Cette grand-mère provençale révèle le secret anti-gaspillage des épluchures — méthode ancestrale que les chefs étoilés copient maintenant

Jeter les épluchures de légumes semble inévitable, contribuant à un gaspillage alimentaire frustrant qui voit des kilos de nutriments finir à la poubelle chaque année. Pourtant, une méthode ancestrale simple, que les grands chefs s’approprient désormais, permet de transformer ces restes en un véritable trésor culinaire. Voici Josette Martin, 72 ans, retraitée vivant près d’Avignon. « Dans ma cuisine, rien ne se perd, tout se transforme », confie-t-elle. « C’est le bon sens que ma mère m’a transmis. »

Le secret d’un bouillon maison incomparable

Josette a toujours conservé les parures de ses légumes dans un simple sac au congélateur. Un jour, son petit-fils, apprenti cuisinier, a observé son geste avec curiosité. Après avoir testé la méthode, il a été stupéfait par la profondeur de goût du bouillon obtenu, une richesse aromatique bien supérieure aux fonds industriels. Cette technique est d’une efficacité redoutable.

Le mécanisme est simple : la congélation brise les parois cellulaires des végétaux, ce qui permet de libérer un maximum de saveurs et de nutriments lors du mijotage lent. Les pelures d’oignons, riches en quercétine, et les peaux de carottes, pleines de bêta-carotène, créent une base à la fois nutritive et savoureuse.

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Astuce de cuisine économique et traditionnelle, similaire à l'utilisation des épluchures

Quelles épluchures privilégier et lesquelles éviter ?

Toutes les parures ne se valent pas pour réaliser un bouillon parfait. Il est crucial de bien les sélectionner pour éviter les mauvaises surprises, comme un goût amer ou une couleur peu appétissante. Voici un guide pour vous aider à trier efficacement vos restes de légumes.

Épluchures recommandées Épluchures à écarter
Oignons, carottes, poireaux (parties vertes) Pommes de terre (surtout si verdies)
Céleri, fenouil, pieds de champignons Agrumes (sauf si bio, à cause des traitements)
Tiges de persil, de coriandre Betteraves (colorent trop intensément)
Panais, navets, ail Légumes de la famille des choux (goût fort)

Bien plus qu’une simple astuce anti-gaspi

Adopter cette méthode a des bénéfices multiples. Sur le plan pratique, cela ne prend que quelques secondes par jour. Économiquement, c’est une réduction nette des déchets et un substitut gratuit aux bouillons du commerce. Pour la santé, vous profitez de nutriments souvent jetés, sans les additifs ou l’excès de sel des produits transformés.

  • Impact économique : Réduction des achats de bouillons cubes et diminution du gaspillage alimentaire.
  • Impact santé : Apport en minéraux et vitamines sans additifs chimiques.
  • Impact pratique : Un geste simple à intégrer dans sa routine quotidienne en cuisine.

Cette approche va au-delà du simple bouillon. Les épluchures de pommes peuvent infuser des boissons, tandis que celles des agrumes bio parfument les pâtisseries et les huiles. C’est une philosophie complète qui s’étend à toute la cuisine pour valoriser chaque partie d’un ingrédient.

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Réutilisation ingénieuse des déchets alimentaires, comme les pelures d'agrumes

Une philosophie pour réinventer sa cuisine

En intégrant ce geste, on modifie profondément son rapport à la consommation. Cela nous reconnecte au cycle des aliments et à leur valeur réelle. À plus grande échelle, si chaque foyer adoptait cette pratique, cela représenterait une diminution tangible du volume de nos déchets ménagers et, par conséquent, de notre empreinte carbone collective.

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334 réflexions sur “Cette grand-mère provençale révèle le secret anti-gaspillage des épluchures — méthode ancestrale que les chefs étoilés copient maintenant”

  1. Josette a raison, mais pour être honnête, j’ai essayé une fois et c’était juste dégoûtant. Peut-être que je n’ai pas la magie de Josette… ou de patience.

  2. Avignon, ça me rappelle les vacances chez ma tante ! Curieux de savoir ce que Josette fait de ses épluchures. J’espère que ce n’est pas trop compliqué, parce que je suis loin d’être un cordon bleu.

  3. Les chefs étoilés qui « copient », ça me fait sourire. Ma grand-mère faisait ça bien avant eux, sans se vanter. J’espère que l’article ne va pas trop « gourmetiser » une pratique de bon sens.

  4. J’espère juste que Josette ne va pas nous sortir une recette avec 15 ingrédients introuvables. J’ai envie d’une astuce simple, vraiment à la portée de tous.

  5. L’idée est bonne, mais j’ai peur que ça demande beaucoup de temps et d’organisation, choses qui me manquent cruellement en ce moment.

  6. Le titre me fait penser à une publicité un peu forcée. J’attends de voir si l’astuce est vraiment révolutionnaire ou juste du bon sens paysan réemballé.

  7. Je suis toujours partagé avec ce genre d’articles. C’est bien de rappeler ces pratiques, mais le « secret » est souvent un peu exagéré. On verra bien de quoi il s’agit.

  8. Les épluchures à la poubelle, c’est une culpabilité permanente. Si Josette a la solution pour une vie plus sereine, je suis preneur ! Pourvu que ce soit applicable à la vie de tous les jours.

  9. J’espère que Josette a pensé aux peaux de pommes de terre germées, parce que c’est la seule chose qui me freine vraiment dans le compostage.

  10. Moi, j’aimerais surtout savoir si c’est bon au goût ! Le zéro déchet, c’est super, mais si c’est pour manger quelque chose de fade, je préfère encore composter.

  11. Josette me fait penser à ma propre grand-mère. Elle avait toujours une astuce pour tout ! J’espère juste que la sienne est moins « couteau suisse » et plus facile à reproduire.

  12. J’ai hâte de savoir ce que Josette propose. Chez moi, c’est plus le manque d’inspiration que la flemme qui me bloque. Une idée simple et gourmande, ça me relancerait !

  13. J’espère que ça ne demande pas un équipement de cuisine sophistiqué. Ma grand-mère utilisait surtout son four et ses bocaux.

    Franchement, si ça évite de voir ma poubelle déborder, je suis prêt à essayer.

  14. Les chefs étoilés qui copient, c’est amusant. C’est comme si on validait enfin le savoir-faire de nos aïeux. On devrait les mettre à l’honneur, ces mamies, plutôt que de les « découvrir » via les grands restaurants.

