Se sentir perdu dans les méandres administratifs tout en cherchant à retrouver un emploi est une frustration partagée par de nombreux bénéficiaires du RSA. Dès janvier 2025, une réforme majeure change la donne : l’inscription automatique à France Travail et un nouveau contrat d’engagement sont mis en place pour tous.
RSA et France Travail : ce qui change vraiment en 2025
« J’avais l’impression de tourner en rond. Cette nouvelle approche semble enfin tracer un chemin clair, c’est ce que j’attendais pour repartir du bon pied », confie Jean Dupont, 42 ans, ancien agent de logistique à Lille. Son témoignage illustre l’espoir suscité par cette mesure.
Pour Jean, le changement est concret. Auparavant, ses démarches se limitaient souvent à des déclarations trimestrielles. Il observe désormais un passage à un système proactif où il est un acteur de son parcours, une différence notable par rapport aux anciens contrats d’engagement réciproque, moins contraignants.
Cette évolution découle de la loi pour le plein emploi. Elle connecte directement les services de la CAF, qui verse l’allocation, et ceux de France Travail, qui accompagne vers l’emploi. Le versement du RSA n’est pas affecté par l’inscription, mais le respect du contrat devient une condition.
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Le nouveau contrat d’engagement : comment ça fonctionne ?
Sur le plan pratique, cela signifie la fin des démarches d’inscription séparées. Économiquement, l’objectif est de réduire la durée de dépendance aux aides en accélérant le retour à l’emploi. Socialement, cela instaure un engagement mutuel plus fort entre le bénéficiaire et son conseiller référent.
Ce contrat d’engagement est personnalisé. Il ne s’agit pas d’un modèle unique, mais d’un plan d’actions défini après un diagnostic complet de la situation de la personne. Il peut inclure des formations, des immersions en entreprise ou une aide à la création d’activité.
- Les demandeurs et bénéficiaires du RSA, ainsi que leur conjoint.
- Les jeunes de 16 à 25 ans suivis par une mission locale.
- Les personnes en situation de handicap accompagnées par un organisme spécialisé.
Cette réforme s’inspire de modèles européens visant à « activer » les politiques sociales. Elle associe plus étroitement les droits et les devoirs, mais son efficacité dépendra des moyens alloués à France Travail pour assurer un accompagnement de qualité à près de deux millions de personnes.
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Avant la réforme | À partir de janvier 2025 |
---|---|
Inscription volontaire à Pôle emploi | Inscription automatique à France Travail |
Contrat d’engagement réciproque (CER) ou PPAE | Contrat d’engagement unique et obligatoire |
Accompagnement variable | Diagnostic global et référent unique |
Au-delà de l’impact individuel, c’est la perception même de l’aide sociale qui évolue. Elle est de moins en moins vue comme un filet de sécurité passif et de plus en plus comme un tremplin actif, destiné à dynamiser à la fois les parcours individuels et le marché du travail global.
En résumé, 2025 marque la fusion entre la perception du RSA et l’accompagnement vers l’emploi. C’est une opportunité pour un parcours plus structuré, dont le succès reposera sur la qualité de la mise en œuvre sur le terrain pour chaque bénéficiaire.
L’automatisation, c’est bien, mais j’espère que ça ne se traduira pas par plus de paperasse et moins d’écoute. J’ai peur que l’humain soit oublié dans tout ça.
J’espère surtout que ça débouchera sur des offres d’emploi concrètes et adaptées aux compétences de chacun, et pas juste des stages obligatoires inutiles.
France Travail, ils promettent monts et merveilles… On verra si cette fois c’est différent. J’ai surtout peur que ça stigmatise encore plus les gens au RSA.
Le RSA, c’est déjà une épreuve. J’espère que cette réforme ne va pas ajouter de la pression inutile à ceux qui sont déjà en difficulté. Simplifier, oui, mais pas au détriment de la dignité.
Si ça peut éviter à des gens de galérer pour s’inscrire, c’est déjà ça. Espérons que les conseillers seront mieux formés qu’avant.
Moi, je vois surtout une manière déguisée de fliquer encore plus les chômeurs. On nous vend ça comme une simplification, mais ça ressemble plus à un contrôle renforcé.
L’idée d’une inscription automatique me fait penser à un gain de temps potentiel. Reste à voir si ça se traduit par un accompagnement plus rapide vers l’emploi.
Je me demande si cette inscription automatique ne risque pas de noyer France Travail sous un flot de nouveaux inscrits. Comment vont-ils gérer ça ?
En tant que proche d’une personne au RSA, je croise les doigts pour que ce soit plus efficace. Les démarches actuelles sont un vrai parcours du combattant pour ceux qui ne sont pas à l’aise avec l’administratif.
France Travail… J’ai déjà donné. Mon père s’est usé là-bas. J’espère que pour les autres, ça marchera mieux.
Pour moi, le vrai problème, c’est la qualité des emplois proposés. Si c’est pour pointer à France Travail et se voir proposer des contrats précaires mal payés, ça ne résoudra rien.
J’ai l’impression qu’on déplace juste le problème. L’inscription n’est pas le plus dur, c’est trouver sa place après.
Automatique, c’est bien, mais j’espère que l’humain ne disparaîtra pas derrière les procédures. On n’est pas des numéros.
Un contrat d’engagement, c’est bien joli, mais est-ce qu’on a pensé à demander aux bénéficiaires du RSA ce qu’ils en pensent réellement ? J’ai peur qu’on leur impose encore quelque chose.
L’automatisation, c’est pratique, mais j’espère qu’ils penseront aux personnes qui ont des difficultés avec le numérique.
J’espère que cette réforme permettra de mieux orienter les gens vers les formations dont ils ont besoin. C’est souvent ça qui manque cruellement.
Franchement, j’ai peur que ça stigmatise encore plus les bénéficiaires du RSA. On dirait qu’on les force à prouver qu’ils cherchent vraiment du travail.
Si ça permet de lutter contre la fraude, tant mieux. Marre de ceux qui profitent du système sans chercher de boulot.
Ça me fait penser qu’il faudrait peut-être aussi simplifier les démarches pour les employeurs qui veulent embaucher. C’est souvent ça qui coince aussi.
J’ai toujours l’impression qu’on cherche la solution miracle, alors que le problème est plus profond. On change les procédures, mais est-ce qu’on change vraiment la vie des gens ?
J’espère qu’ils vont vraiment tenir compte des spécificités de chacun, pas juste appliquer une recette standard.
