolète.
La JNSS, c’est vrai que c’était souvent la même rengaine chaque année. On refaisait un peu les mêmes activités, sans grand enthousiasme. Une préparation plus innovante, ça changerait peut-être la donne.
La JNSS, c’est vrai que l’aspect « compétition » pouvait être décourageant. On se comparait beaucoup aux autres, et c’était pas toujours motivant.
La JNSS, franchement, je me demande si elle sert encore à quelque chose. On dirait une relique d’une époque où on pensait encore motiver les gamins comme ça.
La JNSS, j’y allais surtout pour l’ambiance. L’esprit d’équipe, encourager les copains, c’était ça qui comptait, pas forcément gagner.
Ce prof a raison. La JNSS devrait être une fête, pas une épreuve. On oublie trop souvent le plaisir simple de bouger ensemble.
Moi, la JNSS, c’était surtout l’occasion de sécher quelques heures de cours. Pas très glorieux, mais honnête.
La JNSS et la préparation mentale ? On dirait qu’on veut transformer les cours d’EPS en séances de développement personnel maintenant.
La JNSS, c’était surtout le jour où on voyait qui était vraiment bon… et qui ne l’était pas. L’écart se creusait bien ce jour-là.
L’anxiété avant la JNSS, je comprends. Enfant, j’avais peur de décevoir mon équipe, plus que de perdre. C’est peut-être ça, le vrai problème.
Préparation mentale, oui, mais sans tomber dans l’excès. L’idée, c’est quand même de faire du sport, pas une thérapie de groupe.
Le prof a pas tort. J’ai l’impression qu’on fait du sport pour faire du sport, sans vraiment savoir pourquoi. Un but, ça aiderait.
Moi, ce qui me frappe, c’est le « 95% des écoles ». C’est un chiffre énorme ! D’où il sort ?
Moi, la JNSS, c’était surtout la galère pour trouver une tenue de sport propre à temps. On stressait plus pour ça que pour la compétition !
Je me demande si cette « préparation mentale » ne serait pas une façon de masquer un manque de moyens ou d’infrastructures pour un entraînement sportif digne de ce nom.
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout les moqueries après une mauvaise performance. L’ambiance était rarement bienveillante.
La JNSS, c’est vrai que ça mettait une pression inutile. On se comparait trop, et on oubliait juste le plaisir de bouger ensemble.
J’ai toujours trouvé la JNSS un peu déconnectée de la réalité du quotidien. On en fait tout un plat pour un jour, alors que le reste de l’année, le sport passe souvent au second plan.
La JNSS, c’était surtout l’occasion de sécher les cours l’après-midi. On ne s’en plaignait pas, même si le sport en lui-même était secondaire.
La JNSS, c’était surtout le seul jour où on voyait d’autres établissements. C’était un peu les « Jeux Olympiques » de la région, l’esprit de compétition était cool.
La JNSS me laissait indifférent. J’étais dispensé de sport, ça ne me concernait pas vraiment.
La JNSS ? Plus qu’une journée, c’était un révélateur. Ceux qui aimaient le sport brillaient, les autres sombraient dans l’ombre. Un peu injuste, non ?
Je me souviens surtout de l’excitation du pique-nique géant et de l’ambiance festive. Le sport était presque un prétexte.
L’article pointe un vrai problème. On formate les enfants à la compétition trop tôt, on oublie que le sport, c’est d’abord du jeu.
Je suis d’accord avec l’idée que la compétition prend trop de place. J’aurais aimé qu’on nous encourage plus à trouver le sport qu’on aime vraiment, pas juste celui où il faut gagner.
C’est vrai que cette journée met l’accent sur un type de sport très précis. On pourrait imaginer des ateliers plus variés, pour que chacun y trouve son compte.
Moi, la JNSS, ça m’a surtout appris que je détestais les sports collectifs. Une bonne chose de faite, finalement.
Si 95% des écoles négligent ça, c’est grave. Mais concrètement, c’est quoi cette préparation mentale et coopérative ? Des exemples seraient bienvenus !
Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on culpabilise les profs d’EPS. Ils font déjà un boulot énorme avec peu de moyens.
La JNSS, c’était surtout le jour où je me rendais compte que j’étais moins bon que les autres. Pas très motivant, en effet.
La JNSS… J’en garde un souvenir mitigé. C’était surtout une journée où l’on mesurait les écarts, et pas forcément dans un esprit positif.
La JNSS, c’était le seul jour de l’année où mon école sortait de ses murs. Rien que pour ça, c’était une fête.
La JNSS me laissait indifférent. C’était juste une journée différente, pas forcément mieux. L’école, c’était l’école, avec ou sans sport.