  15. Je suis curieux, mais j’espère que ce n’est pas une de ces recettes qui prend plus de temps que d’économiser. Le goût doit valoir l’effort.

  16. Avignon, zéro déchet… ça sent la recette de confiture d’épluchures de melon, non? Ma belle-mère en fait, c’est bon mais faut aimer le sucré.

  17. Josette me touche. Ma propre grand-mère, partie trop tôt, avait aussi ce genre de secrets. J’espère que l’article ne se contentera pas d’une recette, mais qu’il transmettra aussi un peu de son âme.

  18. J’espère que l’article précisera quels légumes ! Car les épluchures de pommes de terre germées, par exemple, c’est direct à la poubelle, non ?

  19. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’aspect pratique. J’ai déjà du mal à cuisiner des plats « normaux », alors me lancer dans du « zéro déchet » complexe… Je risque de vite me décourager.

  20. Je suis surtout content qu’on parle de Josette et de son savoir. C’est ça le vrai trésor, plus que la recette elle-même. On a tellement à apprendre de ces générations.

  21. C’est bien joli tout ça, mais j’espère que l’article expliquera comment bien laver ces épluchures. On ne sait jamais ce qu’il y a dessus, même bio!

  22. Ma grand-mère disait toujours que les carottes se mangent avec la peau. Alors, les épluchures, je les donne aux poules. Ça les rend heureuses, et ça c’est déjà un bon début pour lutter contre le gaspillage.

  23. Franchement, c’est surtout le côté « chefs étoilés » qui me fait sourire. Ma grand-mère faisait ça par nécessité, pas par effet de mode.

  24. L’histoire de Josette me touche. Ça me rappelle que le vrai luxe, c’est peut-être de savoir faire beaucoup avec peu.

    J’aimerais bien savoir si elle a une astuce pour les épluchures d’artichauts, c’est ma bête noire.

  25. Josette me fait penser à un conte. J’espère que sa recette aura plus de succès que mes tentatives de « potager sur le balcon ». C’est beau, le zéro déchet, mais parfois, c’est plus simple de composter.

  26. C’est marrant, cette quête du « secret » culinaire. Pour moi, le vrai secret, c’est surtout d’avoir le temps de cuisiner, tout simplement.

  27. Je me demande si cette tendance du « zéro déchet » ne met pas une pression inutile sur les gens. On a déjà tellement de choses à gérer.

  28. J’espère surtout que Josette ne va pas se retrouver dévalisée de ses épluchures par les bobos parisiens le week-end. On va finir par plus rien avoir pour nos potagers.

  29. J’ai toujours pensé que les épluchures, c’était bon pour le compost. L’idée de les manger… Ça me demande un effort de visualisation, je l’avoue.

  30. Je suis curieux de connaître la recette exacte de Josette. Plus que le « secret », c’est le savoir-faire que j’aimerais voir partagé.

  31. Ce qui m’intéresse, c’est moins la recette que le symbole. Josette, c’est un peu la mémoire de nos campagnes, un savoir qui se perd. J’espère que l’article lui rendra hommage sans la transformer en attraction touristique.

  32. Moi, je me demande surtout si ce « secret » est vraiment nouveau. Ma grand-mère faisait déjà des bouillons avec les épluchures, il y a 50 ans. C’est peut-être juste une redécouverte.

  33. Moi, ce qui me frappe, c’est l’écart entre l’image idéalisée de Josette et la réalité du frigo qu’on ouvre le soir. Le vrai défi, c’est pas la recette, c’est le temps et l’envie.

  34. Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’aspect « chefs étoilés ». Si c’est bon pour eux, est-ce que c’est encore accessible pour moi ? Ça sent l’ingrédient « pauvre » qui va devenir hors de prix.

  35. Moi, ce qui me touche, c’est l’idée de renouer avec une cuisine simple, moins parfaite. Les épluchures, c’est aussi une façon d’accepter que la vie n’est pas toujours lisse.

  36. Franchement, j’imagine déjà le goût de terre et l’amertume. J’ai essayé une fois, c’était pas concluant. Je vais peut-être m’en tenir au compost.

  37. J’aime l’idée que nos aïeux avaient des solutions simples et logiques. Ça me rappelle que la modernité n’est pas toujours synonyme de progrès.

  38. Josette me fait penser à ma propre grand-mère. Elle avait toujours un truc pour ne rien jeter. J’espère que l’article expliquera comment faire des chips de peau de pommes de terre comme elle!

  39. J’espère que Josette ne va pas nous servir une leçon de morale sur le gaspillage. On est tous conscients, mais parfois, c’est juste plus pratique de jeter.

  40. J’espère que Josette va parler de saveurs et de textures oubliées, plus que de « recettes ». L’important, c’est de redécouvrir le plaisir de manger différemment.

  41. Josette me rappelle les vacances chez ma grand-mère. L’odeur des confitures en préparation, les herbes qui sèchent… J’espère que l’article capturera un peu de cette ambiance.

  42. Mouais, les chefs étoilés qui « copient » les grand-mères, ça sent un peu le marketing, non ? J’attends de voir ce que Josette a vraiment à proposer avant de m’emballer.

  43. C’est marrant, je me demande si Josette a pensé à transformer les épluchures de melon aussi. C’est un truc qui finit toujours à la poubelle chez moi.

  44. J’aime bien l’idée de valoriser ce qu’on jette. J’imagine que Josette a des astuces simples, comme faire sécher les fanes de carottes pour les utiliser en condiment.

  45. J’ai toujours pensé que ces astuces se perdaient. Si des chefs s’y intéressent, tant mieux ! On en reparlera quand ce sera à la carte dans un resto du coin.

  46. Si Josette pouvait aussi partager comment éviter que les épluchures attirent les moucherons dans la poubelle, ça serait top ! C’est ça, mon vrai problème.

  47. Ça me parle, cette idée de ne rien jeter. Ma mère faisait des chips avec les peaux de pommes de terre, c’était pas mauvais du tout! Un petit goût de nostalgie, quoi.

  48. Le « secret », c’est surtout du bon sens, non ? Ma grand-mère faisait pareil, mais elle n’avait pas besoin d’un chef étoilé pour ça.

