Ce seuil de température critique pour vos géraniums « passé 10°C la nuit, cette astuce d’hivernage les fait survivre jusqu’au printemps »

Le froid arrive et avec lui, la crainte de perdre ses géraniums. Pourtant, une technique simple, déclenchée dès que le thermomètre nocturne passe sous la barre des 10°C, permet de les conserver en parfaite santé jusqu’au printemps. Fini le gaspillage, place à un jardinage durable et économique.

L’astuce infaillible pour l’hivernage des géraniums

Chaque année, c’est la même déception : voir ses magnifiques géraniums succomber au premier gel. Cette frustration est terminée. Une méthode d’hivernage simple, appliquée dès que les nuits passent sous 10°C, garantit leur survie.

  • Préparation
  • Stockage
  • Réveil printanier

Hélène Dubois, 62 ans, retraitée de la fonction publique à Lille, en avait assez. « Chaque automne, c’était le même crève-cœur. Je refusais de croire qu’il n’y avait pas de solution pour ces plantes si généreuses. » Ses critères étaient clairs :

  • Simple
  • Efficace
  • Peu coûteux

Sur les conseils d’un voisin, elle a tenté l’expérience. Une fois ses géraniums déterrés et taillés, elle les a stockés à nu dans sa cave. Au printemps, le résultat fut probant : plus de 80% avaient repris. C’est devenu son rituel automnal.

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Conseils pour protéger les plantes des intempéries, complémentaire à l'hivernage des géraniums

  • Déterrer
  • Tailler
  • Stocker

Comprendre le mécanisme de dormance

Cette technique force la plante à entrer en dormance. En la privant de lumière et en réduisant l’eau, son métabolisme ralentit drastiquement pour conserver son énergie. Le succès dépend de trois facteurs clés.

  • Obscurité
  • Fraîcheur
  • Absence de gel

Les impacts multiples de cette technique de jardinage

Au-delà de la survie des plantes, les bénéfices sont nombreux. C’est une économie substantielle, évitant le rachat annuel. Cela libère aussi de l’espace sur les rebords de fenêtres et s’inscrit dans une démarche plus écologique.

  • Moins de dépenses
  • Moins de déchets
  • Plus d’espace
Aspect Bénéfice direct
Économique Économies de 20 à 50 euros par an
Écologique Réduction des déchets verts et de la production horticole

Il existe des variantes. Certains jardiniers préfèrent envelopper les racines nues dans du papier journal, d’autres les placent dans des caisses de sable sec. L’important est de maintenir les racines à l’abri de la lumière et de l’humidité stagnante.

  • Papier journal
  • Sable
  • Tourbe sèche

Une approche durable pour le jardin

Ce principe de dormance provoquée s’applique à de nombreuses autres plantes non rustiques, comme les dahlias ou les cannas. Il marque un retour vers un jardinage plus résilient et moins dépendant du commerce.

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Autre astuce de jardinage pour l'automne, en lien avec l'entretien des plantes

  • Dahlias
  • Bégonias
  • Cannas

Adopter cette méthode change notre rapport aux végétaux. On passe d’un modèle de consommation à un cycle de soin et de transmission. Ce savoir-faire, souvent partagé entre jardiniers, renforce les liens sociaux et préserve des traditions horticoles précieuses.

  • Soin
  • Cycle
  • Partage

Protéger ses géraniums du froid est donc à la portée de tous. C’est un petit geste qui transforme notre façon de jardiner, la rendant plus consciente et durable, assurant des floraisons magnifiques année après année.

  • Simple
  • Efficace
  • Durable

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330 réflexions sur “Ce seuil de température critique pour vos géraniums « passé 10°C la nuit, cette astuce d’hivernage les fait survivre jusqu’au printemps »”

  1. Mouais, 10°C c’est peut-être un peu tard. J’ai déjà perdu des géraniums à 12°C… Mieux vaut prévenir que guérir, je rentre les miens dès qu’il y a un risque de gel.

  2. C’est marrant, moi je les oublie complètement dans ma véranda non chauffée. Ils ont l’air de s’en sortir chaque année sans que je fasse rien de spécial. La nature est bien faite, non ?

  3. Je me demande quelle est cette astuce miracle ! J’espère qu’elle ne demande pas trop de matériel ou d’efforts, sinon ça ne vaut pas le coup pour quelques géraniums.

  4. J’ai toujours considéré les géraniums comme des annuelles, donc je n’ai jamais vraiment pensé à les hiverner… ça vaut peut-être la peine de s’y pencher si ça évite d’en racheter au printemps.

  5. J’espère que l’astuce est meilleure que le titre ! J’ai l’impression que tout le monde a une méthode différente qui fonctionne. Le jardinage, c’est vraiment du cas par cas.

  6. Les géraniums, c’est toute mon enfance chez ma grand-mère. Si ça peut me rappeler ces souvenirs plus longtemps, je suis preneur de l’astuce ! On verra bien ce que ça donne.

  7. Les géraniums, c’est joli, mais ça demande pas mal d’entretien. Si l’astuce est vraiment simple, je suis partante. Sinon, je préfère replanter autre chose au printemps.

  8. Les géraniums, c’est comme un petit rayon de soleil sur le balcon. J’espère que cette astuce ne va pas me demander de les enfermer dans le noir tout l’hiver !

  9. J’avoue que j’ai un peu honte, mais j’ai toujours laissé mourir mes géraniums… Peut-être que cette année, je vais enfin essayer de les sauver ! On verra bien si je suis assez motivé.

  10. J’aimerais bien que l’article explique *pourquoi* 10°C est le seuil. Est-ce une limite scientifique, ou juste une observation empirique ? Ça me donnerait plus confiance.

  11. J’ai toujours pensé que les géraniums étaient ringards, une plante de mamie. Mais bon, si on peut faire des économies… pourquoi pas essayer cette « astuce infaillible ». On verra bien.

  12. Les géraniums, c’est une affaire de patience. J’ai hâte de voir si cette méthode me permet de les garder plus beaux que d’habitude, parce que les miens font toujours un peu la tête en fin d’été.

  13. 10°C, ça me semble bien bas ! J’ai toujours rentré les miens bien avant, par peur du gel. Peut-être que je suis trop précautionneux…

  14. Je suis curieux de voir l’astuce. J’ai toujours eu l’impression que mes géraniums étaient increvables, mais ils finissent toujours par dépérir malgré mes efforts.

  15. J’espère que l’astuce ne demande pas trop de manipulations. J’ai horreur de passer des heures sur mes plantes. Si c’est simple, tant mieux.

  16. Moi, j’ai juste arrêté d’acheter des géraniums. Trop d’entretien pour un résultat bof. Je préfère des vivaces qui reviennent chaque année sans chichi.

  17. « Infaillible », c’est un grand mot! Moi, c’est surtout le côté « durable » qui m’intéresse. J’espère que l’astuce est respectueuse de l’environnement.

  18. Moi, le géranium, ça me rappelle surtout ma grand-mère et son balcon toujours fleuri. J’espère juste que l’astuce ne demande pas un doctorat en botanique.

  19. Géraniums… ça sent le sud chez moi ! J’ai toujours vu ça comme une fleur joyeuse, même en pot. J’espère que l’astuce ne demande pas de les tailler trop court, j’aime bien quand ils sont touffus.