J’ai peur que ce soit une usine à gaz de plus. On crée une nouvelle structure, mais est-ce qu’il y aura plus d’offres d’emploi concrètes à la clé ?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le suivi dans le temps. On met en place des trucs, mais est-ce qu’on vérifie que ça marche vraiment sur la durée ?
Moi, je me demande si ça va vraiment désengorger Pôle Emploi (France Travail, maintenant). J’ai l’impression qu’ils vont juste transférer le problème.
Je me demande si ce nouveau « contrat d’engagement » ne va pas créer une pression psychologique supplémentaire, déjà que la situation est souvent difficile à vivre.
L’inscription automatique, c’est peut-être un bon point de départ. Le plus dur, c’est de se lancer, non ?
J’espère que les conseillers seront mieux formés. J’ai vu tellement de personnes découragées par des conseils inadaptés. C’est ça qui fait vraiment la différence, pas juste l’inscription.
J’ai l’impression qu’on se focalise trop sur l’inscription. Le vrai défi, c’est l’accompagnement humain et personnalisé, pas un simple acte administratif.
Automatique, c’est bien, mais j’espère que ça ne signifiera pas « à la chaîne » et impersonnel.
Je me demande si ça va aider les gens qui ont des problèmes de santé ou des handicaps. L’emploi, c’est pas juste une question de volonté.
Peut-être que ça va forcer les entreprises à embaucher…
Je me souviens de la galère pour obtenir le RSA la première fois. Si ça peut éviter ça à d’autres, c’est déjà pas mal.
Est-ce qu’on a pensé à simplifier les démarches pour les employeurs q…
J’ai peur que ça infantilise encore plus les gens. On dirait qu’on les prend pour des incapables de s’inscrire eux-mêmes.
J’espère surtout que ça créera plus d’opportunités de formations qualifiantes. C’est souvent ça le chaînon manquant.
J’ai surtout peur que ça augmente le contrôle et la surveillance. On a déjà l’impression d’être fliqué en permanence.
Si ça évite de devoir refaire 15 fois les mêmes papiers, tant mieux. J’espère que le temps gagné sera utilisé à bon escient.
J’ai peur que ça crée une surcharge pour France Travail. Sont-ils prêts à gérer un afflux massif de nouveaux inscrits ? La qualité de l’accompagnement risque d’en pâtir.
J’espère que ça va permettre de mieux comprendre pourquoi les offres d’emploi proposées ne correspondent jamais à mon profil.
Ce qui m’inquiète, c’est l’aspect « contrat d’engagement ». Ça ressemble à une pression accrue, pas à un réel soutien.
Ça me fait penser aux stages obligatoires à l’école : sur le papier, c’est bien, mais l’efficacité dépendra vraiment de la qualité du suivi.
L’idée est bonne, mais j’espère que ça ne se traduira pas par plus de paperasse et moins d’écoute réelle. On a besoin d’humain, pas d’algorithmes.
Automatique ne veut pas dire magique. J’espère juste qu’on pensera à ceux qui sont vraiment éloignés du numérique.
Enfin ! Moins de temps perdu à s’inscrire, c’est plus de temps pour chercher du travail. J’espère que ça va vraiment simplifier la vie.
Je me demande si ça va vraiment aider ceux qui ont des problèmes de santé ou des handicaps. L’emploi, c’est pas toujours la priorité pour tout le monde.
Ça me rappelle les promesses de simplification qu’on nous fait à chaque réforme. J’attends de voir si ça se concrétise vraiment sur le terrain.
J’ai l’impression qu’on déplace le problème. L’inscription automatique, c’est bien, mais si les emplois proposés sont mal rémunérés ou précaires, ça ne change rien.
On dirait qu’on veut transformer le RSA en un tremplin, pas en un filet de sécurité. J’espère qu’on ne va pas stigmatiser encore plus les gens qui en ont besoin.
Pour moi, le vrai défi, c’est de savoir si France Travail aura les moyens humains pour accompagner tous ces nouveaux inscrits. On parle de millions de personnes, ça demande des ressources.
J’espère juste que ce « contrat » tiendra compte des réalités de chacun. Ma voisine s’occupe de ses petits-enfants, comment ça va se passer pour elle ?
J’espère que ce contrat d’engagement sera plus qu’une obligation supplémentaire, mais un vrai partenariat pour rebondir.
J’ai peur que ce soit juste une façon déguisée de faire baisser les chiffres du chômage, sans vraiment aider les gens.
Je me demande si ce n’est pas une façon d’uniformiser les parcours, sans considérer les spécificités locales et les besoins réels du marché du travail dans chaque région.
Si ça peut éviter à des gens de se sentir complètement largués, c’est déjà ça. Le système actuel est un vrai labyrinthe, on dirait qu’on veut les décourager.
Je me souviens de la paperasse pour ma mère… Si ça peut éviter ça à d’autres familles, tant mieux.
Espérons que les conseillers auront le temps d’écouter les gens, pas juste cocher des cases.
Automatique, c’est bien, mais j’espère que ça ne va pas devenir une machine à broyer les gens qui ont déjà du mal.
L’automatisation, c’est une épée à double tranchant. J’espère juste qu’on ne va pas perdre le contact humain dans tout ça.
J’ai l’impression qu’on déplace juste le problème. Le RSA, c’est la conséquence, pas la cause. Agissons sur l’emploi, pas sur les démarches administratives.
J’ai surtout l’impression qu’on complexifie encore une fois le système. Un guichet unique, c’est bien, mais ça risque de créer un monstre administratif impersonnel.
J’ai connu le RSA il y a quelques années. Le plus dur, c’était pas tant les papiers que le sentiment d’inutilité. J’espère que ce nouveau système apportera un vrai accompagnement psychologique, au-delà de la recherche d’emploi.
Un contrat d’engagement, ça sonne bien, mais j’espère qu’on ne va pas infantiliser les gens. Ils ne sont pas des enfants à qui on dicte ce qu’ils doivent faire.
Je suis sceptique. On nous promet toujours monts et merveilles, mais au final, c’est rarement à la hauteur. On verra bien ce que ça donnera concrètement.
Franchement, j’ai peur que ça stigmatise encore plus les allocataires. On dirait qu’on part du principe qu’ils ne cherchent pas d’emploi.
L’idée d’un contrat, ça me fait penser à une obligation. J’espère que ça laissera de la place à l’initiative personnelle.
On parle d’accompagnement, mais qu’est-ce qu’on fait pour les gens qui ont des problèmes de santé mentale ? C’est souvent un frein majeur.