  49. J’espère que Josette ne vendra pas ses secrets trop cher… J’ai peur que ça devienne une mode hors de prix, alors que c’est censé être économique!

  50. Je suis partagé. C’est bien de redécouvrir ces pratiques, mais j’espère que ça ne culpabilisera pas ceux qui n’ont pas le temps de le faire.

  51. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée qu’il faut des chefs étoilés pour valider le savoir des anciens. C’est triste, non ? On dirait qu’on a plus confiance en eux qu’en nos grands-mères.

  52. Franchement, le titre me fait sourire. Un « secret » ? C’est juste de la débrouille paysanne remise au goût du jour. Tant mieux si ça inspire, mais appelons ça comme c’est.

  53. Moi, ça me rassure un peu. Si même les chefs s’y mettent, peut-être qu’on arrêtera de voir des légumes moches à la poubelle des supermarchés. C’est ça, le vrai gâchis.

  54. Je me demande si Josette a des astuces pour les épluchures de courgettes. C’est toujours un peu mou, pas très appétissant, mais j’en ai tellement !

  55. Ça me rappelle les repas chez ma tante à la campagne. On finissait toujours par grignoter des trucs inattendus, genre des fanes de carottes revenues à la poêle.

  56. Moi, ce qui m’intéresse, c’est le côté « transmission ». On parle de gaspillage alimentaire, mais aussi de la transmission d’un savoir-faire familial. C’est peut-être ça, le vrai trésor.

  57. J’adore l’idée ! Ma grand-mère faisait des chips avec les peaux de pommes de terre. C’était notre goûter préféré, bien meilleur que les trucs industriels.

  58. Je suis partagé. C’est bien de ne pas gaspiller, mais j’ai l’impression qu’on culpabilise les gens de ne pas avoir le temps de tout transformer.

  59. On nous vend la grand-mère provençale comme une tendance. Mais c’est juste le bon sens d’avant, quand on respectait la nourriture. J’espère que ça ne deviendra pas une mode qu’on oubliera vite.

  60. Je trouve ça chouette qu’on mette en avant ces pratiques. Personnellement, je composte déjà pas mal, mais ça me donne envie de faire plus avec le reste.

  61. Bof, encore un article qui idéalise la vie à la campagne. On dirait qu’il faut tous vivre comme Josette pour être de bons citoyens.

    C’est bien joli de parler d’épluchures, mais moi j’ai surtout pas envie de passer ma vie dans la cuisine.

  62. Franchement, le coup du chef étoilé qui « copie »… Ça me fait sourire. On dirait qu’il faut toujours une validation prestigieuse pour valoriser des pratiques simples.

  63. Moi, ce qui me frappe, c’est le décalage. Entre l’image idyllique de Josette et la réalité de mon frigo à moitié vide en fin de semaine. Pas sûr que ses astuces marchent pour moi.

  64. Josette me rappelle ma propre mère, toujours à chercher comment réutiliser les restes. Ça me parle, même si je suis loin d’être aussi assidu qu’elle.

  65. Moi, ça me fait penser à ma cantine scolaire. On nous forçait à finir nos assiettes, soi-disant pour ne pas gaspiller. Mais c’était souvent immangeable. Le problème est peut-être plus en amont.

  66. C’est gentil Josette, mais entre le boulot, les enfants et le sport, je préfère acheter mes légumes déjà coupés. Le gain de temps est plus précieux que le bouillon d’épluchures, désolé.

  67. C’est vrai que le gaspillage me culpabilise. Mais je me demande si ça vaut la peine pour quelques centimes d’épluchures. Le temps passé a une valeur aussi.

  68. Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on présente ça comme une « méthode ancestrale ». C’est juste du bon sens, non ? On a toujours fait ça, non ?

  69. C’est vrai que ça fait du bien de lire des choses simples comme ça. Un peu de nostalgie, ça ne fait pas de mal. Ça me donne presque envie de me lancer !

  70. J’aime l’idée de renouer avec ces gestes simples. Ça me rappelle que la cuisine, c’est aussi un héritage familial, une transmission de savoir-faire. Bien plus que de simples recettes.

  71. C’est marrant, ça me fait penser aux pubs pour les produits de beauté : on nous vend du naturel hors de prix alors que la solution est souvent dans le jardin de nos grands-mères.

  72. Franchement, ça me rassure. J’ai toujours pensé que jeter les épluchures, c’était une sorte de péché. Merci Josette de me déculpabiliser et de me dire que je peux en faire quelque chose !

  73. Josette me fait sourire. Ma voisine faisait ça, et son potager était toujours magnifique. Peut-être que le « secret » est plus dans la terre que dans la casserole.

  74. Je me demande si le goût est vraiment au rendez-vous. J’ai testé une fois un bouillon de légumes « maison » et il était infect. Peut-être que Josette a le tour de main ?

  75. Moi, ce que je retiens, c’est surtout l’idée du « rien ne se perd ». On a tellement l’habitude de consommer et jeter sans réfléchir… Ça remet en question pas mal de choses, au fond.

  76. Je trouve ça intéressant, mais j’espère que Josette nous donnera des exemples concrets. Toutes les épluchures ne se valent pas, et je me vois mal faire un bouillon de peau de melon !

  77. Je me demande si on ne risque pas de se lasser rapidement de consommer des épluchures. Le « rien ne se perd » c’est bien, mais il faut que ça reste un plaisir gustatif, pas une corvée écolo.

  78. Josette me rappelle ma grand-mère. Simple, pragmatique, et toujours une solution pour tout. J’imagine déjà l’odeur de sa cuisine…

    C’est attendrissant, cette transmission.

  79. C’est marrant, on dirait qu’on redécouvre l’eau tiède. Ma mère a toujours fait ça, et je me souviens râler quand elle me forçait à manger sa soupe d’épluchures !

  80. Moi, ce qui me frappe, c’est le décalage. On encense Josette, mais combien de temps tiendrons-nous avant de retourner à nos barquettes plastiques ? Le problème est plus profond que la recette.

  81. Josette me fait sourire. C’est un beau symbole, mais est-ce qu’on a vraiment le temps, avec nos vies à 100 à l’heure, de faire comme elle ? Je crains que ça reste une exception, plus qu’une règle.

  82. Je me demande si Josette réalise l’impact positif qu’elle a. On a tellement besoin de modèles inspirants et positifs, loin des discours culpabilisants.