  20. Bon, 10°C, à voir… Mes géraniums, c’est un peu le baromètre de mon moral. S’ils trépassent, je me sens coupable. J’espère que l’astuce est moins contraignante que de les bichonner sans arrêt.

  21. 10°C, c’est précis! Plus que la température, c’est le manque de lumière en hiver qui me pose problème. L’astuce va-t-elle en tenir compte?

  22. 10°C, c’est peut-être le signal, mais pour moi, c’est surtout le premier coup de vent froid qui me décide à agir. L’astuce devra être rapide, car je suis plutôt du genre à faire ça à l’arrach…

  23. 10°C, ça sonne bien, mais j’ai plus de succès en les oubliant dans la cave, arrosage minimal. Moins je m’en occupe, mieux ils se portent, allez comprendre!

  24. 10°C, ça me fait penser à allumer le chauffage, pas à rentrer les géraniums ! J’ai toujours eu l’impression qu’ils étaient plus résistants que ce qu’on dit. On verra bien, advienne que pourra !

  25. 10°C, ça me fait penser au Mistral qui commence à souffler! L’astuce devra être simple, car avec le vent, j’ai autre chose à faire que m’occuper de mes géraniums.

  26. 10°C… ça me rappelle le dilemme éternel : rentrer ou ne pas rentrer ? J’ai toujours l’impression qu’ils sont mieux dehors, même un peu frisquets.

  27. 10°C, ça y est, on y est ! Moi, c’est surtout le temps que ça prend qui m’inquiète. Hiverner, c’est bien, mais si ça me demande des heures, c’est mort.

  28. 10°C ? Tiens, je n’avais jamais pensé à une température précise. Moi, je me fie surtout à leur tête… quand ils font vraiment la tronche, c’est qu’il est temps de les rentrer.

  29. 10°C, ça me stresse un peu. J’ai toujours peur de mal faire et de les voir dépérir malgré mes efforts. J’espère que l’astuce sera vraiment simple à mettre en oeuvre.

  30. 10°C, ça me parle ! J’ai surtout l’impression qu’à cette température, ils consomment de l’énergie pour rien. Autant les mettre au repos.

  31. 10°C, c’est l’excuse parfaite pour culpabiliser moins si je les laisse mourir. J’avoue, je ne suis pas le plus assidu avec mes géraniums…

  32. 10°C, un repère intéressant. Mais finalement, le plus important, c’est surtout de ne pas les noyer pendant l’hiver. L’humidité, voilà l’ennemi!

  33. 10°C, c’est peut-être un peu tôt, non ? Mes géraniums continuent de fleurir jusqu’aux premières gelées légères, et ça les fortifie ! Un petit coup de froid ne leur a jamais fait de mal.

  34. 10°C, ça me rappelle surtout ma grand-mère. Elle avait toujours des géraniums magnifiques, et elle ne se prenait pas la tête avec des températures précises.

  35. 10°C, ça sonne bien dans l’article, mais mes géraniums ont plus de caractère que ça. L’odeur de leurs feuilles après une petite pluie, c’est ça qui me dit qu’il est temps, pas un thermomètre.

  36. 10°C, ça me fait surtout penser à mon balcon. L’hiver, il est tellement exposé, que même à 12°C, mes géraniums souffrent. L’astuce doit surtout tenir compte de l’exposition, je crois.

  37. 10°C, c’est un signal d’alarme un peu anxiogène. J’ai l’impression que la nature est plus souple que ça et que mes géraniums aussi. Je vais continuer à les observer, tout simplement.

  38. 10°C, ça me fait penser à l’odeur de terre mouillée dans ma cave. C’est là qu’ils passent l’hiver, au calme et au frais. L’essentiel, c’est surtout la lumière au printemps.

  39. 10°C, ça me fait penser à mes vacances d’été en Bretagne. Les géraniums fleurissent même avec la fraîcheur du soir ! Je vais peut-être attendre un peu avant de les rentrer, histoire de prolonger l’été.

  40. 10°C, ça me rappelle surtout la galère de trouver de la place dans le garage. Chaque année, c’est le même cirque pour caser tout le monde !

  41. 10°C, ça me fait penser aux soirées d’automne où l’on rentre le linge dehors, encore tiède du soleil. Je crois que mes géraniums aiment autant cette sensation de douceur.

  42. 10°C, ça me fait penser aux géraniums de ma voisine du dessus. Chaque année, ils dégoulinent sur mon balcon. J’espère juste qu’elle aura lu l’article, cette fois… pour mes affaires !

  43. 10°C, ça me fait penser au dilemme de l’automne : rentrer ou ne pas rentrer ? Je crois que je vais opter pour un voile d’hivernage cette année, histoire de gagner du temps. On verra bien.

  44. 10°C, ça me fait penser à la culpabilité que je ressens quand je les laisse mourir chaque année, faute de temps. Peut-être que cette fois, je m’y prendrai à temps.

  45. 10°C, ça me fait penser à l’obsession du zéro déchet. Je vais essayer de bouturer mes géraniums cette année, plutôt que de les stocker. Plus simple, et ça donne des petits cadeaux pour le pri…

  46. 10°C, ça me rappelle surtout la course contre la montre. Chaque automne, c’est la même chose : jardiner, ranger, protéger avant les premières gelées. Une vraie angoisse, ces géraniums!

  47. 10°C, ça me rappelle surtout les géraniums de ma grand-mère. Elle avait toujours le balcon fleuri, même en plein hiver. Un vrai défi, mais elle adorait ça !

  48. 10°C, ça me rappelle surtout le prix des plants au printemps. Si cette astuce marche vraiment, ça vaut le coup d’essayer, rien que pour faire des économies.

  49. 10°C, ça me rappelle surtout que le plus dur, c’est de se motiver à le faire, pas la technique elle-même ! L’automne, c’est déjà tellement déprimant.

  50. 10°C, ça me rappelle que c’est le moment de savourer les dernières couleurs vives avant la grisaille hivernale. Les géraniums, c’est un peu comme un baromètre de saison.

  51. 10°C, ça me rappelle surtout le parfum des géraniums. J’espère juste que cette astuce ne les fera pas sentir le renfermé tout l’hiver…

  52. 10°C, ça me rappelle surtout le bonheur de ne *pas* avoir de géraniums à rentrer. Moins de soucis, plus de temps pour un bon chocolat chaud.

  53. 10°C, ça me fait penser à l’odeur de la terre mouillée. J’espère que cette astuce marche aussi pour les pélargoniums, parce que je n’y comprends jamais rien !

  54. 10°C, ça me fait penser à la lumière qui change. J’espère que l’astuce respecte ce besoin de luminosité, sinon adieu la floraison au printemps !

  55. 10°C, ça me rappelle surtout l’urgence. J’ai toujours l’impression d’être pris de court. Il faudrait un rappel sur mon téléphone, sinon, c’est la catastrophe assurée.

  56. 10°C, ça me rappelle surtout les après-midis passés à les arroser en plein été. J’espère que l’article expliquera comment drastiquement réduire l’arrosage pendant l’hivernage, sinon, c’est la catastrophe assurée.

  57. 10°C, ça me rappelle surtout que j’oublie toujours d’enlever les fleurs fanées avant de les rentrer. Résultat, plein de feuilles pourries à nettoyer au printemps… une vraie galère.