Si ça permet de désengorger les services, c’est déjà ça. J’espère que ça libérera du temps pour un suivi plus personnalisé.
L’accompagnement, c’est bien, mais encore faut-il qu’il soit adapté à chacun.
L’inscription automatique, c’est peut-être une bonne chose pour certains, mais j’imagine la panique pour ceux qui ne sont pas à l’aise avec le numérique.
J’espère que ça permettra de mieux cibler les formations proposées. J’ai l’impression qu’on propose souvent des trucs inutiles.
La simplification, c’est bien, mais j’espère qu’ils n’oublieront pas ceux qui ont besoin d’un coup de pouce pour les basiques, comme rédiger un CV.
Je me demande si France Travail sera vraiment mieux que Pôle Emploi, au fond.
Encore un changement… J’espère juste que ça ne rajoutera pas une couche de stress inutile.
Le nom « France Travail », ça fait très start-up, mais est-ce que ça va vraiment changer la vie des gens ?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’accessibilité.
Automatique, c’est bien, mais j’espère qu’on pourra facilement se désinscrire si on trouve un emploi avant janvier 2025.
Ce contrat, est-ce qu’il prendra vraiment en compte mon parcours et mes difficultés spécifiques?
Si ça évite les allers-retours incessants entre administrations, je dis oui.
J’espère que ce « France Travail » ne deviendra pas une machine à broyer les gens déjà fragilisés.
J’ai l’impression que c’est une usine à gaz de plus. On verra si les conseillers sont plus disponibles qu’avant, car c’était ça le vrai problème.
J’ai peur que ça crée une bureaucratie encore plus lourde et impersonnelle. L’humain risque d’être oublié derrière les procédures.
J’ai l’impression qu’on met beaucoup d’énergie à réorganiser les choses, mais est-ce qu’on s’attaque vraiment aux causes du chômage ? Les entreprises embaucheront-elles plus grâce à ça ?
J’ai surtout l’impression qu’on déplace le problème. On oblige les gens à s’inscrire, mais est-ce que ça crée des emplois ?
Si ça peut remotiver ceux qui ont baissé les bras, c’est déjà ça de gagné.
J’espère que les conseillers auront une vraie connaissance des entreprises locales.
J’ai l’impression qu’on cherche surtout à faire des statistiques. On verra si ça aide vraiment ceux qui en ont besoin.
L’idée d’un accompagnement plus structuré me semble pertinente, mais j’espère que ça ne stigmatisera pas davantage les bénéficiaires du RSA.
Le contrat d’engagement me fait un peu peur, j’espère qu’il sera adapté à chacun.
En tant qu’aidant familial, je me demande comment cette réforme prendra en compte les contraintes de ceux qui ne peuvent pas être disponibles à temps plein pour une recherche d’emploi.
Pour moi, le vrai défi, c’est la qualité de l’accompagnement. Pas juste l’inscription.
Pour ma part, je vois surtout un risque de découragement accru si les offres proposées ne correspondent pas aux compétences et aux aspirations des gens.
J’espère que cette réforme ne va pas transformer France Travail en simple guichet de contrôle.
Je me demande si ça ne va pas surtout saturer France Travail. Déjà qu’il est difficile d’avoir un rendez-vous…
Je me demande si cette automatisation ne va pas créer une uniformisation de l’accompagnement, alors que chaque situation est unique.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le côté « automatique ». J’ai peur que ça devienne une usine, sans tenir compte des parcours cabossés de chacun.
Je me demande si cette réforme ne vise pas surtout à responsabiliser davantage les entreprises, en les incitant à proposer des emplois plus adaptés aux profils des bénéficiaires.
J’espère qu’ils vont enfin simplifier les démarches. C’est un vrai labyrinthe pour s’y retrouver quand on est déjà en difficulté.
Moi, je me demande si ça ne va pas surtout créer encore plus de paperasse pour tout le monde.
Je me demande si cette réforme va réellement aider ceux qui ont du mal avec le numérique. L’automatisation, c’est bien, mais encore faut-il savoir s’en servir.
J’ai l’impression qu’on déplace le problème. L’inscription c’est une chose, mais le vrai sujet c’est de créer des opportunités d’emploi qui soient viables et dignes.
C’est bien joli tout ça, mais j’ai peur que ça ne règle pas le problème de fond : la discrimination à l’embauche.
On parle d’inscription automatique, mais qui va s’assurer que les bénéficiaires comprennent vraiment ce qu’on attend d’eux ?
J’ai connu le RSA. Le plus dur, c’était le sentiment d’isolement. J’espère que France Travail apportera un vrai lien social, un endroit où se sentir moins seul dans sa galère.
Je suis curieux de voir comment ils vont gérer le suivi individualisé promis avec cette automatisation. Ça me semble un sacré défi.
J’espère qu’on ne va pas culpabiliser encore plus les gens. C’est déjà dur de se retrouver au RSA, pas besoin d’en rajouter.
Si seulement on pouvait avoir plus de formations professionnelles qualifiantes et accessibles, ça changerait vraiment la donne.
J’ai peur que ça ne devienne qu’un outil de contrôle supplémentaire.
Si on pouvait juste considérer que chercher un emploi est déjà un travail à temps plein…
L’idée d’un accompagnement plus structuré est intéressante, mais j’espère que ce ne sera pas une usine à gaz impersonnelle.
Un contrat, ça veut dire des devoirs, mais aussi des droits. J’espère que ce sera équilibré.
Je croise les doigts pour que ça aille plus vite qu’avec Pôle Emploi, c’était une horreur!
L’intention est bonne, mais je crains que ce soit juste un pansement sur une jambe de bois.
J’espère surtout qu’ils vont enfin prendre en compte les spécificités de chaque situation. Un boulot près de chez soi, c’est déjà énorme.
France Travail… encore un nouveau nom, toujours le même stress. J’ai surtout l’impression qu’on déplace le problème, qu’on ne s’attaque pas aux vraies causes du chômage.
Le nom « France Travail » fait plus moderne, c’est sûr. Mais est-ce que ça va vraiment changer mon quotidien ? Je suis sceptique.
Inscription automatique, contrat… On dirait qu’on veut transformer les chômeurs en employés de France Travail. Ça me met mal à l’aise.
L’inscription automatique, c’est peut-être une bonne chose pour ceux qui galèrent avec les démarches. Moi, j’ai surtout envie de savoir si ça va créer plus d’offres d’emploi qui correspondent à mes compétences.
Je suis déjà submergé par les papiers. J’espère que cette automatisation ne va pas créer encore plus de confusion.