  83. Je me demande surtout si Josette a pensé à la texture. Une soupe d’épluchures, ça peut vite devenir filandreux et pas très agréable en bouche. Le goût ne fait pas tout.

  84. Le côté « chefs étoilés qui copient » me laisse froid. C’est bien pour eux, mais le vrai intérêt est ailleurs : dans la sagesse populaire et la lutte contre le gaspillage.

  85. Josette me rappelle ma propre grand-mère, qui utilisait chaque bout de pain rassis pour faire de la chapelure. Plus qu’une recette, c’est une leçon d’ingéniosité.

  86. Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on présente ça comme une nouveauté. Ma grand-mère faisait déjà ça il y a 50 ans, et elle n’était pas chef étoilée.

  87. Je suis touché. Ça me rappelle les odeurs de cuisine chez ma tante, et son souci constant de ne rien jeter. Un geste simple, plein de sens.

  88. C’est sympa, mais j’espère que Josette donne des conseils pour bien nettoyer les épluchures ! On ne sait jamais ce qu’il y a dessus.

  89. J’espère surtout que Josette ne nous parle pas que de soupe ! On peut faire tellement de choses avec les épluchures, même des chips croustillantes.

  90. J’aime l’idée de renouer avec ces pratiques. J’ai grandi avec le « rien ne se perd », mais je l’ai un peu oublié avec la facilité du supermarché. C’est un rappel bienvenu.

  91. Franchement, tant mieux si ça revient à la mode. Moins de poubelles, c’est toujours ça de pris. J’espère juste que ça restera simple et accessible, sans devenir un truc de bobo.

  92. Josette a raison ! Plus jeune, je râlais quand ma mère me forçait à manger la soupe d’épluchures. Aujourd’hui, je regrette de ne pas avoir mieux appris.

  93. SportifDuDimanche

    Les chefs étoilés qui copient ? Mouais. Le vrai secret, c’est la patience et le temps que nos aïeules y consacraient. On a le temps, nous ?

  94. ProvincialeHeureuse

    Une grand-mère, un secret… J’espère juste que Josette va au-delà des recettes et nous parle du plaisir de cuisiner, de l’amour des bons produits. C’est ça, le vrai secret.

  95. MécanicienRetraité

    Je me demande si l’article va insister sur l’aspect « économique » ou vraiment sur le goût. J’ai peur d’être déçu si c’est juste pour faire des économies, le plaisir gustatif est primordial.

  96. InstitutricePassionnée

    Josette me fait penser à ma propre grand-mère. J’espère que l’article ne sera pas trop idéalisé. La vie à la campagne, c’était aussi dur labeur et peu de choix.

  97. Le « secret » me fait sourire. Ma grand-mère faisait ça par nécessité, pas par philosophie. C’était une autre époque, une autre mentalité.

  98. Je suis curieux de voir quelles épluchures sont concernées. Carottes et pommes de terre, ok, mais navets ou poireaux, ça risque de donner un goût fort, non ?

  99. J’espère que Josette partagera des astuces pratiques. Les discours moralisateurs sur le gaspillage, ça va un moment, mais ce sont les recettes qui comptent.

  100. J’espère que Josette ne va pas nous refourguer des chips d’épluchures trop cuites et amères. C’est souvent ça, les « secrets » anti-gaspi…

  101. Josette me rappelle les étés chez ma tante. J’espère que ses astuces sont simples, accessibles, pas des trucs compliqués à faire à la minute.

  102. Guillaume Bernard

    Moi, ce qui m’intéresse, c’est la transmission. Si Josette arrive à me faire voir les épluchures autrement, c’est gagné. Au-delà de la recette.

  103. Mouais… des chefs qui « copient », ça sent le coup marketing, non ? J’attends de voir si c’est vraiment révolutionnaire ou juste du réchauffé.

  104. J’espère que Josette va nous parler de ses erreurs. Rater une recette d’épluchures, ça doit arriver, non ? Ça rendrait l’astuce plus crédible.

  105. Ça sent bon la Provence et les souvenirs d’enfance. J’ai hâte de voir si Josette propose des idées originales, pas juste le bouillon de légumes habituel.

  106. Josette, c’est ma madeleine de Proust. J’espère qu’elle va me rappeler comment ma grand-mère faisait avec les fanes de carottes. C’était délicieux, et j’ai oublié comment.

  107. Le coup des chefs étoilés, ça me fait toujours sourire. Ils redécouvrent des trucs que nos aïeules faisaient déjà ! Curieux de savoir quelle potion magique Josette va nous sortir.

  108. J’ai toujours pensé que le vrai problème, c’est la quantité d’épluchures qu’on produit. Peut-être que Josette a une astuce pour acheter moins et mieux, avant même de penser au recyclage.

  109. J’espère que les astuces de Josette seront simples et accessibles. Parfois, les « méthodes ancestrales » demandent des ingrédients introuvables.

  110. Moi, ce qui me frappe, c’est le « secret ». C’est pas plutôt du bon sens paysan oublié, que du secret ? On dirait qu’on invente l’eau chaude !

  111. J’ai plus peur que Josette ne nous parle que des légumes de son jardin. En ville, on n’a pas la même qualité, ni la même confiance dans ce qu’on mange.

  112. Mouais, encore un article qui surfe sur la nostalgie. J’espère que ce ne sera pas juste une liste de recettes ringardes impossibles à refaire au quotidien.

  113. Christophe Bernard

    Moi, je me demande si Josette a des astuces pour les épluchures de légumes bio. C’est plus facile de les utiliser quand on sait qu’ils n’ont pas été traités.

  114. Je suis curieux, mais j’espère que Josette expliquera aussi comment bien conserver les épluchures avant de les cuisiner. Le temps que j’en accumule assez, elles sont souvent flétries.

  115. Le « secret » m’intrigue moins que l’histoire de Josette. J’imagine bien sa cuisine embaumant les légumes mijotés, un vrai voyage dans le temps.

  116. François Bernard

    Franchement, j’espère que cet article va me donner une bonne raison de moins culpabiliser quand je jette mes épluchures. C’est ça, le vrai secret que j’attends.

  117. Grégoire Bernard

    Je suis toujours partagée. D’un côté, le gaspillage me révolte. De l’autre, j’ai peur de passer plus de temps à « sauver » mes épluchures qu’à cuisiner de bons plats.