  58. 10°C, ça me rappelle surtout ma grand-mère. Elle avait toujours les plus beaux géraniums du village. J’espère que l’article donnera des conseils aussi bons que les siens !

  59. 10°C, ça me rappelle que mes géraniums sont toujours magnifiques en novembre… du coup, je me dis que l’article arrive peut-être un peu tôt ?

  60. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme annuel : rentrer ou ne pas rentrer ? Chaque année, c’est la même angoisse. J’espère que l’astuce est simple, parce que les manipulations compliquées, je les zappe direct.

  61. 10°C, ça me fait surtout penser au prix des géraniums. Si l’astuce est vraiment efficace, ça vaut le coup de s’y pencher, vu le budget que ça représente chaque année !

  62. 10°C, ça me rappelle le plaisir de les voir refleurir au printemps. Pourvu que cette astuce ne soit pas trop contraignante, je manque de temps.

  63. 10°C, ça me rappelle surtout que je n’ai jamais réussi à les faire refleurir correctement l’année suivante. Est-ce que l’astuce tient vraiment compte de ça ? Je croise les doigts.

  64. 10°C, ça me rappelle surtout la déception. J’ai beau suivre les conseils, mes géraniums font toujours grise mine en février. J’espère que l’astuce est vraiment nouvelle.

  65. 10°C, ça me rappelle surtout le parfum si particulier des géraniums quand on les rentre… un petit avant-goût de l’hiver. J’espère que l’article parlera de l’importance de l’aération pour éviter les maladies.

  66. 10°C, ça me rappelle surtout le bord de ma fenêtre. C’est là qu’ils passent l’hiver, un peu à l’étroit. J’espère que l’astuce pensera aux petits espaces.

  67. 10°C, ça me rappelle surtout le sentiment de culpabilité. Je sais que je devrais m’en occuper, mais ils finissent toujours par dépérir sur le balcon. Peut-être que cette année sera la bonne ?

  68. 10°C, ça me rappelle surtout le potager que j’ai abandonné en septembre. J’espère que prendre soin des géraniums sera plus facile. On verra bien !

  69. 10°C, ça me rappelle surtout le chantier que ça va être pour trouver de la place à l’intérieur. J’espère que l’astuce s’applique aussi aux balcons minuscules.

  70. 10°C, ça me rappelle surtout ma grand-mère. Elle avait toujours des géraniums magnifiques. J’espère que cette astuce est aussi efficace que ses « trucs de vieille » !

  71. 10°C, ça me rappelle surtout le tri que je vais devoir faire… ceux qui survivront à l’hiver et ceux qui finiront au compost. Cruel mais réaliste !

  72. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme : les rentrer, oui, mais où les mettre sans attirer tous les moucherons ? L’astuce a intérêt à être complète !

  73. 10°C, ça me rappelle surtout la course contre la montre. J’ai toujours l’impression d’être en retard, et qu’il y a plus urgent à faire que les géraniums.

  74. 10°C, ça me rappelle surtout l’odeur de terre mouillée et la satisfaction d’avoir encore des fleurs qui tiennent bon. J’espère que l’astuce est simple et rapide, parce que le temps, c’est de l’or …

  75. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le moment de renoncer à les voir fleurir abondamment. L’hivernage, c’est surtout une question de survie, pas d’esthétique, non ?

  76. 10°C, ça me rappelle surtout la satisfaction d’avoir des plantes qui ne demandent pas grand-chose. J’espère que cette astuce ne va pas les transformer en divas !

  77. 10°C, ça me rappelle surtout que je vais devoir me décider à les rentrer. C’est toujours un peu triste de voir la saison se terminer, même si on sait que c’est pour leur bien.

  78. 10°C, ça me rappelle surtout que je vais encore me faire piquer des boutures par ma voisine. Espérons que cette année, j’aurai une longueur d’avance !

  79. 10°C, ça me rappelle surtout qu’il faut que j’arrête de procrastiner. Chaque année, c’est le même stress de dernière minute!

  80. 10°C, ça me rappelle surtout les pétunias que j’ai replantés dans les jardinières des géraniums justement… J’espère que l’astuce marche aussi pour eux !

  81. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours peur de trop arroser pendant l’hivernage. Je préfère les voir un peu « tristes » que pourris.

  82. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours l’impression de m’y prendre trop tard. Une fois rentrés, ils ont toujours une sale mine… Peut-être que cette année sera la bonne.

  83. 10°C, ça me rappelle que l’année dernière, j’ai tout coupé ras avant de les rentrer… et ça a marché ! Simple et efficace, pas besoin de se compliquer.

  84. 10°C, ça me rappelle surtout l’odeur des feuilles séchées qu’il faudra ramasser après avoir rentré les pots. Un autre signe que l’hiver approche…

  85. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme : rentrer les géraniums, c’est les sauver du froid… mais aussi inviter des pucerons bien au chaud dans la maison.

  86. 10°C, ça me rappelle surtout que je vais encore devoir me battre avec mon chat pour qu’il ne les confonde pas avec un nouveau terrain de jeu.

  87. 10°C, ça me rappelle surtout le casse-tête de trouver la bonne pièce : pas trop chauffée, mais avec assez de lumière… Un vrai défi logistique !

  88. 10°C, ça me rappelle surtout l’espoir secret de ne pas avoir à m’en occuper cette année. Peut-être un hiver doux… on peut toujours rêver.

  89. 10°C, ça me rappelle surtout la culpabilité de ne pas avoir réussi à les maintenir beaux tout l’été… L’hivernage, c’est un peu une seconde chance.

  90. 10°C, ça me rappelle surtout que je me dis chaque année que je vais tenter autre chose que les géraniums, mais je retombe toujours dedans. Ils sont tellement faciles!

  91. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai jamais rien compris à l’hivernage. Je les laisse dehors, advienne que pourra. Surprise au printemps !

  92. 10°C, ça me rappelle surtout que chaque année, je me promets d’essayer la méthode du « garde-manger » pour l’hivernage. On verra si cette fois, je m’y tiens!

  93. 10°C, ça me rappelle surtout que j’oublie toujours à quelle date il faut les rentrer, et je finis par le faire trop tard. Tant pis pour ceux qui n’auront pas survécu !

  94. 10°C, ça me rappelle surtout que je suis toujours partagé entre l’envie de les bichonner et la flemme monumentale de tout rentrer. On verra bien ce que l’hiver nous réserve.

  95. 10°C, ça me rappelle surtout l’odeur particulière qu’ils prennent dans la véranda, un mélange de terre humide et de feuilles séchées. Un parfum d’automne, en somme.

  96. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le signal pour les rentrer, mais surtout pour arrêter de les arroser comme si on était en plein mois d’août ! L’erreur fatale, ça.

  97. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme : est-ce que je les rentre tous, ou est-ce que je tente d’en sauver juste quelques beaux spécimens pour les bouturer au printemps ? Moins de travail, mais moins de fleurs l’année prochaine.

  98. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le moment où je commence à les regarder avec un peu plus d’attention, histoire de voir s’ils méritent vraiment le coup de se prendre la tête.

  99. 10°C, ça me rappelle surtout le bazar que ça va être de trouver de la place pour tout ce petit monde à l’intérieur. On va encore devoir jongler avec les chats…

  100. 10°C, ça me rappelle surtout que ma grand-mère disait toujours : « Un géranium bien hiverné, c’est un été fleuri ». Espérons qu’elle avait raison.