La JNSS, pour moi, c’était surtout une journée où on se retrouvait entre potes, peu importe le sport. L’ambiance était sympa, plus détendue que les cours.
Je me demande si ce n’est pas une vision un peu idéalisée. La compétition, ça fait aussi partie de la vie, non ?
La JNSS ? Un vague souvenir de pique-nique et de profs qui criaient. Je ne me rappelle pas avoir appris grand-chose, ni en bien, ni en mal.
La JNSS, c’était surtout l’occasion de sécher les cours sans se faire punir. Le sport, c’était secondaire.
La JNSS, c’est devenu une course à la performance dès le primaire. L’esprit « sport pour tous » a disparu, dommage.
Peut-être que l’accent sur la compétition révèle surtout nos propres angoisses d’adultes, projetées sur les enfants ? On oublie que le sport, c’est d’abord bouger et s’amuser.
Si même un prof d’EPS le dit, c’est que le problème est réel. L’anxiété, c’est le contraire de ce qu’on devrait ressentir en faisant du sport.
Si seulement on nous avait appris à gérer la pression avant de nous lancer dans des épreuves sportives ! J’aurais peut-être moins détesté ça.
Je me demande si cette « préparation mentale et coopérative » ne risque pas de dénaturer l’esprit de compétition, qui a aussi son intérêt dans le développement personnel.
Je suis d’accord avec l’idée de réduire la pression. Peut-être qu’on pourrait organiser des mini-olympiades en amont, pour que les enfants se familiarisent avec les épreuves sans enjeu majeur.
La JNSS, c’est le jour où les gosses se rendent compte qu’ils ne sont pas tous égaux devant le sport. Dur réveil pour certains.
J’ai toujours pensé que la JNSS était une vitrine, pas une expérience formatrice. On montre ce qu’on fait, mais est-ce que ça profite vraiment aux élèves les moins à l’aise ?
J’ai toujours détesté la JNSS. J’avais l’impression d’être un produit qu’on expose, et pas un élève qui s’amuse.
La JNSS, c’était surtout l’occasion de découvrir des sports que je ne connaissais pas, même si j’étais nul. C’est dommage de ne retenir que la compétition.
La JNSS ? Moi, ça m’a surtout appris à accepter mes limites, et c’est pas si mal finalement. Pas besoin d’être un champion pour apprécier le sport.
La JNSS, c’est surtout un souvenir de survêtement trop grand et de profs qui criaient. On nous parlait jamais de plaisir, juste de performance.
La JNSS, c’était pas la panacée, mais ça m’a forcé à sortir de ma zone de confort. J’ai découvert que j’étais capable de plus que je ne le pensais.
J’ai l’impression qu’on transforme le sport en une nouvelle matière scolaire, notée et stressante. Le plaisir, il est où ?
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout les pique-niques ! Le sport, c’était secondaire, l’ambiance avec les copains beaucoup plus importante.
Je me demande si cette « préparation mentale et coopérative » ne risque pas d’être juste une autre façon de normaliser les enfants, au final.
Peut-être que le problème n’est pas la JNSS elle-même, mais plutôt la pression qu’on met sur les profs pour qu’ils « réussissent » cette journée.
J’ai toujours eu l’impression que la JNSS était plus pour les profs et l’établissement que pour nous, les élèves. Un peu comme une carte de visite sportive.
Je suis d’accord avec l’idée de la préparation mentale. On oublie que pour certains, c’est déjà une épreuve de se montrer en short devant les autres.
La JNSS, c’est vrai que ça peut être anxiogène pour ceux qui ne sont pas « sportifs » dans l’âme. On se sent vite jugé.
Dubois a raison. On se focalise trop sur l’événement unique, sans construire un rapport positif au sport au quotidien.
La JNSS ? Un jour par an, vraiment insuffisant pour développer une culture sportive durable chez les jeunes.
La JNSS… J’en garde un souvenir de journée « portes ouvertes » du sport, où les clubs locaux venaient se faire connaître. Plus un forum qu’une compétition, finalement.
La JNSS me fait penser à ces kermesses d’école où on espère que personne ne se blessera pendant la course en sac. L’important, c’est de participer, non ?
La JNSS, c’est souvent l’occasion de découvrir des sports qu’on n’aurait jamais essayés autrement. Pas besoin d’être un champion pour s’amuser !
La JNSS, c’est surtout se rappeler qu’on n’est pas tous égaux face au sport. L’école devrait compenser, pas accentuer ces différences.
Moi, ce qui me frappe, c’est le « 95% des écoles ». C’est un chiffre énorme. D’où il sort ?
La JNSS ? J’aurais aimé qu’on en profite pour apprendre à bien s’échauffer, à éviter les blessures. Des bases solides pour le sport, quoi.