Automatique, c’est bien, si ça signifie moins de temps perdu en paperasse inutile. Pourvu qu’ils soient plus réactifs que Pôle Emploi, surtout pour les métiers qui recrutent vraiment.
J’ai peur que ce « contrat d’engagement » soit plus contraignant que réellement aidant. On parle de contrôle, pas d’opportunités.
Je me demande si cette réforme va vraiment simplifier la vie des gens ou juste déplacer le problème. J’ai peur que ça devienne encore plus difficile de se faire entendre.
J’ai l’impression qu’on nous infantilise. On est capables de s’inscrire, ce qu’on veut, c’est du suivi individualisé et une vraie écoute.
J’espère qu’ils vont enfin comprendre que trouver un emploi, ce n’est pas juste une question de s’inscrire quelque part. C’est aussi une question de santé mentale et de confiance en soi, des choses qu’on oublie souvent.
J’espère que France Travail aura les moyens de suivre tout le monde. L’automatisation, c’est bien, mais il faut des conseillers compétents derrière.
J’espère que ça diminuera la stigmatisation liée au RSA. Peut-être qu’avec « France Travail » on verra ça différemment.
Le vrai problème, c’est pas l’inscription, c’est l’accès à la formation qualifiante. On nous demande d’être employables, mais on nous donne rarement les moyens de l’être.
Ça me rappelle les promesses de simplification qu’on entend à chaque réforme. On verra bien si ça change vraiment la vie des gens sur le terrain.
C’est bien beau de parler d’inscription automatique, mais est-ce qu’on a pensé à ceux qui n’ont pas d’ordinateur ou de connexion internet ?
J’espère que ça veut dire moins de temps passé à justifier ma situation et plus de temps à chercher du travail.
Ça me fait penser à un grand coup de peinture sur un mur fissuré. On cache la misère, mais les fondations restent les mêmes.
Je me demande si ça va vraiment réduire le sentiment de honte qu’on peut ressentir quand on est au RSA. C’est plus ça qui me pèse que la paperasse.
On dirait qu’on veut transformer le RSA en un service militaire de l’emploi. J’espère qu’on n’oubliera pas l’humain derrière le dossier.
Ça sent la promesse de gain de temps, mais j’ai peur que ça finisse par un embouteillage numérique encore pire.
Franchement, j’ai peur que ça crée une armée de gens « suivis » mais pas aidés. Le chiffre, toujours le chiffre, mais l’accompagnement ?
J’ai surtout peur que l’automatisation ne rime pas avec personnalisation. Chaque parcours est unique, j’espère qu’on ne sera pas tous mis dans le même moule.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est si ça va vraiment créer des emplois. S’inscrire, c’est une chose, bosser, c’en est une autre.
Je me demande si on a pensé à ceux qui ont des problèmes de santé qui les empêchent de travailler à temps plein. On va les forcer à faire quoi, exactement ?
J’espère juste que ce « contrat d’engagement » ne va pas devenir une source de stress supplémentaire. Déjà que la recherche d’emploi, c’est usant…
L’idée d’une inscription automatique me laisse froid. J’ai peur que ça infantilise encore plus les gens, comme si on ne pouvait pas se prendre en main.
Moi, je vois ça comme une opportunité. Peut-être que cette simplification administrative me permettra de me concentrer enfin sur ma recherche d’emploi, sans me noyer dans les formulaires.
J’espère que ce changement permettra de mieux orienter les gens vers les formations qui marchent vraiment, pas juste celles qui remplissent des quotas.
Si seulement cette inscription automatique pouvait signifier moins de rendez-vous inutiles et plus d’écoute.
On nous parle toujours de simplification, mais j’ai l’impression qu’on ajoute juste une couche de complexité déguisée. J’espère que ce sera pas juste un gadget de plus.
J’ai surtout l’impression qu’on déplace le problème. L’administratif, c’est une chose, mais la volonté réelle d’embaucher, elle vient d’où ?
J’ai peur que ça augmente la stigmatisation. On va pointer du doigt encore plus ceux qui sont au RSA.
Ça sent la bonne intention, mais j’ai peur que ça se transforme en une usine à gaz impersonnelle.
J’ai galéré à comprendre mes droits au RSA. Si ça peut éviter ça à d’autres, tant mieux. Pourvu que ça ne devienne pas un parcours du combattant digital pour ceux qui sont éloignés du numérique.
Automatique… C’est peut-être le mot de trop. J’espère qu’il y aura une vraie possibilité de refuser si on est déjà suivi par un autre organisme.
On dirait qu’on veut forcer la main. J’espère que France Travail aura les moyens humains de bien accompagner tout ce monde. Sinon, ça risque d’être pire qu’avant.
Inscription automatique… ça me rappelle l’armée. J’espère qu’ils laisseront un peu de place à l’initiative personnelle quand même.
Je me demande si ça va vraiment aider ceux qui ont des problèmes de santé ou des difficultés sociales importantes. L’emploi, c’est pas toujours la solution à tout.
J’espère que ce contrat d’engagement sera vraiment personnalisé. J’ai l’impression qu’on oublie souvent que chaque situation est unique.
Enfin une simplification ! J’espère que ça diminuera le temps passé à remplir des papiers inutiles et qu’on se concentrera sur la recherche d’emploi.
J’ai l’impression qu’on cherche à mesurer l’activité des chômeurs plus qu’à réellement les aider. J’espère qu’on ne va pas crouler sous un déluge de stages inutiles.
Je me demande si ça va vraiment changer quelque chose au fond. J’ai peur que ce soit juste un lifting administratif sans réelle amélioration de l’accompagnement.
J’ai connu le RSA, c’était déjà l’usine. J’espère juste que cette réforme ne va pas rajouter une couche de stress et de paperasse pour les gens qui sont déjà en galère.
J’y crois moyen. On nous promet toujours monts et merveilles, mais à la fin, c’est souvent le parcours du combattant. J’espère juste que cette fois, ce sera différent.
Si cette réforme permet à France Travail de mieux connaître les besoins de chaque personne, ça peut être une bonne chose. À condition que ça débouche sur des formations concrètes et adaptées aux demandes du marché.
Automatique, ça me fait un peu peur. J’espère qu’on aura quand même le choix de dire « non » si l’accompagnement proposé ne convient pas.
Un contrat d’engagement, c’est bien joli, mais est-ce que ça va vraiment tenir compte de mes compétences ? J’ai peur qu’on me propose n’importe quoi.
L’automatisation, c’est un couteau à double tranchant. J’espère que ça ne va pas créer une surcharge pour les conseillers et que cela ne se traduira pas par un accompagnement moins humain.