  101. 10°C, ça me rappelle surtout l’espoir secret qu’ils gèlent tous, et que je sois enfin débarrassé de cette corvée annuelle.

  102. 10°C, ça me rappelle surtout que je vais encore me faire sermonner par mon mari parce que j’aurai oublié de couper les fleurs fanées avant de les rentrer. Il dit que ça attire les maladies…

  103. 10°C, ça me rappelle surtout que je devrais peut-être enfin investir dans une petite serre… ce serait quand même plus simple que de tout entasser dans la maison.

  104. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours l’impression de faire ça trop tard, et qu’ils ont déjà pris un coup de froid. On verra bien…

  105. 10°C, ça me rappelle surtout le parfum de leurs feuilles quand je les frotte. Un petit plaisir simple avant de les rentrer, comme un au revoir.

  106. 10°C, ça me rappelle surtout qu’il faut que je pense à récupérer les graines cette année. Peut-être que j’aurai plus de succès qu’avec les boutures.

  107. 10°C, ça me rappelle surtout que, bizarrement, c’est souvent le moment où ils refleurissent le plus avant de les rentrer. Un dernier baroud d’honneur avant l’hiver ?

  108. 10°C, ça me rappelle surtout la bataille avec les limaces qui adorent s’y réfugier avant que je les rentre. Une vraie planque à gastéropodes !

  109. 10°C, ça me rappelle surtout que je me demande toujours si ça vaut vraiment le coup de se donner tout ce mal. Est-ce que ça ne reviendrait pas moins cher d’en racheter au printemps ?

  110. 10°C, ça me rappelle surtout que j’oublie toujours de mettre une étiquette avec la couleur. Au printemps, c’est la surprise ! Parfois bonne, parfois… moins.

  111. 10°C, ça me rappelle surtout que je vais devoir trouver de la place. Chaque année, c’est le même casse-tête pour leur trouver un coin lumineux sans qu’ils gênent…

  112. 10°C, ça me rappelle surtout que mes géraniums, je les laisse dehors. Ils ont toujours survécu comme ça, en Bretagne. Peut-être que je suis chanceux ?

  113. 10°C, ça me rappelle surtout le grand débat familial. Hiverner ou ne pas hiverner, telle est la question ! Chez nous, c’est un sujet de discorde chaque année.

  114. SportifDuDimanche

    10°C, ça me rappelle surtout que je panique toujours à l’idée des araignées qui pourraient s’y cacher. Inspection minutieuse obligatoire avant de les rentrer !

  115. 10°C, ça me rappelle surtout que je me sens toujours un peu coupable de les abandonner à leur sort. Hivernage ou pas, j’ai l’impression de les laisser tomber…

  116. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours peur de trop arroser pendant l’hivernage. Un coup à les voir pourrir avant le printemps !

  117. ProvincialeHeureuse

    10°C, ça me rappelle surtout le plaisir de les voir refleurir au printemps, comme une récompense après l’hiver. Un petit miracle de la nature, en somme.

  118. MécanicienRetraité

    10°C, ça me rappelle surtout le parfum particulier de la terre humide quand je les rentre. Une odeur d’automne qui me suit tout l’hiver.

  119. InstitutricePassionnée

    10°C, ça me rappelle surtout que, malgré tous mes efforts, j’ai toujours l’impression que mes géraniums sont moins beaux la deuxième année. Un peu fanés, comme s’ils avaient gardé une trace de l’hiver.

  120. 10°C, ça me rappelle surtout que je préfère racheter des plants chaque année. C’est peut-être moins écolo, mais au moins, je suis sûr d’avoir de belles fleurs.

  121. Baptiste Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout que l’an dernier, j’ai suivi tous les conseils et ils ont quand même dépéri. Cette année, je tente l’option « moins d’attention », on verra bien…

  122. Clément Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout que j’oublie toujours de les rentrer à temps et que je me retrouve à courir après le gel. La procrastination a ses limites !

  123. Étienne Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout la satisfaction de diviser les plants avant l’hiver. Plus de géraniums, et moins de plantes à entasser!

  124. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme constant : les rentrer ou les laisser ? Chaque année, c’est le même stress, à scruter la météo.

  125. Guillaume Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout le bonheur de les offrir à mes voisins qui ont un balcon plein sud. Ils profitent et moi, je gagne de la place !

  126. 10°C, ça me rappelle surtout la culpabilité. Celle de ne pas avoir la main verte et de laisser mourir ces pauvres plantes, année après année.

  127. 10°C, ça me rappelle surtout l’espoir secret qu’ils ne survivent pas. Moins de boulot au printemps, et l’occasion de craquer pour de nouvelles fleurs !

  128. 10°C, ça me rappelle surtout le parfum des étés de mon enfance. Ma grand-mère en avait partout sur son balcon. J’espère que l’astuce fonctionne pour retrouver ces souvenirs.

  129. 10°C, ça me rappelle surtout le parfum de la terre mouillée après l’arrosage. Un petit rituel apaisant que je vais devoir abandonner pour quelques mois. Hivernage, me voilà !

  130. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le signal d’alarme pour les rentrer, mais aussi que ça sent bon la soupe au potiron et les soirées au coin du feu. Un mal pour un bien, finalement.

  131. 10°C, ça me rappelle surtout que je vais enfin pouvoir utiliser cette excuse pour acheter une nouvelle lampe de croissance ! Mes géraniums méritent le meilleur, non ? 😉

  132. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le moment de vérifier que mon chat n’a pas décidé d’en faire sa litière… encore une fois.

  133. 10°C, ça me rappelle surtout que je devrais peut-être enfin écouter les conseils et arrêter de croire qu’ils sont immortels. Chaque année, c’est la même rengaine : ils meurent.

  134. 10°C, ça me rappelle surtout que l’astuce est peut-être trop tardive pour certains. J’aurais préféré une alerte plus précoce, genre 12 ou 13. Mieux vaut prévenir…

  135. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme : les rentrer et risquer une invasion de pucerons, ou les laisser dehors et pleurer leur perte au printemps ? Le choix est cornélien.

  136. Sébastien Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout que cette année, je vais tenter de les oublier dans la cave. On verra bien si la négligence vaut mieux que l’attention maladroite.

  137. 10°C, ça me rappelle surtout que je vais les rentrer à contre-coeur. C’est tellement plus joli dehors, même s’ils font un peu la tête. Adieu balcon fleuri, bonjour intérieur tristounet.

  138. Alexandre Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout que c’est le moment de les tailler sévèrement. Moins de volume à gérer, moins de risque de maladies. On repartira sur de bonnes bases au printemps.

  139. Benjamin Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout le parfum de ma grand-mère. Elle avait toujours des géraniums magnifiques. J’espère avoir la main verte comme elle un jour.

  140. Christophe Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout que je devrais peut-être simplement essayer une autre plante l’année prochaine. Le géranium, c’est beau, mais tellement contraignant !

  141. 10°C, ça me rappelle surtout l’odeur de terre humide et la satisfaction de savoir qu’on a fait tout ce qu’on pouvait. Après, la nature décide.

  142. Emmanuel Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours un peu peur de trop arroser pendant l’hivernage. La pourriture, c’est le pire ennemi !