La JNSS, pour moi, c’était surtout une journée où les profs pouvaient enfin souffler un peu. Les élèves s’occupent entre eux, et hop !
La JNSS… J’ai toujours trouvé ça un peu artificiel. On dirait qu’on essaie de forcer l’enthousiasme sportif un jour par an.
La JNSS me rappelle surtout les équipes choisies à la va-vite, et ceux qui étaient toujours mis de côté. Dommage.
Je me demande si cette « préparation mentale et coopérative » ne serait pas juste une excuse pour éviter la compétition, qui pourtant fait partie de la vie.
La JNSS, c’était souvent le jour où les « bons » se mettaient en avant et les autres se sentaient encore plus nuls. Un vrai révélateur d’inégalités.
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout le stress de ne pas être à la hauteur devant les autres. C’était plus une source d’angoisse qu’autre chose.
Je me souviens surtout du bazar organisé, un joyeux chaos où chacun faisait un peu ce qu’il voulait. Pas vraiment de préparation, mais beaucoup de rires.
La JNSS, c’était surtout une journée où on voyait les profs essayer de nous vendre le sport comme une fête, alors que la réalité, c’était les mêmes qui restaient sur la touche.
Franchement, la JNSS, ça a toujours été un jour de pause dans l’année scolaire. Je n’ai jamais eu l’impression qu’on prenait ça au sérieux.
Le titre est alarmiste, mais le fond est pertinent. La JNSS devrait être un tremplin, pas un couperet.
Ce professeur a raison. On oublie souvent que le sport doit être avant tout un plaisir, pas une source de pression supplémentaire.
J’ai toujours pensé que la JNSS était une vitrine pour l’établissement, plus qu’une réelle opportunité pour les élèves de s’épanouir. On met l’accent sur la performance, pas sur le plaisir de bouger ensemble.
En tant que parent, je me demande si on évalue vraiment l’impact de cette journée sur l’estime de soi de nos enfants. C’est peut-être plus négatif que positif pour beaucoup.
La JNSS, pour moi, c’était surtout l’occasion de tester des sports nouveaux. Pas de pression, juste de la découverte. L’approche compétition, c’est peut-être pas la seule voie.
Je me demande si l’anxiété est vraiment liée à la JNSS elle-même ou à la pression scolaire en général. Peut-être que la JNSS est juste le symptôme d’un problème plus vaste.
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout les gamins qui découvraient enfin un sport qui leur plaisait. C’était pas parfait, mais y’avait de vraies étincelles.
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout les dispenses… Une aubaine pour glander au foyer, soyons honnêtes. Le sport, c’était pas ma tasse de thé.
L’article pointe un truc important : le sport, c’est pas que pour les « sportifs ». Il faut penser à ceux qui n’aiment pas la compet’.
La JNSS, c’est un peu comme un buffet : y’a de tout, mais on finit souvent par manger la même chose. L’idée d’une préparation plus axée sur le « vivre ensemble » me semble plus pertinente que la course à la médaille.
La JNSS ? Bof. J’ai toujours trouvé ça hyper genré. Les filles font de la danse, les garçons du foot. C’est dommage.
La JNSS, ça a toujours été le bazar dans mon collège. On nous disait de participer, mais on se sentait jamais vraiment encadrés ou préparés. C’était plus une journée de chaos organisé qu’autre chose.
C’est vrai que la JNSS peut vite devenir une source de stress, surtout quand on n’est pas naturellement sportif. On a l’impression qu’il faut absolument performer.
La JNSS ? Une journée où l’on voit clairement ceux qui ont les moyens de pratiquer un sport régulièrement et ceux qui galèrent. L’égalité des chances, on repassera.
La JNSS ? Mouais. J’ai l’impression que ça sert surtout à valoriser l’établissement. On met en avant les quelques bons résultats, et on oublie le reste.
La JNSS, c’est surtout l’occasion de tester des sports qu’on ne ferait jamais autrement. Dommage qu’on ne se concentre pas plus là-dessus plutôt que sur la performance.
Perso, je me demande si la JNSS a encore un sens à l’heure des écrans omniprésents. Est-ce qu’une journée suffit à réveiller l’envie de bouger ?
La JNSS, c’est souvent l’occasion manquée de montrer que le sport, c’est aussi un outil pour se sentir bien dans sa peau, pas juste une arène de compétition. Dommage.
C’est bien de rappeler que le sport, c’est aussi apprendre à se connaître et à gérer ses émotions, pas seulement battre un chrono. On oublie trop souvent cet aspect.
Je me demande si ce n’est pas aussi une question de moyens. Certaines écoles ont des installations et des équipes formées, d’autres beaucoup moins. Difficile d’être égalitaire dans ces conditions.