J’ai toujours l’impression qu’on met la charrue avant les boeufs. Avant de forcer l’inscription, il faudrait peut-être s’assurer que France Travail a les moyens de bien accueillir tout le monde.
C’est bien beau tout ça, mais personne ne parle de l’isolement que le chômage peut créer. J’espère que France Travail offrira un vrai soutien moral, pas juste des formulaires.
L’idée d’une inscription automatique me rassure. Moins de paperasse, c’est déjà ça de gagné.
Enfin un peu de simplification, peut-être ? On verra bien.
Franchement, j’espère qu’ils vont penser à ceux qui ont du mal avec l’informatique. Tout le monde n’est pas à l’aise avec le numérique.
L’inscription automatique, c’est peut-être une bonne chose. Mais j’espère qu’ils vont pas juste nous coller des offres d’emploi à l’autre bout de la France.
Je me demande si cette automatisation ne va pas uniformiser les parcours. Chaque situation est tellement unique…
J’ai peur que ce soit juste un moyen de contrôler plus facilement les bénéficiaires. L’humain risque de disparaître complètement.
Le contrat d’engagement, ça sonne comme une menace plus qu’autre chose.
Si ça peut éviter à certains de se sentir perdus, tant mieux. L’administratif, c’est un vrai frein.
J’espère juste que ça ne va pas créer plus de boulot pour les agents de France Travail, déjà débordés.
Ça me rappelle les cours à l’école où on nous forçait à aimer la poésie. L’engagement forcé, ça marche rarement.
L’important, c’est pas de s’inscrire, c’est de trouver un job décent.
Si l’inscription devient automatique, j’espère qu’on ne va pas perdre ceux qui décrochent déjà du système. Il faut un suivi personnalisé, pas une simple case cochée.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la promesse d’un accompagnement individualisé. Sur le papier, c’est toujours beau. Dans la réalité, j’ai peur que ce soit du vent.
J’ai l’impression qu’on essaie de soigner la forme sans s’occuper du fond. Un accompagnement plus humain serait plus pertinent.
J’espère que cette réforme va vraiment aider à lever les freins à l’emploi, comme la garde d’enfants.
Moi, je me demande si on a vraiment évalué l’impact psychologique de se sentir « assisté » d’office. L’autonomie, c’est important aussi pour se remotiver.
L’idée d’un « contrat » me met mal à l’aise. On dirait qu’on part du principe que les gens ne veulent pas travailler. C’est infantilisant.
On nous parle d’automatisation, mais quid de ceux qui ont des problèmes d’illettrisme numérique ? Ça va les enfoncer encore plus.
L’idée que l’inscription automatique résolve le problème de fond me semble naïve. On déplace juste le problème.
On dirait qu’on veut uniformiser les parcours, mais chaque situation est tellement unique.
Je me souviens de ma tante, bloquée par un formulaire. Peut-être que l’automatisme, c’est un filet de sécurité pour elle.
Est-ce que ça va vraiment changer ma vie ? Je suis sceptique, mais j’attends de voir.
Je suis fatigué de ces réformes à répétition. On nous promet toujours monts et merveilles, mais rien ne change vraiment. Je préférerais qu’on me laisse tranquille.
J’espère que ça réduira vraiment les allers-retours inutiles entre Pôle Emploi et les services sociaux. Ça me prenait un temps fou !
France Travail qui remplace Pôle Emploi, RSA automatique… On change le nom, mais est-ce que ça va créer des emplois ? J’en doute.
Si ça peut éviter de refaire 15 fois les mêmes démarches, tant mieux. J’espère juste qu’ils ont pensé à la formation pour ceux qui ont besoin de se mettre à niveau.
J’ai peur que ce « contrat » ressemble plus à un carcan qu’à une aide. On dirait qu’on veut contrôler les gens au lieu de les accompagner.
J’espère que France Travail aura plus de succès que Pôle Emploi pour me trouver un job. Je suis ouverte à tout, mais je n’ai pas toujours les compétences demandées.
L’automatisation, c’est bien, mais j’espère qu’il y aura toujours quelqu’un de disponible au bout du fil. J’ai besoin d’un contact humain.
Franchement, j’ai surtout peur pour les agents de France Travail. Ils vont être débordés, c’est sûr.
L’idée d’un contrat me fait penser à une promesse. J’espère juste qu’elle sera tenue, cette promesse.
J’espère surtout que ce nouveau système prendra en compte les spécificités de chaque situation. Un accompagnement personnalisé, c’est ça la clé, pas une simple inscription.
J’ai toujours l’impression qu’on simplifie des situations très complexes. Un algorithme ne remplacera jamais l’empathie d’un conseiller.
Ce qui m’inquiète, c’est la stigmatisation accrue des bénéficiaires. On dirait qu’on les considère tous comme des fainéants à « remettre sur le droit chemin ». C’est infantilisant.
Automatique, c’est bien, mais j’espère que l’humain ne sera pas complètement effacé. On a tous besoin d’un coup de pouce, parfois.
Je me demande si cette réforme prend en compte les aidants familiaux. Trouver un emploi, c’est déjà compliqué, mais quand on doit s’occuper d’un proche en plus…
Si l’inscription est automatique, est-ce que ça veut dire moins de paperasse ? Parce que franchement, c’est ça qui décourage dès le départ.
Inscription automatique, contrat… Ça sonne comme une usine. J’espère qu’on ne va pas broyer les gens.
On parle de « France Travail », mais est-ce que le travail sera vraiment là ? C’est ça la vraie question.
Un contrat d’engagement, ça veut dire des obligations. J’espère que les droits suivront aussi, sinon c’est juste une pression supplémentaire.
J’ai l’impression qu’on déplace juste le problème. On oblige les gens à s’inscrire, mais est-ce que ça crée des emplois décents ?
C’est toujours la même rengaine : contrôler au lieu d’aider vraiment.
France Travail, ça change de Pôle Emploi, mais est-ce que ça change la réalité du marché du travail ? J’ai peur que ce soit juste un lifting.
Franchement, je vois surtout un transfert de responsabilités vers les allocataires.
J’espère que cette réforme permettra d’éviter les radiations abusives.
J’ai peur que ça devienne encore plus compliqué de justifier les situations particulières.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée que l’inscription automatique suffira à régler les problèmes de fond. C’est un peu comme repeindre une maison qui s’écroule.
Moi, ce qui m’inquiète le plus, c’est la formation. Est-ce qu’elle sera adaptée aux besoins réels des entreprises locales ?