  143. François Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout que l’année dernière, j’ai tout raté. Trop d’espoir dans un hivernage « facile ». Cette année, je baisse mes attentes et je me concentre sur quelques boutures.

  144. Grégoire Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout que je croise les doigts pour que cette année, l’astuce fonctionne vraiment. J’ai essayé tellement de méthodes par le passé, sans succès… On verra bien !

  145. 10°C, ça me rappelle surtout que je devrais acheter un thermomètre fiable. Le mien est toujours à côté de la plaque, et je me retrouve à improviser !

  146. 10°C, ça me rappelle surtout l’espoir secret qu’un hiver doux me permette de les laisser dehors un peu plus longtemps, juste pour profiter des dernières couleurs.

  147. 10°C, ça me rappelle surtout que je suis toujours tiraillé entre les conseils des experts et mon instinct de jardinier amateur. On verra bien ce que ça donne cette année.

  148. 10°C, ça me rappelle surtout la course contre la montre pour rentrer les plantes avant le premier coup de froid. Toujours remis au lendemain, et toujours une mini-panique.

  149. Béatrice Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout qu’il faut que je pense à demander à ma voisine ses conseils. Elle a toujours des géraniums incroyables, même en avril!

  150. 10°C, ça me rappelle surtout que j’oublie toujours de couper les fleurs fanées avant de les rentrer. Est-ce vraiment important ?

  151. Delphine Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout la culpabilité de ne pas avoir assez de place à l’intérieur pour toutes mes plantes… Dilemme annuel.

  152. 10°C, ça me rappelle surtout que mes géraniums sont toujours magnifiques en octobre, alors je repousse toujours l’échéance de les rentrer. Un peu de culpabilité, mais tellement de plaisir!

  153. 10°C, ça me rappelle surtout le bonheur de me débarrasser enfin des pucerons qui s’étaient installés sur mes géraniums tout l’été ! Hivernage, ou pas, la paix !

  154. Gabrielle Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout l’odeur de terre humide quand je les déterre, le dernier contact avant de les oublier un peu pendant l’hiver. Un peu triste, en fait.

  155. Hélène Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout que l’hivernage, c’est pas juste une question de température, mais aussi de lumière. Mes géraniums tirent la tronche à l’intérieur, même avec l’astuce.

  156. Isabelle Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout que mes géraniums, je les traite comme des annuelles. C’est peut-être pas écolo, mais ça me simplifie la vie.

  157. 10°C, ça me rappelle surtout que ma grand-mère disait toujours « un géranium qui souffre est un géranium qui fleurit mieux au printemps ». Peut-être qu’on en fait trop pour eux, finalement ?

  158. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai déjà essayé cette « astuce infaillible » et que… comment dire… c’est pas toujours aussi infaillible que ça.

  159. 10°C, ça me rappelle surtout le soulagement de savoir que je peux encore profiter de leur couleur vive avant le gris de l’hiver. Un dernier baroud d’honneur avant le repos.

  160. 10°C, ça me rappelle surtout que je vais devoir me battre avec mon chat pour qu’il ne grignote pas les feuilles une fois rentrés. Mission impossible, chaque année !

  161. Nathalie Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout la course contre la montre pour trouver le bon équilibre entre les rentrer trop tôt et les laisser mourir de froid. Chaque année, c’est le même stress.

  162. 10°C, ça me rappelle surtout les courants d’air glacials quand j’ouvre la fenêtre pour les rentrer. Je vais encore me choper un rhume, c’est sûr. La beauté a un prix !

  163. 10°C, ça me rappelle surtout la culpabilité de ne jamais m’en occuper correctement. L’article me met face à mes responsabilités de jardinier du dimanche.

  164. 10°C, ça me rappelle surtout le bazar sans nom que ça va être de leur trouver une place convenable dans la maison. On va encore se marcher dessus pendant des mois!

  165. 10°C, ça me rappelle surtout la perspective d’un rebord de fenêtre encombré, mais au moins, ça met un peu de vert dans le décor hivernal. On verra bien si ça marche mieux cette année.

  166. Valérie Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout l’espoir secret qu’ils ne survivent pas, avouons-le, et qu’on puisse enfin planter autre chose l’année prochaine !

  167. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme : les rentrer et risquer les pucerons à l’intérieur, ou les laisser dehors et les voir dépérir. Un choix cornélien chaque année!

  168. Brigitte Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout le regret de ne pas avoir bouturé cet été. J’aurais une « assurance vie » pour mes géraniums, et pas ce stress de l’hivernage !

  169. Catherine Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout que je vais ENCORE oublier de les rentrer à temps, et me dire ensuite « tant pis, on verra bien ».

  170. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le moment de les tailler sévèrement avant de les rentrer, sinon gare à la jungle dans le salon !

  171. 10°C, ça me rappelle surtout que ma grand-mère disait toujours : « À la Sainte-Catherine, tout bois prend racine ». Je devrais peut-être essayer de les bouturer maintenant, en intérieur, au lieu de me casser la tête avec l’hivernage.

  172. Florence Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout la course contre la montre pour trouver de la place au garage, avant que la première gelée ne les transforme en glaçons.

  173. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le signal d’alarme pour vider les jardinières et enfin mettre les décorations de Noël ! On tourne la page, quoi.

  174. Huguette Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout que c’est le moment de choisir : ceux qu’on sauve, et ceux qu’on laisse à la nature. Une sorte de sélection darwinienne du balcon, quoi.

  175. 10°C, ça me rappelle surtout le plaisir coupable de les voir refleurir en plein hiver, comme une petite victoire sur le froid. Une raison de sourire, quoi.

  176. Jacqueline Bernard

    10°C, ça me rappelle surtout l’odeur de terre mouillée quand je les déterre pour les mettre en jauge dans le jardin. Un parfum d’automne, en somme.

  177. 10°C, ça me rappelle surtout que la promesse d’une « astuce infaillible » est souvent déçue. J’ai essayé tellement de méthodes, sans succès garanti! Je préfère ne pas trop m’emballer…

  178. 10°C, ça me rappelle surtout que je vais encore me demander si c’est vraiment la bonne méthode. Chaque année, c’est le même doute. Fonctionnera, fonctionnera pas ? Suspense…

  179. 10°C, ça me rappelle surtout que mes géraniums, ils ont vu bien pire et ils sont toujours là. Rustiques, les bougres ! J’attends la première gelée pour agir.

  180. 10°C, ça me rappelle surtout l’angoisse de les rentrer trop tôt et de les voir pourrir à cause du chauffage. J’ai toujours peur de mal faire, en fait.

  181. 10°C, ça me rappelle surtout le bazar que ça va être pour les rentrer. Faut déjà que je dégage la véranda, et c’est jamais une mince affaire !

  182. Guillaume Dubois

    10°C, ça me rappelle que j’ai toujours l’impression de m’y prendre trop tard. Est-ce que j’ai déjà raté le coche cette année ?

  183. 10°C, ça me rappelle surtout qu’il faut que je pense à demander conseil à ma voisine. Elle a toujours des géraniums magnifiques, elle, la veinarde !

  184. 10°C, ça me rappelle surtout que je vais pouvoir enfin faire du troc avec ma mère. Elle adore mes géraniums rouges, et moi ses pétunias violets !