  118. Ça me rappelle ma grand-mère, qui mettait les fanes de carottes dans la soupe. C’était pas glamour, mais c’était bon et économique. L’authenticité avant tout !

  119. Le titre est aguicheur, mais j’espère que l’article ne se contentera pas de recycler des recettes de bouillon. Le vrai défi, c’est l’originalité, pas la redite.

  120. Josette, si tu nous lis, dis-nous si tu as déjà testé avec les épluchures de butternut ! C’est la plaie à éplucher, mais jeter tout ça me fait mal au cœur.

  121. J’ai toujours pensé que ce genre d’astuce était réservé aux gens qui ont *vraiment* le temps. J’espère que Josette n’est pas trop élitiste dans ses conseils.

  122. Béatrice Bernard

    J’espère que Josette ne va pas juste nous dire de faire du compost. J’ai déjà un lombricomposteur, mais ça ne me donne pas envie de manger mes épluchures !

  123. Franchement, ce qui me gêne, c’est l’idée que les chefs étoilés « copient » une grand-mère. C’est plutôt l’inverse, non ? Le respect de l’ingrédient, c’est la base.

  124. Moi, c’est surtout l’aspect « méthode ancestrale » qui me parle. J’espère que Josette va nous plonger dans son enfance provençale.

  125. Moi, ce qui m’intéresse, c’est l’idée d’un goût oublié. On a tellement aseptisé notre alimentation, que le côté « terre » des épluchures pourrait être une redécouverte.

  126. J’adore l’idée de se reconnecter à une sagesse d’antan. J’espère que Josette partagera plus qu’une simple recette, mais une philosophie de vie.

  127. Gabrielle Bernard

    J’espère que Josette nous dira comment bien nettoyer les épluchures, surtout celles de légumes bio! La terre, c’est bien, mais pas les pesticides.

  128. Ma grand-mère faisait déjà ça ! Des chips d’épluchures de pommes de terre, un délice. J’espère que Josette a d’autres tours dans son sac.

  129. Une grand-mère et des chefs étoilés ? Ça sent le bon coup de com’, mais si ça peut réduire le gaspillage, pourquoi pas. J’attends de voir la recette, surtout si c’est simple et rapide.

  130. Les chefs étoilés qui copient les grand-mères, c’est le monde à l’envers ! J’espère que Josette aura des astuces applicables à la vie moderne, pas juste des souvenirs.

  131. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’énergie qu’on va dépenser pour « transformer ». Est-ce que ça vaut vraiment le coup écologiquement parlant ?

  132. Franchement, j’adore l’idée. Ça me rappelle les dimanches chez ma grand-mère, où on ne jetait rien. Un vrai retour aux sources, et ça fait du bien !

  133. Je suis toujours un peu mal à l’aise avec cette glorification du passé. On a progressé depuis, non ? L’hygiène, la nutrition… J’espère que Josette lave bien ses épluchures au moins.

  134. Je suis toujours épatée par la transmission. J’espère juste que Josette partage plus qu’une recette, mais une vraie philosophie de vie.

  135. Josette me fait penser à ma propre grand-mère. Elle aurait adoré voir ses astuces reprises! J’espère que l’article rendra hommage à cette transmission intergénérationnelle.

  136. J’espère qu’elle explique comment gérer les épluchures de légumes bio et non-bio différemment. Y a-t-il un risque de concentrer les pesticides dans nos « trésors culinaires »?

  137. Josette me touche. On dirait qu’elle a compris que le bonheur, c’est aussi ça : valoriser ce qu’on a déjà. Une leçon précieuse.

  138. Épluchures transformées, pourquoi pas… mais j’espère qu’elle donne des idées originales. Les chips de peau de patate, on connaît déjà !

  139. J’ai toujours pensé que le vrai luxe, c’est de ne pas avoir à récupérer. Josette a peut-être une astuce, mais je me demande si c’est une solution pérenne pour tout le monde.

  140. Moi, je me demande surtout si le goût est au rendez-vous. L’anti-gaspi, c’est bien, mais pas si on se force à manger des trucs pas bons.

  141. Moi, je suis curieux de savoir si cette méthode fonctionne avec tous les légumes. Parce que les épluchures de courgettes, par exemple, c’est pas toujours folichon.

  142. C’est marrant comme on redécouvre des trucs que nos aïeux faisaient par nécessité. J’imagine Josette avec son accent, un vrai personnage !

  143. J’attends de voir si Josette nous révèle un usage original. J’ai peur qu’on nous serve encore une fois les mêmes recettes éculées.

  144. J’ai plus confiance en une recette de grand-mère qu’en les « innovations » des chefs, souvent hors de prix. Si Josette a un truc simple et bon, je suis preneur.

  145. Je suis un peu sceptique. Les chefs copient les grand-mères ? C’est souvent l’inverse, non ? J’espère que Josette ne va pas juste nous servir une version ensoleillée du bouillon de légumes.

  146. J’espère que Josette va nous parler du contexte. Anti-gaspi, oui, mais comment ça s’intégrait dans sa vie, son enfance? C’est ça qui m’intéresse, plus que la recette elle-même.

  147. J’espère que Josette n’est pas du genre à mettre du sucre partout. Je préfère un goût authentique, même un peu brut, à une « recette de grand-mère » édulcorée.

  148. Josette a l’air d’une personne solaire. J’espère que l’article va capturer cette joie simple de ne rien perdre, plus qu’une énième recette.

  149. « Chefs étoilés » qui copient les grand-mères, ça me fait toujours sourire. L’humilité, ça se perd parfois dans les cuisines modernes. Hâte de voir ce que Josette a à nous apprendre.

  150. Les épluchures, c’est le réflexe poubelle direct chez moi. Si Josette me fait changer ça, chapeau ! J’espère juste que c’est pas trop compliqué.

  151. Josette, ça sent bon les souvenirs d’enfance, les repas partagés. J’espère que cette méthode est aussi synonyme de partage et de convivialité.

  152. Les épluchures, c’est plein de souvenirs d’odeurs de cuisine, quand on était petit. Si Josette arrive à me faire revivre ça, c’est gagné.

  153. Franchement, j’espère que Josette a pensé à la question des pesticides. C’est bien de ne rien jeter, mais pas si c’est pour se gaver de cochonneries.

  154. Les chefs qui s’y mettent, c’est bon signe. Ça veut dire que c’est pas juste un truc de bobo écolo, mais que c’est vraiment bon au goût.