J’espère surtout que ça simplifiera les démarches. L’angoisse, c’est de perdre du temps avec des formulaires inutiles.
Si au moins ça permettait un meilleur suivi personnalisé, ce serait déjà un grand pas.
J’ai l’impression qu’on nous vend une solution miracle. C’est surtout une manière de faire des statistiques plus flatteuses, non ?
J’ai connu des périodes de chômage. Le plus dur, c’est le sentiment d’isolement. Si ça brise la solitude, tant mieux.
L’automatisation, c’est bien, mais j’espère que ça ne va pas noyer ceux qui ont besoin d’un accompagnement plus humain.
L’idée du contrat d’engagement me fait penser à un forcing. On dirait qu’on part du principe que les gens ne veulent pas travailler.
Ça me rappelle un peu les changements de logiciel au boulot : on nous promet la lune, et au final, on galère encore plus. J’espère que ce ne sera pas la même chose.
Personnellement, je trouve que c’est une reconnaissance du parcours du combattant actuel. Ça ne résout rien, mais ça admet qu’il y a un problème. C’est déjà ça.
Moi, j’y vois surtout une façon d’avoir plus de contrôle sur les chiffres. On verra bien si ça aide vraiment les gens à retrouver un boulot.
En tant qu’aidant familial, je me demande si cette réforme prend en compte les spécificités de ceux qui ne peuvent pas forcément travailler à temps plein.
J’espère que ça ne va pas créer une bureaucratie encore plus lourde. J’ai peur que l’automatisation empire les choses pour ceux qui sont déjà en difficulté avec l’informatique.
J’ai peur que ça stigmatise encore plus les bénéficiaires du RSA. On va pointer du doigt ceux qui « ne font pas assez ».
Si ça peut éviter les allers-retours inutiles entre la CAF et Pôle Emploi (France Travail, donc), c’est déjà un gain de temps. J’espère juste que les conseillers seront plus disponibles ensuite.
J’espère surtout que ça va accélérer les versements. Les retards, c’est l’angoisse.
Je me demande si on a vraiment écouté les personnes concernées avant de prendre cette décision. On dirait une solution pensées par des gens qui ne connaissent pas la réalité.
L’automatisation, c’est bien, mais j’espère qu’ils vont pas oublier l’humain derrière.
Ce contrat d’engagement, ça ressemble à une carotte et un bâton. On nous force la main, mais est-ce que ça va vraiment ouvrir des portes ? J’ai des doutes.
Ce qui m’inquiète, c’est la formation. On nous parle de contrat, mais est-ce qu’il y aura des formations adaptées aux besoins réels du marché du travail local ?
Je me demande si l’inscription automatique ne va pas juste engorger France Travail, sans réel accompagnement personnalisé derrière.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’expression « contrat d’engagement ». Ça sonne très… martial. On dirait qu’on part du principe que les gens ne veulent pas s’en sortir.
Peut-être que ce sera plus simple pour certains, enfin. J’ai toujours trouvé ça aberrant de devoir prouver sans cesse qu’on cherche du travail.
Ça fait des années qu’on entend parler de simplification administrative. Si cette fois c’est vrai, tant mieux.
J’espère que ça permettra de mieux cibler les offres d’emploi. J’ai l’impression qu’on me propose toujours des trucs à côté de la plaque.
Si ça peut éviter à certains de se sentir invisibles, c’est déjà ça. J’ai l’impression parfois qu’on est juste un numéro.
J’ai peur que ça crée plus de paperasse qu’autre chose, pour les agents et pour nous.
C’est bien beau de parler d’inscription automatique, mais j’ai peur que ça uniformise encore plus les parcours. On est tous différents, avec des besoins spécifiques.
L’idée de l’inscription automatique me laisse perplexe. J’ai peur qu’on perde le côté humain du premier contact, crucial pour cerner les besoins.
« Contrat d’engagement », ça me fait penser à une punition. J’espère que ça ne se traduira pas par plus de contrôles et moins d’aide concrète.
En tant que citoyen lambda, j’espère juste que cette réforme va vraiment faciliter l’accès aux formations. C’est souvent ça le blocage principal, plus que l’emploi lui-même.
Automatique, d’accord, mais est-ce que ça veut dire qu’on tiendra compte de mes contraintes personnelles, genre la garde des enfants ?
J’espère que ça ne va pas juste déplacer le problème. L’accompagnement, c’est plus que de l’inscription.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on parle beaucoup de « France Travail » mais pas de « travail » tout court. Y aura-t-il vraiment plus d’opportunités à la clé ?
Si ça peut éviter de devoir refaire 15 fois les mêmes démarches, c’est un gain de temps précieux. On verra bien.
J’ai connu le parcours du combattant pour toucher le RSA, si ça simplifie la vie des autres, tant mieux.
J’espère surtout que France Travail aura les moyens de ses ambitions. Inscrire automatiquement, c’est bien, mais encore faut-il pouvoir répondre aux besoins derrière.
Franchement, « contrat d’engagement », ça sonne culpabilisant. On dirait qu’être au RSA, c’est déjà être en faute.
On promet toujours la simplification, mais j’ai surtout l’impression qu’on complexifie la vie des gens. J’attends de voir si « France Travail » sera vraiment une solution ou juste un nouveau nom pour Pôle Emploi.
Je me demande si cette « simplification » ne va pas surtout créer une standardisation de l’accompagnement, en oubliant les singularités de chaque situation.
Je suis sceptique. L’automatisation, c’est bien, mais est-ce que ça signifie moins d’écoute humaine ? J’ai peur que ça déshumanise encore plus le système.
Moi, j’y crois. Peut-être naïvement, mais j’y crois. J’espère que cette réforme va vraiment responsabiliser les bénéficiaires, et les pousser à se bouger un peu plus.
J’ai peur qu’on mette la charrue avant les bœufs. On automatise l’inscription, mais a-t-on vraiment assez de conseillers compétents pour tous?
J’espère qu’ils formeront mieux les conseillers. J’ai eu des expériences tellement mauvaises, c’est à se décourager.
Moi, j’espère que ça aidera ceux qui ne savent pas par où commencer. Le découragement, c’est le pire ennemi.
Je me demande si on ne risque pas de créer une énorme file d’attente virtuelle. L’inscription automatique, c’est bien joli, mais si personne ne répond derrière, ça ne sert à rien.
J’ai du mal à voir comment un simple changement de nom va magiquement créer des emplois. Ce n’est pas un problème de procédure, c’est un problème de fond.