  185. 10°C, ça me rappelle surtout le bonheur de savoir que je vais pouvoir ressortir mes géraniums au printemps prochain. C’est un petit rituel qui marque le retour des beaux jours.

  186. 10°C, ça me rappelle surtout le parfum un peu poivré que dégagent les feuilles quand on les manipule pour les rentrer. Un parfum d’automne, finalement.

  187. 10°C, ça me rappelle surtout que cette année, je vais tenter la méthode douce : pas de rentrée. On verra bien si le paillage épais suffit à leur faire passer l’hiver. Je croise les doigts !

  188. 10°C, ça me rappelle surtout que je devrais peut-être arrêter de lutter et simplement replanter au printemps. Moins de travail, plus de spontanéité !

  189. 10°C, ça me rappelle surtout la culpabilité. Chaque année, je me dis que je vais les rentrer, et chaque année, j’oublie. Résultat : adieu les géraniums.

  190. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours eu l’impression que ces histoires d’hivernage, c’était plus de boulot qu’autre chose. Ils sont si beaux dehors, autant en profiter tant que ça dure.

  191. 10°C, ça me rappelle surtout le gâchis d’eau que ça représente, ces géraniums. Je me demande si ça vaut vraiment le coup de les maintenir en vie tout l’hiver.

  192. Sébastien Dubois

    10°C, ça me rappelle surtout le débarras du garage qu’il va falloir faire pour leur trouver une place correcte. Une vraie corvée avant le plaisir !

  193. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours l’impression que mes géraniums ne sont jamais aussi beaux qu’en photo dans les magazines. Pourtant, je fais tout ce qu’il faut !

  194. Alexandre Dubois

    10°C, ça me rappelle surtout ma grand-mère. Elle avait toujours des géraniums magnifiques et elle les rentrait avec une patience infinie. J’espère avoir hérité de son « truc ».

  195. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai enfin investi dans une petite serre pour le balcon. On verra si ça change la donne cette année ! Plus de garage à vider, peut-être plus de succès.

  196. Christophe Dubois

    10°C, ça me rappelle surtout l’espoir. L’espoir de les revoir fleurir plus forts, plus beaux, au printemps prochain. C’est un pari sur l’avenir, finalement.

  197. 10°C, ça me rappelle surtout les courants d’air glacials quand j’essaie de les rentrer discrètement par la fenêtre du salon. Madame n’est jamais ravie de voir la terre qui tombe…

  198. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme. Est-ce que cette année, je tente le coup de les tailler sévèrement et de les oublier dans un coin sombre ? Moins de travail, mais le résultat est toujours incertain.

  199. François Dubois

    10°C, ça me rappelle surtout la course contre la montre. Entre la météo qui change et mes oublis, c’est toujours la panique de dernière minute.

  200. Grégoire Dubois

    10°C, ça me rappelle surtout que c’est le moment de décider : est-ce que je les rempote dans du neuf ou je réutilise le même terreau, quitte à ajouter un peu d’engrais ? Le dilemme annuel…

  201. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours une pensée émue pour ceux qui n’ont pas survécu à l’hiver précédent. Un petit cimetière floral personnel sur le balcon.

  202. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le moment de vérifier si j’ai encore de la place dans la cave. Chaque année, c’est un Tetris végétal.

  203. 10°C, ça me rappelle surtout la culpabilité. Chaque année, je me dis que je vais m’en occuper, et chaque année, je finis par les laisser à l’abandon sur le balcon.

  204. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours l’impression qu’ils ont soif, même en hiver. J’ai peur de trop les arroser, mais j’ai aussi peur qu’ils meurent de soif. C’est un vrai casse-tête !

  205. Béatrice Dubois

    10°C, ça me rappelle surtout l’odeur de la terre mouillée quand je les rentre. C’est un peu comme faire entrer l’automne à la maison.

  206. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le signal pour les rentrer. Mais à chaque fois, je me demande si ça vaut vraiment le coup, tout ce bazar pour quelques fleurs…

  207. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le moment de prendre une photo. On oublie vite à quel point ils étaient beaux en été. Un petit souvenir avant le grand sommeil.

  208. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est l’heure de la grande migration… vers la véranda, en espérant qu’elle ne soit pas trop froide cet hiver.

  209. 10°C, ça me rappelle surtout que ma grand-mère disait toujours qu’il fallait leur parler, aux géraniums. Ridicule, mais j’avoue que ça me fait sourire chaque année.

  210. Gabrielle Dubois

    10°C, ça me rappelle surtout que c’est le moment de croiser les doigts. J’ai beau suivre les conseils à la lettre, j’ai l’impression que c’est toujours un peu le hasard qui décide s’ils vont refleurir.

  211. 10°C, ça me rappelle surtout les après-midis d’automne où je bouture frénétiquement. C’est ma façon de prolonger l’été, un peu comme un défi.

  212. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le moment de me dire que, cette année, je vais essayer les fameux géraniums « lierre » qui dégoulinent des balcons.

  213. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est l’occasion de les tailler sévèrement. Moins de place à l’intérieur, et ils repartent de plus belle au printemps.

  214. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le moment de culpabiliser de ne pas m’en être occupé avant. Ils ont déjà pris un coup de froid, les pauvres. J’espère que ce n’est pas trop tard.

  215. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est l’excuse parfaite pour enfin acheter un arrosoir digne de ce nom. Celui en plastique troué ne fait plus l’affaire !

  216. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est l’occasion de voir si les pélargoniums, eux, sont plus résistants. J’en ai planté quelques-uns, histoire de comparer. Verdict au printemps !

  217. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est un peu stressant. J’ai toujours peur de mal faire et de les retrouver tout secs au printemps. On verra bien…

  218. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est l’étape où je me demande si ça vaut vraiment le coup de les rentrer… ou si j’en rachète des nouveaux au printemps prochain, plus simplement.

  219. 10°C, ça me rappelle surtout le parfum entêtant des géraniums que ma mère rentrait dans la véranda. Un souvenir d’enfance, plus qu’une corvée de jardinage.

  220. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme éternel : la lumière de la véranda est-elle suffisante, ou vont-ils filer lamentablement vers la fenêtre ?

  221. 10°C, ça me rappelle surtout que l’odeur de terre mouillée et de feuilles mortes va bientôt envahir la maison. Un avant-goût de confinement hivernal.

  222. 10°C, ça me rappelle surtout la bataille contre les pucerons qui squattent immanquablement mes géraniums dès qu’ils rentrent au chaud. Vraiment, c’est ça le plus pénible.

  223. 10°C, ça me rappelle surtout que je vais encore devoir me battre avec mes chats pour qu’ils ne les prennent pas pour une litière géante. L’enfer recommence !

  224. 10°C, ça me rappelle surtout le soulagement de pouvoir enfin me débarrasser des limaces qui se goinfraient de mes géraniums tout l’été. Au moins, ça, c’est fini !

  225. 10°C, ça me rappelle surtout que je vais encore culpabiliser de ne pas assez m’en occuper pendant l’hiver. Ils finiront par dépérir, comme chaque année.

  226. Catherine Dubois

    10°C, ça me rappelle surtout qu’il faut que je pense à récupérer les boutures que j’ai faites cet été. Si les pieds mères ne survivent pas, au moins j’aurai une relève !

  227. 10°C, ça me rappelle surtout qu’il va falloir que je me motive à les tailler sévèrement. C’est toujours un crève-coeur, mais paraît que c’est la clé pour une belle floraison l’année suivante.