  155. Moi, j’attends surtout de voir si c’est facile à reproduire avec les légumes qu’on trouve au supermarché, pas ceux du jardin.

  156. Josette, j’adore l’idée ! On dirait un retour aux sources bienvenu. J’espère que ça ne nécessite pas des ingrédients introuvables.

  157. J’ai toujours trouvé ça poétique, l’idée de donner une seconde vie aux « déchets ». Josette me parle. J’espère juste que ça ne demande pas un équipement de pro.

  158. Josette, je me demande surtout si cette méthode est économique. Est-ce que ça vaut vraiment le coup de passer du temps en cuisine pour économiser quelques centimes ?

  159. Moi, les « secrets de grand-mère », ça me rappelle surtout les corvées. J’espère que Josette ne va pas me vendre une potion magique qui demande des heures de boulot pour un résultat bof.

  160. Christophe Dubois

    Si Josette arrive à me faire aimer les épluchures, elle aura gagné le prix Nobel de la cuisine ! Je suis curieux, mais surtout très dubitatif.

  161. Moi, ce qui me titille, c’est l’idée que les chefs étoilés « copient » une grand-mère. C’est souvent plus complexe que ça, non ?

  162. Josette, je te crois sur parole. Ma mère faisait déjà des bouillons fabuleux avec les restes. J’espère que tu as d’autres astuces à partager !

  163. Ce qui m’intéresse, c’est le goût ! Si Josette arrive à me surprendre gustativement, là, je suis preneur. Le reste, c’est du bonus.

  164. Franchement, le côté « méthode ancestrale » me fait sourire. Ma grand-mère, elle, jetait tout sans complexe ! J’espère que Josette a plus de succès que moi quand j’essaie de réutiliser les fanes de carottes.

  165. Josette, votre démarche me touche. On a tellement dévalorisé le travail manuel et les savoirs populaires. J’espère que votre expérience mettra en lumière cette richesse.

  166. J’espère que Josette ne va pas nous proposer une solution qui demande des ingrédients introuvables. J’ai déjà essayé des recettes « anti-gaspi » plus compliquées que le plat initial.

  167. L’idée est bonne, mais l’article me semble un peu simpliste. J’aimerais connaître les précautions à prendre : toutes les épluchures ne se valent pas, non ?

  168. Je suis curieux de savoir ce que Josette fait exactement. J’espère que ça ne demande pas des heures de préparation, parce que le temps, c’est aussi de l’argent.

  169. J’attends de voir la recette. J’ai un compost, mais si je peux manger les épluchures au lieu de les composter, je suis preneur !

  170. Mouais, ça sent un peu le « buzzword » écolo tout ça. Anti-gaspillage, Provençal… Ça va attirer du monde, c’est sûr. J’espère juste que la recette est à la hauteur et pas juste une soupe insipide.

  171. Moi, ce qui me frappe, c’est que les chefs étoilés s’y mettent seulement maintenant. On dirait qu’il faut un label « gastronomie » pour que ça devienne respectable.

  172. Josette me rappelle ma grand-mère. J’imagine déjà l’odeur de sa cuisine et son accent chantant. J’espère que ses astuces apporteront un peu de cette chaleur dans nos vies.

  173. Josette, elle me fait penser à un rayon de soleil. J’espère que son savoir-faire se transmettra. On a tellement perdu ces gestes simples…

  174. Josette me fait penser à ma tante. Elle aussi, elle disait qu’on ne jette rien. J’ai hâte de voir si sa recette est meilleure que son eau de cuisson de légumes.

  175. J’ai toujours trouvé ça un peu « pauvre » de glorifier la nécessité. Tant mieux si on mange les épluchures, mais c’est pas un secret de grand-mère, c’est qu’avant on n’avait pas le choix.

  176. Moi, ça me fait surtout penser à un retour aux sources forcé. On est tellement déconnectés de la réalité de la production alimentaire. Espérons que Josette nous rappelle d’où viennent nos légumes, au moins un peu.

  177. Les chefs étoilés qui « copient » ? C’est surtout qu’ils ont les moyens de réinventer des trucs simples et de les vendre cher. L’anti-gaspillage, c’est bien, mais ça ne doit pas devenir un argument marketing de plus.

  178. J’espère que Josette va nous donner des idées originales. Les chips de peau de pomme de terre, c’est bon, mais on connaît déjà.

  179. Le titre est un peu racoleur, non ? J’espère que l’article ne va pas transformer une habitude de survie en art de vivre sophistiqué.

  180. J’espère surtout que Josette n’a pas été instrumentalisée pour un article à la mode. Le vécu des anciens mérite mieux que ça.

  181. J’aime l’idée de valoriser l’expérience de Josette. Ce n’est pas juste une recette, c’est un savoir-faire qui se transmet. J’espère qu’elle expliquera bien comment faire sans que ce soit fade.

  182. Tiens, ça me rappelle mes vacances chez ma tante. Elle compostait tout, même le marc de café. Une vraie leçon d’humilité face à la nature.

  183. J’espère juste que la recette de Josette est facile à reproduire avec les légumes du supermarché. Ceux du jardin ont tellement plus de goût…

  184. Je suis curieux de savoir si ça marche avec toutes les épluchures. Celles de courge butternut, par exemple, sont hyper dures, j’ai du mal à imaginer les manger.

  185. Moi, ce qui me frappe, c’est le côté cyclique. Nos grands-mères faisaient ça par nécessité, et maintenant, c’est « tendance ».

  186. La mention des chefs étoilés qui « copient » me laisse dubitatif. Ça sonne surtout comme un argument marketing pour donner de la valeur à un truc que ma grand-mère a toujours fait sans chichi.

  187. Les épluchures, un trésor ? Mouais. Tout dépend des pesticides qu’elles ont absorbés, non ? Je préfère être prudent avec ce qui vient de l’agriculture intensive.

  188. Moi, ça me fait penser qu’on a perdu le lien avec le travail nécessaire pour produire notre nourriture. On jette sans réfléchir, c’est désolant.

  189. Josette me rappelle ma grand-mère, elle aussi provençale. Ces femmes avaient une sagesse incroyable, un respect profond pour ce que la terre donne. J’ai hâte de découvrir ce qu’elle fait de ses épluchures.