Ce qui m’inquiète, c’est le suivi après l’inscription. Est-ce qu’on va vraiment aider les gens à trouver des formations adaptées, ou juste les pousser vers n’importe quel job ?
L’idée du « contrat d’engagement » me fait penser à une promesse qu’on se fait à soi-même. Si ça aide certains à se motiver, tant mieux.
Franchement, j’espère que ça évitera les allers-retours inutiles entre la CAF et Pôle Emploi, pardon, France Travail. Un guichet unique, ce serait déjà un grand pas.
J’ai l’impression qu’on considère souvent les bénéficiaires du RSA comme un problème à régler, pas comme des personnes. Ce contrat, ça ressemble à une punition déguisée.
Je me demande si on a pensé à ceux qui ont des problèmes de santé importants. Un contrat d’engagement, c’est bien, mais encore faut-il être en état de le respecter.
J’ai peur qu’on infantilise encore plus les gens. On dirait qu’on ne leur fait pas confiance pour s’inscrire eux-mêmes.
J’y crois moyen. J’ai peur que ça crée plus de paperasse qu’autre chose, et que les gens se sentent encore plus contrôlés.
Peut-être que ça va enfin simplifier les choses. J’ai l’impression de passer mon temps à remplir des formulaires, au lieu de chercher du travail.
J’espère juste qu’ils vont prendre en compte les réalités locales. Dans ma région, les offres d’emploi sont rares et mal payées. Un contrat, c’est bien, mais il faut des opportunités concrètes.
L’automatisation, c’est bien, mais j’espère qu’ils n’oublieront pas l’humain derrière le dossier. Un algorithme ne comprend pas toujours une vie.
Je me demande si ce « contrat » sera vraiment personnalisé. On parle de 2 millions de personnes, c’est énorme !
J’ai surtout l’impression que ça va encore changer de nom dans deux ans. Tout ça pour « moderniser »… On verra bien les effets concrets.
Automatique, c’est bien, mais j’espère que les conseillers seront formés. J’ai tellement vu de personnes mal informées…
L’engagement, oui, mais j’espère qu’il sera réciproque.
Je suis surtout soulagé que l’inscription soit automatique. Pour certains, même ça, c’est une montagne.
J’ai peur que ce soit encore une mesure déconnectée du terrain. Le problème, ce n’est pas l’inscription, c’est le manque de débouchés et d’accompagnement de qualité.
Si ça peut éviter à certains de se sentir stigmatisés dès le départ, c’est déjà ça. L’étiquette « RSA », c’est lourd à porter.
Je me demande si ça ne va pas saturer encore plus France Travail. Déjà qu’ils sont débordés…
Je me demande si ce n’est pas une manière déguisée de fliquer encore plus les gens. On est déjà bien contrôlés, non?
L’idée de l’inscription automatique me fait penser à une chaîne de montage. J’espère qu’on ne deviendra pas des numéros sans visage.
J’espère surtout que ça réduira le temps d’attente pour avoir un premier rendez-vous. C’est souvent le plus décourageant.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’aspect psychologique. On parle d’engagement, mais est-ce qu’on prend en compte la perte de confiance en soi que beaucoup ressentent ? Un contrat, ça peut aussi être une pression supplémentaire.
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle d’inscription automatique, mais quid de la formation pour les métiers qui recrutent vraiment ? C’est bien beau de s’inscrire, mais si on n’a pas les compétences.
Moi, ce qui m’interpelle, c’est le mot « engagement ». Est-ce que cela signifie que si on galère à trouver, on sera sanctionné ? Ça ressemble à une obligation plus qu’à une aide.
L’automatisation, c’est bien, mais j’espère que le « contrat » sera vraiment personnalisé. Chaque situation est unique.
L’inscription automatique, c’est un peu comme être mis d’office dans une salle d’attente. J’espère juste qu’on ne va pas y rester coincés trop longtemps.
Je me demande si ce « contrat d’engagement » ne va pas surtout alourdir encore plus les démarches. Plus de paperasse = plus de temps perdu.
J’espère que ça simplifiera vraiment les choses. J’ai l’impression de toujours courir après les infos.
Peut-être que ça forcera les conseillers à mieux connaître les entreprises locales.
Franchement, j’ai peur que ça crée un sentiment d’être encore plus assisté, alors que ce qu’il faut, c’est se sentir acteur de sa propre recherche.
J’y vois une tentative maladroite de masquer le manque d’opportunités réelles. Un pansement sur une jambe de bois, en somme.
J’espère que ça permettra de mieux cibler les besoins spécifiques de chacun, notamment ceux qui ont des problèmes de santé.
J’ai l’impression qu’on déplace le problème. L’automatisation ne crée pas d’emplois.
J’ai l’impression qu’on infantilise les gens. On dirait qu’on ne leur fait pas confiance pour s’inscrire eux-mêmes.
J’ai toujours pensé que le RSA était un filet de sécurité, pas un tremplin. J’espère que cette réforme ne va pas le transformer en parcours du combattant.
Si ça permet de désengorger les services et d’éviter les erreurs administratives, pourquoi pas. L’enfer, c’est souvent les formulaires mal remplis.
Je me demande si on a vraiment pensé à ceux qui ont du mal avec le numérique. L’automatisation, c’est bien, mais il faut pas laisser les gens sur le côté.
L’idée d’un contrat, ça me fait penser à une relation employeur-employé… alors que c’est une aide sociale. Ça me met mal à l’aise.
Moi, j’y vois surtout une façon de mieux contrôler. On va ficher encore plus les gens.
Je suis curieux de voir si ce « contrat d’engagement » va réellement être personnalisé et adapté à chacun, ou si ce sera juste une énième paperasse standardisée.
L’idée d’un suivi plus rapproché, ça peut être bien pour ceux qui se sentent isolés. Peut-être que ça brise la solitude de la recherche d’emploi.
Inscription automatique, contrat… J’espère juste qu’on ne va pas créer une usine à découragement.
J’espère que ce sera plus efficace que Pôle Emploi, parce que, franchement, c’était pas difficile de faire pire.
J’ai peur que cette « simplification » administrative ne crée en fait un monstre bureaucratique encore plus difficile à naviguer. On centralise, on centralise, mais est-ce que ça aide vraiment les ge…
Automatique, ça veut dire moins de démarches… C’est déjà ça de gagné. J’ai galéré pour m’inscrire au RSA, j’espère que ça évitera ça à d’autres.
J’espère que ça permettra aux conseillers de France Travail d’avoir plus de temps pour aider réellement les gens, au lieu de se noyer dans les inscriptions.