  228. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le moment de choisir : ceux qui survivront à l’hiver à l’intérieur, et ceux qui finiront au compost. La sélection naturelle, en quelque sorte.

  229. 10°C, ça me rappelle surtout que je devrai refaire le tour des jardineries pour trouver la variété parfaite de l’année prochaine. On ne se lasse jamais de chercher !

  230. 10°C, ça me rappelle surtout qu’il est temps de faire le tri. Ceux qui ont vraiment égayé mon été, je les rentre. Les autres… direction le compost, sans regret.

  231. 10°C, ça me rappelle surtout le plaisir simple de prendre soin de ces petites choses vivantes, un rituel saisonnier réconfortant.

  232. 10°C, ça me rappelle surtout l’odeur particulière de terre humide quand je les rentre… un peu mélancolique, l’été qui s’en va.

  233. Jacqueline Dubois

    10°C, ça me rappelle surtout que je vais devoir trouver de la place à l’intérieur. C’est toujours un Tetris géant avec les autres plantes, et je finis toujours par en casser une ou deux…

  234. 10°C, ça me rappelle surtout l’espoir secret qu’ils tiennent bon dehors un peu plus longtemps. J’ai toujours peur de mal m’y prendre en les rentrant.

  235. 10°C, ça me rappelle surtout que je vais encore me demander si ça vaut vraiment la peine de s’embêter… l’année d’après, je craque toujours pour de nouveaux plants en jardinerie.

  236. 10°C, ça me rappelle surtout que la promesse d’une « technique simple » se transforme souvent en corvée compliquée dans la réalité.

  237. 10°C, ça me rappelle surtout l’urgence. J’ai toujours l’impression d’être en retard et de les rentrer trop tard, alors qu’il aurait fallu anticiper.

  238. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme : les rentrer et risquer les pucerons à l’intérieur, ou les laisser dehors et jouer à la roulette russe avec le gel ?

  239. Guillaume Durand

    10°C, ça me rappelle surtout le soulagement. Enfin une excuse pour ne plus les arroser tous les jours ! Moins de travail pour moi, et une pause bien méritée pour ces infatigables fleurettes.

  240. 10°C, ça me rappelle surtout la course contre la montre pour trouver le bon terreau et les pots adaptés. Chaque année, c’est le même stress !

  241. 10°C, ça me rappelle surtout que je vais devoir me battre avec les limaces qui ont élu domicile dans mes pots tout l’été. Elles vont tenter de squatter à l’intérieur !

  242. 10°C, ça me rappelle surtout le parfum de la terre mouillée. J’adore rentrer mes géraniums, c’est comme ramener un peu du jardin dans la maison. Ça sent bon l’automne!

  243. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le moment de sacrifier les plus beaux bouquets pour en profiter une dernière fois à l’intérieur. Adieu, géraniums estivaux, bonjour vase fleuri !

  244. 10°C, ça me rappelle surtout l’odeur du géranium séché, celle qui embaume le garage où ils passent l’hiver. Un parfum de souvenirs d’été… un peu mélancolique.

  245. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le signal qu’il faut que je demande à ma voisine de s’en occuper. Je n’ai vraiment pas la main verte.

  246. 10°C, ça me rappelle surtout l’espoir secret qu’ils ne survivent pas. Je préfère largement replanter des bégonias chaque année, c’est plus simple !

  247. 10°C, ça me rappelle surtout ma grand-mère. Elle avait toujours des géraniums magnifiques et une patience infinie pour les rentrer. Je n’ai jamais hérité ni de l’un, ni de l’autre.

  248. 10°C, ça me rappelle surtout que je vais encore rater mon hivernage. Chaque année, je suis trop optimiste et je les laisse dehors trop longtemps. Résultat : des géraniums rachitiques au printemps.

  249. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme : les rentrer et risquer l’invasion de pucerons, ou les laisser dehors et pleurer leur perte au printemps. Un choix cornélien!

  250. Sébastien Durand

    10°C, ça me rappelle surtout le dilemme entre faire confiance à cet article et continuer à faire comme d’habitude, en espérant un miracle… Le miracle se fait rare.

  251. 10°C, ça me rappelle surtout la culpabilité. Celle de ne pas assez m’en occuper pendant l’été, pour qu’ils aient besoin de soins intensifs en hiver.

  252. 10°C, ça me rappelle surtout la course contre la montre. Il faut que je trouve de la place avant que le bazar accumulé ne les condamne à rester dehors.

  253. Alexandre Durand

    10°C, ça me rappelle surtout la satisfaction de voir mes géraniums refleurir après un hiver passé au frais. C’est un petit défi personnel que j’apprécie.

  254. 10°C, ça me rappelle surtout qu’il est temps de récupérer les boutures faites cet été. J’espère qu’elles ont pris, sinon c’est le deuil assuré de mes variétés préférées.

  255. Christophe Durand

    10°C, ça me rappelle surtout l’odeur de terre et de feuilles mortes quand je les rentre. C’est vraiment ça, le début de l’automne pour moi. Un peu mélancolique, mais beau.

  256. 10°C, ça me rappelle surtout que je devrais peut-être enfin essayer cette année. Les voir crever sur le balcon, c’est quand même triste, non ?

  257. 10°C, ça me rappelle surtout que le plus dur n’est pas l’hivernage lui-même, mais de trouver la motivation pour les tailler avant. C’est toujours une corvée que je repousse.

  258. François Durand

    10°C, ça me rappelle surtout la course au dernier rayon de soleil sur le balcon, avant de les rentrer. Il faut optimiser chaque centimètre carré !

  259. Grégoire Durand

    10°C, ça me rappelle surtout que j’oublie toujours de mettre une étiquette sur les pots. Au printemps, c’est la loterie pour savoir quelle couleur va fleurir !

  260. 10°C, ça me rappelle surtout que mes géraniums, je les aime bien mais pas au point de leur faire passer l’hiver à l’intérieur. Un petit plaisir éphémère, ça suffit.

  261. 10°C, ça me rappelle surtout que ma grand-mère faisait ça… et que ses géraniums étaient toujours magnifiques. Peut-être que le secret est là, finalement.

  262. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme : est-ce que ça vaut vraiment le coup de s’encombrer ? J’ai un balcon minuscule, chaque plante compte…

  263. Béatrice Durand

    10°C, ça me rappelle surtout l’angoisse de les voir dépérir malgré tous mes efforts. L’année dernière, j’ai tout raté, alors je croise les doigts pour que cet article m’aide enfin !

  264. 10°C, ça me rappelle surtout que mes géraniums ont toujours survécu dehors, même avec un peu de gel. Peut-être que je suis juste chanceux, ou qu’ils sont plus résistants que ce qu’on dit.

  265. 10°C, ça me rappelle surtout le parfum entêtant des géraniums en plein été. Hivernage ou pas, c’est surtout ça qui me manquera.

  266. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours eu l’impression que c’était une légende urbaine, cette histoire de géraniums qui survivent à l’hiver.

  267. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours remis ça au lendemain. « On verra bien », me disais-je. Et puis, c’était trop tard. Cette année, je m’y prends à temps, promis !