  190. Jacqueline Dubois

    Si Josette arrive à me faire aimer les épluchures de carottes autrement qu’en soupe, je dis chapeau ! Parce que pour l’instant, direction poubelle…

  191. J’espère que l’article donnera une solution concrète et rapide. J’ai peu de temps pour cuisiner, mais l’idée de réduire le gaspillage me parle vraiment.

  192. Si seulement on pouvait aussi transformer les factures en trésor ! Plus sérieusement, j’espère que ça ne demande pas un équipement de pro.

  193. Josette, c’est un peu la madeleine de Proust du potager. J’imagine déjà l’odeur de sa cuisine, un parfum d’enfance… hâte de voir si ça se traduit dans l’assiette !

  194. Le titre est accrocheur, mais j’espère que Josette ne va pas nous sortir une recette compliquée qui prend des heures. Si c’est simple et efficace, je suis preneur!

  195. Franchement, j’ai l’impression qu’on redécouvre l’eau chaude. Ma grand-mère faisait déjà ça, et elle n’avait pas besoin d’un chef étoilé pour lui dire que c’était une bonne idée.

  196. Mouais, « secret ancestral », c’est peut-être un peu fort. J’espère juste que ce n’est pas une recette à base d’huile d’olive, on en met déjà partout ici !

  197. Josette… Encore une recette de grand-mère qu’on essaiera une fois et qu’on oubliera. J’ai tellement de bocaux à finir avant de me lancer dans des trucs anti-gaspi.

  198. J’espère que Josette a pensé à la question des pesticides sur les épluchures, parce que c’est bien beau de ne rien jeter, mais on ne voudrait pas s’intoxiquer non plus.

  199. Josette, elle me rappelle ma voisine. Toujours à faire des confitures et à donner des conseils. J’espère juste que ses astuces seront meilleures que ses conserves de tomates!

  200. Si Josette transforme les épluchures en engrais pour ses plantes, je suis déjà conquis. Mon balcon a besoin d’un coup de pouce !

  201. Josette, c’est peut-être la solution pour que mes enfants mangent enfin leurs légumes ! Si ça rend les épluchures plus appétissantes, je dis banco.

  202. J’espère surtout que Josette va nous donner des idées originales ! Marre des chips de peau de patates douces, on en voit partout.

  203. Je suis curieux. J’espère que Josette ne va pas nous sortir une recette compliquée qui prend des heures. J’ai déjà du mal à cuisiner des plats simples.

  204. Sébastien Durand

    Mouais, « secret anti-gaspillage », c’est vite dit. Ma grand-mère faisait déjà ça, et je suis sûr que beaucoup d’autres aussi. On verra bien si c’est vraiment révolutionnaire.

  205. Josette, si tu peux me faire aimer les épluchures de courgettes, tu auras toute ma gratitude éternelle ! C’est le truc que je déteste le plus jeter, mais je ne vois jamais quoi en faire.

  206. J’espère que Josette va nous rappeler que le goût, c’est aussi important que l’anti-gaspillage. Pas envie de manger des épluchures sans saveur, même si c’est écolo.

  207. Josette me fait penser à ma propre grand-mère. J’espère juste que sa « méthode ancestrale » ne demande pas un équipement qu’on ne trouve plus dans le commerce !

  208. Christophe Durand

    L’anti-gaspillage, c’est bien, mais je me demande si ça vaut la peine de passer des heures en cuisine pour ça. Le temps, c’est aussi une ressource précieuse!

  209. Super initiative ! J’espère que Josette va nous donner des idées pour les épluchures bio. C’est tellement dommage de jeter tout ça !

  210. Voir des chefs étoilés s’y mettre, ça change la donne. Peut-être que ça va enfin donner une image moins « pauvre » à cette pratique.

  211. Les chefs étoilés qui copient les grand-mères, c’est le monde à l’envers ! J’espère que Josette va surtout nous donner des astuces accessibles à tous, sans prétention.

  212. J’adore l’idée ! Mais ce serait génial d’avoir des recettes adaptées aux enfants, histoire de les sensibiliser dès le plus jeune âge.

  213. Josette qui remet au goût du jour les savoirs oubliés, ça me touche. J’imagine les odeurs de son enfance dans sa cuisine, c’est ça le vrai luxe.

  214. Franchement, tant mieux si ça marche pour elle, mais je préfère composter mes épluchures. Ça nourrit le jardin, c’est moins de boulot.

  215. Moi, ce qui me plaît, c’est l’idée de renouer avec une cuisine simple et pleine de bon sens. On a tellement perdu ça avec les plats préparés.

  216. Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’idée que ça devienne une « tendance » de chef. J’espère que ça ne va pas complexifier une pratique qui devrait rester simple et accessible.

  217. Mouais, je suis curieux de voir ce que Josette va nous proposer. J’espère juste que ça ne sera pas trop compliqué à mettre en œuvre. J’ai pas envie de passer des heures en cuisine pour une poignée d’épluchures.

  218. J’espère que Josette ne va pas nous sortir une recette qui demande des ingrédients introuvables. Le but, c’est quand même de limiter le gaspillage, pas de faire des courses supplémentaires.

  219. C’est marrant cette fascination pour les recettes de grand-mère. On dirait qu’on cherche une solution magique, alors que le problème, c’est peut-être qu’on achète trop.

  220. Si Josette arrive à me faire aimer les épluchures de poireaux, je lui érige une statue. Ce truc est immangeable, non ? J’attends de voir.

  221. Le titre promet beaucoup. J’espère surtout que cette méthode est saine et respectueuse des légumes, pas juste un cache-misère pour ne rien jeter.

  222. J’ai tout de suite pensé à ma grand-mère, tiens. Elle faisait infuser les épluchures de carottes pour colorer son bouillon. C’était joli, mais je n’ai jamais vraiment goûté la différence.

  223. Josette, elle me rappelle ma mère. Elle faisait des chips d’épluchures de pommes de terre frites. C’était simple, gras, et on adorait ça.

  224. Ça me fait sourire. Ma grand-mère aussi avait ses secrets. L’odeur de ses bouillons, je m’en souviens encore. C’est plus qu’une recette, c’est un souvenir.

  225. Je suis curieux. Est-ce que la méthode de Josette est vraiment applicable au quotidien, avec des enfants qui font la grimace devant le moindre bout de vert ?