J’ai peur que ce soit encore une promesse non tenue. On nous dit « simplification », mais j’ai l’impression qu’on complexifie souvent les choses sous couvert de modernité.
Si ça peut éviter à des gens de se perdre entre le RSA et Pôle Emploi, c’est déjà un plus. J’ai un ami qui a mis des mois à comprendre les démarches.
Je me demande si ce n’est pas une façon détournée de forcer les gens à accepter n’importe quel emploi, même mal payé. J’espère que ça ne va pas se transformer en une pression constante.
France Travail, je connais. J’ai l’impression qu’ils sont plus là pour contrôler que pour aider. J’espère que ce ne sera pas pire.
Un contrat d’engagement, ça sonne comme une promesse à double tranchant. J’espère que ce ne sera pas juste un moyen de nous culpabiliser si on ne trouve pas du travail assez vite.
On parle beaucoup d’emploi, mais quid de la formation ? J’espère que ce contrat d’engagement inclura un vrai volet pour se requalifier, pas juste des offres d’emploi à la chaîne.
Le RSA, c’est déjà compliqué à vivre. J’espère que cette réforme ne va pas ajouter une couche de stress et de paperasse.
Ça me rappelle les discours sur la « modernisation » des services publics. J’espère juste que derrière, il y aura plus d’écoute et moins de cases à cocher.
L’automatisation, c’est bien, mais j’espère qu’ils vont penser à ceux qui ne sont pas à l’aise avec le numérique.
Ce contrat, j’espère qu’il sera adapté à chacun, pas un truc standardisé qu’on nous impose.
Automatique, c’est bien beau, mais j’ai l’impression qu’on oublie que derrière chaque dossier, il y a une histoire. J’espère que cette réforme ne va pas déshumaniser l’accompagnement.
Si ça facilite la vie de certains, tant mieux. Perso, j’ai toujours trouvé que chercher du boulot, c’était déjà un job à plein temps.
J’espère que ce « contrat d’engagement » ne va pas créer des obligations impossibles à tenir pour les personnes ayant des problèmes de santé.
Inscription automatique… ça évitera peut-être les oublis ou les démarches manquées. Simplifier, c’est parfois une bonne chose, non ?
Si l’inscription est automatique, ça veut dire moins de temps perdu. Mais j’espère qu’on aura toujours le choix du conseiller, c’est important d’avoir quelqu’un en qui on a confiance.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la notion de « contrat ». On dirait qu’on nous considère déjà comme fautifs.
Moi, je me demande si cette automatisation va réellement créer plus d’emplois disponibles.
France Travail, encore un nouveau nom… J’espère qu’ils ont surtout pensé à former les conseillers, parce que c’est souvent là que le bât blesse.
Le mot « engagement » me fait tiquer. C’est comme si on pariait que les gens ne veulent pas s’en sortir.
J’ai peur que ce soit une usine à gaz de plus. On nous promet la simplification, mais j’ai surtout l’impression qu’on va noyer les gens dans des procédures uniformes.
France Travail… J’espère que ce sera plus qu’un changement de logo. J’ai l’impression qu’on brasse de l’air.
L’idée d’une inscription automatique me laisse perplexe. J’ai peur que ça déshumanise encore plus le suivi. On a besoin d’écoute, pas d’un algorithme.
Cette inscription automatique, ça sonne comme une bonne intention, mais j’ai peur que ça ne tienne pas compte des réalités de chacun.
Je vois surtout une tentative de mieux contrôler les chômeurs. On verra si ça les aide vraiment à trouver du boulot.
Je suis curieux de voir si France Travail aura une meilleure connaissance des besoins des entreprises locales. C’est souvent le décalage entre les offres et les compétences qui pose problème.
J’ai galéré pour obtenir le RSA, si ça peut éviter ça à d’autres, tant mieux. Moins de paperasse, c’est toujours bon à prendre.
Franchement, j’espère que ça évitera les doublons. J’ai déjà dû remplir des formulaires similaires à plusieurs endroits.
J’espère surtout que cette réforme ne va pas créer encore plus de stigmatisation autour du RSA. On dirait qu’on cherche toujours à pointer du doigt au lieu d’aider.
Si ça peut me faire gagner du temps pour chercher un emploi au lieu de remplir des papiers, je suis pour.
C’est bien beau l’inscription automatique, mais ça ne résoudra pas le manque de places en crèche pour ceux qui veulent bosser.
Le « contrat d’engagement », ça me fait penser à une promesse qu’on ne tiendra pas. J’ai peur que ça ajoute une pression inutile sur des gens déjà en difficulté.
L’automatisation, c’est pratique, mais j’espère qu’on pensera encore à l’humain derrière le dossier. Un peu de considération, ça change tout.
J’ai l’impression qu’on met la charrue avant les boeufs. On devrait se concentrer sur la qualité de l’accompagnement, pas sur l’inscription.
Ça me rappelle un peu ces abonnements forcés qu’on te colle sans te demander ton avis. J’espère qu’on aura le droit de dire non si on veut gérer sa recherche d’emploi autrement.
Je me demande si ça va vraiment simplifier la vie de ceux qui sont éloignés du numérique. L’automatisation, c’est bien, mais encore faut-il savoir s’en servir.
Je suis curieux de voir comment France Travail va gérer le flux massif de nouveaux inscrits. La machine suivra-t-elle ?
J’ai peur que ce soit une usine à gaz de plus. Plus de contrôle, moins d’autonomie, voilà ce que je ressens.
En tant qu’ancien bénéficiaire du RSA, j’espère surtout que ce nouveau système permettra une meilleure coordination entre les différents acteurs sociaux.
On dirait qu’on veut nous faire croire que le problème, c’est l’inscription. Pour moi, le vrai défi, c’est d’avoir des offres d’emploi qui correspondent à mes compétences et qui soient bien payées.
Franchement, j’y crois moyen. On nous vend souvent des réformes miracles, mais au final, c’est toujours les mêmes qui trinquent.
Espérons que ça boostera vraiment les formations et les remises à niveau. Un boulot, c’est pas juste une inscription.
C’est peut-être l’occasion de remettre vraiment les entreprises face à leurs responsabilités en matière d’embauche.
Ça sent la culpabilisation des chômeurs à plein nez. On dirait qu’on présume que les gens ne cherchent pas d’emploi…
J’ai l’impression qu’on veut standardiser les parcours. Mais chaque situation est tellement unique… Est-ce qu’on va vraiment tenir compte de ça?