  268. Gabrielle Durand

    10°C, ça me rappelle surtout la corvée de rentrer les pots… et de les ressortir au printemps. Un boulot de forçat pour quelques fleurs !

  269. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours préféré les pensées. Moins d’entretien, plus de couleurs, même en hiver.

  270. 10°C, ça me rappelle surtout la culpabilité de les laisser mourir alors qu’ils ont tant fleuri tout l’été. Je vais peut-être tenter cette année, juste pour voir.

  271. 10°C, ça me rappelle surtout que je n’ai jamais réussi à les faire refleurir correctement après l’hivernage. Ils survivent, oui, mais après, c’est la déception.

  272. 10°C, ça me rappelle surtout le plaisir simple de les bouturer et d’en offrir à mes voisins au printemps. Un geste qui prolonge l’été, en quelque sorte.

  273. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme : les rentrer, les tailler, les dorloter… ou simplement les laisser mourir et en racheter au printemps ? La flemme l’emporte souvent.

  274. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme éthique : faut-il vraiment s’acharner à conserver des plantes qui ne sont pas adaptées à notre climat ? Ne vaut-il pas mieux favoriser la biodiversité lo…

  275. 10°C, ça me rappelle surtout le gel qui a tué mes lauriers roses l’an dernier. J’espère que cette astuce sera plus efficace !

  276. 10°C, ça me rappelle surtout le parfum de ma grand-mère. Elle avait toujours des géraniums magnifiques. J’espère que son secret est dans cet article !

  277. 10°C, ça me rappelle surtout que je me demande toujours si ça vaut le coup de les garder. L’année d’après, ils sont jamais aussi beaux.

  278. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le moment de faire le tri. Ceux qui ont survécu à l’été caniculaire méritent une seconde chance. Les autres, compost !

  279. 10°C, ça me rappelle surtout l’odeur de terre humide et la lumière rasante de l’automne. J’espère que l’article détaillera le type d’exposition idéale pour les géraniums en intérieur.

  280. 10°C, ça me rappelle surtout la facture de chauffage qui monte en flèche. J’espère que l’astuce n’implique pas de transformer mon salon en serre tropicale.

  281. 10°C, ça me rappelle surtout la course contre la montre avant les premières gelées. Si l’astuce est rapide et facile, je suis preneur !

  282. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours l’impression de les maltraiter pendant l’hiver. J’attends de voir si l’astuce est moins cruelle que mon garage sombre.

  283. Catherine Durand

    10°C, ça me rappelle surtout que c’est l’occasion de sortir mes vieux pots en terre cuite. Ils attendent sagement au garage, prêts à accueillir mes rescapés.

  284. 10°C, ça me rappelle surtout que mes géraniums, c’est un peu comme mes animaux de compagnie : j’ai toujours peur de mal faire et qu’ils meurent de ma faute.

  285. 10°C, ça me rappelle surtout que c’est le signal que l’été est VRAIMENT fini. Adieu, couleurs vives sur le balcon, bonjour grisaille… Allez, on verra bien ce que dit l’article.

  286. 10°C, ça me rappelle surtout ma grand-mère. Elle avait toujours des géraniums magnifiques. J’espère que l’astuce est aussi simple que ses conseils.

  287. 10°C, ça me rappelle que j’ai toujours remis ça au lendemain. Hivernage ? Bof, on verra bien… Peut-être que cette année, je m’y mettrai sérieusement.

  288. 10°C, ça me rappelle surtout mon père. Il les rentrait toujours avec un soin incroyable, parlant à chaque fleur. C’était son rituel d’automne.

  289. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours préféré les pensées aux géraniums. Peut-être que je devrais essayer autre chose cette année.

  290. Jacqueline Durand

    10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours eu plus de chance en laissant mes géraniums dehors, qu’en essayant de les dorloter à l’intérieur. Peut-être que le secret, c’est de les laisser se …

  291. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai investi dans des géraniums zonales cette année. Plus résistants, paraît-il. On verra bien si l’astuce est nécessaire!

  292. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai des souvenirs d’enfance où ces fleurs étaient omniprésentes. Je me demande si les variétés d’aujourd’hui sont aussi robustes que celles de l’époque.

  293. 10°C, ça me rappelle surtout que je n’ai jamais réussi à les faire refleurir correctement après l’hiver. L’astuce miracle, j’y crois moyen.

  294. 10°C, ça me rappelle surtout la facture de chauffage qui va grimper si je leur trouve une place au chaud! Vaut peut-être mieux tenter l’astuce… si elle n’implique pas de ruiner mon budget.

  295. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme : rentrer mes géraniums et risquer une invasion de pucerons dans le salon, ou les laisser dehors et les pleurer au printemps ?

  296. 10°C, ça me rappelle surtout le dilemme esthétique. Ces pots de géraniums, si fleuris en été, font quand même un peu tristes et dénudés dans la véranda en hiver.

  297. 10°C, ça me rappelle surtout l’odeur de terre mouillée et les feuilles jaunissantes. L’automne, quoi. J’espère juste que l’astuce est plus simple que de déterrer tous mes pots.

  298. 10°C, ça me rappelle surtout le temps qui passe. Encore une année à se soucier de ces fleurs, et à espérer les revoir au printemps prochain. Un petit cycle de vie, comme le nôtre.

  299. 10°C, ça me rappelle surtout le parfum entêtant du géranium froissé entre mes doigts. Je croise les doigts pour que cette année, l’astuce me permette de le sentir à nouveau au printemps.

  300. 10°C, ça me rappelle surtout mon balcon vide. L’été est fini, et j’avoue, j’ai déjà hâte de replanter. L’astuce, je l’essaierai peut-être, mais surtout pour avoir un peu d’avance au printemps.

  301. 10°C, ça me rappelle surtout le tri que je vais devoir faire. Les plus beaux auront droit à la véranda, les autres… compost. Cruel, mais réaliste.

  302. 10°C, ça me rappelle surtout ma grand-mère. Elle avait toujours des géraniums magnifiques. Je me demande si son secret était juste ça… j’essaierai bien par respect pour elle.

  303. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours remis ça à plus tard… et que mes géraniums n’ont jamais survécu à l’hiver. Peut-être que cette année, je m’y prendrai enfin à temps!

  304. 10°C, ça me rappelle surtout que je n’ai jamais su si cette fameuse astuce marchait vraiment… J’ai toujours eu l’impression de faire tout bien, et pourtant… Mystère!

  305. 10°C, ça me rappelle surtout la galère de trouver de la place pour tout le monde à l’intérieur. On verra bien qui sera le plus résistant !

  306. 10°C, ça me rappelle surtout que mes géraniums, je les aime bien, mais pas au point de leur faire passer l’hiver à la maison. Ils restent dehors, advienne que pourra.

  307. Sébastien Leroy

    10°C, ça me rappelle surtout le casse-tête des étiquettes. L’année dernière, j’ai confondu mes géraniums avec des pétunias… Résultat : catastrophe au printemps.

  308. 10°C, ça me rappelle surtout que j’ai toujours pensé que c’était plus compliqué que ça, l’hivernage. On verra si cette « astuce infaillible » tient vraiment ses promesses !

  309. 10°C, ça me rappelle surtout la culpabilité. Chaque année, je me dis que je vais m’en occuper, et puis… poubelle. Cette fois, je vais peut-être tenter, histoire de me sentir moins mauvais.

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