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout les dispensés qui glandouillaient pendant que les autres transpiraient. Drôle d’incitation à l’effort.
En tant qu’ancien élève complexé par mon manque de coordination, je compatis. Une approche moins compétitive aurait rendu cette journée moins pénible.
Je trouve ça bien de pointer du doigt la négligence de la préparation mentale. C’est crucial pour le bien-être des enfants, au-delà de la performance physique.
La JNSS ? Pour moi, c’était surtout une journée de stress pour trouver une excuse valable pour ne pas y participer. Je préférais largement lire un bon livre.
La JNSS, une corvée ? Pas forcément. Moi, j’y voyais surtout une journée de détente, un break dans le rythme scolaire, même si le sport n’était pas ma tasse de thé.
La JNSS, c’était surtout une logistique infernale pour les parents ! Trouver un certificat médical en urgence, l’équipement adéquat… Un vrai casse-tête !
La JNSS, c’est avant tout une vitrine. On montre ce qu’on sait déjà faire, rarement l’occasion d’apprendre vraiment. Un peu hypocrite, non ?
Franchement, la JNSS, j’ai l’impression que c’est plus pour faire joli sur le papier qu’autre chose. On coche une case « promotion du sport », et hop !
La JNSS? Mouais… Je me souviens surtout des équipes déjà formées à l’avance, les copains entre eux. Pas facile de s’intégrer si on n’était pas « dans le coup ».
La JNSS, ça devrait être une fête du sport pour tous, pas un mini-JO. Dommage qu’on perde ça de vue.
On oublie souvent que le sport, c’est d’abord du jeu, du plaisir de bouger ensemble.
La JNSS me fait penser aux profs qui forçaient les timides à danser. C’était censé être fun, mais l’humiliation restait.
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout le bordel monstre dans les gymnases. Impossible de se concentrer, une cacophonie sans nom.
Ce prof a raison. La compétition à outrance, c’est le meilleur moyen de dégoûter les gamins du sport. On devrait plus miser sur le fun.
Je me demande si cette « préparation mentale » n’est pas juste une autre façon de mettre la pression, mais différente.
La JNSS, c’est vrai qu’on insiste trop sur la performance. Moi, j’aurais aimé qu’on nous explique *pourquoi* le sport est important, au-delà de gagner une médaille.
La JNSS, c’est l’occasion manquée de montrer que le sport, c’est aussi de l’inclusion. On rate une chance de fédérer au-delà des performances.
La JNSS, c’est surtout le jour où je réalisais à quel point j’étais mauvais en sport. Un vrai révélateur de médiocrité, plus qu’une fête.
La JNSS, c’est un peu comme un test grandeur nature de l’estime de soi. On voit bien qui se sent à l’aise et qui se cache.
La JNSS, c’est aussi le jour où certains découvrent qu’ils ne sont pas faits pour le sport collectif. On devrait peut-être plus valoriser les activités individuelles.
L’article me parle. J’ai toujours détesté cette journée. L’idée de me mesurer aux autres me tétanisait.
Je suis d’accord sur l’importance de la préparation mentale, mais je pense aussi que certains enfants adorent la compétition et qu’il ne faut pas les en priver sous prétexte que d’autres sont moins à l’aise.
On oublie trop souvent que le sport doit d’abord être une source de bien-être, pas une source de stress. La JNSS devrait être repensée dans ce sens.
La JNSS… J’ai l’impression qu’elle est plus pour valoriser l’établissement que les élèves. On sent toujours la pression de « bien faire » pour l’image de l’école.
Le problème, c’est pas tant la JNSS elle-même, mais le manque de moyens pour vraiment bien l’organiser. On fait avec ce qu’on a, souvent… et forcément, ça se ressent sur l’expérience des élèves.
Moi, la JNSS, ça me rappelle surtout les dispensés qui squattaient le gymnase à rien faire. On pourrait peut-être les inclure davantage, non ?
La JNSS ? Mouais… J’ai jamais compris l’intérêt de forcer tout le monde à faire du sport un jour précis. Laissez les enfants tranquilles, ils bougent déjà assez sur TikTok.
Préparation mentale, vraiment ? Moi, ce qui me manque, c’est du matériel en état, et des vestiaires propres.
La JNSS, c’est un souvenir vague de cris et de sifflets. Je me souviens surtout de l’odeur de la sueur et de la terre battue. Pas vraiment motivant, en fait.
La JNSS, c’était surtout un casse-tête pour les parents qui travaillent : comment habiller le petit, qui le récupère, à quelle heure ? L’aspect sportif était secondaire, au final.
La JNSS, c’est un peu la cour de récré géante, non ? L’ambiance bon enfant me manque, même si je n’étais pas un grand sportif.