  226. J’espère que l’article expliquera bien comment faire, parce que « méthode ancestrale », ça veut souvent dire « fais comme je fais, mais sans les détails ».

  227. L’idée est bonne, mais concrètement, combien de temps ça prend ? J’ai l’impression que le « gain » en évitant le gaspillage ne vaut pas forcément le temps passé en cuisine.

  228. Je suis un peu lassé de ces articles sur le « retour aux sources » et les recettes de grand-mère. On dirait qu’il faut avoir honte d’acheter des légumes déjà épluchés.

  229. Mouais, le secret anti-gaspillage… Je me demande surtout si ça vaut le coup gustativement parlant. On parle quand même d’épluchures.

  230. Ce qui m’intéresse, c’est l’aspect transmission. Plus que la recette, c’est le geste, l’histoire derrière. On se perd un peu ça, non?

  231. J’ai surtout envie de savoir quels légumes se prêtent le mieux à cette transformation. Toutes les épluchures ne doivent pas être égales face à la casserole.

  232. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on a besoin d’un article et de chefs étoilés pour redécouvrir le bon sens. Triste époque.

  233. Josette me rappelle ma propre grand-mère. J’espère que sa méthode est simple, parce que les recettes compliquées, je les laisse aux chefs étoilés.

  234. Si Josette arrive à me faire manger plus de légumes, je dis banco ! Marre du gaspillage, mais encore plus de me forcer à manger sain. Espérons que ce soit bon.

  235. Grand-mère provençale et chefs étoilés, ça fait un drôle de mélange. J’espère qu’elle a déposé un brevet, Josette ! Ça sent le business à plein nez.

  236. Franchement, ça sent bon la nostalgie, cet article. J’ai hâte de savoir ce que Josette nous mijote, ça me rappelle les odeurs de cuisine de ma propre enfance.

  237. Le titre est accrocheur, mais j’ai peur que la réalité soit moins glamour. J’espère que la méthode sera réellement applicable au quotidien et pas juste une astuce pour impressionner.

  238. Jacqueline Durand

    Moi, ce qui me chiffonne, c’est le côté « chefs étoilés copient ». C’est pas plutôt l’inverse d’habitude ? Ça me rend un peu méfiant.

  239. On va voir si Josette arrive à me convaincre d’arrêter de composter ! Parce que pour l’instant, c’est mon anti-gaspillage à moi.

  240. J’espère que Josette va nous donner une recette vraiment gourmande. Marre des astuces anti-gaspi qui finissent par être fades ! Le goût, c’est quand même l’essentiel.

  241. Josette, c’est peut-être la nouvelle influenceuse zéro déchet qu’on attendait sans le savoir ? J’espère que sa recette est vraiment du terroir.

  242. J’espère surtout que Josette ne va pas nous sortir une recette qui prend des heures ! J’ai déjà pas le temps de cuisiner… Si c’est rapide et facile, je teste.

  243. Mouais… J’attends de voir si c’est vraiment « anti-gaspillage » ou juste une façon déguisée d’utiliser des trucs qui devraient finir au compost. L’argument du « chef étoilé » me laisse froid.

  244. Josette Martin, je l’imagine bien, les mains dans la farine, le sourire aux lèvres. J’espère que sa recette est simple et transmissible, un vrai partage de savoir-faire.

  245. « Secret anti-gaspillage », « méthode ancestrale »… Tout ça me fait penser à ma grand-mère et ses remèdes de cheval. J’espère que ce n’est pas trop contraignant.

  246. Avignon, ma région ! Si Josette a un truc de grand-mère, ça vaut le coup d’œil. J’espère que ce n’est pas juste bon pour les poules.

  247. J’adore l’idée d’honorer les traditions. Ma grand-mère aussi avait ses astuces, mais j’ai du mal à croire que les chefs étoilés s’y mettent vraiment… Curieux de voir ce que Josette propose !

  248. Josette Martin, un nom qui sent bon la lavande et le romarin. Ça me rappelle les vacances chez ma tante. Pourvu qu’elle nous partage un peu de cette Provence ensoleillée !

  249. Le coup des chefs étoilés qui « copient », ça me fait toujours sourire. L’authenticité est-elle vraiment de retour ou c’est juste du marketing ?

  250. J’espère que Josette a pensé aux citadins ! Pas facile de trouver des légumes non traités pour faire des épluchures « nobles ».

  251. Épluchures… ça me rappelle les soupes que ma mère préparait quand on était petits. Simple, nourrissant et zéro déchet avant l’heure. Espérons que Josette nous donne une recette similaire !

  252. Josette qui partage, c’est top. Mais j’espère que l’article va plus loin que « faire un bouillon ». J’ai déjà essayé, bof le goût…

  253. Josette, Josette… J’espère que ce n’est pas juste une mode éphémère. Le gaspillage, on le voit tous les jours, mais est-ce qu’on aura vraiment le courage de changer nos habitudes ?

  254. Le titre est accrocheur, mais j’espère que l’article ne va pas tomber dans le cliché de la « grand-mère magicienne ». Le gaspillage est un vrai problème, mais je crains l’idéalisation du passé.

  255. Les épluchures, ça glisse ! Plus sérieusement, j’espère que Josette a des astuces pour les rendre appétissantes. Parce que le gaspillage, c’est une chose, mais le plaisir en est une autre.

  256. Mouais, des épluchures de légumes… Ma poule les adore. C’est déjà ça de moins à jeter.

    J’ai essayé une fois de faire des chips d’épluchures de carottes, une catastrophe.

  257. J’ai hâte de voir ce que Josette propose. Ma grand-mère, elle, donnait tout aux poules. On verra si cette méthode est plus alléchante !

  258. J’ai toujours pensé que les épluchures étaient bonnes pour le jardin. Si Josette a une autre idée, je suis curieux. Mais j’espère que ça reste simple, je n’ai pas envie de passer des heures en cuisine pour ça.

  259. Si Josette a vraiment le secret, tant mieux. Mais pour moi, le problème, c’est surtout le temps. Est-ce que ça vaut vraiment le coup de passer une heure à cuisiner des épluchures pour économiser quelques centimes ?

    C’est bien joli de parler de gaspillage, mais parfois, c’est juste plus pratique de jeter.

  260. Franchement, j’ai surtout envie de connaître sa recette de ratatouille. Si elle est aussi douée pour utiliser les restes que pour ça, je suis preneur.

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